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Inigo/Linfan(Femme) Soutien C/B/A/S
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Palne/Kellam Soutien C/B/A/S
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Nowi/Kellam Soutien C/B/A/S
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Cordelia/Kellam Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Gangrel Soutien C/B/A
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Sully/Kellam Soutien C/B/A/S
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Tharja/Kellam Soutien C/B/A/S
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Sully/Frederick Soutien C/B/A/S
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Sully/Vaike Soutien C/B/A/S
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Sully/Stahl Soutien C/B/A/S
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Sully/Libra Soutien C/B/A/S
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Sully/Gregor Soutien C/B/A/S
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Frederick/Henry Soutien C/B/A
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Vaike/Daraen(femme) Soutien C/B/A/S
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Vaike/Tharja Soutien C/B/A/S
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Vaike/Cordelia Soutien C/B/A/S
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Vaike/Miriel Soutien C/B/A/S
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Vaike/Maribelle Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Olivia Soutien C/B/A/S
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Vaike/Brady Soutien C/B/A
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Daraen(homme)/Linfan(femme) Soutien C/B/A
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Daraen(femme)/Gangrel Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Maribelle Soutien C/B/A/S
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DLC Héros du passé 1 : Chrom/Marth ; Daraen/Ike ; Lissa/Alm ; Henry/Deirdre ; Chrom/Elincia ; Virion/Elincia ; Miriel/Lilina ; Kellam/Shiida ; Owain/Nanna ; Lissa/Julia ; Gregor/Lyn ; Maribelle/Micaiah ; Daraen/Celica
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Daraen(homme)/Miriel Soutien C/B/A/S
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Lucina/Inigo Soutien C/B/A/S
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Owain/Noire Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Palne Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Nowi Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Tharja Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Lon'zu Soutien C/B/A
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Tiki/Say'ri Soutien C/B/A
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Frederick/Lissa Soutien C/B/A/S
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Frederick/Miriel Soutien C/B/A/S
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Je réserve Daraen ( femme ) /Inigo/Owain/Henry pour demain. ( je sens que ça va être long )
Psycho, aide-moi. Je suis pas encore en vacances moi. Et j'aide quand même.
T'as qu'à me faire Daraen(homme)/Frederick, Psycho, ça m'arrangerait beaucoup
Ok, je te propose donc Vaike/Palne
J'en ai recopié aussi un hier soir Psycho. Mais j'attends le matin pour la poster moi.
Frederick/Virion
Soutien C :
Frederick : C'est une belle épée que vous portez là, Virion.
Virion : Ah, vous avez l’œil pour les belles choses, Frederick. Élégante, distinguée, sophistiquée... Elle n'est pas sans rappeler son porteur qui...
Frederick : La poignée porte le sceau de la Maison Claive.
Virion : Certes, mais vous m'avez interrompu.
Frederick : Mes excuses... Il est cependant une chose qui m'intrigue... Vous possédez une épée appartenant à l'une des familles les plus illustres d'Ylisse...
Virion : Eh bien, j'ai noué jadis des liens aussi intenses que brefs avec cette maison. Ces liens concernaient principalement une belle jeune femme de la Maison Claive. Elle m'a offert cette épée afin d'immortaliser notre... amitié.
Frederick : Je vois. Et quand avez-vous trouvé le temps de nouer des liens avec cette personne ?
Virion : Vous êtes bien naïf ! Certains liens prennent moins de temps que d'autres à se former ! Certains exigent l'implication d'une vie entière, d'autres se forment en un instant. Enfin, certains liens ne se précisent qu'au terme d'une nuit... agitée ( )
Frederick : …
Virion : Oh, pitié ! Veuillez m'épargner cet air de componction ! N'y vois-je pas également une trace... d'envie ? Laissez-moi vous expliquer... J'ai à cœur d'accorder aux grandes dames un répit à leur morne existence, voyez-vous. Et je ne connais meilleur remède que l'enivrant parfum de l'amour. Ma conduite a toujours été exemplaire. Il ne s'agit pas de ternir leur réputation.
Frederick : Croyez bien que je n'ai jamais douté d'un gentilhomme comme vous. Jamais la noblesse d'Ylisse ne sera inquiétée par les frasques d'un coureur de jupons.
Virion : Souriez-vous toujours ainsi, même lorsque vous transpercez la gorge d'un ennemi ? Vous m'avez demandé l'histoire de cette épée et j'ai assouvi votre curiosité. Aussi, ce coureur de jupons vous laisse en compagnie de votre honneur inébranlable.
Frederick : Bah, qui a du temps à perdre pour ces futilités ? Et pourquoi... ses batifolages lui auront peut-être apporté de puissants alliés... Coureur de jupons ou non, l'homme est dangereux. Il vaut mieux le surveiller...
Soutien B :
Frederick : Il est parti, Virion.
Virion : Vraiment ? C'est un soulagement de l'apprendre ! Toutes mes excuses... Se traîner jusqu'ici pour de vulgaires considérations pécuniaires...
Frederick : C'est que la somme qu'il exigeait n'avait rien de négligeable... Ce qui m'amène à me demander : comment peut-on accumuler autant de dettes... ?
Virion : Oh, vous savez, les moyens ne manquent pas. Surtout lorsqu'on les met ensemble.
Frederick : J'en resterai là, car il faut bien avouer qu'il est autre chose qui m'intrigue davantage.
Virion : Vraiment ?
Frederick : Avant de partir, l'homme a proposé de financer nos expéditions... Il m'a paru sage de décliner son offre...
Virion : Mmh, oui, c'était certainement la meilleure chose à faire.
Frederick : Cette façon de procéder ne vous semble-t-elle point curieuse ? Poursuivre son débiteur pour ensuite proposer une aide financière à ses alliés... Voilà qui a de quoi déconcerter !
Virion : Eh bien, cela me paraît au contraire tout ce qui a de plus logique. S'il m'arrivait quelque incident fâcheux, cet homme ne récupérerait plus son argent. Il est donc dans son intérêt que je survive à nos dangereuses expéditions.
Frederick : Vous lui devez tellement d'argent que son patrimoine est lié au vôtre... Est-ce de la folie ou du génie ? Je crains de ne pas être en mesure de trancher. Vous arriveriez à tromper un renard, Virion.
Virion : Ha ha ! Vous me flattez, Monsieur ! Continuez, je vous prie.
Frederick : Prenez garde, renard ! Si vos ruses devraient se convertir en fardeau pour Chrom...
