ALL ABOOOOOAAAARRD HAHAHAHAHAHA...
AY AY AY AY AY...

Hum bref, suite !

Iso ça prend du temps de tuer un dieu et puis quand même pas revenir comme ça apres un tel combats surtout

pour ta fic

vu leursblessure tu reviens pas comme ça d'un tel combats,entre alrik qui devient pratiquement hircine,Shei qui est devenue une centrale électrique,Valerian qui est morts et je ne parle même pas de ce que azaelz et inamora vont se prendre dans la face par l'autre gugus

-Maman!!

Et une emmerdeuse par la même occasion. A peine j’avais été en vus de la bâtarde qu’elle poussa un cri de joie et se jeta sur moi pour me serrer dans ses bras. Tous était attendris par la scène sauf moi qui ne demandais qu’a être achevée par les dieux. Lorsque Eloé voulue enfin me lâcher, je pus voir que Brii était présente avec le reste du groupe ce qui rajoutait une personne de plus pour le voyage.

-Je ne pense pas que la calèche pourra transporter onze personnes. Commentais je a voix haute.

-Ne t’inquiète pas la dessus. Me rassura Yashakenn. On sait marcher.

Je haussa les épaules et après avoir choisis qui marchait et qui monterait, nous pûmes partir J’aurais donnée cher pour faire partie de ceux qui marchait mais Inamora estimais que je devais être avec elle, chose que j’aurais grandement accepté si Eloé n’était pas avec moi en train de me demander toute les cinq secondes si elle pouvais manger.

-Pourquoi tu l’as nourris pas? Demanda Alrik.

-Parce que sait pas l’heure! Mentis je froidement.

Le nordique gloussa et l’envie de lui en coller une me démangeait. Je comprenais maintenant l’ancienne haine d’Inamora envers lui et ne voyais d’ailleurs pas ce qu’Inamora lui trouvait.

-Est ce qu’on pourra dormir a la Cité Impérial? Demandais je.

-Eh bien… oui mais pourquoi? Demanda Inamora.

-J’ai quelque chose a faire. Répondis je simplement en prenant bien soin de ne rien laisser paraître sur mes intentions réel.

Je me fis bien plus silencieuse le reste du voyage et j’en profita pour tenter de dormir malgré le fait qu’Eloé trouve toujours quelque chose pour m’énerver. Au final, je me répéta dans ma tête les préceptes des moines guerriers Tsaesci pour rester calme qu’importe la situation.

-J’arrive maman. Pensais je a voix basse.

Nous arrivâmes a la Cité Impérial tard le soir vers vingt et une heure. Nous aurions du arriver beaucoup plus tôt mais Eloé eu la bonne idée d’aller jouer dans une ruine Ayléide pleine de mort vivant. Même avec l’aide de Fyrre, nous mimes deux bonne heures pour la retrouver toute contente en train de discuter avec une liche qui n’avais pour seul envie de lui arracher la tête. Je fus plutôt heureuse lorsque l’on m'accorda le droit de la punir mais je le fus beaucoup moins lorsque après l’avoir giflée, elle ne réagit aucunement et continua de se comporter comme si de rien était.

Nous allâmes prendre nos chambre a l'hôtel de Tiber Septims et l’aubergiste fus plutôt surprise de voir autant de monde entrer dans son auberge mais alors que nous étions tous au comptoir, mon oeil fut attiré par un homme en robe noir a capuchon qui était assis a un banc en lisant un livre. Comment se faisait il que cet homme ne dormait pas? Certes, a vingt et une heure les gens discutait dans le hall de l’auberge mais pas dans celle si normalement, alors que faisait il ici? L’homme en noir finis par se lever mais avant de partir, il posa son livre en laissant un bout de papier. Puis, il se dirigea vers les sous sols et passa la porte. Je me détacha discrètement du reste du groupe et ouvrit le livre. Le papier était plié mais il était évident que quelque chose avait été écrit en rouge dedans. Je le déplia et lut:

“Suivez moi”

Je reposa le livre et rangea le papier dans ma poche avant de me diriger vers la porte du sous sol mais avant d’ouvrir, je me posa une question: Et si il s’agissait d’un Gardien de Lorkhan? Je n’avais pas vue le visage de cet homme et surtout, personne n’avait fait attention a lui a part moi. Je risquais beaucoup en passant cet simple porte mais après quelques secondes de réflections, j’ouvris. Tout ce passa en a peine une secondes, alors que j’avais juste entre ouvert la porte, une main ganté noir me saisis par le cou et me fit entrer sans plus de cérémonie mais surtout, dans le silence le plus total. Je fus alors plaqué sur le mur a trente centimètre du sol et la porte fut fermé, me laissant dans le noir total avec mon mystérieux agresseur. Il y eu un claquement de doigt et un boul de lumière magique vint m’éclairer ainsi que l’homme en noir qui me dévisageait de ses deux yeux rouge écarlate.

-C’est donc sssa que mon neveu envois? J’espère qu’il ne s’agit juste que des apparenssses? Me demanda l’homme.

