Avis à la populaschtroumpf, le prochain qui fait comme dark-killer ( en l'incluant), je demande le kick. Pour troll, flood, incitation à la haine, j'trouverais une raison.

Merci

C'était nu...

Dès le début je me suis demandé si le bâtiment qu'il visait était bien le Temple du Maître des Nuages, et j'ai pas été déçu !
A côté de ça, c'est vrai que le passage fait penser à quelques scènes de GoT montrant les Sauvageons

J'ai aussi bien aimé le petit jeu de mot de la part de Nowen

Bref, j'ai aimé et j'attends la suite avec impatience (comme à chaque fois)

Régi Cidius
Sinon c'était excellent continue

Sweet ?

Chapitre 58 : Wayn

Epervine, 4 soufflegivre au matin.

Atticus observa le Rougegarde d’un œil critique. Il avait un physique de guerrier, malgré sa cinquantaine d’année, et ses vêtements de voyage dissimulait mal son armure épaisse. Son cimeterre pendait sur le flanc de sa jambe gauche, tellement rayé que l’acier ne reflétait même plus la lumière, sauf au niveau de la lame qui semblait tranchante au possible. Le commandant des Lames releva la tête vers son invité, et croisa son regard dur. La dernière fois qu’il avait croisé des hommes avec ce regard, il en gardait un mauvais souvenir.
- Je vous en prie, asseyez-vous.

Le guerrier à la peau sombre s’installa sur le siège que lui indiquait Atticus, en prenant soin de ne pas laisser trainer son ample vêtement de toile. Son hôte puis apercevoir une main couverte de cicatrice, qu’ornait une chevalière représentant un point serré entouré de branches d’étoiles. Le Symbole des Couronnes, le parti conservateur de Lenclume.
-Bien, commençons alors. Puis-je savoir ce que fait un émissaire de la maison royale de Lenclume ici ? Comment se porte le roi Penald ?
-Penald n’est plus roi, depuis une semaine, et vous le savez très bien.

Atticus hocha la tête calmement. Evidemment qu’il était au courant du moindre mouvement politique dans la province Rougegarde, et ce depuis le début de la guerre.
-Vous le savez très bien, parce que je sais que vous avez de nombreux agents chez nous, Aieux et Couronnes, et que vous guettez quelque temps notre premier mouvement dans cette guerre.

Le commandant Lame haussa les sourcils, mais ne démentit en rien les dires de son interlocuteur. La courtoisie semblait inutile, il fallait jouer carte sur table.
-Pourquoi avoir renversé le roi Penald, votre propre neveu ? Vous êtes un Couronne, comme lui.
-Nombreux étaient ceux chez les Couronnes qui souhaitaient ce changement. Penald nous menait à notre perte en restant neutre dans cette guerre, malgré les invitations virulentes des Pénitiens à nous rejoindre. Si ces derniers avaient gagné, ils auraient montré leur nouveau pouvoir en nous châtiant…
-Pourquoi êtes-vous là alors ?
-Parce que je vous connais Atticus. Je sais que, contrairement à Nelenius, vous êtes un homme qui tient parole, et que votre rébellion ne cache pas de plus sombres desseins.

Atticus lança un regard surpris à son interlocuteur. Non pas parce qu’il le connaissait, puisqu’il se souvenait très bien de ses jeunes années en tant que commandant provincial des Lames à Lenclume, mais concernant la dernière partie de sa phrase. Il n’était pas le premier à évoquer ce genre de fait. Aerin l’avait déjà fait avant lui.
-C’est-à-dire… ?
-Nos plus grands sages voient bien que les Pénitiens ne disent pas tout de leurs intentions. C’est évident que ce n’est pas qu’à but politique, ou militaire. Mais je ne suis pas là pour parler de ça, vous vous en occupez déjà, à ce que je sais, dit-il avec un sourire.