Virion : Oui, je ne l'ignore pas, vous utiliseriez ma peau pour broder une écharpe... Mais comme je tiens à ma peau, croyez bien que mes actions n'affecteront point Chrom.
Frederick : Faites honneur à vos paroles et je vous ferai l'honneur de ne point vous dépecer... Ne me décevez pas, Virion.
Soutien A :
Frederick : Virion...
Virion : Ah, Frederick. Y a-t-il une nouvelle affaire privée que vous souhaitez approfondir ?
Frederick : Et si nous parlions d'un don anonyme d'importance que nous venons de recevoir ? Vous y êtes sans doute pour quelque chose. Notez que ce dont vient à point nommé. Je me permets donc de vous remercier en mon nom et celui de Chrom.
Virion : Avec plaisir. Je savais qu'un homme de votre intelligence s'en apercevrait. Je doute que Chrom eût accepté mon offre aussi ouvertement. D'autant que les biens en question n'ont pas une origine... des plus honorables.
Frederick : D'où le caractère anonyme du don.
Virion : C'est d'une élégance, d'une distinction et d'une sophistication ! Ce n'est pas sans...
Frederick : Personne ne saura que c'était vous. Je pèse mes mots.
Virion : Non, naturellement. Et vous m'interrompez à nouveau, Frederick ! Je suppose que votre enthousiasme n'est pas dénué d'un certain charme rustique.
Frederick : Mes excuses... Mais j'ai du mal à croire qu'un don de cette ampleur soit complètement désintéressé...
Virion : Vous m'offensez, Monsieur ! Mais il est vrai que tout se monnaie en ce bas monde... Encore une fois, votre intelligence vous fait honneur, Frederick. Vous m'êtes en effet redevable.
Frederick : Ah, nous y voilà enfin ! Et que désirez-vous en échange ?
Virion : Une fois la guerre terminée, la paix reviendra sur ma patrie. J'aurais ainsi besoin de l'assistance d'Ylisse pour la reconstruire. Chrom aurait certainement accepté sans que j'aie recours à quelque subterfuge. Mais un homme rusé ne prend jamais de risques. Si vous vous employez à le convaincre, il m'est d'avis que l'affaire est entendue...
Frederick : Vous avez déjà pensé à ce que vous ferez si la victoire nous est acquise ? Incroyable !
Virion : Vous feriez bien d'en faire autant ! Chrom dispose d'un archer majestueux et d'un guerrier accompli comme vous. L'homme ne peut raisonnablement pas perdre cette guerre.
Frederick : Je gage que vous employez également ces flatteries pour courtiser ces dames. Reste que la victoire est notre priorité absolue. Espérons que nos efforts conjugués suffiront.
Virion : En ce qui me concerne, je ne doute point de ma contribution, Frederick. Aussi, tâchez de tenir le rythme !
Sauf que moi, que ce soit à 17h00 ou à 2h00 du maitn, il y a toujours peu de fautes de frappes.
J'ai dit que justement, j'en ai pas fait de fautes moi. Donc, tu m'enlèves le "aussi". Alors que les soutiens de Virion
Je te mets au défi d'en trouver une Psycho.
Frederick/Cordelia :
Soutien C :
Cordelia : Les provisions ont été déchargées. Tout est fin prêt.
Frederick : Excellent travail, merci. Je voulais également vous demander...
Cordelia : De vérifier l'usure des armes et d'examiner les parchemins ? C'est fait. J'avais toutefois quelques questions au sujet de la disposition du camp.
Frederick : ...
Cordelia : Frederick ?
Frederick : Je me disais que vous aviez si peu changé depuis notre première rencontre en Ylisse. Au temps où vous serviez chez les chevaliers pégases de la Garde Royale... Votre dévouement sans égal, votre assiduité à la tâche... Phila me révéla jadis que sans vous, elle eût été dépassée par les événements. Je suis convaincu qu'elle avait l'intention de vous nommer à sa succession.
Cordelia : Phila a dit ça ?!
Frederick : Je l'ai toujours enviée. Il me tardait aussi d'avoir un successeur de votre prestance.
Cordelia : N'exagérons rie, Frederick ! Tu vas trop loin ! Si on nous écoutait, ce genre d'éloges pourrait prêter à confusion...
Frederick : Prêter à confusion ? Ah, oui, je comprends. Mes excuses, Mademoiselle. Je crains qu'il me manque un peu de perspicacité pour ce genre de choses...
Cordelia : Peut-être bien... Parfois, on dirait que les hommes ne cherchent qu'à me courtiser.
Frederick : Certes ! Les histoires pittoresques qui ont jalonné votre existence ne manquent pas !
Cordelia : Les... histoires ? Quelles histoires ? Frederick ! Quelles histoires ?!
Soutien B :
Frederick : Puis-je vous parler un instant, Mademoiselle ?
Cordelia : Ah, c'est toi, Frederick. Bien sûr, mais... que se passe-t-il ? Tu m'as l'air nerveux... Tu souhaites comprendre comment marche le cœur d'une femme, pas vrai ? Aha ! Tu es venu pour me demander un conseil amoureux ! J'ai raison ?
Frederick : Je... Mademoiselle, n'allez pas croire... Mes intentions sont pures comme le cristal ! J'espérais que vous montreriez votre maîtrise à la lance aux nouvelles recrues.
Cordelia : Pourquoi pas. Mais à quoi bon ? Une nouvelle recrue n'a aucune chance de pouvoir manier la lance comme moi.
Frederick : Non, mais j'aimerais qu'ils observent votre dextérité légendaire de visu. Ils comprendront qu'elle n'est pas due à la chance, mais à l'entraînement.
Cordelia : À la chance ? Mais comment pourraient-ils même l'envisager ?
Frederick : Eh bien, comment trouver les mots justes... Aux yeux de soldats ordinaires comme ces recrues et moi-même... … votre génie militaire vous situe sur un échelon inatteignable. Si bien qu'il nous est particulièrement ardu de saisir toute l'étendue de votre talent.
Cordelia : Tu ne serais pas en train de forcer un peu le trait... ?
Frederick : Je suis parfaitement sincère. Votre talent ne vous rend certainement pas la vie facile. Il doit être frustrant pour vous de ne point être comprise ni valorisée. Il est donc nécessaire que les recrues comprennent cela dans notre intérêt à tous.
Cordelia : …
Frederick : Cette requête est loin d'être anodine, et vous avez parfaitement le droit de refuser.
Cordelia : Non, ça ira. J'accepte. En fait, je suis honorée que tu me demandes cela !
