PART III
Agent Stanislas Keynes
Voila maintenant près de 20 heures que je suis arrivé et je n’avais pas rempli la moitié des objectifs. Le temps pressait. La compagnie avait du se couvrir en envoyant plusieurs agent de l’ombre, mais elle m’a clairement fait comprendre qu’elle comptait sur moi.
Je repartis dans ma navette pour quitter les lieux. Je n’étais pas suivi. En bas, la ville était plongée dans le noir. Je savais que le mal se propageait chaque minute qui passait, et je devais me presser si je ne voulais pas qu’il ne s’empare de moi à mon tour. Mes rigs grésillèrent, c’était la compagnie qui m’envoyait de nouveaux ordres.
« Agent K, la situation a évolué. Propagation plus rapide que prévu. N’acceptez plus de mission secondaire. Missions principales : sabotage de toute possibilité de fuite. Echec partiel toléré. Sauvegarde du système financier de la base : Echec inenvisageable. Extraction prévue dans dix heures, au point de largage initial. Bonne chance agent K. »
Je n’étais pas vraiment surpris des ordres, ils étaient très classiques dans ce type de situation. Mais celle ci était pire que décrite, la compagnie fut mal renseignée. Les nécromorphes se baladaient carrément dans les rues, il était impossible de juguler l’infection. Les bâtiments administratifs étaient saufs car les mieux gardés, mais la zone de crash était infestée. Heureusement que je doive m’en éloigner. Je profitai du voyage pour réparer calmement mon arme avec les outils nécessaires dans ma mallette. J’y pris aussi quelques chargeurs neufs.
Je m’arrêtai au hangar des navettes de secours, toutes prêtes à partir. L’endroit était désert, seule la navette du gardien était sur le parking. Je pris quelques minutes pour me changer. J’avais manqué de me faire tuer la fois dernière, il ne s’agissait plus de prendre des risques inutiles. Je vais passer par les canalisations.
Habillé en noir de haut en bas, je fis le tour des bâtiments pour trouver une voie d’entrée. Je tombai alors sur une navette de la sécurité d’Astridius. Anormal.
Tout en regardant l’engin encore chaud garé non loin, j’enlevai les vis de la bouche d’entrée. J’avais choisi une banale voie d’aération. Elle était assez large pour m’éviter un mal de dos atroce.
Je parcourrai le conduit jusqu'au poste de commandement du hangar pendant un bon quart d’heure, une discussion s’y tenait avec la sécurité qui venait d’arriver. Je me trouvais juste au dessus d’eux et pouvais les écouter.
« …des raisons de penser que le site risque un lourd sabotage, je venais voir si tout allait bien.
-Tout est ok ici, monsieur l’agent, je dirais même que chaque navette est opérationnelle à cent pour cent ! Regardez vous-même ! »
Ce naïf de gardien fit le code d’activation des fusées sous mes yeux. AS-98630. Toutes les fusées de décollage s’enclenchèrent dans un bruit impressionnant. Ceci convaincu à moitié son interlocuteur.
-Si jamais vous voyez ou entendez quelque chose de suspect, appelez moi directement, je ne serai pas loin. Je vais faire une ronde dans le coin. Je serai la pour le reste de la nuit.
-Pas de problème, mais vous perdez votre temps.
C’est alors que mes rigs clignotèrent en rouge en émettant une petite alarme. Ils indiquaient la cible secondaire à quelques mètres. Il s’agissait de l’agent de sécurité. D’un geste rapide mais en retard, je les éteignis. La cible s’apprêtait à quitter la pièce mais avait entendu quelque chose. Elle avança dans ma direction mais n’eu pas l’idée de regarder en l’air.
-Vous avez entendu ?
-Entendu quoi monsieur l’agent ?
Il resta silencieux un moment et regarda les coins ombragés de la pièce avec sa lampe torche, mais n’y trouva pas âme qui vive.
-Non, rien…j’ai des raisons d’être nerveux ce soir.
L’agent quitta la pièce, laissant la porte automatique se refermer derrière lui. Le gardien le regarda partir et ralluma son écran holographique diffusant un documentaire animalier. Il sortit ensuite un paquet de chips pour rester scotcher devant des tigres qui s’accouplaient dans la savane européenne.
