C'est le perso principal
J'ai tout rattraper, même si je lisais en mode en silencieux
Comme d'hab tout est super, et j'ai bien aimer le passage de la beuverie
Le moment idéale pour que tout dérape...
Yop, suite demain car j'ai eu un problème de co internet qui m'a empéché d'écrire.
Désolé.
Chapitre 56 : une recherche improvisée
Le voyage du retour dura cinq jours et nous arrivâmes a la Cité Impérial tard dans la nuit. Nous avons réussis a nous arranger avec l’aubergiste de l’hotel Tiber Septim pour avoir des chambre mais en échange, nous avions interdictions d’aller dans le hall pendant les heures d’arriver des gardes. Et bien entendus, nous avons payé plein pots. Le lendemain, moi et fevila fîmes une petite promenade et j’eus la surprise que les quartier anciennement en quarantaine ont étés nettoyé et réparé impeccablement.
J’avais vraiment du mal a croire que l’Empereur actuel ait décidé de ne pas révéler la vérité et nous apprîmes même par des mendiants, que de nombreuse disparition et pos de vin de témoins génant de cet évènement. Quoi qu’il en sois, je ne pouvais rien faire la dessus a part faire profil bas car j’avais malgré tout été impliqué la dedans et meme si j’étais couverte par Shimazu.
Vers la soirée, nous retournâmes a l’auberge pour dormir. Fyrre avait prévus que nous restâmes ici un jour de plus avant de partir vers la forteresse de Fasuuji. J’étais la seul a savoir pourquoi mais je me demandais encore comment nous allions procéder pour infiltrer la tour d’Or blanc.
-Ne t'inquiète pas la dessus. Me répétait sans cesse Fyrre lorsque je lui posais la question.
Je m’endormis vers vingt heures du soir dans les bras de Fevila. Moi et la Dunmer discutâmes longtemps du futur de notre relation et elle proposa même de nous installer dans une fermes ainsi que d'apporter une fille. Mais cette idée ne m'enchantais pas car pourrais ne pas apprécier de ne pas avoir des parents normal. Je fus sortie de mon sommeil par quelqu’un qui me secouait le bras doucement et lorsque mes yeux furent adapté a l’obscurité, je pus reconnaître Fyrre.
-C’est l’heure, habille toi rapidement.
-On verra ça demain Fyrre. Répondis je encore a moitié endormis.
Et cela dit, je me recouvris de la couverture mais mon répit fut de courte duré car l’Ayléide m’attrapa par la cheville et me tira brutalement du lit. Je tomba sur la tête et me la tint a cause de la douleur en même temps que je m'adaptais a se réveil violent.
-Si je dis que c’est l’heure on attend pas!
Fyrre me balança ensuite mon Kimono que je revêtit mollement. La ville, a part les patrouilles de garde complètement sur-dimensionné, était déserte mais c’était normal car il devait être une heure du matin. Fyrre utilisa un sort d'invisibilité et de télékinésie sur nous deux pour ne pas être dérangé par les Légionnaires, nous fumes ensuite devant le palais Impérial et même dans la nuit, il resplendissait de majesté. Je porta alors mon regard vers Fyrre qui observais la tour d’un air nostalgique.
-On fais quoi maintenant? Demandais je.
-On se téléporte dedans ma chère.
-Pardon?
Fyrre tourna la tête vers moi et avant que je puisse dire quoi que ce sois, le monde autour de moi tourbillonna pour se stabiliser autre part. Nous étions dans un couloir du palais comme l’indiquait les murs blancs éclatant ainsi que les garde du palais dans leurs armures claires et généreusement décoré. Fyrre avait réactivé l’invisibilité et me demanda de la suivre, elle n’eus d'ailleurs même pas besoin de me demander de ne pas faire de bruit car grâce au pas de velours et a ma formation de Shinobi, je pouvais décidé que mes pas n'émettes aucun son.
Nous entrâmes alors dans une salle qui ressemblais a une bibliothèque presque vide et parcourus par quelques personne en robe blanche, un bandeau sur les yeux mais surtout un Katana a la ceinture: Des prêtre de la phalène ancestrale. Fyrre retira l’invisibilité et observa la pièce.
