Iso je crois quelle peut tp , sa a etait dit avant que inamora et sa mere arrive au chateau .

Chapitre 71 : Une fille pas tout a fait normal

Wulf fut complètement déboussolé par l'arrivée d’Eloé ici et je le comprenait car après tout, comment était elle entré? Le tortionnaire s’approcha d’Eloé qui gardait son sourire. Je savais de base qu’elle ne se rendais jamais compte du danger mais la, le seul moyen de ne pas le voir c’était d'être véritablement aveugle et sourde.

-Je peux savoir ce que tu fous la, morveuse? Questionna Wulf toujours sous le choc de la surprise.

-Y a ma maman qui m’avait dit d’aller jouer avec la dame avec pas beaucoup de vêtements. Donc je suis allée la voir pour jouer au dragon mais elle voulait pas. Donc elle ses assise en tailleur et a fermé les yeux. Donc moi je me suis assise devant elle pour la regarder car moi j’aime beaucoup regarder parce que comme ça on regarde mieux mais après elle ma dit que je la dérangeait et elle ma dit d’aller jouer avec ma maman. Donc je me suis téléportée prêt d’elle et voila.

Le tortionnaire, complètement éberlué par la situation tourna lentement la tête vers moi le regard plein de question. J’étais pour le moins totalement compréhensif avec lui car il est vrai qu’Eloé était une fille plus que bizarre quand elle le voulait. Wulf s'apprêta a dire quelque chose a la Daedra alors que cette dernière se remis a parler sans s'arrêter de tout et de rien sans aucune logique. Il ne fallut donc pas longtemps pour que le tortionnaire ne craque.

-MAIS TU VAS LA FERMER!!!!

Sans lui laisser aucune chance, le tortionnaire planta son couteau dans la gorge d’Eloé qui se mis a déverser du sang a ne plus savoir quoi en faire. Wulf fus très surpris de voir ça surtout qu’Eloé restait parfaitement droite et surtout, n’étais pas morte. Sa peau gardait sa couleur d’origine et lorsque que ses yeux se mirent a briller d’une lueur rouge anormal, le tortionnaire commença a avoir peur.

-Maman… j’ai faim.

Eloé attrapa le couteau dans sa gorge et le retira. La plaie cicatrisa instantanément et elle commença a s’avancer lentement du tortionnaire. L’air de la pièce puait le sang mais c’était visuellement que tout devenait étrange et oppressant. Les murs semblait être parcourus de visage agonisant, la lueur de la torche fus a peine suffisante pour être visible mais la pièce baignait dans une étrange lumière glauque. Je pouvais entendre dans ma tête les supplications des visage agonisant ou encore des hurlements de douleur qui me déchirait le cœur.

Eloé elle, semblait marcher sur le sang qui arrivait au mollet du tortionnaire. Elle émanait de ses mains une lueur rouge sang et ses yeux brillait d’une puissance rouge écarlate. Maintenant, je regrettait tout ce que je lui faisais subir. Wulf se tenait la tête, supliant et hurlant que ça s'arrête mais celle qui était ma fille avait d’autre projet. Elle se jeta a la gorge du tortionnaire et, après avoir ouvert grand la bouche et révélant un grand nombre de croc, commença a lui dévorer le visage. Malgré le fait que la vus du sang ne me faisait plus grand chose, je ne pus m'empêcher de détourner le regard de ce spectacle atroce mais je devais malgré tout suporter, les bruits immondes des craquement d’os et de la chair déchiré. Cela dura dix bonne minutes ce qui me fis vomir sans aucune honte mais des que les sons furent terminés, je tourna la tête vers Eloé.

Les cris et agonies de douleur avaient disparus et la salle avait retrouvé son apparence normal. Le sang lui même avait disparue ainsi que le tortionnaire avec pour seul preuve de son existence, la petite goûte de sang qui glissait depuis le coin de la bouche d’Eloé, redevenus “normal”. Elle était assise en tailleur juste en face de moi tout en sourire et en train de me regarder.

-Heu… Eloé? Appelais craintif.

-Vi maman!? S'exclama gaiement l’adolescente.

-Peux tu me détacher s’il te plaît?

La concernée se leva et cassa mes menottes d’un simple touché toute heureuse qu’elle avait découverte ce pouvoir avec Brii. Une fois libre je m’assis en tailleur au sol et Eloé en fis de même juste en face de moi. Le moment était certes mal choisie pour se reposer mais après ce que j’avais vus et entendus, je ne pouvais faire autrement.

-Heu… tu savais que... tu pouvais… manger le monsieur? Demandais avec une extrême prudence.

-Manger qui? Je mange personne maman! S'exclama Eloé en riant comme une enfant.

Au final, elle avait toute la puissance d’un prince Daedra en elle mais elle n’en avait aucune idée. Ce n’était pas une simple Daedra que j’avais enfanté mais un véritable cataclysme sur patte si elle n’apprenais pas a se maîtriser. Eloé continua de me regarder avec son regard et son sourire si naïf que j’avais vraiment du mal a croire ce qui c'était passé quelque minutes plus tôt.

-Maman.

-Oui, Eloé? Demandais je.

-J’ai faim.

Prise de panique qu’Eloé ne me mange a mon tour, je dévoila l’un de mes seins pour qu’elle puisse se nourrir “normalement”. Eloé poussa un cri de joie et commença a boire comme un bébé qui tétait le sein de sa mère. Le simple fait de sentir ses croc sur ma peau me terrifiait et, parce qu’elle n’était pas vraiment délicate, la pointe de ses dents me piquait. Et puis au final, qu’est ce qui me disait qu’elle n’allait pas m’arracher le sein a pleine dent d’une seconde a l’autre. Au final, elle recula sa tête en essuyant ses lèvres avec sa langue, les quelques trace de lait comme un chat.

-On joue a quoi maman?

Je m'apprêtai a répondre, lorsque le grincement de la porte attira mon attention. La porte venait d'être ouverte lentement par quelqu’un que je ne connaissait pas et qui avait le visage caché dans l’ombre. Il s’approcha en me regardant, car je sentais son regard sur moi, et referma la porte derrière lui. Malgré le fait que la torche était juste a coté de lui, je ne pouvais encore pas voir son visage, a croire qu’il ne pouvait être éclairé. Il était vêtus d’une robe Impérial de politiciens d’un rouge magnifique et finement embellie de broderie doré. A son index de sa main droite se trouvait un magnifique anneau d’or sertie d’un rubis sculpté comme le dragon Impérial. Mais le plus étrange dans sa tenue était l'amulette qui pendait a son cou: elle ressemblait comme deux goûtes d’eau a l'amulette des roi qui avait disparus a la fin de la troisième ère.

-Voici donc l’enfant qui me cause tant de problème. Commença l’homme d’une voix calme a mon attention. Jeune fille, je suis admirative car rare son ceux capable de tenir tête a mes enfants et encore moins de les tuer.

-Qui êtes vous? demandais je.

