Voilà, j'ai réussi, mais j'ai peur qu'il y ait des incohérences vu que je commence à en faire avec ma fic, mais là-bas c'était purement volontaire. )

J'espère qu'il vous plaira
Il est en deux parties, n'ayant pas la place de le mettre sur un post

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Chapitre 21 : Révélations

Daniel

Ma douleur était incroyablement douloureuse, encore j’avais eu de la chance que mon épaule ne soit encore déchiquetée. J’avais ressenti une douleur monstrueuse lors de ce combat, et pourtant, j’arrivai à frapper, et à m’empêcher de crier. La volonté de survivre nous fait parfois faire de choses que nous ne pouvons pas imaginer faire. Je tremblais beaucoup et je me sentais froid. Je me vidais de mon sang.

Un groupe d’agents de sécurité arriva peu de temps après. Je fus étonné de les voir armés de fusil-mitrailleur à trois canons. Il se passait quelque chose d’étrange, c’était gros comme une maison. Certaines personnes avaient allumés leur holocam pour contacter leurs proches, hors de la station.

- C’est normal qu’il n’y ait pas de signal ? » Cria un d’entre eux
- Ca ne sent pas bon, ça. Tout d’abord le truc qui déboule de n’importe où, et maintenant… »

L’un des agents de sécurité s’approcha de moi, tenant un kit de soins moyen dans ses mains. Il avait l’air assez jeune et son visage affichait de la peur. Je pouvais lire James sur son étiquette, celle cousue sur sa combinaison. Il s’empara alors du kit, prit une seringue et planta l’aiguille dans l’un des tubes pour relever le gel médical qu’il m’administra sans plus tarder. Il me banda la plaie et m’administra un second médicament. Un de ces nouveaux produits de la SCT, qu’ils appellent Stimulants.

Après qu’il m’ait injecté tout le contenu de la seringue, je sentis la douleur partir un peu même si elle était encore présente, grâce à ce petit médicament. J’avais également cessé de trembler et je me retrouvais dans la capacité de marcher, même si j’avais besoin que quelqu’un me soutienne. On me conseilla alors d’éviter de faire des efforts sinon, la douleur risquerait de s’intensifier. Pendant ce temps,

- Comment ça se fait qu’on ne puisse pas appeler nos proches ! » Cria une jeune femme à un des gardes
- Attendez, on dirait que même les chaînes de télévisions internationales sont indisponibles. On dirait qu’on nous a coupés du reste du monde ! »
- Du calme, messieurs, dames ! Du calme ! »

Les cris des gens me donnaient mal à la tête. Je vis également certains policiers de la station mettre les cadavres dans des bâches. C’est alors que les panneaux de la station qui se trouvaient à l’Est de la station s’allumèrent provoquant un silence de mort dans l’enceinte. Nous pûmes regarder les panneaux par les grandes vitres qui donnaient une vue sur toute la station.

Le maire y apparut et dit :

« Chers concitoyens, comme certains auront pu le… constater, nous subissons actuellement une sorte d’infestation inconnue. Nous vous recommandons de rester calme, surtout, et de rester groupés ! Si vous êtes seuls, ne restez pas où vous êtes. Tous les citoyens sans exception sont priés de se regrouper dans le centre-ville, plus précisément au centre commercial. Nous y avons aménagé un hôpital car en ce moment, nos cliniques, hôpitaux semblent envahis par les infectés, on ne sait comment. Les citoyens capables de tenir une arme se verront proposé à aider la sécurité. Nous ne pourrons accueillir personne demain soir ! »

Il semblait paniqué et s’essuyait constamment le front avec un chiffon des gouttes de sueur qui coulaient le long de son visage.

Dès que le message du maire fut terminé, la panique commença alors à nous envahir, et les questions fusèrent sur les gardes de sécurité. La créature qui gisait au sol devait sans doute faire partie des « infectés ».

Les gardes firent, suite à ce message, une évacuation immédiate de l’immeuble. Ils permirent toutefois aux habitants d’amener certaines de leurs affaires personnelles. Elsa en profita alors pour se rhabiller et essaya de faire partir au maximum le sang séché sur sa peau. Moi, je téléchargeai les photographies de ma femme, de mon passé dans mes RIGs, et commençai à faire mes valises. Une fois que nous eûmes terminé de plier bagages, nous sortîmes du grand bâtiment.

