Un quatre main est un recit composer de deux histoire independante ecrite bien sur par deux auteur , dont les chapitre son poster en alternance l'un apres l'autre mais qui sont relier par une suite d'evenement commun . En esperant avoir ete assez clair .
P.S.:Ne chercher pas la definion de "recit 4 main" , vous risquez de tomber sur des texte pas tres catholique .
Heu... pas vraiment compris.
Au passage, je posterait une suite se soir.
Ca c'est bien
Bon en gros vous avez chacun un personnage qui vie sa vie mais un beau jour vos deux personnage se croise soit ils s'allie contre un meme ennemis temporaire soit ils continuent leur chemin de leur coter en se rencontrant quelque fois dont deux permette de donner un autre point de vue sur un personnage de l'autre auteur . Ce que tu a tres bien fais en narrant la rencontre de canaril et de yankasen . Si tu n'a toujours pas compris on passe en mp .
Nan j'ai compris maintenant.
Mais pour te répondre, bah tu verras.
J'ai compris
-... et c’est pour ça qu’ici les peines de mort ne son pas l’ultime sanction.
-C’est stupide je trouve. Fit remarquer Ili.
-Et pourquoi donc?
-Parce qu’une fois sortie de prison, les criminelles recommencent leurs délits. En Ka Po’Tun, les gardes appliquait la sentence directement: Les voleurs avaient la mains coupé, les menteur avaient la langue arraché, les violeur étaient castrés, ect... Et si ils recommençaient, ils étaient mis a mort. Nos rare prison sont purement pour but militaire.
Malgré que cela pouvait être radical, j’étais plutôt d’accord avec le système juridique Po’Tun car la au moins les criminel étaient beaucoup plus réticent a recommencer leur méfaits. Mais l’appliquer en Cyrodiil maintenant... ne serait pas trop possible, parce que sinon ont aurais un grand nombre de muet. Et pour ce qui étaient des meurtriers en Ka Po’Tun, ils étaient mis a mort directement... la aussi ça poserait problème en cyrodiil actuellement car notre taux de population aurait sacrément baissé. Mais au final, c’était des criminel alors pourquoi je m’en faisait.
-C’est vraiment barbare je trouve!! S’exlama Yashakenn.
-Parce que vous vous croyez plus civilisé peut être? Rétorqua Ili avec un accent Akaviri a couper au couteau.
-Oui, car nous on avait rarement des criminelle et ses dernier se repentait directement de leur méfaits. Pas besoin d’appliquer de méthodes de sauvage pour qu’il prenne conscience de leur actes.
-Bah reste avec tes éléphants roses dans se cas et viens pas me casser les pieds la dessus.
Yashakenn encaissa la réplique sans bronché, je pouvais voir son visage virer lentement au rouge. Elle finis par croiser les bras et resta silencieuse. Voir la Yurei comme cela me fit sourire car je ne l’avais jamais encore vue bouder. Je termina ma lecture ,qui ne parlais que d’une future grande fête organisé a la Tour d’Or Blanc par le maître espion Impérial, pour me lever et me diriger vers la sortie en refusant gentiment la proposition de l’aubergiste pour me prêter des chaussures.
Les rues étaient encore vide a cette heure de la journée, il devait a peine être sept heures du matin. Il n’y avait juste que quelques Légionnaires qui se dirigeaient vers les docks de la ville. Ma destination a moi était totalement différente, je me dirigeais chez moi. L’heure était enfin arrivé, celle ou j’allais revoir ma mère après un an d’absence sans laisser de nouvelle. Une fois ma maison dans mon champs de vision, mon cœur sauta dans ma poitrine, j’étais de retour chez moi. Je fut malheureusement cassé dans mon hélant par un garde de la ville qui se dirigea vers moi en me faisant signe de m'arrêter.
-Halte, cette demeure est interdite d'accès. Veuillez donc changer de destination je vous pris.
-Mais c’est que j’habite dans cette maison, je suis la fille des propriétaires.
-Sauf que la fille des propriétaires n’était pas une elfe des bois. Veuillez donc circuler je vous pris.
La remarque du garde fut vraiment blessante. Certes mes oreilles étaient en pointe, mais mon visage restait celui d’une humaine mais pourtant, j’étais catalogué comme une Bosmer. Sur le coups, je ne remercia pas du tout Fyrre pour cette légère modification physique qui faisait de moi, au yeux de tout ceux de Tamriel, une elfes. Voyant que le garde ne reviendrait sur sa décision, je lui passa une bourse d’au moins cent Septims. Il la regarda et après quelques secondes, il l’attrapa pour l'accrocher a sa ceinture rapidement.
