Pause et je reprends plus tard
Après une heure ou deux de sommeil, je finis par être réveillé par Taleandril, elle me fit signe de venir vers la salle principale pour une sorte de conseil.
J´eus le temps d´enfiler mon armure de la confrérie avant de me rendre au rendez vous.
Mes compagnons étaient en cercle autour de Vincente, qui prit la parole lorsque je fus arrivé.
- Bien, pendant votre nuit de libre, j´ai pu me renseigner sur ce qui se passait à Anvil. Remus Philidas, ce fameux marchant Bréton, à écrit un livre disant à peu prêt tout sur nous. Je ne sais pas d´ou il tient ses informations, il y en des erronées, mais il y en a des justes dans le tas.
Le vampire observa quelques instants de silence.
- Le tuer ne résoudrait rien, ce serait comme affirmer notre existance au grand jour, à ce stade, j´ai été contrarié, mais j´ai eu une idée interessante et réalisable... La santé mentale de Philidas a été maintes fois remise en questions par les autorités d´Anvil, parrait il, il aurait vu des fantômes et des spectres dans sa jeunesse, à la suite de la disparition mystérieuse de son frère ainé, et entre nous, qui s´interesserait au livre d´un fou? Il perdrait en crédibilité, considérablement, bien que cela nous oblige à agir de manière inhabituelle.
Vincente se mit à réfléchir en nous regardant, comme si il jugeait nos capacités.
- Marie Antoinetta, allez vous occuper de l´imprimeur, convainquez le d´arreter la parution en usant de votre charme, l´imprimeur est marié, il n´osera pas parler de vous aux enquêteurs.
Antonetta se frotta les mains, sa facon de faire avait l´air d´être d´user de ses charmes.
- Taleandril et Ocheeva, mes soeurs, vous devrez faire disparaitre de la circulation tous les livres deja vendus, d´après mes sources, il n´y en aurait eu qu´une trentaine pour le moment, j´ai la liste des acheteurs, ça ne devrait pas être difficile. Ici, au risque de vous décevoir, le meurtre est aussi interdit, ca confirmerait notre existence, tandis qu´un simple vol serait mise sur le coup de la guilde de ce renard gris.
Puis il regarda Gro, chercha une fonction pour lui, et parla.
- Vous, mon fère, allez à la taverne, et provoquez un combat général en provoquant des marins, les gardes seront mobilisés et cela laissera le champ libre à nos soeurs pour agir, ne tuez personne, et ayez l´air ammoché pour plaider la défense contre des attaquants.
Puis Vincente me regarda en souriant, ce qui me révela sa dentition dévelopée.
- Et enfin vous, mon frère, j´ai tout de suite pensé à vous et vos talents d´illusion, vu votre compétence pour intimider le sous prefet... Que direz vous d´endosser le rôle d´un fantôme avide de revanche?
Je ne me lasserais jamais de faire ce que je fais.
Contrat 5: Souvenir mortel
Alors que tout le monde se préparait depuis le lever du soleil, je recherchais quelques informations et conseils supplémentaires auprès de mes équipiers. Vincente est toujours de bon conseil dans ce genre de moments.
- Que dire d´autre sur Philidas Remus... Oui, bien, il est noctambule et se lève aux alentours de midi, il est très supersticieux et croit à des bêtises tel que "le treize porte malheur"... Oh, il vit seul. Je crois avoir fais le tour.
Je le demandai de m´en dire plus sur les fantômes de sa jeunesse et la mort de son grand frère.
- Une histoire très bizarre, en effet, après avoir eu sa majorité, Remus Philidas réalisa que son grand frère, Ramos Philidas recevrait l´héritage de famille, quelques jours après son anniversaire, son corps fut retrouvé au millieu d´Anvil, mort, mais sans la moindre blessure physique, puis le père et la mère de Remus perdirent la vie peu de temps à la suite de cet incident. Après cela, Remus criait qu´il voyait des fantômes, des cadavres, il a été soigné, et a commencé à commercer et à écrire des livres, c´est tout ce que je peux vous dire.
L´histoire du meurtre m´échappait un peu.
- Ecoutez, mon frère, cela ne m´étonerais pas que la main noire elle meme y soit pour quelque chose, mais c´est du passé, occupez vous de notre présent, mon ami.
Après avoir remercie vincente, je me rendis vers Taleandril, qui était la dernière à ne pas être encore partie.
- Je suis pressée, mon frère, il faut que je me rende rapidement à Anvil et... Un objet utile, vous dites? Je n´ai pas grand chose qui vous aiderait... attendez un instant.
Elle alla chercher quelque chose dans ses affaires et revint me voir avec deux aiguilles et une sorte de bombe ronde.
- Je n´ai pas pu en faire plus... L´aiguille verdâtre continent du poison du drogué, il rend le cerveau de la victime lent, et moins rapide, et stimule énormément l´imagination, vous saurez quoi en faire, je pense... La seconde est un concentré de sève d´hist pure.
J´eus du mal à y croire. La sève d´hist était une des drogues les plus puissantes du marché, Ocheeva m´avait raconté que la compagnie de boinoir en gavait ses hommes pour aller en mission, et que ça les rendait surpuissants et incontrolables. Il était hors de question que j´y touche.
