Ok, voila une fic sur un thème qui m´est cher, la confrérie noire, c´est un peu un coup de tête, mais j´espère qu´elle vous plaira.
Je ne suis pas trop inspiré pour ce prologue, j´attends vos avis.
PROLOGUE
Ce jour la, je n´avais pas conscience du chemin dans lequel je m´engageais.
Pourquoi criais tu tellement mère? Je ne suis plus un enfant, et pourtant tu hurlais tellement...
Ma dague s´était plantée dans son crâne, et la dunmer qui m´avais mise au monde avait arreté de crier.
Ca avait été si facile, si simple, et si délicieusement agréable, quoique l´odeur était un brin ennuyeuse en y repensant.
Mon père eut une surprise pour le moins étrange en rentrant, j´ai bien tenté de lui expliquer, mais quand je l´ai vu courir vers la sortie de notre maison, une flèche dans la nuque avait été plus efficace que de longs discours.
La nuit même, un homme vêtu de noir était venu me rendre visite, un homme nommé Lucien lachance, il m´a annoncé solonellement que j´étais un moissoneur de vie, un bourreau, et que j´avais été remarqué par sithis.
Il n´avait nullement été question de ma folie, ce qui est un détail qui m´avait particulièrement plu.
Je pensais que la confrérie noire n´était qu´un mythe, une legende urbaine, mais je me trompais, elle existait, et représentait un mode de vie que j´avais recherché toute ma vie, le frisson d´une vie qui s´éteint, une fraternité, la peur d´être remarqué, la sensation de pouvoir perdre la vie à tout moment.
Monsieur lachance m´avait remis une lame très légère qui, selon lui, pouvait tuer une cible d´un coup bien placé, et, pour rejoindre la confrérie noire, rien de plus simple, je devais tuer une personne.
La personne en question s´appelait Syrawin, une Alder vieille et muette, inutile de demander qui elle était, ou quoi que soit, je savais qu´elle résidait dans une maison de santé vers la frontière de Cyrodiil et de Morowind, et s´était bien suffisant.
Après quelques heures de voyage, j´arrivais à la maison de santé "repos divin". L´ironie m´avait fait sourire.
Il faisait nuit, le hall d´entrée était sombre et mal éclairé, mais je pus voir un garde avec une torche s´approcher de moi, il voulait savoir ce que je faisais ici.
Lorsque je sortis quelques pièces d´or, il se mit à sourire et regarder de plus pret les pièces dorées que j´avais mises dans la paume de sa main.
Grossière erreur.
Il m´avais suffit d´un geste rapide pour lui enfoncer ma dague dans la gorge, ce qui eut pour effet de l´empecher de hurler, puis de la retirer et de lui trancher la tête, avant de récupérer mon or.
C´est d´ailleurs à partir de ce jour que j´ai décidé d´agir avec plus de finesse dans ma manière de tuer, une tête tranchée et ensanglantée roulant au sol est loin d´être esthétique.
Lorsque j´étais entré dans la chambre de Syrawin, elle m´avais regardée étrangement, mais quand elle à vu que je fermais la porte à clef, son regard est devenu tout simplement superbe, un mélange de peur, de colère, d´angoisse...
Elle avait essayé de se lever, mais une flèche empoisonée effleurant son visage l´avait stopée.
Le venin de Blosmer, comme je l´apelle, paralyse tout le corps, mais permet de parler et de respirer.
C´était absolument hilarant de la voir essayer de hurler, puis de pleurer à cause de son incapacité à le faire.
Je fis une entaille sur son cou, la laissa se vider de son sang, avant de cicatriser la blessure et dissimuler le sang à l´aide de quelques sorts basiques.
Mort naturelle? Hemoragie interne? Le courrier du cheval noir pouvait dire ce qu´il voulait, cela m´était bien égal.
Le cadavre du garde était gênant, mais je le mis dans le placard de la chambre de Syrawin, en souhaitant bien du courage à messieurs les enqueteurs pour interpreter cela.
La nuit meme, Lucien lachance est revenu me voir, je pouvais rencontrer ma nouvelle famille à Cheydinhal, au sanctuaire noir.
J´ai été relativement bien acceuilli, et j´ai reçu une armure noire assez élegante, quoiqu´elle ferait problement clairement comprendre au monde entier que je faisais partie de la confrérie noire.
C´était comme ci je commencais à vivre.
Quant cette argonienne m´a demandé mon nom, j´ai répondu que je n´étais personne.
Ce matin , alors que je venais de me réveiller, Ocheeva était venue vers moi avec un air très sérieux. Ocheeva est très prévisible, quand elle fait ce genre de tête, c´est qu´elle a un comtrat qu´elle juge trop difficile pour un simple meurtrier comme moi.
- Salutations, mon frère, comment vous portez vous aujourd´hui?
Je rendis son salut et lui demandai d´en venir droit au but.
- Eh bien voyez vous mon frère, j´ai la un contrat d´un niveau assez élevé voyez vous, je pensais le confier à Taleandril, mais elle est deja sur quelque chose... Il s´agirait d´executer une famille d´anciens archimages habitant à la cité impériale, Jean Traevis, Maria Traevis, et leur fille Sophia. Les deux premiers sont de grands mages clairement au dessus de votre niveau, quand à la fille, elle a fugué et vit toujours avec des amis, la prime serait à vous si vous éliminez sans bavure, témoins et autres victimes les cibles, ce contrat vous conviendrait t´il, mon frère?
Je souris avant de donner ma réponse.
Contrat 1: Reunion de famille
J´avais, en somme, assez peu d´information sur la famille en question, mais peu importe, j´enqueterais dehors.
Alors que j´étais sur le point de quitter le sanctuaire, j´entendis une voix un peu énervante.
- Oh, mon très cher frère, comment allez vous? Je suis si heureuse de vous voir, si heureuse que vous ne soyez pas mort! Euh... Enfin... Vous me comprenez, quoi.
Marie Antoinetta, ou Antonetta est un peu trop chaleureuse à mon goût, mais ses qualités en tant que tueuse ne sont pas remises en question, elle a un certain sens de l´humour qui n´est pas trop déplaisant.
- Que faites vous de beau, mon cher frère?
Je lui expliquai brièvement mon contrat en lui demandant de me donner son avis, elle réfléchit un instant, puis parla.
- Faites attention, frère, les Traevis sont de puissants mages, si vous leur en donnez l´occasion ils vous tueront horriblement, et ca m´ennuierais, m´ennuierais beaucoup! Sachez juste que ils aiment énormément leur fille, et la recherchent désespérement depuis sa fugue, jouez cette carte au maximum, liez vous d´amitié avec eux, et usez de poison... Ou d´armes, ce ne sont que de vieux croulants après tout! Faites juste en sorte d´en neutraliser un avant de tuer l´autre... Et dites quelque comme "Sithis va boire ton sang", hi hi hi! Pour ce qui est de la fille, faites les choses comme moi, vous avez surement mon age je suppose? non? Bien, vous êtes jeune, plutot séduisant pour un dunmer, je dois vous faire un tableau, mon très cher frère? Oh, j´ai entendu aussi qu´elle avait des goûts étranges, mais vous verrez bien assez tôt.
