Cool de la lecture pour ce soir
Up
Le 02 avril 2020 à 06:10:37 SUCERsonPAPA a écrit :
Les gars, allez vous renseigner sur un tableau célèbre en Angleterre, tableau qui s'appelle "L'homme angoissé"...vous m'en direz des nouvelles...et allez mater des vidéos youtube aussi, vous serez pas déçu...
Lien ?
Bordel ces histoires de malade
Ce khey en or je suis a la oage 15 je vais me faire tout le topic
Le 09 avril 2020 à 06:48:19 Ricky0911 a écrit :
Je recherche l'histoire diteLolita slave toy
Tout le monde en parle ici mais moi je la trouve pas
Remettez moi le numéro de page qvp
14 15 khey
Le 12 janvier 2019 à 12:10:55 HoIdenCauIfieId a écrit :
Voici budd Dwyer lors d'une allocution télévisée.Il n'y a que lui qui le sait : il va mourir devant les caméras.
https://youtu.be/UT8lW73jexU
Il était un homme politique américain trésorier de l'État de Pennsylvanie. Condamné pour corruption passive dans une affaire de détournement de fonds et de fausses factures, il se suicide au cours d'une conférence de presse filmée.
Il exitse une vidéo non censurée facilement trouvable de son suicide d'une balle dans la bouche. C'est très graphique attention.
D'autres histoires ? Certaines sont vraiment hallucinantes
Le 01 juillet 2019 à 15:23:24 kongstrong a écrit :
la plongée de l'enfer
Le Blue Hole est un lieu de plongée situé au sud-est du Sinaï , à quelques kilomètres au nord de Dahab , en Égypte, sur la côte de la mer Rouge .
Le Blue Hole est un gouffre sous - marin d’une profondeur maximale d’un peu plus de 100 m (328 pieds). Il y a une ouverture peu profonde vers la mer d'environ 6 m (20 pieds) de profondeur, appelée "la selle", et un tunnel de 26 m (85 pieds) de long, appelé "l'arche", dont le sommet est à une profondeur de 55 m (181 pieds) , et dont le fond s’estompe jusqu’à atteindre le bord de la mer jusqu’à environ 120 m (394 pieds). Du côté de la mer, la profondeur chute brutalement à plus de mille mètres de profondeur. Le trou et ses environs regorgent de coraux et de poissons de récif . Le Blue Hole est un lieu de prédilection pour la plongée en apnée en raison de la profondeur directement accessible depuis la côte et du manque de courant.
Le Blue Hole à Dahab est considéré comme le site de plongée le plus meurtrier au monde , certains suggérant qu'il aurait coûté la vie à 130 à 200 plongeurs ces dernières années. Les raisons pour lesquelles ce site est le plus dangereux au monde ne sont pas clairement comprises, les explications données étant différentes quant à son taux de mortalité élevé.
https://www.youtube.com/watch?v=YhPdB5fxKA0
Yuri Lipski, instructeur de plongée russo-israélien âgé de 22 ans, est décédé le 28 avril 2000 à une profondeur de 115 mètres après une descente incontrôlée. [3] [8] Yuri a porté une caméra vidéo, qui a filmé sa mort. Cela en a fait la mort la plus connue sur le site et l’une des morts de plongée les plus connues au monde. [4] La vidéo montre Yuri dans une descente involontaire et incontrôlée, atterrissant finalement au fond de la mer à 115 mètres où il panique, retire son régulateur et tente de remplir son gilet stabilisateur sans pouvoir monter. À 115 m, il aurait été soumis à une narcose à l'azote grave, ce qui peut avoir altéré son jugement, provoqué des hallucinations et provoqué la panique et la confusion. Lipski avait un seul réservoir supposé être de l'air.
Le corps de Lipski a été retrouvé le lendemain par Tarek Omar, l'un des plus grands plongeurs en eau profonde du monde, à la demande de la mère de Lipski. Omar avait déjà averti Lipski à deux reprises de toute tentative de plongée. En bas, Omar a trouvé la caméra du casque de Lipski, toujours intacte. La vidéo qu’elle contient est disponible sur YouTube.
