Alors les events ?

Grand-duché de Gwynedd

Molwynog sentait de plus en plus le poids des années sur lui. Non pas que son jugement, que sa réflexion en était altérée mais il sentait que son corps physique ne faisait que s’affaiblir.
Il était de plus en plus souvent sujet à des maladies qui le clouaient à son lit et faisait venir le médecin grand-ducal qu’il détestait tant.

Heureusement pendant ses heures de maladies, il avait le temps de lire, examiner, étudier les différents rapports qu’on lui faisait.
Il pouvait constater, grâce à eux, que sa région natale, celle de Degawny, n’était que très peu, moins, beaucoup moins que les autres touchés par les diverses invasions de barbares venus du nord et des différents pillards. Il en chercha la raison et se souvint que feu son père avait alors mit en place un système rudimentaire, mais efficace, de tours de guet et surtout de communication entre elles pour permettre une mise en alerte bien plus rapide.

Il envisagea alors la possibilité d’étendre ce système au pays entier mais déchanta vite quand il vit la carte, les efforts et les matières premières nécessaires mais surtout l’argent dont il fallait alors disposer pour entreprendre une telle affaire.

Il changea alors les plans, les allégeant considérablement et étalant la construction sur 10 ans. [1] Il avait maintenu une grande présence de tours de guet et l’avait même accentué de la construction d’un muret des deux côtés du bras de mer séparant l’île de Mon, l’Ynys Môn. [2]

L’Ynys Môn était au cœur de ses préoccupations, il semblait beaucoup aimer cette île mais surtout, il possédait directement la partie nord du grand-duché. La partie nord à l’exception de cette île qui revêtait pour lui une importance stratégique.

Il savait que ses enfants approchaient alors l’âge du mariage et songea à leur parti pour ses deux enfants.
Alors lui vint la nouvelle de la mise en déroute d’une célèbre troupe de brigands par Llu Ddraig et là l’évidence lui apparut. Il appela une personne de son service et lui demanda d’écrire sa parole.

Grand-duché de Gwynedd via comté de Dyfed

Ce sont maintenant des mois que des forces armées se battent à votre compte, des mois que des réserves de nourritures transitent vers votre comté afin de soulager la fin de votre populace. N’ayez crainte, je ne veux en rien stopper cet arrangement entre celtes qui se respectent et se veulent du bien.
Je viens vous proposer d’approfondir cette union, de l’approfondir afin d’accéder à une meilleure collaboration.
Je vous propose donc en mariage mon fils âgé de 20 ans, [3] je demande officiellement la main de votre fille pour que les gallois soient enfin unis et puissent se mettre à l’abri de tout danger.

Cordialement. Molwynog, grand-duc de Gwynedd.

Molwynog via comte d’Ynys Môn

Cher comte, si je vous écris ce n’est point pour vous entretenir de quelconque affaire attenante à la sécurité, à l’économie ou que sais-je encore…
Mais pour vous parler de l’opportunité d’un mariage. J’ai là une fille qui n’attend que de se marier et j’ai l’honneur de vous annoncer que vous êtes le premier beau-père à qui elle a pensé. Il va s’en dire que je vous propose sa main avec cette lettre.
Une union de nos deux familles pourrait nous rapporter énormément, surtout du point de vue de la dot, de votre point de vue.

Cordialement, Molwynog, duc de Gwynedd Ar Dee, de Gwynedd o dan Dee et comte de Rhos.

Grand-duché de Gwynedd via Royaume du Wessex

Cher roi,
Je donne mon entier accord quant à la construction de cette route qui sera une véritable bénédiction pour nos économies respectives et qui rapprochera d’avantages nos deux peuples.

Cordialement. Molwynog, grand-duc de Gwynedd.

Grand-duché de Gwynedd via Royaume du Wessex

Je vois ça et là des unités militaires se déplacer, des hommes s’affairer, des provisions se constituer, de puissants seigneurs se rencontrer et je ne peux donc m’empêcher de me poser de grandes questions ; que préparez-vous là ?
Enfin, je sais ce qu’une telle organisation signifie, une guerre approche, du sang va couler et je vous prie au nom de votre honneur de m’avertir du destinataire d’une telle violence encore plus s’il s’agit de quelconque nation galloise.

1 : (En rouge sont représentés les différents postes de gardes)
2 :
3 :

GM

Events

En Bretagne la nouvelle de la défaite enrage les celtes de Gwynedd qui tentent de contacter Jean de Bretagne et de soutenir sa rebellion

En Asturies la guerre se poursuit et les espagnols doivent faire face aux attaques musulmanes

En Angleterre les royaumes chrétiens se reunissent en mercie pour fomenter une attaque contre Danelaw

Je suis plus sur de mon choix... je peux toujours changer?

Le 23 janvier 2016 à 00:12:48 Ahl_Al_Salam a écrit :
GM

Events

En Bretagne la nouvelle de la défaite enrage les celtes de Gwynedd qui tentent de contacter Jean de Bretagne et de soutenir sa rebellion

En Asturies la guerre se poursuit et les espagnols doivent faire face aux attaques musulmanes

En Angleterre les royaumes chrétiens se reunissent en mercie pour fomenter une attaque contre Danelaw

Et ?...

Salut je peux participer ?

Et il y a une cartes des royaume non pris ?

L'Italie est-elle prise?