-D’accords, vous pouvez y aller mais pas plus de dix minutes.
Je remercias le garde et me dirigea vers l'entrer de ma maison alors que mon coeur faisait un véritable orchestre dans ma cage thoracique. Je me félicita malgré tout d’avoir pris de l’argent avant d'être sortie de l’auberge. Je passa la porte, non sans une certaine nervosité, et j’observa alors le salon... complètement dévasté. Les différents meubles étaient détruits et plutôt récemment. Tout ce qui avait été épargné par se saccage étaient couvert de poussière se qui suggérait que la maison a été abandonné il y a longtemps et que des vandales sont venus a l'intérieur il y a quelque jours, dont le garde a la porte.
Je resta longtemps dans l'interrogation. Ou était ma mère? J'eus soudain un très mauvais pressentiment et je me jeta quatre a quatre dans les escaliers pour entrer dans la chambre commune que j’occupais avec mes parents. Une fois la porte enfoncée, je pu voir un grand nombre de graffitis d’une obscénité écœurante sur les murs mais il n’y avait pas se que j’avais crut, a savoir le corps de ma mère allongé sur le lit, morte de chagrin. Cela dit, je ne fut pas tellement rassuré car j’étais toujours dans l’incompréhension. Je descendit alors dans le salon et m’assis sur un canapé en face de la cheminer. J’observa alors le tableau de moi et mes parents au dessus du foyer éteint depuis quelque heures a peine, ce qui voulait dire que des squatteurs était partis d’ici se matin a peine, et je remarqua une enveloppe près du tableau. Je l’attrapa et me rassis pour lire sur l'enveloppe ses mots:
"Pour toi Miria, Maman..."
Super suite !
Oh non de dieu que j'adore ta fic
Chapitre 16 : des larmes de colère
J’étais perplexe, très perplexe. J’avais du mal a deviner se que pouvais contenir l'enveloppe et surtout pourquoi ma mère l’avais laissé ici. Je tenta de me rassurer en me disant que c’était juste un moyen pour ma mère de me dire où elle était maintenant mais même comme ça je gardais un très mauvais pressentiment en moi. je plaça mes doigt sur le cachet de l'enveloppe, prête a l'ouvrir mais j’avais peur de découvrir se qui était a l'intérieur, peur d’une très mauvaise nouvelle. Je me mis a respirer calmement, pourquoi y aurait il une mauvaise nouvelle après tout? je fis le vide dans mon esprit, et j’ouvris enfin l'enveloppe pour lire la lettre qu’elle contenait.
“Ma très cher fille, je sais que tu reviendras un jour a la maison et que tu liras cette lettre. Je le sais car tu es comme ton père, pleine de ressource malgré ton apparence fragile. même si pour se dernier détails, ce n’est pas le cas de ton père mais bon, passons.
il était prévus que je vous rejoignes dans Akavir deux trois mois plus tard après votre arrivé dans ce continent mais le jour de mon départ pour vous rejoindre, j’ai appris que plus aucun bateau ne se rendrais la bas a cause d’une attaque d’hommes serpents sur la colonie et on m’a dit qu’il n’y avait eu aucun survivant. J’ai refusé d’y croire , j’ai persévéré comme un diablesse pour vous rejoindre mais tout mes efforts se sont avérés vain. J’ai du donc retourné a Anvil avec juste mes yeux pour pleurer.
Mais de retour a Anvil mon malheur de vous avoir perdu, toi et ton père, c’est décuplé. Tout le monde me regardais les yeux emplis de pitié. Tout le monde me rappelaient, sans le vouloir, votre perte. Au château, j’ai étais promus mais je sais que ce n’est pas par pure gentillesse mais parce que l’ont avais pitié de moi. Je ne pouvais plus supporter cette situation.
Quelqu’un ma permis de fuir cet enfer même si cela ne calmera jamais ma douleur. Quoi qu’il en soit, je vais te demander quelque chose de terrible ma fille, bien que j’adorais te revoir je ne veux plus que ce terrible événement revienne hanter ma vie car je n’ai plus la force de le supporter. Je veux donc que tu me promette ma fille de ne jamais essayer de me revoir, de me laisser vivre ma nouvelle vie comme tu dois vivre la tienne. Cela dois t’arracher le cœur mais sache qu’il s’agit de la meilleur décision a prendre pour nous deux. Dit a ton père que je l’aimerais toujours et toi, ma fille chérie, je te porterais toujours dans mon cœur.