Nowen resta sans réaction, mais les dernières paroles du Rougegarde eurent l’effet d’une tempête. Il était le seul au courant avec Goldwine de la mission de Drell et Aerin, qu’il avait laissé partir à moitié à contrecœur, et pourtant…
-Ne vous inquiétez pas, je suis le seul à le savoir, avec ma source, évidemment…
-Hmmm. Ça ne m’explique toujours pas pourquoi vous êtes là.
-Ah oui. Eh bien, c’est évident, non ? Si nous vous rejoignons, nous vous permettons d’avoir une voix terrestre vers le Domaine Aldmeri, et donc vers un allié quasi certain, ce qui vous donnerait l’avantage dans cette guerre.

Atticus eut un sourire entendu, tout en contenant sa satisfaction et son étonnement dans la dernière déclaration. Si Lenclume rejoignait les Lames, Cyrodiil était quasiment entouré d’ennemis et pour la première fois, ils auraient réellement l’avantage. Comme réveillé par ce tournant décisif qui se dessinait dans cette guerre, un fort coup de vent fit se relever les pans de la tente où ils étaient.
-Il y a une condition.

Evidemment, il s’en était douté, mais maintenant qu’elle était évoquée, la joie d’Atticus se tempéra un peu. Le leader des Lames, se redressa sa sur sa chaise, et planta son regard dans celui de son interlocuteur. Celui-ci le dévisagea un instant, puis lâcha simplement :
-Dragonstar.

Dragonstar. Cette cité située au nord de Lenclume, à la frontière avec Bordeciel, était coupé en deux depuis la guerre de Bend’r-makh, lors de l’année 396 de la troisième ère, entre Nordiques et Rougegarde. Cette épine Nordique en terre Rougegarde avait toujours constitué un sujet d’humiliation pour ces derniers, mais surtout un excellent moyen de défense pour les Nordiques qui évitait ainsi toute attaque surprise si jamais les deux provinces venaient à s’opposer. La céder revenait à revenir à la situation militaire d’auparavant, qui redonnait l’avantage aux Rougegardes qui pouvait rentrer en Bordeciel par La Crevasse, où une armée est beaucoup moins facilement détectable.

Le commandant des Lames se mit à réfléchir longuement. Evidemment, une moitié de ville constituait bien peu devant l’avantage décisif que constituait une alliance avec les Rougegardes, mais Elisif, méfiante, n’accepterait jamais de céder cette ville, même si la partie Nordique de Dragonstar était désormais quasiment inhabitée.
-Je vais y réfléchir.
-Hatez-vous alors, je ne suis pas le seul à vouloir vous rejoindre chez nous, mais d’autres souhaitent tenter l’autre solution…. Au plaisir.

Le Rougegarde se releva et quitta la tente, aussi vite qu’il était venu, laissant Atticus seul avec ses pensées. Le commandant des Lames caressait pensivement sa barbe planche. L’émissaire ne lui avait pas dit son nom, mais il le connaissait déjà. Wayn et lui s’était connu lors du service d’Atticus à Lenclume, et s’était souvent opposé, Wayn se montrant ouvertement hostile à toute intrusion Impériale dans les affaires de Lenclume.
-Mon Commandant ?

Atticus sursauta, et remarqua l’officier Nordique qui avait passé la tête entre deux pans de la tente, et lui fit un geste pour l’inviter à rentrer. Le soldat s’avança dans la pièce, et lui tendit un papier, avant de se reculer de quelque pas. Le commandant déroula la missive, et lut :

« Rapport de Lucian Faustus, maître-espion Lame de la province d’Elsweyr »

Au Grand Commandant de l’armée des Lames, Atticus Nowen, le 1 Soufflegivre

Commandant, je vous écris ce rapport en vue des derniers évènements qui ont secoué la province d’Elsweyr et de Val-Boisé. Il y a trois jours, Corinth est entrée en ébullition, pour une raison encore confuse. Certains de mes agents parlent d’une émeute lié à un meurtre, d’autre une explosion dans le quartier marché lié à un magicien saoul, mais la population s’est attaqué aux ambassades Pénitienne, et ont reconduit de façon violente les ressortissants à la frontière, rompant par la même occasion le traité commercial entre les deux.