L’homme resta silencieux plusieurs minutes avant qu’une autre personne apparaisse de sa droite. Une personne que je connaissais bien car il s’agissait du Gardien Éternel. J’avais devant moi le chef des Gardiens de Lorkhan.

-Malheureusement, vous me gênez et en me gênant, vous dérangez l'équilibre du Mundus. Et cela ne peux plus continuer ainsi. J’ai donc une proposition a vous faire mademoiselle Wavrick.

La tournure que prenaient les événements me plaisait de moins en moins. J’étais désarmé avec Eloé qui ne captait strictement rien a la situation. Et en face de moi se trouvait le Champion Éternel qui n'attendais qu’un ordre pour me sauter a la gorge et son chef qui daignait enfin a se montrer a moi… ce qui indiquait qu’ils n’avaient vraiment plus envie de me prendre a la légère. J’étais donc dans une très mauvaise situation.

-Vous allez affronter mon premier fils dans un combat a mort ou il ne fuira pas qu’importe la situation et ou il ne vous laissera pas fuir. Si vous réussissait a le vaincre, alors vous devrez vous rendre a Bruma dans la chapelle de Talos. Vous devrez venir seul et après une discutions qui vous apprendra beaucoup, je vous affronterais.

L’homme marqua une pause et repris.

-Acceptez vous?

-Eh bien… je pense que je n’ai pas le choix.

L’homme se recula et avant de partir il ajouta.

-En effet. Bon combat.

Et il disparut sans avoir laisser de trace. Je me redressa, tout en cherchant un moyen de fuir la pièce pour trouver une arme alors que le Champion c’était placé devant l’encadrement de la porte et avait placé la lame de son épée en face de son visage.

-Est ce qu’il n’y a pas moyen que j’ai une arme? Demandais je sans vraiment espoir de recevoir une réponse affirmative.

Le champion me chargea sans plus de cérémonie et mon esquive se joua a un cheveu. Eloé se trouvait toujours debout en train de regarder le Gardien avec son même sourire mais mon adversaire ne lui prêta aucune attention et préféra se tourner vers moi pour mieux. Il m’envoya une série d’attaque avec une extrême rapidité et certaine esquive que je réalisait ne dépendait que de la chance. Lors d’une de ses fentes, l’épée du Champion se planta dans le mur ce qui était une magnifique ouverture pour ficher le camps d’ici. J’attrapai la main d’Eloé et déguerpis aussi vite que possible.

Bien entendus, je savais que le Champion Eternel ne me lâcherait jamais, il valait donc mieux que je trouve une arme pour le combattre. Le gardien n’avais malheureusement pour moi, pas mis longtemps a dégager son épée et c’était déjà lancé a ma poursuite comme indiquait le bruit de ses bottes sur le sol de pierre. Les pas se rapprochait bien trop vite, j'entrai donc dans une pièce au hasard et referma la porte juste derrière moi et a temps car le champion Eternel planta son épée dedans. Je recula en espérant que la porte tiendrait suffisamment longtemps mais après qu’un choc la fit trembler, je me retourna et examina la pièce en espérant trouver une arme.

J'eus la plus grande déception de ma vie en voyant que je n’étais entré que dans une autre cellule mais cette fois éclairée d’une torche qui illuminait toute la cellule. Et il n’y avait strictement rien a part un lit et Eloé qui riait toute seul en jouant avec un… Katana? Je m’approcha d’elle et lui pris l’arme des mains pour l’examiner et il n’y avait aucune doute sur sa nature Daedrique a cause de sa forme et et de ses couleurs. La lame était dentelée et finement décorée a la façon d’Oblivion. Il était inimaginable qu’une tel arme et pus se trouver ici.

-T’as trouver ça ou? Demandais je a Eloé.

-C’est apparut dans ma main maman. Me répondit toute heureuse la Daedra.

Je ne posa pas d’autre question alors qu’un grand fracas se fit entendre derrière moi. La porte avait été enfoncé et le Champion était entré sauf que cette fois, j’étais prête.

Banzai!

Ca va chier des cactus tout dur

Bonne chance Miria, je suis de tout cœur avec toi

• commence a creuser une tombe*

Fight !

nice

c'est un peu "dommage"que tout les heros des TES soit des "mechant" m'enfin

Chapitre 72 : La chute du premier

Le champion chargea sans plus de cérémonie mais cette fois je pus bloquer son coup d’épée et contre attaqué avec une petite série de feinte pour l'éloigner. Un cellule n’étais pas vraiment un endroit parfait pour se battre et les bruits du combat alerteraient forcement les gardes mais je n’avais pas vraiment le choix. Je dus pousser Eloé sur le coté pour ne pas prendre le risque de la blesser et lui faire piquer une crise comme avant. Nous échangeâmes avec le Champion une grande série de coups dans différent sens. J’avais l’impression que le Katana qu’avait fait apparaître Eloé était spécialement adapté a ma façon de combattre et se fut plutôt surprenant.

Après avoir faillit rater une parade qui m’aurais coûté la vie, je décidai de quitter la zone des cellules pour avoir plus d’espace pour mon combat. J’attrapai Eloé par la main pour courir dans les couloirs en faisant tomber suffisamment d’objet au passage pour ralentir le Gardien.

-A quoi on joue maman!!? Me cria Eloé.

J’aurais voulus lui en coller une pour la réveiller et lui faire comprendre la situation mais au final, même ça elle ne comprendrait pas. Je finis malgré tout par remarquer que je pouvais utiliser sa naïveté a bonne escient pour qu’elle ne me gène pas pendant mon combat.

-On joue a la course… et la ligne d’arrivée c’est… l'hôtel Tiber Septims.

-Youpi!!!!

Eloé se mis a courir plus vite que je ne l’aurais jamais cru mais au final, c’est exactement ce que je voulais. J'enfonçai une porte devant moi pour avoir la mauvaise surprise de découvrir que j’étais entré dans une salle des gardes ou ce trouvait pas moins de sept soldats.

-C’est quoi ça!? Cria l’un des soldats en dégainant son épée.

Malheureusement il n'eus pas le temps de dire grand chose d’autre car il reçus la lame de mon Katana en pleine gorge et son compagnon derrière lui fut tranché en deux juste après par ma main. L’un d’entre eux voulus sortir de la pièce sans attendre mais il ne pus aller plus loin car la lame du Champion Éternel se planta dans sa poitrine et, d'après le son répugnant des os craqués, enfonça ses cottes. Le Gardiens souleva son épée au dessus de sa tête et l’écrasa au sol avant de dégager le cadavre du légionnaire. Les soldats restants était tout sauf rassuré mais la charge du Gardiens vers eux finis de les terrorisés. Et après une minutes de carnage sans nom, le Gardien de Lorkhan était maintenant seul en face de moi.

-Plus personne ne viendra nous deranger. Annonça le Champion. Et l’endroit et suffisamment grand pour notre affrontement.
Il lâcha un soupir et repris.

-Es tu prêt a mourir?

-C’est plutôt a toi qu’il faudrait poser cette question. Rétorquais je.