- Je sais à quoi vous pensez mon frère... Mais ce n´est pas la version retravaillée et rafinée de sève que prennent la compagnie de boineur, sous cette forme, pure, ella augmentera de manière colossale vos capacités mentales, inteligence, déductions, magie pendant une durée limitée après laquelle vous vous écroulerez probalement de fatigue.
Je lui souris, si ce n´était que ca, ca m´allait parfaitement. Restait cette bombe étrange.
- C´est une bombe de décomposition, pour les grandes bases, il s´agit essentiellement de solancée, d´aigremoine et de racine de daesmodium, Elle explose en silence, et le gaz se répend dans l´air, toute chose non organique en contact du gaz prend un aspect rugueux et pourri... Bien sur, il suffit de frotter la fine couche de pourriture pour comprendre que rien ne s´est passé, mais l´effet est tout de même très impressionant pour un esprit faible, sur ce, je vous souhaite bonne chance, mon frère.
Je commencai à partir, mais je vis dans la chambre de Vincente, au sol, un objet qui pourrait m´aider.
- Vous voulez une bouteille de sang humain? Pourquoi donc, mon frère? Enfin... Prenez la je suppose.
enfin, je pus me mettre en route, en laissant mon arc et ma dague au sanctuaire, en les prenants, la tentation aurait été trop forte.
mon voyage jusqu´a Anvil se déroula sans encombre, j´ai pu m´arreter dans une auberge appelée "la mauvaise chance", ou quelque chose comme ca pour prendre un petit dejeuner, il y avait un vieillard la bas, en me voyant, il a hurlé et s´était enfermé dans la cave. Son nom était Rufieux... Rofiu... Enfin ce n´était guère important.
En arrivant en ville, je vis que des patrouilles de gardes courraient vers les docks, ou un terrible combat avait éclaté, parrait il, entre un marin aggressif et un pauvre orque qui ne faisait que manger son repas. Ou va le monde?
Il était onze heure environ, la maison de Remus étaient isolée, et aucune torche ne brulait à l´intérieur. Je me glisais par la fenêtre de l´entrée, puis la refermai, les verouillais toutes ainsi que la porte, sans oublier de baisser tous les stores.
La maison était assez petite, un étage, un salon avec une cheminée, une salle de bain assez luxueuse avec une baingoire et un jeu de miroir qui me donnait deja beaucoup d´idées, ainsi que, naturellement, sa chambre. La bombe de Taleandril devait réussir a couvrir toutes les pièces excepté la salle de bain, je fermai la porte, et enflamai la sphère, elle émit un bruit très discret et s´ouvrir, répendant une sorte de fumée fine et bleuâtre. En contact avec cete substance, les murs parurent pourir et se décomposer. meme si il ne s´agissait que d´une fine couche de moisissure, ca ferait largement l´affaire.
Puis j´allai dans la chambre de remus, il avait le someil lourd, et était apperement très déprimé, il avait bu de la skouma la veille, et avait apperement pleuré en lisant un album de famille. Ca rendrait le poison du drogué encore plus efficace.
Je jetai un rapide coup d´oeil à l´album de famille après avoir essiyé légèrement la touche de pourriture artificielle dessus, j´en appris plus qu´il me le fallait.
Puis j´injectai le poison a Remus, lorsque je le réveillerais, la partie pourrait commencer.
Mais il faudrait que je reste invicible longtemps, et il était probable que ma santé mentale soit fortement endomagée à cause de ça... Je retins mon souffle et me plantais l´aiguille de sève d´hist dans le bras.
Et soudain, je me sentis invincible.
Mon cerveau travaillait tellement vite que tout autour de moi semblait se dérouler au ralenti, les idées fusaient dans ma tête à toute allure, je comprenais tout, j´envisagais les moindre possibilités.
A l´aide de télékynésie, je brisais le cadran de l´horloge de la chambre pour qu´elle fasse du bruit et reste bloquée a treize, le bruit réveilla Remus.
- Oh, *kof* y´a quelqu´un?!
Personne ne lui répondis, il esseya de se lever, mais le poison du drogué le fit tomber, il essayer de concentrer son regard, mais il n´y arrivait pas.
- Qu´est ce que c´est que ce...
Remus jeta un oeil horrifié autour de lui, tout semblait avoir vieilli de plusieurs centaines d´années, une odeur infecte émanait de la maison.
Remus essaya de marcher pour explorer ce qui était son domicile.
Un chuchotement résonna doucement dans la maison comme un coup de vent.
- Rere...
Remus se dressa brusquement, et mit sa main devant sa bouche comme pour s´empecher de vomir. Les effets de la skouma combinée au poison étaient désopilants.
- Rere...
- QUI ES LA, COMMENT CONNAISSEZ VOUS CE SURNOM?
Remus sentit une main froide caresser sa joue, il dégaina son épée et se retourna, mais il n´y avait personne.
- Je n´ai pas peur, montrez vous!
La porte de la chambre se mit a grincer, et se referma en claquant. Prit de panique, Remus se rua sur la sortie de sa chambre, mais une forte étrange la maintenant ouverte.
- Dites moi qui vous êtes, ou vous allez le regr...