Etrangement, il n’y avait aucune navette qui nous attendait. Je demandai alors la raison et James me répondit que toutes les navettes étaient déjà parties pour aider les civils dans les zones infectées. Nous dûmes marcher à pied, Elsa se mit à mes côtés et me soutenait, n’ayant pas la force de marcher seul à une telle distance, et nous fûmes accompagnés de Max et de Madame McDonald qui tenait son chat dans ses bras. Mon épaule n’était presque plus douloureuse grâce aux kits de soins, au moins, ça faisait un handicap en moins, enfin... pour le moment. C’est alors qu’une navette nous survola et effectua une cascade étrange. Un cadavre tomba alors au milieu de la foule qui s’écarta. Je vis alors le corps bouger. C’était encore un de ses mutants infectés. Le monstre n’avait que deux pattes avant dont les doigts se terminaient par des griffes assez tranchantes et sa mâchoire avait explosée, laissant place à des sortes de mandibules. Il semblait avoir été coupé en deux et ses intestins avaient fusionnés pour donner une queue qui se terminait par un dard. La créature bondit alors sur une femme et lui arracha la tête en enfonçant ses mandibules dans les yeux de sa victime.

La tête fut projetée sur Madame McDonald qui lâcha son minet. Celui-ci s’approcha du mutant et le regarda. Le monstre fixa l’animal à son tour mais resta étrangement neutre face à la bête poilue. La vieille dame était paniquée, et celle-ci essaya alors de s’approcher de son chat pour le reprendre, mais cette action ne semblait pas plaire à la créature qui se jeta sur elle. Max se précipita sur le monstre et le plaqua au sol. La queue de la créature vola au-dessus de sa tête et manqua de lui trancher la main. James dégaina son arme, équipée de l’accessoire de cutter plasma et tira sur le torse du monstre. La créature s’arrêta et bondit sur le jeune homme avant de le mordre violemment au bras. Je me dégageais alors de l’étreinte d’Elsa, faisant un effort surhumain pour aller m’emparer de l’arme de James sans tomber. J’atteignis enfin le cutter plasma avant de m’écrouler au sol, et tirai sur la queue du monstre qui se mit à crier de douleur, la sectionnant. Celui-ci se retourna vers moi mais je réussis à lui sectionnai sa patte droite. Le monstre se traina alors tandis que le sang coulait lentement de son moignon d’où s’agitaient de nombreux petits tentacules.

Je lui tirai ensuite plusieurs coups dans le dos, mais ceci semblait ne lui faire aucun dégât, à part la ralentir. La créature continuait de se traîner sur le ventre à l’aide de sa patte restant que je sectionnai alors d’un dernier coup de cutter. James se releva et frappa le monstre d’un coup de pied en se tenant son bras ensanglanté. Il s’administra le dernier kit de soin qui lui restait, et il reprit l’arme de son autre main. Je comprenais alors comment les tuer. Les membres… Je me rappelai de l’infecté dans l’immeuble, je lui avais enfoncé sa lame dans la tête et ce n’est qu’en lui brisant une jambe que j’avais réussi à l’abattre. Elsa s’approcha de moi et me releva.

- Tu sais que tu as eu de la chance d’avoir réussi à rester debout un certain moment ? »
- Je sais. Mais il fallait que je l’aide. Je ne laisserai pas quelqu’un d’autre mourir ce soir. »

Je m’adressai alors à un des gardes qui nous accompagnaient :

- Il faut tirer dans les membres, bras, jambes, tout ! Ça devrait nous permettre une belle économie de munitions ! »
- Et comment savez-vous ça ? » Dit un homme dans la foule

Je racontai alors ma lutte contre le contaminé ainsi que ma lutte contre le « tripède » et il semblait convaincu, enfin, je veux dire « Ils ». Au moins, on avait trouvé leur talon d’Achille. C’était un avantage majeur. Nous continuâmes à voyager dans la ville puis au-dessus de nos têtes défilèrent plusieurs vaisseaux. L’un deux explosa soudainement et s’écrasa dans un immeuble proche. Nous accélérâmes l’allure mais une autre raison nous poussait à cela. Un groupe de mutants s’approchait de notre position et étaient visible à l’autre bout de la rue. Certains se mirent à courir et les gardes de sécurités les mirent en joue.