“Deux jours après que nous ayons retrouvé ses restes et donné à [sa mère] ses affaires et son matériel, elle est venue me demander de l'aider à les démonter afin qu'elle puisse les emballer. La caméra aurait dû être endommagée ou même complètement cassée car je l'avais trouvée à une profondeur de 115 mètres et elle est conçue pour ne supporter que 75 mètres; mais, à ma grande surprise, la caméra fonctionnait toujours. Nous y avons joué et sa mère était là. Je regrette que sa mère l'ait pour toujours ... Si j'avais su que le film existait, je l'aurais inondé. Je pense que ce qui m'a vraiment bouleversé et attristé, c'est que sa mère l'ait maintenant - elle a les images de son fils qui se noie."
Putain je connais la vidéo est ultra angoissante je fais de la plongée, mon premier reflexe aurait été de larguer mes plombs (s'il en avait mais pas sur car dans les eaux tropicales on se leste moins...). Putain une panne de stabilisateur et descente incontrolée = pire accident possible surtout sur un site où le fond est 100m en dessous toi
La vitesse a laquelle il descend à 80m, il était deja condamné, même en remontant il serait mort a cause des paliers à mon avis vu la profondeur et le fait qu'il respirait de l'air (trop d'azote a chaque inspiration).
Un peu d'histoire avec l'Unité 731, laboratoire de l'armée impériale japonaise.
On estime que Shirō Ishii et son équipe commencèrent leurs expériences sur les humains en début d'année 1932. Les premiers cobayes étaient des prisonniers condamnés à mort et détenus à la prison d'Harbin ou des résistants capturés par la Kenpeitai (la police militaire japonaise). Par la suite, les victimes furent également des soldats chinois, des Russes communistes détenus dans le camp d'Hogoin, des intellectuels, des ouvriers coupables d'agitation, ou simplement des individus soupçonnés de « déloyauté ».
La première unité de recherche de grande envergure, l'unité Tōgō, fut toutefois implantée à Beiyinhe, en banlieue sud d'Harbin en 1932. Son existence devint connue notamment en raison de l'évasion d'une douzaine de prisonniers chinois à l'automne 1934. À compter de 1936, avec la création de l'unité 731 à Pingfang et la destruction du site de Beiyinhe, les expérimentations s'étendirent aux femmes et aux enfants (à qui on distribuait le bacille du charbon mélangé au chocolat) puis, ultérieurement, aux prisonniers de guerre américains détenus au camp de Moukden.
Ces cobayes humains étaient appelés « maruta », ce qui, en japonais, signifie billot, bûche ou bille de bois. En effet, les paysans locaux croyaient que c'était à une gigantesque scierie qu'ils avaient affaire, et donc tous les cobayes amenés à Pingfang étaient, pour lesdits paysans, du bois. À leur arrivée à l'unité 731, on leur attribuait un numéro et ils n'étaient plus considérés comme des êtres humains. La plupart avaient entre vingt et quarante ans.
Dès 1933-1934, Shirō Ishii effectuait des expériences sur le choléra et la peste, en se servant de prisonniers. Déjà en 1935, des films étaient réalisés pour montrer le déroulement de ces expériences aux officiers supérieurs de l'état-major de l'armée du Guandong.
Trois mille personnes furent sacrifiées à Pingfang. Par un judas aménagé dans la porte d'acier de chaque cellule, les gardiens vérifiaient l'état des maruta enchaînés. Ils voyaient des membres pourris, des bouts d'os qui pointaient hors des chairs noires de nécrose. D'autres suaient dans une fièvre atroce, se tordant et gémissant de douleur. D'autres avaient le corps gonflé, d'autres étaient squelettiques. Certains étaient couverts de blessures ouvertes ou de cloques.
Quand un détenu survivait à une expérience, il était soumis à une autre, jusqu'à ce qu'il finisse par mourir.