Il n’y a pour l’instant pas eu de réaction de la part des Pénitiens, mais le gouvernement d’Elsweyr a déjà fait un communiqué, annonçant qu’elle restait neutre dans cette guerre et interdisait à tout humain, Altmer, Dunmers l’entrée sur son territoire. Des rafles ont déjà lieu pour expulser les derniers intrus.

En attendant vos ordres.

Lucian Faustus »

Il suffisait de demander, c'est ça ?

Comme d'habitude c'est très bien !
J'ai pas vraiment d'autres choses à dire, juste à demander une autre sweet.

Tu as posté au moment où je reprenais l'écriture.

En fait, j'avais pas mal de taf (dernière semaine de note ), du coup, c'était limite si j'écrivais vite fait deux trois phrases sur mon tel ou mon PC puis je reprenais mes révisions.

Chapitre 59 : Cidius Régi.

Temple du maître des nuages, 10 Soufflegivre

Les deux battants de la porte s’ouvrirent dans un sourd grincement, grippés par le temps, et le vent à l’extérieur en profita pour envoyer une rafale de flocons s’écraser sur le tapis en peau d’ours de la salle. Le feu dans l’âtre de la cheminée massive s’atténua un peu, et l’atmosphère se décolora un peu, avant que la porte ne se referme derrière le nouvel arrivant.
-Alors ?, fit une voix qui semblait provenir d’une forme enveloppée dans des fourrures près de l’âtre.

L’homme qui venait de rentrer se rapprocha de la source chaude, et jeta ses gants épais tout trempée près du foyer, avant de s’affaler sur l’une des couvertures étalées sur le sol. Après un moment de silence, il déclara :
-J’ai trouvé. Une grotte, au nord. Un peu glauque, mais le passage est là. Le seul problème, c’est que la fin du passage est en ruine, avec des éboulements un peu partout, et surtout, des pièges à tous les coins.
-Hmmm.

L’homme dans les fourrures fixa le feu intensément, les flammes dansantes se reflétant sur ses iris bleuté. Son visage était rougi par l’opposition entre l’aura de chaleur de l’âtre et le froid qui régnait auparavant en maître absolu sur cet endroit. De la poussière flottait dans l’air, mélangée aux flocons qui réussissaient parfois à rentrer dans le temple.
-J’ai entendu deux forestiers en revenant. Lenclume nous aurait rejoints, reprit celui qui venait de rentrer.

Son camarade enveloppé dans les fourrures haussa les sourcils en se tournant vers lui, laissant chuter quelques-unes de ses couvertures. Il l’observa hocher du chef pour appuyer ses propos, non sans un certain scepticisme.
-T’es sur que t’as bien compris ?
-Affirmatif. Il parait que nos émissaires ont signé le traité d’alliance à Elinhir il y a trois jours. La nouvelle est tombé ce matin à Bruma, par un marchand venant de Chorrol.

Le sceptique réorienta son regard sur le feu, puis haussa les épaules.
-On verra bien, lâcha-t-il avant que le silence ne revienne sur la salle

Andrean resta un instant à contempler ses deux camarades qui venaient de tenir cette conversation, puis reprit son chemin dans le temple. Il emprunta un escalier qui descendait vraisemblablement vers les dortoirs, placés en profondeur pour conserver la chaleur. Mais la Lame n’y allait pas pour trouver un lit, surtout que ceux-ci n’étaient guère en état d’accueillir un dormeur.

Alors qu’il descendait les escaliers, il repensa aux derniers jours qu’il avait passé ici, avec ses camarades. Ils avaient dû attendre trois jours avant de pouvoir faire un pas dehors, ou même en dehors de la grande salle où ils avaient entretenu tant bien que mal un feu. Une fois la tempête passée, leur mission avait débuté.

En contrebas de la montagne où se trouvait le temple, la ville de Bruma défendait Cyrodiil de toute incursion nordique depuis les Jeralls. Pendant que les forces des Lames passaient la massive chaîne de montagnes, leur groupe avait reçu l’ordre de trouver un moyen de prendre la ville au plus vite. Bruma avait résisté aux forces démones lors de la Crise d’Oblivion, et s’était depuis considérablement renforcé, résistant même à une attaque de dragons une vingtaine d’année plus tôt. Ainsi, les six membres du groupe s’étaient lancés à la recherche d’un passage dans la ville, et avait touché au but la veille.

