Chapitre 19 : Lorsque les princes ci mêle
Après plusieurs heures d'entraînement intensif avec Tashi, nous allâmes rejoindre le dîner qu’avait préparé fasuuji. J'eus beaucoup de mal a tenir ili a sa place car, en tant que Po’Tun, elle avait l'impression d'être entouré d'ennemis avec les Demi-Tsaesci et Tashi n'arrangeait pas les chose avec les regards qu’elle lançait a Ili. Cette réunions de famille des Shimazu était la première en plus de deux cents ans, elle avait été organisé par Fasuuji pour commémoré la mémoire de Nagamitsu dont le corps avait été enterré dans la forteresse, juste a coté de celle de sont épouse. Étrangement, cette réflexion m'amena a la pensé morbide que, malgré le fait que les frères et sœurs Shimazu soit éternel, il ne restaient pas moins mortel et un jour, tous seront mort.
A la fin du dîner, je me dirigea vers la bibliothèque de la forteresse pour me changer les idées et parce que je n’avais pas envie de dormir maintenant. Sur le chemin, je trouvais plutôt étrange que Fevila ne me matait plus mais était beaucoup plus... douce envers moi. Ça ne changeait aucunement le fait qu’elle me draguait toujours mai au moins c’était largement plus supportable que les fois ou elle ne lâchait pas son regard de mes seins et elle avait aussi arrêté ses surnoms débile.
-Bonsoir Miria.
Je me retourna et vis Vongvild qui sortait d’une pièce et s'apprêtait a rejoindre la grande salle avant de me voir. Je m’inclina et reprit ma route alors que le nordique faisait de même. Il n’était pas très bavard de toute façons.
La bibliothèque était proprement magique, elle était composé d'immense étagère remplis de livre de toute sorte. Je ne pus m'empêcher de faire le rapprochement avec cet endroit et Apocrypha car la bibliothèque était tout bonnement vide de personne et les rayons de lumière provenant de la lune qui éclairait l’endroit donnais l’impression qu’elle était parcourus d’esprit en quête de savoir éternel. L’endroit était aussi plein de poussière ce qui indiquait que personne n’était venus ici depuis longtemps. Je ne perdit pas trop de temps a chercher un livre en particulier car sinon, j’en aurait eu pour des heures et une fois le livre “choisis”, je m’assis a un banc proche d’un grand vitrail pour être éclairée.
En lisant, je repensa a l'entraînement avec Tashi. En Akavir, la demi-Tsaesci m’avait apprise des pouvoir de Shinobi, une technique peux utilisé jusqu'à quelques mois. Ces pouvoirs se rapprochent de l’école de l'illusion et de l’altération mais ne peuvent être classé précisément dans une école de magie car il sont inconnue en Cyrodiil. Ils reposent surtout sur la téléportation, l'illusion ou encore la maîtrise du temps. Mais, a cause des techniques de Shinobi comme le pas de velours ou le sixième sens, le potentiel magique d’un Shinobi était quasi nulle et donc, pour utiliser ses pouvoirs, ils devait se reposer sur leur organisme de Tsaesci. Mais moi, je n’avais pas cet organisme et a cause de ça, l’utilisation d’un seul de ses pouvoir était extrêmement fatiguant et si je les utilisé a outrance, je pouvais en mourir.
Pendant l'entraînement de la journée, Je réappris quelque un de ses pouvoirs et quelques technique pour ne pas subir les effets secondaires trop tôt Mais cela restait malgré tout dangereux et le meilleur moyen de ne pas en souffrir était de les utiliser le moins de fois possible.
-Miria...
La voix qui m’avait appelée me fit sursauter comme jamais. Je resta immobile un moment tout en scrutant chaque rayon de la bibliothèque pour savoir d'où venait cette voix. Je plaqua par la suite mes pieds sur le sol pour capter quelque chose grâce au pas de velours mais je ne reçus aucun résultat. J’avais vraiment du mal a savoir qui pouvait me faire une blague pareille ici... fevila peut être? Je secoua la tête en décidant d'arrêter de faire une fiction sur la Dunmer car il pouvait s’agir d’un des frères du Dovahkiin. Mais cette hypothèse ne tenait pas car si ça avait été le cas, il m’aurait déjà attaqué pendant que j’étais concentré sur ma lecture.
Je fus sortie de ma réflexion en apercevant une ombre se déplacer entre deux rayons. Cette histoire me plaisait de moins en moins mais je n’avais pas vraiment le choix maintenant, il fallait que je découvre qui se jouait de moi. Je dégaina mon Katana avant de m’aventurer entre les étagères tout en restant a l'affût du moindre mouvement. J’étais malgré tout inquiète de ne pas avoir pu repérer l'intrus grâce au pas de velours car cela voulais dire qu’il s'agissait d’une créature volante ou d’un fantôme. Dans les deux cas, j’avais peur de ce que j’allais découvrir.
-Heu... Fyrre? J’ai besoin d’aide la.
-Avance. Me répondit simplement le concerné.
Je ne fut pas vraiment rassuré par l’indication de l’Ayléide mais mieux valais qu’il me réponde et me rassure de sa présence que l’inverse. Une autre ombre attira mon attention et je courra dans sa direction l'arme a la main. je m'arrêta malgré tout dans un rayon sans rien qui pouvait laisser penser a un intrus. En fait, j’étais tout simplement seul dans la bibliothèque et je ne le remarquais que maintenant. je fut sortie de ma réflection par des murmures venant d’une étagère a ma droite et plus précisément d’un gros livre a la couverture noir. Je l’attrapa pour le regarder plus en détail. Il s’agissait d’un livre au contenu conséquent cela ne faisait aucun doute mais la couverture ne portait aucune marque distinctive, elle était juste noir.