Remus poussa un cri alors que le miroir de sa chambre explosa comme si quelqu´un avait frappé dedans, comme par magie, ce qui semblait être le vent fit tourner les pages et l´ouvrit à une page précise, une photo de remus et son frère.
Le Bréton avala sa salive et s´approcha de l´album doucement, puis recula après avoir la photo, à la place du visage de Ramos philidas se trouvait une tache de sang.
- Rere...
- par les saints, c´est toi Ramos? C´est encore toi? Tu sais bien, je n´y suis pour rien, pour rien du tout! Je t´ai deja exorcisé! Retourne dans l´oblivion!
Des mots écrits avec du sang apparaissaient sur le reste du miroir.
MENTEUR.
Remus frappa la porte, et elle sembla vouloir se débloquer subitement, le marchand passa la porte, et la ferma derrière lui avant de reprendre son souffle.
- Ramos, ne m´en veux plus, laisse moi! Lai...
Remus s´arreta de parler, il y avait des traces de pied ensanglantées qui étaient au sol, et allait droit à la salle de bain. Presque aucune lumière n´entrait dans la maison.
Remus pria une seconde, alluma le pied d´une chaise en guise de torche, sorti son épée et alla vers la salle de bain, il prit une grande bouffée d´air et enfonca la porte en hurlant.
- Y´a quelqu´un? Montrez vous!
Quand Remus vit qu´il était seul dans la salle de bain, il s´assit contre le rebord de la baignoire, il se dit qu´il allait probablement arreter de boire.
Après une minute passée a sursauter au moindre bruit supposée l´aider à lui permettre de se remettre, il se leva et se dirigea vers le miroir, il se recoiffa et sourit tout seul.
la flamme émise par le pied de la chaise était irrégulière, tantôt elle éclairait le miroir, tantôt non.
Remus recula d´un bond quand il vit dans le miroir, l´espace d´un mouvement de flamme, une forme très pâle avec des yeux rouges et de long cheveux blancs. Il laissa tomber sa torche qui s´éteint et se colla contre un coin de la pièce, et s´y accroupi comme un enfant appeuré.
- Pardonne moi Ramos, je... J´avais tellement besoin de l´héritage... Je ne voulais pas qu´ils te tuent, juste qu´ils te fassent peur...
Il y eu un bruit de verre brisé, et Remus senti des goulettes chaudes lui tomber dessus, tandis que tous les stores s´ouvraient brutalement laissant au Bréton le temps de découvrir la scène: La salle de bain était couverte de sang et quelque chose était en train d´écrire contre le miroir avec du sang.
MENTEUR.
Le carelage de la salle de bain se mit à trmbler, et les dalles s´arrachèrent du mur avant de tourner autour de remus alors que le mot "MENTEUR" apparaissait partout.
Remus criait comme un porc que l´on egorge, et comme un damné, il frappa l´air et les murs en esperant toucher le fantôme de son frère assassiné, puis, en riant, il jeta des boules de feu partout, et la maison prit feu comme une allumette. Remus se rua vers la porte qu´il vérouille tout en continuant à lancer des boules de feu.
- RETOURNE EN OBLIVION, MONSTRE!
Trois gardes qui passaient par la et qui assistaient à la scène s´approchèrent en courrant.
- Monsieur Philidas, par les neufs, êtes vous fou?!
Le bréton essaya de se calmer mais avait l´air histérique.
- Je ne suis pas fou! Je l´ai vu! Le spectre de remos! Il veut me tuer vous m´entendez! Protégez moi! A l´aide!
Les gardes se jetèrent un regard inquiet.
- Calmez vous, Monsieur Philidas, vous êtes dingue ou quoi?
Remus s´énerva brusquement et se jeta sur un garde.
- Je ne SUIS PAS FOU! C´EST VOUS QUI ETES FOUS! VOUS ETES DE MECHE AVEC LA CONFRERIE NOIRE!
Voyant que l´homme avait perdu la raison, les deux autres gardes frapèrent le bréton avec des masses d´armes, il s´écroula au sol, impuissant.
-... Vous... devez me croire... vous...
- Oui, ouuui, monsieur P. comme la dernière fois, le monsieur en blanc va vous faire un petit traitement, et vous irez mieux, d´accord?
- Il est complement fou, il est fini.
Remus se dressa et hurla aux gardes qu´il n´était pas fou, qu´il ne voulait pas être gavé de médicaments toute la journée, qu´il ne voulait plus être frappé. Il n´eut pas le temps de terminer, un garde lui avait tiré une flèche dans la gorge pour le faire taire.
- Joli tir, Max.
- On dira au chef que c´était de la légitime defense.
- On va a la taverne?
- De toutes facons, ce bouquet n´est qu´un ramassis de stupidité, une confrérie de meurtriers jamais découverte depuis tout ce temps? Quand on voit l´etat mental de l´auteur, on comprend que... Il n´y a rien a voir citoyen, allez ailleurs, si vous cherchez un endroit pour vous reposer, allez à l´auberge.
Je remerciai le garde pour sa gentillesse et sa patience et les regardai partir en riant en traînant la dépouille de Remus Philidas et en laissant le feu détruire toutes les preuves qui aurait pu leur permettre de remonter jusqu´a moi.
