Trois jours ça fait long ? T'es sérieux là ?
Et puis non seulement Bd24 a une vie mais il a aussi bien précisé qu'il avait des problèmes actuellement. C'est déjà bien qu'il mette pas la fic complètement en suspend.
Il me semblait que ses problèmes avait été résolues , je m'excuse pour cette méprise. Et ne t'inquiète pas, je n'était pas sérieux sur les trois jours. C'est un mois qui commencerait à devenir long (enfin de mon point de vue bien sûr )
Vous pouvez lire ma fic please ? terasius le rougegarde
Que si elle est du niveau de celle-ci
lis et critique ou complimente comme tu veux
Je m'étais arrêté à la page 15, heureusement que j'ai pensé a lire la suite hier et je ne suis pas déçu comme d'habitude
+ en voyant mon pseudo, vous allez encore déceler un clin d'oeil ?
Tu as créé un pseudal exprès?
Damned, je suis impatient de lire la suite !
briccc Non C'est juste que mon personnage préféré de toutes les fic de BD24
C'est juste que mon personnage préféré de toutes les fic de BD24 est Evos *
Apparemment mes sacrifices humains n'ont pas fonctionné...
Tu as bien respecté le protocole en matière de sacrifice au moins ?
Qu'est-ce que t'as sacrifier aussi ? Non parce que là c'est pas du pécore qu'il faut hein, c'est du gratin, du lourd...Au minimum de la vierge quoi : /
Chapitre 55: Un mal contagieux.
Je ne sais pas exactement combien de temps je restai ainsi, assommée, et totalement incapable de saisir le tintamarre qui m'entoura durant un temps indéfini.
Probablement pas très longtemps en fait, car il me semblait fondamentalement illogique que de tels cris puissent ainsi résonner pendent des heures...
Peut-être n'avais-je somnolé que quelques minutes à peine en fin de compte...Toujours est-il que je finis enfin par reprendre connaissance dans une grotte où ne régnaient désormais que silence et obscurité, à l'exception d'une vague lueur quelques mètres plus loin, probablement une torche ou une lanterne...
Non...Il n'y avait plus personne ici...Balsa et Arvin n'étaient plus là...
Où étaient-ils donc passés d'ailleurs ? S'étaient-ils entretués durant mon sommeil ?
Cette simple interrogation me rendait extrêmement mal à l'aise, mais pour être tout à fait honnête, ce n'était pas ce qui me tracassait le plus en cet instant précis.
De fait, et alors même que je jetais des regards interdits autour de moi, cherchant un indice dans l'obscurité ambiante, j'eus soudain l'épouvantable impression que quelque chose, ou quelqu'un, était en train de me renifler.
-Qui est là ?! Couinai-je aussitôt, subitement terrifiée par cette étrange présence.
Personne...
Pourtant c'était là ! Je le sentais ! Je l'avais senti l'espace d'un instant !
Non, je n'étais pas seule...Il y avait quelque d'autre, et il était juste là, à côté de moi.
-Qui est...?! Insistai-je, plus pour me rassurer moi même à l'entente de ma propre voix que pour chasser celui qui ne partirait de toute façon pas, avant de m'interrompre subitement, soudain gagnée par une drôle de sensation.
Comme une sorte de bien être indescriptible, doublé d'un optimisme inexplicable...
Oui, il était parti, je ne le sentais plus...
Je pris alors conscience du fait que je venais de marcher pendant une bonne demi-heure, traversant d'un pas lent une ancienne mine, l'esprit complètement ailleurs.
Pourtant, tout allait bien désormais...
C'était un peu comme dans un rêve, un peu comme si quelqu'un agissait et pensait à ma place, laissant mon propre esprit dériver tranquillement...
C'était étrange, tout de même...
J'aurais normalement dû marcher pendant des heures pour arriver jusqu'ici...
Pourtant, je ne m'en rappelais absolument pas...
Était-ce réellement un rêve ?
J'eus bientôt une nouvelle prise de conscience, réalisant soudain que je dévisageais cette vigile, probablement une haut gradée soit dit en passant, depuis plusieurs heures, immobile, l'esprit toujours embrumé par quelque chose d'inexplicable.
Non, sincèrement, j'étais là depuis des heures...
J'eus alors une violente sensation de colère, une envie de meurtre et de sadisme épouvantable, monstrueuse. Un accès de fureur tel que je ne pus réprimer un gémissement plaintif, mais néanmoins faible, diffus, ma bouche semblant absolument incapable de montrer au monde extérieur la détresse dans laquelle je me trouvais actuellement.
Pourtant, cet accès de colère se dissipa presque immédiatement, laissant de nouveau la place à un hébètement inexplicable.
