La course-poursuite en speeder sur Endor est l’une des scènes les plus emblématiques de Star Wars : le Retour du Jedi. À l’occasion des quarante ans du film, Lego a sorti un set de 608 pièces qui lui rend hommage. Voici ce que j’ai pensé de ma session de montage !
Sommaire
- Déballage : une petite construction, mais bien organisée
- Une construction qui prend son temps pour se révéler
- Une construction sans piège réel
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Quelques semaines après avoir assemblé le Diorama de la salle du trône de l’Empereur, un set Star Wars sorti à l’occasion du 40e anniversaire du Retour du Jedi, je me suis lancée dans la construction d’un autre ensemble sorti en même temps : celui qui reproduit la scène de course-poursuite entre Luc, Leia et les scout troopers sur la planète Endor. Il s’agit d’une séquence emblématique du film, et elle n’avait pas encore eu l’opportunité d’être immortalisée en Lego.
C’est désormais chose faite, avec un set d’assez petite taille : 608 pièces seulement. C’est moins que celui qui représente la salle du trône de l’Empereur, qui en compte 807 de son côté. Cependant, la boîte est présentée comme une scène collector, recommandée pour les constructeurs de 18 ans et plus. L’idée est d’exposer la construction lorsque celle-ci est terminée : elle n’est pas destinée à un usage ludique, qu’on se le dise !
Déballage : une petite construction, mais bien organisée
La boîte du Diorama de la course-poursuite en speeder sur Endor comprend un ensemble de cinq sachets et trois plaques qui viennent s’ajouter à l’ensemble. Pas de petits sachets de pièces supplémentaires au programme : la construction s’annonce claire et nette.
Le guide de construction introduit le diorama avec deux pages d’explications qui racontent la genèse de la scène, sa place au sein du film, mais aussi la manière dont le set de Lego a été imaginé. Comme de coutume avec ces boîtes Star Wars événementielles, tout le texte est en anglais. Il est cependant possible de trouver une version française en téléchargement sur le site de Lego.
Une fois les présentations faites, il est temps de se lancer dans l’assemblage de cette construction, qui prend le temps de planter le décor.
Une construction qui prend son temps pour se révéler
Les deux premières grandes étapes de construction sont assez étonnantes, car elles sont plates. En effet, la première étape consiste simplement à faire le contour de la base, tandis que la deuxième se résume à positionner de nombreuses petites plaques qui permettent de créer les bases de la végétation.
Si la première étape est très calme et peut se faire sans réfléchir, la deuxième demande un peu plus de concentration pour ne pas faire d’erreur en plaçant les différentes pièces. Comme il s’agit de pièces plates, en cas d’erreur, il faut utiliser le fameux accessoire orange fourni pour déplacer les briques et les remplacer correctement. J’ai fait l’erreur une ou deux fois, sans incidence. Cependant, le placement de ces pièces est important pour la suite, c’est pourquoi il vaut mieux ne pas se tromper.
Il est intéressant de constater que cette construction prend particulièrement son temps pour se révéler. C’est finalement à l’étape trois que la construction « sort de terre », avec un premier arbre qui donne de la verticalité à l’ensemble.
Par ailleurs, tout comme pour le Diorama de la salle du trône de l’Empereur, il n'y a aucun autocollant à mettre en place sur les différentes pièces.
Une construction sans piège réel
J’ai pris énormément de plaisir à construire ce set, parce que même s’il peut y avoir quelques points répétitifs, il ne présente aucune difficulté réelle. C’est donc du pur bonheur à l’assemblage ! J’ai notamment apprécié que Lego ne me fasse pas construire les deux arbres coup sur coup : ils sont présents à l’étape trois et à l’étape cinq. L’étape quatre, quant à elle, est principalement dédiée à l’assemblage des deux speeders qui constituent l’attraction numéro un de cette boîte.
L’ensemble est, en définitive, plutôt harmonieux. J’ai mis environ 1h30 à arriver au bout du Diorama de la course-poursuite en speeder sur Endor, et j’ai trouvé l’expérience très satisfaisante du début à la fin. Par ailleurs, non seulement aucune pièce n’a manqué, mais en plus de nombreuses petites pièces supplémentaires sont présentes, ce qui permet de réaliser un changement en cas de perte.
Au final, l’un des seuls points que je peux reprocher à ce diorama, c’est que lorsqu’il est positionné de face, il peut s’avérer difficile de voir les deux speeders en même temps. Même s’il est tout à fait possible de changer les speeders d’emplacement, il n’y a pas forcément la place nécessaire pour faire une mise en scène très soignée. L’arbre situé au premier plan a tendance à cacher une partie du plan, et il ne peut pas être déplacé. L’ultime petit défaut du set, c’est qu’il ne fourmille pas particulièrement de détails. Quelques clins d’œil supplémentaires auraient été bien vu : pourquoi pas un ewok caché dans le décor, par exemple ?
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Conclusion
Points forts
- Facile et agréable à assembler
- Peu de répétitions dans la construction
- Une scène épique bien retranscrite
- De nombreuses pièces en plus
Points faibles
- Peu de détails et clins d'oeil
- Pas facile de tout voir de face
- Un peu de concentration nécessaire sur l'étape 2
Note de la rédaction
En conclusion, le Diorama de la course-poursuite en speeder sur Endor se présente comme une belle petite boîte de Lego Star Wars qui peut s’ajouter à une collection. Sa place réduite, aussi bien en hauteur qu’en largeur, permet de lui trouver facilement une place sur une étagère ou dans une vitrine. Son assemblage facile, sans prise de tête, est également l’un de ses atouts. C’est une belle manière de célébrer le 40e anniversaire du Retour du Jedi tout en passant un bon moment à l’assemblage !