Je vous fais ça sous peu !
Mais c'est pas possible maintenant, peut-être demain ou après !
super chapitre
SSSSSWWWWWWWWWWWWEEEEEEEEEEEEETTTTTTTTTTTTTTTT
Lilian, toujours prêt à faire un com's constructif !
Qu'est-ce que je ferais sans toi ?
les amis j'ai le regret de vous annoncer que je pars en vacances une semaine. donc sachez que je ne serai pas mort, enfin je crois.
Meracx Moi je veux bien un résumé de la fic.
Godo Bonne vacances !
Vg T'auras ça demain !
Lilian, toujours prêt à faire un com's constructif !
Qu'est-ce que je ferais sans toi ?
ne me remercie pas c'est tous à fait naturel vous avez besoin de rien je suis votre homme
Qu'est ce que l'on ferait sans Lilian ?
La fete
On mangerait ses magnums mutants !
Du coup, avec le résumé que m'a demandé VG, le chapitre sortira plus tard que prévu, mais nostress, vous l'aurez sûrement avant la fin des vacances !
Vous voudrez voir le résumé vous aussi ?
Tant qu'a faire oui
Saleté de Vg
Si ça peut me faire un nouveau lecteur je veux bien faire ce petit sacrifice !
Mais j'avance vite en ce moment, j'ai déjà fait 3 pages Word, et c'est pas fini !
VG, j'ai commencé le résumé, mais j'aimerais d'abord finir le chapitre sur lequel je bosse en ce moment, si ça ne te dérange pas !
Tu veux la partie que j'ai déjà faite ?
meracx je pars en vacances demain pour l'instant je suis la
Ah salut !
Comment ça va ?
T'inquiète, je te souhaitais en avance !
T'inquiètes pas, je peux attendre, mais je pense pas que j'aurais la motivation suffisante pour lire 47 (?) chapitres.
+ De rien Tykaty.
Voici le new chapitre !
J'ai essayé de mettre certains éléments aux claires, en particulier le trophée de Siwan, ont je n'avais pas expliqué la disparition !
Chapitre 48 : La sombre histoire d’Enzoul
Après avoir mis hors d’état de nuire Lucario et ses compagnons, Enzoul n’avait pas tardé à sortir du temple. Après avoir absorbé pendant longtemps l’énergie de Jugula, et plus récemment, celle de Meta Knight, le guerrier maléfique était plus puissant que jamais. Guidé par ses sens surnaturels, il eut tôt fait de sortir de ce dédale qu’est cet édifice construit pour rendre hommage aux Dieux Lézards. Toujours sous sa forme de brume, il ne mit pas plus de quelques minutes pour sortir de l’enceinte de l’île, et s’engager au-dessus des flots. Attiré par l’aura de son maître qui agissait sur lui tel un aimant, il savait quelle direction emprunter pour le rejoindre dans les plus brefs délais. Le trajet en direction du Navire Fantôme ne lui prit pas plus d’une journée : pouvant se déplacer à la vitesse du vent sous cette apparence, il fonçait telle une torpille vers sa cible. De plus, étant un guerrier maudit corrompu par le mal, il n’avait nul besoin de s’alimenter ou de s’abreuver. Sa seule nécessité était d’absorber de temps en temps l’énergie de quelques être vivants, qu’il croisait systématiquement devant sa route. Sur l’océan, où nulle portion de terre n’avait jamais vu le jour, il drainait la force de quelques dauphins ou baleines inoffensifs, qu’il attirait grâce à des phéromones maléfiques. Les pauvres animaux, attirés sans le savoir, croyait obéir à leur instinct qui leur dictait de crever la surface de l’eau pour reprendre leur souffle. En vérité, ils courraient tout droit à leur perte. À la seconde même où ils sautaient, Enzoul les traversaient impitoyablement, absorbant l’intégralité de leur énergie vitale, et les tuant sur le coup, laissant des cadavres flottant à la surface être dévoré par des requins affamés. Il aimait le parfum de la mort, il agissait sur lui tel une boisson énergisante, il le remplissait de tonus, et faisait monter en lui une immense poussée d’adrénaline. Repu à sa façon, l’homme, que l’on surnommait autrefois « le prince des ténèbres », pouvait ainsi continuer sa route vers son abominable maître.