Je chargeai sans aucune retenue mon adversaire pour sauter sur les épaules du Gardien. Je tentai de lui planter mon Katana dans le crane mais mon adversaire me dégagea d’un revers de main. Une fois sur mes jambes, je dus parer une attaque d’une rare puissance qui visait le haut de mon crane. Je fus incroyablement surprise que le Katana me permettait de tenir dans cette épreuve de force et la lame ne se fragilisait même pas. Le Champion parut d'ailleurs très étonné mais il continua de forcer malgré tout. Une ouverture s'ouvrit lorsque je dégagea ma lame et le Champion, entraîné par se propre force, chuta lourdement au sol. Je voulus tenter une attaque dans son dos mais ce dernier fus plus rapide que prévus et me fis volte face suffisamment vite pour parer mon attaque et me mettre un coup d’épaule dans le menton.

Je m'écrasai lourdement au sol et roulai sur le coté pour esquiver l’épée du Gardien qui ne cessait de se planter au sol avec pour but de m'embrocher sans plus de cérémonie. Je n'eus d’autre choix que d’attraper un bouclier de légionnaire au sol et me protéger avec. la lame du gardien vint se planter dans le bouclier et en décalant sur le coté, je plantai mon Katana dans son épaule. A ma grande surprise, le Gardiens poussa un hurlement de douleur et recula sur le coté comme si il était assaillis de spasme. Il tenait son épaule en poussant des gémissements a la fois de douleur et de rage.

-Sale garce… Comment as tu osé…

Il saisit mon Katana toujours planté dans son épaule et tira lentement d’une main tremblante. Jamais je n’avais vus les Gardiens afficher pleinement leur douleur, eu qui avait plus l’air d'être plus des puissances que des hommes. Il réussis a arracher mon arme et la jeta a mes pieds, son épaule dégoulinait d’un étrange liquide noir qui tendait vers le violet et le rose. Il devait s’agir d’une particularité de l’épée mais comment cela pouvait être possible que le Gardien avait aussi mal par un simple poison.

-Tu es contente? Grogna le Champion furieux. J’ai perdu l’usage de mon bras maintenant!! Je ne sais pas ou tu as trouver cette lame mais sache que pour le simple fait de l’avoir utilisé, tu es une aberration de la nature!!

-Mais j’en savais rien! Répondis je, légèrement paniqué par la rage qui montait dans le Gardien.

-MEURT!!!!!!!

J’eus d’autre choix que de me précipiter vers le Katana qui semblait être redoutable contre les Gardien mais a ma grand surprise et a mon grand malheur, ce dernier avait disparus. Je roula sur le coté pour éviter le coup d’épaule du Gardien qui pulvérisa le mur sans plus de cérémonie. J’entrai dans l’ouverture et une le bonheur de remarquer qu’il s’agissait de la salle des preuves et donc la ou était placé sûrement mon vrai Katana. Les deux gardes chargés de la sécurité n’eurent pas le temps d'être surpris car le Champion c’était chargé de leur cas. Il avait posé un genou a terre pour reprendre son souffle mais il semblait avoir… du mal a se lever.

-Comment as tu osé corrompre notre dans contre nous? Grogna le Champion malgré la douleur qu’il ressentait.

Je ne comprenais pas le moins du monde ce qu’il disait et je m’approchai du coffre a moitié détruit, pour récupérer mon arme.

-Corrompre l’oeuvre de mon père. Tu ne mérite même pas l’honneur qu’il ta fait. On aurait du t'abattre sans réserve a la première occasion.

Mais par les neuf, de quoi parlait il? Comment aurais je pus me procurer leur sang pour le “corrompre”? Le champion se releva avec beaucoup de difficulté et me fit face. Il était épuisé, cela crevait les yeux ainsi qu’il tenait a peine debout et qu’il avait juste assez de force pour tenir son épée. Il fis un pas vers moi et se mis soudainement a hurler en se tenant la tête. Dire que c’était juste le Katana qu’avait invoqué Eloé qui était la cause de tout ceci. Un étrange liquide noir au reflet violet se mis a dégouliner des ouverture du casque du Champion. Jamais je n’aurais crus voir ça de toute ma vie.

-Tu… Vas… Mourir.

Dans un rassemblement de ses force restante, le Champion se ressaisit et me fonça dessus mais son coups n’avais pas la force d’avant car je pus le parer sans effort. Mieux valait ne pas avoir pitié car jamais je n’aurais d’aussi belle occasion de tuer un Gardien de Lorkhan de toute ma vie. Je dévia l’épée sur le coté et porta un coup sur son flanc mais malheureusement, et malgré qu’il se battait avec la main gauche, le Champion para et me mit un coup de casque en plein front qui était pour le moins douloureux.

La porte menant a la salle des preuves s’ouvrit et trois légionnaires, sûrement alerté par la destruction du mur entrèrent épée au poing. Le Gardien embrocha le premier a la gorge et décapita le second. Mais, il laissa volontairement le troisième fuir, sûrement voulait il que je me prendre toute la garnison de la ville au cas ou je vaincrais le Gardien. Je tentai une charge qui s'avéra être une magnifique réussite car je planta mon arme dans le ventre du Gardien. Ce dernier poussa d’abord un gémissement puis un hurlement qui aurait pus me percer sans aucun soucis les tympans. Je plaqua mes mains sur les oreilles mais reçus une gifle tonitruante du Gardien qui me mis a terre. Mon adversaire avait arrêté de crier mais il ne pouvais même plus tenir sa propre épée dans ses mains et la laissa tomber au sol. Il avança vers moi en traînant les pieds presque comme un zombie.

-Tu n’as gagné aucun mérite dans cette victoire… sale chienne…

Il se mis alors a tousser et du sang très sombre sortis des ouverture de son casque.

-Erreur de la nature… monstre… tu ne mérites même pas le droit de vivre…

Cette fois si, ses jambes ne purent plus le porter et il s’écroula sur ses genoux. Qu’importe ce qu’il y avait dans le poison du Katana mais c’était terriblement efficasse contre les Gardiens. Je m’approcha de lui, prudente et prete a frapper mais meme a un metre de lui, il ne bougea pas. Apres quelque minutes, il releva difficilement la tete pour me regarder et je pus voir ses yeux dans son casque emplis de colère et d’indignation.

-Mon père te tuera… Il arrachera l'âme corrompus de ton corps pour la brûler…

Je plaçai mon Katana sous sa gorge mais je fus extrêmement surprise lorsque le Champion attrapa ma main et me tira vers lui pour que nous soyons face a face.

-Je meurt peut être aujourd’hui… mais ne t’attend pas a vivre encore longtemps.

Il me repoussa et, après avoir lâché son dernier soupir, le Gardien s’effondra sur le sol avant de disparaître définitivement du Nirn dans un flash blanc. Jamais je n’aurais eu autant de chance pour tuer un Gardien et cela ne se reproduira pus jamais. Maintenant que la pression était retombé, je restait assise en tailleur pour reprendre mon souffle et mes esprits mes des bruits de pas et des ordre lancé dans les couloirs me rappelèrent que j’étais encore dans un lieu hostile.