Adieux ma fille.
Silana Wavrick, ta mère.”
La lettre me glissa des mains, la lecture terminé. Je resta immobile, les bras figé et le regard dans le vide, en train d’emmagasiner ce que je venais de lire et réaliser pleinement la situation. La nouvelle d'être abandonné par ma mère avait fait l’effet d’un coup de tonnerre comme frappé par les dieux et pour me préparer a l'afflux d’émotion qui montais en moi, je me rassis sur le canapé... mais trop tard. Les larmes avait déjà fait leur apparition et plus rien ne pourrais les retenir.
Je laissa libre court a mon chagrin. Pleurant, sanglotant, gémissant et hurlant. Rien ne pourrais refermer cette peine qui venait de s’ouvrir en grand comme une large blessure dans mon coeur. J’avais été abandonné par le dernier membre de ma famille et je ne savais pas du tout ou elle était. Comment allais je faire pour honorer la dernière volonté de mon père en étant reniée de la sorte par ma mère?
-J’avais dit dix minutes et ce délai est écoulé donc dehors maintenant! Me cria le garde qui était rentré dans la maison.
Mais malgré son ordre, je ne bougea pas d’un pousse, continuant de déverser des flots de larme. Le garde s’avança et se mis juste en face de moi, les poings sur les hanches.
-C’est pas la peine de pleurer!! Je vais pas m'attendrir!!
Son avertissement me passa au dessus de la tête et il le voyais bien. Il fut d’un coup intrigué par mon visage et le regarda avec plus d’attention. Il se retourna par la suite vers mon tableau de famille et écarquillas les yeux en me reconnaissant.
-Par les huit... articulas-t-il, toujours le souffle coupé par sa découverte.
Il parut extrêmement gêné et se frotta la nuque en essayant de ne pas trop me regarder. Moi je ne voulais qu’une chose, qu’il foute le camps et me laisser déverser mon chagrin seul. Il finis par s'asseoir a coté de moi et sembla chercher un moyen de me calmer et si j’avais été en meilleur état, je l’aurais mis au défit de le faire mais après une telle découverte, aucun amusement n’apaiserait ma peine.
-Désolé... je ne vous avez pas reconnus... je ne savais pas que la fille du capitaine était une elfe.
Je voulais qu’il se taise et me laisse. Il ne savait pas ce qu’il venait de m’arriver, il n’avais donc rien a dire. Mais néanmoins, je commençais a vouloir qu’il reste, il essayait de se montrer réconfortant alors bon, autant le laisser même si il perdait son temps.
-Je sais que votre mère veux vous revoir malgré qu’elle a été emmenée.
Je cessa alors de pleurer d’un coups en entendant ce que venait de m’annoncer le garde. Je releva ma tête et tourna mon visage, rouge de chagrin et sillonné de larme, vers le garde tout en faisant un effort surhumain pour garder mon calme.
-Ou est elle? Demandais je, alors qu’une colère glaciale montait en moi a une vitesse ahurissante.
Le garde me fixa sans dire un mot, sans doute apeuré par mon changement si radical d’émotion. J’approcha lentement ma tête de lui alors que ma colère étais sur le point d'éclater a tout moment alors que lui, se recula a mon rythme.
-J’ai dit: ou est elle? Demandais je une deuxième fois d’une voix tremblante qui trahissais mon manque de contrôle sur mes sentiment.
-Heu... eh bien... je ne...
-OU EST ELLE!!? Hurlais je alors que j’avais définitivement craqué a la colère tout en saisissant le garde par le col.
-J’en sais rien, je le jure!! S’affola le garde, complètement terrorisé. La seul chose que je peux vous dire c’est la dernière fois que je l’avais vu, c’était pendant pour tour de garde de nuit ou elle avait été escorté par des légionnaire impérial hors de la ville!! Mais c'était il y a des mois!
Je repoussa le garde en arrière a un tels point qu’il tomba au sol, et je sortie au pas de course. J’avais enfin des indices sur ou se trouvait ma mère, mince certes mais ils permettaient un début. Malgré tout, je n’avais pas les ressources suffisante pour investir a moi seul, et mes sœurs de batailles ne serait pas suffisant non plus. J’avais besoin d’aide d’homme puissant, comme Shimazu Fasuuji qui était membre du conseil des anciens. Rejoindre la forteresse du gryphon ne serait pas un mince voyage mais j’étais plus que déterminée a le faire.