-Voila. Commença-t-elle a voix basse, c’est ici que nous pourrons trouver des information sur les Gardiens. As tu déjà entendus parlé des parchemins des anciens?
-Mon père m’en avait parlé une fois, Il permette de… lire l’avenir?
Fyrre gloussa avant de reprendre.
-C’est une façon bien simpliste de résumer la chose mais oui, c’est une de leurs fonctions. Quoi qu’il en soit, même les gardiens ne peuvent échapper au parchemins. Tu ne devrais pas avoir de problème pour les lires car vus que tu viens d’une autre réalité… eh bien, tu es un peu comme eux au final. Maintenant au travail et fait attention.
Fyrre désigna les prêtres du doigt avant de finir.
-Ils sont peut être aveugle mais loin d'être sourd.
Je hocha la tête et m’avança vers une étagère qui ne comportait qu’un parchemins. Comment un lieu si glorieux peut se retrouver si désespérément vide d’ouvrage? Je tenta de ne pas y réfléchir plus longtemps et attrapa le parchemin magnifiquement ouvragé avec de l’or et des pierres précieuse. Je m'apprêta a l'ouvrir lorsqu’un garde entra soudainement dans la pièce mais heureusement, Fyrre avait prévus le coup et me rendit immédiatement invisible ainsi qu’elle même.
-L'impératrice vous fait savoir qu’elle arrivera dans une heure. Annonça le garde au prêtre. Que le parchemins sois prêt a être lus lorsqu’elle sera la.
Les prêtres hochèrent la tête avant de retourner a leurs affaires mais un petit groupe de quatre sortirent de la pièce par une autre porte alors que le garde ressortie. Fyrre et moi sortirent de notre cachette et l’Ayléide dissipa le sort avant de reprendre des recherche. Je m'apprêta une nouvelle fois de lire le parchemin mais au moment de le lire, un doute m’assaillit: Ou devais je vraiment chercher?
Est ce que je devais ouvrir tout les parchemins pour espérer trouver le bon? Certes il y en avait peux mais si les prêtres de la phalène nous remarquais, nous n’aurions plus d’autre choix que de fuir et sûrement sans les information que nous cherchions. Je me rappela alors bien vite que nous n’avions pas d’autre choix pour l’instant et j’ouvris le parchemin. Le papier était parcourus d’un unique grand symbole circulaire qui se mit soudainement a briller d’une lumière bleu.
Ma vu devint trouble jusqu'à s’assombrir totalement mais je n’étais pas évanouis, je ne voyais juste plus rien. Étais je devenus aveugle? Je fus rassuré d’apercevoir une source de lumière vers le fond, une torche accroché a un mur. Je m’approcha de cet lumière avant d’apercevoir une silhouette dans l’ombre, il me tournait le dos et la tête levé comme si il réfléchissait.
-Monsieur? Appellais je.
L’homme sembla ne pas m’avoir entendus, je alors le rappeler mais quelqu’un me traversa comme si j’étais un fantômes. Vus le bruit qu’il faisait en ce déplacent, il devait s’agir d’un homme en armure plate intégrale. Il s’approcha de l’homme dans l’ombre s’inclina.
-Vos futurs frères me prennent beaucoup de temps donc j'espère ne pas avoir été dérangé pour rien. Mais je sens que ça ne vas pas être le cas n’est ce pas?
L’homme en armure plate s’inclina une nouvelle fois avant de répondre a l’homme dans l’ombre.
-Non père. Je vous ai demandé un peux de votre temps pour vous avertir d’un problème.
Je reconnus cette voix sans mal, c’était celle du Champion Éternel. J’étais donc dans leurs quartier général? Mais l’homme qu’il avait appelé “père”, était ce le chef des Gardiens? J’avais finalement bien choisis mon parchemins.
-Une personne a des doutes sur nous, malgré qu’il n’est aucune véritable preuve ses hypothèses sont incroyablement précise.
L’homme dans l’ombre, ou le père, se retourna vers le Champion Éternel. Malgré que je ne le voyait pas, je savais qu’il fronçait les sourcils comme si je voyais les trait de son visage dans l’ombre mais sans le reconnaître.
-Comment est ce possible, qui était ce?
-Un elfe que je suspect d'être un Ayléide.