Pendant ce temps, j’avais déjà ouvert la trappe d’aération du plafond et descendais en silence à l’aide d’un câble solidement fixé. Il n’entendait rien à cause de ses bruits de mastication incessants. Mes mains gantées entourèrent son visage pour s’en saisir violemment et lui briser la nuque. Son corps chuta lourdement.
Je tirai ensuite sur le câble pour me faire descendre, dès que mes pieds touchèrent le sol, j’entrai le code d’accès du gardien pour ouvrir la console de commande et m’emparai du micro.
-Navette 001 et 002 dans le hangar 01 pour opération de maintenance. Lancement immédiat du reste des navettes vers la station Sprawl.
« Balise de destination désactivée. Voulez vous tout de même lancer la procédure ? »
-Affirmatif.
Je vis les navettes partir dans le même timing, vides, et vers une destination désolée. Beaucoup pourraient croire que j’avais condamné des centaines de milliers de personnes, mais la réalité est tout autre. Ces personnes étaient mortes avant le lancement des navettes de toute façon. Leur chance de survie sans entrainement, sans aide et avec l’effet de surprise qu’engendre un tel fléau est presque nulle.
Il y aura des survivants, des chanceux qui se trouveront au bon endroit au bon moment qui raconteront tout ça. Mais ils seront trop peu nombreux pour qu’on les croie. L’histoire s’était terminée avant même d’avoir commencé. J’avais gardé deux navettes de secours en cas de mauvaise nouvelle venant de la compagnie. Je savais qu’ils n’hésiteraient pas à me sacrifier si nécessaire, malgré mon utilité. Avec le temps, on apprend à couvrir ses arrières.
Le bruit des navettes s’évadant dans l’espace avait fait revenir la cible secondaire en courant, m’attendant à ce qu’il rentre en trombe dans la pièce, je me cachai sur le bas coté de la porte. Ce petit malin avait cette fois décidé de ne pas prendre de gants dans la manière de procéder et était équipé d’un fusil d’assaut à triple canon rotatif avec balles perforantes. Le nom faisait peur mais l’arme restait néanmoins un classique des forces spéciales. Elle provenait surement de sa navette. Il n’entra même pas et tira tout son chargeur à travers la porte. Le bruit était insupportable et les balles traçantes, à mesure qu’elles faisaient un trou béant dans la porte, laissaient rentrer la lumière du couloir dans le poste de contrôle. L’une des balles sectionna mon câble et je le vis lamentablement tomber au sol.
Lorsque le soldat commença à recharger, je sortis de ma cachette et lui tira une balle dans la tête. La balle fusa et s’encastra entre les deux yeux…de son casque intégral de combat. L’homme tomba à terre sous la force du choc et dégaina son arme de secours pour riposter. Je me recachai au même endroit pour éviter les balles. Je l’entendis enlever son casque endommagé. Je pris la parole.
-Monsieur Shepard !...Ce que le monde est petit.
-Cesse de faire de l’esprit et montre-toi. Je vais te montrer comment on accueille les assassins en Astridius.
Dans un bout de glace brisé par ses tirs qui se trouvait non loin de la console, je le vis viser dans ma direction. Je n’eu que le temps de pencher la tête pour laisser passer la balle traçante qui perfora le mur à ma hauteur.
-Tu peux rester ici autant que tu veux, il n’y a qu’une seule sortie et c’est moi qui la garde !! Tu es ici pour quoi au juste ? C’est pour tous ces trucs bizarres qui trainent dans les rues ? On les contient. La partie est finie.
Il avait raison, j’étais piégé. Cependant, il avait faux sur toute la ligne concernant l’infection. Sur mon bras gauche, je reçu les codes pour ma deuxième mission principale. Ils apparaissaient en hologramme rouge. Je sortis donc de ma cachette, les bras en l’air.
-Tu crois que c’est parce que tu te rends que je ne vais pas tirer ?
-Allons, un gentleman tel que vous n’oserait jamais un tel affront envers ses convictions. Cela irait à l’encontre du règlement. Toutefois j’ai encore un atout en main.
