Bonjour et bienvenus sur ma deuxième fic. Cet fic est la suite de ma première que vous pourrez trouver ici:
Mais il n'est pas nécessaire de l’avoir absolument lue(même si cela vous sera quand même utile pour la compréhension de l’histoire).
Sur ceux, je vous dit bonne lecture.
Chapitre 1 : Le retour
J’avais longtemps imaginée comment je reviendrais en Cyrodiil mais ce qui est claire c’est que je ne l’avais pas imaginée comme ça. Les longs mois où je suis restée en Akavir, j’en ai profité pour découvrir le pays et m’entrainer au combat. Qui aurait cru que j’étais faite pour me battre ? Certainement pas moi en tout cas. Ishiro m’enseigna la technique du pas de velours jusqu’à la maîtrise total, Tashi la technique du Katana et les érudits Tsaescis : toute l’histoire du continent. En plusieurs mois, j’avais acquis des années d’apprentissage, un avantage extrêmement important et trouvable seulement en Akavir. Lors de mon dix-septième anniversaire, j’avais reçu un grand nombre de cadeau mais le plus beau de tous fut un retour direct en Cyrodiil. J’eu bien du mal à dire adieu à ma nouvelle maison et surtout à Tashi mais de devais maintenant retourner à ma place, sachant que j’ai la promesse de mon père à honorer et après tout, j’ai Yashakenn avec moi. La Yurei n’avait plus rien à faire en Akavir et elle ne voulait plus avoir à faire au représentant de sa race ayant virés dans la folie meurtrière, ce n’était pas un problème pour elle car elle ressemblait beaucoup a une Altmer et grâce à ça, elle se fondra facilement dans la masse.
Bien entendus, le retour fut comme l’allé : Ennuyeux à mourir. Un navire dirigé par les serpents d’argent de Fasuuji, partie peu de temps après de le siège de Chengbao-hu avec le corps de Nagamitsu, arriva cinq jours avant mon anniversaire. Il est vrai que cela gâché la surprise mais vu que celui qui les commandait été Vongvild, cela aurait été très dur d’être discret. Sur les cinq semaines de voyages, je n’eus pas vraiment d’occupation. Les livres étaient d’un gout que je trouvais affreux et l’admiration de mes cadeaux ne m’occupa qu’une journée… voir une après-midi. Une grande partie d’entre eux était des souvenir d’Akavir mais certain se démarquait du lot : Une magnifique armure de samouraï ouvragé au couleur noir et violète de la part des Aizu, un véritable arsenal d’arme envoyé par Ishiro ou encore un collier de Yoshiko envoyé par Tashi. Ce collier je ne le quittais maintenant plus, les Ashen pensent que des bouts de leurs âmes s’installent dans leurs objets personnels et malgré que je ne sois pas très superstitieuse, je voulais y croire du fond de mon cœur.
Vers la dernière semaine, le nordique m’aida à confectionner une armure légère. Malgré que ça ne m’intéressais pas vraiment, j’étais pourtant prête à tout pour faire passer le temps. Apres quelque apprentissage, j’avais confectionné une armure de peau style nordique et des jambières de cuir. J’étais assise sur un tabouret dans ma cabine, en train de coudre le dernier bout de cuir à mon deuxième brassard. Ma cabine n’était pas bien remplis, un lit, une bibliothèque au livre poussiéreux, un bureau, une commode et un tabouret. Mais je ne m’en plaignais pas car le mode de vie Tsaesci m’avait habitué a moins.
-Alors Miria ? Toujours en train de tuer le temps ?
Je me retournai pour faire face à Yashakenn qui refermait la porte de ma cabine, elle au moins avait eu de quoi s’occuper. La Yurei avait passé la totalité du voyage à décortiquer la moindre information sur Tamriel et au final, elle était maintenant aussi voir plus callée que moi dans le domaine.