-Lâchez moi!! et puis qui êtes vous?! Ordonnais je me débâtant.

-Je sssuis ssselui qui écoute la dame impie.

Chapitre pas mal

j'adore quand miria a parle de Bal a inamora elle est direct, elle aurait limite ajouter:« le style gothique sanglant c'était vraiment pas mal La Tour franchement du style métal alors »

J'aurais du mettre un stand de guide touristique en Havreglace.

Chapitre 68 : Un oncle sanglant

A l’instant même ou l'écoutant venait de révéler son statue, je ne prononçai plus un mot et ne fis plus un mouvement. l’assassin continua de me juger avant de enfin me poser sur le sol. Je ne pouvais l’expliquer mais il semblait dessus de moi ce qui était au final très compréhensible car je m’était fait avoir comme une débutante.

-Je pensssais que Fasssuuji enverrais quelqu’un de plus vieux que vous. M’annonça l’Ecoutant presque dans une critique.

-Je fais malgré tout mon travail. Répondis je légèrement mal a l’aise. Mais vous n’étiez pas sensé être avec quelqu’un?

-Ils ne viendront pas, je me charge donc de sssa. J’essspère que vous serez efficasssse.

Je hocha simplement la tête et l’Ecoutant partie en me donnant rendez vous au Jardin vert de l’Empereur a vingt deux heures. Heureuse qu’une personne aussi oppressante soit partie je repris mon souffle et retournai dans le hall de l’auberge.

-Je peux savoir ou tu était?

En me retournant, je pus voir Fevila les main sur les hanches comme une mère prenant sur le fait un enfant fautif.

-Juste de la curiosité, maintenant si tu pouvais m’indiquer ma chambre je voudrais aller dormir.

Fevila baissa les bras et m’invita a la suivre, apparemment nous avions eu de la chance car il n’y avait personne et nous dûmes réserver toutes les chambres. Je ne me fis pas prier et une fois devant mon lit, je m’allongea directement ce qui surpris un peux Fevila. La Dunmer aurait voulue fleurter légèrement avec moi mais actuellement, toute mes pensée était dédiée a ma mère que j’allais retrouver dans moins d’une heure. Heureusement pour moi, Fevila s'endormit rapidement ce qui me permis de sortir du lit et me préparer. Je cherchai dans mes affaires une armures convenables pour cette mission et je finis par mettre l’armure de Shinobi que m’avais offerte celle qui avait été mon mentor en Akavir.

Cet étrange sensations d'être nue avec cette armure me dérangea légèrement mais au final, c’était vraiment bénéfique car rien n’entraverais mes mouvements. Me saisis alors mon Katana et sortie dans le plus grand silence. Le couloir était noir mais cela ne me dérangeait nullement, je m’avançai jusqu'à tomber sur un détail au grand sourire complètement naïve.

-Tu vas ou maman? Me demanda la Daedra qui venait sortir de nul part juste devant moi.

-Eloé, vas te coucher.

-Je veux pas, c’est ennuyeux. Je veux venir jouer avec toi.

-Vas donc jouer avec Brii, je suis sur qu’elle n'attend que ça.

-Super!!

Et sur l’instant, la petite bâtarde sortie directement de l’étage pour dévaler les escaliers et sortir de l’auberge sans la moindre délicatesse. Je secoua la tête et sortie de l’auberge a mon tour mais cette fois si, sans le faire comme un éléphant. Je ne perdit pas mon temps a vouloir passer inaperçus et je me dirigeai directement vers le quartier du Palais. Ceux qui voulaient m’aborder le ferraient a leurs risques et périls. Je ne perdis aussi pas mon temps a me cacher derrière une tombe, je restais la, planter au milieux de l’aller a observer la tour d’Or blanc. J’allais enfin pouvoir “discuter” avec ma mère sur tout ce qu’elle avait osée faire pendant mon absence et celle de mon père.

L’Ecoutant ne mis pas longtemps a venir, vêtus d’une armure de cuir noir d’un style Akavirois et d’un masque qui recouvrait l'intégralité de sa tête. Je pus remarquer alors que ses yeux rouges étaient en faite des lentilles pour cacher ses véritables yeux ou simplement pour inspirer la peur sur ses cibles et ennemis. Il tenait dans sa main droite un Katana de métal noir dont la lame était frappé de rune Akaviroise rouge vif.

-Comment ça ce fait que Nagamitsu ne met jamais parlé de vous? Demandais je a l’oncle de Fasuuji.

-Parssse que mon bâtard de frère penssse que je sssuis le mouton noir de la famille. Pouvons nous y aller maintenant?

Je hocha la tête et l’Ecoutant jeta un sort d’invisibilité avant que nous nous avançâmes dans le palais. Je fus plutôt surprise de voir que le Palais était plutôt vide et surtout, les rue aussi était vide. Voyant que je me posait des questions, le maître assassin m’annonça dans la plus grande indifférence qu’il avait embroché plusieurs cadavre de légionnaires dans le quartier du marcher ce qui monopoliserais une très grande partie de la garde. Il s’agissait la d’un très grand coup de chance et nous nous dirigeâmes vers les sous sols pour utiliser le passage secret que m’avait montrer le frère de Fasuuji. Mais alors que nous étions dans le sous sols, un énorme doute m’assaillis sur sa position exacte.