Curieuse, je l’emporta avec moi pour me rasseoir sur le banc ou j’étais. j’avais envie de lire se livre mais je ne pouvais expliquer le pourquoi. C’était une réaction plutôt particulière après ce moment de stresse mais...
Je ne perdit pas plus de temps a me perdre dans des réflections stupide et j’ouvris le livre. Sur la première page était marqué en grosse lettre “Destin” et sur la page suivante, un grand nombre de divagation entremêlant folie et génie sur ce simple mot. Je continua a lire, tout bonnement captivé par les écrits de cet ouvrage qui aurait fait perdre la raison de nombreux philosophe... mais pas moi, comme si j’étais faite pour lire se livre. Mais alors que je lisait, les mots commençait a se torde, a changer de place et finir par tourner en une spirale infini de mot. Je commença a grandement paniquer au fur et a mesure que ma respiration s'accélérait et devenait plus bruyante. Des goûtes de sueur perlait sur ma peau et je voulue fermer le livre mais mes bras n'obéirent pas. Je mis toutes mes forces dans cette tache qui paraissait impossible mais alors que mes bras commençaient a se mouvoir lentement, des tentacules sortirent du livres et saisirent mon bras droit pour le plonger dans la spirale de mot. Cette fois, je céda volontiers a la panique et je poussa un hurlement de terreur sans aucune retenue.
-Laissez vous faire. Dit une voix dans ma tête, mais pas celle de Fyrre. Cela sera bien plus désagréable si vous résistez.
Jusqu'à preuve du contraire, cette voix n’essayait pas vraiment d'être plus rassurant que ça et même si ça avait été le cas, ça n’aurait pas changé ma réaction. je tira de ma main gauche, mon bras agrippé par les tentacules et de mes deux pieds je poussa de toute mes forces pour repousser le livre en arrière mais rien n’y faisait.
-Laisse toi faire, tu ne crains rien. tenta de me rassurer Fyrre.
-Tu m'excusera si j’ai pas envie de tester!! Hurlais je ne réponse, toujours en pleine panique.
Fyrre poussa un soupir et repartit au plus profond de mon âme, je pu alors me concentrer pleinement pour me dégager du livre mais j’eus a peine le temps d’y mettre plus de force que d’autre tentacule sortirent du livre pour saisirent mes chevilles et mon poignet gauche avant de les repousser en arrière. Le livre se mit a voler dans les airs tout en m'emportant avec ce qui n’aidait pas vraiment pour me calmer et au final, je me mis a hurler de tout mes forces pour espérer que quelqu’un m’entende et vienne m’aider. En réponse, le livre fit surgirent une autre tentacule qui s’enroula autour de mon coup et serra pour me faire taire. Maintenant, j’étais foutue.
-Je dois admettre que les mortels cris fort. Fit remarquer la voix étrangère. Maintenant vous allez vous tenir tranquille et me laisser faire.
J’aurais donné ma vie pour pouvoir lui dire mais plus aucun son ne sortaient de ma bouche et l’air devenait très difficile d'accès. Une intense douleur se fit sentir de ma main droite et je du serrer les dents pour retenir mes râle de douleur mais des larmes coulèrent sur mes joues. Quelques secondes plus tard, ma main droite fut libérée dut livre, recouvert d’un étrange tatouage fumant mais a peine pus je profiter de cette liberté, qu’une tentacule s’enroula autour de mon poignet pour le bloquer. Un oeil globuleux apparus au centre du livre entouré d’un liquide visqueuse et après m’avoir fixé un certain temps, j’entendis cette voix dans ma tête.
-Voila qui est mieux vous ne trouvez pas? J’ai eu beaucoup de mal a entrer en contacte avec vous a cause de ces maudits Gardiens de Lorkhan.
Je ne répondit rien, préférant le laisser parler et je ne pouvait pas vraiment le faire au final.
-Je suis Hermaeus Mora, prince Daedra du savoir que personne ne connaît et maître des marée du destin. je vous observe, vous et Fyrre depuis votre aventure en Akavir et je dois dire que je suis très impressionné. Tuer un Gardiens de Lorkhan n’est pas donné a tout le monde jeune mortelle mais vous avez sans doute remarquée que se n’était pas sans conséquence.
Je continua de le laisser parler, moins paniquer mais malgré tout très stressé. Il parlais sûrement de cette fusion des réalité que j’avais provoqué involontairement en tuant le Dovahkiin. Mais ou voulait il en venir.
-Fyrre est mon champion depuis longtemps mais la tache que je lui avait confié est désormais impossible seul. Vous allez donc l’aider a la mener a son terme. Vous allez tuer tous ces maudits gardiens ainsi que leur chef.
La tentacule qui tenait ma main droite plaça cette dernière devant mon visage pour montrer le nouveau tatouage que j’avais.
-Ceci est ma marque. Avec elle, vous pourrez tuer ces ennemis sans déclencher de nouveau problème sur la réalité. Gardez le livre noir avec vous , il vous sera très utile. Oh, et voila pour Fyrre.
Sans même mis attendre, une tentacule se plongea dans ma bouche pour aller au plus profond de moi. Jamais je n’avais été aussi horrifié et écoeuré de toute ma vie. Une étrange énergie violette parcourue la tentacule tout en me faisant souffrir le martyre et après, le livre me lâcha enfin et me laissa tomber lourdement sur le sol. Je fut prise d’une terrible quinte de toux comme si j’avais quelque chose de coincer profondément dans la gorge et après une bonne minutes affreuse je réussi a recracher une clé au métal noir. Le livre finis par tomber a mes cotés tout en se refermant lentement et un verrou apparus sur le coté du livre. Je savais maintenant a quoi servait la clé.
-Je t’avais dit de te laisser faire. Fit remarquer Fyrre.
-Toi ta gueule!