L’homme dans l’ombre croisa les bras et cet fois il était contrarié. L’elfe dont il parlait ne pouvais être que Fyrre et je compris maintenant ce que le parchemin avait fait. Lorsque je l’ais lus, une fraction de moi même a été envoyé dans le passé et je pouvais observer mes ennemis sans qu’il le sache. Ça ne pouvais pas être un hasard que je sois tombé directement sur le bon parchemin, en vérité ils ont leurs volonté propre et celui la avait sentie ce que je voulais voir. Drôle d’objet.
-C’est fort contrariant. Commença le père. Je n’arrive pas a comprendre comment un mortelle et pus savoir que nous existions.
-Je vous assure père que je n’y suis pour rien et…
L’homme dans l’ombre leva la main pour interrompre le Champion.
-Je le sais, ce n’est aussi pas la faute de la Deuxième. Cet elfe a dus être mis au courant par une puissance Daedrique mais pour l’instant rien ne nous sert d’agir, nous verrons plus tard ce qu’il faudra fers mais éloignez le de la chapelle de Bruma.
-Oui père.
Le champion s’inclina et partie. Le père lui, avait le regard perdu dans le vide et semblait dérangé par cet nouvelle. Il finis par hausser les épaules et s’avancer pour suivre le même chemin que le Champion. mais s'arrêta a juste un mètre de moi pour… me regarder.
-Un observateur du temps? Demanda l’homme. Tu observe quelque chose que tu ne devrais pas, retourne donc dans ton époque.
Et c’est alors que ma vus s’assombrie pour que je revienne dans la bibliothèque des prêtres de la phalène ancestrale. Comment avait il pus me voir alors que le gardien ne m’avait même pas ressentie. je resta de longue seconde troublé avant de me décider enfin a ranger le parchemin a sa place, Fyrre vint alors me rejoindre.
-Qu’est ce que t’as vus? Car moi j’ai pas eu vraiment de succès si ce n’est que j’ai appris un truc sur le combat entre Umaril et Pelinal.
-Et bien… oui mais est ce que je ne pourrais pas plutôt te le dire demain.
-Génial! S'exclama en silence Fyrre. On se casse maintenant.
Fyrre réactiva le sort d’invisibilité mais au moment de prendre le chemin vers la porte, celle si s’ouvrit pour laisser passer quatre membres du Penitus Oculatus en armures lourdes et a grandes capes noirs pour laisser passer avec beaucoup d'égard une femme que j’étais la seul a vraiment connaître. Elle était vêtus d’une robe noir finement décoré par des bordures d’argent. Ses cheveux étaient brin dans un chignon stricte et ses cheveux était parcourus de cerne. Son visage lui, abordait un air de chagrin qui semblait avoir toujours été la même si a une époque elle était heureuse car je sais qui elle était.
-Madame l'impératrice. Annonça un membre du Penitus Oculatus.
-Maman… Lâchais je dans un souffle a peine audible.
Ouh la la
Ca va chier des cactus
What ?
Nice Chap
bon chap
mais que fait la cher maman ici
Ouate le phoque Oo
Chapitre 57 : Une colère aveugle
-Madame l'impératrice, tout est prêt pour la séance.
Je restais figé face a cette scène ou une prêtresse vint a la rencontre de ma mère. Un nombre incalculable de question me parcourus soudainement le crane mais une seul avait pour l’instant de l’importance: étais je vraiment ressortie de la vision du parchemin?
-Merci. Répondis ma mère a la prêtresse.
Par la suite, elle suivit la prêtresse dans une pièce au fond de la bibliothèque pour si enfermer. Fyrre tenta de m'arracher de ma préoccupation principale mais je la repoussa du bras pour sortir violemment de la pièce et en me fichant littéralement d’ouvrir les porte brutalement malgré mon invisibilité. Je tenta alors de bloquer mes émotions le plus longtemps possible mais cela revenait a tenter d'arrêter un tremblement de terre avec un marteau et des clous. Les gardes du palais furent tout simplement éberlué de voir les portes s’ouvrirent sans raison mais ne si approchèrent par car une rumeur dirait que la tour d’Or blanc est hanté par le fantôme d’Uriel Septim VII tenta une autre méthode de fuite pour cette fois si survire a l’aube mythique. Une fois sortie plus rien ne pouvait retenir mes larmes qui se déversèrent tels une vrai cascade et une fois adossé a une pierre tombale du chemin vert de l’empereur, je laissa éclater tout mon chagrin et aussi ma colère.