Mon bras émettait toujours les codes, formant une spirale autour de mon poignet gauche. La cible gardait toujours la même expression de visage, impassible.
-Qu’est ce que c’est ?
-Ce sont les codes de transfert de la bourse d’Astridius, du son système fiscal, financier, ainsi que toutes les caisses de retraite de la station. Je peux sauver tout ça.
-Ha oui ? Et en quel honneur ?
-Cela peut vous paraitre étrange, mais mes employeurs œuvrent pour le bien de l’humanité, même s’ils ne reculent pas devant le sacrifice de quelques vies. La station est perdue. L’infection se propage à une vitesse folle, et elle sera bientôt partout. Vos collègues sont en première ligne, ils seront bientôt tous morts. Si vous êtes en vie en ce moment, c’est surement parce que vous avez passé ces dernières heures à me traquer.
-Et qu’est ce que tu veux alors ? Que je te laisse partir ?!
-Non, que vous m’aidiez.
-T’es un marrant toi. Je ferais mieux de te tuer et d’aller sauver le maximum de gens.
-Soit. Dans ce cas je meurs, vous partez au combat et vous mourrez, toute la station mourra, et sur Terre la perte de ces quelques 258 milliards de crédit entrainera la pire crise de toute l’histoire de l’humanité. Des gens mourront de faim pendant des siècles. Il est possible que cela entraine la fin de la Fédération.
L’homme réfléchissait encore, mais je ne me faisais pas de soucis concernant sa future décision.
voila
First
The Sprawl est censée être détruite à l'heure qu'il est, petite erreur...
J'ai eu peur au passage où ton perso tire une balle dans la tête de celui de Sala
Sur ce, c'est au tour de Spycho de poster
Et je pense qu'à l'heure qu'il est, le perso de Seb aura eu tout le temps de guérir
"balise de destination désactivée", ça veut dire qu'en gros les capsules pourront pas atterrir puisque la station n'existe plus, je pense que c'est ce qu'il voulait faire en mettant The Sprawl.
+ C'est dommage pour toutes ces erreurs de temps Den, parce que sinon c'est toujours aussi bon
Ah ok
Merci Mais la je croyais avoir fais gaffe avec les temps
Bon chapitre mais j'aimerais bien savoir qui sont les chefs de l'agent K!
+ Me suis attelé à l'écritue de mon chapitre!
Eh bien, si l'agent K est au service de la SCT, je te ramène directement à la description de cette société
ca m'intéresse, ou est elle ?
Elle se situe à la page 39, tout en bas
Je te met direct le lien
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22463-151614-39-0-1-0-fddsap.htm#message_164141
Peut etre mes employeurs...
Vouala
Ah oui et Den, si tu pouvais suivre le système de chapitres au lieu de mettre "PART III/IV/etc...", ça serait un peu plus pratique, faut que je retourne les pages pour trouver le chapitre d'encore avant pour savoir quel nombre mettre
Chapitre 19: De pire en pire.
Je fus réveillé par des hurlements de terreur. Je relevai doucement la tête, le regard troublé, avant de poser mes mains sur le sol pour me redresser. Alors que je me soulevais doucement, une douleur atroce me vrilla le crâne. Je tentai de l'oublier pour au moins essayer de m'asseoir, préférant éviter de faire la carpette davantage. Une fois un peu plus confortablement installé, je m'adossai au mur le plus proche, tandis que la douleur refluai doucement.
Je touchai machinalement le haut de mon crâne avant de descendre vers mon visage, et sentis sous mes doigts un petit filet de sang séché. Apparemment, ça devait déjà faire un petit moment que j'étais là. Je vis, un peu plus à gauche, un tas de débris sous lequel dépassait une lame, à peine visible dans la pénombre de la ruelle. Le peu que j'avais vu de l'atrocité qui gisait en dessous me revint en mémoire, et je décidai de me relever pour m'en éloigner.