Je traversa la ville en trombe sous les yeux surpris des quelques passants qui comprirent bien vite qu’il valait mieux ne pas être sur mon chemin et déboula dans l’auberge comme un boulet de trébuché. Yashakenn et Ili étaient toujours assis a la même table ou, apparemment, la Yurei apprenait a son “élève” a jouer au carte. En me voyant, Yashakenn fit les yeux rond de me voir débouler dans cet état.
-Bah qu’est ce qu’il y a? Me demanda-t-elle.
-Je veux que tu me prépare le voyage pour Vardenbreck maintenant! Lui rétorquais je alors que j’étais déjà au pieds des escaliers.
-Et on part quand?
-Des que je suis prête. Lui criais je depuis l’étage.
J’entra dans ma chambre en ouvrant brutalement la porte pour me diriger vers mes affaires qui étaient au pieds du lit. Fevila qui venait de s'être enfin remis des effets de l’alcool se couvra avec la couverture du lit, sous la surprise et pour cacher sa nudité... un comble pour une femme des plus pervers.
-Oh... heu écoute... je suis désolé pour hier soi... commença-t-elle.
-Tais toi, je suis pas venus pour ça. Lui rétorquais je froidement.
La Dunmer fut sur le point de dire autre chose que je retira ma robe d’un mouvement et me voir nue la fis taire directement. Qu’elle me matais si elle voulait, j’en avais plus rien a foutre maintenant. Je commença a m'équiper de mon armure qu’elle se leva et commença, timidement, a s’habiller a son tour. Une fois terminé, j’attrapa mon katana et je me dirigea vers la porte en ordonnant a Fevila de descendre des qu’elle sera prête.
Yashakenn étais en train d’étudier plusieurs cartes qui représentaient différente régions de Cyrodiil en détail tout en expliquant a Ili de trois chose sur la géographie de Tamriel. En me voyant arriver, elle s'appliqua plus profondément dans son étude. Je m’assis a coté d’elle et attendis les résultats avec une impatience non dissimulée.
-Heu... tu préfère que nous passions par Val Boisé et Elsweyr ou que nous restions en Cyrodiil pour le trajet? Me demanda-t-elle pour briser un affreux silence.
-On reste en Cyrodiil, pas envie de me perdre dans des régions que je ne connais pas alors que je veux que le trajet sois fait rapidement. Lui rétorquais je.
Yashakenn hocha la tête et se replongea dans ses cartes avec plus d'attention. Fevila descendit des escaliers, prête pour le voyage, et s'assit a coté de moi. Je fut a peine surprise qu’elle recommence a mater mes seins avec une pseudo discrétion mais la, j’en avais vraiment marre et je me tourna vers elle ce qui lui arracha un sursaut d'être pris la main dans le sac.
-Tu mattes la.
-Non je t’assure.
-SI TU MATTES!!! ALORS MAINTENANT IL VA FALLOIR CHOISIR: SOIT TU ARRÊTE DÉFINITIVEMENT OU SOIS TU LE FAIS PLEINEMENT!!!! MAIS PAS D’ENTRE DEUX, COMPRIS!!?
Fevila hocha la tête tout en restant estomaquée de mon pétage de plomb, tout comme l’étaient Yashakenn et Ili. La Yurei finis d’une traite le trajet du voyage et annonça que nous étions prête. Nous sortîmes donc directement de l’auberge pour nous diriger vers la forteresse de Fasuuji qui se trouvais tout au sud de la montagne Valus.
Le voyage va être chaud si Miria s'énerve a chaque fois
Bonne suite et surtout...MERCI D'AVOIR POSTER DEUX FOIS D'AFFILER !
Chapitre 17 : Le retour d’une matrone et d’une sœur
Nous avions marchés pendant deux jours avec pour seul arrêt, ceux pour dormir et manger. A mon grand soulagement, il n’y eu aucun problème durant le trajet, pas de bandits, pas de maraudeurs, pas de gobelins, bref un voyage des plus tranquille. Ma colère c’était dissipée pour faire place a une tristesse que je m’efforçais de cacher. Je n’étais d'ailleurs pas très fière de ma crise de nerf le jour de mon départ d’Anvil, j’avais passé des mois a suivre les enseignements des moines combattants Akavirois sur le contrôle de sois et en un instant, j'avais foulé du pied toutes ces leçons. Tashi n’aurait sûrement pas été très fière de moi, même si ce n’était pas son domaine. Ma mère m’avais abandonné oui, c’était tragique, mais si je laissais cet événement m'abattre ma vie n’aurais plus eu aucun intérêt.