Mes larmes, sanglots et cries étaient sûrement entendus par tous le quartier du palais ou du moins ceux a l'extérieur mais cela ne m'importer pas. J’avais été trahie par ma propre mère qui c’était re marié a un autre homme pendant mon absence en Akavir. Et mon père ne la jamais sut, il m’avais demandé de retrouver ma mère mais jamais je n’aurais pensé, même après avoir découvert la lettre, que ça serait dans ces condition. Maman était plus que résolue a n’avoir qu’un seul marie la dernière fois que je l’ai vus et le simple fait de voir qu’elle n’est pas pus tenir sa propre parole me fendait le coeur. C’était donc pour ça qu’elle demandait de ne pas la retrouver. Elle ne voulais pas que de vieux souvenir douloureux resurgisse lorsqu’elle me re vérait mais elle ne voulais plutôt pas que je sache qu’elle couchait dans le lit de l’Empereur.
-Espèce de salope!!! Comment t’as pue nous faire ça!!? Pestais je encore en larme mais cette fois rouge de haine.
Divers scénarios passèrent alors dans ma tête de comment j’allais lui demander des réponses et comment j’allais la faire souffrir a mon tour. Quelqu’un s’approcha de moi et je leva la tête pour lui dire de foutre le camps et le fait que ça soit Fyrre ne changea rien a mon désire d'être seul.
-Dégage.
-Miria… Pourquoi tu pleures? Demanda Fyrre en s'asseyant devant moi avec un air compatissant.
-J’ai dit “dégage”.
-S’il te plaît Miria, dit moi…
-FOUS LE CAMPS!!!! Hurlais je a plein poumons en me levant d’un bond.
Fyrre fut tétanisé par ma colère mais finis par se lever. Elle fit plusieurs pas vers la double porte qui menait au quartier de la place des huit avant de se retourner vers moi qui était de nouveau assise sur le sol en train de pleurer.
-Rentre rapidement a l’auberge par contre.
Je ne lui répondis même pas et elle s’en alla s’en rien dire d’autre. Ma rage c’était calmé mais ma tristesse restait la même. Je sortie de ma poche un petit anneau que je gardait toujours sur se kimono et je le regarda. C’était celui de mon père que fasuuji m’avait remis avant qu’il ne parte pour Cyrodiil. Depuis ce temps, je considèrent qu’une partie de mon père et dans cet objet comme pour les défunts Ashen.
-Désolé papa, je n’aurais jamais voulus que tu vois ça. Dis je en sanglotant.
Je pris alors ma tête dans mes mains et en constatent très bien que ma vie familial avait été foutus en l’air pas un simple voyage. Qu’est ce que j’enviais Inamora qui avait encore le comportement d’une adolescente en manque de liberté et de curiosité. Certes, avant mon arrivé en Akavir je n’était pas comme elle mais j’étais une enfant dans une famille avec un père et une mère voulant le mieux pour moi. J’avais une autre vocation que de prendre la vie et combattre un ennemi hors du temps. Mais surtout, je vivais encore dans l’innocence.
Des pas s’approchèrent de moi et je sus qu’ils étaient plumiers. Sûrement des gardes alerté par mes pleures et mes cris mais les vibration que je ressentait depuis mes pieds était trop faible pour que les arrivant porte une armure lourde voir même une armure de mailles. Je leva donc la tête pour reconnaître l’armure de cuir sombre et les visage difforme cachés par l’ombre de leur capuchon ou par un masque de cuir. Il s’agissait des fanatiques qui avait attaqué la Cité et qui étaient aussi les serviteurs de Kaykalak.
-Bonne nuit sale garce!! Cria le premier.
Et dans un mouvement vif, ce dernier me frappa la tempe pas un marteau de forgeron ce qui me mis dans le coma mais au moment même ou je reçut le coups, la voix de Kaykalak se fis entendre.
-Personne ne me manque de respect, catin!