L´hist ne faisait plus du tout effet et j´avais trop poussé sur mes capacités mentales, je souffrais terriblement, mais je reussis à marcher en direction de la sortie de la ville et dans la foret. Après une heure de marche, du sang avait coulé de mes yeux, et je m´étais écroulé devant une maison au millieu de nulle part.
Je suis ouvert à tous commentaires divers et variés, j´écrirais peut etre encore un contrat cette nuit.
J´adore ta façon de présenter les choses : les briefings, les "ustensiles" un peu à la james bond, et surtout, ta façon inattendue et inventive de présenter la résolution des contrats. Continue, fais-toi plaisir et fais-nous plaisir par la même occasion, merci
tu écrits fantastiquement bien!! c´est époustouflant. j´était captivé sur ton texte! vivement la suite!
Ah, un message amical, ca me fait bien plaisir
Bon, je continue aussi vite que possible
Impossible de dire combien de temps j´étais resté dans cet étrange coma, mais au moment du réveil, j´étais dans une chambre avec une lumière agréable et une douce chaleur.
Le lit dans lequel je me trouvais était doux, et la couverture particulièrement confortable, contrairement au lit que nous avons au sanctuaire.
La première chose que je fis fut de préter attention à mes signes vitaux et a l´état de mon corps, en levant mes bras vers le plafond, je pus constater qu´ils étaient en parfait état, et que les coupures de verres que je m´étais faites avaient été pansées et soignées.
Je voyais un peu flou, mais rien de terrible, j´aurais eu du mal à marcher, mais ca aurait été parfaitement faisable.
Par acquis de conscience, j´essayai de bouger mes jambes, elles n´étaient pas attachées, ou quoi que ce soit, par contre, j´étais nu comme un ver.
- Tout va bien?
Une jeune fille dunmer entra dans la chambre, elle avait un bol d´eau chaude et des serviettes dans les mains, elle s´assit sur une chaise a coté de mon lit.
- je vous ai trouvé évanoui à coté de chez moi il y a quelques jours, vous avez dormi tout le long, vos yeux étaient en sale état, mais de l´eau chaude et des serviettes sont toujours plus utiles que de long traitements médicaux.
Elle essora la serviette m´essuya le visage.
- Vous n´etes pas du genre bavard, hein? Je m´apelle Lyzora, Lyzora Paxton, mon père était un grand mercenaire, vous savez, d´ailleurs je...
J´avais effectivement entendu parler de André Paxton, le boucher de l´empire. D´après moi, il avait été tué par Ocheeva quelques moins auparavant. C´était ironique de penser qu´un ami du meurtrier de son père se trouvait en face d´elle.
- ... Et depuis je vis seule, avec des petits animeaux, ça me changera d´avoir un peu de compagnie... Eh, que faites vous?
Je tentai de me lever, mais j´avais oublié que je ne portais rien, je dus me résoudre a me remettre sous ma couverture en demandant ou étaient mes vêtements.
- Vos étranges habits? Oh, ils étaient très sales, je suis en train de les laver et de les remettre en etat... n´essayez pas de vous lever, votre système nerveux est diminué, tous vos membres risquent de réagir bizarrement.
Je dus me resigner, elle avait raison, quand je demandais à ma main de bouger, il lui fallait quelques secondes de plus pour faire le geste, de plus, j´avais du mal à coordiner mes gestes. Je pus conclure de cette expérience que l´hist était une chose à éviter.
Mon estomac gargouilla, et Lyzora me regarda avec un large sourire, tandis que je me sentais particulièrement ridicule.
- Vous avez FAIM? Il fallait le dire, bon sang, vous n´avez rien mangé depuis un jour, je vais vous faire quelque chose, ne bougez pas! Euh... ce n´est pas ce que je voulais dire, enfin...
La dunmer rougit et quitta la chambre. Inutile d´être devin pour dire qu´elle avait un faible pour moi, or, il se trouve que ce genre de bons sentiments m´énervent particulièrement.
Dès que je serais en forme, je retournerais a Cheydinhal et reprendrais ma délicieuse routine sanglante.
- Voila, mon frère dunmer! Des pâtes à la Lyzora, mangez tout surtout!
Il fallait juste que je tienne quelques jours, rien de plus.
Elle et moi avions joué aux echecs toute la soirée, à cause de mon manque de sommeil, et parsque les echecs étaient le meilleur moyen de stimuler mon cerveau pour le faire marcher à nouveau. Elle était un adversaire interessant, mais me dévisagait un peu trop.
Après quelques belles parties, elle se leva, me donna un baiser sur la joue et alla se coucher après m´avoir souhaité bonne nuit.
C´était une prison aux barres dorées, mais ce n´était pas si désagréable.
Le lendemain matin, en me réveillant, j´eu la surprise de découvrir sur mon torse une lettre signée de la main noire.