Après des heures et des heures de course à travers les vents, Enzoul aperçut enfin sa destination : le vaisseau mystique qui existait déjà à son époque, et qui servait à transporter l’intégralité de l’armée de Bellum. Le Navire Fantôme.
À sa vue, il accéléra, doublant sa vitesse, poussé par une envie irrésistible de retrouver son maître incontesté, qui lui avait fait don des pouvoirs qu’il possédait à présent.
***
À l’intérieur du bateau antique, l’arrivée de son lieutenant n’avait pas échappée à Bellum, qui aurait pu reconnaître son aura maléfique entre milles.
« Enfin ! maugréa-t-il. Après ces longs siècles d’attentes, Enzoul est enfin de retour. Tabbou, dans quelques instants, tu va avoir l’honneur de rencontrer celui qui fut mon lieutenant et mon meilleur soldat avant toi.
- Possédait-il vraiment une puissance supérieure à la mienne jadis ?
- Je ne puis te l’affirmer avec certitude. Mais une chose est sûre, vous êtes certainement mes deux meilleurs éléments, tous deux indestructibles de par vos pouvoirs. »
Bien que l’humanoïde ne répondit rien à son maître, il doutait encore de la force du guerrier maudit, malgré tous les éloges que lui contait son maître à son égard. Comment quelque conque créature pouvait se révéler posséder des facultés qui ne serait-ce qu’égale à les siennes ? Après tout, il était Tabbou en personne : l’être magique crée de toutes pièces par Bellum. L’empereur de l’armée subspatiale qui avait bien failli prendre le contrôle du monde. L’entité mystique possédant les pouvoirs du plasma bleu et de la pierre de vie. Pour son esprit limité, il était inenvisageable que quelqu’un fusse plus puissant que lui, à l’exception de son maître lui-même.
Le doute qui subsistait en lui n’échappa à au monstre tentaculaire, qui s’empressa de le rassurer à ce sujet :
« N’ai crainte, je sens bien que tu crains encore qu’il ne soit pas à la hauteur, mais je suis certain qu’il se révélera aussi fort qu’avant.
Il émit une pause de quelques secondes, comme s’il cherchait ses mots, avant d’ajouter :
- Lorsque je l’ai vu pour la première fois, lorsqu’il n’était qu’un simple humain, il y a de cela un millier d’années, j’ai tout de suite su qu’il serait idéal pour porter la puissance ultime. Démoralisé par la perte de sa famille, il est venu se soumettre à moi, souhaitant acquérir un pouvoir qui lui permettrait d’égaliser les dieux. Il vouait à ses derniers une haine féroce, ayant vécu toute son enfance dans un peuple qui le forçait à leur rendre hommage, bien qu’il n’ait nullement souhaité à les vénérer. Cependant, il patientait et supportait cette période de la vie, se disant qu’une fois adulte, il pourrait choisir sa propre voie. La seule chose qui lui permettait de tenir le coup était un ami : Son meilleur et un de ses seuls amis, qui se révéla avoir jamais été son seul soutien pendant sa jeunesse. Pendant des années, ils furent inséparables, indissociables, et pourtant dotés de caractères véritablement opposés, tels le soleil et la pluie. Malheureusement, même lors de sa majorité, ces maudites divinités le tenaient en laisse, refusant de le laisser en paix. Même responsables et autonome, sa tribu le forçait encore et toujours à adorer les mêmes idoles. Et pour ajouter à sa souffrance, une grande tragédie se produisit, tous les membres de sa famille commencèrent à mourir les uns après les autres, tombant comme des mouches. Ses parents furent emportés par la maladie, ses frères, plus âgés que lui, périrent dans un incendie qu’ils avaient en vain essayé de maîtriser. D’autres de ses proches, comme ses cousins, ses oncles ou ses tantes, furent pratiquement tous dévorés par des bêtes sauvages, évènements qui se produisaient très rarement à l’époque.
