J'ai une histoire très glauque mais je pense qu'elle a déjà été raconté ici
La chaine Youtube Trash en avait parlé, attention c'est glauque :
https://youtu.be/LveaV0uAA_Y?t=26
Le 25 juin 2020 à 03:10:49 Whoopy a écrit :
La chaine Youtube Trash en avait parlé, attention c'est glauque :https://youtu.be/LveaV0uAA_Y?t=26
déja mise dessus, y'en a une aussi qu'il a pas repertorié, c'est le mec qui a filmé sa mort en plongée
j'te le reposte khey :
la plongée de l'enfer
Le Blue Hole est un lieu de plongée situé au sud-est du Sinaï , à quelques kilomètres au nord de Dahab , en Égypte, sur la côte de la mer Rouge .
Le Blue Hole est un gouffre sous - marin d’une profondeur maximale d’un peu plus de 100 m (328 pieds). Il y a une ouverture peu profonde vers la mer d'environ 6 m (20 pieds) de profondeur, appelée "la selle", et un tunnel de 26 m (85 pieds) de long, appelé "l'arche", dont le sommet est à une profondeur de 55 m (181 pieds) , et dont le fond s’estompe jusqu’à atteindre le bord de la mer jusqu’à environ 120 m (394 pieds). Du côté de la mer, la profondeur chute brutalement à plus de mille mètres de profondeur. Le trou et ses environs regorgent de coraux et de poissons de récif . Le Blue Hole est un lieu de prédilection pour la plongée en apnée en raison de la profondeur directement accessible depuis la côte et du manque de courant.
Le Blue Hole à Dahab est considéré comme le site de plongée le plus meurtrier au monde , certains suggérant qu'il aurait coûté la vie à 130 à 200 plongeurs ces dernières années. Les raisons pour lesquelles ce site est le plus dangereux au monde ne sont pas clairement comprises, les explications données étant différentes quant à son taux de mortalité élevé.
https://www.youtube.com/watch?v=YhPdB5fxKA0
Yuri Lipski, instructeur de plongée russo-israélien âgé de 22 ans, est décédé le 28 avril 2000 à une profondeur de 115 mètres après une descente incontrôlée. [3] [8] Yuri a porté une caméra vidéo, qui a filmé sa mort. Cela en a fait la mort la plus connue sur le site et l’une des morts de plongée les plus connues au monde. [4] La vidéo montre Yuri dans une descente involontaire et incontrôlée, atterrissant finalement au fond de la mer à 115 mètres où il panique, retire son régulateur et tente de remplir son gilet stabilisateur sans pouvoir monter. À 115 m, il aurait été soumis à une narcose à l'azote grave, ce qui peut avoir altéré son jugement, provoqué des hallucinations et provoqué la panique et la confusion. Lipski avait un seul réservoir supposé être de l'air.
Le corps de Lipski a été retrouvé le lendemain par Tarek Omar, l'un des plus grands plongeurs en eau profonde du monde, à la demande de la mère de Lipski. Omar avait déjà averti Lipski à deux reprises de toute tentative de plongée. En bas, Omar a trouvé la caméra du casque de Lipski, toujours intacte. La vidéo qu’elle contient est disponible sur YouTube.
“Deux jours après que nous ayons retrouvé ses restes et donné à [sa mère] ses affaires et son matériel, elle est venue me demander de l'aider à les démonter afin qu'elle puisse les emballer. La caméra aurait dû être endommagée ou même complètement cassée car je l'avais trouvée à une profondeur de 115 mètres et elle est conçue pour ne supporter que 75 mètres; mais, à ma grande surprise, la caméra fonctionnait toujours. Nous y avons joué et sa mère était là. Je regrette que sa mère l'ait pour toujours ... Si j'avais su que le film existait, je l'aurais inondé. Je pense que ce qui m'a vraiment bouleversé et attristé, c'est que sa mère l'ait maintenant - elle a les images de son fils qui se noie."
La video de sa mort : https://www.youtube.com/watch?v=cRj0lymMMGs
Le 25 juin 2020 à 03:15:22 kongstrong a écrit :
La video de sa mort : https://www.youtube.com/watch?v=cRj0lymMMGs
Bordel
Le 12 janvier 2019 à 17:08:27 kongstrong a écrit :
Le khey de la forêtPersonne ne sait qui il est. Mais l’étrange être qui erre dans la forêt de Maules, en Gruyère, avec une pèlerine militaire sur le dos et un masque à gaz sur le visage n’a rien du dahu ou d’un fantôme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il n’amuse personne.