-Il est temps de ficher le camps. Commentais je a voix haute avant de partir.

Malgré le déploiement de force proprement incroyable de la garde pour me retrouver, s’enfuir fus plutôt simple car tous étaient sidérés du chaos qu’avait généré mon combat contre le Champion Éternel. je pus d'ailleurs m’apercevoir que je n’était pas dans le quartier de la prison Impérial mais dans des niveau inférieur de la tour d’Or blanc dont je n’avais même pas entendus parler par mon père. Quoi qu’il en soit, ma fuite fut plus simple que prévus et ce n’était pas pour me déplaire bien au contraire. Dans la plus grande discrétion, je retourna a l'hôtel Tiber Septims. Juste pour récupérer mes affaires car mieux valait que j’aille dormir hors de la ville. Je fus a peine surprise de voir Eloé qui m’attendait dans le hall, droite comme un piquet.

-Maman!! S'exclama gaiement la Daedra.

-La ferme! Sifflais. Tu veux réveiller tout le monde!!

Eloé fis non de la tête avec son sourire comme a son habitude. Je lui ordonna de m’attendre ici et je monta lentement les escaliers. Il devait être vers les trois heures du matin et d'après le silence qui régnait, tout le monde dormait. Je m’approcha de la porte de ma chambre et ouvrit. Tout était noir je fus donc très rassuré car cela voulait dire que Fevila dormait encore. J’entrai mais eu la peur de ma vis lorsque la porte se referma derrière moi et que j’entendis la voix de mon amante.

-TU ÉTAIS OU!!??

Les joies de la vie en couple probablement.

bon chap' malgre quelques fautes

• Son de cornemuse*

Et ainsi périt le brave Champion Eternel

Bon chapitre

Quelle faiblitude de la part du champion !

Chapitre 73 : Une dernière route

Inutile de préciser que Fevila n’était pas très contente au sujet de mon escapade dans le Palais Impérial mais ce qui la révulsait encore plus était le fait de lui avoir caché se projet. Elle a donc mis une heure a me disputer et je devais bien admettre que je le méritais car ma L’impératrice avait cessé d'être ma mère il y a longtemps donc je n’avais rien a faire la bas. Quoi qu’il en soit, une fois ses émotions passé, elle me laissa prendre mes affaires pour que j’aille dormir hors de la ville mais elle m’intima d'attendre tout le groupe pour reprendre la route. La Dunmer fus plutôt surprise lorsque je lui annonça j’y allais avec Eloé mais au moins, j’étais sur qu’elle était vraiment calmé.

J'enfilai un Kimono et sortie. Je n’eus même pas besoin de dire quoi que ce soit a la Daedra qu’elle me suivit d’elle même sans poser la moindre question. Il était claire que je quittais la ville au bon moment vus a qu’elle point les gardes commençait a être en alerte et je dus même profiter de quelques uns de mes pouvoir pour être tranquille. Moi et Eloé traversâmes le grand pont et prirent une chambre dans l’auberge de Weye. Je ne perdis pas le temps a faire la causette avec l’aubergiste que nous allâmes dans notre chambre ou j’ordonnai a Eloé de dormir sur le champ. Cette dernière s'exécuta directement, je pus donc m'asseoir sur le planché et ouvrir le livre noir d’Herma Mora.

-Une nouvelle victoire pour notre cause, jeune fille. Commença le Prince du Savoir. Je suis très heureux de vos progrès.

-Je ne vous ais pas appelé pour me faire féliciter, j’ai besoin de réponse. Demandais je calmement mais légèrement autoritaire.

-A quel propos?

-Le Champion Éternel a dit que j’avais… corrompus son sang. De quoi s’agit il?

Le prince Daedrique ne répondit pas tout de suite et se contenta de glousser. Cela était plus qu'énervant car ça voulait dire qu’il savait des chose que j’ignorais, mais je devais garder mon calme car je savais qu’il ne fallait pas provoquer un entité supérieur.

-Votre esprit n’est pas prêt pour ça. Continuer votre mission et vous le saurez un jour.

-Je serais sans doute plus efficace si VOUS ARRÊTIEZ DE ME CACHEZ DES CHOSES, BORDEL!!!!!

Hermaeus Mora éclata de rire et referma le rire sans répondre a ma demande. Je n’en pouvais plus de tout ces petits secrets et ses questions sans réponse dans ma tête ou mon “seigneur” connaissait toute les réponses. Je finis par secouer la tête et ranger mon livre dans mon sac. Je m’approchai du lit et me glissa dedans en essayant de ne pas réveiller Eloé qui dormait a poing fermé. Je repensai alors a ma mère. Devais je la revoir dans de meilleur circonstance?

-Nan, j’ai une nouvelle famille qui m’attend maintenant. Répondis a moi même avant de fermer les yeux et de m’endormir.

Le nuit fut plutôt calme et je me réveillai vers huit heures du matin. Je me levai pour me préparer et une fois cela fait, je sortie. Inamora et Fevila m’attendais a une table du hall de l’auberge et elle allèrent a ma rencontre sans tardé. Je ne saurais dire pourquoi mais j’étais sur qu’elle avait quelque chose derrière la tête.

-Miria. Commença Inamora. Tu vois, moi et Fevila avons réfléchis sur… ce qui c’est passé hier et je pense que quand tu seras arrivé dans ta nouvelle maison tu devras arrêté d’avoir t’es secret a toi.

-J’ai bien le droit d’avoir des secrets comme tout le monde, nan? Répondis je.

-Sauf ceux qui concerne les massacres gratuits dans la tour d’Or blanc. Rétorqua Fevila.

Sur le coups , j’étais un peux embêtée car j’avais juste dit a Fevila que j’avais infiltré la tour, combattus et battus un gardien mais rien de plus.

-Vous êtes au courant? Demandais je légèrement gêné par la situation.

-Pas juste nous. Me répondis Inamora. Toute la ville, c’est écrit en grosse lettre noir sur fond blanc dans le courrier du cheval noir qu’un massacre a eu lieu dans la tour d’Or Blanc.

Je ne répondis rien alors qu’Eloé me serrait la jambe dans ses bras mais étrangement, j’étais prête a accepter son réconfort.

-Tu as un autre secret a nous révéler avant de partir? Demanda Fevila comme une accusation.

Devais je leur dire que je devais rencontrer le chef des Gardiens a Bruma. En temps normal j’aurais refusé mais toute les deux étaient au courant a propos des Gardiens de Lorkhan et Inamora semblait être… “Épargné” par eux.

-Et bien…

Je me stoppa pour m’assurer si je devais le dire ou non avant de reprendre.

-Dans la tour d’Or Blanc le chef des Gardiens et venus a ma rencontre pour me dire que je dois l'affronter a la chapelle de Bruma.

-Ok et pendant que tu y es, il c’est mis a rire de façon diabolique quand il est partie? Se moqua Inamora.

-Sans vouloir te contrarié Miria, ça sens le piège a plein nez cette histoire. Continua Fevila.