Il vit ceci comme une punition des divinités, sensés les protéger, comme une punition pour les avoir reniés. Mais cela produisit l’effet inverse : au lieu de se repentir, Enzoul alla vers moi quérir de la puissance, afin d’être capable de résoudre ses problèmes par lui-même, sans avoir besoin d’une autorité supérieure. La suite de l’histoire, tu la connais déjà. Bien que je lui ordonnait de combattre pour moi dés que j’en avait le désir, je le laissait parfaitement libre de ses actes et de ses choix. Le mal avait prit entière possession de lui, et pourtant, il n’avait jamais été si heureux, aussi fier ! C’est pour cette raison que j’ai entièrement confiance en lui, jamais il ne se retournera contre moi. Pour me prouver sa fidélité, lui ai même confié comme première mission la tâche d’exterminer toute la famille de son ancien ami. Et il a accompli sa fonction sans difficultés ni remords. Tes doutes à son égard sont-ils dissipés désormais ?
- En partie maître. Cependant, plusieurs détails dans votre récit ont attirés mon attention. Une tribu, des divinités et un ami très cher. Se pourrait-il que…
- Ah ! Je vois que tu as deviné !
Si Bellum avait pu se lécher les babines, il l’aurait certainement fait. Mais étant dépourvu de langue et de lèvres, il se contenta de plisser son œil d’un air mauvais et de répondre :
- Oui, en effet, tes intuitions ne t’ont pas trompé. Le peuple où Jugula a vu le jour. Le peuple qui l’a vu grandir et qui l’a endoctriné dans ce culte stupide…n’était nul autre que les Esperias !
Et ce n’est pas tout. L’ami qui a partagé ses souffrances comme ses bonheurs durant l’enfance…était bien entendu Jugula.
Tabbou n’en crut pas ses oreilles. Bien que des pressentiments soient nés en lui après l’histoire de son maître, jamais il n’aurait pu envisager que ceux-ci puisse s’avérer réels. Ainsi donc, les hommes qui avaient été les pires ennemis du monde durant les Grandes Guerres avaient autrefois été de véritables compagnons, totalement inséparables. Tout à coup, les quelques doutes qui s’accrochaient encore dans son esprit furent totalement balayés, pour laisser place à une véritable impatience de rencontrer son soi-disant égal.
Les deux acolytes patientèrent en silence, tel avant le lever de rideau lors d’une pièce de théâtre. Quand enfin, dans la cabine de pilotage où ils se trouvaient, ils virent une trainée de brume noire passé sous l’épaisse porte en acier. Une fois arrivée dans la pièce, l’amas de nuages arrêta de se mouvoir, pour ensuite se matérialiser. Les membres d’Enzoul furent les premiers à apparaître, suivis de près par le reste du corps. Tabbou admirait le phénomène avec une émotion proche de la fascination. Toutefois, ce n’était pas la vision d’Enzoul en elle-même qui l’émerveillait, mais l’énergie qui se dégageait de lui, qui était quasi-identique à celle de son maître. S’il avait eu les yeux bandés, il aurait facilement pu confondre les deux individus. Lorsqu’il fut totalement passé de sa forme gazeuse à sa forme solide, Bellum s’empressa de lui crier :
« Comment osez-vous vous battre comme de vulgaires gamins ? Bien que cette salle soit spacieuse, vous auriez pu à tout moment détruire quelque chose !
Ces propos étaient justifiés : La pièce, de forme carrée, ne mesurait pas moins de dix mètres sur chacun des côtés. Cependant, au fond étaient présentes d’importantes commandes, installées en grande partie par le Dr.Eggman, qui régissaient le Navire Fantôme.
- Tabbou, qu’est-ce qui t’as pris de réagir de cette façon ? continua-t-il sur un ton empli de férocité. Je croyais que tu résistais davantage que ça à la provocation ! Mais visiblement je m’étais trompé !
Il tourna ensuite son œil unique vers Enzoul, mais lui adressa des reproches sur avec une voix bien plus douce, moins colérique :
- Quand à toi Enzoul, tu n’étais pas vraiment obligé de faire ces désobligeants commentaires, mais je te pardonne. Je me doute que toutes ces années que tu as vécues ont dues constituées une épreuve absolument épouvantable pour toi.
