JDN Pas besoin , j'en ais deja un , mais toi t'en a vraiment besoin
Mais ton cas est déseperé
Jerry.
Euh... de la remarque de Squall j'espère, parce que si t'as rit de la fin...
Hello Jenissy! sa faisait un baille que j'avait pas lu tes autres parties! effectivement, c'est plus sombre qu'à l'accoutumé! sa change mais c'est tjr super!
JennissyCooper ben oui, j'ai rit pour la remarque de Squall.
SnouckFelicity Ouais, t'as vu, Janainou va me tuer si elle lit.
Merci d'être passée.
Ouh ce que je suis en retard moi
Ben... c'est bien, rien de plus à ajouter
Au revoir
A d'accord.
Merci d'être passé.
Passage expresse
Expresso...What else ? :regardebogoss:
Zeldor le grand ...What else ?
aussi
Oh my god! Zeldor is Georges!
No Zeldor Is Toll ( wha la blague )
Euh... là j'avoue que j'ai pas compris la blague... sorry Squall.
La suite après-demain.
Bah le pseudo entier de Zeldor est Zeldor-le-grand donc j'ai saké Zeldor Is Tall
Trad pour les faché de l'anglais : Zeldor est grand
Me suis juste gourré de lettre
Ah et vivement demain alors
Après-demain, petit padawan!
Bon, je crois que je vois avez promis la Partie 4, alors voilà, en espérant que ça vous plaira.
Et encore bonne année à tous.
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4ème Partie/Chapitre 1 : Délivrance
Depuis tellement de temps, il avait cru son père mort et ce soir, ce soir enfin il allait le revoir. Il avait attendu ce moment depuis si longtemps… Pendant qu’il ferait diversion, ses complices pourraient délivrer son père, puis il les rejoindrait et ils s’en iraient tous. Il attendait seulement le signal, debout sur le toit de cette gigantesque forteresse. La lumière blanche et inquiétante de la lune ronde et argentée lui permettait de voir son reflet dans la plaque de verre en face de lui. Son pelage gris contrastait fortement avec sa chemise, ses gants et ses chaussures bleus. Il tenait fermement sa serpe dans sa main droite et une casquette aussi bleue que ses vêtements cachaient sa mèche de cheveux rebelle. Un sourire satisfait s’afficha sur ses lèvres. Le plan était parfait, il n’y aurait aucune faille. Soudain, une faible sonnerie retentit dans la nuit obscure et glaciale. Le voleur attrapa son binocom. Un de ses complices lui donna le signal dans un langage codé:
« OK « Sprinteur » on vient de faire sortir le prisonnier. Les gardes doivent s’être rendus compte qu’il n’était plus là, alors à toi ! »
Il coupa la communication et se dirigea aussitôt vers les premiers gardes qu’il aperçut.
« Eh ! Salut les potes ! Faudrait peut être songer à m’attraper un de ces jours, vous croyez pas ? »
A peine eu-t-il terminé sa phrase qu’une horde de gardes en furie étaient à ses trousses. Il se mit alors à courir comme un dératé, en prenant soin de partir dans la direction opposé à celle que prenaient ses complices pour s’enfuir. Les gardes se faisaient de plus en plus nombreux et lui de moins en moins rapide. Cette course-poursuite commençait sérieusement à l’épuiser. Mais peu après, un de ces complices le contactait à nouveau.
« C’est bon « Sprinteur » ! On est tous hors de danger. Tu peux nous rejoindre.
-Super, j’arrive, le temps de semer tout ce petit monde. »
Il ne pu terminer la phrase. Il s’était arrêté, horrifié par le spectacle qui se tenait devant lui. Les gardes l’avaient devancé et il était maintenant encerclé. Voilà. Il s’était fais prendre. Au moins son père et ses complices étaient sains et saufs.
« Tant pis, si ce n’est pas moi qui trouve un moyen de sortir, eux, ils pourront m’aider à m’évader, pensa-t-il. »
Soudain, un gigantesque ours habillé d’un kimono rouge et or avança. Le voleur le reconnu aussitôt. C’était Kuma Higuma, le propriétaire de la prison. L’ours le regarda avec un œil cruel pendant un court instant, puis il sourit.
« Allons Cooper. Tu nous as fait une petite folie ce soir. Tu pensais vraiment pouvoir t’échapper d’une forteresse comme la mienne ?
-Honnêtement, avec le système de sécurité pas du tout efficace dont elle est équipée, ça aurait pu être très simple. »
L’ours gifla l’insolent, histoire de le remettre à sa place. La frappe fut si brutale que ce dernier tomba violemment à terre. Higuma ricana et aperçut la paume de sa patte griffue. Elle était… grise.
« Qu’est ce que…
-Je pari que vous ne vous attendiez pas à ça, Higuma. »
Le voleur releva la tête, un sourire espiègle aux lèvres. La casquette qui était tombée à terre dévoilait une mèche de cheveux partant vers l’avant. La joue du voleur, encore douloureuse, était devenue orange. Devant l’ours ce n’était pas le maître voleur mondialement connu, mais un leurre !
« Mais comment… ? Et qui est tu vermine ? Et où est Sly Cooper ?
-Maintenant ? Très loin d’ici, annonça Benjamin en essuyant son museau d’un revers de manche, enlevant à la fois la poudre grise qui lui servait de maquillage et les quelques gouttes de sang qui s’échappait des griffures faites sur sa joue. »
L’ours grimaça. Il venait de laisser fuir son prisonnier le plus précieux et avait attrapé un simple larbin. D’ailleurs s’était plutôt étrange cette ressemblance… mais il y réfléchirait plus tard. Ce petit arrogant allait payer son affront.
