200éme post !!!
Déssolé du
désolé*
PARDONNER ^^ mais cette histoire j'aime pas je prefere'ophelie amoureuse" ^^ <3<3
Quelle imagination débordante
Merci Dekillers !
Un petit UP !
SWEET !!!
À partir de maintenant, c'est Masturnie qui fait la narration (raconte).
…................
Chapitre 16 La jolie femme.
Je marchai dans l'espoir de trouver la sortie de ce monde où l'on avait atterri par erreur.
Le vent souffla, le ciel devint gris, la pluie tomba, les arbres s'arrachèrent de la terre, et surtout, les larmes coulèrent... J'étais seul, abandonné dans le froid hivernal, sous la pluie glacée, presque abattu par les coups de tonnerre. Je repensai aux bons moments passés avec Damia, toute nos aventures... Cela me manquait. J'utilisai ma montre pour appeler un vaisseau spatial, et rentrer à Amziia.
« Vrrriiiooouuuuhhhh. »
C'était la navette. La porte s'ouvrit et je grimpai. L'intérieur de ce vaisseau n'avait pas changé depuis la dernière fois que je l'avais utilisé. Je m'asseyais sur le siège du pilote et attachai ma ceinture de sécurité. Ça me faisait bizarre de ne pas avoir Damia à l'intérieur de vaisseau. Il n'y avait personne à mes côtés, j'étais seul, trahit par mon père...
« Huhuhu, huhuhu. Snif, snif, huhuhu...
- Qui est là ?! Criai-je. »
Avant que le vaisseau ne décolle j'aperçus une dame aux cheveux longs, blonds,elle baignait nue dans un lac. Elle semblait pleurer. Je détachai ma ceinture et ouvris la porte, mais hélas, la navette avait déjà décollé. Elle m'appelait. Son visage était couvert de blessures.
Je repartis m'assoir sur mon siège et rattachai ma ceinture.
PENDANT CE TEMPS...
« Hurf, ah, gniiiaaa, iiiiiyyiiiiiisss. Pouf, c'est dur la grimpette, je suis plus tout jeune ! Pouffa une homme, tu te dépêche toi ? Gronda-t-il.
- huhuhu, ouf... Où allons nous ? Demanda une femme.
- Je ne sais pas encore, ce qui est sûr c'est que nous rentrons au palais ! Dit-il en se tournant.
Hein ? »
L'homme se tourna, la femme n'était plus là...
« Aarf, tant pis ! »
Il fit quelque pas devant et aperçu la dame nue qui baignait dans le lac.
« Bah je l'ai trouvé ma guerrière ! S'exclama-t-il.
- Ne, ne me faite pas de mal ! Pitié ! Pleura-t-elle;
- N't'inquiète pas, petite, je ne te ferai aucun mal. Rigola-t-il. »
Il l'attrapa par le bras et lui lança un draps sale provenant de son petit sac, dessus. L'homme appela un vaisseau. Son vaisseau arriva puis l'homme monta, tirant la femme derrière. Mais avant que la porte ne se referme, une petite ombre se glissa clandestinement dedans.
Mon vaisseau volait, il était en destination de Olichiwa, la ville de Damia. Après quelques heures de trajet, le vaisseau pencha pour atterrir. Quand le vaisseau fut posé j'appuyai sur le bouton « OPEN » et descendis du transport aérien. Tout le monde était heureux, ils pensèrent tous que Damia allait très bien, mais c'était faux.
« Hé regardez tous ! C'est Masturnie ! Cria une voix. »
Tous les habitants d'Olichiwa se jetèrent sur moi, me demandant si Damia allait bien. Ils hurlaient tous, couraient tous, sauf Antoine et Cédric. Ils se levèrent paresseux et marchèrent vers moi.
« Bonjour Masturnie, Dit Cédric, comment va Damia ? Demanda-t-il.
- Je préfère le dire auprès de tout le monde, d'accord ? Affirmai-je.
- D'accord. Répliqua Cédric.