-Et bien oui vu que les derniers pirates que l’on a croisé n’ont pas fait long feu. Lui répondis alors que j’enfilais maintenant mes nouveaux brassards en cuire.
-Ta changée de coiffure ?
En effet, je m’étais coupé les cheveux pour qu’ils n’aillent pas plus loin que mes omoplates et j’avais attaché en queue de cheval les autres cheveux encore long alors que toutes les mèches devant le visage était plaqué en arrière. Une vraie coupe de Samouraï.
-Oui, Ishiro me la conseillée pour le combat.
Je me passais la main sur le visage, rien faire peut être tellement épuisant. Yashakenn se mit derrière moi et commença à masser mes épaules.
-J’en peu plus d’attendre. Me plaignais-je.
-Un peu de patience petite pressée.
Quelqu’un toqua a la porte et Yashakenn alla ouvrir, de l’autre côté se trouvait un serpent d’argent en armure complète. Il s’inclina et prit la parole.
-Cyrodiil est en vue.
Mon sang ne fit qu’un tour a cette annonce et sans même faire attention, je me ruai hors de la pièce pour rejoindre le pont. Les marin travaillaient comme des rats morts mais furent brutalement réveillés par mon irruption loin d’être délicate pour terminer ma course sur la proue du bateau. Je fus assaillit d’un bonheur sans nom en voyant se dessiner au loin, les cotes de la baie Topal. Je n’avais pas de mot pour décrire la joie que je ressentais en revoyant mon pays natal et des larmes de bonheur coulaient sur mes joues pour appuyer ce que je ressentais.
-Alors ? Contente ? Me demanda Yashakenn qui m’avait rejoint.
-Tu n’as pas idée. Lui répondis-je simplement.
Le navire s’avança lentement mais surement dans la baie, au loin était visible la ville de Leyawin. Malgré le fait que je n’appréciais pas vraiment cette ville, j’étais heureuse de la revoir car c’était comme si elle délimitait le territoire impérial des eaux du sud. Malgré tout, la grande ville était devenue un énorme refuge pour Khajiits et Argoniens avec les premiers qui fuyait la dictature racial du Domaine Aldmeri et les seconds pensant faire fortune en Cyrodiil. Sans le savoir, les réfugiés transformèrent la ville en un immense bidonville qui ne cessait de s’étendre. J’ai dû une fois y aller pour accompagner un camarade de l’université Arcanne voulant étudier la fameuse compagnie de Bois noir, détruite il y a deux cent ans.
Les cottes défilèrent ce qui me permit d’admirer de petit village côtier qui longeaient le fleuve Niben. Encore une fois, je n’avais aucune attention particulière a cette partie de Cyrodiil mais cela montrait bien que j’étais de retour chez moi. Une autre ville finis par se montrer, la ville de Bravil. Si Leyawin était devenus un bidonville, il fallait maintenant inventer un nouveau mot pour définir Bravil mais il ne sera certainement pas glorieux. La ville était maintenant le refuge de toutes les pourritures de Tamriel, ou le comte n’était là que pour rassurer l’honnête population… s’il en restait. Ceux qui dirigeaient étés les différents gangs mais aucun n’avait autant de puissance que la guilde des voleur avec à leur tête, le Renard Gris.
-C’est charmant comme endroit dit donc. Commenta Yashakenn sur un ton sarcastique et dégouté. Rappelle-moi de ne pas y poser les pieds s’il te plait.
-Avec plaisir lui répondis-je.
Bravil était une zone de nom loi ou tous se passaient. Vouloir y vivre de son plein gré relevait de la folie pure ou de l’ignorance la plus total. On raconte que le Thalmor tenta d’arrêter un adepte de Talos dans la ville sans se douter que ce dernier était un assassin de la confrérie noir. On aurait retrouvé les Justiciars pendus par les pieds et la tête arrachée. Depuis, tous les hauts elfes évite la ville et ils ne sont pas les seuls mais le seul moyen d’entrer dans la ville sans avoir de problème et d’être sous la protection de la guilde des voleurs qui est crainte de tous les criminels, bandit et autres.