« Amenez le dans la cellule où résidait Sly Cooper. Il pourrait peut être nous être utile. »
Deux gardes relevèrent Benjamin et le menèrent là où avait été enfermé son père, il y avait quelques minutes de cela. Les deux gardiens fermèrent la pièce à clé et le voleur commença son séjour en prison. Il jeta un coup d’œil circulaire à la geôle. Noire, froide, pas accueillante du tout.
« Jusque là c’est charmant ce pays, ironisa-t-il. »
Il se dirigea vers le lavabo et passa son visage sous l’eau pour enlever le reste de maquillage gris. Il ne s’était pas attendu à ça. Le plan avait été bien réfléchit pourtant… et il avait dû faire tout capoter en se faisant arrêter.
« T’es pas doué mon pote, vraiment pas doué… pourquoi il a fallu que je sois si sûr de moi ? »
Le renaton observa son reflet dans le miroir en face de lui. Il commençait à ressentir les effets de la fatigue. Aussi se coucha-t-il sur la planche de bois qui servait de lit pour se reposer. La soirée avait était éprouvante. Toutes ces aventures l’avaient été d’ailleurs. Et il sentait que tout cela n’était pas encore fini. Dire que tout avait commencé le plus simplement du monde : par un simple coup de fil.
3 mois auparavant, dans une chambre d’hôpital à Paris :
Carmen et lui étaient juste assis, silencieux, ne quittant pas des yeux la panthère qui était dans le lit. On pouvait seulement entendre un bip régulier qui indiquait qu’Amanda était encore vivante. Puis une sonnerie de portable retentit. Carmen décrocha.
« Allô ? Attend, attend, pas si vite Jennissy je compr… QUOI ?! OK on rapplique. Bouges pas, on arrive. »
Carmen raccrocha, failli faire tomber le portable en le rangeant dans sa poche et avant même que son frère ne lui demande ce qu’il se passait, elle répondit :
« Jennissy a reçu une vidéo. Papa serait encore vivant. »
Une heure plus tard, les trois voleurs étaient dans le bureau de leur mère. Heureusement qu’elle était à Paris ce jour là, car le seul siège d’Interpol en France était à Lyon. Carmelita ne bougeait pas, passant et repassant en boucle les quelques images que sa fille lui avait montré. Elle regardait tantôt le raton-laveur visible sur la télévision, tantôt son fils juste à côté d’elle. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Elle arrêta enfin le visionnage et se tourna vers les trois jeunes adultes. Elle passa sa main dans sa chevelure bouclée et soupira.
« Je ne vois vraiment pas où votre père pourrait être. C’est bien la première fois qu’il fait ce coup là. »
La renarde réfléchit un instant. C’était vraiment bizarre cette histoire là. En même temps ça la faisait sourire, ça lui rappelait toutes ces années à l’avoir pourchassé.
« Et Bentley ou… je sais plus qui, n’ont pas reçu de nouvelles de lui, ou de coups de fil ? demanda l’inspecteur en grimaçant.
-Non, juste cette vidéo.
-Bon… ça ne fait même pas dix seconde, il n’y a pas un son… juste Sly… c’est plutôt louche. Mais c’était une bonne initiative de me montrer ça. Maintenant je me charge de le retrouver.
-Ah oui tu… tu veux qu’on t’aide ?
- Non Jennissy, ce n’est pas la peine. Je m’en charge avec des collègues, mais vous, vous restez en dehors de ça. »
La ratonne voulu protester mais Carmelita fit signe de sortir à ses trois enfants. Ce qu’ils firent, non sans afficher une moue boudeuse. Une fois dans le couloir, une voix familière interpella les trois voleurs, qui tournèrent aussitôt la tête. Damien, un des collègues de leurs parents, leur faisait signe de rentrer de son bureau.
« Alors vous trois, comment vous allez ?
-Euh… bien et toi ? demanda timidement Jennissy. »
Damien avait presque le même âge que Sly, mais les voleurs avaient pris l’habitude de le tutoyer.
« Bien aussi merci. Je vous ai entendu parler de l’inspecteur Cooper. Je croyais qu’il était mort.
-Et ben… c’est ce qu’on a tous cru mais il a juste disparu, fit remarquer Carmen. »
Sa sœur lui donna un violent coup de coude dans le bras. Le chat était indiscret, mais la renarde était vraiment gaffeuse. Est-ce qu’elle devait vraiment parler de ça à tout le monde ? Non ! Damien haussa un sourcil interrogateur et continua.
« Bon, je sais que tout ça ne me regarde absolument pas. Mais je voulais vous aider. L’autre jour je… regardais des documents à propos de votre père et j’ai trouvé ce nom là, annonça-t-il en tendant un bout de papier à la ratonne. Je n’ai pas trouvé de photo. Tout ce que je sais c’est que votre père et lui se sont connu. Il s’est fait arrêté il y a quarante ans, a tenté de s’évader à plusieurs reprises, à réussi il y a dix-huit ans et s’est fait arrêté une seconde et dernière fois par votre père quelques jours après son évasion. Depuis il est resté en prison.
-Et tu saurais où il est par hasard ?
-Avant il était à Paris, mais maintenant… il a été transféré il y a six ans… hors de France.
-Où ça ?
-En république tchèque, à Prague. Si vous voulez lui rendre visite, vous devraient faire un petit bout de chemin.
-Merci beaucoup Damien, merci. »
Les yeux de Jennissy étaient remplis de gratitude, et une lueur d’espoir les faisaient briller. Elle se tut, puis déclara, sans avoir demandé l’avis de son frère ou de sa sœur :
« On fera le voyage. »
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Attend vos avis avec impatience.
Pas le temps de lire , je lis ce soir
J'ai lu et j'aime bien, mais vu que j'ai rien à dire, je dis rien