- Chers habitants d'Olichiwa, je vais vous annoncer des choses au sujet de Damia. Vous croyez qu'elle va bien, et bien c'est faux. Elle est... M... Morte ! »
Ils tombèrent tous à terre, sur les genoux et versèrent quelques litres de larmes. On n'entendait plus que les pleurs des gens, sur Olichiwa. Avec les bruit des pleurs, surgit un bruit bizarre, comme les navettes ou vaisseaux spatial. Je levai la tête vers le ciel un moment et aperçu le vaisseau Royal. Celui de mon père, on pouvait le reconnaître grâce aux étoiles dessiné dessus. Avant que le vaisseau atterrisse, je couru jusqu'à la Mairie qui était le bâtiment le plus proche.
« Heu, madame... Opélie ! Appelai-je.
- Bienvenue, que puis-je pour vous ?
- Vous pouvez m'ouvrir la porte pour me cacher derrière s'il vous plait !?
- Désolé, c'est interdit au public. »
Je suppliai Opélie de m'ouvrir la porte. Elle ne voulait pas, je suppliai, suppliai et suppliai encore.
« Pitié ! Suppliai-je.
- Non. Insista-t-elle.
- Même si je dis à Antoine vous l'aimez ?
- Quoi ! Oh, entrez vite ! »
Opélie couru jusqu'à la petite porte, l'ouvrit et me laissa passer. Je me dépêchai d'aller dans le petit local derrière le bureau du Maire.
Mon père ouvrit la porte d'une méchanceté qu'elle s'effondra de suite.
« Madame, demanda-t-il.
- Oui ?
- Vous avez vu quelqu'un venir ici ou pas ? Interrogea-t-il.
- Non.
- Très bien... »
Et il s'en alla vers la porte la remettant en place. Je sortais du local et de la Mairie, fis quelques pas. Je regardai à droite, puis à gauche, et à gauche il y avait mon père. Il m'attrapa et couru jusqu'au vaisseau. Il ouvra la porte me jeta dedans et entra à son tour, s'assit sur le siège et démarra la navette. On était parti pour que la fin du monde commence...
À suivre...
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Je vais vous donner les liens des personnages pour voir à quoi ils ressemblent.
Damia http://images.ados.fr/photo/9917101991/mangas-eau/jolie-fille-chapeau-145999811d.jpg
Masturnie
http://87.img.v4.skyrock.net/871/yzak/pics/3856
57050_small.jpg
Dame nue dans le lac http://images.ados.fr/photo/9917101991/mangas-eau/belle-manga-blonde-1459992555.png
Masturnie http://87.img.v4.skyrock.net/871/yzak/pics/3856
57050_small.jpg
Masturnie http://87.img.v4.skyrock.net/871/yzak/pics/385657050_small.jpg
j'aime bien ^^
suite ? ...
J'y travaille
Chapitre 17 La dame nue
Emprisonné dans le vaisseau de mon propre père je m'ennuyais... C'était un cauchemar, car le vaisseau penchait tout le temps, alors les caisses tombaient sur moi et s'ouvraient ! Alors toutes les provisions tombaient sur moi. C'était horrible. Je regardais quelques secondes autour de moi, il n'y avait rien qui pourrait m'aider à m'enfuir...
« Quelle vie de monstre ! Hurlais-je, mécontent.
- Comment ?! M'interpela une jeune et belle femme. »
Elle sortit de nulle part, une chevelure entourait son visage blanc, comme un ange. Ses yeux bleues turquoise brillaient comme des pépites d'or. Et son sourire m'aveuglait... Je l'admirai de la tête aux pieds, elle... Était nue sous un draps blanc, taché de terre.
« Rien... Prenez ma veste, vous devez avoir froid... Répliquais-je timidement.
- Qui êtes vous ? Demanda-t-elle en posant la veste devant elle.
- Je suis le fils de l'homme qui pilote cet avion... Soufflais-je.
- Oh ! S'écria-t-elle avant de s'enfuir vers l'autre côté de la pièce. »
Tant pis, de toute façon, je préférai Damia. Elle était grande, drôle, belle, intelligente, déterminée... Il n'y a pas mieux qu'elle comme femme, malheureusement, elle n'existait plus, donc ce n'était plus la peine de penser à... Cet ange, comme ce diable... Je ne trouvais même plus d'assez bons mots pour la qualifier. Je m'allongeai puis commençais à couler quelques larmes, elle me manquait de plus en plus...
« Damia, reviens... Ne me quitte pas... Pleurais-je.
- C'est qui, Damia ? Demanda la femme.
- Taisez vous, vous ne voyez pas qu'elle est... Morte ?! M'énervais-je tout en me relevant.