Frederick : En vérité ?
Cordelia : Oui, je me suis toujours sentie exclue. Comme si j'appartenais à un autre monde. Quand je m'ouvre aux autres, personne ne me prend au sérieux. On me répond qu'il n'y a aucune raison de se plaindre d'être « un génie ». Tu es le premier à comprendre que la vie n'est pas facile pour moi.
Frederick : Eh bien, je suis ravi de vous égayer de la sorte !
Cordelia : Bien, une bonne chose de réglée. Et si tu me parlais de tes histoires d'amour ?
Frederick : Ahem. Pourrions-nous remettre cela à plus tard ? À bien plus tard... ?
Soutien A :
Cordelia : Frederick !
Frederick : Vous semblez radieuse ! Avez-vous quelque motif à vous réjouir ainsi. Mademoiselle ?
Cordelia : Pas encore, mais ça ne saurait tarder.
Frederick : Vraiment ? Ravi de l'apprendre.
Cordelia : Tu es toujours prêt à m'aider, n'est-ce-pas ? J'ai une faveur à te demander...
Frederick : Si je suis en mesure de me rendre utile, avec plaisir.
Cordelia : Parfait ! Dans ce cas, enfile tes bottes ! Nous sortons.
Frederick : Nous sortons ? Est-ce notre tour de faire les prévisions ?
Cordelia : Non, nous ne partons pas nous ravitailler. Ça va être bien plus intéressant que ça !
Frederick : Je pressens comme une menace voilée. Une vive appréhension me parcourt le corps. (L'ai-je insultée à mon insu lors de notre dernière rencontre ?) (Sa colère serait telle qu'elle veut me faire payer l'affront qu'elle a subi ?) (Diable ! Elle va probablement m'attirer dans un bois retiré pour me poignarder !)
Cordelia : Qu'est-ce que tu marmonnes ? J'aimerais que tu me parles de ta vie affective. Tu aimerais soulager ton cœur, mais tu as peur de faire le premier pas, n'est-ce-pas ? Nous nous retirerons donc dans un lieu calme et paisible pour régler cette affaire.
Frederick : Euh, comment cela ?
Cordelia : J'ai déjà trouvé le lieu qui convient pour ne pas être importunés. J'ai même préparé des gâteaux ! Mmm...
Frederick : Cordelia, malgré toute votre préparation, vous avez commis une erreur fatale... Vous n'avez point envisagé que je refuse votre invitation !
Cordelia : Oh si, j'ai tout prévu. Si tu refuses, il me faudra manger tous mes gâteaux. Je me suis donc limitée à mes gâteaux favoris : myrtilles, miel, amandes et prunes.
Frederick : Je vois... Force est de reconnaître que vous n'avez dans ce cas commis aucune erreur. Il ne me reste donc plus qu'à affronter le destin et à vous faire cette confidence. Mais à une condition : j'attends de vous que vous me parliez en premier de votre vie affective.
Cordelia : C'est d'accord. Tiens-toi prêt, Frederick. J'ai beaucoup de choses à te raconter !
Soutien S :
Cordelia : Frederick ! Quand allons-nous enfin discuter de ta vie amoureuse ?
Frederick : Nous avons déjà abordé le sujet, il me semble...
Cordelia : Nous y avons consacré toute une après-midi mais tu n'as pas pipé mot !
Frederick : J'étais peut-être noyé sous le flot incessant de vos propres paroles...
Cordelia : Qu'est-ce que tu insinues ?! Que je parle sans m'arrêter ?
Frederick : Avez-vous ne serait-ce qu'un vague souvenir de notre « conversation » ? Vous avez parlé deux longues heures de votre amour non partagé pour Chrom... Entre pleurs et étranglements, vous répétiez « Pourquoi, Frederick ? » Vous avez ensuite dévoré vos gâteaux et pris la fuite avec votre panier.
Cordelia : Euh... Merci de m'avoir rappelé cet... incident... Mais je te promets que notre prochaine discussion sera bien moins embarrassante ! Cette fois, nous ne parlerons que de toi. J'écouterai attentivement ce que tu as à me dire. Je te serai entièrement dévouée l'espace d'une journée pour me faire pardonner !
Frederick : J'ai votre parole d'honneur ?
Cordelia : Absolument !
Frederick : En ce cas, je puis commencer mon histoire sans attendre.
Cordelia : Parfait !
Frederick : Hem... C'est donc l'heure des confessions... Il ne s'agit point de me dérober... Bien, la vérité est que... Je voudrais vous dire simplement que... Je vous aime.
Cordelia : Quoi ?! C'est une plaisanterie ? Si c'est le cas, c'est de mauvais goût ! Les autres sont cachés derrière cet arbre, n'est-ce-pas ?
Frederick : Je suis parfaitement sérieux, Mademoiselle.
Cordelia : Mais je croyais que... Quand je te disais de me parler de tes histoires d'amour... J'étais loin de m'imaginer qu'elles me concernaient personnellement...
Frederick : Je le sais bien. Je sais aussi que vous aimez Chrom. Malgré cela, je ne pers pas espoir. Mon but n'est pas de parler en mal de lui, puisque je suis à son service. Mais moi, Cordelia, je ne vous tirerais pas des larmes amères comme il le fait lui. Moi, je vouerais mon existence à vous rendre heureuse.
Cordelia : Frederick... Quand tu parles de cette façon, je sais que tu dis la vérité. Car c'est bien ce que je ressens à longueur de journée. Même si c'est à l'égard de Chrom que je ressens toutes ces choses...
Frederick : De la même façon que vous aimez éperdument Chrom... … mon amour pour vous me brûle la poitrine. J'en veux pour preuve ceci.
Cordelia : Une bague de fiançailles ?
Frederick : Peu importe si votre cœur ne m'appartient pas. Il me reste l'espoir qu'un jour vous finirez par éprouver de l'amour à mon égard. Voulez-vous être ma femme, Cordelia ?
Cordelia : Oh, Frederick, c'est... Oui, j'accepte !
Frederick : Vous acceptez ?!
Cordelia : Chrom ne m'aimera jamais. Quelque part, je l'ai toujours su. Et je suis fatiguée de cet amour non réciproque. Rien qu'à y renoncer, je me sens plus légère, tout d'un coup. Merci, Frederick. Merci de m'avoir montré la réalité en face ! Si je promets de n'aimer que toi, feras-tu de moi la plus heureuse des femmes ?