Au sud est du lac Rumare, il fut décidé de prendre la route jaune plutôt que la route verte qui nous aurait conduit en direction de Bravil. Mais en prenant la route jaune, il a fallut continuer la marche jusqu'à notre destination pour être réellement en sûreté. Cyrodiil restait une région très dangereuse hors des murs de ses grande ville fortifiées. Puis, il nous a fallut rejoindre le lac Canulus et remonter au nord pour atteindre le pied de la montagne Valus et surtout Vardenbreck qui si trouvait. Un sacré bout de chemin c’est sur.
La ville de Vardenbreck était la deuxième grande ville de Cyrodiil et possède l’une des meilleur armée de l'Empire. Le fait qu’elle soit si difficile d'accès n’est pas juste pour décourager les voyageur mais pour voir l'ennemi arrivé et préparer les défenses rapidement. Mais c’est avant toute chose une ville strictement militaire ou les seuls habitant sont les soldats et les familles des soldats. Il était bien sur possible d’y voyager mais, a part avoir été invité ou engagé, on ne pouvais pas y rester plus de deux jours et ceux qui voulait mettre les règles de coté étaient mis dehors sans même avoir eu le temps de faire leurs bagages. Heureusement pour moi, j’avais été invitée.
En nous approchant des portes, je réalisa que nous avions un problème pour entrer. J’avais peut être était invité par Fasuuji a le revoir dans la forteresse du Gryphon mais je n’avais aucun papier ou document qu’il le prouvait. Et malheureusement, l'accès a la forteresse comportait un système d’admission qui relevait de la paranoïa extrême. En cherchant une solution, mon regard fut attiré par une jeune femme au cheveux noir et habillé d’un kimono vert, en train de parler avec des... Tsaescis!?
-Tashi!!? M'exclamais je encore sous le choque de la surprise.
La concerné tourna la tête vers moi et en me voyant elle explosa de joie. Sous l’émotion elle se jeta sur moi et me fit tomber en arrière tout en me serrant dans ses bras.
-Miria!! Je suis si contente de te revoir!!
-Moi aussi. Répondis je en essayant de reprendre mon souffle.
Elle se redressa mais resta assise sur mon ventre.
-Alors? Qu’est ce que tu fais la? Me demanda-t-elle.
-Je pourrais te poser la même question.
Tashi finis par se mettre debout et m’aida a me relever. Elle se recula un peux pour me regarder de la tête au pied alors que les deux Tsaesci qui l’accompagnaient s’approchaient, s’agissant sûrement de Gunshi Shimazu vu leurs armures vertes décorées.
-«Madame, ceci n’est pas le comportement que devrais avoir une Daimyo Shimazu.» Gronda l’un des Gunshi.
-«Je fais ce que je veux ta gueule.» Répondit directement Tashi.
Le Tsaesci leva la main pour protester mais son compagnon lui fit signe que cela ne servait a rien avec une Daimyo pareille... et il avait bien raison au final. Tashi continua de m’observer plus en longueur puis, elle ferma les yeux avant de les rouvrir et reprendre.
-T’as oublié des truc. Taquina légèrement Tashi.
-C’est dur de retenir les pouvoir de Shinobi Tsaesci. Répondit je, les joues rouge d’embarras.
-C’est pas grave, je te les réapprendrais. Mais dit donc, t’as vraiment l’air d’une guerrière maintenant, elle et bien loin la petite adolescente innocente... enfin pas trop au final, t’as quand même assassiné des gens.
Elle tourna la tête vers Yashakenn et lui fit un signe de main que la Yurei répondit en s’inclinant. Tashi alla pour saluer Ili mais se figea net dans son mouvement lorsqu’elle se rendit compte des origines de la concernée. Au final, elle dévia son mouvement pour saluer Fevila qui avait littéralement dévoré du regard la demi Tsaesci.
-Vous êtes? Demanda Tashi a la Dunmer.
-Fevila, une... amie de Miria.