Dans mon coma, je rêvais que je courrais pour échapper a quelque chose. Je ne savais pas pourquoi je le fuyais mais je n’avais aucune envie qu’il m'attrape et cela dura bien trente minutes, jusqu'à ce que je trébuche et que la chose me saisisse pas le cou. C’est a ce moment la que je me suis réveillé. J’avais un sacré mal de crane du au coup que j’avais reçus, il était perçants et me donnais l’impression que quelqu’un forait dans ma tête. Je voulus par la suite bougé mais quelque chose m’en empêchais et malgré que j'étais dans le noir, je n'eus aucun mal de savoir que mes chevilles et poignets étaient maintenus fortement par un cordage.
Une fois mes esprits totalement revenus, je tenta de ramper vers un mur pour m'asseoir et observer ou j’étais. Il devait s’agir d’une cellule car mon sixième sens me montrait bien que cette pièce était petite et que le seul accès était une lourde porte. Qu’allait il m’arriver maintenant? Je pouvais difficilement croire que la vengeance de Kaykalak était de me laisser mourir de faim dans le noir car si c’était le cas, je pourrais aisément me libérer. Des pas se firent alors entendre et la porte s'ouvrit laissant passer un faisceau de lumière qui m’aveugla quelques secondes. Les fanatiques entrèrent alors dans ma cellule et l’un d’entre eu me souleva sur son épaules avant de sortir.
Ils marchèrent dans un long couloirs qui comportait d’autres geôles et je me demandais vraiment ou j’étais mais j’avais pour l’instant d’autre projet. Je glissa alors et plaça le cordage qui liait mes poignets sous la gorge de celui qui me portait pour l'étouffer. Ses deux comparses sortirent des masses d’armes pour se jeter sur moi mais leurs coups ne rencontrèrent que le visage de celui que j'étouffais. Je mis ensuite une coup de pied dans le menton de l’autre mais cela ouvrit une faille monstrueuse dans mon jeu de jambe et le dernier cultiste en profita pour me placer une coup de poing en plein figure. Je fis un vol planer qui s'arrêta lorsque je rencontra le mur brutalement pour me laisser tomber au sol. La force du fanatique était anormale car il m’avais mis KO d’un seul coup et la douleur que j’éprouvais était abominal. Le disciple qui avait fais connaissance avec mes pieds quelques secondes plus tôt se releva pour me rouer de coup mais il fus interrompus par celui qui m’avait collé un coup de poing. Il me remit sur son épaules pour reprendre la route.
-Ne t'inquiète pas sale chienne, tu vas te faire calmer.
Nous arrivâmes dans une grande salles ou d’autre disciples était présents et au centre de la pièce, un cercle d'invocation comportant des insignes Daedriques. On me jeta au centre du cercle et avant que j'eus le temps de dire une quelconque menace, je reçus un sort de paralysie.
-Bien, notre dieu exige que vous receviez une leçon pour votre manque de respect flagrant.
Un cultiste s’avança vers moi avec un couteau et m’ouvrit la main. avant d’étaler mon sang pour faire un cercle autour de moi. Une lueur rouge apparut alors dans ses yeux puis il fis apparaître dans ses mains un globe de magie sombre.
-Lorsque vous reviendrez, peut être serez vous docile mais de toute manière vous voudrez mourir.
Le globe m'enveloppa et après quelque secondes, se dissipa pour révéler que je n’étais plus au même endroit. Il devait s'agir d’une cave sombre et vide mais ce que je sentais indiquais que le pire restait a venir. Cet endroit sentait le sang et la pourriture. J'eus beaucoup de mal a retenir un haut de cœur et a me concentrer sur mon sixième sens. La pièce était belle et bien vide a par quelque détritus ou objet au sol. Je me recula et me coupa le doigt sur un objet. Malgré la petite douleur, ce fut un soulagement car je pourrais me défaire de mes liens.
Les cordages qui maintenaient mes poignets défait, je retira ceux de mes chevilles et me leva. Le pas de velours n’indiquait aucune présence et a vrai dire, j’avais des doutes sur le fait que quelque chose n’altérait pas cet technique. Je sortie de cet cave par un escalier pour aller dans un hall d’entrer de la Cité Impérial vide de meuble mais le sol recouvert de morceaux de cadavre en tous genres en décomposition. J’étais proprement écœurée par cette vision et je savais maintenant d'où venait cette odeur. Je ne pus m'empêcher de vomir et cela ne fis qu’en rajouter a cette vision proprement immonde. La pièce éclairé par une lumière bleuté venant de l'extérieur de la maison me permis d’apercevoir une porte mais pour l’attendre il allait falloir que je marche sur les morceaux de cadavre.
