Les deux Yugo
C'est les deux, il me semble.
Le 06 janvier 2016 à 09:10:55 Mandoulis a écrit :
Les participants auront jusqu'à mardi prochain, minuit, pour poster un texte en relation avec leurs DEUX images!
C'est pas écrit assez gros?
Ce soir, l'action aurait lieu ce soir, plus rien ne serait pareil ensuite. Javier respira un dernier coup l'air frais de la liberté qu'il perdrait bientôt. Il le faisait pour le bien des autres, pour le bien du monde, pour envoyer un message. Ou simplement par esprit d'anarchie? Il n'était plus certain. Plus il s'approchait de l'instant, plus ses pensées s'embrouillaient. Javier se baffa. Merde! c'est pas le moment de douter, ça sert plus à rien, c'est le moment d'agir, on s'en fout des hésitations, maintenant on va casser des trucs! Pour le bien commun.
Il retrouva ses potes, Clément et Karim, il étaient comme lui, vestes en cuir, cheveux coupés courts, un air méchant sur le visage. Ils étaient tout trois lucides, sachant pertinemment qu'au lieu de classe et dangereux, ils passaient simplement pour des perdants. Javier soupira, de là où ils venaient, il n'existait pas d'autres façons de s'habiller, pas d'autres façons de penser que par la violence, pas d'autres alternatives... C'est aussi pour cela qu'il fallait agir.
Aucun ne parla, inutile, le décor avait été planté depuis des lustres, Javier restait seul avec ses pensées, ses doutes et son brouillard, ses deux potes en firent autant. Ils se passèrent des cannettes, pour passer le temps et se donner du courage. Une bière dégueulasse, mais pour rester lucide, mieux valait éviter l'alcool fort. La lumière du crépuscule laissa place à la nuit noire et puante habituelle Il était seulement 5 heure de l'après-midi. L'hiver était propice aux larcins, propice aux révolutions.
Ils se mirent en route, silencieux, calme, faisant profil bas pour éviter d'attirer l'attention trop tôt. Le stress laissa place à l'illumination. À quelques minutes de l'instant qui allait chambouler sa vie, Javier devint le centre serein de l'univers.
Cela faisait trop longtemps, des damnés comme eux se débattaient dans la merde pour une vie sans but, sans intérêt, sans rien. Des nantis et des bourgeois se baladaient tranquillement, la cuillère en argent fièrement plantée dans le cul, mangeait et buvaient et aucun malheur de se monde ne touchait leurs épaules soignées. Pire, ils regardaient ceux comme Javier avec un air hautain. Ça, il s'en fichait, c'est l'ignorance éternelle face à la misère des autres qui le rendait fou. C'est pour ça qu'il fallait des actions d'éclats, pour ne pas être oublié, qu'en bien ou en mal, l'attention soit portée sur eux, les perdus.
Le musée était en vu. Il avait ouvert aujourd'hui même, se targuait d'une collection de tableaux de maîtres et était la coqueluche du moment pour les richards. L'endroit parfait pour faire du bruit. La fermeture ne se ferait que dans une heure et demi, les vigiles haussèrent un sourcil en les voyants, mais les sacs à moitié vides et leur côté gauche n'éveilla pas plus d'attention. Personne ne remarqua que leurs vestes étaient trop grosses.
Dedans, enfin. Ils jouèrent les parfaits touristes, observant les œuvres, les tableaux et les sculptures aux noms imprononçables. Ils s'ennuyèrent ferme jusqu'à l'approche de la fermeture, les salles se vidèrent, jusqu'à ce qu'ils soient seuls. Deux gardiens s'approchèrent d'eux pour les faire sortir. Ils acceptèrent poliment, d'une innocence feinte qui endormit toute méfiance. Une seringue se matérialisa dans le bras des deux idiots qui n'y comprenaient rien. Durant une seconde, le temps s’arrêta pour Javier. Et si ce produit de merde ne marchait pas ? Avec toute la thune qu'il avait mis dedans, il valait mieux. Le temps repris son cours, les vigiles ne purent combattre le sommeil qui les assomait.