Tashi s'esclaffa, sûrement avait elle décelée le mensonge de la Dunmer, puis elle se retourna vers moi.
-Et sinon, tu viens faire quoi ici?
-Bah ton frère pensait pouvoir me donner tu travail... et vu que j’ai rien a faire...
-Tatata, notre frère Miria. Me corrigea Tashi. Tu fais partie de la famille maintenant, enfin bon j’allais justement le voir. Tu me suis?
Je hocha la tête comme réponse, heureuse de voir qu’elle me permettrait de ne pas devoir passer illégalement a travers les défenses de la forteresse... si j’aurais réussi a les passer bien sur. Tashi donna un ordre a ses Gunshi qui mirent immédiatement de grande robe vert a capuchon qui cachaient la totalité de leur apparence même si ils avaient toujours l’air un peux bizarre comme ça. Je me demanda pourquoi Tashi n’avait pas ordonné ça a peine arrivé sur Tamriel mais au final, c’était juste a cause de la mentalité de Tashi. Nous nous avançâmes par la suite vers les portes qui s’ouvrirent a nous, révélant alors Vardenbreck.
A l'entrer nous attendais une calèche gardée par huit serpent d’argent en armure intégral et au garde a vous. Nous montâmes alors a l’intérieur qui était grandement confortable a ma grande surprise mais il était évident que la calèche ne m’attendais pas moi mais Tashi, son arrivé était programmé depuis longtemps et n’était pas une surprise fait a Fasuuji.
-Tu es arrivée depuis longtemps? Demandais je a ma soeur adoptive.
-A peine quatre heures, je suis partie d’Akavir deux jours après toi pour une réunion de famille dans la forteresse du Gryphon qui durera plusieurs semaines. Me répondit Tashi qui c’était allongé sur la banquette en face de moi en prenant les queue de ses Gunshi comme repose pied et oreiller.
La réunion de famille de Shimazu? J’allais voir les deux frères et la soeur de Tashi et Fasuuji qui m’était jusque la inconnue a part de nom? Mon excitation était devenus grande en une fraction de seconde a l’idée de les rencontrer. Je profita alors pour regarder a travers une fenêtre de la calèche pour observer la ville plus en détail.
J’étais dans le premier des trois quartier de la ville, le quartier de siège. Cette zone ne contiens aucune résidence, magasin ou autre et n’est que purement organisé pour la défense de la ville. Piège, douve, zone d’embuscade, cache d’arme, herse et grand nombre d’autre chose garnissaient ce quartier et au final, un attaquant n’était même pas sur d'accéder au quartier suivant et pire encore, le quartier de siège a été construit pour être défendable uniquement dans un sens, celui du défenseur donc si l’attaquant réussissait a prendre possession du quartier, il serait complètement vulnérable a une contre attaque des assiégés.
Le quartier suivant était militaire, c’était ici que se trouvait les casernes, salles d'entraînement, forge, ect... La garnison de Vardenbreck était constitué d’un grand nombre de soldat indépendant de l’Empire et d’une légion affilié a Fasuuji. Malgré que ce détail était classique il révélait en vérité la guerre interne que se livrait le conseil des Anciens. Chaque membre avait déjà payé des légionnaires pour le servir et après, ils devenaient ses yeux et ses oreilles mais surtout ses bras armés qui n'hésitent pas a faire taire tout détracteur de l’employeur et bien sur, il n’était pas rare que deux groupe au affiliation différente s’oppose dans des combat des plus sanglant. Les légionnaires encore neutre sont extrêmement rare et on pour habitude de ne pas les crier sur tout les toits et de se faire tout petit pour ne pas être considéré comme une menace par ses ancien pairs. Dur loi de la politique.
Nous arrivâmes enfin dans le dernier quartier qui changeais complètement de décors. Les deux précédent avait une style très spartiate et militaire, mais le quartier résidentielle était très proche du style de Skingrad. Ici se trouvait majoritairement les habitions des faille des soldats de la ville mais aussi de nombreux commerces. grâce a son admission très stricte, la ville a un taux de pauvreté extrêmement bas, très peux de chose et inaccessible au habitant de Vardenbreck et surtout, tous on le statue de bourgeois.
-Mon père avais reçus une affectation de travailler ici en temps que garde. Déclarai je a voix haute.
-Et pourquoi a-t-il refusé? Demanda Tashi.
