Surtout que les clivages étaient pourris, quand tu vois qu'au début clemenceau était à l'extrême gauche dans l'assemblée.
et c'est faux la droite c'est l'héritière des monarchistes plus ou moins modéré et des girondins la gauche des jacobins
T'es juste le cul entre deux chaises d'etre jacobin et bonapartiste
Je suis pas jacobin, et je suis héritier des rois en étant centralisateur (et non féodal) et autoritaire, voire monarchiste
Et Lamartine et son idée de parti social c'est du pâté.
Et les socialistes qui se réclamaient des jacobins sans jamais se dire de gauche de la comédie ?
Et les socialistes ne se réclamaient pas de gauche avant Dreyfus hormis le cartel des gauches et les rad soc.
Oui et marx ne se revendiquait pas de gauche non plus donc il est pas de gauche
Ils siègaient pourtant à gauche dans l'hemixycle et se revendiquaient plus d'une idéologie que d'un bord de l'assemblée
Surtout que les clivages étaient pourris, quand tu vois qu'au début clemenceau était à l'extrême gauche dans l'assemblée.
Ca a rien d'illogique clémenceau etait un pro commune à la base qui demandait l'administie de cette racaille
les gens partis de l'extreme gauche qui évoluent ca manque pas (millerand notamment)
A l'inverse un mec comme jaurès est partis du centre et a évolué avec le temps
Je suis pas jacobin, et je suis héritier des rois en étant centralisateur (et non féodal) et autoritaire, voire monarchiste
Tu t'es revendiqué de merdespierre à plusieurs reprise mytho pas sans parler du fameux je suis un laicard...
Et l'assimilation des cultures locales c'est pas du tout monarchiste /légitimiste ca par contre
Le 14 avril 2016 à 23:13:56 Cocarde-Rouge a écrit :
Et Lamartine et son idée de parti social c'est du pâté.
Et les socialistes qui se réclamaient des jacobins sans jamais se dire de gauche de la comédie ?
Non
Le 14 avril 2016 à 23:15:46 neocons4 a écrit :
Je suis pas jacobin, et je suis héritier des rois en étant centralisateur (et non féodal) et autoritaire, voire monarchiste
Tu t'es revendiqué de merdespierre à plusieurs reprise mytho pas sans parler du fameux je suis un laicard...
Et l'assimilation des cultures locales c'est pas du tout monarchiste /légitimiste ca par contre
Sans oublier, le je suis un "un enfant de la Révolution"
Le 14 avril 2016 à 23:15:46 neocons4 a écrit :
Je suis pas jacobin, et je suis héritier des rois en étant centralisateur (et non féodal) et autoritaire, voire monarchiste
Tu t'es revendiqué de merdespierre à plusieurs reprise mytho pas sans parler du fameux je suis un laicard...
Et l'assimilation des cultures locales c'est pas du tout monarchiste /légitimiste ca par contre
Tocqueville dit le contraire, et Napoléon était très proche de Robespierre, la vraie différence entre les deux étaient leur croyance dans l'homme, Napoléon détestait les humains, pas Robespierre.
C'est d'ailleurs tout à fait normal que Robespierre finisse par guillotiner en masse, il se disait qu'en ayant liquidé les méchants le monde irait mieux. Alors que Napoléon savait qu'il y avait rien à faire pour améliorer l'homme, sauf à le mettre hors d'état de nuire
Le 14 avril 2016 à 23:16:49 katowice21 a écrit :
Le 14 avril 2016 à 23:15:46 neocons4 a écrit :
Je suis pas jacobin, et je suis héritier des rois en étant centralisateur (et non féodal) et autoritaire, voire monarchiste
Tu t'es revendiqué de merdespierre à plusieurs reprise mytho pas sans parler du fameux je suis un laicard...
Et l'assimilation des cultures locales c'est pas du tout monarchiste /légitimiste ca par contreSans oublier, le je suis un "un enfant de la Révolution"
On est tous des enfants de la Révolution, même ceux qui sont contre la Révolution et la République
Tout simplement parce qu'on est français
D'ailleurs le roi ne qualifie jamais ses sujets de français et le droit est tout sauf uniformisé , toqueville démontre surtout que dans les faits les seigneurs n'exercaient plus le pouvoir et que l'administration royale(commissaire et intendants) levait les troupes et l'impot et faisait respecter l'ordre ca veut pas dire assimilation.
J'ajoute que quand tu nous dit que cette mesure fut populaire (pas sur ce topic mais un autre) tu oublies que toqueville rappelle que cette centralisation fut contestée car accoamapgnée de nombreuses révoltes et d'une haine des commissaires et intendants royaux qui ressort dans les cahiers de doléance et qui fut une des causes de la révolution.
+ arrete de troller etre anticentraliste =/= etre féodaliste
Tocqueville dit le contraire, et Napoléon était très proche de Robespierre, la vraie différence entre les deux étaient leur croyance dans l'homme, Napoléon détestait les humains, pas Robespierre.
tu confonds centralisation administrative et changement de culture , la preuve les régiments sont réparties ethniquement si j'ose dire, ce que supprimera petit à petit la république et l'empereur
D'ailleurs le roi ne qualifie jamais ses sujets de français et le droit est tout sauf uniformisé , toqueville démontre surtout que dans les faits les seigneurs n'exercaient plus le pouvoir et que l'administration royale(commissaire et intendants) levait les troupes et l'impot et faisait respecter l'ordre ca veut pas dire assimilation.