Je la remerciais tout en ajoutant que parler n´était pas quelque chose qui m´amusait outre mesure lors des meurtres, elle me sourit, puis alla s´entrainer en souhaitant que je ne me fasse pas brûler vif.
Une fois arrivé à la cité impériale, je su tout de suite ou aller, Ocheeva m´ayant donné l´adresse précise de monsieur et madame Traevis.
Je frappais à la porte, j´entendais des pas, et un viel homme souriant l´ouvrit.
- Bonjour, monsieur, qui êtes vous?
Je répondis que j´avais vu leur fille aux allentours de Leyawiin.
L´homme se mit à sourire et à pleurer de joie, il me prit par le bras et m´ammena à l´intérieur.
- Cherie, cherie! Ce jeune homme a retrouvé Sophie!
- Pas possible!
Une vieille femme elfe des bois accourut, elle portait un tablier, elle me prit dans mes bras et baisa plusieurs fois mes mains.
- Oh, merci, merci, infiniment, je vous en prie, venez vous asseoir.
Ils m´assirent dans un fauteuil au salon et me proposèrent un plateau de gourmandises diverses, le coupe s´assit en face de moi.
- Vous etes notre sauveur, vous savez... notre fille nous manque tellement, je ne sais pas si nous avons été de mauvais parents mais nous...
Ces deux vieillards dégagaient une aura magique importante, un sort, et j´étais fini, il faudrait être subtil.
Je fis mine de compatir et leur demandai de me parler d´eux.
- Ma femme et moi nous sommes rencontrée il y a quarante trois ans, et...
- quarante deux!
- Oui, excuse moi ma chérie, et depuis ce jour, nous nous aimons toujours autant elle et moi...
Ils se tenaient la main et se jetaient des regards plein de tendresse.
- Cette fille est toute notre vie, vous savez, jeune homme, nous vous sommes éternellements reconnaissants.
Je finis ma tasse de thé au cumin, et demandai a la maitresse de maison une autre tasse, ainsi que de ses délicieux biscuits.
- Vous les aimez? Vous faites partie de la famille maintenant... attendez, je file en chercher à la cuisine, ne vous levez surtout pas.
Elle se leva en souriant et gambada jusqu´a sa cuisine, me laissant seul avec le mari, visiblement très heureux et bavard
- Parlez moi de vous, mon ami, qui faites vous dans la vie?
Je me levais tranquillement, saisis un couteau à pain et l´enfoncais entre les deux yeux de Jean Traevis, qui n´eut meme pas le temps de pousser un cri, puis je me rassis.
- Voila le thé, attention s´est chaud! Jean, tu es tout...
Elle regarda la carcasse de son mari, puis jeta un oeil horrifié à mon sourire lorsque je lui jetai le sort de silence.
En bonne femme de foyer, elle n´avait pas osé jeter le plateau qu´elle portait à deux mains pour me jeter un sort, maintenant qu´elle était silencieuse, je pouvais m´en donner à coeur joie.
Je n´avais pas idée de ce qu´on pouvait faire avec une fourchette et une cueiller, j´espère messieurs les enqueteurs auront le coeur accroché.
Je quittai la maison tranquillement en disant au revoir dans le vide, et calmement, personne ne m´avait remarqué, j´ai meme discuté avec un garde au sujet d´un meurtre étrange dans une maison de santé.
Retrouver Sophia aura été facile, il suffisait de faire le tour des auberge et de faire attention aux cris de dinde histérique.
Mais elle était effectivement entourée en permanence par une bande d´amis, les tuer serait simple, mais ce ne serait pas amusant.
Après quelques minutes de réflexions, je me rendis a un poste de la compagnie de boinoir, des mercenaires ne posant pas trop de questions.
Je leur ai simplement demandé d´envoyer quatres ou cinq hommes titilller et séduire Sophia, le prix est exhorbitant, mais je me referais vite.
Quelques heures plus tard, les cinq hommes abbordèrent Sophia comme convenu, j´étais non loin de la la, prêt à changer les plans de la compagnie de boinoir.
- Salut, ma belle, laisse tomber ces gamins et viens avec des vrais hommes.
- on va pas te manger, mignonne!
C´était prévisible, les garcons du groupe de la fille Traevis ne bougaient pas.
- Faites quelque chose les gars!
- Euh... je vais aller ailleurs moi
- moi aussi
- Attendez moi!
La rue était déserte sauf les hommes et la fille.
Je bandis mon arc et résolu le problème aussi simplement que possible, une, deux, trois, quatres flèches.
Sophia me regarda, puis se jeta dans mes bras en pleurant.
- Oh, merci, merci mon heros!
Malheureusement, ses amis choisirent ce moment pour revenir.
- T´en a mis du temps pour les tuer, dunmer.
- Maintenant dégage!
Sophia s´énerva brusquement, les insulta, prit ma main et m´emmena dans la grande rue.
Elle me parla en riant de sa découverte de la stupidité de ses amis, de mon physique, de mon héroïsme.
Je lui proposai de boire quelque chose pour se remettre de ses émotions.
Après sa cinquième skouma au bar, Sophia ne tenait plus en place, elle hurla qu´elle voulait une chambre pour elle et moi, puis elle m´y tira violement.
- *hic* j´te veux, la maintenant!!
Elle enleva son pull et s´alongea sur le lit.
- *hic* vi... viens la *hic* monche... mon *hic* chéri... atta... *hips* ...che moi zau lit viiite!
je fermai la porte a clef, et l´attachai au lit avec une corde de chambre, elle avait l´air de prendre beaucoup de plaisir. Antonneta avait raison au sujet de ses goûts.
- Fais moi hue *hips*... fais moi hurler... emmène mo *hic* moi au septième ciel tout de suiiite!
Je sortis ma lame de malheur en silence.
Parfois, j´adore vraiment mon travail.
Je refermis le journal du courrier du cheval noir. Apparement, une noble et ancienne famille avait été retrouvée tuée sauvagement et atrocement chez elle, les gardes supposent que la fille de la famille avait commis le meurtre, et s´était suicidée en se percant le coeur avec une dague, son corps était dans une chambre de la taverne ***, par terre, nue et sans blessures extérieures.
Antonneta qui lisait au dessus de mon épaule se mit à rire toute seule.
- Ces gardes sont des détectives nés, vous ne trouvez pas, mon très cher frère? Ocheeva est en mission, donc je vous remets solonnelement le bandeau noir, j´espère qu´il est à votre taille.
Le bandeau en question était une bague qui, une fois que je l´eu enfilée, me fis me sentir plus rapide.
- Ne me demandez pas pourquoi cette bague s´apelle le bandeau noir, c´est comme ca depuis un moment dej...