Ils avaient trouvé une cache de contrebandier abandonné au nord-est de la ville, et après avoir abattu les loups qui y avaient trouvé refuge, étaient tombés sur un journal des anciens occupants du lieu, mentionnant un passage dans la ville pour les livraisons de Skooma. Fralav avait été envoyé vérifier, avec succès, mais visiblement, l’endroit était truffé de piège.

De son côté, Andrean avait entrepris une recherche personnelle. Le Temple du Maître des Nuages était autrefois réputé pour ses archives d’ouvrages rares, que les Lames avaient cachés à Tamriel pour que leurs lourds secrets ne tombent pas entre de mauvaises mains. Il fouillait le temple en catimini pour essayer de répondre aux nombreuses questions qui le travaillaient depuis son aventure en Morrowind. Sans succès jusqu’à maintenant. Il essayait de ne pas alerter ses camarades, d’abord parce qu’ils n’avaient pas à être au courant, ensuite parce qu’ils ne leurs faisaient pas confiance. Comme à tout le monde.

Il s’arrêta net. Devant, lui, la porte qu’il avait repérée la veille, verrouillée, était désormais éventrée, le verrou arrachée. Il porta la main à son katana, prêt à parer à toute éventualité, et s’avança. La porte donnait sur un couloir, qui conduisait d’un côté vers ce qui semblait être les dortoirs, de l’autre vers… un mur. L’Impérial eut un haussement de sourcil. On ne prolonge pas un couloir vers un mur.

Toujours prêt à dégainer, il s’approcha de ce mur, les sens en alerte. Une fois devant, il passa sa main sur la surface, cherchant la moindre imperfection. Rien. La Lame recula de quelques pas pour observer la masse de pierre, mais les lieux étaient trop obscurs pour pouvoir examiner de façon complète la cloison. Andrean haussa les épaules, tenta une dernière poussée, puis s’avoua vaincu.

Un raclement sonore le fit sursauter, tandis que la poussière du sol se soulevait en volute grise. Le mur devant Andrean glissa sur le sol, et pivota, révélant un passage sombre. La Lame dégaina d’instinct son katana, observant les ténèbres avec d’obscurs souvenirs en tête. Après plusieurs longues secondes, n’ayant constaté aucun mouvement, il se détendit un peu.

Le tranchant de l’épée son crâne, là où sa gorge s’était tenue une demi-seconde plus tôt. Il roula en arrière, pour se mettre hors de portée, et se remit en garde. Son agresseur avait battu en retraite, profitant encore une fois de la protection des ténèbres.
-J’ai déjà vu pire que toi mon pote, et ça à mal fini, grogna-t-il.

Une forme se dessina dans l’obscurité. Quelqu’un s’approchait par le passage. Andrean serra ses doigts à s’en blanchir les phalanges sur la garde de son katana, et se plaça en position. Il discernait mieux la silhouette de son agresseur, qui s’avançait, mais, bizarrement, laissait pendre son épée sur le côté, et portait une armure… comme la sienne.
-Qu’est-ce que tu fous là ?, lâcha une voix hargneuse.

Andrean reconnut la voix de son supérieur, Goldwine, et relâcha sa garde. Le Nordique apparut enfin à la faible lumière du couloir, et lançait un regard dur vers l’Impérial. Celui-ci se pinça les lèvres, sachant pertinemment qu’il pourrait difficilement justifier sa présence ici, comme s’il le suivait.
-Et bien….
-Cela fait plusieurs fois que je remarque que t’es pas un gars normal. Enfin, si on peut appeler normal des mecs comme nous. Tu t’intègres pas au groupe, t’es constamment plongé dans tes pensées, tu restes méfiant peu importe l’endroit où nous sommes, et t’as l’air d’en avoir strictement rien à foutre de notre mission. Atticus ne m’aurait pas foutu dans les pattes un gars comme toi pour rien.