Visiblement, quelqu'un d'autre avait reprit le dessus sur ses émotions, et donc sur les miennes dans la foulée...
Le couteau ? C'était ça que je voulais ?
Oui, il me faisait terriblement envie en fait...
Pourtant, j'avais comme l'étrange impression que cette envie n'était pas vraiment la mienne...
Oh et puis à quoi bon...J'étais si bien, là où j'étais...
...
-NOM DE...! ELLE EST LA ! Beugla soudain quelqu'un à ma gauche au moment même où la porte de la chambre dans laquelle je me trouvais s'ouvrait à la volée.
Je sentis alors ma tête pivoter d'elle même vers l'endroit indiqué.
Des humains ! Saletés d'humains ! Puants ! Dégoutants ! Immondes ! ! Répugnants ! Ignobles ! Nauséabonds !
-ATTRAPEZ LA ! Enchaina aussitôt l'un des vigiles alors qu'un invraisemblable sentiment de colère s'emparait de nouveau de moi, m'arrachant un cri de terreur à la soudaine constatation que je n'étais en fait pas seule dans mon propre corps.
Plusieurs vigiles se jetèrent bientôt sur moi, tentant tant bien que mal de me désarmer et de m'immobiliser dans la foulée malgré la volonté manifeste de mon hôte de ne pas se laisser faire.
J'avais beau crier, me débattre, mes membres semblaient ne me répondre qu'une fois sur deux, ou même une fois sur trois, attaquant bien malgré moi les hommes et femmes chargés de me neutraliser.
Et puis cette colère, cette haine qui déferlait dans mon esprit tel un venin implacable...
-BON SANG ! POUSSEZ VOUS ! Siffla soudain Arvin en pénétrant à son tour dans la pièce, alors que j'avais sans même m'en rendre compte rampé sur le plafond pour mieux attaquer mes adversaires depuis une position haute, arrachant par la même occasion un cri de terreur à la vigile qui aurait normalement dû être ma victime quelques minutes plus tôt, et qui venait de se réveiller en sursaut.
Un violent tourbillon traversa alors la petite chambre, bousculant les vigiles sur son passage avant de me frapper de plein fouet, et de me faire lourdement retomber au sol dans la foulée.
J'eus soudain l'étrange et très douloureuse impression qu'une main invisible venait de m'arracher les intestins pour mieux les jeter au loin, même si fort heureusement, cette sensation ne dura que quelques dixièmes de secondes...
Vinrent alors les larmes, que je ne pus hélas retenir, complètement traumatisée par ce que je venais de vivre...
-Nilvyn ! Regarde moi ! Souffla aussitôt Arvin en s'agenouillant prêt de moi, prenant mon visage entre ses mains pour mieux m'ausculter.
-Ça va...Ça va...Bégayai-je, honteuse de ne pouvoir retenir mes pleurs.
Un sifflement menaçant retenti alors au dessus de nos têtes, arrachant de nouveaux jurons affolés chez les vigiles présent dans la pièce.
-Merde ! Il est toujours là ! Couina un gros Nordique.
-Évidemment qu'il est toujours là...Rétorqua Arvin d'un air sombre, observant quand à lui un point très précis au dessus d'une étagère.
Voyait-il quelque chose que nous ne pouvions percevoir de notre côté ?
Difficile à dire, car en dehors de ce simple sifflement furieux, nous n’entendîmes plus rien d'autre que la respiration saccadée des hommes et femmes présents dans la pièce.
-Il est parti ? Questionna enfin une jeune Brétonne après quelques minutes d'un silence tendu.
-Je ne crois pas non...Enchaina Arvin, qui avait entre temps quitté du regard le dessus de l'étagère pour mieux observer les coins de la chambre d'un air suspicieux.
Et a vrai dire, nous n’eûmes pas vraiment à attendre longtemps avant que les dires du Dunmer ne se vérifient, car des bruits de lutte, bientôt doublés par des cris de terreur résonnèrent bientôt dans la chambre voisine.
J'eus alors, et à ma plus grande surprise d'ailleurs, tout le temps de lire l'affolement sur le visage d'ordinaire si neutre de Arvin, et pour cause:
-Merde ! Salmo ! Conclut alors le Dunmer.
C'est super, comme d'habitude.
Excuse moi BD24, je pensait que tes problèmes n'étaient plus. Je tenais a m'excuser
Cool, continue comme ça.
"au dessus d'une étagère"
Etagere meuble magasin de meuble Ikea
Tu fait de la pub pour Ikea ?
Et c'est parti
Ben quoi ?
C'est simple comme raisonnement.
Non
Un peu comme 2+2=5
Attendez
Ah, le sacrifice de la fourmis a fonctionné