" Cher frère, nous vous avons perdu de vue pendant quelques jours et vous avez été considéré comme déserteur et traître par l´annonceur Mathieu Belamont, pour reprendre votre place au sanctuaire, vous êtes priés de nous remettre le corps de la fille de André paxton, que nous recherchions depuis quelques temps, sans quoi vous encourez le risque de recevoir la visite nocturne d´un silencieux si nous remarquons en vous un manque d´interet. Veuillez aggreer cher frère, mes salutations les plus respectueuses. Lucien Lachance"
- Qu´est ce que tu regardes?
Je pliai le bout de papier et le jetai dans la cheminée.
Elle me tutoyait à présent.
Ce message m´ennuyait.
Je savais que ce rituel de retour était inévitable, et tuer quelqu´un ne me dérangeait pas spécialement, mais j´étais encore en piteux etat, quand à elle... ca m´ennuyait, c´est tout.
Contrat 6: Quand les sentiments s´en mèlent
- Allez, un petit effort... Tu y es presque...
J´étais sur le point de réussir à me tenir debout, et elle m´avait rendu mon armure de la confrérie. Elle me tenait la main et me soutenait. Quelle humiliation.
- Et voila! Bravo! Bravo!
J´avais réussi à me mettre debout, mais je dus m´assoir. Mine de rien, j´étais encore très affaibli, j´étais définitivement resté bien trop longtemps invisible tout en usant de télékynésie.
- Une petite partie d´echecs avant de dormir?
Lyzora était une personne naturellement chaleureuse et sociale, toujours souriante et surtout elle ne me posait pas de questions, elle voulait juste que j´aille mieux. C´est ecoeurant de naïveté.
J´ai eu bien des occasions de l´éliminer, mais à chaque fois, mon corps refusait d´agir, les couteaux me glissaient entre les doigts, je n´avais presque aucune prise sur eux. Je devais encore attendre un peu plus.
Nos parties d´echec gagnaient en intensité tandis que mon cerveau redevenait progressivement aussi efficace qu´avant.
- Tu vois? Tu peux marcher comme avant, eh, regarde ou tu vas! Fais attention!
Avec son aide, en me tenant la main, je pouvais marcher comme avant, et mes membres commencaient à bouger à leur rythme normal.
Mais sur la route de retour, nous fûmes confrontés à un bandit de grand chemin, un orque.
- Un petit coupe de dunmers? Si c´est pas mignon? Donnez moi tout ce que vous avez et je fais pas de mal... Quoique je garantis rien pour toi, jolie!
C´était l´occasion de voir si je n´étais pas trop rouillé.
- Eh, toi! Ne fais rien de débile, beau gosse!
Je me mis à avancer tranquilement vers l´orque qui sortit sa hache, il se prépara à frapper, mais son adversaire se mit a fondre, littéralement.
- Heh? Ou t´es passé mon mignon?
L´orque regarda l´endroit ou l´elfe noir avait disparu, complètement mystifié.
Il n´eu pas le temps de réaliser ce qui se passait que sa tête faisait un tour complet sur elle meme et que sa nuque cassait en emetant un bruit de d´os craqué absolument délicieux.
je réaparu juste à coté de Lyzora, qui sauta dans mes bras.
- T´es génial! Tu m´as sauvée!
C´était amusant, elle ne me traitait pas de monstre, d´assassin, mais était juste redevable d´avoir été sauvée.
elle se mit sur la pointe des pieds et essaya de m´embrasser, mais je fis mine de lui tourner la tête, elle eu l´air décue, mais me tira dans la maison pour jouer aux echecs.
Elle passa la soirée à me dire à quel point j´étais extraordinaire, et qu´elle était tombée amoureuse de moi.
C´était mon quatrième jour avec Lyzora. Je passais des jours très heureux et tranquilles, chaque journée ponctuée de petits plaisirs, de repas délicieux, de nuits paisibles et calmes, à faire des choses simples et agréables comme regarder les étoiles...
Elle et moi venions de partager un repas avec une ambiance qu´elle voulait dramatique, apparement, elle avait un message a me transmettre.
- Tu es en pleine forme, tu... tu vas rentrer avec ta famille? Tu vas me laisser seule?
Elle avait l´air bouleversée, alors je lui répondis sans réfléchir que j´acceptais.
Elle sauta dans mes bras et me couvrit de baisers amicaux, j´évitais au possible qu´elle m´embrasse.
Elle avait les larmes aux yeux et avait un sourire magnifique, elle rougissait un peu.
- Pour fêter ca, que dirais tu de... de... attends moi, je vais préparer quelque chose!
Je la vis gambader joyeusement vers le salon, me laissant seul avec mes pensées.
- Attention, prépare toi...
Et si... Et si ce qu´il me fallait, c´était une vie paisible, pleine de tendresse, d´amour et de joie avec une personne m´appréciant? Tout cela n´avait il pas plus de valeur que d´ôter la vie d´être humains ayant autant le droit de vivre autant que moi?
...
Oh, dieu non.
J´étais en pleine forme, je pouvais quitter ce trou à rats à présent.
Je saisis un couteau de boucher qui trainait dans la cuisine, et l´accrochai à ma ceinture, avant de rejoindre Lyzora avec un large sourire.
- Et voila! Tu es pret pour notre partie d´echecs quotidienne? Hein? Hein? Ca fait trois à un pour toi, ce soir, je te massacre!
