JE sais pas.

Monakus Moi j'ai reçu le MP et tout de participation je lui dis que c'était mort pour répondre aujourd'hui parce que je travaillais de 8h à 20h et BIM dans maggle

Haar Je m'incline. Se faire baiser à un tel point est difficile, même pour un enfant dans une église.
OH WAIT.
(noban hein, humour humour )

Haar, c'est ok pour toi, je l'ai juste pas précisé
Vu que t'es l'un des premiers qui m'as répondu oui.

Pour Monak en revanche, faudras peut-être attendre un peu, le temps que ça se mette bien en marche, mais c'est le temps d'une semaine où deux maximum, et c'est good pour après.

Monakus T'inquiète mec le modo du coin est l'un des pire d'entre nous c'est pas ça qui le choquera

Pas de soucis DL, ça me permettra de commencer à me créer mon perso correctement et le bosser un peu. J'aurai peut-être le temps de commencer a poster ma fic aussi, si Arawn me donne une réponse positive pour ça du moins.

DL j'ai fini et sa n'as presque aucun rapport avec le monstre qui m'a inspiré . Sa peux paraître un peu court ( 16-17 lignes ) mais j'ai une part de bestiaire à faire et je pense rajouter 4-5 lignes sur mes observations demain .

Smily read plz https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-176603-10-0-1-0-la-compagnie-de-mugill-acte-ii.htm#message_177533

Déjà fini ? T'as le temps tu sais

Bon je m'y met aussi

Quand je dis fini , c'est fini la base du récit sans détail et de manière plus ou moins rapide juste c'est comme un arbre ( oui , comparaison pourris ) j'ai le tronc mais pas les feuilles et les rares fleurs , du coup c'est un peu fade . Comme je l'ai dis , je vais continuer demain pour trouver d'autres choses et y ajouté plus de contenus , je compte pas le poster maintenant , hein .

Moi si.

Magnus et Bastian, mission I

- Claudette ? Un homme ?
Magnus éclata de rire avant de sortir de la cabane du chef. Bastian lui assura qu'ils allaient mener leur mission à bien avant de le suivre. Ils quittèrent le camp, et se retrouvèrent sous la pluie, dans la ville de Mugil.
- J'aime le soleil, grogna Magnus. On va à la taverne en attendant que le temps se calme ?
- On n'est pas là pour ça, répondit Bastian. On trouve ce Claudette, on le convainc de venir, et on rentre.
- Bastian ?
- Oui ?
- Tu sais comment convaincre quelqu'un de venir se perdre sous terre ?
- Oh, oui. Fais-moi confiance, pour ça.

Ils s'arrêtèrent devant un bâtiment de bois, où ils entrèrent. À l'intérieur flottait l'odeur du feu, et une douce chaleur. Au fond de la salle, un brasier ronflait dans une cheminée. Partout ailleurs, des bijoux, des gemmes, des pierres... Bastian s'approcha d'un comptoir, où une belle jeune femme vint le voir.
- Ooooh, si c'est pas mon Littlefinger adoré !
- Arrête de m'appeler comme ça.
- Oooh... Ce surnom te va si bien... C'est dans un livre, tu sais ?
- Je sais. Mais je n'aime pas ce surnom.
- Ouais, et puis on peut pas qualifier ton « doigt » de « little ».
- Hem... Vous pouvez parler de ça en privé ? Demanda Magnus.
- Bien sûr. Que puis-je faire pour toi, Littlefinger ?
- … M'acheter ça.
Il sortit de sa bourse une pierre précieuse d'un rouge impressionnant. La lumière se reflétait dans toutes ses faces, l'auréolant d'une lueur flamboyante.

- Une pierre de feu ! S'exclama la jeune vendeuse.
- Eh oui. Une vraie.
- Mille cinq cent écus.
- Deux mille.
- Mille cinq cent ! Se défendit la femme.
- Allons, je t'aime bien, donc soit je te la vends à deux mille, soit je la vends à la concurrence à trois mille. A toi de voir. Je ne descendrai pas en-dessous.
- Mille sept cent cinquante ?
- Deux mille.
- … Je reviens.

Elle se dirigea vers l'arrière-boutique, et en ressortit quelques secondes plus tard, avec un petit bâton à la main. Elle le pointa sur la pierre, et prononça une incantation rapide. Un rayon de lumière vint frapper la pierre de feu, emplissant la salle entière de toutes les nuances de rouge.
- C'est... Une vraie...
- Ouais.
- Voilà tes deux mille écus, conclut la marchande en posant une bourse sur la table.
- Je te remercie bien.
Il saisit la bourse, laissa la pierre, et quitta le boutique.
- Voilà un excellent moyen de convaincre ce Claudette.

Ils se remirent en route, dans la ville, sous le ciel gris qui déversait sur Tellius ses torrents.
- On pourrait se faire énormément d'argent, avec ce monde souterrain.
- Ah oui ?
- Ouais. Il suffirait de recruter des chasseurs d'éruptile et des forgerons par dizaines, et d'exporter.
- Hmmm....
- Ensuite, en fonction de la faune te la flore, on pourrait varier nos produits, augmenter les marges, créer un vrai commerce, et bien sûr s'assurer d'avoir et de garder le monopole. Et une fois que tout le monde est dépendant de nos produits, on monte les prix, lentement mais sûrement.
- …
- T'es pas d'accord avec moi.
- Ce monde souterrain pourrait devenir un royaume. Un empire. Gigantesque, avec des tunnels comme seuls accès. Très difficile à prendre, à partir duquel on peut attaquer de partout...
-Dépendant du commerce pour les produits de la surface.
-Et vice versa. Il faudra en parler à Fredrick.