- Il est temps qu’on voit si votre hypothèse tient la route, l’unitologue. »
- Je n’appartiens plus à l’Unitologie. »

Les armes furent alors pointées en direction des jambes des monstres, et les coups de feu partirent. L’un des mutants fonça sur nous mais ses deux jambes furent sectionnées par les balles, et il mourut en s’écrasant la face contre terre. Apparemment, j’avais raison pour le truc des membres. Ils essayèrent tout de même sur les autres créatures, et le résultat restait le même… Une petite lueur d’espoir semblait naître en nous. Puis nous vîmes à l’horizon apparaître une masse dangereuse de créatures nous forçant alors à courir. Madame McDonald était à la traîne, tenant fermement son chat. Elsa ralentit alors, et demanda à Max de me soutenir. Elle arriva près de Madame McDonald et demanda de l’aide des autres gars de la sécurité. Elle sortit alors son arme et tira dans le tas, assistée par les autres membres de la sécurité, faisant tomber une dizaine de monstres avant de rejoindre le groupe en courant. Mais quelque chose clochait dans tout ça. Soudain, des lumières s’allumèrent pour nous éblouir et nous remarquâmes que nous étions arrivés devant un grand mur, qui nous séparait de la zone où il fallait se rendre. Un grand grincement métallique retentit et des portes gigantesques en fer s’ouvrirent, nous ouvrant le passage. Nous nous y engouffrâmes tandis que du haut des murs, des tourelles tiraient sur les monstres.
Certains gardes se mirent à crier de tirer sur les membres mais le vacarme empêchait les tireurs d’entendre leurs compagnons.

Les portes se refermèrent sur la troupe de mutants.

Nous découvrîmes un lieu assez bordélique. Des tentes avaient été aménagées autour du centre commercial qui servait à présent d’hôpital. Je pus remarquer également une navette de la prison et il en sortit des prisonniers.

« Ca s’annonce joyeux. » Me dis-je.

Max me fit m’assoir au sol tandis que des médecins s’approchaient de moi. Ils m’emmenèrent dans le centre commercial. Là, ils m’administrèrent tous les soins nécessaires et m’imposèrent un peu de repos afin que mes forces reviennent. On m’allongea sur une table avec un matelas dessus, et j’évacuai tous les sentiments qui envahissaient mon esprit. Je fis alors une courte prière à Altman, avant de regarder un réveil qui indiquait dix heures.

Je me réveillai alors, regardant toujours le réveil qui indiquait cette fois midi moins cinq. Je me levai de mon lit, enfin apte à pouvoir marcher comme avant. On ne plaisantait pas quand on disait que la station d’Astridius était la plus développée dans le domaine médical.

Je sorti alors et surprit Elsa dans un coin. Celle-ci avait une holocam allumée.

« Non, Kendra, je veux rien entendre ! Ramène-le ici ! C’est pour ça qu’on est venues ! Allez, je dois me retirer, bonne chance sœurette. »

Je m’approchai alors d’elle et lui posai la main sur l’épaule. Surprise, elle se retourna vers moi.

- Sœurette ?
- Oui… »
- Kendra est ici ? »
- Oui. »
- Et elle fait quoi, au juste ? »
- Rien, elle aide… à ramener les gens. »
- Arrêtes de me mentir… »

Je m’emparai alors de son arme, et lui dit alors :

- C’est quoi ça ? Depuis quand tu t’es procurée une arme sachant que je t’avais à l’œil vingt-quatre heures sur vingt-quatre pendant qu’on pliait bagage ? »
- Ok, j’t’ai menti, je ne suis pas venu prendre des vacances… Regarde l’arme… »

Je fixai alors l’arme en question et constata alors :

- C’est un pistolet qu’utilises les terroristes ? »
- Exact… »
- Non, me dis pas que… »
- Si. On est venu ici pour récupérer un dénommé Zeff avant que la SCT ne lui mette la main dessus. Mais on est en rien à l’origine de ce chaos et nous ne faisons pas que déclencher de bêtes explosions »
- Et pourquoi ? »

C’est alors que les grandes portes s’ouvrirent, laissant Matt arriver, accompagné d’autres gardes, tirant sur les mutants pour éviter qu’ils n’entrent. Certains d’entre eux étaient salement amochés. Je m’approchai alors de lui, laissant Elsa méditer sur sa réponse, et lui dis :

- Qu’est-ce qui vous est arrivé ? »
- On est allé dans les hôpitaux vérifier les morgues et ils sont tous infestés. On dirait que le virus réanime les cadavres ! J’ai jamais vu ça ! Et je t’ai dit d’arrêter de me vouvoyer. »
- Ok, mais j’ai trouvé quelque chose d’utile, visez les membres, les coups à la tête et au corps ne leur font rien. On a testé ça »

Il me laissa alors, afin d’aider ses compagnons blessés. Je vis alors l’un d’eux, qui était mort. Son visage et son torse semblaient avoir fondus et un épaisse fumée se dégageait de la chair fondue.