-Parce qu’on avais en même temps reçus celle pour Akavir. Des fois je pense que si on avait accepté l'affectation de Vardenbreck il serait toujours en vie mais... Je n’aurais jamais pu être ce que je suis maintenant.
Tashi ne répondit rien et je continua a observer la ville. La calèche poursuivis sa route sur une route de montagne très sinueuse qui indiquais que nous montions la montagne Valus pour rejoindre la forteresse du Gryphon. Alors que le sol commençais a se blanchirent petit a petit, des flocons tombaient du ciel. Je retrouvais presque la poésie d’un hiver en Akavir, la bas tout était calme et silencieux en cette saison a un point elle qu’il était possible de croire que le temps c’était figé et que rien ne pourrait déranger cette tranquillité.
La calèche finis par s'arrêter quelque minutes plus tard légèrement brutalement ce qui me sortie de manière tout a fait indélicate de mes rêveries. Tashi sortie excitée comme une puce avec sur les talon ses deux Gunshi. Yashakenn et Ili sortirent mais alors que Fevila allait faire de même, elle se retourna vers moi, encore assise et la tête posé sur la parois de la calèche.
-Tu sors pas?
-Hum..? oh, si. Juste des souvenirs qui remonte.
Je suivit la Dunmer dehors et a peine avais je eu le temps de poser le pied, nu, sur le sol enneigé que je me figea par notre destination: La forteresse du Gryphon dans toute sa splendeur. Il s’agissait d’une immenses Citadelle, posé sur un des pics de la montagne, garnis de tour sur les imposante rempart qui faisait passer n’importe qu’elle fort Impérial pour un simple campement de touriste. Au sommet de chaque tours se trouvaient une bannière d’un griffon rouge.
-Je crois qu’il faudrait que je dise a mon frère d'arrêter d’en faire trop, nan? Fit remarquer Tashi.
Bonne suite
Chapitre 18 : Un roi des voleurs, un traqué traqueur et une furie... Bienvenu chez les Shimazu
Nous restâmes la a observer plusieurs longues minutes la forteresse de Fasuuji. Jamais je ne l’avais vue de mes propres yeux et maintenant que je l’avais en face de moi, je ne pouvais que l’admirer pour son imposante et sa grandiose stature. Je dut malgré tout suivre Tashi lorsqu’elle commença a avancer sur le pont qui amenait vers la grande porte d'entrer. Le pont était aussi très imposant, placé au dessus d’un gouffre et sur les rambarde se trouvait des foyers allumés sûrement par magie car je voyais vraiment mal qu’une personne soit monopolisé en permanence pour les allumer tout les jours.
Une fois au portes, elles s’ouvrirent directement, nous laissant continuer notre avancer dans la cour de la forteresse ou de nombreux serpents d’argent vaquaient a leur occupation. J’avais entendus dire que le nombre de ses soldats d’élites était au alentour de deux milles, il ne devait pas tous être la car il ne faisait vraiment pas leur nombre, juste une centaine dans la cour. Un peux plus loin, nous fumes accueillis en silence par Takeda, cette femme en robe rouge. Elle s’inclina devant nous et, sans dire un mot, elle nous invita a la suivre a l’intérieur de la forteresse. Tashi m’avais dit, lors de l'année que j’avais passé en Akavir, qu’il s’agissait d’une Ashen muette que Nagamitsu et Fasuuji avaient acheté a des esclavagiste Dunmer pendant la troisième ère. Après des années de loyaux service, Nagamitsu voulu lui rendre sa liberté mais Takeda refusa car elle voulait servir les Shimazu aussi longtemps que possible. Quant a la raison de son immortalité, je n'eus pas l'occasion de lui demander.
Takeda nous fit entrer dans ce qui était un grand salon très luxueux, remplis de nombreux meubles ou le sol était recouvert de moquette rouge. Dans cette pièce se trouvait aussi deux personnages en train de jouer a une partie d'échec. Je connaissais le premier en tant que Shimazu Fasuuji, membre extrêmement influent et redouté du conseil des anciens. Mais pas le deuxième homme. Il s’agissait d’un homme a la barbe proprement taillée et au cheveu noir qui descendait a sa nuque. il était vêtus d’une armure Akaviroise d’un style Cyrodiilien et adapté a son style. Il portait accroché dans son dos un Dai-Katana proprement impeccable. Fasuuji fit une manoeuvre d'échec et mangea le roi du deuxième homme avec un sourire non caché. Il avança sa main vers des gain sur leur coté mais le deuxième homme planta un tanto a quelque millimètre de la main de Fasuuji.