La porte du sanctuaire s´ouvrit brutalement, et une nuée de chauve souris noires y pénétrèrent, et d´un coup, elle se rassemblèrent avant de prendre une forme humaine, qui m´adressa la parole.
- Enchanté, mon frère, Je m´apelle Vincente Valerai, vous devez etre celui dont Ocheeva m´a parlé qui n´a pas de nom? Magnifique, tout simplement magnifique.
Je n´arrivais pas à défaire mon regard du visage de Vincente, ses yeux, ses dents... J´avais en face de moi en vampire, et un assez ancien.
- Mon apparence vous surprends, peut etre? Ne vous en faites pas, mon frère, je ne me sers de mes "dons" seulement contre ceux qui me nuisent, mais venons en au motif de ma venue, j´ai plusieurs contrats pour vous, le plus récents est le suivant, vous allez devoir être invité à un mariage à Chorrol, et tuer le marié au moment ou il devrait donner sa réponse devant le pasteur et les invités, naturellement, vous ne devez pas être vu au moment du meurtre, mais présent pendant l´enquête et le reste de la cérémonie, vous aurez une prime si vous n´avez pas le moindre problème avec la garde. Pour les détails, vous devrez vous adresser à la mariée, c´est elle qui à prié Sithis.
- C´est un bon contrat pour vous, mon frère adoré.
Les règles basiques de politesses veulent de ne jamais refuser une invitation à une mariage, surtout quand la fête s´annonce aussi excellente.
Contrat 2: Mariage avec Sithis
Avant de partir, j´avais discuté avec Taleandril, c´est une elfe des bois assez agée, mais plutot sympatique, et experte en flèches et poisons divers, c´est elle qui fais les courses, et s´occupe de l´achat du silence du gouvernement de Cheydinhal.
- Un moyen de tuer une cible de manière à ce que sa mort soit vue par des centaines de gens, sans que vous soyez vu vous? Allons mon frère, vous n´êtes pas sérieux... Si? Eh bien je n´ai pas grand chose à vous proposer dans ce contexte... Peut etre une flèche de mort à retardement? Une flèche superbe dont le métal se fragmente dans le corps une fois la chair touchée, provoquant une mort innatendue quelques minutes plus tard... J´ai aussi la flèche de mort a retardement douce, qui elle inocule un poison de solancée tuant la cible entre cinq et dix minutes plus tard.
Antonetta choisit ce moment pour venir me donner son avis.
- Commencez par la base, gagnez la confiance du mari, ainsi, lors de l´enquete des gardes, les témoins pourront dire à quel point vous et la victime étaient proches, mon cher frère... et prenez ca, aussi!
Antonetta me donna un flacon contenant un étrange gaz bleuâtre.
- C´est du gaz de nimroot, en contact avec les yeux, il fait pleurer à chaudes larmes, ça pourra vous servir, maintenant, mon frère, ne vous faites pas tuer! enfin, euh...
Je remerciai Taleandril et Marie Antoinetta et me mis en route vers Chorrol.
La future mariée fut à l´heure au rendez vous que je lui avais fixé devant la maison abandonée, c´était une impériale, sensiblement plus agée que moi, elle avait peut etre autour de la vingtaine.
- Oh, vous devez être le... Bien, enchantée, je m´apelle Clemence Rosaline Feroth, l´homme que je dois épouser s´apelle Judek, un garderouge, ce mariage a été arrangé par mes parents, je ne veux pas me marier avec cet homme, quitte à ce que vous l´éliminiez.
Un détail m´intriguait, pourquoi devais-je le tuer devant tous ces gens? Et pas simplement d´un coup bien placé dans la nuque? Je lui posai la question.
- Mes parents, si il disparaissait comme ça, ils me trouveraient un autre nigaud, mais un meurtre aussi énorme, sous leur yeux, cela les dissuadera probablement de vouloir me chercher encore quelqu´un. Cela dit, lorsque les gardes mèneront l´enquete, si ils vous disent coupable, je ne pourrais rien faire pour vous, n´hésitez pas à envoyer des membres de la famille de Judek en prison, cela m´est bien égal.
Elle me tendit un parchemin rose, blanc avec des lettres dorées.
- Ceci est votre invitation au mariage, vous etes le cousin Elezar, votre portrait craché... vous et Judek avez étés dans la meme école il y a onze ans, vous aimez ...
Clemence m´en avait dit assez pour que je puisse me faconner une nouvelle idendité, elle m´indiqua que Judek passera toute la nuit à boire seul à l´auberge de Chorrol, ou je me rendis.
Lorsque Judek me vit, je fis mine d´être fou de joie et de surprise, il hésita, puis hurla de plaisir aussi.
- C´est le cousin Elezar! Moi aussi je suis content de te voir!! Bon sang, ca nous rajeunit pas, hein? Assieds toi!
Je hurlais au gros patron sale de servir une tournée générale et que c´était sur moi. J´avais fais les poches d´un des clients, cela couvrirait mon budget.
Je me mis a raconter en riant et avec émotion ce que j´avais fais après l´école, que je m´étais marié, que j´étais heureux, que la mariée était superbe, je racontais des anectodes amusantes de la jeunesse de Judek et moi...
- Excellente! Hilarante, vraiment! Tu te souviens quand le professeur nous a grondés? Il était arrivé vers nous et avait dit "que faites vous avec cette bierre?" et tu avais...
Judek avait de plus en plus confiance en moi, et enchainait les bouteilles d´hydromel à toute allure. Il se marierait demain, il était normal qu´il soit stressé, pauvre homme.
- Et ensuite mon pantalon est tombé!
il éclata de rire et j´en fis de même, ensuite nous fîmes en bras de fer, il m´écrasa completement, puis il me parla sollonellement.
- Je tiens à te dire, Elezar, que je te retrouve avec une joie énorme, mon ami.
Je lui rendis le compliment et l´invitai à aller discuter dehors, il me parla de son amour pour la mariée, de son excitation, de sa peur de ne pas être a la hauteur, je passais mon temps à le réconforter.
- Oui, tu as raison, Elezar, je m´en fais pour rien, je suis certain que nos sentiments sont partagés, regarde moi, je suis mort de trouille!
Ce genre d´ironie m´amuse toujours beaucoup, mais ce n´était ni l´endroit ni le lieu.
- Oh, Elezar, c´est toi?
Une femme rougegarde sauta dans mes bras, un détail m´échappait.
- Pourquoi tu ne nous as pas donné de nouvelles toutes ses années?
- Allons, Elezar, tu te souviens de Kat? Elle était avec nous!
Je finis par reconnaitre ladite Kat après ce bref "trou de mémoire".
Ils étaient la, à évoquer des souvenirs d´enfants, et je participais autant que possible.
- C´est bien que Judek se marie enfin, après notre relation houleuse...
- Pitié, ne reviens pas la dessus, Kat!
- Comment vas ton ex femme, Elezar? Tu sais bien, marguerite?... Je te sens different, Elezar, tout vas bien?