Je me redressa lentement et resta assise en tailleur le temps de me remettre de mes émotions et faire le point. J’avais été... “contactée” dirons nous par Hermaeus Mora pour vaincre les frères du Dovahkiin et leur chef tout en me donnant l'outil nécessaire pour mener cette mission a bien. Je dirais pas non mais j’avais vraiment du mal a croire que c’était la meilleur manière de le faire. Je finis par me relever et après un petit temps de réflexion, je sortie de la bibliothèque en emportant le livre avec moi.
Un chapitre très...tentaculeux...
Faudrait pas mettre un petit [PEGI18] ?
car j'ai eu des pensées pas très saine d'esprit
Sinon bonne suite
Screens, avec un peux de retard, de Tokimoshi:
Suite bien entendus se soir.
Tokimoshi
J'ai l'impression qu'il a le nom d'une pâtisserie japonaise
Bon screen comme toujours
Chapitre 20 : Nuit et reproche
D'après un serviteur du château que je croisa en chemin pour retourner a la salle du dîner, ma chambres se trouvait sur l’aile ouest du château, en duo avec une autre. Il m’indiqua le chemin et après l’avoir remercié, je me dirigea dans cette direction. Une fois arrivé, je me rendit compte que ma chambre était en fait deux quartiers sans porte séparé par un petit couloir. Je me rendit compte a cet instant que j’aurais du demander laquelle était la mienne au serviteur car j’avais envie de me reposer sans déranger mon locataire. Je n’entendis par contre aucun bruit venant des deux chambres, cela voulait donc dire que je pouvait prendre celle qui m'intéressait car elle étaient toutes les deux vides. J’alla donc dans l’une d’entre elles mais une fois la porte passée, je fus dans un très grand embarras.
Dans la chambre se trouvait Fevila, entièrement nue et en train de se laver dans une bassine. Je fus rouge d'embarras en moins de deux secondes mais je ne pouvais qu’admettre que son corps était magnifique. Cette pensé me surpris et je secoua la tête pour la faire disparaître mais en reportant mon regard sur la Dunmer, je remarqua qu’elle m’avait vu et me regardait.
-Mes plus plaintes excuses! M’écriais je, extrêmement gêné de cette situation, tout en retournant a reculons dans le couloir.
-T’en fais pas, ça me gêne pas et puis t’es une femme toi aussi. Me répondit Fevila sur un ton qui se voulait rassurant et non pervers comme a son habitude.
-Certes mais je veux juste aller dans ma chambre en fait.
-C’est celle d’en face, ta copine et d'ailleurs venus y déposer des truc.
J’alla alors dans la chambre indiquée et observa les lieux. Il s’agissait d’une pièce de taille moyenne, plutôt bien remplis de meuble et autre décoration mais sans gêner l’espace. Je pu d'ailleurs voir dans une armoire entre ouvert un kimono violet qui laissait supposer que mes affaires en revenant d’Akavir avaient toutes étaient déposées ici. Sur le lit, qui se voulait confortable a en tomber par terre, se trouvait des vêtements, un Katana couplé d’un Wakisashi et une note. Je pris la note et lus:
“Apparemment tu est encore dans la bibliothèque donc je te laisse ce mot. Ce que j’ai déposé dans ta chambre sont des cadeaux d'anniversaire en retard venant de deux destinataires. Le premier et celui d’Ishiro qui t’offre un tenue de Shinobi Ashen, un cadeau très précieux si tu veux mon avis car cette armure, malgré sont aspect fragile, et ce qu’il se fait de mieux pour les opération discrète. Il y a, normalement des bottes avec mais vu que tu voudra, sans doute, rester pieds nus, je t'ai faites des jambières en fourrures qui sont très adapter a l’armure. Le Katana et le Wakisashi proviennent du Daimyo des Aizu. C’est une lame d'acier noir, récupéré dans des ruine de Yurei donc, c’est aussi un cadeau inestimable même si je sais que tu gardera le Katana de Yoshiko mais garde les, ça ne t’engage a rien et surtout, on ne sais jamais.”
Je posa le mot sur la table de nuit et observa les présents qui m’étaient fait en retard. Je m'intéressa d’abord au Katana et Wakisashi au fourreau noir que je dégaina pour observer la lame, en effet très sombre. Je les posa sur le coté en attendant de trouver un endroit pour les ranger. J’observa par la suite la fameuse de Shinobi Ashen, les humain d’Akavir. Elle était d’un gris plutôt terne et pas vraiment attirant cela dit mais en la prenant dans mes mains, je pu remarquer son incroyable légèreté, comme si je portait une plume a deux mains. J’hésita pour après me décider d’enfiler l’armure. une fois déshabillée je commença a la mettre et je pu remarquer que le vrai haut de l’armure, sans manche d'ailleurs, était un débardeur noir et transparent. Je n’aimait pas trop se détail mais bon, il y avait heureusement un gilet par dessus que je mis sans attendre.
Les brassards et jambières équipé, je m’obersva dans un miroir a ma droite pour remarquer qu’elle m’allait plutôt bien mais sa légèreté me donnait l’impression de n’avoir rien sur le dos, ce qui était plutôt dérangeant. Une chose était sur par contre, elle n’était surtout pas adaptée pour l’hivert donc mieux valait faire attention ou je la mettais pour ne pas mourir de froids. Un autre détails me frappa en faisait quelque mouvement de corps a corps c’est qu’elle n’avais aucune entrave contrairement a n’importe qu’elle armure qui pouvait gêner certain mouvement comme les épaules avec les armures plates.
-Houa, t’es vraiment mignonne.
Je sursauta et me retourna sur le champs pour voir Fevila, habillé d’un pantalon et d’un haut marron, dans l’encadrement de la porte. Son regard n’était aucunement tendancieux mais très sincère, un changement de comportement plutôt agréable a vrai dire.
-Bah... merci. Répondis je en m'inclinant légèrement.