-Eh merde!! M'exclamais je vraiment furieuse. Il est ou ce foutue passage secret!!?

-Nul besoin de sss'énerver pour sssa. Répondit calmement l’Ecoutant.

-Halte!!

Je n’avais pas vraiment besoin de me retourner pour savoir que nous avions été surpris par un groupe garde du palais. L’Ecoutant ne perdis pas de temps pour empoigner son Katana et se mettre en garde. Je fis de même mais l’assassin me pris de vitesse pour attaquer car a peine j’avais sortie mon arme de son fourreau, la sienne était déjà en train de goûter le sang des Légionnaires.

Le premier garde en vue de l’Ecoutant fut décapité sans plus de cérémonie. Ses camarades, extrêmement surpris de la vitesse d’attaque de l’assassin, n’eurent pas le temps de se reprendre a temps. L’Ecoutant, toujours dans son élan de meurtre, coupa le bras de son prochain adversaire avant de plonger sa lame dans l’abdomen du garde et de remonter jusqu’au front. Le prochain solda n'eus même pas la chance de mourir en voyant son adversaire, car il fut envoyé au sol et embroché sans attendre.

Le dernier garde était a bout de souffle et terrorisé par la violence de l’Ecoutant et l’Ecoutant lui même. Il lâcha son épée et son bouclier avant de se mettre a genoux et supplier l’assassin de l’épargner mais autant parler a un mur. Ce dernier l’empoigna et le souleva a trente centimètre au dessus du sol avant de l’égorger proprement. Il le lâcha le garde qui agonisait au sol avant de revenir vers moi. J’étais moi aussi stupéfaite de son efficacité. Même Tashi ne lui arrivé pas a la cheville et j’avais vraiment du mal a croire qu’il aurait pus faire ses arme a la confrérie noir.

-Ou avez vous appris ça? Demandais je.

-Les Hattori sssont réputé pour être la roi du meurtre, sss’est donc chez eux que j’ai appris a tuer. Me répondis l’Ecoutant. Vous êtes une nièce bien curieuse, attention sssela pourrait vous coûter la vie.

-Je ne pense pas que vous fassiez encore partie des Shimazu. Fis je remarquer.

-Offisssielement, j'ai été raillé des lissste de la famille a l’inssstant même ou j’ai rejoins le Hattori. Mais Fasssuuji sssais reconnaitre l’art sssans dissstinction.

Je hocha la tête lentement en essayant de ne pas penser qu’elle était l’art dont parlait l’Ecoutant même si je le savais déjà. Maintenant que les garde était mort, et d’une horrible façon, je tenta de chercher ou pouvait se trouver le passage secret. Malheureusement pour moi, le passage portait très bien son nom et je ne vis rien de suspect en scrutant les murs. L’Ecoutant poussa un soupir et me dégoûta littéralement lorsqu’il poussa un bloc de pierre qui révélait alors une ouverture dans le mur.

-Tu peux parler aussssi.

Je voulus lui tirer la langue mais je dus a une rapidité folle, éviter une lame qui fondait droit vers moi. L’Ecoutant me plaqua au sol avant de se ruer sur l’attaquant qui se révélait être une Lame encapuchonné et armé d’un Dai-Katana. C’est a se moment que je pus remarquer que ma convalescence avait été désastreuse sur ma maîtrise du pas de velours qui avait perdu en sensibilité, cette reprise de mission était une bonne chose car j’allais pouvoir le pratiquer de nouveau.
Le guerrier qui nous avez attaqué n’était pas un simple membre des lames, il avait été affecté a la protection de la famille Impérial et pour cela, il était bien plus efficace que ses anciens confrères. L’Ecoutant se releva et sans même m’attendre, il se jeta sur le garde du corps qui para la première attaque, ayant pour but d'être fatal. Il s’en suivit alors une série d’attaque et de parade et une vitesse folle entre l’assassin et le membre des lames mais malgré l'efficacité de se dernier, l’Ecoutant restait supérieur a son adversaire.

Le Tsaesci lança sa lame vers le ventre du soldat mais cette dernière fut dévier avant d'être suivit d’une contre attaque horizontal. L’assassin esquiva sans mal et envoya un coup de poing en plein dans le visage du soldat. Ce dernier tituba mais se ressaisi suffisamment tôt pour parer l’attaque de l’Ecoutant qui se révéler être une feinte suivis d’un autre coup qui se planta dans l’épaule du soldat. En vérité, l’Ecoutant ne se battait pas mais jouait.

-Alors, c’est tout ce que l'élite de l’Empire c’est faire? Commenta a voix haute l’Ecoutant. Mais qu’elle déception.