Frederick : Je le jure.
Très très long celui-là. Et pour Cordelia, j'ai envie de dire : faute de grive, on mange des merles.
Daraen( F )/Henry
Soutien C
Henry : ...
Daraen : Henry ? Qu'est-ce que tu fais à genoux ? Tout va bien ? Tu as mal à l'estomac ? Attends... Tu es blessé ? A l'aide ! Quelqu'un m'entend ? Henry a été...
Henry : Salutations, Daraen ! Pourquoi tant d'agitation ?
Daraen : Quoi ? Tu te sens bien ? Vraiment ? Vu comme tu te tenais, j'ai cru que tu te sentais mal...
Henry : Hi hi hi ! Pas du tout ! Tout vas très bien.
Daraen : Ah, bien... Quel soulagement ! Mais alors...qu'est-ce que tu faisais ?
Henry : Je m'amusais tellement à jouer avec ceci que je ne t'ai pas entendue entrer.
Daraen : Qu'est-ce que c'es... AAAAAH !
Henry : Ne t'inquiète pas, tu ne risques rien ! *tap* *tap* Tu vois ? Raide comme une planche.
Daraen : C'est le bras d'une ombre ?! Beurk... Tu l'as récupéré sur le champ de bataille ?!
Henry : Oui, j'avais envie de savoir comment marchait cette histoire de morts-vivants. Je vais procéder à une petite dissection pour voir ça de l'intérieur... Pourquoi ne pas l'examiner ensemble ? Nous pourrions découvrir un point faible !
Daraen : Argh ! Tu veux arrêter de me le secouer devant le visage ?! C'est répugnant !
Henry : Comme tu veux ! Bon... Mais où ai-je bien pu mettre le doigt manquant ...?
Soutien B
Henry : Badi bada badou...♪
Daraen : Henry, qu'est-ce que tu traces au sol ? Est-ce un cercle magique ? Est-ce que je peux savoir à quoi il sert ? Je dois dire que ça a l'air assez sinistre...
Henry : Oh, Daraen, tu t'inquiètes trop... Ce n'est pas sinistre du tout ! Je vais me servir de ce cercle magique pour invoquer des Ombres...
Daraen : Quoi ?!
Henry : Si ça marche, nous pourrons les faire se battre pour notre compte ! Nous n'aurons plus qu'à nous asseoir bien tranquillement et à compter les points.
Daraen : Je comprends ton idée, en théorie. Cela pourrait réduire nos pertes, mais... Il y a juste un tout petit problème... Sais-tu comment nous pourrions contrôler ces guerriers sans âme ?
Henry : Oh, on ne peut pas les contrôler. Ils attaquent tout ce qui bouge. Mais nous sommes en sécurité tant que je trace les cercles assez loin du camp !
Daraen : NOUS serons peut-être en sécurité. Mais ne s'attaqueront-ils pas aux villages voisins en y semant la désolation ?
Henry : Oui, probablement. Il serait surprenant qu'ils ne le fassent pas. Mais nous gagnerions la bataille !
Daraen : C'est inacceptable, nous ne pouvons pas sacrifier des innocents pour la victoire.
Henry : Tu ne réfléchis pas rationnellement, je trouve. Nous avons déjà tué d'innombrables personnes pendant cette guerre... Que pèsent donc quelques âmes de plus dans la balance ?
Daraen : Nous n'avons pas pu faire autrement. C'était eux ou nous. Mais tuer l'ennemi, ce n'est pas comme sacrifier des innocents pour la victoire.
Henry : Cela me semble être un distinction très arbitraire... Mais bon... c'est toi qui gères la stratégie ! Alors... plus de cercles d'invocations.
Daraen : Merci, Henry.
Soutien A
Daraen : Henry, tu t'es bien battu lors de la dernière bataille. Je tenais à te féliciter.
Henry : Ah ?
Daraen : Oui, spécialement quand ces Ombres sont apparues de nulle part. Tu t'es placé devant le village, meme quand c'était tactiquement désavantageux. Et en tenant bon, tu as ainsi sauvé la vie de nombreux civils.
Henry : Oui, tu m'as dit de ne pas sacrifier des innocents pour gagner une bataille.
Daraen : Je sais, mais j'ai été agréablement surprise de voir que tu l'as pris à coeur...
Henry : Bah, je fais ce qu'on me dit, je suis pas contrariant, moi.
Daraen : Je ne te connaissais pas si obéissant et consciencieux.
Henry : J'obéis toujours aux ordres ! Enfin, à l'exception des ordres insensé comme celui de ne pas combattre. Si quelqu'un me disait cela, je le couperais soigneusement en deux !
Daraen : Je vois... Je ne voudrais pas que ça m'arrive. tu penses bien. Ha ha ! Ha...
Henry : Hé, tu sembles un peu pâle,, dis donc. Est-ce que ça va ?
Daraen : Peu importe ! J'ai une autre tâche pour toi... Pourrais-tu m'aider à organiser mes livres de stratégie ? J'en ai accumulé tant que je ne m'y retrouve plus !
Henry : Volontiers !
Soutien S
Henry : Hé, Daraen. J'ai fini de rapiécer les tentes. Et maintenant ?
Daraen : Hmm... Voyons voir... Livres rangés, sol balayé, armes entretenues... Je crois que c'était tout. Merci beaucoup pour ton aide !
Henry : Hmm... D'accord. Et donc, qu'est-ce que je dois faire maintenant ?
Daraen : Euh... Eh bien, tu peux faire ce que tu veux, aller où bon te semble.
Henry : Oh, vraiment ? Dans ce cas, je vais rester ici, avec toi.
Daraen : Oh, vraiment ?
Henry : Oui, j'adore être avec toi, Daraen. Et j'adore faire tes corvées.
Daraen : Ha ! Eh bien, j'apprécie moi aussi ta compagnie, Henry.
Henry : Hmm... En fait, quand j'ai dit que j'adorais être avec toi, tu ne m'as pas bien compris.
Daraen : Hein ? Apparemment, non. Pourtant, tu es plutôt direct, d'habitude.
Henry : Hi hi ! Je sais... Qu'est-ce qui me prend ? Tiens, c'est de ça que je parlais...
Daraen : Un anneau ? Un anneau vraiment très... sinistre ?
Henry : Oh, ne fais pas attention au crâne aux serpents dessus... Il n'est pas maudit. Je n'essaierai jamais de maudire quelqu'un que j'aime autant que toi. J'ai choisi moi-même cet anneau de fiançailles... Je voulais t'épouser !
