je regrette de tavoire dis de prendre une pose au début c super jadore ta fic! vrm pour etre fran jai détester toute les fic du forum... mais la tienne est tout simplement génial!!!!! continu comme sa jattend la suite avec impatience!
et zelos_power ici c´est la confrérie noire pas la guilde des voleur reprers. Cette fic represente parfaitement l´(esprit de la confrerie noire.
gloire a sithis mes freres.
Interlude.
Après avoir fais le compte de mon or, deux milles septims, je posai mon habit de la confrérie dans une armoire, et me préparai à prendre une journée de repos.
Vincente semblait très content du résultat du contrat dont Antonetta et moi nous étions occupés.
- Cher frère et chère soeur, je tiens à vous féliciter tout particulièrement pour la manière dont vous vous êtes occupés de ce travail. Malgré l´investigation poussée du courrier du cheval noir, notre existence n´est mentionnée nulle part, elle est même niée! Mais je vous laisse découvrir l´article par vous même.
Vincente nous donna une page du courrier du cheval noir, la troisième. Je le pris, et Antonetta lu au dessus de mon épaule en montant sur un tabouret, le titre était : "Suicide d´une mère de famille accablée."
"(...) et il a été prouvé à la suite de notre enquête, que, madame K. Minburg, dont le suicide avant son discours au tribunal a fait scandale, avait de graves ennuis familiaux, son mari la trompait avec une femme, son fils était dépandant de Skouma, et sa fille profanait des tombes. Lors de la fouille de la maison, nous avons découvert une grande quantité d´alcools forts. Jensine, tenant un magasin d´art témoigne:
"Madame Minburg était folle, lunatique et maniaque! Elle affirmait que ma marchandise était de mauvaise qualité depuis quelques jours, je me doutais bien qu´elle devait avoir des problèmes de famille, mais pas a ce point(...)"
" Pour conclure, chers lecteurs, je dirais qu´en des temps de conflits et de depression, il faut vous trouver un ami fidèle pour vous conseiller et vous aider à traverser les périodes difficiles, ce genre d´ami qui avait fait défaut à madame K. Minburg."
La fin de l´article me fit sourire, mais Antonetta n´était pas satisfaite.
- Eh bien? Non seulement nous n´avons que la troisième page, mais en plus il n´y a rien qui ne parle de nous! Je suis décue, très décue mon très cher ami!
Le vampire s´amusa quelques secondes de sa plaisanterie, et nous tendis la deuxième page du journal, bien plus prometteuse.
Le titre était: "Un capitaine de la garde contre la confrérie de son imagination"
"Le capitaine Adamus Philida est tombé de haut hier, en effet, la femme qu´il avait payée pour inventer l´existance d´une secte meurtrière devant des tribunaux s´étant avérée depressive et alcoolique (voir page 3), ainsi c´est L´INEXISTANCE de cette secte qui à été prouvée au grand jour! Tel Hironimus Lex croyant au renard gris, Adamus Philida semble aussi vouloir croire aux fantômes. Le chancelier Ocato s´exprime:"
"Je suis outré et choqué de s´abaisser à de tels procédés, bien qu´il refuse de parler à ce sujet, il me semble évident que le capitaine Philida a promis à cette pauvre femme de l´or en échange d´un tissu de mensonges, Adamus Philida sera suspendu de ses fonctions aussi tôt que possible (...)"
" (...)Et souvenez vous les enfants, si vous n´êtes pas sages, un méchant assassin viendra vous manger!"
" Publicité: Pour passer un bon moment, rendez vous à la première édition, et achetez le recueil d´histoires "Philida et l´assassin paralytique", idéal pour rire en famille!"
Antonetta avait rit tout le long, il fallait dire que cet article était tout bonnement fantastique.
- C´est génial! Incroyable!
- En effet, nous sommes devenus des motifs de dérision à présent, notre anonymat et garanti, pour un très long moment, encore félicitations.
Antonetta accrocha l´article sur le mur, et me demanda ce que je comptais faire à présent, je répondis que je voulais aller à la cité impériale pour prendre quelques jours de vacances, peut etre.
-Ah? Bon eh bien moi je vais rester ici pour m´entrainer un peu, c´était un plaisir de travailler avec vous mon frère chéri, à très bientot.
A peine arrivé à la cité impériale le matin, je me rendi dans la même auberge qu´auparavant pour prendre un petit déjeuner, le nouveau patron était plus jeune et avais meilleure mine, comme j´étais son premier client, il me fit un prix, et engagea la conversation.
- Vous... connaissiez l´ancien propriétaire de cet endroit?
Je répondis que j´avais deja mangé ici, et qu´il avait été arreté pour trafic de Skouma. Le patron eu l´air énervé.
- Je le savais... C´était mon père... si jamais je trouve le chien qui a vendu la mèche, je le tue de mes mains!
Après lui avoir souhaité bon courage, j´eu envie d´aller rendre visite aux éditeur de mon journal favori, le courrier du cheval noir.
La porte s´ouvrit en faisant un petit bruit de sonnette, et un khajit vint vers moi en souriant.
- Cher monsieur, bonjour! Bienvenue au courrier du cheval noir, que puis je pour vous?
Je le félicitai d´abord pour la qualité du journal, et de la fiabilité des articles.
- Vous m´en voyez ravi, monsieur, les amateurs de bons journeaux se font rares, vous savez, certaines personnes considèrent même notre revue comme un sac à ragots sans intêret... comme la gazette impériale, ils nous volent tous nos clients et donnent de très mauvais sur nous, regardez donc!
Il me tendis une gazette impériale, dont la couverture disait:
"Le courrier du cheval noir, un sac de stupidité faisant honte à notre belle cité, voir page une."
"Adamus Philida a raison, voir page deux"
Je lui rendai le journal, impressioné de sa taille et de contenu.
- Mais, monsieur, c´est bien simple, il a de TOUT dan ce journal, nous ne sommes que des amateurs, je ne sais pas si nous ferons le poids bien longtemps, face à un homme comme Oxfeld, le directeur du journal.
Je lui souhaitais bon courage, et après avoir insisté que son journal était bien plus interessant et était le meilleur pour la classe moyenne, je commencai a aller vers la "première édition", une des boutiques de livres les plus complètes de Cyrodiil.
- Bonjour monsieur, installez vous ou vous voulez, nos tables de lectures sont à votre disposition.
Je m´assis en prenant quelques livres sur les rayons.
"Les vampires, tout sur leur vie"
"Le corps humains, plein de faiblesses"
"Philida et l´assassin paralytique"
Le livre sur les vampires m´en apprit un peu plus sur les stades de vampirismes.