Elle ne fit meme pas attention à ma réponse, mais se mit à installer le jeu en chantant une chanson.
Oh, pas ce soir, Lyzora, pas ce soir...
Lucien Lachance se pencha sur le corps de Lyzora, l´inspecta, puis me parla.
- Soyez à nouveau le bienvenu parmi nous, cher frère, cette fille a du vous énerver pour que vous la mettiez dans un état pareil, je ne l´ai pas reconue tout de suite, pour vous dire la vérité.
Une pluie fine recouvrait tout et donnait à la scène un aspect particulièrement dramatique.
- Cher frère, pour votre travail impécable concernant Remus Philidas, je vous nomme assassin, allez à présent, votre famille vous attend.
Lucien Lachance et le corps disparurent comme des ombres, me laissant seul sous la pluie.
Dans la vie, il y a deux types de personnes, ceux qui vivent leur vie, et ceux qui la prennent, c´est ainsi que sont les choses.
Tout compte fait, je vais dormir, cette nuit.
la suite la suite gloire a sithis ton perso prend meme plus dec plaisir que moi a tuer quand je joue a Oblivion pou l´instant J´ai tue 302 personne
eexellent continue c´est trop bon XD
Lorsque j´étais revenu au sanctuaire, J´avais été plutôt bien accueilli, tout le monde avait l´air relativement content de me voir, surtout Antonetta, mais elle, elle est toujours contente.
Nous avions passé la soirée à boire de l´Hydromel autour d´une table en parlant de divers contrats dont la conclusion avait été amusante, et en fêtant ma promotion en assassin, ce qui me placait au meme niveau que mes compagnons.
L´anectode de la fille attachée au lit et percée au coeur percé les avait beaucoup amusés.
Accéssoirement, j´avais pu faire la connaissance d´un autre membre du sanctuaire, assez discret, Teineeva, un autre argonien. Il paraissait assez déprimé, car il n´avait pas retrouvé un certain "Ecorchequeue".
- Ocheeva m´a vanté vos mérites, mon frère, bienvenue parmis la famille, et continuez votre bon travail.
Au petit matin du lendemain, Vincente se trouvait à coté de moi, il me salua.
- J´ai un travail pour vous, mon ami, un travail tout à fait ordinaire qui vous changera des indimidation, ou a faire croire à l´existance d´un fantôme... Il s´agirait tout simplement d´aller assassiner un homme vivant à Bruma, un vieillard malade, cela vous conviendrait il? En reussisant ce meurtre impécablement, vous recevriez une prime en or combinée à vos autres bonnes... actions. Alors?
Je crus un instant que Vincente était ironique, mais il y avait vraiment une demande d´asassinat de cet homme, un certain Azazer. D´après les sources de la confrérie, ce serait un vieil homme tranquille et sympatique, travaillant la nuit et acceuillant des sans abris chez lui sans rien demander en retour.
Inutile de demander pourquoi on voudrait tuer cet homme, un contrat est un contrat.
- Ha! C´est une blague, mon frère chéri? Tuer un simple papy au bon coeur? Pitié, vous qui êtes capable de faire croire à l´existance d´un fantôme!
Je lui demandai ou était passée Taleandril, mais elle me répondit qu´elle n´était plus la.
- Oui, un contrat amusant, elle va devoir se faire passer pour la grand mère d´un impérial, assassiner sa femme, et mettre le meurtre sur son dos, je l´envie un pas... Moi? Oh, rien de terrible, convaincre un ex soldat depressif de se suicider, la routine, après la volée de bons contrats que nous avons eu, vous pensez bien que... Des objets ou des sorts utiles vous dites? ne plaisantez pas, ce n´est qu´un vieux monsieur, soyez gentil, devenez son ami et... Couic! Ou bien mince, tuez le dans son sommeil, pourquoi toujours choisir la difficulté?
Antonetta avait raison, je cherchais la complication, un coup dans son sommeil, et je pourrais passer à autre chose.
- Bon, je suppose que vous pouvez prendre ca...
C´est une potion d´accélération de maladie! Si quelqu´un qui à la gripe en recoit, sa grippe muttera tout de suite en pneumonie, et l´emmenera en oblivion, quoi de mieux pour un vieux malade?
Je remerciais ma soeur et me mis en route vers Bruma.
J´arrivai en plein jour, le froid était assez terrible, donc je me rendis aussi vite que possible dans la maison d´Azazer, qui s´averra être un véritable manoir.
La serrure explosa silencieusement et je pus entrer dans la maison sans faire de bruit.
La maison était immense, trois ou quatres étages, mais la décoration était un peu étrange.
Il y a avait des miroirs presque sur chaque mur, ainsi que beaucoup de tête d´animeaux empaillés sur les murs. Tout était très silencieux, et il y avait une drôle d´odeur dans l´air. Je me dis que c´était probablement la puanteur des sans abris résidant ici.
En montant les escaliers, toute la lumière disparu, les stores étant fermés avec des planches. Monsieur Azazer travaillait la nuit.
Il était inutile d´user de ma vision nocture, j´allais épargner cet effort à mon corps fraîchement remis en état.
J´arrivai dans la chambre, ouvrai la porte doucement et la refermai.