Daraen : Eh bien, c'est... inattendu.
Henry : Hi hi ! Tu n'aurais jamais cru que je ferais une chose pareille de mon propre chef ? Mais c'est ce que je veux, du plus profond de moi. Alors, qu'est-ce que tu en dis ?
Daraen : J'accepte, Henry, de tout mon coeur. Tu n'as pas besoin de me jeter un sort, je suis déjà sous ton charme.
Henry : Waouh !
Daraen : Mais tu dois me promettre que nous serons ensemble pour toujours.
Henry : Oh, tu peux compter sur moi. Je fais toujours ce qu'on me dit !
Scène étrange : Je t'aimerai de tout mon être et de tout mon sang jusqu'à ma mort. Oh ! Tu crois que ça arrivera quand ?
Frederick/Nowi :
Soutien C :
Frederick : Ah, Nowi.
Nowi : Hiiiiii !
Frederick : Qu'est-ce que... ?! Mais, attendez !
Nowi : Oui ? Qu'y a-t-il ?
Frederick : Pourquoi vouliez-vous fuir, Nowi ? Vous aurais-je fait peur ?
Nowi : J'ai fait un cauchemar la nuit dernière, quelqu'un me volait mon panier de fruits.
Frederick : Ah. Je vois... Euh... Non, en fait, je ne vois pas. Quel est le rapport ? Pourquoi me fuyez-vous ?
Nowi : Parce que c'était VOUS le voleur, et que je tiens à mes fruits !
Frederick : Cela m'attriste d'apprendre que je vous ai causé du tort, même en rêve. Peut-être accepteriez-vous ma ration de fruits de ce soir en compensation ? Et peut-être voudrez-vous bien me rendre un service, également ?
Nowi : Pour une ration de fruits supplémentaire, demandez-moi ce que vous voulez !
Frederick : Eh bien, j'espérais que nous pourrions passer plus de temps ensemble.
Nowi : Oui... Euh, non. Ça ne vaut pas des fruits. Et puis... vous n'êtes pas trop mon type.
Frederick : Mademoiselle ! Ce n'est pas ce que vous croyez ! Quelle idée saugrenue... J'aimerais voir votre puissance de dragon à l’œuvre.
Nowi : Hein ? Mais pourquoi ?
Frederick : Les chances de croiser un dragon sont plutôt faibles. En affronter un serait une expérience très enrichissante !
Nowi : Mais ne seriez-vous pas terrorisé ?
Frederick : Si, c'est pourquoi j'ai besoin de votre aide. La peur de l'inconnu est la plus dangereuse. Et j'aimerais réussir à dépasser cette peur.
Nowi : Je ne sais pas si c'est une très bonne idée...
Frederick : Et pour deux rations de fruits, alors ?
Nowi : Oh ! Les fruits ! C'est vrai, j'avais presque oublié ! Dans ce cas, pas de problème !
Soutien B :
Nowi : Frederick, tout va bien ?
Frederick : Gnhhh... Oui... Tout va... parfaitement bien. Je sens à peine... cette petite brûlure. Si je l'ignore, elle finira par guérir... Un jour...
Nowi : Vous êtes sûr ? Je vous ai brûlé pas mal de poils. Ça va repousser de travers...
Frederick : Oh. Ça a l'air si horrible que ça ?
Nowi : Hmm... C'est bizarre, il y en a qui partent dans tous les sens, d'autres frisés... Hi hi ! C'est plutôt drôle en fait ! Hi hi hi !
Frederick : Je crois que nous devrions en rester là et laisser mon corps récupérer. Ce fut une expérience très enrichissante, grâce à vous. Je dois repartir m'entraîner pendant que la douleur est encore vive dans mon esprit.
Nowi : …
Frederick : Tout va bien, Nowi ? Êtes-vous blessée ?
Nowi : C'est juste que... vous êtes si stupide ! Vous avez su dans quel état vous êtes ? Et sans personne pour s'occuper de vous...
Frederick : Je me dois d'affronter ces épreuves, si je veux pouvoir protéger tout le monde.
Nowi : Mais pourquoi insistez-vous pour les subir tout seul ? Demandez de l'aide !
Frederick : Où voulez-vous en venir ?
Nowi : Vous avez dit que vous retourniez vous entraîner. Vous y allez seul, n'est-ce-pas ? La solitude est un mal. Je le sais bien. Avant de venir ici, j'étais seule moi aussi. Je suis triste de vous voir travailler si dur sans personne avec vous...
Frederick : Mademoiselle, votre cœur est tendre et généreux. Mais je ne suis pas seul quand des gens comme vous se soucient de mon bien-être.
Nowi : Alors... vous ne souffrez pas de solitude ?
Frederick : Pas du tout ! Alors, nous battrons-nous à nouveau quand mes blessures auront guéri ?
Nowi : Bien sûr, ce sera amusant !
Soutien A :
Frederick : Nowi, êtes-vous libre pour un autre combat d'entraînement ?
Nowi : Mais nous nous sommes déjà battus hier ! ET avant-hier !
Frederick : Oui, mais je suis si près de pouvoir anticiper vos attaques...
Nowi : Oh. D'accord. Si vous tenez tant que ça à jouer avec moi... Pourquoi êtes-vous si obsédé par l'idée de mieux combattre ?
Frederick : Je dois être fort pour protéger Chrom et ses alliés. Cette guerre l'exige. Et puis, mieux je me bats, et mieux je peux former les Veilleurs. Cela réduira le nombre de pertes tout en améliorant nos chances de victoire.
Nowi : En plus de faire de vous le plus grand héros qui soit !
Frederick : J'en doute. De plus, je ne cours pas après les compliments, la gloire ou la célébrité. Mon unique but est d'assurer la survie de mes camarades.
Nowi : Moi, J'ADORE les compliments ! Ça ne vous intéresse pas même un tout petit peu, la gloire ?
Frederick : Je suis humain, Nowi. Bien sûr que j'apprécie les compliments, moi aussi. Mais la reconnaissance et la gloire ne peuvent pas être des buts en soi.
Nowi : Waouh ! Vous êtes vraiment un chevalier ! Mais QUELQU'UN doit bien vous féliciter parfois, alors autant que ce soit moi ! Alors... Bravo, Frederick ! Beau travail ! Vous êtes le meilleur chevalier du monde !
Frederick : Ha ha ! Eh bien, merci, Nowi. Vous me rappelez ma mère.