Je vacillai un instant en me remettant sur mes jambes, et entrepris de progresser en posant la main sur le mur pour me soutenir. Des cris continuaient à retentir dans les environs, sans que je parvienne à en déterminer la source. La cause, elle, était plutôt évidente. Alors que j'approchai enfin de la sortie de l'allée, dans une zone plus lumineuse, en homme passa en courant devant l'extrémité de la ruelle. Une horrible forme à quatre pattes traversa en trombe à son tour, et j'entendis le hurlement de douleur de sa victime.
Finalement, j'étais très bien ici aussi.
Ce fut ma pensée pendant quelques secondes, jusqu'à ce que j'entende un grognement dans mon dos. Je me retournai, pistolet en main, et vis deux yeux jaunes qui luisaient au milieu d'une forme sombre. Je tendis le bras et vidai ce qui restait de mon chargeur en direction de l'abomination. Elle encaissa les tirs en plein visage et s'écroula en arrière en hurlant. Le cadavre s'agita un instant, puis s'immobilisa totalement.
Gardant toujours un oeil fixé sur le corps, je commençai à réfléchir un peu plus vite. Mes tirs et le cri allaient surement attirer d'autre bestioles du même genre. Il ne fallait pas que je reste là. Je m'apprêtai à faire demi-tour quand la créature rouvrit les yeux, et commença à se relever. Si l'obscurité m'empêchait de la détailler, ça ne m'empêchait pas de remarquer qu'elle s'appuyait sur deux sortes de lames pour se redresser.
Les deux lueurs restèrent fixées sur moi.
« Mais putain, t'es quoi toi... »
Je retirai vivement le chargeur vide pour le remplacer par un autre, mon dernier. Je tirai à plusieurs reprises, mais cette fois ci la monstruosité ne fit que reculer sous la force de l'impact. Son crâne était désormais à moitié arraché, et il ne restait plus qu'un oeil jaunâtre dirigé dans ma direction, mais elle continua à grogner en levant ses lames. Je reculai doucement, mon pistolet toujours levé, craignant de rester, mais également de sortir dans la rue.
Finalement, alors que la créature amorçait un bond, je fis demi-tour avant de partir en courant. Je sentis la lame remuer l'air dans le dos de ma combinaison, mais ne pris pas le temps de vérifier qu'elle ne m'avait pas touché. A une dizaine de mètres à droite, une horreur sans nom dont les os perçait la peau était en train de déchiqueter le cadavre d'un homme. Je ne m'accordai qu'un rapide coup d'œil en retrait alors que je m'engouffrai dans une nouvelle allée.
Détail que je n'avais pas vu pendant que je poursuivais la chose, les propulseurs de l'Ishimura dépassaient des bâtiments. Je m'étais beaucoup trop approché de ce lieu. Néanmoins, puisque je connaissais la ville par cœur à force de patrouiller, je savais parfaitement comment retrouver l'endroit où j'avais laissé ma navette lors de l'intervention à l'église.
Je fit un détour pour regarder ce qu'il s'y passait, mais ne vit rien de plus que des tâches de sang sur le sol de la place et quelques barrières pour en interdire l'accès. Aucun agent, mais ces derniers étaient surement occupés ailleurs. Ces créatures avaient l'air de se répandre dans la station de manière irréversible.
Je fis demi-tour afin de retrouver ma navette, toujours là où je l'avais laissé. Des lettres unitologues avaient été gravées sur le côté, mais les frappes de petits malins étaient les derniers de mes soucis. Je décollai en me demandant où était passé le romancier. Il avait surement été emmené pour un petit interrogatoire avant de rentrer chez lui. J'ignorais totalement combien de temps j'étais resté inconscient. Je fis partir la navette de manière à survoler la zone de crash.
En arrivant à destination, je restai sans voix.
A proximité de la carcasse, une matière rouge et visqueuse en apparence avait commencé à s'étaler sur les bâtiments. Quelques créatures, à peine visibles à cette hauteur, arpentaient les rues dévastées. Je perdis de l'altitude de manière à en voir un peu plus, à seulement quelques mètres du sommet des immeubles encore debout. Un bruit sourd annonciateur de quelque choc causé par un projectile me parvint.