Le niveau faible était le plus courrant, et survenait après trois jours d´Hémophilie, un vampire aurait plus de force, et pouvait repérer le sang a plusieurs centaines de mètres.
Le niveau moyen, dont Azazer avait été un modèle étaient encore plus forts et voyaient le sang encore plus loin, il pouvaient se changer en plusieurs chauves souris et leur capacités de regénéraion était terrible. Cela dit, leur vulnérabilité au soleil était plus importante.
Je fis l´impasse sur le niveau supérieur et très élevés qui ne m´interessaient guère, mais je pus deviner que Vincente était de niveau supérieur.
Les nosfératus sont des monstres millénaires immortels et invincibles, pouvant voler, détecter la vie a des kilomètres, étant parfaitement invisibles, mais possédant une apparence hideuse et devant manger des être humains au lieu de simplement boire de leur sang.
J´eus quelques regrets en lisant "invincibles et immortels", mais ce qui était fait était fait.
Le livre sur le corps humain me donna diverses bonnes idées pour accomplir des contrats avec panache, il me faudrait juste une lame capable de geler le sang et...
- Quelque chose vous plait, monsieur? Ou puis je les reprendre?
Je rendai les deux premiers livres au patron et attaquai celui parodiant notre confrérie et philida. Il y avait quelques moments sacrément amusant, Adamus Philida était le héros et poursuivant un assassin dans une chaise roulante, et paralysé. Le pire était qu´Adamus perdait toujours.
Dans un moment fort du livre, la chaise roulante glisse dans une pente, et renverse un enfant, Philida se met à rire, et crie que c´était la preuve que cet homme paralysé était un assassin, à ce moment la, une trentaine de gardes surgissaient et le "tabassaient" pendant dix pages. Memorable.
J´achetai le livre, en me promenant dans les rues, j´entendais des mères dire à leur enfants de rentrer, sans quoi Adamus Philida viendrait les gronder. Ils obéissaient tout de suite.
Cela dit, tous les lecteurs de la gazette impériale parlaient de nous comme si nous existions.
En rentrant, je vis le patron du courrier du cheval noir assis sur les marches de ses burreaux, en train de réfléchir en regardant le ciel. je m´assis à coté de lui et demandai ce qui n´allait pas.
- Les affaires ne marchent plus assez bien, vous... vous savez, Oxfeld veut racheter ma revue pour m´éliminer du marché, si il reste mon adversaire, je serais forcément perdant... que dois je faire? je ne veux pas vendre et lui permettre de faire dire à mon journal des stupidités telles que "Adamus Philida avait raison"! Je suis dans un mur, un mur...
Je lui mis la main sur l´épaule et lui dis que tout allait s´arranger.
- Je veux que vous mettiez en première page: "LE CHEVAL NOIR, VOUE A ETRE EXTERMINE", allez! depechez vous! Je ne veux plus avoir la moindre concurrance! Bande de fénéants! Plus vite!
Les employés de la vaste imprimerie de la gazette semblaient si débordés, qu´ils ne firent pas attention à ce drôle de nouveau venu, qui devait avoir été fraîchement engagé.
- Allez bande de feignasse! Qu´est ce que c´est que... Quel travail de cochon!
Oxfeld se pencha au dessus des presses d´imprimerie, et manifesta sa colère!
- CE PAPIER EST ABJECT! RECOMMENCEZ TOUT! PLUS VITE QUE CA!
Tous les travailleurs grognèrent, et quittèrent la salle.
Visiblement très content de son autorisé, le patron avala une gorgée de vin de Tamika et s´appuya contre la barrière de la presse à papier.
- *gloup*... Eh, qu´est ce que vous faites la vous! Au travail, mais qu´est ce... Lachez ma tête, ne... pitié! Ne faites pas c...
La presse en métal grinca, puis écrasa enfin la masse qui était en dessous comme on aurait cassé un oeuf avec une cueiller.
Le patron du cheval gris avait raison, il y a vraiment de TOUT, dans la gazette impériale.
En repassant vers la place du marché, le khajit courra vers moi en riant.
- C´est un miracle! Vous n´avez pas entendu la nouvelle? Un accident stupide, sous l´effet du vin, Oxfeld est tombé dans une imprimeuse de la gezette! Je devrais être triste... Mais je ne le suis pas, mes affaires reprennent! La gazette est hors concours! Prenez deja cet exemplaire fraichement imprimé.
"Oxfeld Frederique, le patron ivre de la gazette impériale, est décédé en tombant dans une presse hydrolique à papier, bien du courage a messieurs de la gazette pour réparer et nettoyer leur machines"
Il éclata de rire, mais je lui dis que cela choquerait le public, il réfléchit, puis finit par ajouter que j´avais raison.
- Au fait, mon ami, quel est votre... nom?
Le mystérieux dunmer n´était deja plus la.
Le patron sembla perdu dans ses pensées, puis haussa les épaules et retourna à l´intérieur de sa rédaction.
- Ah! Mais c´est vous mon frère chéri! Je ne comprends pas, vous êtes parti ce matin!
Chassez le naturel, il revient au grand galop.
wow
ok, je vais commencer par te dire que ta fic est énorme, fantastique et hallucinante, mais je vais essayer de donner des détails du pourquoi
deja, je dirais que tu rends vraiment superbement bien l´ambiance de la guilde des assassins, tout en rajoutant des choses brillantes qui n´étaient pas la dans le jeu: les briefings, les discussions avec les équipiers, les objets...
A propos d´équipiers, je trouve qu´a partir du peu d´informations données dans le jeu, tu as réussi à créer des personnages très charismatiques, tous avec leur propres caractère et leur style unique! Surexcitée et sadique, gros et comique, discrète et inteligente, miélleux et amical... j´aime particulièrement Antonetta d´ailleurs XD
le personnage principal est juste, monumental (mais ce ne sera pas l´avis de tout le monde) pour les simple raisons qu´on ne sait strictement rien de lui, tu distilles des informations discrètement et les remarque à peine, meme si on imagine un dunmer de la vingtaine ou moins, avec de longs cheuveux blancs et lisses, plutot beau gosse.
la facon de tu le fais est terrible aussi, ouais, bon, tu ne le fais PAS, parler, en fait, ca le rend transparant et donne plus d´importance aux personnages qu´il tue, et ca, c´est colossal XD en plus, il a trop le style et est complètement taré et sadique.
j´adore l´idée du journal qui raconte les évènements passés, au fait.
tes contrats sont tous variés et pleins de surprises, la manière dont il s´occupe de ses victimes et toujours surprenante et inventive, parfois un peu violentes, mais trop bien mis en scène pour que ce soit vraiment trop choquant, que du bon, quoi XD j´ai halluciné pour le coup du nosfératu, je le voyais vraiment pas venir, le combat contre le voleur est très stylisé, aussi.
voila, c´était juste un bref (long) message pour te féliciter, longue vie a sithis et continue à faire des contrats aussi excellents pour exciter l´assassin au fond de nous, hé hé..
ah, ouais, je dirais que le seul défaut de ta fic est qu´elle fait de l´ombre aux autres XD
Merci pour ton message, Destiny
Je suis content de voir que ma facon de présenter le personnage principal plait à quelqu´un, car ce n´est pas toujours facile de le faire parler sans qu´il ne parle (lol)
Pour ce qui est des équipiers, ils m´avaient beaucoup marqués dans le jeu, mais n´étaient pas assez mis en valeur, je me base sur les sensations que j´ai ressenti en les "frequentant" pour leur donner un caractère.