Nowi : Eh ! N'oubliez pas que je suis votre aînée de plusieurs siècles !
Frederick : Certes. J'oublie trop souvent quelle femme sage et mûre vous pouvez être.
Nowi : Hi hi hi ! J'ADORE les compliments ! Et vous êtes très doué pour en faire !
Frederick : Je ne dis que la vérité.
Nowi : En fait, vous êtes si doué que nous devrions passer plus de temps ensemble.
Frederick : Ce serait avec joie !
Soutien S :
Nowi : Frederick ! Entraînons-nous ! Je vais me changer en dragon pour vous !
Frederick : C'est inhabituel... Normalement, c'est moi qui vous défie. Nos sessions d'entraînement auraient-elles suscité votre intérêt ?
Nowi : Pas vraiment. J'ai juste décidé que nous devrions nous entraîner plus souvent. Après un dur entraînement, je me souviens toujours de vous féliciter. Même si personne n'y fait attention, je veux que vous sachiez que moi, oui. Et, autre chose, quand vous prenez un jour de repos, je veux le prendre avec vous ! Ainsi nous pourrons nous tenir compagnie et nous ne serons plus seuls. Nous serons plus forts et pourrons aider Chrom et les autres, ET s'amuser !
Frederick : Mais dans ce cas... nous serions tout le temps ensemble.
Nowi : Vous... me détestez ? S'il vous plaît, dites-moi que ce n'est pas vrai ! Parce que moi, je ne vous déteste pas ! Je vous aime beaucoup, BEAUCOUP !
Frederick : Je vous apprécie, Nowi.
Nowi : Non ! Je n'ai pas juste dit que je vous appréciais... Je vous AIME.
Frederick : Ah...
Nowi : J'adore le fait que vous travaillez dur pour les autres, même quand vous êtes fatigué. ET vous pensez toujours à protéger les autres... J'aime ça aussi ! Ça me donne envie de VOUS protéger ! Alors, euh... Est-ce que vous m'aimez ? En tant que femme, je veux dire. Parce que si vous ressentez la même chose que moi, vous devez me le dire. S'il vous plaît, Frederick ! L'attente est insoutenable !
Frederick : … Après une confession si franche et si directe, je ne saurais mentir. Je désirais vous en parler lorsque j'y aurais été le mieux préparé. Nowi, je suis en effet tombé amoureux de vous. Nous avons passé tant de temps ensemble récemment, et j'ai compris que... Eh bien, que vous êtes la personne la plus importante dans ma vie.
Nowi : WOUHOUUUU ! Alors, nous allons nous marier, maintenant ?
Frederick : Si vous voulez bien me faire cet honneur. Malheureusement, je n'ai pas d'anneau sur moi. Je vais aller de ce pas chez le joaillier et lui en commander un
Nowi : Oh, attendez ! Avant d'y aller, battons-nous encore une fois !
Frederick : Eh bien, je suppose que nous avons encore le temps de faire un autre combat...
Frederick/Tharja :
Soutien C :
Frederick : Cet exercice sert à renforcer les abdominaux. Nous ferons des séries de 300, cette fois-ci... Allons-y ! 300, 299, 298...
Daraen : Je vais faire un malaise
Tharja : Tu prends l'exercice à cœur, Daraen.
Frederick : Assez pour aujourd'hui. N'oubliez pas de vous hydrater et de bien manger. Rompez !
Tharja : Quel dévouement ! Et Daraen qui traîne avec ces sots... Mais il est à moi, quoi qu'ils en pensent. Je pourrais tous les maudire, mais ça prendrait des lustres... Maudire uniquement Daraen suffira. Je pourrais le faire transpirer à outrance. Avec l'odeur qu'il dégagerait, personne ne s'en approcherait et il serait à MOI ! Mais son odeur de rat mort ne m'épargnerait pas non plus... Hmm...
Frederick : Vous voilà enfin, Tharja ? Vous avez manqué la séance d'exercices.
Tharja : Oh... Dommage.
Frederick : Nous vons avons cherchée sans succès. Tâchez d'être ponctuelle. C'est important. J'ai été forcé de finir sur mon Programme d'Exercices Inhumains sans vous. Mais puisque vous êtes ici, nous pourrions entamer une séance privée.
Tharja : Hmm... Ce n'est pas vraiment ce que... Oh, non...
Frederick : Nous allons travailler les biceps ! L'effort risque d'être intense, je vous préviens. Bien commençons ! Et UN, et DEUX, et TROIS !
Tharja : *suffoque* Ma... Ma vision se trouble... L'obscurité m'entoure...
Frederick : Vous avez une mine qui m'inquiète, Tharja. Nous reprendrons demain. Reposez-vous et pensez à manger des féculents.
Tharja : *halète* Ah ! Pffpf ! Demain... ? Tu... veux... ma mort ?
Frederick : Vous savez ce qu'on dit... Un esprit sain dans un corps sain. Vous avez besoin de vous remettre en forme, voilà tout. À plus tard !
Tharja : Je suis... un mage noir... Je n'ai pas... besoin... de biceps disproportionnés !
Soutien B :
Frederick : Tharja ! Puis-je vous dire deux mots ? Si ça ne vous ennuie pas trop, bien sûr.
Tharja : Hmm ? Si, ça m'ennuie.
Frederick : Hmm... Eh bien, vous n'êtes pas venue à l'entraînement comme convenu.
Tharja : C'était convenu ?
Frederick : Allons, ne jouez pas à cela avec moi ! Vous m'avez fait attendre dans le froid, pour rien ! J'en ai même attrapé un vilain rhume ! Snif !
Tharja : Moi qui pensais que tu te portais comme un charme avec tes exercices...
Frederick : Eh bien...
Tharja : Ne te sens pas mal. C'est dur de guérir d'un rhume lorsqu'il découle d'un sort.
Frederick : Quoi ?! Vous m'avez lancé un sort pour que j'attrape un rhume ?!
Tharja : Tu as l'air énervé.
Frederick : ÉNERVÉ ? Le mot est faible ! Bien sûr que je suis énervé !
Tharja : Je te comprends. Je suis perfide. Si j'étais toi, j'éviterais de me croiser.
Frederick : Savez-vous ce qui vous a poussé à faire cela ? Une mauvaise condition physique ! Un corps malade dans un esprit malade !
Tharja : Je n'apprécie pas trop la tournure que prennent les événements...
Frederick : AAATCHOUM ! Ah, je me sens bien mieux. Mon rhume a entièrement disparu. Un bon éternuement ! Voilà tout ce dont j'avais besoin pour me remettre d'aplomb !