Voici une photo de l’individu de dos. «Il a apeuré mes enfants», lâchait l’auteur du cliché, qui l’a croisé dimanche. Depuis, les témoignages affluent. Une habitante de Sâles (FR) l’a vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derrière son gros masque à gaz sombre. C’était effrayant et je connais des femmes qui ne s’aventurent plus seules en forêt», explique-t-elle.
Le khey est prêt pour 2020 , perso j'aimerais bien le rejoindre
Envie d'avoir les bras et les jambes qui pourrissent et de devenir fou ? Mangez de l'ergot:
https://www.vice.com/fr/article/epgebm/histoire-de-ergot-milliers-de-morts-epidemie
up
Le 24 juin 2020 à 13:03:31 Foi_Jaune a écrit :
Une petite émission en attendant:https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-21-novembre-2018
A compléter par cet article pour ceux qui ont la flemme d'écouter.
Putain franchement GG aux gendarmes qui ont pas laché l'affaire pendant plus de 30 ans.
Le 13 mai 2020 à 14:31:37 Foi_Jaune a écrit :
J'ai trouvé un article intéressant sur l'affaire Tsutomu Miyazaki. Il est en anglais. mais j'hésite à le traduire car je crains que Glados ne le fasse sauter...https://allthatsinteresting.com/tsutomu-miyazaki
Pour ceux qui parlent anglais, faut lire cet article, j'avais absolument jamais entendu parlé de ce type et pourtant l'affaire est ultra méga glauque. Heureusement, le système judiciaire japonais étant ce qu'il est, l'auteur des faits à fini pendu au bout d'une corde, réduisant ainsi de manière drastique les risques de récidives
Dire que les vidéos et photos qu'il a pris sont surement quelque part sur le web, l'horreur que ça doit être.
https://archive.is/20080621044230/http://www.yomiuri.co.jp/dy/national/20080618TDY02306.htm pour compléter ( anglais )
Les kheys, n'idéalisez pas trop le système judiciaire japonais, il est à peu près aussi discutable que le nôtre, et pas seulement pour les abolitionnistes (dont je fais partie).
Merci par contre pour ce complément d'info qui fait vivre le topic.
L'histoire du dr Raymond Martinot. Un peu glauque, assez triste, à vous de voir.
Source: https://www.nouvelobs.com/societe/20020308.OBS3841/corps-congeles-jugement-le-13-mars.html
Corps congelés :
jugement le 13 mars 2002
Décédé, le Dr Martinot s'est fait congeler par son fils pour rejoindre sa femme, congelée également. La préfecture exige une inhumation classique.
Le tribunal de grande instance de Saumur a renvoyé vendredi au 13 mars le jugement dans l'affaire du défunt Dr Martinot, qui avait fait congeler le corps de sa compagne en 1984, et dont la préfecture du Maine-et-Loire s'oppose à présent à ce qu'il soit à son tour cryogénisé.
L'affaire avait défrayé la chronique lorsqu'en 1984, le Dr Raymond Martinot avait congelé le corps de sa compagne Monique Leroy. Celui qu'on appelait fréquemment «le docteur fou» déclarait alors à la presse qu'il espérait «que la science ferait assez de progrès» pour la faire revivre un jour. Raymond Martinot pensait qu'il «est possible de conserver des corps intacts dans un froid intense».
Le cadavre congelé
A l'époque, le sous-préfet de Saumur avait autorisé le Dr Martinot à inhumer sa compagne dans la propriété de son château, à Neuil-sur-Layon (Maine-et-Loire) mais ce dernier avait détourné l'autorisation pour faire congeler le cadavre. Il avait utilisé une pratique qui consiste à injecter un produit (des substances anti-coagulantes) dans les veines d'un mort avant de le maintenir à une température de -60.
Le 22 février 2002, on apprenait le décès du docteur Martinot. Pour «respecter les dernières volontés» de son père, son fils Rémy a déposé à son tour la dépouille de son père dans le réfrigérateur qui a été installé dans la crypte du château.
«Tout était prévu», a expliqué par téléphone Rémy Martinot à l'Associated Press. «L'ambulance est venue chercher mon père dans l'hôpital de Suresne, où il est mort à l'âge de 80 ans, pour le conduire au château. Il m'avait laissé les piqûres et les produits nécessaires pour que je puisse lui injecter».