Fevila ne répondit rien et s'assit au bord de mon lit juste a coté de moi. Son regard, tout comme son visage, étaient emplis de sincérité et d’une légère fascination ce que je trouvait très agréable comparé au autre fois. Je finis par sortir de cette observation pour continuer a me regarder dans le miroir tout en continuant mes poses de combats pour voir si elle n’avais toutes aucune gêne.
-Dit moi, heu.. ne t'offusque pas, mais... Commença Fevila. As tu eu un amant en se moment?
-Pourquoi cette question? Répondis je en voulant dévier la conversation.
-Bah parce que je serai très étonné que ça ne sois pas le cas.
-Et pourtant ça l’est. Répondis je.
Fevila gloussa et resta silencieuse un petit moment. Je commençais vraiment a me demander ce qu’elle voulait... peut être bien commencer une relation d'amitié après son comportement tout bonnement insupportable de ses dernier jour.
-Tu sais ce que m’avait dit le Paladin qui m’avait sauvée sur son lit de mort?
Je ne répondit rien d'abord car c’était le genre de sujet plutôt délicat. Je me retourna vers elle avec un air interrogé et je finis par faire non de la tête.
-”Qu'importe avec qui tu passeras ta vie la seul chose importante ce que tu sois heureuse. L’amour n’a aucune frontière et agit de manière plutôt surprenante. Je veux donc que tu ne sois jamais plus aussi malheureuse que lorsque que je t’ai trouvé ou maintenant. Tu ne dois pas non plus t'accrocher a moi car vivre dans le passé n’est pas une vie. trouve donc l'âme avec qui tu passera le reste de ta vie et honore mes dernières volontés.”
Je resta perplexe par ce qu’elle venait de me dire, ne sachant aucunement quoi penser.
-Ok mais... quel rapport avec moi? Demandais je en m’assaillant en tailleur au sol en face d’elle.
-Je suis désolé de t’avoir... heu... “épiée” de manière déplacé depuis notre rencontre malgré ma nature mais tu m’as... tout de suite plus.
Je me rendis compte qu’elle n’avais pas changé de caractère mais juste de façon de faire pour me draguer. Décidément la persévérance était une qualité. Ses propos étaient malgré tout sincère et, pour une étrange raison, je ne voulais pas l’envoyer bouler. Ce fus assez curieux d’ailleurs.
-Pour répondre a ta question avec plus de précision, je n’ai pas d’amant car je ne veux pas en perdre un a nouveau.
-Comment était il mort? Demanda Fevila alors que je redoutais plus que tout cette question.
-C’était... ma faute.
Il ne m'était plus possible de dire plus, je sentais déjà des larmes de monter au yeux. Fevila s’y aperçus et elle se leva pour s'asseoir a coté de moi en me serrant dans ses bras.
-Désolé, j’aurais pas du poser cette question. S’excusa la Dunmer.
Je n’avais pas envie de me défaire d’elle, j’y étais bien et le souvenir trop vivace de Yoshiko m’avais littéralement assommé psycologiquement. Les larmes c’étaient arrêtées mais la même tristesse restait pourtant en moi. Il était mort car j’avais voulue parler des gardiens de Lorkhan a quelqu’un, mort a cause de mon imprudence. Yashakenn avait été épargné car elle n’avais juste qu'aperçus le Dovahkiin mais rien de plus et j’aurais beaucoup aimé lui en parler a elle aussi mais je connaissais les risques maintenant et ça reviendrais a la mettre a mort. Fevila posa ma tête sur le haut de sa poitrine et je n’y opposa aucune résistance car elle étais plutôt touchante a vouloir apaiser mon chagrin.
-Ne sois plus triste car tu le rendrais triste lui aussi.
-Il dois m’en vouloir, j’en suis sur. Dis je.
-Si il t’aime vraiment, il ne t’en voudra pas.
Je fus d’accords avec elle mais je restais coupable de sa mort et je ne l’avais jamais annoncé a son père ou a sa mère. J’aurais du le faire mais je me suis cru la seul affectée par sa perte, j’avais été égoïste. Je ne m’étais aussi jamais excusé auprès de Fyrre qui avait voulue m’avertir du danger. J’avais donc beaucoup de chose a me reprocher de la mort de Yoshiko.
-Tu ferrais mieux de dormir je pense, ça te ferra du bien. Finis par dire la Dunmer.
Elle me remis délicatement debout pour m'asseoir sur mon lit. elle s'apprêta a sortir pour rejoindre sa chambre que je l’interpella.
-J’ai été abandonnée par ma mère.
-Quoi? S'exclama Fevila en me faisant volte face.
Je ne savais pas vraiment pourquoi je lui avais dit mais après lui avoir racontée ce que j’avais sur le coeur, j’avais envie de tout déballer. Tout garder pour sois et juste très nocif pour la santé mental.
-Lorsque je suis partie de l’auberge, je suis aller retrouver ma mère dans notre maison natal mais au final, je n’ai trouvé que le lieu mis sans dessus dessous et... un mot d’elle qui me demandait de ne pas la retrouver.
-Je vois... Répondit Fevila qui ne savais pas du tout quoi répondre et surtout qui ne voulais pas me froisser. C’est pour ça que t’étais de très mauvais poil ce jour.
Nous restâmes silencieuse et Fevila reprit.
-Dort, t’as beaucoup traverser et la nuit te permettra d’évacuer ça maintenant que tu t’es livrée a quelqu’un.
Hocha la tête et la Dunmer sortie. Je resta immobile quelques secondes en repensant a ces quelques minutes de confession et surtout a la phrase de Fevila: “...Tu ne dois pas non plus t'accrocher a moi car vivre dans le passé n’est pas une vie...”. C’était très vrai et je ne pense pas que Yoshiko aimerai ça non plus, il fallait maintenant que je continue a vivre. Je haussa les épaules et après m'être déshabillée, je m’endormis.