« On y va »
Ils avaient deux minutes maximum, certainement moins. Les sacs inutiles tombèrent aux sols, de sous les vestes apparurent marteaux, couteaux et bombe à Tag. Ils se séparèrent et foncèrent tandis qu'une alarme retentissait. Ils pissaient sur les tableau, décapitaient les statues, entaillaient tous ce qui semblait cher et taguaient tout, des murs aux fenêtres en passant par les œuvres et les chiottes. Des slogans aussi stupides que « viva la révolution » « Nous sommes la majorité silencieuse » et autres conneries. Ce n'était pas important, seul le bruit que cela ferait l'était.
Javier se défoula sur un tableau qui avait attiré son œil durant la visite. Il ne pouvait s'en empêcher, il ne pouvait traîner dans un lieu sans faire ce pour quoi il était prévu. Ici, lire et observer. La mort de Britanicus lui rappelait étrangement sa vie de merde. Britanicus, c'était le malchanceux, buté par son propre frère, Néron le taré. Javier le voyait comme la jeunesse sacrifiée dont il faisait parti, Néron remplissait le rôle des connards de bourges. Il le réduisit en miette et le flamba avec un briquet et de la laque pour cheveux.
L'instant suivant, il fut plaqué aux sols par deux brutes énormes. Terminé, son rôle s'était achevé dans les flammes. Traîné comme un malpropre, il regardait les dernières miettes du tableau partir en fumée. Fier, il l'était, persuadé que contrairement à Britanicus, Javier ne serait pas mort pour rien. On le traiterait de fou, on le verrait comme un exemple de la racaille pourrit qui traînait dans les coins sombres de la ville, mais ultimement, son action en pousserait certains à se poser des questions.
Et ça, au prix de sa liberté et de son avenir, était la seule victoire qu'il ai jamais arrachée.
écrit dans le laps de temps ou ma concentration est au maximum. C'est à dire à peu près un quart d'heure.
J'suis venu voir un peu ASI... Et la je vois un tableau zarb et une photo de Vinz Said et Hubert... Le truc carrément pas compatible a la base (Remember la scène ou ils vont a une expo d'art contemporain, pour ceux qui ont vu le film )
Mais du coup ca peut être sympa.
Le 10 janvier 2016 à 16:44:07 Chocobo_3 a écrit :
J'suis venu voir un peu ASI... Et la je vois un tableau zarb et une photo de Vinz Said et Hubert... Le truc carrément pas compatible a la base (Remember la scène ou ils vont a une expo d'art contemporain, pour ceux qui ont vu le film )
Mon texte est un hommage à cette scène mais je pense pas que beaucoup de monde ait vu La Haine, ici.
J'ai parcouru vite fait, mais j'ai pas encore lu, puisque je compte (peut-être) participé^^ Du coup je vais éviter de prendre cette scène la, même si je t'avoue que j'y avais pensé
(Et sérieux La haine c'est culte quand même... J'veux dire, c'est pas comme "ma cité va craquer", c'est plus profond, plus subtil que "regardez on galère en banlieu alors on est méchant". Un film a voir, les acteurs sont excellent, la mise en scène ets top, et les dialogues sont.... Hors concours? )
Reconstitution historique
« Nous pourrions parler longtemps des coutumes étranges de ce peuple qui passe son temps dans d'improbables lieux. Ces obscures et sibyllins bipèdes aux faciès tordus d'expressions exagérées, regroupées dans une pantomime outrancière ; par exemple dans l'agonie surjouée de cet individu de sexe masculin qui tend la main et… »
La télécommande changea de main, et Aden soupira. Cette série avait l'air intéressante. Plus intéressante que le déhanchement vulgaire et convenue d'une pulpeuse habitante d'Andana, avec ses longs tentacules reproducteurs qui se balançaient encore et encore devant le regard bovin de ce brave Ayoub. Ayoub, qui justement, commençait à sérieusement baver sur la plastique maquillée et édulcorée de la licencieuse alien, et dont l'organe reproducteur, telle un banane du désert de la planète Shtarfoullah, se manifestait de manière trop ostensible pour ce brave Aden. Ayoub ricana, il lui administra un violent coup dans les parties.