Tu me redonnes la motivation, tiens, le temps de trouver une idée, et je m´y remets.
la suite la suite tiens une question un moment je n´ai pas compris la dumner qui a héberger l´assassin elle est morte?car c´est dommage je l´imagié super canon
Je manquais de contrats ces jours ci, mon retour prématuré ayant un peu ennuyé Vincente, qui ne l´avait apperement pas prévu.
Quand je leur avais raconté ma petite mésaventure avec la gazette impériale, il me dirent que j´avais eu tout à fait raison.
Le livre que j´avais ramené racontant les tribulations humoristiques d´Adamus Philida contre un assassin handicapé avait beaucoup fait rire Gro-Bolmog, qui était d´ailleurs le seul assassin restant au sanctuaire, avec moi et Vincente.
Il s´était assis à coté de moi à table et riait en bruillament en me tapant l´épaule à chaque fois qu´un passage l´amusait.
- HA HA HA!
Zut, j´ai appuyé sur enter...
Oui, c´est ce que j´avais sous entendu, très belle jeune, et gentille.
Mais le héros l´a mise dans un tel état avec ce couteau de boucher, qu´on suppose que son visage n´était qu´un tas de chair méconaissable.
Une autre question? ^^
t´es aussi sadique dans la réalité
Je manquais de contrats ces jours ci, mon retour prématuré ayant un peu ennuyé Vincente, qui ne l´avait apperement pas prévu.
Quand je leur avais raconté ma petite mésaventure avec la gazette impériale, il me dirent que j´avais eu tout à fait raison.
Le livre que j´avais ramené racontant les tribulations humoristiques d´Adamus Philida contre un assassin handicapé avait beaucoup fait rire Gro-Bolmog, qui était d´ailleurs le seul assassin restant au sanctuaire, avec moi et Vincente, l´orque ayant un bras cassé, une erreur stupide lors d´une mission, m´avait il raconté. Sa victime s´était defendue alors qu´il cherchait une phrase d´ambiance parfaite.
Il s´était assis à coté de moi à table et riait en bruillament en me tapant l´épaule à chaque fois qu´un passage l´amusait.
- HA HA HA! L´auteur est brillant! Tout simplement incroyable! Vous avez lu le ... hé hé... passage ou Philidas se... ha ha... fait... fait rouler dessus par l´assasin la la chaise roulante! HA HA HA! c´est désopilant!
Il ne devait pas réaliser que j´étais très mince, et qu´il était gros et fort, car il commencait sérieusement à me faire mal à l´épaule.
- Ha ha ha! Et... et alors il se recoit un piano sur la tête! HA HA HA HA! Pauvre Philida! Ah! Frère Valerei, ecoutez moi cette blague, vous...
- J´ai un travail, important, à vous confier.
Gro-Bolmog arreta de rire, et posa le livre, car Vincente avait l´air parfaitement sérieux, loin de son sourire et son air mielleux habituel.
- Mon frère, avez vous deja entendu de notre agent appelé Morgaroth?
J´en avais deja entendu parler, oui, s´était le silencieux de l´annonceur Lucien Lachance, un impérial, il le servait depuis une dizaine d´années, mais il avait disparu du jour au lendemain, depuis plusieurs semaines. je m´entendais relativement bien avec lui, aussi bien qu´avec Antonetta, par exemple.
- Parfait, eh bien nous l´avons retrouvé, il se trouve dans la prison impériale, en train de se faire torturer par des experts dans le but de le faire parler au sujet de la main noire, ce qui est absolument dramatique.
- oh, allons mon frère, Morgoroth est un tenance, un vrai dur, il pourraient lui arracher les jambes, qu´il ne dirait rien.
- Je n´en suis pas si sur, mon ami, cela fait tout de même deux semaines qu´ils le gardent en vie en le faisant souffrir à chaque fois de plus belle, et en le gavant de poisons, mes sources affirment que dans ses délires, il aurait dit "un fantôme noir". Ce n´est pas encore grand chose, mais il devient dangereux.
- Ne me regardez pas, mon frère, je suis un blessé de guerre.
Je compris que Vincente voulait que je vienne avec lui pour l´aider à libérer mon ami Morgoroth.
- Non, non, mon ami, vous ne m´avez pas suivi, notre but est d´eliminer Morgoroth tout en faisant croire que c´est ses gardiens de prisons qui l´ont fait mourir lors d´une sceance de torture.
Vincente me regarda quelques instants, puis parla avec un large sourire.
- Dois je comprendre que vous ne voulez pas vous en prendre à un de vos frères?
Je souris. Cette fois, c´était Vincente qui ne m´avait pas suivi.
Contrat 10: Retrouvailles avec Sithis
- Oh, navré, mon ami, j´avais cru comprendre que vous vous entendiez bien avec Morgoroth.
Je lui répondis que je ne voyais pas ca changais qu´il soit mon ami ou mon géniteur, ce qui amusa Valerai.
- Merveilleux, mon ami, merveilleux... Laissez moi vous donner quelques détails... Comme vous le savez, la prison impériale est réputé pour son aspect impénétrable, il y a un mince endroit dans lequel nous pouvons entrer, depuis les egouts, mais le chemin vers les cellules sont très bien gardées, et il est hors de question de tuer qui que ce soit, et vous ne devez en aucun cas vous faire voir. Oh, et dans une aile séparée de la prison se trouve un dumner nommé Valen Dreth, si vous pouviez vous occuper de lui, même si vous n´en êtes pas obligé, cela ferait d´une pierre deux coups, Morgoroth ayant échoué en essayant de s´en occuper. Oh, et un dernier détail, je vous accompagnerais lors de cette mission, mon ami, cela faisait longtemps que je n´avais pas chassé, et mes réserves se vident rapidement.
J´avais bien entendu, un vampire de niveau supérieur se joindrait à moi. Cette mission d´infiltration serait une partie de plaisir.