-Je crois que tu te moque de moi petit politicard. Crois tu un seul instant que j’allais laisser ta tricherie passer? Menaça l’homme tout en sourire.
Fasuuji planta un tanto, lui aussi, sur la table.
-Mon pauvre frère, crois tu vraiment que j’ai besoin de tricher pour te battre a un jeu si simple. Rétorqua le Demi-Tsaesci, tout en sourire lui aussi.
Le deuxième homme qui se révélait être le frère de Fasuuji, se leva d’un bond de sa chaise et assena un coup de tanto droit vers la gorge de son frère qui fut heureusement bloqué par se dernier.
-Me provoquerais tu, petit frère?
-Si tu avais su te servir de ta tête, tu l’aurais su a l’instant même ou je t’avais proposé cette partie d'échec.
Le grand frère de Fasuuji poussa une exclamation de défi et, d’un seul geste, il dégaina son Dai-Katana et porta un coup vers Fasuuji qui l’aurait décapité si se dernier n’avais pas paré avec son Katana. Les deux hommes se lancèrent alors l’un sur l’autre dans un combat épique et titanesque, ravageant le magnifique salon dans leur combat... qui était pourtant une simple taquinerie comme suggérait l’état relativement calme, voir joyeuse, de Tashi.
-Tu connais déjà Fasuuji donc je te présente Tokimoshi, l'aîné de la famille et ancien grand maître des lames. Maintenant il s’amuse a casser les tête des Justiciars du Thalmor qui lui court après. Annonça Tashi.
-Ils se battent souvent entre eux? Demandais je, légèrement inquiète du fait que si un coup touchait il serait sans aucun doute mortelle.
-Bah, ils se battent pas la, ils jouent.
Je resta de marbre face a la remarque de Tashi mais pourtant très surprise. Un observateur standard n’aurait jamais dit qu’ils étaient en train de jouer. Tashi s’approcha de Takeda et lui demanda si sa soeur était présente. l’Ashen fit non de la tête et remua les lèvres sans que aucun son n’y sorte. Tashi remercia et revint vers moi.
-Sélia est aller tuer un loup garous dans les montagne il y a quatre heures, elle devrait donc bientôt revenir. En attendant je...
Tashi ne pu finir sa phrase que la porte du salon s’ouvrit en grand, laissant apparaître un splendide personnage habillé luxueusement et accompagné de deux homme en armure de cuir a capuchon qui ressemblait plus a des fripouilles qu’a des gardes du corps.
-Bonsoir mesdames et messieurs... enfin surtout mesdames. Commenta-t-il en s’inclinant vers moi. je vois que je ne suis pas le dernier arrivé, enfin bref, comment allez vous cher famille? Cela fait longtemps que je ne vous avez pas vu.
-Ka... Kage... Ka... Kagetsune!!? S'écria Tashi.
-Bonjour Tashi. Répondit l’homme qui semblait être le troisième frère de la demi-Tsaesci.
Tashi s’approcha du dénommé Kagetsune sans cacher son effarement et son interrogation. Elle l’observa de longues minutes avant de reprendre enfin la parole.
-Mais... depuis quand t’es comme ça?
-Depuis quand je montre mon vrai statue social a ma propre famille? Eh bien depuis que je suis rentré dans cette pièce je crois. Reprend moi si je me trompe bien sur.
Tashi resta inexpressif quelque secondes, puis elle se remit a sourire et serra dans ses bras son troisième frère. Elle me demanda par la suite de m’approcher, d’un signe de main. Sûrement pour me présenter a son frère.
-Je te présente Miria. Annonça Tashi avant de se tourner vers moi. Miria voici Kagetsune, le quatrième enfant de la famille et mon grand frère.
-Enchanté de faire enfin votre connaissance. Déclara Kagetsune. vers moi Je suis ravis que notre petite soeur adoptive sois aussi ravissante que vous. Mais laissez moi me présenter a ma manière. Shimazu Kagetsune, officiellement marchand et fournisseur de commerce mais le vrai moi, n’est autre que le renard gris, maître de la guilde des voleurs de Tamriel. Pour vous servir.
Cette famille ressemble un peu à la mienne. Très prenant comme d'habitude.
Bienvenu et merci d'avoir lus.
Super suite
J'aime bien Sélia pour les attributs caractérielle et physique qu'elle a
Une bonne famille de tarer je kif .