Je remontai, préférant éviter la confrontation. Une horrible tête humaine apparut alors sur le bas de la vitre, comme une sangsue spatiale qui se serait hissé jusque là. Puis un bras rejoignit le crâne, un membre difforme et griffu. La créature avait perdu sa mâchoire inférieure et gagné deux canines proéminentes, derrière lesquelles pendaient des lambeaux de chair.
« Merde, descend de là toi! »
J'enclenchai les propulseurs au maximum, espérant lui faire lâcher prise. Tant pis si j'offrais un spectacle de vol aux civils en dessous. La main resta cramponnée mais glissa lentement, traçant de profondes rayures dans la vitre. Finalement, deux griffes restèrent plantée dans le vitrage, tandis que leur propriétaire tombait dans les rues en dessous. Préférant éviter d'imaginer comment réagiraient ceux devant qui le paquet de chair s'écraserait dans la rue, je bifurquai vers le poste, afin d'obtenir quelques éclaircissements.
Je me posai sur l'aire affreusement vide au vu du nombre d'agents envoyés un peu partout, et descendis en trombe de mon vaisseau. Je marchai rapidement vers l'entrée, ouvris la porte et m'engageai dans le couloir. Quasiment tous les bureaux étaient vides, et je pouvais sans peine imaginer que l'armurerie et les vestiaires étaient dans la même situation. J'interceptai un homme qui passait par là afin de lui demander où était le directeur.
« Je ne sais pas, peut-être à la morgue, on a encore eu une dizaine de cadavres d'agents il y a une heure. »
« Ok, merci. »
Je descendis à l'aide de l'ascenseur, et les portes s'ouvrirent. J'étais tellement absorbé par la recherche du directeur que je ne vis au début pas ce qui aurait normalement du me sauter aux yeux. Ce ne fut que lorsque je vis que le bureau à côté était vide que je m'immobilisai devant l'évidence même. Aux dires de l'agent, une dizaine de cadavre avait été amenée ici, ajoutée à la cinquantaine ou plus qu'il devait y avoir.
Sauf qu'il n'y avait rien.
Des tables, des housses et des couchettes vides et couvertes de sang, mais pas la moindre trace de corps. Rien de ce qui aurait du être ici ne s'y trouvait. En revanche, il y avait quelque chose qui n'aurait pas du y être. Une plaque d'aération avait été délogée et gisait par-terre. Je vis alors quelques traces de sang qui en coulaient, à peine visibles. Même les légistes avaient disparus, ce qui n'était pas pour me rassurer.
Je retournai en toute hâte dans l'ascenseur, et manquait de heurter le directeur en sortant.
« Eh bien, qu'est-ce qu'il se pass- »
« Les cadavres... A la morgue, où ils sont? »
« Eh bien, ils y sont toujours, la morgue était presque complète, vous avez oub-? »
« La morgue est VIDE! Y a plus rien en bas, plus rien! »
Je jetai des regards frénétiques tout autour de moi, cherchant une réponse ou une explication. Oubliant totalement qu'une seconde auparavant j'étais en train de parler et de couper la parole au directeur de l'agence, je stoppai une nouvelle fois celui à qui j'avais demandé où était ce dernier. Je dus m'y prendre à plusieurs reprises pour formuler ce que je voulais dire, totalement submergé par le stress.
« Appelez l'hôpital. Appelez tous les hôpitaux! Et dites leur de vérifier leur morgue! »
Je pense qu'on peut lancer la contamination
Mais j'ai envie de faire quelque chose avec les hommes de la SCT avant qu'elle ne soit directement propagée.
Si on pouvait seulement découper la station en deux (partie clean, partie pas-clean/infectée )
Sinon, c'est joyeux le chapitre
J'ai bien aimé
Merfi
+ J'pense pas qu'on puisse faire une partie clean, à moins que ce soit une partie tellement bien protégée qu'aucun nécro ne pourra passer
Et même là, vu qu'ils ne connaissent pas l'infection, ils n'auraient aucun moyen de s'assurer qu'une personne qui entre ne risque pas de se transformer quelques heures ou jours après.
J'ai pas dit que la partie clean devait resister longtemps
Je nous sauves de l'invasion des Huns
Sinon, je demande votre accord pour accelerer un peu le temps
C'est à moi, si je ne me trompe pas ??