Si vous cherchez une map de la Cité d'Iram de la fic, ne cherchez plus, la voici ! http://www.youtube.com/watch?v=sSSQuR_P8Mo&feature=player_embedded#! (il faut que je voit avec la team si elle peut devenir l'Iram officielle de la fic )
Je suis au regret de vous annoncer que la team a refusée, mais bon ce n'est pas grave (enfin pas pour moi )
De l'action ! De l'action ! De l'action !
Ça commence à finir totalement mort ici
(finir --')
Je suis désolé mais je ne suis vraiment pas d'humeur à écrire la suite en ce moment, raisons personnelles. Donc, à moins que vous ne vouliez un Hype totalement dépressif, je vous conseille de prendre votre mal en patience
Ok t'inquiète pas on peut attendre. J'espère que ça s'arrangera pour toi
Bon je suis désolé, je vous jure que je le fait pas exprès Mais je commençait à aller mieux et j'ai attrapé la gastro ce matin Donc toujours pas de suite, désolé
Pas de chance
Bon retablissement
Il ne faut pas que ce topic tombe dans l'oubli ! Le précieux !
Tout à fait d'accord avec LeTapeurDeZ ->
Depuis le temps, elle a dû passer la gastro quand même
Surpriiiiiise ! Je suis désolé, mais j'ai un projet sur un autre jeu qui me demande beaucoup de temps, mais je fait une pause cette semaine pour écrire la fic, et croyez-moi, je vais rattraper mon retard
Chapitre 15 :
Hype tenta de se faufiler silencieusement entre deux tas de caisses. Mais il se pris le pied dans une planche un peu trop haute, chancela, essaya de se rattraper à des caisses qui tombèrent avec lui. Le boucan qui s'ensuivit aurait suffit à réveiller la ville entière. Les gardes relevèrent la tête et pointèrent leurs armes dans la direction du tas de caisses. Ils virent un bras s'agiter vainement parmis elles.
-Halte ! s'écria un garde. Mains en l'air !
Aussitôt, un second bras rejoignit le premier.
-Bien... Maintenant relevez-vous lentement, et approchez. Ne tentez rien.
Après plusieurs secondes d'efforts, Hype émerga d'entre les caisses, les mains en l'air.
-Mr Melchior... Quelle joie de vous connaître. Mais quel dommage que nous ayons à vous capturer !
-Vous me connaissez ? s'étonna Hype.
-Vous êtes connu de toute la Garde, vous savez ? Mais je vous connaissait avant. Je vous ait même envoyé l'un de mes meilleurs soldats !
-Vous êtes le chef de l'Armée ?
-Lui-même. D'ailleurs, où est Marc ?
Il y eût un silence pendant lequel Hype revît Marc basculer en arrière, lui dire ses derniers mots...
-Mort, murmura-t-il enfin. Dans la cité d'Ubar, dans le RubAl'Khali. Il fallait...
-Assez, coupa le chef. Vous m'excuserez, mais je n'ai pas envie d'entendre un scénario qui à dû être soigneusement préparé à
l'avance. D'ailleurs, la cité d'Ubar n'est qu'une légende, tout le monde le sait. Je veux la vérité.
-Pardon ? demanda Hype, sans comprendre.
-Ainsi, un meurtre ne vous as pas suffit ? Nous allons vous enfermer, et à l'aube, vous serez...
-Taisez-vous ! s'écria Hype.
Ses pensées venaient de se remettre en place.
-Vous croyez vraiment que j'aurais pu tuer Marc ? Tuer un ami ? Vous ne vous rappellez pas des Endermans ? Eux aussi étaient censés être une légende ! Est-ce qu'il faut qu'Herobrine détruise à nouveau le quart de la ville pour vous en rendre compte ? Êtes-vous naïf à ce point ? Vous croyez vraiment tout ce qui est écrit ? Herobrine sait que certaines légendes sont vraies, en particulier celles des créatures les plus dangeureuses qui soient ! Et il va essayer de les rallier à lui pour tous nous tuer, pendant que vous, vous perdez votre temps à arrêter de simples bandits ! Mobilisez votre Armée ! Préparez-vous ! Son armée arriveras, que l'on soit prêts ou non.
Il y eût un nouveau silence. Le Chef sembla réfléchir, puis il s'adressa à ses hommes :
-Baissez vos armes.
Il se tourna vers Hype.
-Vous m'avez convaincu, "simple bandit". Je vais voir ce que je peux faire. Votre éxécution est maintenue. Vous mourrez lorsque tout cela est terminé. En attendant, vous êtes banni de la ville. Vous avez tout intérêt que ce que vous dîte soit vrai. Maintenant, partez.