- Coquin! persifla-t-il.
Ayoub, larme à l'oeil, lui lança une œillade assassine, avant de se rouler au sol, la main postée à la défensive contre l'affreuse douleur qui prenait siège sur son bas ventre.
- Cessez vos imbécillités et concentrez-vous ! lança une voix dans leur terminal com.
La troisième voix, justement, appartenait à l’individu le moins décérébré de cette bande improbable. Edgar, qualifiable de véritable encéphale en comparaison des deux énergumènes sus-cités, travaillait sur un lieu des plus audacieux et des plus dangereux, et ne désirait pas souffrir de quelques déconvenues que ce soit de la part de ses deux comparses. Un piratage à quelques centaines de mètre du sol de Terra pouvait se terminer de manière quelque peu tragique en cas de décrochage non désiré.
Ici, dans le site de reconstitution historique improprement nommé RPZ, coordonnées 143°5'18"S, la reconstitution historique poussait dans ces moindres retranchements le brave chercheur et ses deux convoyeurs. Ainsi, Edgar, dont le profil dermatologique comportait une pourcentage très conséquent de mélanocytes foncés, s'activait à rejouer la scène – supposée plausible – d'une activité quotidienne pratiquée par les lointains ancêtres de l'espèce humaine. Edgar, dont la science hautement qualifiée lui assurait un haut statut social sur son monde-astéroïde natal de Steria, n'avait pour seul souhait que de prouver la dernière théorie élaborée par son brillant intellect. En effet, et toujours précédées de savantes conclusions en lien avec une observation minutieuse du terrain de fouille actif située à proximité immédiate de RPZ, la reconstitution menée par Edgar devait donc prouver que l'ancêtre de son espèce appréciait une espèce d'activité très en vogue voilà quelques cinquante à soixante mille ans. Un exercice improprement nommée « zayhaiffe », Une sorte de mise en scène théâtral d'après ce qu'avait pu tirer Edgar des rares documents analogiques interprétables de cette époque vague et imprécise.
Ayoub et Aden jouait habituellement très bien leur rôle. En se contentant de reproduire ce qu'Edgar avait estimé comme un comportement social basique et psychologiquement viable, ils devaient se contenter de ricaner avec une expression stupide, en lien avec d'étranges projections visuelles. Ayoub enchaînait son troisième contrat de reconstitution avec Edgar, et pour Aden, il s'agissait de la vingt-deux ou vingt-troisième contribution de sa modeste personne aux besoins de la science moderne. Ayoub hésitait encore sur la façon la plus adéquat d'émettre un rire tel que l'estimait « correct » son employeur. Il buttait également sur la diction de l'époque, mais Edgar se montrait indulgent. Natif de Mekthoub, les peuplades dont était originaire Ayoub se spécialisait davantage dans le pilotage hautement spécialisée de monstrueux vaisseaux cargos à travers les bras de la galaxie MI6 plutôt qu'au jeu complexe d'une reconstitution historique.
Edgar cria. Victorieux, il brandit une poignet de câblocom telle une récompense conquise de haute lutte.
- Maudite antenne, te voilà réduite au silence !
Si Aden détourna le regard vers la haute structure de verre et d'acier qui se dégageait au centre d'un amas de bâtiments en concrétion calcaires, schistes taillés et aplats d'oxyde de zinc travaillés selon la mode ancienne, il ne tarda pas à retourner à sa mission première. Il songea au lieu, à cette espèce de tranchée ouverte en de multiples endroits, s'interrogea sur leur utilité. Naturellement, personne n'habitait dans la reconstitution : le confort rudimentaire et l' esthétique pataude rendaient le lieu désagréable et inadapté à la vie moderne. Aden se demanda également s'il devait pousser la reconstitution jusqu'à marcher de la même façon que ceux dont il avait pris l'apparence. Cette vêture en peau d'animal reconstituée n'était ni luxueuse ni confortable, et représentait aux yeux de l'homme une dépense et une offense économique sans nom. Mais puisque le professeur payait confortablement leur prestation, il ne broncha pas.