Le soldat poussa un rugissement et chargea l’assassin. Ce dernier esquiva le Dai Katana de son adversaire d’un pas sur le coté avant de planter sa propre arme de tout son long dans la poitrine de son adversaire. Il retira alors son épée et dans un mouvement d’une grande rapidité, il décolla la tête du garde du corps. L’Ecoutant essuya la lame de son Katana sur sa manche avant de venir me rejoindre mais il s'arrêta net lorsque nous entendîmes une voix.

-Varus? Que ce passe t’il? Appela une voix de femme.

L’Ecoutant se contenta de hocher les épaules et entra dans le passage secret. Mais moi, je connaissais cette voix bien trop pour partir.

-Vous venez? Demanda mon compagnon.

-Partez sans moi, j’ai quelque chose a faire avant.

L’assassin s'exécuta en me laissant seul dans le sous sol de la tour d’Or blanc. Des bruits de pas se firent entendre mais je n’avais aucune envie de me cacher, je voulais me montrer a une personne en particulier. Finalement, sept gardes du palais apparurent, et ses gardes escortaient l’Imperatrice en personne. Les soldats, voyant les cadavres et moi au milieu se mirent directement en garde. L’Impératrice elle, me fixa avec une expression d’effarement total, comme si elle avait vue un fantôme.

-Par les neuf c’est juste impossible… Parvins a articuler l’Impératrice. Miria?

-Bonjour maman. Rétorquais je froidement.

le guide touristique de havreglace

Bon chap

Trop de suspense

Sweet !

Chapitre 69 : Retrouvailles en haine

“-Retourne voir ta mère des que tu le pourras.”

Ces mots, les derniers qu’avait prononcé mon père avant de mourir se répétèrent en boucle dans ma tête sans interruptions, car maintenant qu’elle était en face de moi, marié a un autre homme tout en ignorant la mort de son maris, je me demandais ce que j’allais lui faire. La tuer me paraissait d'ailleurs bien trop facile, elle méritait pire et le simple fait qu’elle avait de me fixer avec terreur était suffisant pour m’indiquer qu’elle n’aura jamais voulue me revoir. Les gardes me donnèrent l’ordre de me rendre, mais je ne les écoutait pas car une seul chose m'importait a cet instant. Je commença alors a m’avancer sans prendre compte des multiple avertissement des garde au fur et a mesure que je m’approchais. Mais mère tremblait de tout ses membres, elle voyait très bien que j'étais furieuse et que je n’avais aucune envie de la serrer dans mes bras.

A cinq mètres d’elle, un premier garde s’élança sur moi. Ce dernier n'eus même pas le temps de se rendre compte de mon attaque, que sa tête avait déjà quitté son cou. Cela horrifia ma mère au plus au point, qui était maintenant au bord des larmes. Deux autres chargèrent, je dévia leurs attaque puis, je trancha le bras d’un avant d’embrocher l’autre. Le survivant eu son autre bras tranché, suivit de sa gorge. Cette fois si ma mère pleurait, elle ne pouvait accepté ce que j’étais devenus et cela me rapprochait de ma revanche. Je me jeta alors sur les quatre gardes restant et dans un tourbillon de coup de katana, ils finirent en morceaux. Ma mère ne pleurait plus, elle était maintenant tétanisé de me savoir si prêt d’elle. Je me redressa et je m’avança pour être nez a nez avec elle.

-Bah alors maman? T’es pas heureuse de me revoir? Demandais je sur un ton glacial.

-Miria… que t’est il arrivé?

Je n'eus pas le temps de lui répondre que d’autre garde surgirent des escaliers menant au sous sols. L’un d’entre eux attrapa ma mère et l’évacua sans plus tarder. Personne n’avait le droit de m'interrompre pendant que je prenait ma revanche sur elle. Je trancha en deux les gardes du palais qui me barrais la route avant de me lancer a la poursuite de ma mère. D’autre soldat osèrent me faire face mais aucun ne tint plus d’une seconde debout sans se retrouver a plas ventre et en train de baigner dans leur sang.

Alors que ma course poursuite me mena a l’étage de la tour, je fus envoyé au sol par un coup de bouclier. Je dus rapidement esquiver des coups d’épée brutal de me relever etd'abattree le garde qui avait oser m'interrompre. Mais qu’il fut courageux ou complètement fou, il m’avais fait perdre de vue ma mère et cela me mit hors de moi mais par chance, d’autre garde vinrent juste a temps pour me défouler. Les premier n’eurent pas la moindre chance et furent éventrer brutalement avant d'être envoyé au sol d’un coup de pied. Trois qui suivait furent décapité successivement par mon Katana mais au furent et a mesure que je me battais et que je les tuais, je me rendis compte qu’ils en arrivaient sans cesse.

Je poussa un garde dans la masse de soldat pour entrer sans plus de cérémonie dans le deuxième étage et refermer la porte juste derrière moi. Une fois le verrou mis, je ne perdis pas de temps pour m’élancer vers l'accès des autres étage. Ma mère devait être dans les quartiers de l’Empereur. Peut être aurais je la chance de rencontrer mon “beau père”? Je lui réservais un cadeau très spécial. Le dernier étage fus atteint et je me tenait maintenant juste derrière la porte qui me séparais de ma mère. Les deux cadavres des soldats gardant la porte se trouvait a mes pieds et leurs sang coulaient entre mes orteils. J'empoignai alors mon Katana et fendis la porte en deux avant de rentrer. Malgré que la décoration fus d’un luxe a coupé le souffle, elle me paru sans aucun intérêt. J'enfonçai la porte des chambre d’un coup de pied et j'eus droit au pire crime qu’aurait pu faire ma mère envers moi.