Un liquide noir sorti du sol et entoura le corps du vampire, le meme liquide se solidifia et devint l´armure de la confrérie, mais avec une longue cape noire.
- La nuit sera sanguine, mon frère.
Après un voyage assez rapide, nous arrivâmes devant l´entrée des egouts.
Nous eûmes la mauvaise surprise de voir une quantité trop importante de gardes à l´intérieur.
- Les troupes sont en place?
- Oui, capitaine, pas un agent de l´aube mythique n´entrera ici.
- Si vous voulez mon avis, l´empereur devient sénile.
Je ne comprenais pas ce qu´ils disaient, mais impossible de passer par la.
Je demandai a Vincente de que nous allions faire, il réfléchit, puis me répondit que quand la difficulté était trop importante, il fallait choisir la facilité. Je ne saisis pas tout de suite le sens de ses paroles.
Deux personnages pénétrèrent dans la prison impériale par l´entrée principale, ils étaient tous les deux habillés en noir, l´un deux était un dunmer normal, mais le second créait un fort malaise.
Les deux hommes s´approchèrent du guichet principal derrière lequel un petit gros lisait des documents. Les cinq gardes dans la pièces ne quittaient pas les inconnus des yeux.
Le petit homme grassouillait fini de ranger ses documents, s´essuya le visage avec un mouchoir, puis regarda les deux hommes.
- Messieurs, que désirez vous? Voir une personne précise en prison?
Je ne m´attendais pas du tout à ce genre d´accueil, si nous pouvions rendre visite à Morgoroth, ce serait plus simple.
- Nous vous voir Morgoroth Alhon.
L´employé remonta ses lunette et jeta des coups d´oeils paniqués aux gardes, qui se rapprochèrent et se mirent derrière nous.
- Nous n´avons personne de ce nom dans notre prison, veuillez partir.
- Bon, eh bien tant pis, je voudrais quelque chose d´autre alors.
L´employé eu l´air rassuré et recommenca à parler.
- Bien sur, monsieur, que désirez vous?
- Les vampires de la caverne de coeurnoir veulent votre sang.
- GARDES!
Tandis que je me rendais invisible, Vincente se jeta au cou de l´employé, et en arracha un pan entier de chair, qu´il avala, quand il vit que les gardes s´appretaient à le frapper, il se changa en un nuage et vapeur, et toutes les lames passèrent au travers, puis il réaparu, et déchira le visage d´un des soldats d´un coup de griffes, profitant de son élan, son bras s´alongea, et il transpersa le corps d´un autre garde avec, avant de le ramener à la longueur de son corps.
J´étais très impressioné par la force de Vincente, c´était la première fois que je le voyais à l´oeuvre. Il n´avait pas usurpé son titre de chef du sanctuaire.
Les trois gardes foncèrent sur le monstre, qui sorti et lanca d´une main six couteaux, qui touchèrent tous les points vitaux d´un des malheureux, qui s´écroula, puis la bête se changa en vapeur à nouveau et disparu.
- Il est parti?
- On lui a fait peur, c´est ca peur!
- Pauvres gars, je parlerais à leur familles, je leur dirais que...
Le garde tomba à genoux, et se mit à se tenir le ventre, il hurla tandis qu´une nuée de chauve souris sortait de l´intérieur de son corps, l´homme s´écroula et Vincente Valerai réaparu comme si rien ne s´était passé devant le gichet.
- Il me semble avoir demandé du sang à votre collègue, cher ami, pourriez vous aller chercher des renforts?
Le garde regarda partout autour de lui, et courra vers la porte des dongeons, sans remarquer qu´une forme invisible le suivait.
Il était probable que les vampires de la caverne de coeurnoir aient de sacrés ennuis, après cette petite fête sanglante.
- Les gars, venez! Y´a un foutu vampire! Prenez de l´ail, des croix, des pieux, venez tous!
- Par les neufs!
La dizaine de gardes présents dans la salle de repos se leva, se prépara et courra en direction de ce qui allait devenir un champ de bataille, en oubliant le dumner qui accompagnait le monstre.
Je pu redevenir visible, souffler quelques instants et prendre une carte. les bruits de combats venant du hall de la prison étaient comme une douce mélodie, mais je du me mettre en route vers les cellules.
- Tous ensemble, il y a un vampire qui massacre les notres!
- Si on apelle la garde impériale, on perdra notre travail!
- Du calme, nous sommes la, montrez nous ou est ce vampire.
Caché au plafond, je pu observer les patrouilles de gardes de la prison courir vers le hall, mais cette fois ci, c´étaient des chasseurs de vampire, des vampires slayers, dans le jargon. Eux, malgré la force de Vincente, représentaient une sérieuse menace, avec leur eau bénite et les sacrées. Je devrais faire vite.
Une fois la patrouille passée, j´arrivai à une sorte de croisement. Je devrais passer devant la cellule de Valen Dreth pour accéder à l´aile cachée ou était détenu Morgoroth. D´une pierre, deux coups, comme avait dit Valerai.
- HA HA HA, OUAIS MES PETITS IMPERIAUX, CE VAMPIRE EST UN AMI A MOI, IL VA TOUS VOUS TUER, TOUS! JE SERAIS LIBRE ET CELEBRE!
Le dunmer parlait dans le vide, aucun garde n´étant présent, lorsque je passai devant sa cellule, il s´appuya au barreaux et chuchota.
- Eh, psss, vous êtes la pour me libérer? Oh, comme je vous aime! Au fait, je suis Valen Dreth, bientot tout Cyrodiil retiendra mon nom... Qu´est ce que vous faites avec ce...
Je saisi sa tête et la tira hors des barreaux, je m´appretais à la lui couper en accusant l´autre prisonnier, que je ferais se suicider.
ledit prisonnier était accroupi au fond de sa cellule, il était dans l´ombre et il m´était impossible de voir a quelle race il appartenait.
Je sentai son regard me pénétrer, comme si il lisait en moi.
A ce moment la, j´eus une étrange sensation, indescriptible, j´eus le sentiment que ces deux hommes avaient encore un rôle à jouer, et que je n´avais pas à en faire partie.
J´entendai les gardes arriver, ce qui stopa ma reflexion intense, je jetai un dernier coup d´oeil à la forme accroupie dans l´ombre, et plongeai dans les canalisations sous mes pieds.
- Eh, gardes! Ma tête est encore bloquée dans les barreaux, eh, vous m´entendez!
- Il n´y a personne ici, allons nous occuper du vampire, il est seul!
Je du ramper quelques minutes dans les canilisations puantes.