Putain j'croyais qu'elle l'avait oublier s'connard de Yoshiko
Très bonne suite
New screens de Miria avec ses nouveau cadeau.
Ca c'est du cadeau
Super screens ! vraiment super !
Maintenant tu nous fais une seconde suite pour montrer que tu nous aime
Et je le suis.
Chapitre 21 : journée de plus dans le calme
Je me réveilla vers neuf heures du matin par un petit faisceau de lumière posé sur mon visage. La nuit avait été très reposante et m’as permis de remettre de l’ordre dans mes émotions, Fevila n’était pas aussi garce finalement. Je me redressa sur mon lit et observa la petit fenêtre qui laissait le rayon de soleil passer dans ma chambre pour réaliser que c’était seulement maintenant que je me réveillais vraiment, sans mauvaise surprise, en Cyrodiil... chez moi avec ma nouvelle et vrai famille. Grâce au Shimazu, je n’étais plus seul et je ne le saurais plus jamais. J’étais peut être destiné a devenir la petite dernière de la famille après tout.
Je finis par m’étirer de toutes mes forces pour enfin me lever. J’enfilla un Kimono marron et après une petite inspection au miroir, je sortie de ma chambre tout en remarquant que celle de Fevila était vide. La salle a manger était ma destination, j’avais faim et il ne me serrais impossible de faire quoi que ce soit d’autre de la journée tant que je n’aurais pas mangé un truc le matin... surtout pour l'entraînement avec Tashi. Je fus malheureusement bien vite rappelée a la réalité par le simple fait que j’étais maintenant perdu dans la forteresse qui était tout bonnement immense. Jamais je n’aurais cru commencer ma journée par une randonné d'intérieur.
-Eh bien alors? Perdu? Dit une voix derrière moi.
Lorsque je me retourna, je fus extrêmement soulagé de voir qu’il s’agissait de Vongvild qui m’avait parlé. Il était déjà en armure et avait sa main sur le pommeau de son Katana. A croire qu’il dormait comme ça.
-Oui, en effet. Répondis je légèrement embarrassée. Vous auriez ou se trouve la salle a manger par hasard.
Le nordique hocha la tête et me fit signe de le suivre. Alors qu’il passait devant moi, je remarqua encore une fois le fait qu’il était plutôt petit pour un nordique, juste un mètre quatre vingt. Et pourtant, sa langue était tellement acérée qu’il renvoyait presque n’importe qui pleurer dans les jupon de sa mère lorsqu’il était énervé.
-Donc vous avez accepté de bosser pour le patron? Demanda-t-il sur le chemin.
-Oh, heu... oui. Je pense avoir les compétences pour ça.
-Vas falloir en être sur jeune fille car dans se milieu, vos ennemis n’ont que faire de l’honneur Akavirois et tout les moyen seront bon pour vous foutre au sol.
Nous arrivâmes enfin a ma destination après dix minutes de marches. Vongvild me salua et repartie aussi sec. Je fut donc laissez seul dans l'immense pièce... enfin pas tout a fait seul.
-Mes salutations cadette. Viendrez vous vous restaurer avec nous? Demanda une voix avec une extrême politesse.
Je me retourna et je pu apercevoir que Kagetsune et Sélia étaient tous les deux attablé a une certaine distance l’un a l’autre. La grande soeur du demi-Tsaesci était en train d'enfiler un bracelet en plume d’oiseau, sûrement des faucons ou des aigles, sans jeter un seul regard a moi ou a son frère. Je hocha la tête en réponse a Kagetsune et je m’assis en face de lui.
-Heu... ou sont les autres? Demandais je.
-Les deux grands sont partie chasser ensemble et Tashi fait visiter la forteresse a vos trois amies. Mais parlons d’autre choses comme vous par exemple car vous êtes peut être notre soeur et nous savons pourtant si peux sur votre vie.
-C’est pas notre soeur. Commenta a voix haute Sélia tout en restant captivée par son activité.
Kagetsune souffla avant d'attraper un lingot d’or a sa droite pour le lancer sur Sélia. L’objet atterri en plein sur le crane de la cible et cette dernière eu un crie de douleur et s’attrapa la tête avec ses deux main tout en ne cachant pas la souffrance qu’elle endurait.
-Espèce d’enfoiré!! Gémi la demi-Tsaesci.
-Votre non respect pour les traditions de notre père sont tout simplement insupportable.
Sélia ne répondit rien et fit briller ses main dans un sort de guérison, il est vrai que le projectile avait été un lingot d’or pur et le choque aurait pu être mortelle. Pourtant, le fait qu’aucune goûte de sang n’était apparus et la sérénité de Kagetsune et Sélia malgré la situation voulait dire beaucoup sur leur résistance en tant que Demi-Tsaesci. Par les neuf, ce que j’aurais voulus être une demi-Tsaesci moi aussi.
-Travailler pour Fasuuji n’est pas de tout repos ma chère, le milieu politique est plutôt dangereux ces temps si. Fis remarquer Kagetsune en se reportant sur moi.
-Certes mais je lui dois bien ça.
Je vis bientôt venir quelques serveurs qui m'apportèrent des plats chargé de fruit en tout genre et même provenant du marais noir. Par simple précaution et légère paranoïa, je n’y toucha pas pour ces derniers même si il aurait été surprenant que Fasuuji mette a disposition de la nourriture mortelles. Le repas finis, je me leva pour retourner dans ma chambre le temps d’attendre que Tashi revienne et ainsi reprendre mon entraînement sur les pouvoirs de Shinobi. Je fus intéresser d’observer plus en détail mes cadeaux que l’on m’avait offert le jour de mon anniversaire.