L’Ecoutant était ici, sa lame dégainé et prêt a verser le sang mais sur son épaule, il tenait un enfant d’au moins cinq ans et endormis… sûrement de force. Ma mère était a genoux, suppliant l’assassin de ne pas lui emporter SON fils. Ce simple mot brisa a l’instant toute ma retenue restante envers elle, ma mère venait de me trahir a l’instant, d’un coup de poignard en plein coeur. Remarquant alors ma présence, elle se retourna vers moi, terrifier et tremblante ainsi que la bouche grande ouverte. Je me demandais si la tuer restait encore trop facile, il suffisait de lui donner une mort lente pour bien qu’elle voit , que je l’avais tué de ma main. L’Ecoutant disparus, me laissant seul avec ma mère, tant mieux car j’avais beaucoup de chose a lui dire. Je m’avança alors vers elle, le regard emplis de haine et ces alors qu’elle c’est mise a me supplier en larme.

-Miria, je t’en pris!! Laisse moi t’expliquer!!

-M’expliquer quoi, chère mère? Rétorquais je sarcastiquement et d’une voix tremblante par la rage que j’avais du mal a contenir.

-J’ai cru que tu ne reviendrais jamais Miria!! J’avais besoin de me reconstruire!! Comprend s’il te plaît!?

-T’AURA QU’A LE DIRE A PAPA!!! Hurlais je.

Ma mère eu un mouvement de recule sous mon cri et elle se mis a écarquiller les yeux. Elle voyait très bien dans mon regard ce qui lui était arrivé et le mal qu’elle m’avait fait en se remariant a un autre homme. J'étais maintenant juste en face d’elle, je n’avais plus qu’a la tuer. Je leva mon Katana alors qu’elle était pétrifier par l’idée d'être tué par sa propre fille mais elle fus sauvée lorsque je reçus un lance dans le flan.

-Fuyez madame!! L’Empereur arrive!!

Le simple fait d’avoir été interrompus pendant mon règlement de compte avec ma mère et mis une nouvelle fois hors de moi et me fit ignorer la douleur. Le légionnaire tenta de retirer la pointe de sa lance de ma chaire mais je saisis la hampe pour l'empêcher d'exécuter son action. Il n'eus pas le temps d'être surpris plus longtemps qu’il reçus un coup de Katana dans l’épaule suivis d’un coup de pied dans l’entre jambe. Il poussa un cri de c de douleur et je retira la lance pour attraper sa tête avec mes jambes et lui tordre le cou. Je ne lui laissa pas même le luxe d'agoniser car sa gorge se remplis de sang et je le laissai s'écrouler au sol dans un gargouillis sanglant.

Ma mère avait pris la fuite mais peut importe, elle ne pouvais se cacher de moi. Je sortie des appartement de l’Empereur et je monta au sommet de la tour. Cela pouvais paraître idiot mais ma mère voulais toujours être au plus haut du ciel en cas de danger et dans le cas présent, je ne voyait pas pourquoi cela aurait changer. Je ne fus pas dessus de mon choix, ma mère se trouvait la protégée par deux membres de lames affecté a la garde de la famille royal.

-Ma fille!! Me supplia ma mère. Je t’en pris arrête et laisse moi t’expliquer.

Je ne pris même pas compte de cette supplique et a vrai dire, c’était comme si elle n’avait jamais parlée. Je continuai de m’avancer tout les sens en alerte a cause des gardes du corps qui était de véritables menaces pour moi. Le premier s'élança vers moi tout en gardant une certaine prudence, j’avais malgré tout massacrée un bon nombre de soldat dans la tour. Je para son premier coup mais il s’élança dans un grand enchaînement de coup d’une grande rapidité et d’une grande précision. Je réussis a les parer mais uniquement par pur réflexe que me procurais mon envie de vengeance débordante.

Le soldat fut surpris de voir ses attaques paré par une adolescente mais il baissa sa garde en même temps. Je dévia son arme sur le coté suivis d’un grand coup en diagonal en pleine poitrine. La Lames poussa un râle de douleur et s’écroula au sol ce qui provoqua la fureur de son compagnon qui s’élança vers moi en poussant un cri de rage. Sa charge fut d’une difficulté folle a parer mais je voulais m’engager volontairement dans une épreuve de force avec lui, je voulais montrer a ma mère que j’étais prête a tout pour me venger d’elle. Mais malgré ma persévérance, je ne pouvais espérer gagner a ce jeu la avec ce soldat, il était bien plus fort que moi mais j’avais mon agilité. Je le laissa gagner volontairement mais je me glissa entre ses jambes pendant qu’il était entraîné pas sa propre force.