Le dégoût me fit aller vomir dans un coin. Après avoir éjecté la biscotte du matin, je me mis à la recherche d’Elsa, je croisant un petit garçon qui jouait. Il semblait ne pas être paniqué. Il n’a pas dû assister à une attaque des mutants. Je lui demandai alors quelque chose. Il s’en alla au loin, lorsqueconversation intéressante arriva à mes oreilles. Je me cachai alors derrière un mur et regarda les deux hommes qui discutaient qui n’étaient autres que les hommes de la SCT.

- Stan a réussi à nous mettre dans un sacré pétrin. Il vient de se rendre à la cible… On est foutu ! »
- Tant qu’il n’a pas parlé du projet Alpha et du projet Zeta, on a une chance de s’en sortir. Et puis, je pense que Stan planifie quelque chose, il ne coopère jamais comme ça. Ca cache quelque chose. »
- J’espère, on est à l’origine de ça, Stan doit s’occuper de tout nettoyer tandis qu’on récupère Zeff et le spécimen avec nous… »

Je sortis alors de ma cachette et sortis mon arme.

- Vous me ferez un plaisir de nous raconter tout ça messieurs. »

Je vis alors un d’entre eux sortir un pistolet à son tour mais je lui tirai dans la main, le forçant à lâcher son arme. Il cria de douleur attirant tout le monde autour de nous. De nombreux gardes de sécurité, ainsi que le Maire, nous regardaient.

- Ces hommes semblent avoir des choses intéressantes à nous dire. » Dis-je

Je remis alors mon arme dans mon pantalon et l’un des hommes de la SCT commença à parler.

« Tout a commencé alors qu’on effectuait des expériences sur Aegis VII, nous avions copié le monolithe noir, celui sur Terre. Depuis cette copie, nous avons trouvé une cellule spéciale qui ramène les morts à la vie, mais qui fait subir des mutations. Nous les appelons… Nécromophes. Seulement, ça avait mal tourné. Les mutants se sont échappés et nous avons dû fermer le dossier et fait interdire l’accès à la planète. Mais l’Ishimura est arrivé. Il démantela la planète et réveilla l’expérience en cours. Le vaisseau n’échappa pas à l’infestation. Puis ensuite, la planète fut détruite par l’ingénieur Clarke. L’Ishimura fut récupéré ainsi que Clarke puis ramené à La Méduse, Clarke avait subi des traumatismes et fut hanté par des hallucinations suite à un contact avec le monolithe. A partir de son cerveau, nous avons pu recréer un monolithe, mais nous ignorions la présence des nécromorphes dans le vaisseau. Le résultat, perte du monolithe, Clarke en fuite, Station perdue…»

Matt se précipita alors vers l’homme qui parlait et le frappa au visage. L’homme en blanc tomba au sol. Je repris alors mon pistolet et visai l’autre.

- Vous avez parlé d’un spécimen… Qu’est-ce que c’est ? »
- Je ne vous le dirai pas ! »
- Oh que si, mon coco ! » Fis-je en retirant le cran de sécurité.

Je m’approchai alors de l’homme et posai le canon de mon arme sur le front. Il se mit alors à paniquer.

- Ok, Il y a quelque chose en bas de la station, dans ses fondations ! »
- Et c’est quoi ?! »
- Je sais pas ce que c’est ! » Cria le pauvre homme
- Dernière chance ? Quels sont les projets Alpha et Zeta ? »
- Le projet Alpha consiste à la recherche sur les nécromorphes ! En fait vous ignorez tout ! C’est nous qui avons redirigé le vaisseau vers cette station afin de pouvoir capturer des spécimens, mais je ne savais pas qu’ils seraient si hostiles ! »

J’appuyai alors sur la détente… L’homme ferma les yeux et pleura tandis que je l’arrosai avec un jet d’eau.

L’enfant que j’avais croisé revint et je lui rendis son jouet. Je me moquai alors des hommes de la SCT qui se tenaient devant moi.

- Pour une organisation intelligente, vous êtes sacrément cons. »

Je repris alors ma vraie arme et dit

- Y avait pourtant une grosse différence… »

Les gardes s’emparèrent alors des hommes de la SCT et les menottèrent.

Plus tard, on désigna des lieux pour dormir. Moi et Elsa avons été mis dans le centre commercial. Tous ceux qui devaient aller dans le bâtiment nous accompagnèrent. Je reconnus alors John Fuker parmi eux. Je me forçais alors à ne pas le regarder et à rester le plus discret possible. Soudain, je me vis arrêté et je pus voir John qui me frappa au visage. Je dégainai alors mon arme et le menaça :

- Tu vas arrêter maintenant !
- Tu penses que ça me fait peur ? »
- Ouais, si t’avais pas peur, ça aurait fait longtemps que je t’aurai abattu comme un chien ! »
- Connard ! »

Je tirai alors un coup qui égratigna son oreille. Il se mit à pleurer pitoyablement.