A y réfléchir, je ne savais meme pas ce qui m´avait empeché de tuer cet homme et l´autre prisonnier, j´avais juste senti que je ne devais pas, ce n´était meme pas de la pitié, c´était... une vision, peut etre, voir même Sithis, tout cela m´échappait un peu, mais n´avais pas d´importance. Tôt ou tard, même si ce n´était pas par moi, Valen Dreth mourrait.
- Qui... qui es la?
La grille se cassa, et je tombai doucement a coté de Morgoroth, il avait été cruxiéfé, son corps était couvert de coupures, de bleus, et de blessures diverses, certaines assez repugnantes, meme pour moi.
Les gardes de la prison savaient certainement comment s´amuser.
- Vous, c´est la main noire qui vous envoie? Merci Sithis, merci, je suis si content de vous voir, mon ami! Je n´ai rien dis, du tout, sauf un bref délire, j´ai gardé tous mes secrets, je donnerais ma vie pour Sithis!
Je regardai dans la pièce, elle était vide, et la porte avait l´air d´être vérouillée de l´extérieur.
- Ne vous en faîtes pas pour ca, mon ami, ils sont occupés par un vampire... frère Vincente je suppose? Excellent travail, vraiment!
J´inspectai les outils de travail des gardes, pinces, fer rouge, lames, fouets... ils avaient plus de matériel que le sanctuaire.
- Bon, mon ami, libérez moi, et allons prendre un verre a Cheydihnal, comme avant ma capture!
Je me retournai, j´avais en main une lame chauffée à blanc et des clous.
- Quoi? Mais... J´ai toujours servi Sithis, ce... C´est Lucien lachance qui vous envoie? Mais... mon ami! J´ai donné dix ans de ma vie à...
Son "A" devint beaucoup plus fort et violent lorsque la lame chauffée à blanc entra en action. Il avait dit qu´il donnerait sa vie pour Sithis? j´allais l´y aider, une belle preuve d´amitié.
Il fallait que ca aie eu l´air d´une longue scéance de torture avant sa mort, je lui mis un baillon et me préparai à me surpasser.
Lorsque je revins vers le hall, je pus voir une quanrataine de corps ensanglantés, et au centre, Vincente a genoux devant deux vampires Slayers. J´aurais aimé assister a ce massacre, cela dit.
les deux Slayers tenaient une croix dans une main et de l´ail dans de l´autre, cela semblait immobiliser Valerai.
- Créature infecte, tu as détruis toute la garde de la prison, mais tu ne pourras pas nous tuer nous, vermine de vampire! tes frères de coeur noir de suivront bientot, un des gardes est allé chercher une armée entière à la garde impériale pour raser ton territoire!
- Non, effectivement, je ne peux pas vous tuer, il est impossible de tuer les morts.
- Quoi?
La tête du premier slayer s´enfonca dans le mur, détruisant la fois le crâne et le mur, paniqué, le second jeta ses artefacts et dégaina son épée vers moi, mais des crocs s´étaient deja refermés sur son cou.
Mon frère suca pendant quelques secondes, puis soupira, l´air repus. Ses yeux a la teinte oranges étaient complètement rouges à présent.
- Merveilleux, je suis complètement repu, avez vous neutralisé Morgorth en simulant la mort sous la torture?
J´approuvai, et ajoutai que j´enverrai dans la soirée un message au courrier du cheval noir disant d´enqueter sur la pratique de la torture à la cité impériale.
- Vous avez raison mon frère, la loi devrait bannir une pratique aussi barbare.
Lors de notre retour en sanctuaire, j´eu la surprise de voir qu´Antonetta était de retour, elle vint me demander de lui raconter mon contrat, ce que je fis sans me priver, tout en écrivant la lettre au cheval noir, que Taleandril envoya pour moi.
- Dites moi, mon frère adoré si j´étais capturée, vous me tueriez, ou pas?
je répondis sans hésiter que oui, ce qui la fit rire.
- Tant mieux, tant mieux mon frère chéri! Si vous avez dis non, je me serais sentie particulièrement cruelle!
Ce que j´apprecie avec mon frères, c´est que nous sommes toujours sur la même longueur d´ondes.
superbe, la facon dont tu introduis le personnage principal d´oblivion. c´est bien vu de ta part de ne pas avoir dit de race ou quoi que ce soi, on peut facilement imaginer son personnage comme ca (mystic elf ftw)
valen dreth est bien réalisé aussi, et le combat de vincente est démentiel, et très stylisé.
encore un très bon contrat, vivement le suivant!
Je fais une pause, la suite a plus tard.
Merci encore pour tes remarques pertinentes, Destiny, si tu les appuies aussi bien, n´hésites pas à faire des remarques négatives.
la
suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
- "(...) et après le massacre ayant eu lieu à la prison impériale, une troupe de soldats impériaux ont traqué et tué tous les vampires qui résidaient à la grotte de coeurnoir, sans exceptions, grâce à l´armée impériale, nous pouvons dormir a poings fermés".
Teineeva tourna la page, et reprit sa narration.
- "Après une investigation, il a été prouvé que des actes de tortures étaient exercés à la prison impériale, tortures sauvages et primaires qui ont coutées la vie à un innocent qui n´avait jamais rien avoué.
Le mot innoncent était souligné, en gras, et encadré.
- "Le chancelier Ocata affirme qu´il n´en savait rien, et qu´il prendrais des mesures nécéssaires pour éradiquer cette pratique barbare de la face de Cyrodiil, le courrier du cheval noir le soutient dans cette lutte."
Teineeva ferma le courrier du cheval noir, et me félicita pour mon bon travail, je lui répondai que le mérite revenait surtout a Vincente.
Cette fois ci, Antonetta, Teineeva et moi étions les seuls à être restés au sanctuaire, Gro-Bolmog avait récupéré et s´était remis en chasse. Ma soeur préférée était en train de faire une sieste.
- Une partie de cartes, peut etre?
J´acceptai, de toutes facons, nous n´avions rien à faire pour le moment.
Au moment ou il distribuait, Vincente arriva, je cru qu´il voulait jouer avec nous, mais ce n´était pas mon genre.
Je lui demandai s´il n´avait pas un contrat d´assassinat simple à me proposer, et Teineeva en fit de même.
- Je n´ai aucun contrats de meurtre, et aucuns contrats tout court, nous sommes sans travail en ce moment, mes frères.
Après quelques petites parties, Teineeva poussa un gros soupir, se changea et alla se promener, me laissant seul dans le sanctuaire.
Après quelques minutes durant lesquelles j´essayai de faire la sieste, je décidai d´aller faire quelques achats à la cité impériale.
En passant par la salle principale, je vis Vincente en train de lire un parchemin en faisant les cent pas en marmonnant.