Inhumation au plus vite
Mais si l'administration avait fait preuve de bienveillance en 1984, elle refuse cette fois le mode de funérailles. Le préfet du Maine-et-Loire, Jacques Barthelemy, veut faire respecter la loi, et obtenir de la justice qu'elle oblige Rémi Martinot à inhumer les deux corps au plus vite.
Lors de l'audience, vendredi, devant le tribunal de grande instance de Saumur, Christian Prioux, l'avocat de la préfecture, a parlé d»'une situation illégale qu'il convient de faire cesser».
Visiblement, Rémy Martinot ne s'attendait pas à cette décision de l'administration. «Je veux honorer les dernières volontés de mon père. Tout arrêter maintenant serait idiot. Je ne suis pas médecin, mais je pense que le pari de mon père vaut le coup d'être tenté». Un avis que partage son avocat, Me Alain Fouquet, qui a demandé au juge «de faire respecter les dernières volonté du docteur Martinot».
Vide juridique
«Nous sommes devant un vide juridique, car même si la législation funéraire ne prévoit pas la congélation des corps, elle ne l'interdit pas non plus à partir du moment où il n'y a pas d'atteinte à l'ordre et à l'hygiène publics et que le respect dû aux morts n'est pas mis à mal», a ajouté l'avocat.
La justice rappelle toutefois que le code des communes n'admet que l'inhumation, la crémation ou le don à la science.
Dans son réquisitoire, le procureur de la République a rappelé que le coeur de sa mission «était de soutenir l'action engagée par le représentant de l'Etat pour le respect du droit». «Il s'agit d'un enjeu d'ordre public, et de salubrité publique», a-t-il déclaré.
Epilogue (2006):
Source: https://www.ladepeche.fr/article/2006/03/17/59654-la-fin-du-reve-du-docteur-hibernatus.html
La fin du rêve du docteur Hibernatus
Il avait rêvé de devenir Hibernatus et, comme dans le film éponyme d'Édouard Molinaro, que les progrès de la science lui permettraient un jour de le sortir vivant de la gangue de glace qui était son tombeau depuis 2002. Las, le rêve d'éternité que le docteur Raymond Martinot nourrissait pour son épouse Monique, décédée en 1984, et lui-même s'est achevé en même temps qu'une extraordinaire et rocambolesque aventure.
Confirmant une information révélée hier par Le Courrier de l'Ouest, Rémy Martinot, le fils du médecin, a indiqué avoir été contraint à incinérer ses parents après qu'une panne a affecté les caissons de congélation installés dans une crypte du château familial de Nueil-sur-Layon (Maine-et-Loire). « On s'est aperçu en février qu'à la suite d'un incident technique, la température était remontée aux alentours de -20°C, probablement depuis plusieurs jours. Le système d'alerte n'a pas fonctionné et j'ai dès lors considéré qu'il n'était plus raisonnable de continuer », expliquait hier Rémy Martinot, indiquant que l'incinération s'était déroulée le 3 mars au crématorium de Montreuil-Juigné. « Je n'ai pas plus de peine aujourd'hui qu'aux moments des décès de mes parents. Le travail de deuil a été accompli. Mais je suis amer de ne pas avoir pu respecter la volonté de mon père », confiait ce jeudi le fils du couple qui s'était engagé dans un long combat judiciaire pour exaucer le vœu de son père.
Depuis le refus de la préfecture du Maine-et-Loire, en février 2002, d'autoriser la congélation du corps du Dr Martinot, les revers s'étaient succédé. Rémy Martinot plaçait beaucoup d'espoir dans la Cour européenne des droits de l'Homme, saisie le 12 janvier dernier. Celle-ci n'aura pas à se prononcer sur une histoire qui aura passionné bien au-delà de nos frontières.
Docteur en médecine et ancien chargé de cours à la faculté de médecine de Paris, Raymond Martinot avait reçu de nombreux média pour expliquer sa croyance en la cryobiologie pour redonner vie aux défunts.
« Entre zéro (la destruction totale) et l'infini, je choisis l'infini », confiait-il à la télévision anglaise en 1987. En 2002, après l'interdiction préfectorale de le congeler, la ville américaine de Nederland (Colorado) - qui conserve déjà un défunt - s'était proposée pour donner asile aux corps du couple français…
« Peut-être que l'avenir montrera que mon père avait raison et qu'il était un pionnier », déclarait hier Rémy Martinot en guise d'épilogue à un combat de 22 ans.
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