-Vous n’avez jamais pensé à reprendre la ville des criminels qui l’occupe ? Me demanda Yashakenn.
Je fis non de la tête avant de répondre.
-Ça ne tente pas vraiment la Légion Impérial car les gangues ainsi que la guilde sont aussi équipés que des armées entières donc ça reviendrait à envoyer des soldats au massacre. Non, qu’ils restent dans leur coin et c’est très bien.
Le navire continua à avancer comme si lui aussi ne voulait pas rester plus longtemps proche de Bravil. Je n’étais pas très fière des premières impressions de mon pays natal qu’avait eu Yashakenn, j’aurais préféré que le bateau s’amarre à Anvil mais le surcroît de sécurité que subissaient les eaux du Comté d’Anvil par les flottes Imperial et Aldmeri ne permettait pas cette possibilité, au risque d’être immobilisé longtemps… très longtemps. Yashakenn me tapa sur l’épaule en me demandant de regarder droit dans la direction du navire. Elle avait la bouche grande ouverte et les yeux écarquillé et je pouvais comprendre pourquoi. Mon coeur se mis à battre en trombe dans ma poitrine et toutes ma joie qui avait atteint son paroxysme en observant la Tour d’Or Blanc et les magnifiques murs blanc de la majestueuse Cité Imperial.
-C’est donc ça la Cité Impérial dont tu m’avais tant parlé… Fit remarquer la Yurei qui n’en croyait toujours pas ses yeux.
-Et encore, tu n’as absolument rien vue. M’amusais-je a lui répondre.
Le bateau navigua dans le lac Rumare pour se diriger vers le quartier portuaire de la Citée, il était possible de voir de grande grue en bois qui chargeait et déchargeait les marchandises trop lourde. Les travailleurs, rouge de sueur et de fatigue, s’activaient comme il le pouvait pour que les navires puissent prendre la mer en temps et en heure. Bien entendus, ce quartier aussi se trouvait aussi sous le contrôle du Renard Gris et de la guilde mais d’une façon plus subtile et élégante ce qui lui permit de ne pas avoir les gardes sur le dos. De toute manière, ce que la guilde des voleurs ne contrôlait pas était rare, maintenant des rumeurs circulaient comme quoi des représentants de cette dernière siégeaient au conseil des anciens, chose qui ne me surprendrait pas au final.
Voyant que le navire allait s’amarrer, je me ruai dans ma cabine pour mettre mes jambières et attraper mon Katana. J’avais tellement polie la lame qu’elle brillait de mille feu sans oublier l’inscription en caractère Akavirois qui disait : Yoshiko. Le Quartier portuaire grouillait d’activité comme à son habitude, il était impossible de trouver une personne qui s’ennuyait ici. Les garde faisaient leur ronde et surveillaient tous ceux qui entraient et sortait d’un œil méfiant. Je descendis sur le ponton et d’un coup, j’eu envies de crier ma joie mais je n’avais pas vraiment envie de me faire plus remarquer que c’était le cas.
-J’ai comme l’impression qu’on nous regarde comme si on venait d’un autre monde. Me fit remarquer Yashakenn.
C’était vrai après tout. La Yurei, malgré qu’elle ressemblait à une haut elfe portait des vêtements d’un style particulier qui pouvait sois venir de l’Enclume ou d’Elsweyr mais certainement pas de l’Archipel de l’Automne. Pour ma part, certain de mes tatouages étaient visible et ce n’était pas du tout une pratique courante en Cyrodiil sans oublier le fait que, à cause de mes oreille en pointe, moi et Yashakenn ressemblions a des elfes et que ces dernier n’ont pas la cote en ce moment a cause des souvenir de la grande guerre.
-Mademoiselle Wavrick. Appela une voix.