-Je sais!! Mais… je ne sais pas pourquoi, il ne semblait pas avoir cette idée en tête… Et c’est ma seul occasion pour le tuer.

La Dunmer et la rouquine restèrent silencieuse tout en se regardant. Je savais très bien que ce que j’avais dit pouvais paraître complètement étrange mais bon, je n’avais pas vraiment le choix. Sois j’affrontais le chef des Gardiens a Bruma et je pouvais en finir une fois pour toute avec cette histoire ou sois je ne le faisais pas et les gardiens me re traqueraient comme avant.

-De toute façon on est pas encore arrivé a Bruma. Donc en attendant, tu te tiens a carreau.

Je hocha la tête sur “l’ordre” que m’avait donné Fevila et nous pûmes enfin reprendre la route. Fevila m’avait obligé a lire le courrier du cheval noir d’aujourd’hui et le moins qu’on pouvais dire, c’est que l’Empereur ne c’était pas foulé en accusant une meurtrière du massacre de quarante cinq “courageux légionnaires” et de la tentative d'assassinat de l’impératrice. C’était pas le genre de beau père qui faisait les chose a moitié en tout cas.

Le souvenir de mon ancienne mère revint une nouvelle fois dans ma tête ainsi que celui de mon père. Chaque bon moment que j’avais passé avec eux dans mon ancienne vie refirent surface. A cette époque, j’étais loin, très loin de me douter ce que j’allais vivre. J’étais juste une fille unique aimée de ses parents prêt a tout sacrifié pour elle et pour mon père, ce fus vrai. Je commençais a me demander si j’allais retrouver la même ambiance avec la famille d’Inamora, Azaelle n'égalerait jamais Natch Wavrick comme papa c’était certain mais Elizabeth semblait être prête a tout consacrer pour sa famille. Le visage de mon père m’apparus alors dans mes pensé, souriant mais avec une lueur de tristesse dans son regard. Je pouvais comprendre le fait que notre famille se sois si brutalement brisé mais il était heureux de moi et de mon choix. J’attendais avec impatience le jour ou je le rejoindrais mais j’avais encore toute la vie devant moi.

-Ça va Miria?

Je redressa la tête et vie que c’était Inamora qui m’avait adressé la parole.

-Oui, pourquoi?

-Bah, tu pleures.

Je passa ma main sur ma joue pour remarquer que en effet, j’avais versée des larmes. Peut être que ces souvenir étaient remonté trop brutalement en moi et me faisait regretter se temps. J'essuyai mes larmes avant d’indiquer a Inamora que tout allé bien. Il s’agissait certes d’un petit mensonge mais je ne voulais pas l'embêter avec mes souvenirs car demain, je pourrais enfin vivre normalement. Eloé était assise sur mes jambes et discutait avec Elizabeth, étrangement celle que je qualifiais de bâtarde me rappelait moi il y a dix ans avec ma curiosité insatiable sur Akavir. Dire que un seul voyage dans ce continent que je favorise plus que tout ma changé a jamais.

-Au fait, on pourra s'arrêter pas loin de Bruma? Demandais je.

-Heu… je pense que oui… mais pourquoi? Me répondis Elizabeth.

-Juste une dernière affaire a régler avant de quitter Cyrodiil.

Je décidai rapidement de m’endormir pour que le voyage me soit moins long et malgré Eloé qui était sur mes jambes, je pus rapidement être saisie par le sommeille. Mes rêve furent étrange, j’étais en Apocrypha en train de lire les innombrable ouvrage au couverture noir d’Hermaeus Mora. Le temps passait a une vitesse ahurissante mais pourtant, je ne semblais pas perdre la raison. Je restais calme en enregistrant chaque mot de tout les livres. C’était le reve de n’importe quel érudits, je fus donc surprise de faire alors que la seul chose que je savais faire c’était tuer.
Fevila me réveilla quelques heures plus tard, il devait être quatre heures de l'après midi. Je sortie de la calèche et fus légèrement surprise par le froid qui régnait dans le nord de Cyrodiil. Bruma était en vue, on c’était arrêté dans un petit bois pas loin de la ville. Je commença alors a m’avancer mais quelqu’un retint mon bras.

-On t’accompagne jusqu’au porte de la ville que tu le veuille ou non. M’annonça Fevila sans lâcher mon bras.

Je porta mon regard sur la Dunmer avant d’aller sur Inamora, Ili et Fyrre. Elles étaient déterminé et les faire changer d’avis était purement impossible. Je hocha la tête et toute ensemble, nous nous avançâmes vers la ville. C’était juste un dernier effort pour être débarrassé des Gardiens une bonne fois pour toute et enfin vivre ma vie une nouvelle fois. Nous atteignîmes les portes de la ville rapidement. Je n’avais plus qu'une chose a faire avant d'être confronté au chef des Gardiens.

-Bon, c’est le moment. Annonçais je a mes consoeurs.

-Je t’interdis de crever. M’ordonna Ili. N'oublie pas ta promesse.

-Je suis trop pour ça de toute façon. Répondis je.

-Au moins, quand tu en auras finis, j’aurais une soeur sans problème ou tueur derrière elle. Déclara avec le sourire Inamora.

Je gloussai et me me retournai vers les imposantes porte en bois de Bruma. Le moment était venus.

-Bon, attendez moi, ça devrais prendre six minutes.

-Tant que tu mes pas six ans ça me va. Rétorqua Fyrre.

Je lança un dernier regard vers Fevila qui était silencieuse, et je passai les portes.

Linvocateur aurait-il perdu son correcteur orthographique ?
Ne manque-t-il pas des mots ?

Quand la sortira-t-elle ??? Quoi que quand sera il mangera ?

Pourquoi de ?

Miria va-t-elle se faire grave dézingue ?

• s'assit sur un gros cactus en lâchant une ch'tite larme*

Je resterais assis sur ce truc temps que le fic sera pas fini
Alors la sweet please j'ai le feu au cul

Chapitre 74 : Toute la vérité

Bruma était déserte, la dernière fois que j’avais quitté la ville, celui qui était l’un des Gardiens avait défié ce connard de Kaykalak mais ce que je ne savais pas, c’est qu’il a après entrepris une véritable purge de la population. Des bûchés de cadavre calciné étaient recouvert de neige et parcourais les rues. J’avais du mal a comprendre pourquoi le Gardien avait fait ça mais au final, je le serais peut être par la bouche du chef des Gardiens. Je m’approchai de la Chapelle de Talos a grand pas, peux de chose me séparait d’un grand nombre de réponse qu’on m’aurait caché et j’entrai sans plus de cérémonie.

Choisir la chapelle de Talos comme lieu de rendez vous était plutôt… étrange selon moi. Les Gardiens, a part celui que j’avais affronté lors de mon voyage vers Bordeciel, ne semblait pas vraiment être porté sur la religion. Pourquoi ne pas avoir fait ça directement dans une clairière proche de la Cité Impérial? Je décidai simplement de m’approcher de l’autel en attendant la suite des événements mais rien ne semblait bouger.