- Morte... D'après vos descriptions elle correspond à quelqu'un.
- Qui ça ?! M'excitais-je, et puis d'abord, quelles descriptions ?
- La description que vous venez de décrire dans votre tête ! Elle remontait une falaise, accompagné d'un homme...
- Arrêtez vos sottises, elle est bel et bien morte !
- Je vous promet que je ne mens pas.
- Oui, c'est ça ! Allez-vous en et fichez moi la paix ! »
Elle recula, tandis que moi je recommençais à pleurer. Elle essayait de me faire pleurer encore plus, mais je ne l'ai pas cru et tant mieux. Après un instant de repos, une ombre apparu devant moi. Qu'était-ce ? Certainement la femme... Le soir arriva, ce qui me laissa m'endormir sur une caisse, la jambe pendante dans le vide tout comme mon bras gauche.
Cette nuit là, je fis un horrible cauchemar, Damia me hantait...
« Masturnie, bouuuh ! Je suis làà ! Je te hanterais jusqu'à la fin de tes... Jours ! »
Je me réveilla en sursaut, la tête qui, presque, allait exploser. Il faisait toujours sombre, dehors, alors je laissai retomber ma tête sur la caisse qui fit un drôle de bruit. Je n'y fis pas attention et me rendormi. Une mauvaise nuit m'attendait.
Je me réveillai enfin, une bonne odeur flottait dans l'air. Je descendis de la caisse, qui, fit encore un bruit assez bizarre... Je m'avançai vers la porte puis observai par le trou de la serrure, je n'eus pas le temps de regarder que la porte s'ouvrit d'une force étonnante et me propulsa sur la caisse où j'avais dormi. Je frottai ma tête avec ma main un instant pour faire passer la douleur, mais le contraire arriva, j'avais de plus en plus mal...
« Maudite porte ! Murmurais-je.
- À la soouupe ! Cria une grosse dame, habillée d'une robe rose de ménage, et par dessus, un long tablier blanc la protégeais de toute saletés. »
Elle déposa devant moi une grosse marmite remplie de soupe au potiron, elle prit une assiette, la plaça juste à côté de la marmite, puis s'agenouilla. Elle attrapa la louche, prit assez peu de soupe et la versa dans mon assiette.
« Stop ! L'arrêtais-je, prête à m'en servir une autre.
- Quoi ?! Tu veux ma main sur la figure, sale gamin ? S'énerva-t-elle. »
Elle n'eut pas le temps de lever sa main que je l'envoyai à l'autre bout de la pièce en une gifle.
« Ouahou, comment ais-je fait ça ? M'étonnais-je les yeux énormes.
- Aïe, c'est bon, tu n'auras qu'une louche ! S'écria-t-elle tout en partant. »
Je ne savais pas du tout comment j'avais fait ça, la panique m'envahit d'un coup. Je paniquais, à cause de cette gifle, ou plutôt, ce boulet de canon... Enfin, cela m'était égale, alors je commençai à boire ma soupe, brûlante.
VLAN !!
« C'est lui, sire... Chuchota la grosse dame.
- Ahem, d'accord... Toi ! S'écria mon père.
- !... Oui ?... Sursautais-je.
- Qu'as-tu fait à... Grosse Bertha ?!
- Mais elle a... !
- Pas de mais ! Qu'as-tu donc fait de tellement horrible ?
- J'ai giflé la grosse dame... M'humiliais-je.
- Q... Quoi ?! Tu as... Marmonna-t-il.
- Elle a voulut me tuer ! Me défendais-je, tout en coupant la parole de mon père.
- … ! Grosse Bertha, appela-t-il.
- !... Oui ? Tremblota-t-elle.
- Amenez-le à la salle des commandes. Ordonna-t-il.
- Tout de suite ! S'impatienta-t-elle. »
Grosse Bertha m'attrapa par le col de mon tee shirt, puis me traina par terre jusqu'à la salle des commandes. Qu'allait-il m'arriver ? D'après ce que je me souvins, on était souvent gui... Guillotiner, pour couper la parole des rois... Oh non ! Mais ça ne se peut pas, je suis son fils, tout de même...
Grosse Bertha me jeta sur un siège.
« Tache de bien te tenir ! Sinon... Héhé, je ne vais pas te le dire !
- Grr ! Attention, je suis méchant !