Je me releva rapidement et tenta de lui enfoncer mon Katana dans le dos mais mon adversaire me surprit en réussissant a bloquer mon attaque et il se retourna pour contre attaquer rapidement. J'esquivai alors son coup et dégainai mon Tanto caché dans ma jambière pour tenter quelque attaque rapide et plus dur a parer avec son Dai Katana. Ce fut malheureusement de coup dans le vent juste pour me laisser respirer et chercher une autre méthode pour le vaincre car maintenant, il connaissait de quoi j’étais capable et ne se laisserait pas abattre aussi facilement.

-Tu sais bien te battre morveuse mais je ne te laisserais pas approcher l’Impératrice. Menaça la Lames.

Qu’importe ce que disais le garde du corps, j’approcherais l’Impératrice et je lui cracherais a la figure ce que je pense d’elle même si je devais en crever après.

-Attaque, meurtrière!!

Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Je fondis sur la lame pour lui asséner un coup vers le crane qui fus paré habillement par mon adversaire. Mais cela ne me découragea pas pour autant, au contraire, cela renforça ma colère et j'enchaînai une série d’attaque avec tous pour but d'être mortel. La Lames réussi a les bloquer et reprit l’ascendant sur moi lorsqu’il dévia une de mes attaques et me fit perdre l’équilibre. Je tombai au sol mais au moment ou le garde voulus m’achever, je lui planta mon Tanto dans l’abdomen suivit d’un égorgement en règle par mon Katana.

Le dernier obstacle qui me séparait de ma mère s'écroula au sol avant de partir rejoindre les neuf. Je me releva, essuya la lame de mon Katana sur mon bras avant de tourner les yeux vers l’impératrice. Elle était terrorisé, plus qu’avant car cette fois si, rien ne pourrais la sauver de moi et donc, elle se mis a joindre les mains pour tenter de prier. Si les dieux oseraient lui accordé une aide quelconque, je les maudirais pour le restant de mes jours car j’étais la victime dans cette histoire.

-Alors Maman? Ne me dis pas que tu craint ta propre fille?

Ma mère ne répondit rien mais resta pétrifier de terreur.

-A moins peut être si tu as quelque chose a te faire pardonner. Continuais je sur la même froideur qui avait accompagné mes paroles.

-Je t’en pris Miria… Je n’ai pas eu le choix…

-T’as surtout eu l’audace de m’abandonner lorsque j’avais besoin de toi!!

Ma mère ne répondit rien une fois de plus et cela m'agaçait car je voulais s’explique d’elle même. Je voulus m’approcher lorsqu’un bruit d’ouverture se fis entendre et en me retournant, je vis que quatre Gardes du Corps de l’Empereur étaient sortie de la trappe menant au sommet de la tour d’Or Blanc. Je ne perdis même pas le temps de me mettre en positions d’attaque et je les chargea tête baissée, véritablement furieuse de ses interruptions en chaînes a chaque fois que j’étais seul avec ma mère. Mais ce manque de concentration me coûta chère lorsque je reçus un coup de pommeau en plein visage qui me sonna littéralement. Par la suite, les Lames ne se firent pas prier et me jetèrent au sol avant de me passer a tabac. Une voix leurs ordonna de m'emmener dans une geôle et malgré le fait que j’étais quasiment inconsciente, je pus voir ma mère dans les bras d’un homme et cela me fit hurler avant de recevoir un coup dans le crane et me mettre inconsciente.

Qu’importe si il y avait une justice ou non, si je pouvais me venger des dieux d’une quelconque façon, je le ferrais.

Une t-elle rage dans ce chap

J'adore

La suite !!

Miria se fait choper très bêtement, elle vient de défoncer la moitié de la garde d'élite de la cité impériale et elle se fait avoir avec un simple coup de "gourdin" dans laggle

Ri-di-cu-le

Sinon j'ai adoré les scènes de fight bien sanglantes avec pleins de rondelles de bras et ...

TOUT BIEN !

Chapitre 70 : Réunions de famille

-La haine n’est pas une bonne chose Miria.

-Je sais.

Dans mon coma, une partie de ma conscience avait été envoyée dans une zone de mon esprit ou je pouvais me mouvoir, une zone créé par Yoshiko. Tout était noir, comme si nous étions dans le néant mais il y avait un sol pour s'asseoir et s’allonger. ce n’était pas grand chose mais c’était sans doute mieux que la cellule ou je croupissais forcement. Yoshiko m’avait attendus, c’était a lui de choisir si, oui ou non, il me permettait cet accès qui lui demandais malgré tout beaucoup d’effort. A mon arrivé il tenta de m’expliquer le fonctionnement de cette zone mais il m’était impossible de comprendre grand chose vue les récents évènement.

-Ta mère a en effet très mal agis mais ce n’est pas un raison pour te laisser submerger par tes émotions, ça t’aveugle et te rend moins efficaces. Continua l’Ashen.

-Et toi, tu aurais été calme dans ce genre de situation si tu avais été a ma place? Demandais je.

L’Akavirois me regarda avant de lâcher un soupir.