Le premier pas fut le plus durs car je sentie la chair se rompre sous mon pas et mon pieds s’enfonça dans un abdomen. Sur l’instant, je regrettais grandement de pratiquer le pas de velours qui m’obliger de rester pieds nus et les insectes charognard ainsi que le sang sortant du trou que j’avais fait me donnèrent une nouvelle envie de vomir. Je finis par fermer les yeux et marcher a grandes vitesse pour atteindre la porte et sortir. Une fois dehors, je ne pus m'empêcher de regarder mes pieds qui était recouvert jusqu’aux chevilles de sang pourris et de morceau de chair. Je déchira ma manche pour me nettoyer et enfin regarder ou j'étais.
J’étais dans la Cité Impérial ou du moins ce qui ressemblait, les rue était pleine de sang, de cadavres et même d'excréments. Il faisait nuit mais le ciel émanait d’une faible lumière bleu qui avait un semblant d’éclairage. C’est a ce moment la que je sus ou j’étais. Deux princes Daedra m’avaient vraiment marqué pendant mes études: Hermaeus Mora car le fait qu’il soit le mettre du savoir faisait de lui le plus puissant selon moi. Et le prince Daedra de la Domination Molag Bal que je trouvais le plus dangereux. J’étais dans son domaine: Havreglace.
O_O
Nom d'une charcuterie pas fraiche...
Bon chapitre...mais je suis toujours choqué la...
bon chap
Chapitre 58 : Courir comme si un prince Daedra était a ses trousses
De tout les endroits ou j’aurais aimé être, Havreglace faisait partie de ma liste noir même si d’une certaine façon, aucun royaume Daedra n’étaient vraiment un endroit de rêve. Mais le problème numéro un en ce qui me concernait, c’était que si je tombait entre les mains de Molag Bal je souffrirais comme jamais. Il fallait que je trouve un moyen de ficher le camp et de revenir en Tamriel et cela, rapidement. Je commença alors a me déplacer et reconnaître ou j’étais. Il devait s’agir du quartier elfique d’Havreglace grâce a un panneau qui indiquais l’auberge du roi et de la reine et je continua donc prudemment mon chemin vers la double porte qui devrait mener vers la place des huit.
J’eus la surprise de voir la statue du dragon au centre de la place décapité et dont le cou embroché un malheureux écorché a vif et toujours en vie. J’avais beaucoup de pitié pour ce pauvre homme agonisant mais maintenant, plus rien ne pouvais le sauver. je m’approcha des portes menant vers le forum, un nouveau quartier créé pendant la rénovation et agrandissement de la cité, qui menait vers le la route des Septims, un autre quartier servant uniquement a montrer la puissance de l’Empire… mais je n’oser imaginer a quoi ils ressembleraient en Havreglace. Malheureusement pour moi, les portes étaient fermé.
-Je t’en supplie me fait pas ce coups la.
Mais la porte resta fermer. Je commença a désespérer mais je me souvint a temps que les égouts donnaient a l'extérieur de la ville. L’auberge Tiber Septim avait un accès et cela me suffit pour m’y diriger. La porte bloqua et en forçant je tomba tête la première dans le hall et dans un autre amas de cadavre. Je me mis a cracher sans attendre tout ce que j’avais pus avaler avant de m'essuyer le visage avec le haut de mon Kimono.
-Salut toi.
Je leva la tête et eu la surprise de ma vie en voyant Celes, la folle du groupe d’Inamora, assise sur le comptoir dans une robe noir qui découvrait ses bras et ses jambes ainsi qu’avec un étrange maquillage de type plutôt sombre. Je me leva pour mieux la regarder et me demander si ce n’était pas une invention de ce plan Daedrique.
-Oui, c’est vraiment moi. Certifia Celes avec un sourire qui ne laissait rien présager de bon. Par contre, Bal n’aime pas qu’on rentre chez lui sans son autorisation… surtout quand il s’agit d’une toute mignonne adolescente qui préfère les Dunmer sexuellement parlant.