J´accusai le coup de la fatigue, et je retournai à l´auberge pour me changer et me préparer, je n´avais toujours pas d´idée de comment accomplir mon contrat correctement.
Je pus mettre des habits plus élégants pour la cérémonie.
Le lendemain, en arrivant à l´église, je pus remarquer que le nombre de gardes déployés était énorme, et qu´il y en avait partout, pas la moindre ouverture.
J´avais sur moi les deux flèches, le gaz de ninroot et ma dague, mais je n´avais aucune idée de comment les utiliser sans etre vu, de plus, le marié semblait vouloir rester dans sa loge jusqu´au dernier moment.
Puis il sorti, il avait l´air très nerveux, la salle toute entière applaudit, et Kat, qui était assise à coté de moi me dit a quel point elle trouvait se moment beau et était heureuse de voir ses deux meilleurs amis mariés.
Je me levai et allai serrer la main de Judek, qui avait les larmes aux yeux.
- Elezar, c´est les neufs qui m´ont benni pour me permettre de retrouver mon ami le plus cher, merci, merci d´etre la.
Il me serra dans ses bras et une vague d´émotion traversa la salle, je me rassis car le pasteur me fit signe.
Quand elle arriva, la mariée me jeta un regard plein de doutes, puis se placa a coté de son époux.
- Ils sont magnifiques, tu ne trouves pas elezar?
La rougeguarde posa sa tête contre mon épaule en pleurant, et le pasteur prit la parole.
- Nous sommes réunis aujourd´hui, en ce lieu sacré...
La tension était palpable au moment du verdict final.
- Clemence Rosaline Feroth, acceptez vous de prendre comme époux Judek Skylye?
- J´accepte, de tout mon coeur.
Judek commencait à s´essuyer le visage avec un mouchoir.
- Judek Skylye, acceptez vous de prendre comme épouses Clemence rosaline Feroth?
- Je... je...
La salle entière se mit à hurler lorsque Judek s´écroula. Mon stratagème avait marché, glisser la pointe empoisonée de la flèche dans le creux de ma main. Il avait probablement du souffrir, je l´admire de ne pas avoir hurlé, à son propre mariage en plus.
Les gardes fermèrent les portes et hurlèrent au gens de rester calme.
- CALMEZ VOUS, CECI EST UN MEURTRE, RESTEZ ASSIS OU VOUS SEREZ ARRETES!
Les gens s´assirent en protestant silencieusement, Kat pleurait, mais de chagrin à présent, elle se serait contre moi tant elle semblait choquée.
- Quelle horreur... non... non... pas lui...
Je la reconfortai, tandis que les gardes interogaient les gens.
- C´EST LUI, C´EST CE DUMNER! JE L´AI VU TOUCHER LA VICTIME EN DERNIER!
- Moi aussi! Arretez le!
- Il a jeté un regard bizarre à la mariée!
J´avais un peu trop attiré l´attention sur moi, c´était mauvais.
- Ne t´en fais pas, je sais que tu es innocent, tu étais un ami très précieux pour lui, tu sais?
Je pris le flacon de gaz de ninroot et j´en appliquais sur un mouchoir comme si il s´agissait d´eau normale, avant de le donner a Kat en lui disant de sécher ses larmes.
- Tu es si gentil... Je... Je suis heureuse de t´avoir retrouvé Elezar, vraiment...
Deux gardes s´approchèrent de moi, prêts à dégainer leur armes, et avec une certaine envie de me tuer, probablement.
- Debout, suis nous jusqu´au chateau, plus vite que ca.
- Il... *bouh* Il est innoooooceeeeent *snif*
Kat pleurait à présent à chaude larmes, comme si elle avait vu un enfant de neuf mois coupé en morceaux, ou quelque comme ca.
- C´était *ouiiin* un ami très proche *snif* de la victime... TRES...
- Madame, je vous demande de vous calmer.
Voyant que Kat ne se calmait pas, les gardes se regardèrent, puis me reparlèrent.
- Votre amie, a t´elle fait quelque chose de suspect ces jours ci?
Je leur racontai sa liaison avec Judek dans leur jeunesse, ses larmes permanantes, sa jalousie de la marié, et surtout cette pointe de flèche que j´avais découvert à ses pieds.
- Qu *sob* qu´est ce que tu racontes Elezar?
- Toutes nos excuses de vous avoir accusé à tort, monsieur.
Le chef des gardes cria aux autres soldats.
- Emmenez la et faites la parler!
Kat cria au secours en se débatait, pleurait et clamait son innonce, combiné à ses larmes, cela donnait à la scène un côté dramatique fort interessant.
Les invités s´excusèrent de m´avoir accusés, et me dirent tous qu´ils savaient que cette sale rougeguarde était une dingue depuis le début, je leur répondit qu´ils avaient bien raison.
A la sortie de l´église, j´ai été question par un reporter du cheval noir, qui a baptisé son article: "On a frôlé l´erreur judiciaire, racisme contre les dumners?"
Le regard que me jeta Kat quand elle vit mon bandeau noir alors que je parlais au journaliste fut superbe.
Agir dans l´ombre peut avoir quelques moments satisfaisants.
mrd arrete décrire prend une pose ya encor personne qui a lu les premier lol
C´est énorme, j´adore, bourré d´imagination, j´ai adoré franchement moi je veux voir le contrat3
sauf qui vaut attendre que quelqun lise le 1 chapitre et vive la confrérie noire
vive Sithis,vive l´assasinat et vive le massacre a la ptit cuillere
Note à moi meme: penser à dormir 0o
o put1 t´as un de ces talents mon gars j´ai lu que les deux premiers mais c´est excellent notament le passage avec les deux aldmers
Excellent !! Vivement la suite :p
ps: Vive Sithis !! !
Super
C´est super bien rédigé, passionnant et en plein il y a du suspense.
Vive la suite
En me reveillant ce matin la, je me sentais un peu fatigué, j´avais passé la nuit à faire des cauchemards ou Kat me regardait fixement dans les yeux en pleurant et en me suppliant de la sauver. Ce genre de rêves que je voudrais avoir plus souvent.
Taleandril ne s´était pas fatiguée ce matin, le repas se limitait à quelques fruits frais.
Avant de commencer à manger avec les autres, j´inspectais le plat à la recherche de poison, c´est une vieille habitude dont je n´arrive pas à me défaire.
- Allons, mon frère, vous êtes de la famille depuis un moment deja, mangez sans crainte.
Je me contentai d´une pomme, je mange généralement assez peu.
L´orc appartenant à la confrérie noire, dont le nom m´échappe un peu d´ailleurs se mit à hurler de rire en lisant le courrier du cheval noir.
- Ecoutez moi cette merveille! "Crime ordinaire, assassinat lors d´un mariage à Chorrol, un des invités, monsieur O. Elezar à été accusé injustement du crime de son meilleur ami car il est dunmer..."