- Messieurs, le problème est réglé. Nous allons donc pouvoir procéder à la mise en place de la capture visuelle. Préparez vous, je redescends.
Il ne s'écoula pas plus d'une paire de minutes avant que l'éminent individu ne revienne vers le groupe. Un visualiste, bardé d'instruments, de lumières et d'éclairages étranges, ainsi qu'une foule d'assistants courraient ça et là autour des deux figurants. Edgar se rapprocha, se concentra, et plaça les deux mâles sans ménagement. « Oui, songea-t-il, cela sera du plus belle effet. Avec ça, Steria sera bluffé »
Dix secondes plus tard, soixante quinze-copies de cette étrange scène circulaient direction du monde-astéroïde, de son océan et de ses tours blanches.
Trois individus de sexe masculin en occupaient le premier plan , étrangement vêtus, lançant au spectateur un ensemble d'expression que personne ne pouvait comprendre.
Personne, sinon quelques historiens au fait des récentes découvertes dans le domaine.
FIN
Il nous manque Elfi et on est bons
Comment ça on est bons ? Je n'ai pas vu d'extrait de carnet de voyage.
Y a eu des changements d'emploi du temps ?
Non mais faut pas m'attendre hein, j'ai dit sur le café qu'en relisant le peu que j'avais écrit j'avais trouvé ça tout pourri. Et là je rentre du sport, je suis vannée, juste bonne à me taper dans mon lit et mater une série sans bouger
Nous avons cette semaine cinq textes!!! Cela faisait fort longtemps que nous n'en avions pas eu autant! Je pense que cela peut s'expliquer par le fait que vous avez peur de perdre quand je participe, donc vous vous abstenez...
Vous avez jusqu'à mardi prochain, 0h00, pour voter! Vous disposez de trois votes, +3, +1 et +1, que vous pouvez distribuer, ou non, à votre convenance. (interdit de voter pour soi-même ofc )
Koko +3 : Je n'ai été vraiment convaincu qu'en lisant la manière dont les deux images avaient été lié. Très habile, spontané, très rythmé. La manière dont tu as écris correspond bien aux thèmes utilisés.
Helping +1 : Bonne nouvelle, quelques inexactitudes au niveau des dialogues, mais le tout reste bien mené. J'ai bien aimé l'ambiance.
Crazy +1 : J'ai hésité avec Ardui parce qu'il a été le seul à se focaliser sur La Mort de Germanicus. Mais je préfère ton univers, crazy, et surtout la question que tu poses avec cette nouvelle, c'est à dire "qu'est-ce que les humains des lointaines générations penseront de nos codes sociaux chelous ?"
bien joué, j'ai beaucoup aimé cette session.
Yugo : La façon dont ta première phrase est tournée donne m'indique que ca a pris du temps avant de te convaincre, qu'est-ce qui t'as déplu?
+3 Yugo : J'ai bien aimé l'ambiance, ça m'a fait sourire de voir le rendu l'écart entre deux classes sociales que tout sépare
+1 Koko pour les mêmes raisons que Yugo
+1 Ardui ton texte m'a transporté
Et Yugo, est-ce que tu pourrais me noter les problèmes de mon texte, j'aimerai savoir où je me suis un peu égaré, ça pourra toujours m'être utile pour de prochaines productions
Koko
J’aime beaucoup la manière dont tu as lié le tableau, ça fait réfléchir, un bon texte !
