JDN -Ca va être un peu dur
-... ... no comment.
-Je sais pas quand se passe le jeu donc on peut penser que l'action se passe bien après.
Au pire tu pourrais juste continuer ta fic en l'ameliorant de chapitre en chapitre ( meme si c'est deja excellent )
Si tu fais mourir Sly, y'aura de l'émotion.
Hum... JDN, arrete avec ce détail là en particulier s'il te plait...
Pas de commentaire pour ça.
Et bah rien que pour t'embétter:
FAIS MOURIR SLY, STP
Je pense quelle dit ça juste parcze qu'elles veut vraiment faire mourir Sly dans sa fic !
Et *****, il n'y a vraiment plus de suspence là.
Puisque c'est comme ça, ben je posterai pas la suite!
...
A non remarque il neige alors si vous me cherchez je suis dedans...
C'était assez prévisible aussi hein
Et tout le suspense n'est pas détruit car on ne sait comment et pourquoi il vas mourrir ! Donc , poste la suite quand même
Et il neige fort chez toi ? Parce que chez moi , il neige à donf !
Ben, il n'as neigé que pendant 1h30 et la neige est presque fondue, donc on en a beaucoup profités avec Carmelita_F et un ami.
Et pour la suite, pour l'instant je suis pas trop motivée pour la taper à l'ordi maintenant.
Moi il a un peu neigé mais ça a fondu depuis un moment
Ah merde
Oui, .
Bon j'ai tapée une partie du prochain chapitre, donc si je suis motivée, ce sera peut être pour demain.
Cool
Jennissy ne pourra plus passer sur le forum car elle n'as plus d'Internet ^^
Comment je le sais ? Bah elle m'as envoyé un message
C'est bon je suis de retour.
La suite arrivera peut être tout à l'heure.
Hier, je suis allé chez Aigle-Supra et il m'a dit qu'il ne pourrait plus jamais revenir sur ce forum.
Aigle-Supra revient pas.
Après désolée mais le " je suis allé chez Aigle-Supra" j'y crois pas trop.
Mais c'est pas pareil le fofo sans lui.
mais double post.
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3ème Partie/Chapitre 14 : Bataille dans les airs
Dans le Refuge, tout était tristement calme. Les voleurs n’avaient rien à cambrioler ce soir là et ils s’ennuyaient un peu. Heureusement ils avaient prévus un casse le lendemain soir. N’empêche, cette situation exaspérait un peu Sly, en manque grandissant d’action. Il essaya de lire, mais il était bien trop frustré et chassa cette pensée de son esprit. Il se leva et se dirigea vers le salon pour rejoindre Bentley et Penelope, lorsque la sonnerie de son portable retentie, ce qui eu pour effet de lui faire faire demi-tour. Le raton laveur s’approcha de la table de nuit, prit vivement le téléphone et décrocha. C’était Carmen qui l’appelait, c’était assez rare d’ailleurs, mais si sa fille avait besoin de lui parler, il l’écouterait.
« Allô papa ? On a besoin de toi, commença-t-elle gravement. »
Aïe, qu’est ce qu’il pouvait se passer d’aussi préoccupant pour qu’elle parle comme ça ?
« Pourquoi, qu’est ce qui t’arrive ?
-C’est Clockwerk, il est revenu. »
Sly failli lâcher son portable a cette annonce. Clockwerk ? Elle avait bien parlé du hibou robotique ? Bon, ils n’étaient pas sortis de l’auberge.
« Je peut savoir comment ça se fait qu’il soit…
-Désolée papa, mais viens vite à l’adresse que je t’envoie et on trouvera un truc pour l’arrêter. Là on n’a vraiment pas le temps. »
Avant que le voleur n’ait réussi à placer un dernier mot, la renarde avait raccroché. Ce qui le laissa à la fois pensif et perplexe un court instant. Son pire ennemi était de retour. Clockwerk, ou plutôt Raspoutine, qui avait tué ses parents, volé son héritage, s’en était prit à lui maintes fois… et s’il n’agissait pas, il serait capable de tuer ses propres enfants. Et lui qui manquait d’action… bon, il n’aura pas réussi à épargner ce cauchemar à ses enfants, mais il était hors de question de faire intervenir ses amis. Surtout Bentley, il avait déjà assez souffert comme ça. En plus, il avait déjà sa petite idée pour se débarrasser du hibou une fois pour toute. Le raton-laveur sorti sans faire de bruit, n’éveillant aucun soupçon chez les membres de groupe, puis il se rendit au poste d’Interpol le plus proche. Ses réflexes de voleur se réveillèrent et il pénétra dans le hangar. Comme il l’avait prédit, des hélicoptères s’y trouvaient. Sans ça, il ne pourrait jamais combattre l’oiseau robotique. Il vola l’un des appareils et réussi à en faire décoller un, à son plus grand étonnement. Carmelita était douée pour ça, mais pas lui. Sly arriva néanmoins en face d’une maison se situant dans la banlieue parisienne, où il aperçut trois silhouettes qu’il reconnu aussitôt. Il se posa devant elles.
« Waouh… maman et toi ne nous avait jamais dit que vous étiez aussi bien équipés à Interpol, plaisanta Jennissy.
-On essaie de garder ça pour nous, répondit-il simplement et avec un petit sourire malicieux aux lèvres. Dépêchez vous de monter maintenant. »
Les trois voleurs s’exécutèrent, et Sly s’aperçut que son fils tenait une panthère dans ses bras. Une policière qu’il avait déjà vue en photo.
« C’est… la fille de Neyla ?!