-Mais qu’est ce que tu fiches ici? Parvins je enfin a articuler.
-Moi, et bien mon âme appartient a Molag Bal.
Lorsqu’elle avait dis qu’elle était assise a la droite de Molag Bal, lorsque nous étions dans les sources, je ne l’avais pas crus a cause du fait qu’elle soit complètement folle. Mais la, je ne pouvais que le croire et au final, cela allait peut être m’aider.
-Tu sais comment sortis? Demandais je prudemment.
-Oui.
-Tu me me montrer comment?
Celes hocha la tête et me demanda de la suivre tout en gardant se sourire malsain. En temps normal, jamais je ne l’aurais suivis mais c’était la seul personne capable de m’aider en ce lieu, donc je lui obéis. Elle me fis sortir de l’auberge et m'amena dans le quartier du temple. Le dragon Pétrifié ,n’était pas la ainsi que toute les maison du quartier, toute remplacé par des pieux long de cinq mètres de haut. Le temple était toujours présent mais les mur était noir et la porte en acier rouillé jonché de pique recouvert de sang séché. Celes me fit entrer avant de refermer la porte derrière nous.
Le centre du temple était un énorme bassin remplis d’un étrange liquide violet très sombre et gélatineux. Celes s’approcha du bassin et me demanda a mon tour de mis approcher. le liquide semblait être vivant, il m’arrivait de voir ce qui semblait être des visages plaintif ou qui demandais pitié, pourquoi Celes m’a amener ici?
-C’est beau hein? Demanda Celes sur un ton sadique pleinement assumé.
-Et ou est la sortie?
Celes tourna la tête vers moi avec un air interrogé.
-La sortie? pour ça il faut demander a Molag Bal.
Celes me regarda avant de remarquer ma coupure fait par les cultise sur la paume de ma main, elle attrapa alors mon poignet et plongea ma main dans le bassin. Je tenta de me dégager mais une force m’en empêchait. J'observai Celes qui se contentait de garder son sourire en me regarder me débattre.
-Mais pourquoi t’as fait ça!! M'exclamais je.
-Que m'envoies tu Celes?
Une forme s'anima dans le bassin et une silhouette de cette même matière en sortie. La silhouette était de très grande taille, au moins cinq mètres et la forme de son visage était bestial et cornus. C’était elle qui m’avait attrapé le poignet et avait parlé d’une voix perfide pleine de sadisme. Je n’avais besoin maintenant que de son nom pour confirmer mes pires craintes.
-Elle veux retourner en Tamriel et donc je vous l'envoie seigneur Molag Bal. Expliqua Celes.
Jamais je ne fus autant paniquer que maintenant, j’étais entre les mains de Molag Bal, le princes Daedra qui me répugnais le plus et que pour rien au monde je ne voudrais etre en contact et pourtant… je l’était. Le Seigneur de la domination me regarda de ses yeux vides pendants que sa forme se peaufinait et révélé une fourrure noir qui le recouvrait et de puissant sabot a la place des pieds. Il poussa alors un rire qui me glaça le sang et me leva pour que mon visage sois a la hauteur du siens.
-Et comment compte tu payer le droit de passage?
Je n’avais aucune idée de quoi répondre et même si j’en avais une, j’avais trop peur pour répondre quoi que ce soit. Il ne m’aiderait pas, je devais le fuir et vite avant qu’il ne me fasse subir des choses que je ne préfère même pas imaginer. Dans un acte désespéré et de folie pur, je le frappa en plein visage avec ma main libre en espérant faire qu’il me lâche. Mais au lieu de ça, il ricana de plus belle avant de me jeter au sol.
-Bien sur, court donc cela me divertira avant de te faire payer le droit de sortie. Ce moqua Molag Bal qui sortie du bassin.
Je ne me fis pas prier plus longtemps et me rua vers la porte qui refusa de s’ouvrir. Je me retourna et vit le prince daedra s’approcher lentement mais avec un regard de prédateur qui jouait avec sa proie. Je décida donc de grimper a une fenêtre et de la briser pour sortir et a mon grand bonheur, elle se brisa. Je courus vers la double porte menant vers le quartier de la place des huit mais un grand fracas me fis me retourner. Molag Bal avait défoncé la porte sans la moindre difficulté et avait maintenant dans la main une longue chaîne garnis de pique et couvert de sang séché.