Tharja : Ça n'a aucun sens !
Frederick : Puisque je suis rétabli, nous reprendrons l'entraînement de plus belle ! Dès l'aube ! Et cette fois, point de dérobade ! J’espère que c'est assez clair !
Tharja : On verra. J'avais menti au sujet du sort, mais... comment a-t-il pu se rétablir aussi vite ? Hmm... La prochaine fois, je n'hésiterai pas à le maudire !
Soutien A :
Frederick : Ah, Tharja. Je vous attendais. Êtes-vous prête à obtenir un corps sain ?
Tharja : Pas vraiment. Je suis ici pour... … vérifier... CECI !
Frederick : Aaah ! AÏEUH ! Mais que faites-vous ? Laissez-moi tranquille, espèce de sorcière !
Tharja : J'en étais sûre. Tu as subi une blessure profonde lors de notre dernier combat.
Frederick : Je pensais que personne ne s'en était aperçu.
Tharja : C'est que... tu as reçu cette blessure à cause de mon sort.
Frederick : Quoi ?! Mais nous sommes alliés ! Pourquoi m'accabler avec votre magie noire ?!
Tharja : Je ne voulais pas vous causer du tort. Il s'agissait de me rendre invisible à vos yeux. C'était la seule chose que je pouvais faire pour éviter votre entraînement inhumain. Mais vous avez senti que j'étais en danger, et vous avez encaissé un coup à ma place. Avec ce sort, il était pourtant impossible que vous me voyiez pendant la bataille !
Frederick : Ah, tout s'explique, à présent. J'avais cette impression constante de sentir votre présence... Je craignais de perdre la raison. Mais je connais désormais la vérité.
Tharja : Tu peux parler de cet incident à Chrom si tu le souhaites. Peut-être qu'il me pendra par les doigts de pieds. Ou quelque chose du genre...
Frederick : Les Veilleurs n'utilisent pas la torture ! Encore moins entre compagnons d'armes ! Quoi qu'il en soit, ce n'est point votre faute. J'aurais dû parer le coup. Je me suis laissé distraire.
Tharja : Y a-t-il une seule chose que tu ne pardonnerais pas ? Tu es bien compréhensif, mais cela confine presque à la naïveté !
Frederick : Je prends ça pour un compliment.
Tharja : Comme tu veux. Laisse-moi donc jeter un œil à ta blessure. Hmm, pour quelqu'un qui aime être en bonne santé, c'est pas terrible...
Frederick : Je sens comme une pointe d'affection dans votre voix...
Tharja : Je veille sur toi, car Daraen t'aime bien.
Frederick : Je vois. Eh bien, je tâcherai de recouvrer la santé pour ne pas lui faire de peine...
Soutien S :
Tharja : Ta blessure va mieux ?
Frederick : Oui, grâce à vous, elle est complètement guérie.
Tharja : Dans ce cas... … Alors ?
Frederick : Alors quoi ?
Tharja : Maintenant que tu es rétabli, il est inutile de venir me voir. Et pourtant tu es ici.
Frederick : Je voulais uniquement m'assurer que vous poursuivriez l'entraînement.
Tharja : Je t'en ai fait le serment à cinq reprises ! C'est plus que suffisant. Qu'est-ce que tu veux, en vrai ? Si tu ne pars pas, c'est moi qui le ferai.
Frederick : Un... Un instant, je vous prie. Je voulais vous demanderai quelque chose.
Tharja : *soupir* Quoi donc ?
Frederick : Vous ne m'avez point jeté de sort ? Je veux dire, dernièrement...
Tharja : Pourquoi ?
Frederick : C'est qu'une intense émotion me secoue l'âme... Ce n'est point le résultat de quelque maléfice, n'est-ce-pas ?
Tharja : Si c'est le cas, ça ne vient pas de moi.
Frederick : Cela signifie donc que cette vive émotion me consume... de l'intérieur ! Le moment est donc propice pour vous montrer... ceci !
Tharja : J'espère que cet anneau n'est pas maudit, au moins.
Frederick : Des sentiments aussi nobles ne sauraient être décrits en ces termes.
Tharja : Ne me dis pas que tu veux m'épouser ?!
Frederick : C'est pourtant mon intention !
Tharja : Tu es tombé sur la tête ?!
Frederick : J'eusse aimé pouvoir vous expliquer comment cet amour a pris corps. Mais hélas, je ne suis point poète. Je ne puis que vous décrire ce que je ressens. Je vous aime, Tharja ! Je veux vivre à vos côtés pour toujours !
Tharja : C'est plutôt... gentil.
Frederick : Acceptez-vous mon anneau ?
Tharja : À une condition...
Frederick : Dites-moi tout !
Tharja : Je ne veux plus entendre parler d'exercices physiques. Je ne me soucie guère d'avoir un corps sain. Et je ne veux surtout pas avoir un esprit sain ! Un mage noir doit avoir l'esprit tordu, sinon, il perd tous ses repères.
Frederick : Soit. Plus d'exercices pour vous, et plus aucune malédiction pour moi !
Tharja : … *soupir* Bon, d'accord...
Tiki/Nah:
Soutien C:
Nah: Ah, Tiki! Vous voilà!
Tiki: Oui, Nah. Me voilà.
Nah: Pourriez-vous me rendre un service?
Tiki: Bien entendu, si j'en suis capable. Que puis-je faire pour vous?
Nah: Je, euh... Je voulais que vous me parliez de quelque chose.
Tiki: Pouvez-vous être plus précise?
Nah: Eh bien... de votre jeunesse même si je sais que c'était il y a très TRÈS longtemps.
___ On raconte que vous étiez là pendant l'âge des légendes...
___ Et... j'aurais aimé en savoir plus... surtout sur l'histoire des Manaketes.
___ Comment vivions-nous à cette époque?
Tiki: Ah. Oui. Le sang des Manaketes coule dans vos veines.
Nah: Et comment!
Tiki: Malgré cela, vous n'êtes pas réellement membre de notre tribu.
Nah: M... Mais je suis exactement comme vous! Non...?
Tiki: Jusqu'à présent, je n'avais connu ma vie durant que des Manaketes de sang pur.
____ Mais vous, vous faites figure d'exception...
____ Vous êtes unique, la première de notre espèce à avoir pour père un humain.
____ Je peut vous raconter notre histoire, mais je doute que cela vous concerne.
Nah: Pas juste! J'ai le droit de savoir, même si je ne suis pas une Manakete pur-sang!