-Je dois bien admettre que non, mais ça ne m'empêche pas de te rappeler les choses évidentes. Maintenant? Que vas tu faire?

Je resta muette face a la question de mon ancien amant, le nombre de possibilité était très mince vue ma situation. Il était évident qu’il ne laisserait pas sortir une meurtrière venus se débarrasser de l’impératrice même si ma mission n’était pas ça a la base pas ça. La vision de Yoshiko finis par se troubler et disparus me laissant seul dans le noir pour ouvrir les yeux.

J’étais allongé sur le sol de pierre froid d’une cellule sans aucune source de lumière. Je me redressa avec un abominable mal de crane et en voulant me lever, je sentis des menottes de tenir les poignets et les chevilles. Je ne fus pas vraiment surprise et continua de me lever jusqu'à être totalement debout. Le pas de velours et mon sixième sens furent catégorique sur le fait que ma cellule était vide ainsi que plutôt petite, je n’eus donc aucun mal a faire une visite des lieux rapidement avant de me recroqueviller dans un coin. Je pensais a Inamora ainsi qu’a sa mère, Azaelle avait bien voulus que je devienne la soeur d’Inamora et j’avais tout gâché par mon envie de revanche sur une mère que j’aurais pus oublier grâce a Dame Elizabeth.

-T’es vraiment conne. Dis je a moi même.

Au final, maintenant que j’étais au calme et que ma haine c’était calmé, je voyais que les dieux m’avaient belle et bien aidé dans ma solitude et me donnant une amante, des amies et une famille mais je devais oublier mon ancienne. Mais c’était maintenant trop tard pour s’en apercevoir maintenant, comment pouvais je sortir d’ici? L’Empereur lui même m’avait mis en prison et il était peux probable que Fasuuji me sorte de la malgré son pouvoir colossale. Et puis d’ailleurs, combien de temps j’étais déjà restée inconsciente? Mais au final, cela importait peux, car la vrai question c’était: combien de temps j’allais rester ici. Si ma mère était devenus aussi garce que je le présumais pour se taper l’Empereur, je pouvais être sur de ne pas revoir le ciel de si tôt.

Il y eu un bruit de loqué et la lourde porte en fer de ma cellule s’ouvrit en m’aveuglant par la lumière de torche du couloir. Six gardes entrèrent, ils attrapèrent mes chaîne relié a mes menottes et me sortirent en me laissant a peine le temps de me mettre debout. Mon père m’avait une fois emmené dans la prison Impérial pour qu’il rendre visita a un ancien ami a lui mais jamais je n’avais vue cette zone. Ici, la porte des cellules n’était pas des grille mais de lourdes portes blindés bardés de serrures. Il y faisait aussi très humides et je pouvais aussi deviné que j’étais profondément sous terre. Cette zone de la prison devait être l’endroit ou mettre les prisonniers très important… et cette simple réflexion m'amena a une question a laquelle je ne mettais pas du tout posée: Pourquoi m’emprisonner?

Il aurait été nettement plus simple et légitime de me tuer sur le champs car j’avais après tout massacré une bonne dizaine de soldat de manière brutal pendant ma poursuite avec ma mère que je voulais tuer. Mais pourtant, on m’avait juste emprisonnée ou alors l’affaire avait été rendus publique et on allait m'exécuter devant toute la ville. Cette dernière possibilité disparus de ma pensée lorsqu’on me fit entre dans une salle sombre et vide a part un crochet suspendus au plafond de la pièce. Les gardes accrochèrent me menottes au crochet et tractèrent le crochet, grâce a une manivelle prêt de la porte, suffisamment haut pour que mes pieds ne touche pas le sol. Un garde sortie pour revenir cinq minutes plus tard accompagné par un homme richement vêtue et un autre, d’une armure de Légionnaire plutôt sombre. Il m’était impossible de voir le visage a cause de l’absence d'éclairage de la pièce mais je pus aisément deviner que l’homme richement vêtus était mon “beau père”, a savoir l’Empereur.

-Bien, nous allons pouvoir commencé. Déclara sur un ton neutre l’Empereur avant de faire un signe de main vers le légionnaire en armure sombre. Monsieur Wulf.

Sur cette invitations, le dénommé Wulf s’approcha de moi et me colla une gifle tonitruante qui me surpris sur tout les poings. Je mis un petit temps pour encaisser le coups mais des que je remis ma tête droite, j’en reçus immédiatement une seconde bien plus violente et qui m’ouvris la lèvre.

-Mademoiselle est parfaitement réveillée? Demanda le légionnaire en armure sombre, alias Wulf.

Et en réponse, je lui envoya un cracha sanglant en plein visage.

-Mauvaise réponse.

Je n’eu meme pas le temps de cerrer les dents, que celui qui devait etre le tortionaire, me mis un coup de poing du tonnerre de dieu en plein visage qui me cassa idmedatement le nez. Wulf était partie pour m’en recoler un autre mais l’Empereur leva la main.

-S’il vous plait Wulf, si vous devez faire mal, faite le la ou ce n’est pas visible.