- C’est exact, maître ! gémit le revenant sur un ton de victime. Jugula et moi étions contraint d’absorber mutuellement notre énergie. Si vous ne m’aviez pas apporté cette offrande, jamais je n’aurais retrouvé mes forces d’autrefois ! »
Tabbou n’arrivait tout simplement pas y croire : Son maître favorisait le nouvel arrivant, alors que c’était lui qui était à l’origine du combat. Il l’avait presque délaissé, lui, qui avait toujours fait son possible pour le satisfaire. Il sentit en lui une envie de se plaindre, de répliquer à son maître qu’in n’était pas le principale fautif dans cette histoire. Mais il ne pouvait tenir tête à son maître. Même s’il l’avait voulu de tout son cœur, il n’aurait pu le faire. Là est l’avantage des créatures de plasma bleu : Elles sont d’une loyauté sans faille envers leurs créateurs, et ne peuvent tout simplement pas désobéir.
La rage de Bellum étant presque éteinte, il reposa ses deux sbires sur le sol, et acheva cette dispute avec un simple commentaire :
« Ne vous battez plus jamais ! Je suis parfaitement assez puissant pour conquérir le monde tout seul, sans aucune aide ! »
Ce message-ci s’adressait aussi à Enzoul. Les deux lieutenants savaient pertinemment que leur seigneur tout puissant leur faisait une grande faveur en les gardant auprès de lui.
Ce combat éclair avait jeté un froid sur l’ensemble du groupe, plus personne n’osant prononcer le moindre mot. Ce fut toutefois Enzoul qui brisa le silence avec un innocent commentaire :
« Maître, si je puis me permettre, je ressens la présence d’une source d’énergie lumineuse. Comment est-ce possible dans ce vaisseau, qui ne laisse entrer ou sortit aucune forme de bienfaisance ?
- Une partie de la réponse est contenue dans ta question. Vois-tu, une partie de mon plan reposait sur le fait que certains de mes ennemis pénètrent en ce lieu, pour leur faire croire qu’ils avaient pris l’avantage. Tout c’est passé comme prévu, même si j’ai subi une blessure non négligeable.
Ce n’est que maintenant que l’Esperia déchu s’aperçut que l’œil de son maître était rougi et gonflé. Il ignorait qui ou quoi avait pu l’estropié, lui le roi du mal en personne, mais il ne fit aucun commentaire, et le laissa continuer :
- Lorsque j’ai essayé de m’échapper de la dimension où j’avais été enfermé, ce vieux croûton de Siwan a tenté de m’en empêcher. Mais il se trouve que j’avais été récemment renforcé par une grande bataille que j’avais moi-même provoqué. J’ai donc naturellement eu le dessus, et j’ai vaincu cet imbécile. Je te dispense des explications, mais disons que j’ai réussi à « sceller » sa puissance sous forme de statue. Seulement, lorsque mes ennemis ont pénétré ici, ils ont libéré cette puissance, la laissant errer dans ce navire. Heureusement, l’essence maléfique qu’il émet rend cette force inoffensive, aussi grande soit-elle. Et elle ne peut pas sortir de cet endroit, qui l’isole totalement. Leur acte n’a donc pas changé grand-chose. Mais assez parlez d’évènements sans importance, discutons plutôt de nos projets futurs. Savez-vous quelle sera notre prochaine destination ?
- La fraction de l’île où habitent encore les Esperias ? proposa Enzoul en jubilant. J’aimerais beaucoup aller fêter mon retour avec eux !
- C’est exact ! confirma Bellum. Je vois que ton intelligence a été conservée par les âges ! Voyez-vous, après que l’île ait été séparée en deux, Merio, ce dieu si proche de ce peuple sans intérêt, a déposé un cristal magique sur chacune des parties. Cette pierre de pouvoir était sensé dissimuler la position de l’île du Lézard à quiconque. Ils les avaient confiés aux Esperias, croyant qu’ils sauraient les protéger. Seulement, il n’avait pas prévu que la partie magique de moi-même se trouvait encore près du temple, prêt à m’emparer du cristal à tout instant ! Mais je voulais que mon acte ne se remarque ne soit pas remarqué par Merio, qui aurait immédiatement prit des initiatives pour contrer mes plans. J’ai donc habilement répandu un virus sur l’île. Sans que personne ne me soupçonne, tous les êtres humains peuplant l’île avaient été foudroyés par la maladie en quelques jours. Le cristal était enfin en ma possession, mais ne possédant pas de corps, j’ai dû le cacher autre part.