Sans attendre Vongvild vint se mettre face à moi.
-Vos bagages seront envoyés à Vardenbrek en attendant que vous alliez les chercher et sachez que si vous chercher du travail, Messire Shimazu aimerait beaucoup vous en donner.
-Messire Vongvild mais je vais d’abord aller à Anvil avant.
Le Nordique me salua et retourna auprès de ses hommes quant à moi, je me tournai vers Yashakenn.
-Je te fais visiter. Lui demandais-je.
Et j'ai oublié de mettre le lien de ma première fic, désolé:
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19348-1606625-1-0-1-0-fic-dans-le-trou-du-sepent.htm
Cool
Je finis la première, et j'arrive
Laisse moi deviné, tu attendais de voir si j'allais finir la première avant de réellement me suivre?
Tu oublie que je suis le KAISER!!!
http://www.youtube.com/watch?v=t0bXCbCJJyo
Super premier chapitre de seconde fic Herr KAISER
J'ai absolument hâte de voir la suite
Nein, j'ai juste plus trop le temps.
Mais je me fais des enchainements de chapitre le soir, c'est très plaisant
Je ferrai des screens de Miria normalement demain.
Voila les Screens de Miria:
J’essaierai d'installer Skyblivion rapidement pour avoir le bon décors la prochaine fois.
Super screens
Mais j'attend quand même la suite
Demain pour ça.
Miaou :3
J'aime se chapitre...et encore plus mon personnage
Encore trois petit jours et la suite déboulera
Pourquoi trois, deux si on compte mardi.
Merci Mei Herr !
Bah non, pas merci. C'est juste mon Rythme de parution habituel, un chapitre tout les deux jours.
J'ai tout lu mais on dirait que Miria n'est plus une guerriere, les bandits ne peuvent rien lui faire Alors pourquoi elle les crains ?
Parce que elle se bat en fonction des règles du Samouraï, cet a dire avec honneur et a découvert. Les bandits eu ont recourt a tout les coups bas qui mettrons a terre le meilleur des adversaire(coup dans le dos, embuscade, piège, ect...)
Screens de Fevila:
Super screens
exactement comment je l'imaginais !
Maintenant manque plus que la suite
Chapitre 3 : Retrouvaille d’une ancienne étude
J’avais passé la totalité du trajet à imaginer la réaction de mes anciens camarades de l’université Arcanes fasse à mon retour. Je ne leur avais strictement rien dit sur mon départ vers Akavir car j’avais peur de les rendre jaloux de ma chance alors que je ne suis jamais passé en études supérieur par faute de moyen. Surtout que certain rêvaient de cette chance tout comme moi à l’époque.
-Ça n’a pas changé d’un pouce depuis ma dernière visite. Fis-je remarqué en admirant l’université.
La partie publique était toujours un magnifique jardin surveillé par quelque mage de guerre malgré que leurs présences fussent purement officielles mais vu le comportement du nouvelle Empereur, ils étaient aussi sans doute là pour surveillé tout détracteur. Je monta les marches accompagnée de Yashakenn et Favela pour entrer dans le hall de l’université. L’endroit était une simple pièce comportant quelque banc proche des murs ainsi que quelques vitrines exposant divers objet plus ou moins magique comme des gemmes spirituelles. Le carrelage avait l’apparence de l’ancien insigne de la guilde des mages, aujourd’hui disparut. Un homme, que je ne connaissais pas, en robe de mage bleu abandonna sa lecture et après avoir posé son livre sur un banc, il alla se diriger vers moi. Il était facile de deviner qu’il se demandait de quoi pensé de moi vu mon apparence mais il finit malgré tout à prendre la parole sur un ton neutre.
-Bienvenus à l’Université Arcannes. Annonça l’homme d’une voix indifférente. Si vous êtes venus pour vous inscrire je suis au regret de vous dire que le Synode reprendra les inscriptions une fois les examens passés, cet a dire dans un mois.