Le concerné baissa sa main mais j’étais persuadé qu’il me fit une grimace. Il sortie de la piece et enfin un garde alluma une torche, nous procurant alos un peux de lumière. Je pouvais enfin voir le visage de l’Empereur, celui qui avait osé remplacer mon père, mort en voulant me sauver. Il devait avoir la quarantaine, les cheveux court noir ainsi qu’un regard perçant et autoritaire dans un visage en longueur voir même en pointe au niveau du menton.

-Votre associé a kidnapper mon fils. Expliqua l’Empereur de manière étrangement calme. Je dois dire que c’est un coup dur pour moi. Mais qu’importe ce que vous manigancé car vous allez me dire ou vous l’avez emmené. Que vous le vouliez ou non.

Le tortionnaire revint avec un tablier ou était accroché un grand nombre d’objet de torture. Il était maintenant inutile de deviner ce qui allait m’arriver. mais de toute manière, je ne savais pas ou avait été emmené l’enfant de l’Empereur et cela m'arrangeait, car je ne pouvais pas être tenté de lui dire. Wulf était sur le point de commencer son oeuvre qu’un garde du corps déboula brutalement dans la pièce pour parler a voix basse a l’Empereur. Ce dernier parut très contrarié mais hocha la tête.

-Monsieur Wulf, je vous demande de sortir. Ordonna l’Empereur.

-Pardon!? S’exlama le tortionnaire.

-Maintenant.

Wulf hésita mais en voyant que l’Empereur ne changea pas d’avis, il sortit. Les gardes sortirent a leurs tour et après un regard noir, ce fut au tour de l’Empereur lui même. Je restai quelque secondes complètement seul dans l'interrogation la plus tôt jusqu'à ce que ma mère entra. Au final, il s’agit peut être de ça ma torture, devoir supporter celle qui m’avait abandonné.

-Miria… Commenta a voix basse ma mère.

Je détournai le regard alors qu’elle me regardait avec effarement. Elle s'approcha et posa sa main sur ma joue.

-Que t’est il arrivé?

-J’ai survécu a Akavir. Rétorquais je froidement.

Ma mère ferma les yeux et laissa couler une larme, elle posa par la suite sa main sur mon épaule pour caresser mes tatouages.

-Tu avais toujours dit que tuer te révulsais.

-Et si tu me disais pourquoi tu couche avec une enflure. Ordonnais je voulant coupé court a cette parodie de retrouvailles déchirante.

Ma mère laissa tombé son bras et recula un peux de moi en joignant les mains. Elle était sûrement en train de chercher les mots pour m’expliquer, sans me froisser, comment elle était arrivé la.

-Je n’est pas eu le choix ma fille. j’étais dépressive de savoir que toi et ton père ne reviendraient jamais. Tu le monde a Anvil me regardait sans cesse avec pitié j’ai donc voulue partir. Carnius était un amie d’enfance et six mois après votre disparitions, il ma proposé de devenir sa femme. C’était pour moi, une délivrance de pouvoir tout recommencer a zero.

Je ne répondis rien car c’était pour moi une véritable déclaration d’abandon. J’avais cessé d’avoir une mère il y a bien longtemps au final et la femme qui était en face de moi n’était juste qu’une Impératrice détestable qui se cachait derrière son triste passé. En quelque phrase, j’avais reçus la plus grande claque de toute une vie.

-Est ce que tu comprends? Me demanda l’impératrice.

-Je comprend juste que t’es la pire des salopes.

L’impératrice voulue protester que la porte se rouvrit suivit de l’empereur et du tortionnaire.

-Ça suffit maintenant!! Cria l’Empereur. Je veux savoir ou est mon fils!!!

Deux autres gardes entrèrent et firent sortirent l’Impératrice de force qui tentait de se débattre. L’Empereur donna carte blanche au tortionnaire et sortie aussi. J’étais maintenant seul a la merci de ce très chère Wulf et franchement, une séance de torture pour révéler quelque chose que je ne sait pas et dont je m’en fous me dérangeait fortement.

-Bien, par quoi va-t-on commencer? Questionna le tortionnaire en fanfaronnant.

Je commençai a pensé que c’était le moment de trouver un moyen pour ficher le camp mais je devais reconnaître que les menottes impériales étaient de bonne qualité. Wulf joua avec ses différents outils de souffrance avant de s’approcher de moi avec un sourire sadique sur les lèvres.

-Et si on voyait ce que t’as dans le ventre.

Wulf déchira mon haut et posa sa main sur mon abdomen mais avant d’avoir eu le temps de planter ce qui semblait être un couteau dans mon nombril, une voix l'interrompis.

-Tu joues a quoi, maman avec le monsieur?

Le tortionnaire ce retourna en révélant Eloé juste au niveau de la porte, arborant son même sourire complètement naïf.

Eloe alias le futur Renard gris serieux xD elle a fait comment pour s'infiltrer dans le palais sans s'infiltrer

Grognasse de Mère va
Je pleins soudainement Miria

Mais je me demande comment Eloé a fait pour entrer en douce
Serais-ce le début de TES 6 ?

WTF