- Arrête, tu es saucissonné au siège. Alors comment pourrais-tu m'attaquer ? Hein ? »
La grosse dame s'en alla tout en remuant ses grosses fesses.
Je me débattis autant que je le pouvais, en vain. La corde ne céda pas, tandis que mon estomac grouillait, et mon cœur battait à cent à l'heure.
« C'est la fin de tout... De tout... »
Dès que cette phrase disparut de ma tête, je m'assoupis.
C'est génial. C'est une bonne idée de mettre les images des persos de ta fic.
Merci.
Chapitre 18 QUOI ?!
Je me réveillai, peu à peu. Les rayons du soleil me gênèrent, normal, c'était le matin.
« Quoi ?! J'ai tout de même pas dormi... De 9h du matin à 10h du matin du lendemain ?! Roooh, quel paresseux... Pensais-je. »
J'essayai de me lever, malheureusement j'étais toujours attaché... La grosse dame entra, le sourire aux lèvres.
« Nous avons atterri, alors debout ! S'écria-t-elle.
Faudrait déjà me détacher... Soupirais-je.
Ah, oups mince... Murmura-t-elle, son sourire s'abaissant. »
Grosse Bertha me détacha, m'attrapa le bras puis me traina, comme la dernière fois.
« Mon dieu, quand est-ce que cela s'arrêtera-t-il... Soufflais-je.
- Hein ?! Bêla la Grosse dame.
- Rien, rien du tout... »
La porte s'ouvrit, c'est à ce moment là que la Grosse Bertha lâcha ma main. J'en profitai pour m'enfuir et me cacher dans le vaisseau, mais la dame nue m'arrêta et me repoussa jusqu'à l'entrée. Pourquoi avait-elle fait ça ? En tout cas ce qui était sûr, c'est que je ne l'aimais pas. La grosse dame nous appela, avec, bien sûr, toujours ce sourire aux lèvres... Nous descendîmes vers Grosse Bertha, qui, dès que nous fûmes descendu, attrapa nos bras d'une méchanceté incroyable.
« Venez, les petits vauriens, la g... Soupe est prête !
- Nous nous fichons de votre soupe, ce qui est important pour nous, c'est... L'amour... Dit la dame nue d'une voix aigu.
- Quoi !? Mais... Je t'aime pas ! T'es moche, t'es méchante, et en plus, j'ai déjà quelqu'un ! Grondais-je. »
La dame nue coula une larme, qui tomba par terre, puis une autre, qui, à son tour tomba par terre. Elle me regarda les yeux tremblants, en serrant très fort son draps sale. Elle commença à pleurer, puis s'en alla en courant, laissant tomber son seul et unique vêtement. Elle essuyait ses yeux, qui étaient plus remplie d'eau que la mer...
« Quel imbécile ! Puis ce n'est pas grave, il me reste Da... Et puis tant pis, j'y vais ! »
J'attrapai le draps, et couru vers la dame nue, qui s'était cachée quelque part. Mais où ? Je m'arrêtai, - vert de rage – puis regardai autour de moi. Il n'y avait rien, à par un petit « truc » au loin qui brillait. J'y courus. Je ramassai l'objet avec précaution puis l'examinai, c'était un cheveux blond de la dame nue.
« Qu'est-ce que je fais ici... Après tout, elle m'a empêché de m'enfuir, alors qu'elle reste dehors ! M'écriais-je. »
Je lança le draps loin devant, en colère. Pourquoi ? Parce que cette femme m'énervait...
Je retournais jusqu'à Grosse Bertha, qui, améliora ma colère. Je voulais tout casser, rien ne me plaisait dans cette vie. Un coup mon père devient méchant, un coup mon père tue celle que j'aime, un coup mon père veut me tuer, etcétéra... Que m'arriva-t-il, je devenais fou, méchant, insolent, égoïste... Toutes les qualités requises pour être un vrai monstre, comme mon... Père.
« T'étais où comme ça, sale gosse ? Me gronda Grosse Bertha.
- Dégage gros thon ! T'es énorme, moche, méchante, gueularde, tout ce qu'il y a de plus horrible ! M'enquiquinais-je à hurler.
- Oh, mon dieu ! Monsieur le roi ! Oh, oh, oh ! S'écria-t-elle, en tombant dans les pommes.
- Affreux... Tu es affreux mon fils ! Tu ne mérites pas d'être mon fils...