-En fait, je suis venu ici en tant qu’ancienne étudiante. Annonçais-je.
L’homme haussa les épaules et fit apparaitre dans sa main un rouleau de papier qui se déplia en roula sur le sol sur au moins sur deux mètres.
-Dans ce cas je dois connaitre votre nom pour validé votre entré exceptionnel dans la partie privé de l’université. Qu’il est-il ?
-Miria Wavrick.
Le parchemin glissa entre les doigts du mage dès que j’avais fini de parler. Ses yeux étaient ronds comme des billes et toutes écarquillés. Il me regardait comme s’il avait vu un fantôme et après de longue secondes d’attente il fit apparaitre une fiche qu’il mit à côté de mon vissage.
-Par les huit… Parvint à dire le mage toujours aussi effaré par la nouvelle.
Il finit par se ressaisir à moitié et attrapa le parchemin pour chercher frénétiquement mon nom et une fois trouvé, il reporta les yeux sur moi.
-Et bien. Balbutia l’homme. Je suis heureux qu’une ancienne étudiante vienne rendre visite a nouveau… heu… Vous pouvez entrer mais exceptionnellement j’informerais le conseil de votre présence et il se peut qu’il vous demande un entrevus.
Je remercia le mage en m’inclinant et se dernier partie prévenir les maîtres du Synode et se téléporta sans attendre quoi que ce soit. Malgré que je n’aie pas connue ce mage, il fallait croire qu’il avait entendus parler de moi vu sa réaction mais alors je n’imaginais même celle de mes anciens amis.
-Alors comme ça tu t’appelles Miria ? C’est mimi tout plein dit donc. Me fit remarquer Fevila qui n’arrêtait pas de me regarder de manière tendancieuse.
J’essayais de ne pas faire attention à ce que venait de me dire la Dunmer et j’ouvris la porte qui menait à la cour. C’était tellement étranges de me retrouver ici après tout ce temps, les étudiants discutaient ou révisaient leurs cours. Certain mages rassemblaient leurs élèves pour les emmener en classe. J’avais l’impression de revenir un an en arrière en voyant tous ces visages dont certain que je connaissais. Je me mis à chercher des yeux mes anciens camarades les plus potentiel de ne pas croire à mon retour et je finis par remarquer un groupe avec lequel j’ai passé le plus de temps. Ce qui m’avais surtout décidé de ceux groupe et pas un autre était la présence de Martina, une amie très fier qui avait toujours caché les émotions qui la mettais dans l’embarra comme la peur ou la surprise.
-Alors ? Dit un des élèves qui m’était inconnus à Martina. Comment ils ont trouvé ton exposé sur les Ehlnofeys ?
Martina était une impérial un peux plus grande que moi mais du même âge que moi aux cheveux blond coiffé en queue de cheval et avec un visage légèrement mesquin mais cette fois, légèrement agacé.
-M’en parle pas !! Répondit la fille. C’est à ce demander si le mage en avait quelque chose à faire ! J’avais prévus sur les Tsaescis à la base mais vu que l’autre con avec qui je devais travailler a servis de casse dalle à des cannibales, j’ai dû changer au dernier moment.
-Tu te montre nettement plus compatissante quand tu parles de Miria je trouve. Fit remarquer un Bréton que je connaissais.
-Parce que Miria était sympas, l’autre con prétentieux nan !! Miria c’était une amie de confiance avec qui tu pouvais tout dire et qui t’aidais quand tu en avais besoin.
La tentation fut trop grande pour que je reste sur place à écouter la déclaration d’amitié que me faisait sans le savoir Martina. Je m’approcha d’elle sans un bruit et sans être vu par les autres étudiants du groupe et après avoir tapé sur l’épaule de l’impériale blonde, celle-ci se retourna.
-Bou. Lui dis-je avec un grand sourire sur les lèvres.