Sa chambre était très vaste, et mystérieusement attirante, il y avait une cheminée éclairait doucement la salle plongée dans le noir complet, un piano et une superbe bibliothèque ancienne. Les stores étaient fermés et bloqués à l´aide de planches, tandis que monsieur Azazer dormait paisiblement.
Le sol était très sâle, meme si je ne voyais pas ce qui s´y trouvait, je sentais la saleté sur mon costume, et ce meme sol avait une étrange consistance.
Quelque chose m´echappait.
J´étais juste devant Azazer, il dormait en souriant, sur le dos, ses mains sur son ventre. Cete position me disait quelque chose.
Je ne pris meme pas la peine de le réveiller, ou d´user la potion de maladie accélérée.
Ma dague s´étaient enfoncée dans la gorge d´Azazer jusqu´a la garde, créant un bruit de gargouillis raffraichissant, il ouvrit les yeux et me regarda, le regard rempli de désespoir.
Et la, à ma grande surprise, il se mit sourire, a pleine dents.
Lorsque j´ai réalisé ce que je venais de faire, mon coeur ne fit qu´un bond.
La chambre était remplie des cadavres des gens qu´Azazer avait tué et dévoré.
Le regard d´Azazer devint orange tandis que les traits de son visage s´amaigrissaient et sa peau devenait pâle, ses dents de vampire luisant comme des couteaux.
Il attrapa le bras avec lequel je l´avais poignardé, et se mit à le serrer. Il possédait une force gigantesque. Il arracha la lame de Malheur de sa gorge sans broncher, la jeta et bondit jusqu´a mon cou pour me mordre.
Ses crocs se plantèrent dans ma chair, et je le sentais en train de se nourir de mon sang tandis que sa gorge se regénérait rapidement.
j´eus le temps de sortir ma dague et de lui planter dans le ventre, ce qui le fit lacher prise, il rit et me donna un coup de poing dans le torse, qui m´envoya traverser le mur de sa chambre pour retomber dans les escaliers.
A ce stade, j´avais probablement un bras cassé, mais l´adrenaline me tenait en état d´alerte.
Je bondis sur mes jambes et me mis à courir vers la porte d´entrée, mais c´était trop tard, des barreaux métaliques venaient de bloquer la sortie de l´antre du monstre.
Je toussais tu sang, je réalisais subitement que j´avais contracté l´hémophilie, le mal des vampires, quand ce travail serait terminé, je devais me guérir rapidement.
Encore fallait il que j´y survive.
La nuée de chauve souris s´approchant, je dus prendre une décision rapide.
Lorsque Azazer reprit forme dans le hall, il ne vit personne, il souriait toujours, il s´amusait, probablement.
Il m´arrive de penser que Sithis a un certain sens de l´humour à mon sujet.
Contrat 7: Le prédateur du chasseur
Il regarda autour de lui et parlait d´une voix très douce, presque mystifiante.
- C´est rare que des proies viennent d´elles même dans mon nid, dunmer.
Il inspecta partout autour de lui, il n´avait pas de reflet dans les miroirs.
- Normalement, je dois dévorer les mendiants de cette ville, mais leur sang est infect, toi, tu es jeune, tu es beau, tu as du bon sang!
La situation était très mauvaise, j´étais face à un vampire de niveau moyen, sans le moindre objet capable de lui nuire, ni croix, ni eau bénite, ni sphère de lumière, ni pieux que je pourrais lui enfoncer dans le coeur.
Le vampire se mit à rire doucement, et parla dans le vide.
- Proie, écoute moi, même si tu te caches, je saurais toujours ou tu te trouvera.
Il leva les yeux et me vit sur le lustre, son regard me faisait froid dans le dos.
Il poussa un cri terrible et le bondit vers le lustre, que j´eus a peine le temps de décrocher pour lui faire tomber dessus, avant de reprendre ma course pour ma survie. Ca ne le tuerait pas, ca ne lui ferait pas mal, ca le ralentirait, tout au plus.
je l´entendais se dégager du lustre en riant, et en une seconde, il se trouva devant moi, à me regarder dans les yeux.
- Pourquoi fuis tu, mon ami? Pourquoi veux tu tant lutter?
C´était du charme vampirique, ses yeux m´attiraient terriblement, c´était irrésistible.
- Tu deviendra un vampire, esclave de ma volonté, mon ami, ne te bats pas, accepte de devenir mon serviteur, sers moi...
Il s´approchait de ma gorge pour en boire tout le sang. Quelqu´un de normal se serait laissé mordre je suppose. Mais il est de notoriété publique je ne suis pas normal, et que je ne sers que moi meme.
Je plantai ma dague dans ma jambe, ce qui me fit reprendre mes esprits, profitant de la surprise, j´enfoncais cette meme lame dans le visage du vampire, entre ces deux yeux, puis me mis à l´attaquer autant que possible.
L´hémophilie m´épuisait, il m´était impossible d´etre au maximum de mes capacités.
Voyant que mes attaques ne lui faisaient rien, je bondit en arrière et disparu subitement, tandis que le prédateur se regénérait tranquillement et ses yeux brillaient d´une lueur rouge.
La vision du chasseur, il me voyait parfaitement.