- Et vous, père ! Que puis-je dire sur vous ?! Depuis des jours vous devenez un monstre ! Vous avez tué la fille que j'aimais ! Vous êtes pire qu'un monstre ! Vous ne méritez pas un fils comme moi ! Déterminé à sauver la fille qu'il aime ! Dégagez, je ne veux plus de vous comme père ! Hurlais-je comme un fou.
- Non ! Fils, excuse moi ! Pitié ! »
J'étais déjà en route vers le vaisseau, je montai dedans, pris les commandes et décollai. J'étais en direction de Olichiwa, je voulais terminer ma vie là-bas, avec des gens chaleureux, qui m'aimaient... J'atterris, puis descendis.
« Bonjour tout le monde ! M'écriais-je.
- … »
Dès qu'ils me virent, ils s'enfermèrent tous dans leur petite maisonnette, les plus mécontents étaient Cédric et Antoine, qui me regardèrent d'un air... Méchant, et qui s'enfermèrent tout en me regardant. Je compris donc que je n'étais pas le bien venu. Je voulais faire voler mon vaisseau très haut, pour ensuite le lâcher dans la mer devant leur yeux...
Je me roulai en boule sur le fauteuil, et sanglotai comme un fou.
« Je veux mourir... Nooon ! Hinhinhinhinnnn... Ma vie est un enfer ! … Hurlais-je, tout en sanglotant.
- Salut... Prononça quelqu'un avec joie.
- Partez ! Qui que vous soyez ! Aboyais-je.
- Même si... »
Je tournais la tête vers le rétroviseur, et là, mes larmes de tristesse séchèrent tout de suite, pour laisser place à des larmes de joie. La personne, qui était derrière moi, était...
DAMIA !!!
Je me levai d'un bon pour me jeter dans ses bras, contempler son visage tout en le caressant... Elle aussi, pleurait, de joie, enfin on se retrouvait, après tous ces jours sans elle... Je la retrouvai enfin...
« Oh, Damia...
- Masturnie... »
Nous nous embrassâmes, qu'une seconde et quelques centièmes... Mais nous nous embrassâmes. Mon cœur n'eut jamais battu aussi vite de toute ma vie. Sans nous en rendre compte, tout Olichiwa nous regardait, quand tout à coup, ils nous applaudirent, c'est que nous nous rendîmes compte qu'ils nous regardaient... Damia devint rouge comme une tomate, tandis que moi, j'étais le plus heureux de tous les hommes...
« Masturnie ?... Demanda Damia.
- Oui ?
- Ton... Père, tu comptes le laisser empoisonné comme ça ? Ou tu veux le sauver ?
- Je préfèrerais le sauver, mais il est impossible de l'approcher... Confirmais-je.
- Mais si, je peux, je peux l'approcher moi, et toi aussi. Affirma-t-elle.
- D'accord, puisque tu le dis... Mais avant, allons fêter nos retrouvailles avec tout Olichiwa ! »
Damia et moi descendîmes, applaudi par les villageois.
« Chers habitants d'Olichiwa, cria Damia, je dois vous faire une annonce important !
- OUAIIIIS !! Hurlèrent les habitants d'Olichiwa.
- J'ai été prisonnière par le père de cet homme, qui était sous un poison, mais qui en est toujours contrôlé. Ce poison le mène au point de tuer son fils, tout comme moi. Dans ce précipice, le père de Masturnie m'a ramené en me tirant par le bras jusqu'en haut. Il m'a sauvé, mais c'était pour que je devienne son esclave...
- ANHHH !!! Firent les habitants d'Olichiwa.
- Mais je me suis sauvée, et suis partie clandestinement dans son vaisseau, où se trouvait sa guerrière, une dame blonde, nommée Isléa. Ensuite, Masturnie à volé le vaisseau pour revenir ici, tandis que moi, j'étais dans le vaisseau... Et nous somme arrivés patati patata...
- OWAHH !!! »
Damia me prit la main, et la leva au ciel. Tout Olichiwa nous applaudit, encore une fois...
Il se fut tard, Damia m'emmena chez elle, où, il y avait toujours un lit pour les invités, elle mit bien les draps, et me dit d'aller m'y asseoir. Je ne pensai pas à cette soirée, et m'endormit plein de bonnes pensées...
À suivre...
oui
Je go bouffay.
A++.