Tiki: Vous m'avez mal comprise.
____ Vous êtes unique, car jamais auparavant quelqu'un comme vous n'a existé.
____ Mais notre histoire risque de vous causer de la peine...
____ Êtes-vous sûre de vouloir l'entendre?
Nah: ...
___ Oui! J'en suis sûre!
Tiki: Alors je vous raconterais cette histoire un jour... Mais pas aujourd'hui.
Nah: Merci, Tiki!
Soutien B:
Nah: Tiki? Je suis prête à entendre ce que vous avez à me dire sur notre histoire, à présent.
Tiki: C'est vrai que je vous l'avais promis.
____ *bâille* Mais je suis fatiguée en ce moment. Cela peut-il attendre?
Nah: Euh, d'accord. Demain, alors?
Tiki: Oui, merci. Voyons cela demain.
Nah: Êtes-vous toujours aussi fatiguée parce que vous avez dormi pendant des millénaires?
Tiki: Je ne sais pas... Mais il est vrai que je dors un peu plus que la plupart des gens.
Nah: J'avais remarqué!
Tiki:...
Nah: Tiki?
Tiki: Qu'y a-t-il, Nah? Je croyais que nous avions décidé de parler un autre jour.
Nah: La leçon d'Histoire peut attendre... Mais j'avais autre chose à vous demander...
Tiki: Quoi donc?
Nah: Quand vous êtes en dragon, vos mâchoires sont plus grandes que les miennes.
Tiki: Hmm... Oui, c'est fort possible.
Nah: Pourquoi cette différence?
Tiki: Parce que je suis une pur-sang.
____ Ce sang plus concentré me donne une apparence de dragon plus affirmée.
Nah: C'est pour cette raison que vos griffes et vos crocs sont plus acérés que les miens?
Tiki: Non, cela est lié à mon âge. J'ai vécu bien des siècles de plus que vous.
____ En vieillissant, nous devenons plus puissants et nos crocs et griffes s'aiguisent.
____ Il en sera de même pour vous quand vous aurez mon âge... dans très longtemps.
Nah: J'ai hâte...
___ Oh! Pourquoi votre peau est-elle plus dure et plus épaisse que la mienne?!
Tiki: C'est le résultat d'innombrables combats.
____ Plus le dragon reçoit de coup, plus sa peau se durcit et s'épaissit.
Nah: Oh, waouh! C'est pratique! Merci pour ces explications, Tiki!
Tiki: Je vous en prie.
____ Mais voulez-vous me laisser, maintenant? Je commence à m'endormir...
Nah: Oh, bien sur. Au revoir, Tiki. à très bientôt!
Tiki: Question sur question... Il faudrait peut-être que je lui en parle...
Soutien A:
Tiki: Et c'est ainsi que je devins l'amie de Marth, le roi légendaire.
Nah: Et comment vous êtes-vous échappée de la glace?
Tiki: Il m'a fallu attendre ce qui me sembla une éternité.
____ C'est par la main de Marth seule que je pus à nouveau sentir la chaleur.
____ C'était magique...
Nah: Tiki?
Tiki: Ah! J'ai l'air d'une vieille folle sentimentale, n'est-ce pas? C'était il y a si longtemps...
Nah: Est-ce que vous l'aimiez? Je veux dire, le roi Marth?
Tiki: C'était un humain, et moi une Manakete. Le gouffre nous séparant était trop grand.
Nah: ...
Tiki: Oh, mais vous n'aurez jamais ce problème.
____ Grâce à votre sang mêlé, vous pouvez aimer qui vous voulez, humain ou Manakete.
Nah: Hé, c'est vrai!
Tiki: Nah, je vous avais dit avoir quelque chose de difficile à vous raconter...
____ Nous, les Manaketes, nous sommes destinés à souffrir de notre amour pour l'humanité.
Nah: Destinés à... souffrir?
Tiki: Nous vivons des milliers d'années, et les humains qu'un soupir en comparaison.
____ La plus grande amitié que j'ai jamais connue n'a duré que quelques décennies...
____ Et lorsque le roi Marth mourut, je fus seule à errer à travers les siècles.
Nah: Je vois... je dois me préparer à perdre tous ceux que j'aime...
Tiki: Le sang de dragon dans vos veines vous destine à ce triste sort, en effet.
Nah: Waouh... La déprime...
Tiki: Ce peut être triste, en effet? Mais ce peut aussi être une source de force.
____ Vous apprendrez à chérir les souvenirs des merveilleux amis que vous vous ferez.
____ Ils feront partie de vous et nourriront à jamais votre courage.
Nah: Comme une famille dans ma tête ( )?
Tiki: Oui, exactement! Et vous transmettrez ces souvenirs aux enfants de vos amis!
____ Puis à leurs enfants et aux innombrables générations suivantes.
____ Vous pourrez ainsi les garder en vie malgré la longue marche du temps.
Nah: ...
Tiki: Vous comprenez?
Nah: Je crois...
Tiki: Vous ne devez jamais être triste d'avoir ce destin.
____ Vous devez profiter du monde et vous faire des amis... Connaître l'amour...
____ Et lorsque la fin viendra, naturellement, gardez-les en vie pour toujours.
____ Vous avez le don de quasi-immortalité et devez le partager comme vus le pouvez.
____ Pourquoi ne pas commencer maintenant? Nah, soyons amies.
Nah: J'en serais heureuse. Merci, Tiki.
Tiki: Maintenant, ne nous attristons plus sur ce sort et parlons de choses heureuses.
Nah: J'aimerais BEAUCOUP!
Elle aurait pu raconter l'histoire dans son soutien Tiki
C'est parti pour un Owain/Linfan !
C,B,A,S, bien entendu.
Je sens ta joie d'ici Soren, calme !
Ouais, après, si tu fais Linfan(femme) aussi
Non mais C'EST Linfan femme + Owain !
[Soren57]
Posté le 11 juillet 2013 à 23:20:58
Elle aurait pu raconter l'histoire dans son soutien Tiki
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Je plussoie.
J'aurais bien aimé la connaître aussi.
Mais il me semble qu'elle se fait hypnotiser par le méchant du jeu (souvient plus de son nom en plus j'ai failli me shooter quand j'ai vu la mauvaise image donnée sur l'hypnose)
Après sur le fait qu'elle fut emprisonée dans la glace doit être mentionné dans le soutien Tiki X Mu(F).