Les mots "accusé", "injustement" et "dunmer" étaient soulignés et encadrés, ce qui encore plus rire l´orc.
- "... tandis que la coupable était en fait une rougegarde, jalouse du mariage de son ami avec lequel elle avait eu une relation amoureuse quelques années plus tôt. "Je suis outré, choqué et trouve pathétique ce racisme primaire contre les dunmers!", s´exclame Fathis Arus, président de la société de voyages de Morrowind a Cyrodiil.
Pour conclure cet article, je dirais que dans ce monde qui se perd, il nous faudrait tous des amis fidèles comme O. Elezar, qu´importe qu´il soit impérial ou dunmer."
Et l´orc, que j´appelerais Gro, se mit à rire encore plus fort en tapant sur la table, ce qui énerva Taleandril.
Puis Gro feuilleta le journal et le referma.
- Eh bien, vous êtes à la deuxième page, bravo mon frère! Ca me rapelle une anectode amusante, je devais executer une fille, alors je suis allé chez elle à son anniversaire, j´ai démoli la porte avec...
Antonetta était en mission, comparée a Gro, elle était discrète.
C´est amusant de penser que quelqu´un d´aussi énorme pouvait être un assassin, mais cela donne à notre équipe une forme interessante, nous avons tous des styles de meurtres différents, Gro à apperement choisi la voie de la violence extrême.
- ...Et elle m´a dit: "Es tu le clown?" Alors je lui ai répondu "Non, je suis le messager de la mort!"
- Pitié, tu racontes toujours cette histoire, toujours.
Ses tribulations semblaient exaspérer Vincente, qui m´adressa la parole.
- Vous avez fais un usage excellent de la flèche de mort à retardement, excellent travail, j´ai autre chose à vous proposer, d´un genre tout à fait different auquel vous n´avez pas encore à faire, l´intimidation.
Cela m´interessait, je lui demandai de m´en dire plus.
- Excellent, mon ami, excellent. Le sous prefet de Cheydinhal est en train d´essayer de convaincre le gouvernement de raser notre sanctuaire, s´est un homme d´honneur, la corruption ne l´a pas affectée, et il est hors de question de le tuer, ou s´est le gouvernement entier qui serait sur nous... il s´agirait d´entrer dans sa maison, et de lui faire passer une nuit qui le dissuaderait de se liguer contre nous, et lui ferait comprendre qu´il devrait rester silencieux. vous seriez particulièrement récompensé si le sous prefet n´avait pas le moindre degat corporel.
Je lui demandais si je pouvais y aller franchement pour l´effrayer.
- Vous avez carte blanche, mon ami, et que ce soit sanglant.
Contrat 3: Peur noire
Ocheeva était revenue depuis peu au sanctuaire, j´allai lui parler de mon contrat, et de la prime de ma dernière mission.
- Oh, salutations, mon frère, avez vous bien travaillé pendant mon absence? Vous m´en voyez ravie, voila pour vous, ce sort devrait vous être utile.
Je sentis les essances magiques me traverser l´esprit, en me concentrant un peu, je pouvais y voir clairement de nuit comme de jour.
Puis je racontis à l´argonienne mon contrat.
- Une intimidation, vous dites? Vincente croit en vos capacités, en principe, nous confions ce genre de travail aux khajits, le nôtre est absent depuis quelques temps, d´ailleurs... Enfin... Le sous prefet Henriko Sylkis est un homme stoïque, de simples menaces ne lui ont rien fait, il compte déposer son accusation demain, non? Hhm... Tout ce que je peux vous dire, c´est qu´il a une femme très jeune, un petit garcon et un chien qu´il aime énormément. Vous savez utiliser l´invisiblité, non?
Je lui répondis que je savais, mais que c´était mentalement épuisant pour moi et que ca me laissait sans défenses.
- Alors prenez ca.
ocheeva me donna une petite aiguille jaune et brillante.
- C´est une aiguille de coma simulé, il continent des extraits d´herbes de sang, une goutte dans le sang, et la cible dormira une quinzaine de minutes, cela vous laissera le temps de préparer votre plan mintieusement, vous pourrez l´utiliser deux ou trois fois. Henriko laisse toujours la chambre de son garcon ouverte au premier étage. Oh, et sachez que la femme de Henriko rentrera plus tard que prévu du travail... A présent laissez moi, je dois aller me reposer. Bon courage, mon frère.
Je remerciai Ocheeva pour sa patience et son professionalisme et quittai le sanctuaire.
La maison de Henriko était assez imposante, sans être trop énorme pour autant. Le chien aurait pu être ennuyeux, mais le morceau de viande acheté au magasin du coin m´assurerait son silence.
La nuit n´était pas encore tombée, j´ai du tuer le temps en bavardant avec les gens.
Le prince gris serait vraiment une machine à tuer sanguinaire, dans l´arêne, j´irais peut etre y faire un tour un jour.
La nuit bien tombée, et la rue vide, je me glissais dans la chambre du garçon de Henriko, il dormait a poings fermés et serrait un gros ours en peluche de sa taille.
Charmant bambin.
Je fermis la fenêtre soigneusement et allai dans le couloir, avant de monter à l´étage.
Je m´y attendais, le chien, un très petit animal poilu se mit à abboyer en sautillant autour de moi. Je sortis le morceau de viande de ma sacoche, et lui donnai en lui caressant la tête.
Les chiens sont des animeaux extrêmement rares en Tamriel, celui ci a dû lui couter une fortune. Je lui caressais la tête alors qu´il mangait sa pitence silencieusement, et arrivai à la chambre de Henriko. Ocheeva avait raison, sa femme n´était pas la, mais le sous prefet dormait paisiblement. L´aiguille se planta doucement dans son bras, Henriko ouvrit brièvement les yeux, mais les referma en se rendormant en ronflant bruillament, je refermai la porte, et retournait dans le couloir en direction de la chambre du fils d´Henriko.
Le petit chien, qui avait terminé son repas, s´approcha de moi gaiement en sautillant, remua la queue, et s´assit en face de moi en faisant le beau et en tirant affectusement la langue.
Je levai le doigt comme si j´allais sortir une gourmandise de ma sacoche, mais l´objet qui en emergea était fin, noir, métalique et tranchant.
Le chien regardait la lame de malheur s´approcher de sa tête minuscule avec un sourire beât et la langue a l´air.
Si les humains étaient aussi stupides, mes contrats gagneraient en divertissement, mais perdraient en intêret.
Après avoir disposé les diverses parties ensanglantées de la carcasse de Toby (Oui, il portait un collier portant le nom Toby)dans divers endroits de la maison, je reprit mon chemin vers la chambre de l´enfant.
Je fis grincer la porte, ce qui le fit se dresser dans son lit, il devait avoir quelque chose comme sept ans, âge d´innocence. Il faisait noir complet, mais moi, je voyais parfaitement son petit visage blanc et ingénu, plein d´incompréhensions. Fantastique.