Tous étaient bien rangé a un endroit de la chambre, je n’avais juste qu’a les repérer. j’attrapa un des teppo a longue baïonnette que m’avait offert de cousin de Nagamitsu: Datsu Tokugawa. L’arme n’était strictement pas adapté pour un Shinobi car trop bruyante avec une cadence de tir misérable et un aventurier se reporterais bien vite a l’arc a cause de ce dernier détail. Mais malgré tout, l’arme était capable de percer n’importe quelle armure sans aucun mal et tuer sur le coup la cible. Mais après, il fallait sois fuir ou sois battre au corps a corps.
Je finis par être attiré par un rouleau de parchemin sur ma table de nuit, c’était la première fois que je le voyant malgré qu’il était plutôt en évidence. Je l’attrapa et lus ce qu’il y avait marqué sur un morceau de papier sur le dessus: “Bonne anniversaire en retard, Kito”. Venant de ce fichu serpent tsaesci, je craignais le pire en ouvrant le parchemins. J'eus d’abord droit au retour d’un souvenir des plus désagréable... puis je fus tout juste un peux surprise. Il s’agissait du portrait de moi nue réalisé par Kito et non seulement le résultat n’était pas vraiment érotique mais en plus j’étais ravissante la dessus.
-Jolie dit donc.
Je sursauta et referma sans plus de délicatesse le portrait avant de me retourner pour me retrouver en face d’une Altmer. Elle était de taille normal au visage fin et habillé d’une armure de maille et de cuir avec un capuchon qui cachait le haut de son visage dans l’ombre. Il y avait un détail au quel je ne pouvais me détacher qui était la blancheur écarlate de ses yeux qui me disait grandement quelque chose.
-Qui êtes vous!? M'écriais je sans plus de cérémonie face a cette intruse.
-Devine. Me répondit la femme avec un sourire dessiné sur les lèvres.
Je resta perplexe a ce qu’elle venait de dire et chercha dans ma tête une personne qui lui ressemblait. Mais seul le détail de ses yeux me revenait mais lorsqu’elle sourit a pleine dent, j'eus enfin ma réponse sur son identité.
-Fyrre!?? Déclarais je a bout de souffle sous le choque de la découverte. Mais comment êtes vous devenus...
-Eh bien tout simplement car je vis dans ton corps depuis un ans maintenant et lorsque j’ai reçus l'énergie d’Herma Mora j’ai du refaire mon corps avec ce que j’avais sous la main.
-Vous êtes de nouveau réelle?
Je tenta de poser ma main sur son épaule mais je passa au travers, il fallait croire que non.
-Pas encore, pour ça il me faut retourner en Apocrypha mais je dois d'abord te surveiller.
Je voulue lui poser une question qu’il, ou plutôt maintenant elle, disparut sous mes yeux avec un grand sourire au lèvre. Il était décidément très difficile de tenir une conversation avec lui plus de deux minutes. Je haussa les épaule et rangea le portrait de moi dans un coffre tout en remarquant mon ancienne tenue de Shinobi dans ce dernier ainsi qu’une autre armure que je ne connaissait pas. C’était une armure de samouraï noir polie au bordure d’or, une armure de Aizu intégral.
-Faudra peut être que je leur dise un jour d'arrêter de me prendre pour l'avatar d’Alduin. Fis je remarquer a voix haute.
Je reposa l’armure avant de m’étendre sur mon lit tout en observant le plafond. J’allais travailler pour le compte de mon frère adoptif, drôle de premier emplois pour un retour chez les miens mais au moins, j’avais les compétences pour ça. Quelqu’un toqua a la porte, je me leva pour ouvrir et Tashi se trouvait de l’autre coté.
-Entraînement petite soeur?
Je gloussa face a l’annonce de la demi-Tsaesci et je hocha la tête.
-d’accord, retrouve moi dans la salle d'entraînement dans dix minutes avec la tenue de Shinobi d’hier.
Tashi tourna les talons et s’éloigna. Je referma la porte avant d’aller dans ma chambre pour m'habiller de l’armure en question. Quoique, armure n’était pas très approprié pour une tenue en tissus. Je l’enfila tout comme les jambières en fourrure qu’avait fait fait Tashi mais au moment de sortir de ma chambre je me retrouva nez a nez avec fevila.
-Oh salut, bien dormis? Me demanda la Dunmer avec un sourire que je trouvais, a ma très grande surprise, plutôt séduisant.
-Eh bien... heu...
Je ne savais pas pourquoi, mais j’étais très attiré par la Dunmer. Je la découvrait sous un nouveau jour et elle me séduisait malgré elle, c’était plutôt étrange mais elle était tout bonnement magnifique. Par les neuf pourquoi ce genre de chose ne m’arrivait qu’a moi? Elle continua de me regarder de ses yeux de braise qui me rendait extrêmement timide et je baissa les yeux au sol pour regarder mes pieds alors que je me tenait les main dans les dos.
-Tu avais quelque chose a me dire? Finis je pas articuler?
-Nan, je voulais juste te dire bonjour.
-Ok... je vais aller m'entraîner avec Tashi donc... a plus tard.
Mes derniers mots furent a peine audible vu a la vitesse ou je m’étais précipité dehors. Mon embarras avait atteint un telle stade, que j’avais sentie un étrange désirs monter en moi et que si j'étais resté plus longtemps en face d’elle... Par tout les dieux du Nirn j’étais vraiment devenus tarée!
New screens de Fyrre fait par kyupix.
Un grand merci a elle car ils sont tout bonnement magnifique.
Merci à toi de nous avoir donné de si bonnes restrictions. Ce fût un plaisir
CRISE D'EPILEPSIE !!!!
Ce chapitre et ses crise sont tout simplement
VIVA EL KAISER !