Deux cents prisonniers peuplaient ces cellules. Deux ou trois mouraient chaque jour. On se livrait à la vivisection de détenus. Certains furent bouillis vifs, d'autres brûlés au lance-flammes, d'autres congelés, d'autres subirent des transfusions de sang de cheval ou même d'eau de mer, d'autres ont été électrocutés, tués dans des centrifugeuses géantes, ou soumis à une exposition prolongée aux rayons X. Des détenus furent complètement déshydratés, c'est-à-dire momifiés vivants. On les desséchait jusqu'à ce qu'ils meurent et ne pèsent plus qu'un cinquième de leur poids normal. On étudiait également sur eux les effets du cyanure d'hydrogène, d'acétone et de potassium. Certains détenus étaient affamés et privés de sommeil, jusqu'à la mort. D'autres furent soumis à des expériences de décompression.
Selon certaines sources, plus de 10 000 hommes, femmes et enfants seraient morts dans les laboratoires7. Selon les travaux publiés en 2002 par le Symposium International sur les Crimes de la Guerre Bactériologique, le nombre de personnes décédées en Chine à la suite des expérimentations et de l'usage des armes bactériologiques par l'Armée impériale japonaise s'élève à plus de 580 0008.
source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9_731
Et tenez vous bien, à la fin de la guerre, Shirô Ishii bénéficia de la protection de l'armée US en échange du résultat de ses recherches et mourut sans être jugé pour ses crimes en 1959 à l'âge de 67 ans.
Sur un autre topic, j'ai découvert l'histoire des Canadiens Paul Bernardo et Karla Homolka.
Un couple de pervers violeurs puis tueurs, ayant sévi entre la fin des années 80 et le début des années 90.
Le premier meurtre du couple étant celui de la petite sœur de la fiancée, qui a été préalablement droguée et tuée.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=2453&v=KMIzQEInuVY&feature=emb_title
Le 12 janvier 2019 à 17:08:27 kongstrong a écrit :
Le khey de la forêtPersonne ne sait qui il est. Mais l’étrange être qui erre dans la forêt de Maules, en Gruyère, avec une pèlerine militaire sur le dos et un masque à gaz sur le visage n’a rien du dahu ou d’un fantôme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il n’amuse personne.
Voici une photo de l’individu de dos. «Il a apeuré mes enfants», lâchait l’auteur du cliché, qui l’a croisé dimanche. Depuis, les témoignages affluent. Une habitante de Sâles (FR) l’a vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derrière son gros masque à gaz sombre. C’était effrayant et je connais des femmes qui ne s’aventurent plus seules en forêt», explique-t-elle.
en faisant mes recherches sur le sujet, j'ai appris qu'il s'était suicidé... On n'en saura jamais plus sur ce mystérieux personnage. Voici la lettre qu'il a laissée après son décès : https://files.newsnetz.ch/upload//3/1/31752.pdf
Le 16 avril 2020 à 16:32:43 ImLefty a écrit :
Le 12 janvier 2019 à 17:08:27 kongstrong a écrit :
Le khey de la forêtPersonne ne sait qui il est. Mais l’étrange être qui erre dans la forêt de Maules, en Gruyère, avec une pèlerine militaire sur le dos et un masque à gaz sur le visage n’a rien du dahu ou d’un fantôme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il n’amuse personne.
Voici une photo de l’individu de dos. «Il a apeuré mes enfants», lâchait l’auteur du cliché, qui l’a croisé dimanche. Depuis, les témoignages affluent. Une habitante de Sâles (FR) l’a vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derrière son gros masque à gaz sombre. C’était effrayant et je connais des femmes qui ne s’aventurent plus seules en forêt», explique-t-elle.
en faisant mes recherches sur le sujet, j'ai appris qu'il s'était suicidé... On n'en saura jamais plus sur ce mystérieux personnage. Voici la lettre qu'il a laissée après son décès : https://files.newsnetz.ch/upload//3/1/31752.pdf
Personne n'a simplement essayé d'aller lui parler ?
D'ailleurs, il ne s'est pas suicidé, c'est son personnage qui est "mort". En gros, il va simplement arrêter de se promener.
C'est pour quand la reprise du topic ?
