mettre un 15
sa mérite un 1
Faites gaffe au talc les gars j'ai pas envie de voir ma story lockée (et accessoirement que vous ayez des emmerdes avec la FIA du forum)
ok on arrète.. c'etais juste pour rigoler.. il faut pas kiker la story
on vous embête c comme le film rien à déclaré
mais racordon est quand même fou
super la poésie
je met un 17
Suite ? suite ?
elle est bien a part l'empire state building avec 2 bulding
ouai mais trouvé un synonime avec -ing c'est dur... jvai essayer de trouver
lol jadore la Story devenue le blabla du forum xD
j'entend la cloche de l'université harvard qui fait dring
Pas euh... Je sais pas trop comment te le dire pour ton poème mais euh... Bah comme tu dis c'est simpliste hein ?
Bah en gros, est-ce qu'il veut dire quelque chose ?
vette4life je ne dirais pas que c'est vraiment simpliste simpliste quand on reprend du William Butler Yeats..
faut dire aussi que c'est de l'improvisiation et pas énormément réfléchi... dans le fond c'est pas si mal..
la suite
magnifique story que je suis depuis le début mais je viens seulement de m'inscrire c'est pour ca que je n'ai jamais posté auparavant
la suite la suite ohhrrr maintenant que j'ai tout lu c'est dur d'attendre mais bon notre cher écrivain a une vie !!
Ça c'est bien par contre
Et en plus il porte mon prénom
pour poguey : pourquoi be banire moi qui traîte vettel de geux et pas toi qui traîte ferarri de gros tas de boue rouge ????
Si mon esprit n'est pas trop endormi, je vais tenter d'ecrire un épisode dans quelques minutes
Saison 2, Episode 25 : Trous noirs
Je pensais qu’on avait atteint le sommet du scandaleux l’année passée, c’était négliger notre capacité à toujours se surpasser !
Lundi 12h41, je me réveille avec une tête comme une marmite, le plafond tourne encore et une envie de vomir se fait ressentir. Je me rends compte que je suis couché à terre en plein milieu du mobil-home, je tend un bras et touche une autre personne. Je me relève doucement en position assise et je découvre le désastre. Il y a des bouteilles vides et à moitié vidées un peu partout (Bières, Tequila, Vodka, Scotch, etc.), les deux seaux sont utilisés et visiblement, certains ont raté le trou. Ca empeste comme dans une porcherie. Isa est à côté de moi, nue et blottie contre un gars que je reconnais, il travaille pour Renault me semble-t-il. Il y a Craig, un mécano de notre équipe, qui lui visiblement a trouvé son bonheur auprès de deux allemandes. Il y a encore deux autres types et une fille, qui eux sont habillés et toujours endormis dans un coin. Une chose est sûre, je ne les ai jamais vus de ma vie !
Soudain, j’entends un bruit venant des toilettes, de toute évidence la personne se vide l’estomac. Une fois la chasse tirée, c’est Sophie qui en sort. Son t-shirt blanc à la base est décoré de plusieurs tâches d’origine diverses et d’une énorme trace de vomi. Sa tête fait peur à voir, elle est blanche comme un cadavre. Détail rassurant, elle est encore plus ou moins habillé, or comme moi j’ai toujours mon pantalon, ça veut dire que nous avons été sages cette nuit. Vu qu’elle a libéré les lieux, je peux à mon tour aller me vider l’estomac, non sans shooter dans une bouteille en m’y dirigeant accompagné du juron qui va avec. Je ne vous raconte même pas l’état de mes WC, c’est indécent !
Le pire sera à venir. Une fois, les deux blondes de Craig remerciées tant bien que mal sans comprendre un mot de ce qu’elles disaient et, une fois les trois inconnus ne parlant ni français, ni anglais, ni allemand, ni italien, ni espagnol, à l’heure actuelle on penche pour du serbe ou quoi, eux aussi renvoyés dehors ; il était temps de faire un point sur ce qui s’était passé la nuit précédente. Si quelques souvenirs nous sont revenus, ils se situaient tous avant 1h du mat’ lorsque Sophie, Isa, Craig, Mike et moi étions encore à la fiesta. Aucun d’entre nous n’a été capable d’expliquer la suite. Benoit, l’amant d’Isa de cette nuit, lui non plus, n’a aucune idée du comment il est arrivé là ! Trois certitudes se dégagent. La première, Isa et Benoit ont couché ensemble et Sophie et moi pas, la seconde on ne sera pas de trop à 5 pour laver le mobil-home et la troisième, Mike a disparu !
Mike, personne n’aura de ses nouvelles avant Jeudi ! Il finira par me sonner, pour me dire qu’il a été malade jusque là de sa soirée du dimanche, mais s’il se souvient de sa soirée, il ne voudra jamais m’avouer ce qu’il a fait ! Tout ce dont je suis sûr, c’est qu’il n’était pas avec nous…
En arrivant au Hungaroring, je n’en sais toujours pas plus sur cette soirée en Allemagne. Sophie et moi avons bien ri lorsqu’Isa a croisé Benoit dans le paddock jeudi en arrivant. Il fallait les voir à se demander s’il fallait se dire bonjour et quelle attitude adopté face à une personne dont on ne connait rien avec qui pourtant on a eu des rapports très intimes ! Mike refuse toujours catégoriquement de me raconter ses aventures, à force d’insister il finira même par me répondre sèchement : « Cette soirée n’a jamais existé, j’aimerai qu’on ne m’en parle plus, ok ? » Je lui fous la paix, mais un jour je finirai par savoir, j’en suis persuadé !
Pour les essais libres, l’équipe me propose un test de performances en vue d’une évolution de l’auto. Mon premier temps au tour est d’1.25.318, largement au dessus du temps fixé. Trois tours plus tard, j’améliore pour la deuxième fois en 1.24.231. J’effectue mon premier arrêt, après un quart d’heure, je suis en 7ème position. Lorsque je reprends la piste en pneus Option, cette fois, je fais d’abord un tour en 1.24.198 avec quelques écarts de trajectoires. Et puis, subitement, je me déconcentre et effectue trois tours pour du beurre à cause de grossières erreurs de conduite. Vexé, je me rattrape en 1.22.957, meilleur temps de la séance et j’enchaine au tour suivant par 1.22.427. Sur ces deux excellents chronos, je rentre au stand et n’en ressors plus de la séance pour ne pas user mes pneus inutilement. Je garde le meilleur temps de la séance.
Je pensais ne pas aimer ce circuit de Hongrie, mais après ma Pole position de l’année passée et le meilleur temps aux essais libres, cette année, je commence à revoir mon jugement. L’espace d’un instant, je me serai cru sur une géante piste de karting, avec du plaisir à l’état pur…de bonne augure pour le reste du week-end.
très bon épisode comme toujours