Hype pivota sur ses talons. Il était banni de la ville. La ville prospère, la ville où il espérait finir ses jours. Il allait y mourrir, certes, mais pas vraiment de la façon, ni de l'âge, qu'il souhaitait. Il avança lentement, ne sachant pas où aller.
-Attendez ! s'écria le Chef. J'allais oublier, nous avons trouvé ceci, devant votre appartement, après avoir éteint l'incendie. C'était un système très ingénieux d'ailleurs, j'ai faillit y laisser ma main.
Il posa dans la main de Hype un morceau de papier. Il était vieux et très chiffonné. Il semblait venir d'un de ces vieux folios que l'on trouve seulement dans les réserves interdites des bibliothèques. Hype décripta avec peine ce qu'il y était écrit : "Masyaf". Il se demanda ce que pouvait bien être ce "Masyaf". Il demanda au Chef de l'Armée.
-Masyaf est une ville ancienne, vieille d'à peu près trente mille ans. Elle s'est fait assiéger par des forces démoniaques, à ce qu'on dit. Pourquoi ? Vous voulez y aller ? C'est loin vous savez ? Sa va vous coûter cher ! ajouta-t-il en riant.
-J'irais, confirma Hype. Peu importe le prix, dans tous les sens du terme.
-Et bien dépêchez-vous, le chariot de livraison à destination de Masyaf part dans quelques minutes.
Hype hocha la tête, se retourna et courut à perdre haleine en direction des Halles, d'où allaient et venaient tous les chariots de marchandises. Sur place, Hype s'accorda une minute de repos et rechercha le chariot de Masyaf. Il n'était pas très dur à trouver, étant donné que le cocher portait un manteau à fourrure malgré la chaleur qui régnait sur la ville, même en pleine nuit. Hype lui graissa un peu la patte, lui expliqua la situation dans les grosses lignes, et sauta à côté du cocher. Celui-ci attrapa les rênes et le chariot partit à toute allure en direction de Masyaf.
re Je n'ai pas recommencé à écrire pour rien, hein ?
2 chapitres en une semaine ! Faut vraiment que je vous aimes, mes p'tits lecteurs
Chapitre 16 :
Après quelques jours de voyage, Hype comprit pourquoi le cocher portait un manteau de fourrure : Au fur et à mesure qu'ils approchaient de Masyaf, le froid s'installait. Pas un simple froid comme l'hiver apportait à la fin de chaque année, mais un froid polaire, qui vous donnait l'impression qu'une main de glace se resserrait sur vous et ne vous lâchera jamais. Hype était saisit de tremblements violents et incontrôlables, malgré le manteau que lui avait prêté le cocher.
Au détour d'une montagne, ils l'aperçurent enfin : la Ville Nouvelle de Masyaf. Elle n'était pas très grande, certes, mais elle n'en restait pas moins accueillante. Lorsqu'ils mirent pied à terre, Hype donna un petit pourboire au cocher pour le remercier. Bientôt, lui-même n'accordera aucune valeur à ces pièces d'or. Mais, alors que le cocher partait au marché de la ville, Hype se retrouva seul. Il ne savait pas où aller. Puis il se souvint de ce que lui avait dit le Chef de l'Armée. Il lui avait parlé d'une Cité assiégée par les Démons. Où qu'il regardait, cependant, Hype ne trouvait pas que cette ville avait l'air d'être assiégée par la moindre mouche du Mal. Il en conclut qu'il devait se rendre dans l'ancienne ville. Il demanda son chemin aux habitants. L'un d'eux lui donna une carte de la région et lui indiqua l'emplacement de l'Ancienne Cité. Mais il l'averti qu'il serait très chanceux de la trouver étant donné qu'elle était ensevelie depuis plusieurs siècles sous des tonnes de roches et de neige. Hype le remercia et partit en direction du sud, à l'endroit indiqué.
Après plusieurs heures de marche, Hype dût bien reconnaître que le villageois avait raison. Il n'avait trouvé aucune trace de l'Ancienne Cité, mais il était pourtant sûr d'être au bon endroit. Il remarqua alors, entre deux ravins de glace, un amas de roches qui se faufilait difficilement entre les falaises. Il posa un pied sur un rocher. Il semblait stable, mais craquait affreusement. Hype resserra son étreinte sur la crosse de son pistolet et du fourreau de son épée, qu'il gardait maintenant précieusement dans la main. Il avança lentement, mais les craquement se faisaient de plus en plus sonores. Soudain, une énorme fissure se fît sous son pied et un grondement retentit derrière lui. Comprenant ce qu'il se passait, Hype abandonna toute prudence et couru à toute jambes, tandis que le sol s'effondrait derrière lui. Mais il n'alla pas assez vite, et, après avoir vainement tenté de se raccrocher à des morceaux de glace qui sortait de la falaise, il tomba avec les pierres.