J´eu a peine le temps d´esquiver son coup de poing qui brisa le mur, mais son coup de pied m´envoya voler jusqu´au bout du couloir.
En l´air, je reussis à bander mon arc et à tirer, mais il encaissa mes flèches sans broncher, accélera, me rattrapa au vol et brisa mon arc, avant de m´attraper par le cou d´une main.
- Tu me fais bien rire, proie, je ne m´étais pas autant amusé depuis long...
Il arreta subitement de parler, quelque chose dans son ventre devait le déranger.
Qu´il rie donc de ca.
La pointe des flèches explosèrent, à l´intérieur de son corps, il poussa un cri horrible, et explosa littéralement, me laissant tomber au sol.
J´étais dans un sale état, mais je m´en étais tiré.
Je me levai tant bien que mal, je devrais demander une autre lame de malheur et un nouvel arc à Ocheeva.
- Maudit insecte!
Je me retournai, les fragments éparpillés du corps du vampire se rassemblaient pour former à nouveau une seule et même entité.
Il n´était plus calme et mielleux comme auparavant, c´était une bête en colère qui voulait me dévorer toute entier, en me faisant souffrir au maximum.
Il leva ses doigts, et ses ongles se changèrent en une sorte de griffes rétractables, qu´il fonca me planter dans la gorge, avant de m´envoyer à travers le mur, ce qui me fit tomber dans la cave.
J´expérimentais enfin ce que ca faisait de recevoir quelque chose de tranchant dans la gorge, à vrai dire je m´attendais à pire.
Il ne me restait plus rien, juste de la corde et cette potion d´accélération de maladie qu´Antonetta m´avait donnée.
Et subitement, une idée stupide m´était venue en tête. Hémophilie, la maladie du vampirisme.
J´ouvris le petit flacon, et le bu, en entier.
- Je vais te tuer, oh, non, d´abord je vais te manger à moitié en te laissant en vie, après...
La douleur était insuportable, je sentais mes muscles se développer de manière anormale, mais sans que ca se voie sur mon corps, mes dents poussaient rapidement j´eus l´impression que mes yeux brulaient, je crus que mon dos allait exploser, et ce ne fut pas faux, ma chair explosa et une paire d´ailes noires en sorti, je sentais que mon visage était en train de maigrir, que ma peau collait à mes os. Mes yeux n´étaient plus que deux sphères de feu, j´y voyais parfaitement de nuit, je repérais chaque être vivant de Bruma, je sentais que je pourais rester invisible des heures, que je pourrais tuer tous les gardes de la cité impériale à moi tout seul. Cela dit...
- Par les neufs, tu es un nosfératu! Comment est ce possible? J´existe depuis deux siècles et je ne suis que de niveau moyen! Comment as tu?
J´avais faim.
Je me jetai sur lui en usant mes ailes noires et me mit à manger son cou, il me repoussa , mais je sortis mes griffes et me mis à le lacérer.
Apparement, les blessures de nosfératu étaient impossible à regénérer.
Je lui coupais d´abord les jambes, les bras, et les dévorai devant lui.
Je ne savais pas que les vampires pouvaient pleurer.
- Pitié! Tout ce que je voulais c´était me nourir! J´avais juste faim.
Moi aussi.
Je souris alors que je m´approchais de lui, il fallait qu´il vive aussi longtemps que possible pendant que je nourissais.
Je dus me boucher les oreilles tant il hurlait.
- Permettez moi de vous dire, mon frère adoré, que la forme de vampire vous va très bien, et cette paire d´ailes, quelle merveille!
Antonetta et Vincente étaient venu me voir dans la cavde de la maison D´azazer le lendemain pour me donner de quoi me guérir avant que je deviennent trop accro au sang.
- Vous avez fait un sacré rafut, mon ami, mais peu importe, demain, le journal de Bruma expliquera clairement que Azazer était un vampire et dévorait les mendients et les chassant dans sa maison. Cela dit, vous refusez le don noir?
L´état de vampire était trop désagréable, trop de contraites, pour des choses qui n´en valaient pas la peine. Il était hors de question que je devienne comme Vicente ou Azazer, enfermé chez moi, à craindre la lumière et de perdre mon immortalité.
Antonetta me tendis un flacon contenant un liquide rosâtre.
- Mon frère chéri, si vous pensiez que la transformation en vampire était douloureuse, vous n´allez pas aimer la guérison, du tout.
Je haussa les masses osseuses et couvertes de pointes qui me servaient d´épaules, et bus la potion d´un seul coup.
J´avais deja tellement subi, tous ces jours ci.
Je ne serais pas la cette après midi, mais je promets des contrats ce soir.
excellent, vrément, c´est excellent, vive les prochains contracts et lé pokémon
Ok, je mange et commence à écrire ça.
j´adore
la suiiiiiiiiteuuuuuuuuh !! !!
Non mais sérieusement, t´as des foutues idées quand même ( puis ça aurait été marrant qu´il reste nosferatu, quoiqu´un peu surbourrin en fait...)
Tu écris bien et sans fautes; de plus j´adore la Confrérie Noire, bref ta fic est excellente ! ^^
ta fic est trop bien mais c´est béte pour la femme dumner elle devait étre charmante