-Oui, c’est Amanda. Faut faire quelque chose pour elle, elle est très blessée, déclara le renaton en regardant la jeune femme avec beaucoup d’intérêt. »
Le raton-laveur regarda tantôt Benjamin, tantôt Amanda puis il se tourna vers Carmen.
« Il est amoureux, lui glissa-t-elle sournoisement. »
Sly hocha la tête. Bon, il allait devoir s’y faire apparemment. Ça allait être sacrement dur. En plus, il devrait faire un détour à l’hôpital. Il attendit que les trois voleurs soient rentrés dans l’hélicoptère, puis il décolla à nouveau, en direction de la capitale française. Peu de temps après le renaton arriva dans le hall de l’hôpital, la panthère toujours inconsciente dans ses bras. Toutes les personnes présentes se tournèrent vers lui, étonnées par la scène peu commune. Mais Benjamin n’y fit pas attention et se précipita vers un docteur qu’il connaissait bien, puisqu’il s’était occupé de sa sœur lorsqu’elle était tombée de moto. Le chien beige resta silencieux, puis il réussi à articuler une phrase.
« Eh bien, qu’est ce qui vous arrive ?
-C’est elle, elle est tombée dans les pommes et elle ne se réveille pas, expliqua brièvement le voleur en posant la policière sur un des fauteuils. »
Il n’allait tout de même pas raconter l’histoire en entier, le docteur le regardait déjà avec les yeux ronds et s’il racontait tout on l’enverrait directement à l’hôpital psychiatrique. Or il avait d’autres choses à faire. Il continua.
« S’il vous plait, réanimez là, faites ce que vous voulez mais faites qu’elle se réveille. Je dois repartir maintenant alors je reviendrai la voir demain. »
Le chien voulu rajouter quelque chose mais Benjamin était déjà dehors. Il resta immobile, un peu ahuri. Ça devait être une blague. Il examina néanmoins Amanda et conclu avec horreur que ce n’était pas un canular et que la jeune femme n’était pas seulement évanouie… mais bien en train de mourir.
Le groupe de voleur était reparti en hélicoptère, dans la nuit noire et glaciale. Devant eux, à plusieurs mètres plus haut, la silhouette menaçante de Clockwerk se détachait du ciel nocturne. D’ailleurs le hibou s’aperçu rapidement qu’il était suivi. Il envoya un ou deux missiles sur l’engin volant, histoire d’éliminer l’adversaire, mais l’hélicoptère les évita in extremis. L’oiseau, froissé, tira encore quelques projectiles, que l’appareil prit de plein fouet.
« Je pourrais pas esquiver ses tirs longtemps, déclara Sly, l’un de vous doit riposter avec la tourelle.
-Bon, je vais essayer, mais la tourelle ne sera pas assez puissante pour détruire totalement Clockwerk, annonça Carmen après avoir examiné le hibou. Faudra qu’on trouve une autre solution pour ça.
-D’accord, mais fait cesser cette salve ! L’hélico n’apprécie pas et il ne tiendra pas très longtemps. »
La renarde acquiesça d’un hochement de tête. Elle visa, appuya sur la gâchette et les tirs partirent instantanément, éliminant les lances missiles de Clockwerk qui ulula, mécontent.
« Bravo, j’vais faire en sorte qu’on s’approche un peu. »
L’hélicoptère monta encore un peu plus haut. A présent les voleurs et le hibou se retrouvaient maintenant à quelques milliers de mètres d’altitude. Ce qui donnait un peu le vertige à Carmen. L’appareil était maintenant très près de l’oiseau robotique. Mais sans crier gare, ce dernier envoya un dernier projectile, sorti de nulle part, qui percuta de plein fouet l’engin volant. L’hélicoptère commença à prendre feu, forçant les voleurs à sauter sur le dos de Clockwerk. Raspoutine avait aperçut la scène et il s’adressa au groupe avec une voix métallique. Comme si c’était son hibou qui parlait.
« Inutile de continuer Cooper. Vous ne m’aurez pas.
-Arrête Raspoutine. C’est la dernière fois que tu t’en prends à ma famille, déclara le raton-laveur qui n’avait plus vraiment envie de rire.
-Tu as raison sur ce point là Cooper. C’est la dernière fois que je m’en prends à ta famille. »
Sly ne voyait pas le loup, mais il se l’imaginait en train de sourire. Pour lui ce message était très clair. Et au moment où il en avait compris la signification, il était en train de sortir son pistolet paralysant et courrait vers ses trois enfants tandis que le hibou tournait la tête et s’apprêtait à assener le coup fatal au groupe. Le bec de Clockwerk reçu le tir de Sly, le raton-laveur se prit le coup de bec. A présent le hibou ne pouvait plus du tout attaquer, ce qui forcerait Raspoutine à se défendre seul. Mais Sly était à présent inconscient, le corps en sang et en pleine chute libre.
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Voilà, JDN l'avait prédit.
Je suis obligé de laisser un commentaire?
Bon, puisqu'il le faut:
C'est bien, même si je trouve que le combat arrive peut-etre un peu trop vite (ce que je veux dire, c'est qu'ils trouvent tout de suite Clockwerk) et pauvre Sly
Voila, j'imagine que le suite viendra après Noel?
Je ne sais pas, ça dépend si je suis motivée ou pas.
Et non justement entre le moment où Ben quitte l'hosto et où on retrouve le groupe dans l'hélico juste derrière Clockwerk on peut s'imaginer qu'il se passe un petit moment.
Mais j'aurais du mettre "Peu après", ou "Quelques minutes plus tard"...