-J’arrive!! S'exclama Molag Bal.
Je ne pus m'empêcher de pousser un cri d'horreur et de me ruer avec encore plus de terreur vers le quartier suivant. Vus sa taille, il ne pourrais pas rentrer dans une maison. Je fracassa la première porte de la première maison venus pour me réfugier a l’intérieur. Molag Bal passa devant s’agenouilla pour me voir a travers une fenêtre.
-Penses tu pouvoir m’échapper en te cachant ici?
Je n’avais rien a répondre mais si il voulait briser le toit, je pourrait toujours me réfugier dans la cave. Il ricana avant de reprendre.
-Tu es dans mon monde et se sont mes règles.
Jamais je ne fus autant terrifié par cet phrase car elle venait de deux endroit en même temps. Depuis Molag Bal a l’extérieur et depuis… derrière moi. Je me retourna lentement et poussa un nouveau hurlement en voyant Molag Bal de taille humain a deux mètres de moi.
-Surprise.
Ma réaction ne se fit pas attendre et je me rua a l'extérieur sans attendre mais au final, je me posa une simple question: comment le fuir dans un monde qui était sous son contrôle? je ne pris pas le temps de réfléchir encore plus et je mis a courir comme une folle dans la rue. Le moment était maintenant bien choisie pour utiliser l’un de mes pouvoir de Shinobi mais je devais maintenant utiliser le bon. L’un d’entre eux envoyait dans une dimension parallèle, un abris en cas de danger de mort. Mais pour moi, ce pouvoir était extrêmement risqué: soit il fonctionnait sans problème ou sois il ne marchait pas et je restait ou j'étais. Dans les deux cas, mon état ne me permettais pas de faire quoi que ce soit d’autre.
Mais dans ma situation, le temps de réflexion n’était pas permis. Je concentra mes forces pendant que je courrais dans mes mains et tenta le plus possible de faire le vide dans ma tête. Lorsque le moment fut le bon, je m'arrêta pour me concentrer encore plus. Molag Bal se rapprochait et alors qu’il voulus m'agripper la nuque, je lança le pouvoir. J’avais gardé mes yeux fermé le plus longtemps possible mais vus que rien ne se passait, je les rouvrit. J'eus un soupir de soulagement en voyant cet espèce de brume blanche tout autour de moi ainsi que des globe de lumière flottant dans l’air qui signifiait que j'étais dans la dimension de protection. J’avais réussis a fuir Molag Bal, je le voyait mais lui ne me voyais pas. Le Prince Daedra reniflais l’air et me cherchait du regard. Celes fit aussi son apparition avec son même sourire mais j’avais un doute sur la lueur de son regard lorsqu’elle passa ses yeux dans ma direction.
Celes s’approcha de Molag Bal qui se baissa et lui chuchota quelque chose a l'oreille. Bal se releva avec un sourire sadique sur sa gueule bestial et s’approcha vers moi déclenchant alors une grande panique en moi. Je ne pouvais pas croire qu’ils aient sus ou j'étais et je me recula jusqu'à me plaquer au mur d’une maison. Le Prince Daedra planta alors ses griffes dans une parois invisible qui me séparait de mon abri et Havreglace avant de déchirer se mur en lambeau.
-Qu’importe t’es ruses tu restera a ma portée. Déclara Molag Bal avant de ricaner.
Il plongea sa main vers moi mais a cause d’un temps de réaction trop lent de ma part, il pus me saisir a la gorge. Son simple contact me vida littéralement de toute mes forces et il prit un malin plaisir de me voir blanche comme un linge. Il me souleva a sa hauteur et rit de plus belle.
-Je crois qu’il est temps que tu payes pour avoir souiller se monde de ta pureté. Et justement car pour que je t'accorde le droit de sortir d’ici…
Il esquissa un sourire pervers mais surtout malsain et qui me terrifia.
-Je vais te souiller en volant ta pureté!!
Furent mes réaction en lisant ce chapitre
WTF...
mais bon chap
"Je vais te souiller en volant ta pureté!!"
J'en étais sûr
+
Vivement la sweet
suite
Demain pour la suite.