Non non Tocqueville parle bien de peuple uni même sur le plan culturel mon cher ami
Non non Tocqueville parle bien de peuple uni même sur le plan culturel mon cher ami
Tu me citeras les passages alors
non car les révolutionnaires se plaignaient que la moitié seulement du peuple (ou le quart) ne parlait pas le français
J'ajoute que dans son cas sur le languedoc ce bon toqueville rappelle que le midi avait une application particulière de la propriété et des privilèges dessus donc non unicité du droit
+ privilèges fiscaux bien que percus par l'intendant.
C'est comme la vendée il payait bien moins d'impots que le reste du royaume c'est la principale cause de leur rebellion avec les levées et les persecutions de pretres
Toutes ces différences [entre provinces] étaient superficielles et pour ainsi dire extérieures. La France entière n’avait pour ainsi dire qu’une seule âme. Les mêmes idées avaient cours d’un bout à l’autre du royaume. Les mêmes usages y étaient en vigueur, les mêmes opinions professée ; l’esprit humain, partout frappé de la même manière, s’y dirigeait partout du même côté. En un mot les Français, avec leurs provinces, leurs parlements, la diversité de leurs lois civiles, la bizarre variété de leurs coutumes, formaient cependant, sans contredit, le peuple de l’Europe le mieux lié dans toutes ses parties, et le plus propre à se remuer au besoin comme un seul homme.
Les Français du XVIIe siècle se soumettaient à la royauté plus qu’au roi et ils lui obéissaient non seulement parce qu’ils le jugeaient fort, mais parce qu’ils le voyaient bienfaisant et légitime. Ils avaient, si je puis m’exprimer ainsi, un gout libre pour l’obéissance.
Si vous pouviez stopper juste deux secondes histoire que je poste le programme
n un mot les Français, avec leurs provinces, leurs parlements, la diversité de leurs lois civiles, la bizarre variété de leurs coutumes,
Donc pas d'assimilation culturelle merci
le sentiment d'appartenance à un peuple c'est autre chose cf la suisse
Nom de la liste :
Souveraineté populaire (SP)
Tête de liste :
le_litchi01
Autres candidats :
2. cobra35291
3. Cocarde-rouge
4. frede69
5. Helicoidan
6. Jedi_Hufflepuff
7. toto_au_bistro
Orientations politiques :
Socialisme, souverainisme, communisme, écologie, républicanisme.
Hymne :
https://www.youtube.com/watch?v=qkO7_rhhCbA&ebc=ANyPxKpa2QnkDjXhWyy8Ie_sqt8fh8IFUjGQp1tSLAV-diM45O9lbbISikJ3hS8YvYDobLU0zBiniJBx4mysNkJsJku-5HVkLQ
Programme politique :
« A celui qui n'a rien, la patrie est son seul bien » Jean Jaurès
Les piliers de la République ont été ébranlés. Le néolibéralisme par la division du travail qu'il induit et l'Union européenne et ses instances non démocratiques contournant les peuples ont mis à mal les notions de citoyenneté, d'égalité et de solidarité. Notre programme est simple et radical. Il se résume à la reconquête par le peuple de sa souveraineté pour redistribuer les richesses, achever la République sociale et donner vie à notre devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Souveraineté nationale :
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen énonce que le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans le corps politique qu’est la nation [1]. Ce principe qui peut se traduire par « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » a été sérieusement entaché par des abandons et transferts de souveraineté [2]. La souveraineté est à la fois un moyen pour plus de justice sociale et une fin en soi car c’est la condition d’exercice de la démocratie. Le rétablissement de la souveraineté du peuple passe par :
Notes :
Institutions :
Pour permettre l'exercice par le peuple de sa souveraineté, la démocratie sera semi-directe. Chaque institution et chaque élu devra être comptable à tout moment devant les citoyens :
Notes :
Politique internationale, défense et sécurité :
La France rompra avec l’alignement libéral et atlantiste pour agir en faveur de la paix et s’engagera pour de nouvelles relations internationales fondées sur le respect des souverainetés populaires. Tous les citoyens seront impliqués dans la défense de la patrie républicaine.
Notes :
il nous semble que sur la forme il devrait au moins, pour être efficace, faire l’objet d’un temps dédié obligatoire dans la vie des jeunes, plutôt que de mesures éparses facultatives. Quant à son contenu, il nous paraît pertinent qu’il intègre un tronc commun théorique suivi de stages pratiques à effectuer au choix dans le domaine civil – protection civile, santé, humanitaire entre autres – ou le domaine militaire sous la forme d’une formation-découverte comme elle existe déjà dans les armées pour des volontaires, pouvant déboucher sur un engagement professionnel ou dans les réserves. [...] Ce qui compte est la réinvention d’un service national du 21° siècle, fondé sur l’idée que chacun doit quelque chose à son pays et offrant un creuset pour le brassage social ainsi que la mobilité géographique des « appelés ». http://www.mfbechtel.fr/Tribune-dans-Marianne-Un-service-national-pour-le-21e-siecle_a599.html
Économie :
Sous la pression du néolibéralisme et des institutions européennes, l'économie dicte de plus en plus les choix politiques. Nous soutenons que l'économie doit être au service du bien commun et que pour cela le peuple doit retrouver sa souveraineté économique et monétaire.
Notes :