Les paroles de Goldwine eurent un effet dévastateur sur Andrean. Il n’avait jamais eu vraiment l’impression d’avoir réellement changé depuis les ruines de Bamz-Amschend, juste d’être légèrement plus méfiant, mais maintenant qu’on le lui faisait remarquer, il se rendait enfin compte qu’il n’avait jamais été aussi solitaire et méfiant. Il avait toujours été de cette nature, mais désormais, il l’était bien plus qu’autrefois, où il avait toujours eu des amis. Comme Enquillus….
-Alors, maintenant, tu vas me dire qui tu es.

Andrean planta son regard dans celui de Goldwine. Les pensées virevoltaient dans son esprit, toutes plus contradictoires, les unes que les autres. Révéler son nom pourrait peut-être lui attirer la confiance de son chef, mais aussi son mépris, voire une envie de meurtre, vu qu’il était tout de même officiellement responsable de l’état dans lequel était désormais Tamriel, et aussi indirectement de la mort du protégé de son interlocuteur.
-A moins que tu ne sois un espion… ce qui expliquerait bien des choses.

Cette phrase le décida.
-Andrean… Andrean Nelwyn.

C’était une décision débile, irréfléchie, Andrean avait trouvé de nombreux qualificatifs péjoratifs pour elles par la suite, mais l’étincelle de profond aversion qui avait traversé les yeux de Goldwine quand il l’avait accusé l’avait décidé.

Devant lui, le Nordique était resté de marbre à sa révélation. Ils se dévisagèrent un instant, puis Goldwine lâcha :
-Le Régicide…. Oui, c’est vrai, on peut dire que tu as vécu une situation traumatisante…

Je ne saurais quoi dire pour commenter ce chapitre de transition (corrige moi si je me trompe), mais ça fait plaisir de te relire !

J'aime bien ces deux derniers chapitres

Super ta fic j' ai commencé à lire hier et je surkiffe!! bravo pour ton talent j' ai pas lut toute les fic du site mais celle la est vraiment ma préféré!! il me tarde comme à tt le monde la suite!! J'ai vu que tu aimais beaucoup lire je te conseille l' in tégrale des nains de marcu heitz tres sympa à lire!!

Et bien merci à tous

grdkk Pour les livres, je regarderais, merci. Je lis le Trone de Fer, mais le Tome 16 sort pas avant...quelque temps, donc je cherchais une série à lire. Merci

moi j' ai finit le 15 j' attend le 16 aussi!! c'était un peu long à lire le 3 et 4 et faut vraiment s' attaché à personne dans ce livre!! c' est toujours les enculées qui s'en sortent pour l' instant mes préférés c' est tyrion et jhon snow ;)

Encore une fois je manque à mon devoir et je loupe le dernier chapitre sorti...

C'est bien que tu détaille un peu plus le passé et la "vie" des personnages, ils deviennent plus humains

Sweet ?

Ahem...Sweet ?

Mille pardons cher lecteur, j'étais jusqu'à Jeudi en vacance avec des potes, et depuis, je travaille sur un truc Word assez conséquent. Mais j'ai presque fini, je vais donc pouvoir reprendre le bazar

Excusez moi.

Pas la peine de t'excuser, c'était plus un up furtif pour avoir de tes nouvelles

Putain, excuse moi, j'ai complètement zappé le nouveau chapitre !

Wow, beau chap misé sur l'émotion, j'aime bien !

" Kalaïn la serra dans ses bras, le regard au loin, en la berçant. Il ferma les yeux, se laissant enivrer par son parfum, son vêtement. Elle lui rappelait toujours sa sœur, et même si s’aurait dû être un souvenir douloureux, elle avait réussi à le rendre simplement nostalgique. Il l’aimait. Tout comme il avait aimé sa sœur. "
Là, j'ai cru que Kalaïn était un pratiquant de l'inceste.

Mais après, j'ai bien aimé la fin.

Ouais, j'avoue qu'à ce passage, j'ai moi même hésité à caler cette phrase comme ça. Mais bon, ce serait devenu trop lourd après, etc....

Mais je te l'accorde, c'est putain d'ambigu.

vite la suite!!! ;)