C'est perdus dans leurs pensées qu'ils arrivèrent chez Claudette. Difficile de manquer la maison : Vert, orange, jaune et violet s'accordaient du mieux possible pour offrir le résultat le plus immonde possible. Ils frappèrent à la porte turquoise.

La porte s'ouvrit.
Un turban. Un débardeur. Une sorte de jupe. Et des bottes.
-Oh putain, lâcha Magnus. C'est quoi, ce mec, qui vit dans une maison horrible et qui s'habille n'importe comment ?
La porte se referma.

Bastian fusilla son frère du regard, et frappa de nouveau.
La porte se rouvrit.
Un turban. Un débardeur. Une sorte... D'accord, d'accord.
-Qu'est-ce que vous me voulez ?
-J'aimerais qu'on discute. Vous avez dix minutes ?
-Pas une de plus.
Bastian entra dans un vestibule où seulement deux couleurs se battaient en duel : Le vert vif et le rouge sombre, suivi par son demi-frère. Des sculptures ornaient les quatre coins de la salle, représentant... Euh... Quelque chose, probablement. Claudette les conduisit dans un salon mauve, où les murs s'ornaient de spirales et autres lignes vertes, roses, bleues, rouges, jaunes, oranges, blanches, noires...

Le regard de Bastian fut tout de suite accroché par une statue en or, représentant... Un homme. Avec des oreilles de chat, des mattes de reptile, des ailes d'oiseau, des bras en forme de pattes de chien... Un hybride bipède.
-Asseyez-vous.
Ils prirent place sur des chaises oranges aux pieds en forme de becs de canards verts.
-Donc ?
-La nouvelle compagnie de Mugill aurait besoin de vos talents.
-Ils ne connaissent rien à l'art. Quand j'ai rénové la première, tous m'ont jeté des pierres. Je ne veux plus travailler pour eux.
Magnus s'impatientait visiblement. De plus, le temps était compté.

La bourse s'écrasa sur la table jaune, et répandit son contenu.
-Deux mille écus. Ils sont à vous si vous nous accompagnez.
-Ces mercenaires ne méritent pas mes talents.
-Le chef nous a dit de vous ramener par la force s'il le fallait. Ne nous obligez pas à en arriver là.
-Faites donc. Je ne vous suivrai pas de mon plein gré.
Il n'en fallut pas plus à Magnus.

Il abattit son poing dans le visage du sculpteur.
-Tu viens ?
-Non.
Il frappa.
-Tu viens ?
-Non.
Il frappa.
-Tu viens ?
-Non.

Magnus attrapa Claudette par le col de son débardeur, le releva, le jeta au sol, et abattit son pied dans ses parties génitales. Le pauvre homme se tordit de douleur au sol.
-Tu viens.
-D'accord... D'accord... Je vous suis...
Bastian rassembla l'argent, le glissa dans la main de Claudette, et ils l'escortèrent à la base, avant de faire leur rapport à Fredrick.

Magnus et Bastian, mission I : Finie !

Moi j'ai faites la moitié.

Même si t'es allé assez vite sur ce coup là...Je vais pas te faire le déshonneur de faire une grande critique constructive sur ton texte, tu sais déjà ce que j'en pense

Ca faisait longtemps, ça fait plaisir de te relire
En tout cas, je savais que Claudette nous serait utile, t'as vu comment il est trop swagg ? Bien !

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ANNONCE IMPORTANTE !!

Étant absent demain une bonne partie de la journée, je vous laisserais tranquille pour bosser vos missions.
Une MAJ arrivera demain soir, pour ceux qui aurait déjà postés, ainsi que la nouvelle organisation du forum.

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Tu peux y aller pour la critique : Cette mission est nulle.
Vraiment.

T'es comique en plus

Elle est pas nulle du tout, au contraire ! C'est pas ta meilleure, c'est clair, mais c'est loin d'être de la merde
Compare avec certaines des miennes hein, et c'est tout vu.

Je sais pas.

"Littlefinger"
Toi tu lis Game of Thrones en ce moment, non ?

Bien sûr que non !

Première fois que je fais une critique depuis un moment tiens
Bon, déjà va falloir que je m'habitue à l'univers de Mugill en général, parce que je suis un peu dépaysé sur le coup
Si y'a un résumé qui traîne (déjà pour l'histoire et les lieux, ça sera pas mal), ou si quelqu'un est motivé pour m'en faire un...

Bref, la critique donc.
Je vais attaquer comme j'avais l'habitude de le faire en des temps oubliés :
LES DIALOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOGUES
A ce cri barbare et peu instructif, j'ajouterai donc quelques mots plus distincts : il sont un poil trop nombreux.
Je conçois que la mission repose majoritairement sur du dialogue puisqu'il y avait peu de choses à faire de toute évidence, mais tout de même... Atteindre les 40 lignes n'est pas un challenge si le premier dialogue qui passe en prend déjà 20
La description laisse bien comprendre que Claudette vit dans un univers un peu à part néamoins. Mais c'est son choix hein... Je plains simplement les épileptiques qui vivent près de chez lui

Bref. Un chapitre assez moyen à mon goût... Qui me rappelle pas mal mes débuts à vrai dire.
+1 pour la nostalgie, -1 pour trop de dialogues, +1 pour la description qui reste tout de même efficace. Ça reste positif !

Bonne continuation néanmoins, et pas d'empressement ~