Sur ce, il fit apparaître au bout d’un de ses tentacule, dans un éclair de lumière mauve, une pierre précieuse à l’air mystérieux. De couleur orangée, elle ressemblait à une toute petite pyramide. Irradiant d’énergie, elle était entourée par un halo hypnotisant. Une fois que ces sbires l’eurent contemplée assez longtemps, il la fit disparaître de la même manière qu’elle était apparue.
- À présent, acheva-t-il, je vais me servir de cet artefact pour localiser la seconde partie, qui est elle encore invisible à mes yeux. Une fois que j’aurais réuni les deux pierres, je n’aurais qu’à utilisé leur puissance pour accomplir mon objectif principal : fusionner les deux dimensions pour créer un cataclysme sans précédent !
- Vous êtes absolument génial ! le complimenta Enzoul. Je vous demanderais juste une simple faveur lorsque nous serons arrivés : pourrais-je avoir le plaisir d’exterminer moi-même mon ancien peuple lorsque ?
- Je ne vais certainement pas refuser ce petit plaisir à mon meilleur élément ! Tu seras libre de faire ce que bon te semblera avec eux ! »
Les deux compères éclatèrent d’un rire violent. Tabbou, lui observait la scène sans rien dire. Le guerrier des ténèbres venait tout juste d’arriver, et l’avait déjà supplanté en tant que lieutenant favori de Bellum. Il se rendit compte qu’il existait entre ces deux-là une complicité qui n’existerait jamais entre lui et Bellum.
A suivre...
D'ailleurs, je me souviens, au début de ma fic, avoir dit que les trophées de Sazu et des esprits !
Si cela ne vous dérange pas, j'aimerais que vous fassiez comme si je n'avais jamais écrits ça !
Je me suis aperçu que ça allait poser des problèmes de logique !
J'ai fait ce chapitre assez vite, alors j'espère qu'il ne sera pas trop bâclé, bonne lecture !
"...est des esprits étaient dans le Navire Fantôme"
Désolé du fail !
Ce changement ne vous dérange pas donc ?
Chapitre très intéressant, bien que le manque d'action (à part ce petit combat fort sympathique entre Enzoul et Tabbou) se fait quelque peu ressentir.
Par contre, quelques incohérences niveau puissance commencent à faire surface :
Si Enzoul < Bellum, qui est son maître, alors comment est-ce possible que les Brawlers parviennent mieux à combattre Bellum que lui ?
Comment Enzoul avait-il besoin de se protéger face aux attaques de Tabbou, alors qu'elles sont censées traverser son corps de spectre ?
Sinon, rien à redire, quelques fautes se sont glissées ça et là, mais il est impossible de toutes les cibler, vu la grandeur de tes chapitres.
Très bon travail, bro'.
1°) Bellum, lors de son combat entre Link et contre les Brawleurs, n'a pas utilisé toutes ces facultés !
Dans le premier cas, étant dans l'autre dimension, il ne possédait pas ses pouvoirs.
Dans l'autre, comme il l'a dit dans ce chapitre, a fait exprès de se laisser blesser pour leur faire croire qu'ils avaient l'avantage !
Sans vous spoiler la fin, si Bellum s'y mettait vraiment, il écraserait les combattants, l'UDP, Tabbou et Enzoul réunis !
2°) Enzoul est insensible aux attaques physiques, grâce à son corps dont il maitrîse la consistance, il peut ainsi le rendre solide ou brumeux !
Mais même sous sa forme de spectre, il est vulnérable à toute déflagration d'énergie, telle les lasers ou les ondes de choc.
Rappelle-toi que L'Aurasphère de Lucario, bien que sans effet, a explosé contre lui !
Sous sa vraie forme de brume, rien ne pourraît l'atteindre, mais combattre comme ça n'est pas vraiment pratique !
J'espère avoir fourni des réponses satisfaisantes !