Le 16 avril 2020 à 16:43:02 balost a écrit :
C'est pour quand la reprise du topic ?
J'essaie de trouver des trucs mais on commence doucement à avoir fait le tour, je pense. À moins d'aller taper dans le paranormal et toutes ces conneries.
Le 16 avril 2020 à 16:44:22 YanONyme a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:43:02 balost a écrit :
C'est pour quand la reprise du topic ?J'essaie de trouver des trucs mais on commence doucement à avoir fait le tour, je pense. À moins d'aller taper dans le paranormal et toutes ces conneries.
Il y a moyen de trouver des histoires crédibles nan ? Perso ce genre de récits me fait bien flipper surtout quand ça se rapporte au Diable
Le 16 avril 2020 à 16:48:16 balost a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:44:22 YanONyme a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:43:02 balost a écrit :
C'est pour quand la reprise du topic ?J'essaie de trouver des trucs mais on commence doucement à avoir fait le tour, je pense. À moins d'aller taper dans le paranormal et toutes ces conneries.
Il y a moyen de trouver des histoires crédibles nan ? Perso ce genre de récits me fait bien flipper surtout quand ça se rapporte au Diable
Personnellement je ne crois pas au paranormal. Pour moi, l'intérêt majeur de ce topic, c'était que les histoires étaient soit vraies soit inexpliquées (donc pas fausses stricto sensu). Si on se met aux histoires à dormir debout, on va se retrouver avec un énième topic à creepypastas nulles
Le 16 avril 2020 à 16:50:52 YanONyme a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:48:16 balost a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:44:22 YanONyme a écrit :
Le 16 avril 2020 à 16:43:02 balost a écrit :
C'est pour quand la reprise du topic ?J'essaie de trouver des trucs mais on commence doucement à avoir fait le tour, je pense. À moins d'aller taper dans le paranormal et toutes ces conneries.
Il y a moyen de trouver des histoires crédibles nan ? Perso ce genre de récits me fait bien flipper surtout quand ça se rapporte au Diable
Personnellement je ne crois pas au paranormal. Pour moi, l'intérêt majeur de ce topic, c'était que les histoires étaient soit vraies soit inexpliquées (donc pas fausses stricto sensu). Si on se met aux histoires à dormir debout, on va se retrouver avec un énième topic à creepypastas nulles
Je confirme.
Une fois qu'on a fait le tour, les creepypasta prennent le relai et on en finit plus
Je crois aussi qu'on a fait le tour des histoires les p'us connues. Le topic à quand bien vécu. On peut en rester là et y poster régulièrement, pour qu'il reste "actif"
Au pire, histoire de meubler un peu, je vous reposte cette histoire 100% authentique que j'avais déjà postée sur un autre topic, c'est perso donc il n'y a pas de source mais croyez-moi sur parole, c'est pas une invention :
Je vais vous en raconter une, elle ne m'est pas arrivé à moi mais à mon père :
Ce qu'il faut savoir c'est que mes parents habitent vraiment dans la campagne profonde. Pas loin, dans la forêt, il y a un village assez isolé et c'est un peu le Pas-de-Calais du coin, c'est-à-dire qu'il a la réputation d'être peuplé de consanguins (c'est d'ailleurs une blague dans la région).
Un jour, mon père traverse ce village (ce qu'il ne fait jamais d'habitude) et d'un coup, un chat se jete sur ses roues. Mon père n'étant pas un salaud, il s'arrête pour voir s'il va bien. Appartement, il était un peu groggy mais pas blessé.
Là, il y a un vieux qui vient le voir et qui lui demande si le chat est blessé avec un accent allemand à couper au couteau comme l'ont tous les vieux qui habitent le long de la frontière. Mon père répond que ça devrait aller.
Et là, le vieux attrape le chat par la queue et l'éclate contre un mur ! Et il dit "Bon bah maintenant, il est mort !"
Inutile de dire que mon père ne s'est pas éternisé. Et d'ailleurs ce vieux est toujours posé à l'entrée du village à regarder les gens qui arrivent
Nofake évidemment.