- Bonjour? Qui etes vous? Un ami de papa?
L´ours en peluche allait me permettre de donner libre cours à mes pulsions cruelles.
Je me souvins des derniers mots de Vincente.
"Que ce soit sanglant"
Oh oui... Ca allait être sanglant.
Henriko allait avoir une excellente surprise lorsque le poison de coma ne ferait plus effet.
C´est à ce moment la que j´aurais du quitter la maison et aller faire mon rapport, mais vieux valait que je m´assure qu´Henriko aie une sacrée peur.
Après avoir terminé mes préparations, je me tapis dans l´ombre de sa chambre et attendai.
- Oh, quelle cauchemard étrange, tu es la chérie?
Henriko secoua sa tête, sa femme n´étant pas encore rentrée, il devait etre autour de onze heure. Il regarda la place de sa femme, son chien adoré, Toby, était à sa place, sa petite tête émergeait de la couverture. Henriko sourit doucement et caressa son animal favori.
- Toby, qu´avions nous dis au sujet de...
Le sourire de Henriko disparu subitement quand il réalisa que la tête de Toby était restée dans sa main et n´était plus attachée à son corps, il poussa un tel cri que je failli éclater de rire, mais je me retins.
- Non de... Qu´est ce qui se passe ici?!
Henriko ouvrit son armoire et en sorti une torche qu´il alluma rapidement, et une lumière légère éclara la pièce. Je me déplacais à son rythme et suivais ses geste, il me repérait pas.
Bien qu´en etat de choc, Henriko paraissait encore lucide.
- Vous êtes de la confrérie noire? Maudit pourri... Vous ne me faites pas peur!
Je ne répondis meme pas, ce qui le fit perdre son calme.
- Montrez vous pourriture!!! SORTEZ DE VOTRE CACHETTE! Je vous détruirais, je...
Henriko devint plus pâle lorsqu´il vu une patte de chien dans une flaque de sang trainer par terre, il paniqua encore plus quand il réalisa que les parties coupées de Toby formaient un chemin qui menaient droit à son placard.
A ce stade, Henriko était deja moins fanfaron.
Il ouvrit lentement l´armoire et un poussa un hurlement bestial avant de courir vers le couloir.
Une note de sa femme qui disait: "N´oublie pas de t´occuper de Thimothé", j´y avais un petit sourire de sang.
Je le suivais dans sa course folle, il perdait vraiment les pédales, vraiment, vraiment.
Il poussa violement la porte de Thimothé, avant d´arreter net de bouger.
- Thi... Mothé?
J´ai manqué de créativité ici, c´était du deja vu, la tête de Thimothé et de son ours sortaient de la couverture, mais on ne voyait pas le reste du corps.
- Tout va bien?
Je finis claquer la fenêtre ce qui fit sursauter et hurler le sous prefet, et provoqua un coup de vent qui souleva la couverture.
Le pauvre, quel choc ça à du être de voir la tête de son fils attaché au corps d´un ours au peluche et vice versa. l´ours avait un coeur dessiné sur le ventre, il y était marqué "Je veille sur toi". Ca, par contre, c´etait effrayant.
Henriko commenca à courir vers la fenêtre, j´eu a peine le temps de le piquer avec l´aguille de coma.
- Oh, seigneur, que...
Henriko se réveilla, il était dans son lit, tout était calme et tranquille.
Il begaya, puis se mit à rire tout seul en maudissant ses rêves stupides.
Puis sa porte s´ouvrit, dévoilant sa belle et jeune femme qui venait de rentrer.
- Ah, chérie, je viens de faire un rêve hilarant, écoute ca...
- Chéri...
Je retirais ma dague de la nuque de Madame Sylkis, qui cracha un torrant de sang et s´écroula. Henriko n´avait probablement meme pas du me voir, et comprendre ce qui s´était passé. Il se pinca pour voir si il rêvait, et remarqua les cadavres au sol et paniqua, et hurla et me chercha du regard.
- VOUS ME FAITES PAS PEUR, ESSAYEZ DE ME TUER POUR VOIR, JE....
Il n´eut pas le temps de se retourner, il sentit ma main froide sur son épaule, main froide qui lui caressa la joue en respirant doucement juste à coté de ses oreilles. Il était très froid lui aussi, pétrifié de peur et pâle comme le corps de sa femme, des larmes se mirent à couler de ses joues et il tomba à genoux.
- Lai... Laissez moi... en vie... pi... pitié seigneur Sithis... Je...
La dernière dose de poison de coma le refit dormir, mais j´y ai ajouté une dose de fleur de Lys pour qu´il dorme jusqu´au moment de son accusation de la confrérie noire.
Je nettoyais la maison, me débarassai des corps.
Je n´avais laissé qu´un seul petit souvenir, un ours en peluche avec une tête normale à présent.
Lorsque Henriko se leva et vit le petit coeur rouge portant les mots "je veille sur toi", il devint blanc, livide et trembla énormément.
dans la journée qui à suivit cette nuit, toutes les accusations contre la confrérie noire ont été abandonées et Henriko Sylkis se suicida peu de temps après.
Petite pause, et je recommence.
C´est ultra passionant tu as enomément de créativité vivement la suite...
C´est sur que de la créativité t´en as mais je trouve que ça devient très gore. Bon c´est juste mon avis. Encore qu´il tue le chien pour lui faire peur mais le garçon de 7 ans et la jeune femme là çà fait de trop.
j´ai hate, c´est vraiment bien comme histoire, pourquoi ya pa de contract com sa ds oblivion
A mon retour au sanctuaire, j´avais surtout envie de me reposer, j´avais abusé de la vision nocture, et contracter ses muscles pour rester discret est extrêmement fatiguant.
Vincente avait l´air de s´attendre à me voir, il me salua et me parla très poliment, comme toujours.
- Vous avez fais un travail superbe, malgré un cri que la voisine à entendu brièvement, mais peu importe, mon charme vampirique s´assurera de son silence, félicitations, je vous nomme tueur.
Malgré le fait que j´aie monté en grade, j´était assez mécontant que mon travail n´aie pas été parfait.
- Je n´ai aucun contrat disponible en ce moment disponible pour vous, tous sont deja occupés, je suis navré, mon ami.
J´étais un peu déçu, mais ce n´était pas plus mal, je pourrais me reposer un peu, me changer les idées.
En allant vers les appartements, je vis Antonetta, Taleandril et Gro qui étaient habillés en civils et qui se dirigaient vers l´extérieur.
- Oh, mon frère adoré! Je vous félicite pour votre promotion! Je suis contente de ne pas avoir eu à vous enterrer! euh...
- Frère, nous allons aller à l´arene de la cité impériale, vous voulez venir avec nous?
- Y´aura le prince gris!
Je ne pouvais pas vraiment refuser, ce serait peut etre l´occasion de connaitre un peu mieux ces trois membres de notre équipe.