Yugo
OMG, c’est excellent. Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse exister de tels individus… La petite critique des bobos parisiens qui va bien, et la chute C’est très bon merci Un jeune rebeu
Marty
Wtf Tin t’as été chercher loin là. L’idée était bonne, mais le fait que tu doives poser le décor rend la chose un peu lourde. Il m’a été difficile de rentrer dedans, et ce n’est pas un problème avec ton style, très bon, qui ne me dérange d’habitude pas J’ai pas comrpis la chute et j’ai pas vu le lien avec le tableau, peut-être trop subtil
Help
L’idée est intéressante, mais y’a trop de scènes, ça va trop vite. Genre le début ça peut juste être expédié en ajoutant quelque part ses activités actuelles, point. Genre après le souvenir…
Il manque parfois des mots, une relecture attentive pourrait pallier à cela. Le style n’est pas si mauvais, mais ça manque un peu de fluidité. Continue, y’a du potentiel !
Dudu
Encore Aqram ? Après on me reproche de ne faire que du carnet de route… Un très bel extrait, dépaysant comme à l’habitude, une courte tranche d’histoire de Qaresh. Malheureusement, le lien à l’image est extrêmement ténu. Ok on a le roi qui meurt pour faire référence à Germanicus, et les trois pechnos, mais bon, ça m’a pas convaincu.
Mes votes
+3 Yugo
+1 Koko
+1 Help
Kokopali> J'ai pas aimé. Pas que ce soit mal écrit, mais le fond me laisse tout à fait froid. En fait les trois guss m'ont fait penser au jeune con d’extrême gauche qui agressent et détruisent tout ce qu'ils n'aiment pas, ou pire, tout ce qu'ils ne comprennent pas^^ Bref, j'ai vraiment pas accroché, même si c'est pas mal écrit. (Par contre le coup de la seringue dans le bras qui endort le vigile en une seconde... C'est juste too much^^)
Yugo> J'avoue être... décu l'idée était, non pas génial, mais plutôt évidente ; rejouer la scène du vernissage de « La haine ». Le problème c'est que tout est exagéré, rien n'est crédible. Que ce soit leur facon de parler, leur façon de se comporter, leur facon d'interagir... Rien n'est, ne serais-ce qu'un moment, crédible. Tu exagère tellement le trait du « parler » banlieusard que ca en devient ridicule, et tu fait pareil avec les homosexuels, ce qui fait que ca devient... Bah ridicule aussi^^
Bonne idée, y'avais du potentiel, mais c'est (pour moi) complètement foiré
Marty> C'est pas mal, j'ai bien aimé. Mais c'est trop flou, trop abstrait, comme d'habitude, j'ai envie de dire^^ C'est un vrai problème parce que j'ai eu le même ressenti a chaque texte que j'ai lu de toi. Mais genre vraiment à chaque fois quoi^^
Helping> J'ai bien aimé le style ! Par contre, encore une fois, au niveau du fond c'est une construction d'absurdité peu crédible^^ Mention spécial au moment ou le grand black rattrape le petit blanc et... l'encule ?! Comme ca, sans sommation, en pleine rue, alors qu'il était vénère... Il lui casse la gueule puis l'encule ? Bref, j'sais pas ce que vous avez avec les homos et d'ou vous tirez vos références, mais c'est gratiné :fou :
Ardui> On reviendra pas sur le style (égal a lui même, donc très bon) mais sur ta non prise de risque. Le rapport aux images est (beaucoup) trop faible. Du coup c'est un peu dommage, en plus le texte donne l'impression d'avoir été coupé en deux, sans chute, sans rien^^
Bref, dans l'ensemble, j'ai pas trouvé ca super, pour une fois. Du coup je vais donner 1 point a Yugo parce que c'est celui qui a le plus respecté les deux images, et 1 point a Helping, pour l'encourager parce que je trouve que son style pourrait devenir vraiment pas mal Et... c'est tout
Yugo> 1
Helping> 1
Oui mais là je vais pas avoir de participants à la prochaine session si t'es méchant comme ça