-J’aurais du me douter que quelque chose n’irait pas. Commentais je a moi même.

-Comme quoi?

un homme, vêtus de la même manière que celui dans la tour d’Or blanc se tenait soudainement de l’autre coté de l’autel en face de moi. C’était un homme au cheveux brun coupés court avec une barbe et une moustache taillé dans un bouc des plus impeccable. Sa peau claire ne cachait pas ses origines nordique malgré le fait qu’il ne sois pas véritablement une armoire a glaces. La plus grande de ses particularité était une cicatrice prononcé sur sa gorge, il avait survécus a un égorgement mais pouvait parlé normalement. Étrangement,il me disais quelque chose, je l’avais déjà vus quelque part mais ou? J'étais malgré tout déçus car ce n’était qu’un homme et c’était pourtant lui qui dirigeait les Gardiens de Lorkhan.

-Vous avez donc vaincus mon fils. Dit calmement l’homme. Il a toujours était téméraire et avais la fâcheuse tendance a sous estimer ses ennemis.

-En attendant c'était lui ou moi. Rétorquais je.

-Certes, mais si tout c'était passé comme prévus, jamais vous n’auriez du croiser notre route.

J’étais perplexe par la déclarations de l’homme, que voulait il dire par la?

-Ah, je suppose que je peux vous accordez enfin des réponses pour être arrivé aussi loin et avant de vous tuer. Donc…
L’homme se tut et croisa les bras en réfléchissant.

-Par ou commencer… Oh, j’ai trouvé. Combien de mes enfants avez vous rencontré?

-Eh bien… quatre dont un que je ne connais toujours pas l’identité. Répondis je très interrogé par cette question.

-Oui en effet. Le cinquième, le quatrième, le troisième et… le premier. Mais jamais vous n’avez rencontré la deuxième.

-”La” deuxième. Questionnais je.

-Oui, ma seul fille. A l’époque ou je l’avais crée, elle servait Uriel Septim VII comme “l’agent”. Mais elle a été détruite quelque année plus tard par cette Ayléide méprisable du nom de Fyrre.

Le fait que Fyrre avait réussis a détruire un Gardien me laissait sans voix, pourquoi ne m’en avait elle jamais parlée?

-Mais sa force n’était pas suffisante pour la détruire totalement, son âme avait simplement volé en un grand nombre d’éclats que j’ai récupéré au fil des décennie mais un d’entre eux m’échappa en ce logeant dans un enfant encore dans le ventre de sa mère.

-Sans vouloir vous vexer monsieur mais j’ai complètement oublié la raison de cette discutions. Annonçais légèrement agacé.

-Chuuut patience, tout arrive a un point nommé au temps voulus. Quoi qu’il en soit, l’enfant grandis avec se pouvoir en elle. Nous avions déjà emprisonné l'âme de Fyrre dans son épée a l’époque et nous l’avions envoyé en Akavir pour être sur qu’il ne nous gênerait plus mais plus tard, nous avons remarquer que la fille était sur ce même continent et… proche de la lame.

De tout les scénario que j’avais imaginé, celui la était le plus improbable et même trop pour être vrai. C’était juste une énorme coïncidence.

-J’ai donc envoyé le troisième pour aller a sa rencontre. Le bout d'âme qui était dans l'adolescente contenait la conscience de ma fille je pensais donc que si elle était en contact avec l'âme de Fyrre, sa conscience se réveillerait et prendrait le contrôle du corps de l'adolescente. Mais comme tu le sais, ça ne c’est pas du tout passé comme prévus.

Je secoua la tête, borné a ne rien croire a ce que disais l’homme.

-C’est impossible. Parvins je a articuler.

-Car maintenant, cette adolescente est en train de tuer mes fils un par un avec le pouvoir de ma fille et en le corrompant.

-C’est impossible!! Hurlais je. Je n’est jamais utilisé un quelconque pouvoir caché en moi!!

-Es tu sur?! Dois je te rappeler le nombre de fois ou tu aurais du mourir? ta grande capacité d'aprentissage qui t’a servit a apprendre deux des techniques Akaviroise les plus difficiles? Ta grande résistance a la douleur et ta forte volonté? Et ne me dit pas que tu n’a jamais fait de rêve de toi mais qui se comportait autrement.

Cette fois si je ne pus rien vraiment répondre car ce n’était maintenant plus une coïncidence, il y avait vraiment quelque chose qui clochait. Mais même la, je ne pouvais croire que j’avais vécus tout ce temps sans même me rendre compte que quelque chose d’étrange était en moi. Même pour le rêve, l’homme avait vue juste, c’était donc elle sa fille? Celle qui me ressemblait dans le rêve que j’avais fait.

-Si vous saviez ou était le morceau d'âme de votre fille depuis le début, pourquoi vous n'êtes jamais venus le chercher? Finis je par demander.

-Car en faisant ça je me révélerais au monde ce qui n’est clairement pas mon objectif. Mon but est de surveiller le Nirn dans l’ombre pour que l’humanité ne commette pas la même erreur sur moi.

A ce moment la, je me rendis compte que l’homme ne c’était jamais présenté a moi. Était ce un autre héros a l’identité inconnus du Nirn?

-Vous connaissez beaucoup de chose sur moi. Commençais je prudemment. Mais je ne sais rien sur vous.

-Il est vrai que ce n’est pas la forme la plus… connue de ma personne que j’ai prise. Les nordiques me voient comme un grand héros alors que l’Empire me connaît comme le fondateur de la ligné d'empereur la plus prestigieuse de toute.

-Eh donc?

-Je suis Tiber Septim.

De tout ceux que je pensais être le chef des Gardiens, jamais je n’aurais crus qu’il s’agissait du Dieu des hommes. La simple prononciation de son nom me fit titubé sous la surprise et mon Katana me glissa des mains. Maintenant je savais pourquoi il me disait quelque chose car j’avais vue son visage de la sorte sur un grand tableau que j’avais entre aperçus lors des fois j’étais dans la tour d’Or Blanc.

-C’est impossible… articulais je dans un souffle.

-Pourquoi donc? Me répondis Talos.

-C’est trop invraisemblable.

-Tu devrais savoir que dans un monde de magie, rien n’est invraisemblable. Dois je te rappeler que tu es poursuivis par mes fils qui son chacun un grand héros sans nom? Rien n’est impossible dans le Nirn.

Malgré tout, je ne pouvais croire que j’avais Talos en face de moi. Tiber Septim était mon ennemis depuis le début et cela me sciait les jambes. Le Dieu, voyant mon regard plein de question, commença a s’approcher de moi.

-Pour ce qui est du pourquoi j’ai pris la décision de créer les Gardiens, c’est parce que l’Empire ne peux pas exister sans moi. Commença Talos.

-Pardon?

-C’est pourtant claire, avant que je ne prenne le contrôle de l’Empire, Tamriel était plongé dans le chaos le plus grand. Lorsque je suis venus au pouvoir, j’ai unifié le continent, une chose qui n’avais jamais été fait avant. Mais au fur et a mesure que je vieillissais, je ne pouvais m'empêcher de pensé a ce que Deviendrais l’Empire et Tamriel sans moi.