- Eh bien dans ce cas, allez mettre des vêtements normaux, frère, ce ne serait pas très judicieux de se promener dans nos armures de la confrérie en ville.
Taleandril avait raison, j´allai chercher mes vêtements de ville, et me recoiffai un peu, mes longs cheuveux blancs étaient un peu ébouriffés. Je choisis une simple tenue noire et simple.
Enfin, je rejoins mes trois copagnons, Antonetta siffla, ce qui ne fit pas rire, mais amusa beaucoup Gro.
- Prenez tout de meme votre lame de malheur, et des dagues... Oh, j´ai oublié de le mentionner? Nous serons suivis en permanence par une vingtaine d´agents de la guilde des guerriers "incognito", qui n´attendent qu´une erreur de notre part pour nous tuer, ils ne connaissent pas l´existence du sanctuaire, mais ont été payés par je ne sais qui pour nous suivre et nous arreter dès que nous sommes dans la cité impériale.
Je répondis a taleandril qu´efectivement elle avait oublié de me le mentionner.
- Je m´en excuse. Eh bien c´est simple, attendre, réfléchir, agir, massacrer, faire parler, les missions de groupe sont rare, c´est une expérience à tenter. Ces hommes de la guilde des guerriers sont très entraînés, et ensembles, ils nous détruiraient, c´est une mission risquée, qui nous demandera une bonne coordination... Vous etes avec nous, tueur?
Contrat 4: Présenter Sithis à la guilde
des guerriers
Marcher dans les rues du quartier de la place du marché de la cité impériale avec mes trois compagnons était assez étrange, je n´avais absolument pas l´impression d´être en compagnie de trois tueurs servant une divinité obscure.
Antonetta s´arretant pour regarder des boutiques de vêtements, Gro obsevant la qualité des armes des vendeurs de rue, Taleandril comparant les sorts bon marché et ceux faits par ses soins...
Cette transparence est la preuve de leur expérience extrême, à les voir ainsi dans la rue, l´idée qu´ils puissent être tueurs ne me viendrait jamais à l´esprit.
Puis Taleandril dit avec un large sourire a Antonetta, comme si elle racontait une blague la chose suivante.
- Regarde si on nous suit, il ne manquerait plus que ca!
Le garde qui passait par la regarda d´un air amusé Marie Antoinetta, celle qui semblait etre suivie par des séducteurs de rue.
- On est jamais trop prudente.
Le garde un peu éloigné, Antonetta marmonna quelque chose, et ses yeux brièrent d´une lueur bleue intense.
- Eye of slayer... Dix... Nous vingt hommes, dans les batiments, parmis les gens, ils portent des armures sous leur vêtements... Et... Oh, un archer est en train de nous mettre en joue à l´instant meme ddepuis la fenêtre a trois mètres au dessus de toi.
- C´est ennuyeux, il faudra éviter de faire la moindre chose suspecte.
Gro se mit à mire et fit signe a Antonetta de s´écarter.
- GARDE, UN ASSASSIN VEUT NOUS TIRER DESSUS DEPUIS CE BATIMENT!
- Par les neufs, vous avez raison! Ecartez vous citoyen, nous nous en occupons!
Trois gardes pénétrèrent dans le batiment, je pus entendre brièvement des bruits de combats, et puis plus rien.
- Deux de moins.
- parfait, allons au restaurant de l´arene à présent, en plus de pouvoir observer le match, nous aurons un bon point de vue sur nos poursuivants.
Cette brève démonstration de travail d´équipe ne m´avait pas laissée indifferente.
Puis nous avions été nous installer dans le restaurant de l´arene, misé sur l´équipe bleue, et j´avais commandé une salade.
- Je veux les hors d´oeuvres variée, le steak du chef, le menu du roi, la tarte de septim, les...
- Il a les yeux plus gros que le ventre, des salades pour nous tous.
- Bien madame.
La terasse était entièrement remplie et le brouhaha était complet, parmis tous ces gens, il devait y en avoir au moins cinq à éliminer.
Je demandais à antonetta ce qu´était l´eye of slayer.
- Oh, c´est un pouvoir de ma composition, je détecte les êtres vivants avec de mauvaises intentions avec une portée assez élevée, le mysticisme, ca me connait!
Ma magie se basait surtout sur l´illusion.
Gro prit la parole, l´agitation était telle que personne ne faisait attention à nous.
- Comment on va les tuer? Le coup du garde ne marchera pas deux fois, et hors de question de leur rentrer dedans, car la garde impériale nous tomberait aussitot dessus.
- Regardez! C´est le prince gris!
Gro ainsi que tous les gens s´étaient levés et se collaient a la barrière pour observer leur idole, un orc très pâle, qui, raconte-on, est le guerrier le plus puissant de cyrodiil.
Deux hommes de la guilde des guerrier s´étaient levés et s´étaient mis autour de Gro, contre la barrière, pour surveiller leur cible tout en regardant le match.
A ce moment, dans la confusion et le bruit, je pus voir Gro appuyer sur la barrière, ce qui la fit tomber, en entraînant avec elle les deux guerriers, ainsi qu´un civil et Gro lui meme que Taleandril rattrapa avant sa chute. Cette elfe est d´une rapidité incroyable.
- Vous allez bien, vous deux?
- Oh, merci madame l´elfe, merci! Vous etes ma sauveuse! Laissez moi vous remercier, je...
- Oh bien, quel accident stupide, hein, merci ma soeu... merci Taleandril.
Les visages des trois autres guerriers dans la salle fulminaient de colère, et ils se dirigèrent vers les toilettes.
Antonetta me fit signe de venir, et me prit par la main comme si nous étions un couple amoureux allant innoncement vers les toilettes pour s´amuser.
Deux guerriers entrèrent dans les toilettes des hommes, le troisième attendait dehors, nous étions à bonne distance.
- Bon, mon frère adoré, un seul de ces hommes, en combat normal, nous tuerait sans mal, nous ne sommes pas des guerriers, excepté Gro-Gark. Ne vous faites pas avoir... Oh, je m´occupe de celui dans l´entrée, et vous tuez les deux à l´intérieur, hors de question que j´entre dans les toilettes des hommes.
Il me restait la corde que j´avis utilisée pour Sophia, je savais quoi faire, exactement, restait le problème de l´entrée dans ces toilettes, mais Antonetta s´approcha du garde en souriant et en ouvrant un peu sa chemise.
- Salut, beau mâle, j´ai vu que tu me suivais...
- Euh, oui, euh...
Antonetta lui lecha la joue de manière très sensuelle, je suppose.
- Me voila, homme de mes rêves!
Antonetta se mit à embrasser l´homme violement, à pleine bouche, avec une intensité énorme. Le guerrier semblait prendre du plaisir, mais d´un coup, il ouvrit les yeux et se mit à pousser des gemissement et à essayer de se degager de l´etreinte d´Antoneta.
L´homme recula et essaya d´hurler, mais ce ne fut qu´une espèce de couinement. Antonetta avait arraché sa langue avec ses dents.