Je lui demandai ce qui se passait.
- Ah, mon ami, j´ai la un contrat qui...
Je l´interompai en lui disant que j´acceptai, après m´être souvenu qu´il était théoriquement mon supérieur, je m´excusai et lui dis de reprendre.
- Merci, mon frère... donc ce contrat est très étrange, je l´ai recu de ce qui semble être la main noire, mais le parchemin ne contient ni le sceau, ni le cachet de l´écoutant Ungolim, je ne suis pas contre que vous en occupiez, mais il y aura probablement une part d´aléatoire, cela vous interesserait quand meme?
N´importe quoi pour un peu d´activité.
Contrat 11: Changement de rôle
- Bien, bien... Ce contrat est très simple, il faudrait tuer un ancien criminel, qui s´appelait le baron rouge, il vit dans une petite maison dans les bois de Skingrad. Ce contrat ne comporte aucun autre information pouvant vous aider, et je doute que soeur Antonetta aie autant de mémoire au sujet des gens que soeur Ocheeva, vous êtes livré à vous même.
Je ne pris pas la peine de réveiller Antonetta suivant les conseils de vincente, et pris la route en direction des bois nord de Skingrad, inutile de prendre de l´équipement pour un travail si simple, ma lame de malheur, mon arc, quelques flèches, et, par acquis de conscience, un flèmme d´impact de flamme que je cachai dans une doublure de mon pantalon, ou cas ou les choses tourneraient mal.
Il faisait nuit lorsque j´arrivai à la maison du Baron Ronge, Philibert, d´après ce qui était marqué sur sa porte.
La serrure de la porte craqua sans aucun problème, et je la refermai rapidement.
La maison était plongée dans le noir, mais un feu de cheminée illuminait le salon et emmenait une douce chaleur.
Le baron rouge était assis devant la cheminée, sa tête dépassé du fauteuil duquel il était assis, il ne semblait pas avoir entendu que j´étais entrain, et paraissait regarder les flammes en rêvant.
J´étais juste derrière le feuteuil, il paraissait si hypnotisé par les flammes qu´il ne faisait pas attention au reste de la maison.
Je restai quelques secondes à la chaleur et au calme du feu, avant de m´avancer juste devant lui. C´était si facile, j´espérais qu´il me supplie un peu en pleurnichant.
Et la, j´eus un choc.
Sa gorge avait été tranchée, et Philibert était deja mort depuis un moment, c´était un piège, facile et grossier, et j´étais tombé dedans complètement.
- VOUS, A L´INTERIEUR DE LA MAISON! RENDEZ VOUS ET TOUT SE PASSERA BIEN!
Des gardes de Skingrad, en quantité, ils avaient un corps, et un jeune homme portant l´arme du crime sur lui. J´étais vraiment dans de beaux draps, mais il ne m´auraient pas si facilement.
- ATTENTION, NOUS ENTRONS!
La porte explosa, et j´eu a peine le temps de me dissumuler.
Des gardes, une vingtaine, tous en armures lourdes et équipés de lames longues et de bouclier, l´équipement idéal pour tuer un useur de couteaux comme moi.
Ces hommes avaient été prévenus, ils savaient que je serais ici, avec ce corps, j´enqueterais sur ca si je survivais.
- Ou il es passé?
- Aucune importance, fouillez la maison, et retrouvez le.
Les gardes se mirent à patrouiller dans la maison, inspectant les étages.
La moitié des hommes étaient restés dehors, il fallait que j´atteigne une fenêtre au second étage, et que j´y saute pour espérer avoir une longueur d´avance sur eux.
Silencieusement, je sortai mon arc, et visai le soldat le plus proche de moi, à l´endroit de son casque ou se trouvait le trou lui permettant de respirer de parler.
La flècha fenda l´air et transpersa le visage du guerrier, qui s´écroula en criant, ce qui alerta un de ses camarades, il fallait que je le tue ou il donnerait l´alerte.
Tout en restant tapis et accroupi dans l´ombre de l´entrée, je tirai une seconde flèche, mon ratai mon tir et touchai son armure, il vit mes yeux briller dans l´obscurité et cria.
- IL EST ICI, JE LE TIENS, VENEZ V...
j´avais bondi de ma cachette et lui avait planté une de mes dagues dans la bouche, avant de courir vers l´étage, dans l´escalier, un des soldats tenta de me faire baragai, mais je sautai au dessus de sa tête, retirai son casque pendant le vol et en profitai pour lui tirer dans le crâne. je retombai, et foncai vers la fenêtre au bout du couloir, j´avais ressenti quelque chose de froid au niveau du bas de mes côtes, mais je n´y fis pas attention en sautant par la fenêtre. Ma chute fut douloureuse, mais assez bien ammortie, je voulu courir aussi vite que possible, mais mon corps refusait de bouger.
- On le tient, l´ordure!
je regardai mon flanc droit, une enorme tache rouge recouvrait mon armure. La chose froide que j´avais ressentie était probablement une lame, qui m´avait blessée et vidée de mon sang.
Mon adrenaline ne suffisait plus à me tenir éveillé, je finis par sombrer.
- Réveillez vous.
Je commencais à entendre une voix qui me disais d´une politesse simulée de me réveiller. Je l´ignorai et laissai mes yeux fermés.
- Bourreau, s´il vous plait.
Je sentis de l´eau glaciale sur tout mon corps, cela suffit pour me faire ouvrir les yeux.
- Bien, vous êtes revenus à vous.
je voulu faire un geste pour attraper son cou et le briser, mais j´étais attaché verticalement a une sorte de planche, pieds et mains bloquées par de lourdes chaînes métaliques m´empechant de bouger. Mes mains étaient attachées juste à coté de ma tête, s´était une posture peu confortable. J´étais torse nu, mais ils m´avaient laissé mon pantalon, ils avaient recousu grossièrement ma blessure avec de la ficelle.
L´homme qui m´interogeait était assez mince, et portait une armure noire, il prenait un air poli, mais il était facile de sentir que c´était un sadique. Le bourreau était grand et gros, et portait un masque de... bourreau, rien de plus à dire à ce sujet la.
- Nous sommes sous les ordres d´Adamus Philida, il vous soupsonne d´être un membre de la confrérie noire. Répondez à nos questions, et vous serez libérés, sans que le moindre mal ne vous soit fait.
J´avais du mal à comprendre leur manie de m´expliquer pour qui ils travaillaient, a leur place, j´aurais commencé le travail directement sans prendre la peine de me présenter, et dans le noir complet.
Cela dit, malgré sa retraite avancée, force m´était de constater que Philida était très actif, il faudrait s´occuper de lui à l´occasion.