Chapitre 22 : Pas de limite pour les sentiments
Nous restâmes a peux près une semaine dans la forteresse avant de partir vers la Cité Impérial pour ma première mission en Tamriel. J’avais passé mon séjour a peaufiner mes talents de Shinobi et de Samouraï avec Tashi tout en apprenant a me servir d’autre arme pour pouvoir me défendre si mon Katana n’était pas a ma disposition. J’étais intéressé par l’utilisation du Teppo car, certes il était lent a la recharge mais le bruit qu’il faisait lors du tir était si particulier qu’il effraierait n’importe qui en Tamriel tout en laissant sous le choc. Une fois la recharge comprise, il me fut possible de l'accélérer de quelques secondes a force de la répéter sans cesse, ce n’était pas beaucoup mais toujours ça de pris.
Le dernier jour, la Demi-Tsaesci tenta plusieurs méthodes pour passer au dessus de mes défauts d’humaine lors de l’utilisation des pouvoir de Shinobi mais, malheureusement pour moi, aucun n’était concluant. Seul le pouvoir du clignement, une téléportation sur une courte distance, ne semblait pas trop déranger mon organisme mais je devais toujours faire attention a l’apparition des signe qui disait très bien que mon corps supportait de moins en moins les pouvoirs a savoir: transpiration, sueur froide, accélération du pouls et de la respiration, perte de l'équilibre, envies de vomir, coma et autre... Mais je ne devrais normalement pas en arriver la car les pouvoirs sont a utiliser seulement si je ne pourrais faire autrement.
Fasuuji nous avait confié, moi, Fevila, Yashakenn et Ili, la mission d’espionner le maître espion pour en savoir plus sur le bouclage de certain quartier de la Cité Impérial. En effet, Trois zone de la capital étaient désormais inaccessible sans que personne ne sache ce qu’il se passait et même certain membre du conseils des Anciens, ce qui voulait dire que l'affaire était extrêmement délicate. Le maître espion de l'Empereur devais savoir pourquoi ce bouclage avait été ordonné car il est un fervent allier du maître de l'empire. Fasuuji avait fait en sorte que je serai prise pour une ambassadrice de Val boisé pour assister a une fête dans la tour d’or blanc régulièrement organisé par la cible. Une sacrée chance.
-Bon, on vas dans quelle auberge vus que celle du quartier des huit nous sera sûrement interdit? Demanda Fevila alors que nous venions d’entrer dans la Cité après avoir été retenus trois heures par les gardes pour vérifier que nous n’étions pas des espionnes.
-L’auberge du roi et de la reine dans le quartier elfique. Proposais je. La au moins on est sur d'être reçus sans trop de problème.
-D’accord Miria. Répondit la Dunmer d’une voix enjoué en ouvrant une nouvelle fois la marche.
J’avais passé l'intégralité du voyage en bout de fil a cause de l’effet que me faisait Fevila mais même comme ça, il fallait toujours que mes yeux se pose sur ses fesses malgré l’effort mental considérable que je déployais et pire encore... je rêvais d’elle. J’avais vraiment un problème dans la tête. Une fois dans l’auberge, Fevila alla prendre les chambre avant que j’ai pu dire quoi que ce soit et se rua dans ces dernières. J’avais très bien vus qu’elle n’avais que deux clé en main et passa l’autre a Ili qui partie rapidement vagabonder dans la ville. Je m’assis la ou était attablée Yashakenn qui observait le plafond, rêveuse et un grand sourire sur les lèvres.
-J’aimerai beaucoup le revoir. Pensa la Yurei a voix haute.
-Qui ça? Demandais je.
-Le haut elfe qu’on a croisé a Anvil. Il était... charmant.
Je haussa les épaules tout en gardant une expression neutre mais a l'intérieur de moi, je bouillonnais de jalousie. Elle avait la chance d'être attiré par un homme... Moi il fallait que ça sois une femme qui commençais a me rendre complètement dingue par sa simple présence.
-Si tu veux tu peux monter dormir, je me charge des préparations avec les reconnaissances d’Ili. Annonça Yashakenn qui redevint un peux plus sérieuse sans pour autant oublier son Altmer.
Il est vrai qu’il était vingt deux heures et la fatigue commençait a se faire sentir. Mais avec Fevila qui dormais sûrement dans la même chambre que moi... il était clair que la nuit serait tout sauf reposante. Mais mes jambes me soulevèrent malgré que je voulais le contraire et me firent gravir l'escalier. Fevila était une nymphe ou quoi? Je me stoppa la porte en reprenant enfin le contrôle sur moi. J’aurais pu rebrousser chemin directement mais si je faisait a se point ma têtue je serais trop fatigué pour mener a bien la mission qui m’attendait. Je souffla un grand coup et ouvrit la porte de la chambre qui était, heureusement vide.
Je m’avança de quelques pas en observant dans tout les coins que Fevila ne si cachait pas avant de refermer doucement la porte derrière moi mais une fois mon lit atteins, je sentie sa présence, grâce au pas de velours, juste derrière moi. Neuf que je vous hais pour me foutre dans des situations pareil. Je me retourna lentement pour la voir en face de moi et en rode de chambre légère blanche tout en me dévorant de ses yeux. J'étais bouche bée par elle, scrutant chaque fragment de sa peau douce magnifique alors qu’elle faisait de même avec moi. heureusement que mon veston était en peau car sinon elle aurait vu directement tout l’effet qu’elle me faisait. Alors que je me mettais a la dévorer des yeux et que j’étais tout bonnement paralyser pas sa beauté, mon Katana me glissa des mains et tomba au sol.
-Eh bien alors, qu'attends tu? Demanda Fevila d’une voix qui rendait de plus en plus difficile le contrôle que j'exerçai sur moi.
Je ne répondis rien, trop subjugué par elle et trop occupé a garder un contrôle sur moi. Elle s’avança jusqu'à n'être nez a nez avec moi. ce qui ne me calmais aucunement. Je la trouvais magnifique alors qu’ils y a quelque jour a peine je ne la supportais pas. Mon destin était bien étrange.