Il atterrit lourdement, rebondit une ou deux fois, manqua de se prendre des pierres qui continuaient de tomber, et retomba finalement sur le dos. Il respira profondément. Une douleur à la joue lui indiquait qu'il avait une profonde entaille, ainsi que sa vieille blessure à l'épaule, qu'il s'était fait lors du naufrage du Testanik, s'était rouverte.
-Il faudra... Que j'aille me plaindre à ce foutu docteur ! maugréa-t-il sans réfléchir, tout en se relevant.
Des étoiles dansaient devant ses yeux, et il chancela. Il parvint à se rattraper un un poteau en bois, un peu moisi. Il cligna plusieurs fois des yeux, et découvrit qu'il se trouvait sur le toit d'une maison, et que ce qu'il voyait plus en bas était l'Ancienne Cité de Masyaf. Un câble était accroché sur le poteau en bois, courant jusqu'en bas, sur le château miraculeusement intact. Hype, ne voyant aucun autre moyen de descendre, pris la crosse de son pistolet, le passa au-dessus de la corde, attrapa le canon de l'autre main et s'y cramponna de toute ses forces avant de s'élancer. Le métal du canon, frotté contre la corde, fît quelques étincelles. Hype, voyant arriver dangeureusement le mur d'en face, lâcha le canon et atterit dans une roulade devant l'entrée du château. Il se releva, s'épouseta un peu, et ouvrit la porte du château. Cette dernière ne se détacha pas de ses gonds, comme le remarqua Hype avec un sourire. Il remarqua que les torches aux murs étaient allumées. Il ne faisait aucun doute que Herobrine et ses partisants avait pris ce lieu comme quartier général. Hype continua d'avancer en se faisant le plus discret possible ; il ne voulait pas que ses ennemis soient avertis de sa présence. Au détour d'un couloir, il faillit percuter un partisan qui lui tournait le dos. Une idée lui vint à l'esprit. Il rangea son pistolet, dégaina son épée le plus silencieusement possible et, vif et précis, passa la lame sous la gorge de l'homme. Ce dernier poussa un petit cri de peur. Hype le plaqua contre un mur, la lame de l'épée s'enfonça de quelques milimètres dans la gorge du partisan. Hype lui murmura à l'oreille :
-Tente quoi que ce soit, ne serait-ce qu'un bruit, et je te jure que je n'hésiterais pas. Maintenant, dit-moi, où est Herobrine ?
-J'n'en sais rien, moi ! ricana le partisan. Pourquoi j'le saurais ?
-Je suis sûr que tu le sait ! répliqua Hype d'un ton vif en secouant un peu l'homme.
Il laissa alors tomber le fourreau qu'il tenait dans sa main gauche et repris son pistolet, qu'il colla à la tempe de l'homme.
-Alors ? Je crois que je vais m'impatienter. J'espère que Herobrine aime bien la couleur "cervelle" sur les murs...
-Euh... Ok, Ok ! s'écria l'homme, la voie dans les aigües. Il... Il est en haut de la tour nord ! Mais personne n'a le droit de le déranger ! Je le jure !
Hype le jeta par terre, et pointa son épée entre les yeux de l'homme.
-Alors ? Qu'es-ce que t'attends ? Vas-y ! T'en as pas la force... ricana-t-il.
-Ah vraiment ? demanda Hype d'un ton sceptique. Je n'en serais pas si sûr à ta place.
La lame de l'épée toucha la tête du partisan.
-Alors ? T'attends quoi ? Qu'est-ce qui te dit que je vais pas avertir les autres après ?
Hype s'accroupi, et dit, d'un ton beaucoup plus menaçant que prévu :
-Si tu fait ça, lorsque tout sera finit, je te traquerais, je te trouverais, et je te tuerais.
L'homme pâlit. Les menaces de Hype avaient dû faire effet.
-Ok, ok ! Je dirais rien ! Je le jure ! Je me retirerais même si je pouvais, mais avec lui, c'est le servir ou mourrir... Je dirais rien, juré !
Hype se releva et jeta un regard de dégoût à l'homme, couché devant lui, qui le regardait avec peur.
-Vous me faîtes vraiment pitié, tous. dit-il lentement en détachant chaques syllabes.
Il se retourna et, sans un regard en arrière, se dirigea vers la tour nord.
Re Où sont mes anciens lecteurs ?
super fic vivement la suite j'avais lu ton autre fic qui était très bien aussi.
une seule chose à dire: sweet !
Ah, enfin un lecteur !
Merci beaucoup de ton soutien (et de ta fidélité )
ps : Par suite, tu voulait dire "suite" ou "super" ? (sweet = super en anglais je crois )