-C’est a ce moment que vous avez décidé de devenir un dieu? Demandais je.

Talos parut outré par ma question et ne ce le cachait pas le moins du monde.

-Ce sont les hommes qui on décidés de croire cela, je ne suis aucunement un divin. J’ai juste atteint un autre plan d'existence. Mais les mortels sont prêt a croire de nombreuses bêtises. Quoi qu’il en soit, j’ai par la suite créer les Gardiens lorsque j’ai vue que certain événement était trop difficile a gérer a moi tout seul… mais même comme ça j’ai encore du mal.

-En effet vus que vous n’avez pas pus empêcher la grande guerre.

-J’ai précipité la grande guerre volontairement.

Cette réponse me sidéra a un tels point que j’en tomba sur les fesses. Comment Talos avait osé mettre en difficulté de la sorte les siens. Il disait vouloir protéger l'empire mais il a lui même faillit précipiter sa chute… volontairement.

-Comment avez vous oser? Demandais je toujours éberlué par le calme de la réponse de Talos.

-N’as tu pas remarquer a quel point l’Empire de maintenant et faible? A quel point il n’a plus rien a voir avec celui de la Ligné des Septims? S’offusqua Tiber Septim. Moi oui et je n’en pouvais plus. J’ai donc fait en sorte que l’Empire soit malmené de la sorte pour qu’il se réveille!!

-Des milliers d’hommes sont mort pour vous!! Hurlais je, indignais par le comportement de Talos.

-Et si ils continuent, je détruirais cet Empire faible de ma main!! La mort des sombrage aurait du être un châtiment exemplaire non!?

Cette fois, je ne pouvais plus en entendre d’avantage. Je saisis mon Katana avant de bondir vers Talos et lui porter un coup en direction du crane. Talos dégaina un glaive et para mon attaque.

-Vous n'êtes pas un dieu mais un monstre!!Sifflais je a l’attention de Tiber Septim.

Le concerné resta inexpressif et claqua des doigt. Le décors changea, la chapelle disparus pour laisser place au ciel et sous mes pieds se trouvait bruma. Nous étions dans les airs. Légèrement mal a l’aise par le fait de flotter dans le ciel sans tomber, je recula de quelque pas avant de me remettre en garde face a Talos.

-Cette fois, pas d’intervention extérieur quelconque, juste toi et moi. Expliqua Talos. C’est un combat a mort et je compte bien récupérer le morceau restant de ma fille en toi. Maintenant, nous pouvons commencer.

• S'enfonce un gros cactus dans le cul*

WATT DA PHOQUE !!

LA SWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEET !!!

Chapitre 75 : La chute

Le discoure les explications de Talos me suffirent pour accepté ce qu’il voulait lui même, que les Huit n’avaient jamais été neuf un jour. Je me jeta sur lui, le Katana brandit tout en essayant de conserver mon sang froid de la meilleur façon. Talos fis un pas sur le coté et me réceptionna d’un coup de genoux en pleine mâchoire. J'encaissai la douleur pour me relancer dans un enchaînement de coups rapide tous plus mortelle les uns que les autres. Mais mon adversaire ne semblait pas subir une quelconque difficulté a parer mes attaque et cela devenait vraiment frustrant. Il réussis a dévier ma lame et m’envoya au “sol” par un coup de pieds dan l'abdomen.

-Tu affronte quelque chose qui te dépasse Miria,. Dit Talos en s’approchant de moi. Il ne peux y avoir que l'échec a la fin de ta quête perdu d’avance.

-Pourtant j’ai tué trois de vos précieux fils!! Sifflais je entre mes dents.

-Le Dovahkiin était jeune est inexpérimenté, le Nerevarine était contre trois personne dont une qu’il n’avait pas le droit de tuer et le Champion Éternel a été vaincus par le pouvoir corrompus de votre fille.

Je n’eus pas le temps de répondre que Talos tenta de m’embrocher de son glaive, je roulai alors sur le coté et portai un coups ver les jambes de Tiber Septim mais ce dernier plaqua mon Katana au sol invisible en me donna un coup de pied en plein visage se qui me fis glissé a quelques mètres de mon ennemis. Je me relevai a temps pour saisir mon Tanto dans ma jambière et me mettre en garde face au Talos. Ce dernier ne semblait vraiment pas me craindre, il ne se mettais même pas en garde alors qu’il s’approchait de moi, ce comportement trop confiant me m’était hors de moi mais au final, j’allais voir qu’il avait raison.

Je bondit pour tenter de le poignarder mais je dus a la place dévier son glaive qui fonçais droit vers mon cœur. Je réussis a faire malgré tout une roulade et saisir mon Katana mais je ne pus esquiver que partiellement le glaive qui se logea dans ma cuisse. J’avais malgré tout de la chance car la lame n’avait pas touché l’os mais par les huit qu'est-ce que ça faisait mal. Talos retira son arme lentement de ma chaire avant de m’asséner un coup de poing dans le ventre suivis d’un autre dans le menton qui me fis reculer.

-Tu n’es pas de taille. Dit Talos en restant immobile et même ennuyé.

Je me fichait pas mal de ce qu’il pensait, je devais le vaincre pour commencer pleinement ma prochaine vie. Je me relança donc dans le combat mais avec un peux plus de prudence. Talos porta la première attaque cette fois et après ma parade, je tentai un un coups de talon dans sa mâchoire mais le dieu esquiva pour essayer de me couper la jambe net. Ma lame fis obstruction et je réussis a lui mettre une béquille mais avant que j’eus le temps de profiter de la situation, je reçus un choc un pleine poitrine, en pleine cage thoracique.

Je sentais mes cottes qui serraient mes poumons un peux plus, depuis mon dernier combat contre le Nerevarine j’avais oublié d'arranger les dégâts dans cette zone et c’était maintenant un gros problème car il suffisait d’un rien pour que Talos ne perfore mes poumons. Je me redressa d’ignorer la douleur perçante qui me traversait et fis face au dieu… ou plutôt au faux dieu. Ce dernier secoua la tête en me regardant.

-Pourquoi tu t’acharne? Tu ne peux pas me battre donc laisse toi faire.

-Plutôt retourner voir Molag Bal! Pestais je.

Talos secoua la tête une nouvelle fois et me chargea, je dévia son attaque sur le coté et tentai de lui mettre un coup dans le ventre mais le mon adversaire bloqua ma main et me mis un coup de pommeau dans la mâchoire avant de se relancer au combat. l'enchaînement de ses attaques furent très difficile a esquiver, il s'agissait de fentes mais d’une rare précision. Au final, Talos se recula et envoya un globe d’énergie vers moi que je reçus en pleine épaule. L’onde de choc me fit voler sur trois bons mètres, je pus néanmoins retomber sur un genoux pour ne pas être totalement déséquilibré. Mais je me redressa bien vite lorsque Talos me chargea de nouveau.