-Pourquoi tu te retiens? Me redemanda Fevila avec exactement la même voix sensuel et séduisante.
-Je... ne vois... pas de quoi tu parles... Répondis je alors que mes mots arrivaient a peine a égaler un murmure.
-Allons bon, eh bien je vais t’aider a te souvenir.
Fevilla passa sa main droite derrière ma tête pour me caresser les cheveux alors que l’autre faisait de même avec mon épaule. Elle s’approcha par la suite de mon visage et je savais très bien ce qu’il allait se passer mais malgré toute ma volonté, je ne bougea pas d’un pouce. Comme si sans le savoir, je voulais qu’elle m'embrase. Qui l’aurait cru? certainement pas moi. Ses lèvres rencontrèrent les miennes dans un baiser doux et sensuelle où, pendant lequel, j’avais l’impression d'être dans un rêve, comme la première fois que j’avais embrassé Yoshiko.
Elle se recula un peu et plaça ses main sur les lanières de cuir qui maintenait mon veston en peau fermé. Pourquoi je ne faisait rien? Pourquoi je ne la retenais pas alors qu’avec Yoshiko je faisais preuve de beaucoup de gêne? Elle défi les lanière lentement et poussa mon veston en arrière pour qu’il glisse entre mes bras et tombe au sol, révélant alors mes seins nus et leurs tatouages a serpent la gueule ouverte. Fevila caressa mes seins les yeux grand ouvert et un sourire sur le visage, ça faisais a mon avis très longtemps qu’elle attendait ça.
-Je n’ai jamais vu un corps aussi magnifique que le tiens, tu es juste parfaite.
Elle me regarda dans les yeux en m’enlaçant et m’allongea sur le lit tout en m'embrassant une nouvelle fois. Elle s'allongea sur moi et descendit petit a petit en posant des baisers sur ma bouche puis mon cou avant de s'arrêter sur mes seins. ses lèvres capturent un téton dressé et joua avec en l’aspirant et le mordillant de ses dents. Je me mis a gémir lentement alors que ses mains me caressaient et que je faisait de même avec les miennes. Puis, elle revint vers mon visage et m'embrasa langoureusement. Jamais je n’avais ressentit autant de désir même avec Yoshiko... Ce dernier revint d’un coup en souvenir vivace Ce qui me redressa l’air embarrassé et honteuse.
-Qui a t’il? Me demanda fevila en s’asseyant a coté de moi.
-Je ne peux pas.
-Pardon?
-Je ne peux pas continuer... j’ai l’impression de le trahir.
Fevila soupira et posa sa main sur ma poitrine pour me rallonger, délicatement sur le lit. Elle amena sa tête a coté de la mienne avec un sourire rassurant.
-Le trahir serait de ne jamais lui laisser le repos éternel et de vivre dans sa mort.
Elle se mit a cheval sur mon ventre et retira sa robe chambre pour la jeter au sol avant de reporter son attention sur mes seins tout en continuant de m’embrasser. alors qu'elle recula sa tête, je l'enlaça mes bras derrière sa nuque pour l’embrasser a mon tour. J’étais dans un rêve que j’avais peine a croire, comme si je laissait libre cour a un désir enfouis en moi depuis ma naissance et que je venais juste de découvrir. C'était juste exquis et je pense que je ne m’en lasserais jamais.
La Dunmer descendit ses mains sur mon ventre pour atteindre ma ceinture qu’elle commença a délier. Mais cette fois je lui attrapa les mains en la regardant dans les yeux.
-Pas maintenant, je ne suis pas prête. Lui demandais je.
Fevila pensa que ma timidité avait repris le dessus et elle recommença de défaire ma ceinture. Je l'interrompis une deuxième fois tout en l'implorant du regard.
-S’il te plaît.
La Dunmer soupira et hocha la tête un sourire sur les lèvres avant de revenir s'intéresser au haut de mon corps tout en caressant ma cuisse droite et mon dos. J’agrippa ses hanche de mes jambes tout en gardant mes bras derrières son dos. Elle gloussa et observa les deux tatouage de serpent sur mes seins, la gueule ouverte comme si ils s'apprêtaient a dévorer mes tétons. Puis elle me regarda dans les yeux avec un petit sourire coquin.
-Il n’y a pas qu’eux qui on le droit d’en profiter. Commenta-t-elle.
Puis, elle plongea sa tête pour dévorer mes seins, dans leur intégralité, de ses lèvres. Je gémissais de désir sous ses assaut répété et je ne fis rien qui pouvais briser se moment. Tout en continuant son oeuvre, elle se coucha sur moi tout en plaçant ma tête sur l’oreiller. Autant de désir me donnait la chair de poule et cela sembla exciter fevila encore plus qui continuai a dévorer mes seins avec autant de passion. Heureusement qu'elle n’était pas cannibale d’ailleurs. Mes gémissements devenaitt de plus en plus fort au fur et a mesure que mon désire augmentait et je sentais sa main en train de caresser mon entre jambe mais, comme je le voulais, elle n’entrepris rien d’autre pour cette partie de mon corps alors que se dernier le voulait.
Jamais je n’aurais crut que ce moment aurait lieu mais par les neuf, que c’était bon. La deuxième main de Fevila retira ma jambière droite pour caresser ma jambe jusqu'à la plante de mon pied, ce qui me chatouilla un peux mais ne diminua aucunement mon désire. Mes pensées compensaient a s’égarer lentement en même temps que mon plaisir avait atteint son paroxysme. Et alors que Fevila jouait avec mes tétons de sa langues et ses dents, je me plaisais a penser que Mara n’était pas la déesse de l’amour mais du hasard. Qu’elle merveilleuse nuit j’allais passer.
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C'est chaud...Mais c'est bien, on est d'accord. Ca m'a même fait un petit effet...Ma femme aurait surement trouvé ça bizarre si elle avait été présente.