- Vous n´êtes pas bavard? Bien, un séjour ici vous rendra la parole, mon ami, à demain. Bourreau, faites ce que vous avez à faire, mais qu´il puisse encore parler.
- On va s´amuser, mon joli, on va s´amuser.
L´inquisiteur quitta la petite pièce en pierre salle par une porte en bois, me laissant seul avec le bourreau qui prit un baton et un gant métalique. Il ne fallait pas être devin pour deviner que le traitement allait être de plus intensif de jour en jour. J´aurais bien donné quelques conseils au bourreau sur la manière de me frapper avec ce poing, mais il semblait tant s´amuser que je n´en eu pas le coeur.
(Message trop long, suite.)
C´était interessant d´être la victime plutot que le monstre, pour une fois. Je mettrais encore plus de coeur à l´ouvrage lors de mon contrat suivant.
Un jet d´eau froide me tira de ma brève nuit de sommeil. Il me semblait m´être endormi quand il se préparait à utiliser le baton.
- Vous devez avoir faim, mon ami, soif, peut etre? Un mot de vous, et vous serez libre à nouveau, nous voulons juste que vous nous disiez ou se trouve votre sanctuaire, dont nous sommes assurés de l´existance.
Typique, il disait "nous" à la place de "je", "Nous vous avons à l´oeil, nous voudrions que ca s´arrete" sonne nettement mieux que "je vous ai l´oeil, je voudrais que ca s´arrete".
Cela me fit penser à ma flèche de combustion, elle était dans la doublure de mon pantalon, mais je n´avais aucun moyen de m´en servir. C´était délicieusement ironique, cela me fit sourir.
- Vous souriez? Bourreau, faites comprendre à mon ami qu´il doit se montrer plus réceptif.
- Oui chef bien chef!
Avant qu´il ne parte, je lui dis tout à fait normalement que quand je serais libre, je lui viderais la gorge a mains nues.
Après m´avoir souhaité bonne chance en riant, l´homme quitta la pièce, me laissant seul avec un bourreau bien décidé à user une lame dentelée et des parchemins de foudre.
Il se donnait beaucoup de mal pour infliger une douleur que je pourrais créer simplement avec une brosse a dents ou une fourchette.
Ce qui m´inquiétait, c´était les règles du sanctuaire, si je restais enfermé trop longtemps, ils viendraient me supprimer, ca, c´était autrement plus inquiétant qu´un gros homme masqué faisant des trous dans mes bras et mon torse avec une petite lame.
Le lendemain, ma surprise quotidienne fut de découvrir qu´ils ne me réveillaient plus avec de l´eau, mais avec des coups d´épées. Ils se donnaient vraiment du mal pour obtenir des informations qu´ils n´auraient pas, et l´inquisiteur avait l´air de commencer à le comprendre, bien qu´il essayait de garder son calme.
- Mon ami, pourquoi résistez vous? Vos compagnons se moquent de vous, nous, nous vous respectons en tant qu´humain, donnez nous les informations que nous voulons, dites nous quelque chose et nous vous laisserons!
Je lui répondis que j´avais besoin que quelqu´un me gratte le cou, le sang séché provoquant des démangeaisons désagréable.
L´inquisiteur eu l´air très énervé, pris une masse , et me l´écrasa contre le visage.
Je crachai une dent et le remerciai de sa gentillesse.
Il claqua la porte de colère, tandis que le bourreau avait l´air de vouloir innover.
Alors qu´il s´amusait à essayer de me faire parler à l´aide d´aiguilles et de clous, je réalisai que l´anneau de fer qui bloquait ma main droite avait été légèrement abimé par le coup, je pourrais dégager ma main en tirant un coup sec, mais j´étais probablement trop affabli pour avoir assez de force, et puis je n´avais pas l´intention de priver le bourreau de son plaisir.
- Bon dieu, POURQUOI NE PARLEZ VOUS PAS?!
Cela faisait une semaine et deux jours qu´il m´exposaient à diverses tortures et poisons, sans que je ne daigne leur dire un mot.
Cela dit, j´étais forcé d´admettre que mon corps commencait à fatiguer, vraiment.
- Oh.. que dites vous?
Peut etre que je devais parler, peut etre que ce serait plus sage, après tout, ma vie n´était elle pas plus importante que le sanctuaire et mon honneur personnel?
L´inquisiteur vit que je chuchotais, et se rapprocha de moi.
- Bien, bien, cher ami, vous serez dehors dans peu de temps, parlez juste plus fort, et vous pourrez... allons, s´il vous plait, vous y avez trop fort bourreau!
A ce stade, l´inquisiteur avait collé son oreille contre ma bouche.
- Alors? Quels sont les secrets de la confrérie noire, dont l´existence va etre prouvée en cet instant?
Je lui arrachai l´oreille avec mes dents, il se mit à hurler, et quitta la pièce en appelant un medecin. En voila un qui allait se reconvertir comme prêtre.
Le bourreau me jeta un regard impressioné, puis regarda ailleurs quand il vit que je l´avais remarqué.
- Mon vieux, je voudrais pas être à votre place.
Il revint, ivre de colère et de furie, son oreille couverte d´un pansement couvert de sang. Il tenait une épingle et un flacon contenant du liquide rose, dont l´aspect m´était dangereusement familier.
- Bien, espèce d´ignoble dunmer, puisque les bonnes méthodes ne marchent pas, nous allons y aller franchement... bourreau, insectez dans le corps de notre ami une bouteille entière de sève d´hist non diluée.
- Mais... monsieur, c´est interdit par la loi...
- Vous croyez que la loi tolère la torture? faites le!
A ce stade, j´étais vraiment inquiet, tellement de sève d´hist n´allait pas me tuer, ca allait me changer en un légume, un corps incapable de bouger, mais capable de penser. Mon pire cauchemard.
- Bon, eh bien... Allons y.
Le bourreau commencait à paniquer, il m´inséra l´aiguille très doucement le bras, ce qui n´envoya qu´une petite quantité d´hist dans mon corps. Ce fut sa dernière erreur.
En tirant violement avec mes forces regénérées combinées à de la télékynésie, l´anneau qui retenait mon bras droit explosa.
Profitant de la surprise, je sortai ma flèche d´impact, et la plantai dans le ventre du bourreau, qui brûla vif.
L´inquisiteur ne comprenait pas ce qui se passait, et recula contre la porte, qui se ferma toute seule comme par magie alors que les chaînes du prisonnier lachaient une a une.
- Mais... Ce truc aurait du vous tuer, comment est ce po...
J´avais deja recu de l´hist, mon corps avait appris à y résister, et à n´en tirer que des effets positifs, du moment qque la quantité n´était pas trop importante. Il se mit à ramper devant moi.