Je décidai de le prendre de court, et lorsqu’il fus assez prêts pour ne plus rien voir venir, j’esquivai son coups en me baissant avec un grand écart pour envoyer le bout de ma lame dans le ventre de Talos mais une grande déceptions m’attendait. Mon Katana se contenta de passer a travers mon adversaire, comme si il s’agissait d’un simple fantôme. Talos gloussa en voyant mon expression et me porta un nouveau coups que je réussis a esquiver en passant entre les jambes de Talos. M’attrapai mon Katana et refis face au faux dieu.

-Pourquoi refuse tu ton destin? Ne vois tu pas que c’est perdu d’avance? Questionna mon adversaire.

Je préférai ne pas répondre et charger de nouveau Talos, ce dernier para malgré tout mes attaques sans vraiment de difficulté. En vérité, j’avais l’impression que tout ce combat n’était qu’une mascarade et que si Talos voulait mettre un terme a ce combat, il n’aurait aucun mal. Mais je ne voulus pas me décourager, mes attaques devinrent plus rapide et sournoise mais même comme ça, Talos ne montra pas la moindre difficulté. Ce dernier me pris même de vitesse en me repoussa d’un coups de poing dans le ventre suivit d’un grand coup de glaive que je bloquai malgré l’épreuve de force trop difficile a conserver.

-Tes amies seront épargné le temps que je ressuscite ma fille, donc quelques années. Annonça Talos pendant notre épreuve de force. Quant a la chose corrompus qu’est ton enfant, elle sera purgé par ma fille.

Alors qu’il avait juste finis sa phrase, je lui mis un coup de boule en pleine mâchoire. C’était peut être enfin mon tour de me venger des précédentes attaques que j’avais reçus. Mais ma petite vengeance ne dura pas longtemps lorsque je reçus une nouvelle onde de choque de plein fouet et en observant son visage, je ne vis aucun bleu sur son visage, a croire que mon coups celui avait rien fait, comment vaincre quelque chose que je ne pouvais pas frapper? Talos et moi nous observions pendant de longue minutes et je savais pas vraiment pourquoi il me laissait ce répit car il pouvais me vaincre sans vraiment de difficulté.

-Pourquoi vous jouez avec moi? Finis je par demander.

-Je ne joue pas, je te teste.

-Eh bien arrêtez!!

-Non.

Talos s’élança vers moi et je ne pus esquiver son attaque qu’au millimètre près. Cette adversaire était belle et bien hors de mes capacités, je ne pouvais le vaincre seulement si il se déconcentrait. Mais ça, je pouvais seulement le rêver. Talos me stoppa net dans mon esquive avec un coup de genoux en plein dans l’abdomen qui m’envoya au tapis sans plus de cérémonie. Talos plaqua son pied sur ma cage Thoracique mais en forçant suffisamment pour m'empêcher de bouger a cause de la douleur. Ceci n’était pas vraiment un duel mais une leçon d’humilité a mon attention.

-Penses tu encore avoir des chances contre moi? Demanda Talos. Ou dois je sévir d’avantage?

-Je me battrais... jusqu’au bout!! Pestais je.

-Ainsi soit il, je ne te test plus.

Talos me saisit a la gorge et me remis sur pieds avant de m'enchaîner par une série d’attaque extrêmement rapide que je ne pus parer que partiellement car de nombreuse coupure apparaissaient sur mes bras. Sans suivit alors une autre série d’attaque tout aussi rapide mais très violente et placé de façon verticale, comme si il se servait d’une hache ou une massue. Je plaçai mon katana de manière a bloquer la t’attaque mais je fus malgré tout mise a genoux sans grande difficulté. Dire que j’avais voulue qu’il arrête de jouer car au final, il m’avait laisser une chance de gagner. Maintenant je n’en ai plus aucune.

Alors que les coups continuait de pleuvoir sur moi, je repensai a Fevila et Inamora. Je ne voulais pas les décevoir, je voulais le vaincre pour les retrouver et commencer ma nouvelle vie. Tout paressais finis maintenant. Je refusais de croire a ce destin que je ne voulais pas et je poussa vers l’avant pour déstabiliser Talos mais ce dernier fit briller son glaive et l'abattit sur mon Katana qui éclata en morceau sous le choc. Le glaive continua sa course et me taillada la chaire de l’épaule droite a mon flanc gauche. C’était donc ça, la douleur qui précédait la défaite. Encore sonné par l’attaque que j’avais reçus, je tomba a genoux avant de remarquer les morceau de mon Katana, les morceau de mon amour perdu.

-Yoshiko…

-Tu as perdu. Annonça Talos. Laisse moi en finir maintenant.

Je pris dans mes mains un morceau de lame, encore sous le choc de la destruction du Katana que m’avais fait Yoshiko. Jamais je n’aurais cru que se jour arriverait, je n’avais plus rien de Yoshiko sur moi. Talos s'apprêta a me transpercer lorsque je le chargeai pour lui asséner une série de coups. Malheureusement, mon adversaire fut bien plus vif que moi, et après m’avoir asséné un coups de poing dans la mâchoire, je reçus trois fois son pommeau dans le front ce qui me mis hors jeu littéralement.

-Bien, nous pouvons enfin en terminer.

Talos me saisit a la gorge et me souleva. Je n’avais même plus la force de me débattre, pas même de lui cracher au visage. J’avais laissé passé ma chance et maintenant, Talos allait me finir.

-Tu t’es battue et tu as perdu. Annonça Talos. J’aurais du me charger de toi bien plus tôt car cela aurait évité la disparition de mes fils. Quoi qu’il en soit, je vais enfin retrouver ma fille.

Talos plongea sa main dans ma poitrine comme si rien ne le bloquais mais je sentais que quelque chose était a l'intérieur de moi. Puis il tira, j’avais l’impression qu’il m’arrachait le coeur mais lorsque sa main ressortie, il tenait un étrange globe de lumière qui flottait au dessus de sa paume. J’avais du mal a croire ce que je voyais, c’était donc ça, le morceau d'âme de l’Agent? Talos fis disparaître le globe lumineux et reporta son attention sur moi.

-Prépare toi a revoir ton père Miria.

Talos me lâcha mais au lieu de retomber sur le sol invisible, je passai au travers. J’allais tous simplement m'écraser au sol, voila ma mort. J’aurais préféré mourir l’arme a la main mais Talos en avait décidé autrement. Des larmes apparurent dans mes yeux et ma vue devint flou, j’allais mourir alors que j’avais promis de revenir en vie. Toute ma vie défila devant moi a une vitesse folle, tout mes bon moment, tout les mauvais. Je me revis a coté de mes parents comme la petite fille que j’étais.

-Désolé papa. Dit je a moi même.

Ma rencontre avec le sol fut des plus brutal, mon dos rencontra un objet trop dur qui brisa ma colonne vertébrale sur le coup. La douleur était bien trop grande pour que je pus emmètre le moindre son. La mort elle ne tarda pas a me prendre et tout devins alors noir.

Tout était finis…

Finis…

Ou peut être pas.