C’est alors que nous entendîmes des grattements. Je redoutais alors au pire. Tout le monde se réunit dans la pièce centrale, immense. Les bruits se déplacèrent alors sous nos pieds. Matt se dégagea de la foule et écouta. On aurait cru qu’il avait compris quelque chose. Il se retourna alors pour crier :

- Apportez des planches ! Il faut boucher les plaques de ventilation ! »
- Comment ça ? »
- Ils se déplacent par les conduits de ventilations ! »

Je m’attendais alors à une panique générale, mais tout le monde resta calme, certains se détachèrent de la foule, sans doute pour apporter le matériel nécessaire pour barricader la ventilation. Je pouvais lire la peur sur plusieurs visages. Nous entendîmes alors les bruits se diriger vers une porte.

- Qu’y-t-il derrière cette porte ? » Demanda Matt
- Je crois que c’est là qu’on met… les morts… » Dit une voix dans la foule.

Un bruit résonna alors derrière cette porte, et c’est là que les gens commencèrent à paniquer. Matt s’empara de son arme et demanda l’aide d’autres agents de sécurité. Il dit alors qu’il y avait des armes disponibles au stock, et demanda à ceux qui le pouvaient de venir l’aider. Il fonça vers la porte et essaya de l’ouvrir. Celle-ci refusait de s’ouvrir car nécessitait une carte d’accès. Elsa arriva et arracha un panneau dans le mur, dévoilant des fils et un large mécanisme.

- Je vais pirater la porte ! Soyez prêts ! »

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C'est à Salam' à présent ~ ~

Ma douleur était incroyablement douloureuse j'ai que lu sa mais j'ai déja rigoler.

Ensuite ta vu j'ai deviner que tu posterai aujoud'hui j'ai une preuve maintenant

Ce chapitre est absolument nul

Over

Help

Over Ah ok, je me disais aussi

j'ai lu, mon personne n'est pas au courant du tout de ce qui se passe dans ton chapitre sa se passe avant le message du maire on va dire

Tins, au fait Over, j'allais recommencer ta fic lorsque j'ai lu dans l'intro que tu développais un jeu

Est-ce que le projet a aboutit ?

Salam' Ok, mais essaie de faire arriver ton perso au lieu de RDV, sinon, ils accepteront plus ton perso et celui de Den dans l'enceinte du super marché

+ J'ai eu une superbe idée de nécromorphe

Ouh, ça craint un max toussa

J'ai un peu de mal avec le mur et les portes gigantesques qui ont poussé devant le centre commercial encore plus vite que des champignons, mais bon, on va faire avec.

En tout cas, bon chapitre

(Et tu sais quoi? Quand j'ai écris qu'un Leaper tombait de mon vaisseau, j'étais sûr que quelqu'un allait le réutiliser )

+ Le projet d'Over a été écrasé dans l'oeuf

é c moua !! ~ ~

+ Merde, j'ai oublié de préciser que la station avait un technolgie sophistiquée.

En fait, je vais vous expliquer, les bâtiments sont tous entourés de murs, mais qui sont incrustés dans le sol.En cas de problème, on activait le mur qui se déployait.

Ca c'est le genre de détail qu'il aurait fallu préciser AVANT

En tout cas, j'espère que j'aurais encore l'occasion de jouer au chat et à la souris avec mon perso et les nécros, j'adore ça, faire stresser l'un des perso à mort

Spycho
Posté le 1er juillet 2011 à 22:07:54
Ca c'est le genre de détail qu'il aurait fallu préciser AVANT

d'où le Merde que j'ai posté dans le 1206ème post, le 1er juillet 2011, à 22:05:48 et 10 millisecondes

chaud c'est quoi ce pavé qu'il vient de pondre Je vais lire en plusieurs fois

bon j'ai tout lu, bon chapitre, j'aime qu'on parle de mes actions

On dirait qu'il n'y a que des maillons faibles chez la SCT, a part moi bine sur

Tant que je suis dans la nature, vous serez tous en danger Meme Mason est obligé de me laisser en vie

Et là, un mec sort de nulle part pendant que t'es de dos et Boom, headshot!

Personne n'est invulnérable

ouais mais c'est trop facile, moi je fais des gunfight et combat a main nue avec un mec des forces spéciale, et je m'en sors vivant

Du moment que toi et Sala vous devenez pas des roxorzz qui se sortent de toutes les situations sans la moindre égratignure, ça me suffit