- Qu´a... qu´allez vous me faire?
Je fis craquer mes doigts.
Je tiens toujours mes promesses.
lorsque je quittai la pièce, j´arrivai à une sorte de vestiaire, étrangement, il n´y avait aucuns gardes. je n´eu pas beaucoup de mal à retrouver mon armure et mon équipement dans une des armoires portant le nom "prisonniers".
En regardant par une des fenêtres fermée par des barreaux, je pu constater que nous étions sur une sorte d´ile, que je devaias quitter. J´entrouvris la porte permetant de sortir du vestiaire, et j´eu l´étrange sortir de voir un garde voler jusqu´a un mur et s´y écraser. Un véritable massacre avait eu lieu ici, et au centre de la pièce, je vis Antonetta, elle m´avait remarquée aussi.
J´avancai vers elle, et elle m´imita, son regard était différent, elle semblait très excitée, elle sorti son arme, une épée elfique à la lueur rouge, tandis que je sortai ma lame de malheur.
Nous passâmes quelques secondes à nous regarder ainsi, mais au moment ou je failli passer à l´attaque, elle rangea son arme et haussa les épaules, visiblement perturbée.
- Quelle déception, je pensais que vous faire plus peur que cela, voire que vous me supplierez la pitié, mon très cher frère adoré, surtout avec tous ses trous et plaies sur votre corps... Mais c´était vous sous estimer. Comment ce fait il que vous soyez encore debout et hors de votre cellule?
Je répondai a ses questions et lui demandai ce qu´elle faisait ici.
- Oh, trois fois rien, j´avais pour mission de vous éliminer, en tant que votre équipière... Mais il semblerait, à vous voir comme ca que vous opposé une résistance farouche, et dans ses conditions, je ne sais pas vraiment si je dois vous laisser en vie ou vous tuer malgré tout... Oui, je sais, ne regardez pas comme ca, ces règles sont stupides... écoutez, nous allons rentrer au sanctuaire, et si Vincente dit que nous devons vous tuer, nous le ferons, ca vous va, mon frère chéri?
Je soupirai, les procédures du sanctuaires n´étaient jamais très claires quand il s´agissait de l´élimination de l´un des membres, mais quoi qu´il en sois, je devais faire vite, cette drogue ne me laisserait plus conscient bien longtemps.
- Que fais il la? Avec vous? N´auriez du vous pas lui prendre la vie?
- Oui, naturellement frère Valerai, mais...
Je m´assis tandis que Antonetta lui expliquait les faits. Le sang de mes blessures s´étaient remis à couler, et j´esperais que quitte a me tuer, qu´ils le fassent vite.
- ...Et après avoir avoir arraché la gorge de l´inquisiteur à mains nues, il s´est échappé, et je l´ai vu, et la, je me suis demandée si je devais le tuer ou pas, voila.
- Interessant... vous avez arraché son oreille avec vos dents, vous dites?
Je confirmai.
- Et vous garantissez ne jamais avoir rien dis nous concernant?
J´ajoutai qu´excepté lui avoir demandé de me gratter le cou, je ne lui avais jamais vraiment parlé.
- Bon, faisons un vote à main levée, inutile de consulter la main pour si peu, qui souhaite son execution?
Je n´avais même plus la force de lever la tête pour regarder les scores, si ils voulaient m´achever, ils devraient le faire avant que je ne meure de mes blessures.
- Trois contre trois, nous ne sommes pas vraiment avancés.
- Quelle galère... vous n´avez pas une idée, mon frère chéri?
Je leur marmonai avec impatience de jouer à pile ou face, si cela les amusait. Ocheeva jeta une pièce qui tourna quelques secondes dans les air, elle retomba exactement dans la paume de sa main.
Vincente tapa dans ses mains.
- Voila qui règle le problème, Mjarj-Dar, s´il vous plait?
Le khajit se mit en grognat a coté de moi, et me toucha le dos, je sentai mes blessures se refermer rapidement, et mon énergie se restaurer.
- Je t´aurais préféré mort, singe puant, aue ce sois bien clair, je ne fais pas ca de bon coeur!
Une fois rétabli, je me levai, frottai mes vêtements, et leur dis que ce n´étais pas trop tôt, et que j´aurais presque préféré mourir sur la plance, la gorge tranchée par Antonetta.
- Navré mon ami, Sithis en a voulu autrement, prenez un peu de repos à présent, laissez à vos blessures le temps de se soigner.
Ocheeva, Taleandril et Gro Bolmog vinrent vers moi et me tapotèrent l´épaule.
- Contente de vous avoir parmis nous, mon frère.
- Je suis heureuse que vous ne soyez pas encore mort, mon frère.
- Venez avec moi dans la taverne de Cheydinhal, mon ami, nous pourrons fêter cela correctement!
Je leur demandai ce qu´aurait dis Teineeva si il avait été la.
- Eh bien mon frère, je crois que vous seriez deja en pièces à l´heure qu´il est.
- Ca aurais fait, euh... deux contre trois? Vous savez, le calcul et moi...
Je les saluai et allai vers nos quartier, ou je m´allongai enfin sur mon lit.
Antonetta, dont le lit était à côté du mien s´allonga aussi et me parla.
- J´ai voté contre votre survie, j´espère que vous n´allez pas me faire la tête, mon frère chéri?
Je lui répondai que je ne voyais aucune raison de lui faire la tête, elle rit pendant une minute et reprit.
- Je suis certaine que je vous aurais préféré mort, mon frère adoré, vous auriez été plus... réceptif à mon charme, je gagnerais à ce que vous soyez mort!
Je répondai que beaucoup de gens auraient pu gagner à ce que je sois mort, et que ca ne faisait que commencer.
j´attendais impatiament ce contrat avant de me mettre au lit, j´ai pas été decu XD!
rien a redire, super bon contrat, j´adore la manière dont le personage principal parle, et j´aime aussi la manière dont lui meme et ses frères et soeurs noirs parlent de le tuer ou de le laisser en vie comme si c´était un jeu, très, très bien vu, surtout de la part d´antonetta!
la seule remarque que je trouve à faire, c´est que le prologue ne m´a pas vraiment emballé, il risque de décourager des eventuels autres lecteurs, mais y´a rien a y faire, il pose correctement les bases, mais sans le plaisir de lecture que procure les contrats.
voila, maintenant fais aussi vite que possible le suivant!
mais je le lirais demain matin XD
ah et ouais, les tortures sont très bien mises en scène aussi.
c´est surtout pour que tu ne trompes pas, c´est le prologue de la FIC que je n´ai pas aimé, pas les prologues des CONTRATS qui eux sont vraiment très bons!