Marie Antoinetta recracha la langue, et se lecha les babines avant de trancher la gorge du guerrier et de ranger sa dague en un mouvement rapide.
- *slurp*... vous êtes encore la, vous très cher frère?
Je m´excusai et poussai la porte des toilettes, j´entendais les deux guerrier discuter.
- Ces mecs sont des tueurs de sang froid, des pros, ils savent bien qu´on est la, on les aura jamais en flagrant délit!
- Je ne sais pas, moi ils me font peur...
- Quoi? Ca, c´est la meilleure, j´en combats trois à la fois si tu me le demandes!
- Ouais, mais tourne leur le dos une minute, et tu seras tué comme... Qui es la?!
Les guerriers regardèrent la porte, elle semblait s´être ouverte toute seule, car personne d´autre n´était dans les ignobles toilettes publiques.
- Le vent, je suis trop nerveux, trop nerveux.
- Comment vont tes mômes?
- Bien, demain je prends congé, ca fait depuis longtemps que je ne les ai pas vus.
Subitement, sans raison apparente, la torche qui éclairait ces toilettes intérieure s´était eteinte, laissant les gardes seuls dans le noir.
- Terry, lache ma tête, arrête de stresser, je suis la.
- Mais... je ne tiens pas ta tête.
- Mais alors qu...
Il y eu un bruit de verre brisé et un cri de douleur, paniqué, l´homme appelé Terry lanca un sort de flamme pour ralumer la torche. Son ami avait la tête enfoncée dans le miroir, des éclats de verre lui avaient lacéré le visage.
- T´as signé ton arret de mort, chien! Tu peux pas te cacher dans ces toilettes!
Une corde jaillit du plafond et attrapa le cou du guerrier, qui fut levé du sol et pendu, il agonisa une seconde, puis mourra enfin.
Je jetai les trois corps dans les egouts infâmes, tirai la chasse, et sorti des toilettes.
Antonetta reprit ma main, et lorsque nous fûmes revenus à la surface, un rougegarde siffla en nous voyant revenir des toilettes ensembles et décoiffés.
- Vous auriez du voir ca, le prince gris à anihilié trois brétons, deux impériaux et cinq khajit, il a prit son épée et...
- Rapport? Ils commencent a s´impatienter, si ça continue, il vous nous attaquer sans tenir compte de notre innoncence.
Je lui dis qu´Antonetta et moi avions tué trois des leurs.
Taleandril réfléchit quelques instants.
- Bon, Marie et Gro-gark, allez vers le quartier du port, trouvez une maison isolée, et Gro-Gark, tue les tous.
- Ouais, je vais les éclater un à uns!
- Quand à vous, mon frère, venez avec moi vers le quartier de la place talos, que sithis soit avec vous.
Antonetta et Gro partirent vers le quartier du port, suivis de pret par quatre ou cinq hommes, laissant les cinq autres sur nous.
la rue était complètement vide, mais ils gardaient une certaine distance.
- Vous avez compris?... Bon, mon frère, je crois qu´il faut attirer leur attention.
L´elfe sorti tranquillement son arc, prit une flèche à la pointe étrange, et tira. La flèche toucha sa cible bien qu´elle eut été a une centaine de mètres, le guerrier touché toussa, son corps sembla se déssécher très rapidement, se décomposa et brula avant de se changer en un nuage de poussière noire qui fut balayée par le vent.
- La rose de Sithis, sa fabrication est très difficile, et elle n´a aucun effet sur les armures, il faut toucher les parties vitales, je ne voulais pas l´utiliser pour si peu, mais nous avons l´attention que nous méritons.
Ils ne jouaient plus, ils voulaient vraiment nous tuer, ils se mirent à courir vers nous.
C´est la que ca devenait amusant.
A l´aide de crochets, j´ouvris la cerrure de la maison à coté de laquelle nous nous trouvions, l´elfe et moi y entrions, tandis qu´un homme d´une trentaine d´années appartenant à la garde impériale s´approchait de nous, il n´avait pas son armure.
- Jessie! Il y a des gens dans le salon! Apporte moi mon épée et mon armure.
D´un geste précis, je lui tranchais la gorge, et ce moment la, les hommes de la guilde des guerriers firent irruptions dans le salon, ils nous regardèrent Taleandril et moi avec des yeux plein de peur et de colère en voyant le cadavre.
Je leur fis "au revoir" de la main, et je me rendis invisible, tandis que l´elfe usait de l´altération pour passer à travers le sol.
La femme appelée Jessie cria et des gardes impériaux pénétrèrent dans le salon.
- Meurtre d´officier, vous allez en baver, mes gaillards... la guilde des guerriers hein? priez pour que votre chef ne sois pas trop dur.
Le dernier survivant de l´escouade de la guilde courrait dans la jardin elfique au coucher du soleil pour essayer de s´échapper, mais trois ombres et une machine à tuer étaient deja autour de lui.
- Vous... vous pouvez faire ce que vous voulez, je ne parlerais pas!
- On verra ca.
Ce garde impérial avait été relativement endurant, les sceances de violence pure de Gro ne le faisaient pas parler, mais le sadisme primaire d´Antonetta, coupage de doigt et autres, avait fini par fonctionner.
- Je... JE VAIS PARLER!
- *fiouh*, je commencais à me demander quoi couper, mon frère adoré.
- C´est le Philidas Remus! Philidas Remus! Arretez je vous en supplie!
- Le célèbre marchand?
Adamus Philidas était un marchand Bréton, qui a toujours été persuadé de l´existence de la confrérie noire, certains le disaient fous, d´autres génial, mais en nous recherchant aussi activement, il avait franchi un pas dangereux.
- Autre chose?
- Oui! Oui! Un livre prouvant l´existance de la confrérie noire est deja parru a Anvil! Liberez moi!
- Hhm, ca, c´est ennuyeux.
Vincente se mit à faire les cents pas.
- Impossible de tuer tout Anvil, ce serait absurde, par contre...
Vincente nous regarda et haussa les épaules.
- Reposez vous deja cette nuit, vous en avez besoin, excellent travail.
Vincente se retira, nous laissant seul avec le prisonier, toujours enchaîné à une chaise couverte de pointes métaliques.
- J´ai tenu ma parole, libérez moi, je vous en supplie!
Nous nous sommes souris tous les quatres.
Quand ils sont naïfs, c´est toujours tellement plus amusant de s´occuper d´eux.
La nuit allait être longue.
Kartman04:
Justement, la violence est au coeur même de cette fic, les personnages étant des tueurs psychotiques prenant un plaisir fou à tuer.
Dans la même veine, le passage dans Oblivion ou il faut tuer toute la famille Draconis pourrait être horrible, si je le mettais sur le papier, ou même le passage ou il faut purifier le sanctuaire...
La violence est aussi le coeur des quetes de la guilde des assassins, mais elle est représentée par des images, et pas par des mots.
la suiiiiiiiiiiiiite