Royaume de Serbie

Roi actuel Petar Gojniković
Population 504 500 hab.
Armée professionnelle 2500 hommes (plus 4000 réservistes)

Mission de diffusion du christianisme dans l'ensemble du Royaume (915 - 920)

Après l'expédition infructueuse de 908 - 909 en territoire païen le roi Petar Gojniković décida de renforcer la chrétienté dans les zones déjà converties. Cette mesure visait à créer une marche sociale entre les deux cultures, cette marche permettrait de mieux absorber et convertir les serbes païens. En 910 le Royaume de Serbie comptait 411 700 chrétiens, répartis en deux communautés, environ sur les 502 100 habitants de sa population totale. Les deux communautés chrétiennes serbes sont les Not et les Oakuj, les Not regroupent les chrétiens fidèles à la religion telle que rapportée ici au IXe siècle alors que les Oakuj sont les chrétiens gardant une influence païenne et voyant cette religion différemment. A l'heure actuelle 368 500 chrétiens sont des Not et 46 500 des Oakuj. Il est claire que les Oakuj sont mal perçus par l'aristocratie dominante mais ils représentent la meilleure des passerelles entre le monde chrétien traditionnel et le monde païen serbe. Cette passerelle va vite être exploitée par le roi, qui va masser les Oakuj aux frontières des régions païennes dès 911 et leur donner pour objectif de renouer le lien avec elles. C'est en 913 que le dispositif est complet, en deux ans 11 650 chrétiens ont été déplacé vers ces lieux (de gré ou de force). En avril 914, Petar Gojniković fonde le Corps Chrétien Serbe[1], une organisation militaire exclusivement chrétienne qui a pour but de défendre les lieux chrétiens (dont les tombeaux des deux Apôtres serbes) et d'éliminer les païens trop agressifs.

Ils vont faire parler d'eux pour la première fois en octobre, du 4 au 16 ils vont pénétrer en territoire infidèle et y commettre des massacres. Le 4 octobre 914, au matin, un détachement de 175 soldats du Corps Chrétien Serbe, commandé par Čubrilo (second fils Petar Gojniković), s'enfonce dans la dernière zone païenne de l'est. Ils atteignent Kostolac à midi, la population locale, bien que dévouée au paganisme, reconnaissait l'autorité du roi chrétien. Après s'être reposé à Kostolac ils repartent vers l'est et arrivent à Rečica dans la soirée. Les troupes commencent leur élimination des païens pugnaces. Beaucoup de villageois prennent les armes pour défendre leurs compères en difficulté. Au bout de deux heures les soldats du Corps tuent 76 personnes, en blessent 58 autres et en capturent 20 autres. Čubrilo déclare après le ravage : "Nous, soldats chrétiens, accomplissons ici notre devoir fondamental. Ce n'est que le début de l'avancé des forces écrasantes que nous représentons." La colonne de soldats et de prisonniers se remit en marche pendant quatre jours, tuant et capturant tout païen fière et malséant. A Vračev Gaj ils massacrèrent 780 infidèles au cours de deux jours de carnage et de pillage. La localité en feu ils repartirent vers le nord et atteignirent Crvena Crkva le 8. Ils furent accueillis par une centaine de paysans armés et déterminés. Seul 45 soldats suffirent à balayer la très médiocre menace. Les survivants des environs (entre 80 et 120), désireux d'éviter un nouveau massacre, prirent l'initiative de se convertir au christianisme. Le 10, à Grebenac et dans ses campagne, 1100 personnes se convertirent. Sur la route du retour huit villages furent rasés et 745 serbes tués. Le 13, avant de pénétrer en zone chrétienne, les soldats du Corps tombent dans une violente embuscade qui va coûter la vie à sept de leurs compagnons. Le 16 octobre l'impétueuse entreprise prit fin. Le roi se dira satisfait de cette opération malgré les pertes chrétiennes[2].

Début 915, l'Eglise serbe encourage les fidèles à servir Dieu. Cette mesure indique que plus les paysans produisent mieux se portera leur vie et qu'ils doivent êtres prêts à prendre les armes contre les infidèles à n'importe quel moment. A cette époque on produit du navet, des noix, de l'orge, des lentilles et des pois. Dans le sud et dans l'est on élève des moutons et dans le nord et l'ouest des bovins. En été 915, on recensait 854 églises dans toute la Serbie, ainsi que 7 monastères. De 915 à 918 le nombre d'églises passa de 854 à 928. Pendant l'hiver, le Corps Chrétien Serbe commit deux autres massacres qui coûtèrent la vie à 505 incroyants et qui entraîna des troubles au sud. Le roi mit en place le Corps de Protection des Chrétiens Serbes[3], qui aura pour unique rôle d'assurer la protection des bâtiments religieux, laissant au Corps plus d'opportunités. Début 916 le Corps Chrétien Serbe comptait 450 soldats et le Corps de Protection des Chrétiens Serbes 1100 (ces soldats ne sont pas compris dans l'armée professionnelle car ils sont considérés comme une force interne). Durant l'année 916, 1500 païens décideront de se convertir et 2800 de plus au cours de l'année suivante. L'année 917 fut marquante car elle est la première de la route vers la tranquillité. En effet, seulement 200 infidèles seront tués durant cette année. Hrabar, premier fils du roi, fut désigné comme un modèle de piété par l'Eglise. Son frère, Čubrilo, envieux, mena une vaste campagne de destruction au sein des infidèles, pensant que l'Eglise le verrait d'un meilleur œil. Ce déchaînement de violence en fit une honte aux yeux de son père, qui, embarrassé, l'envoya avec une vingtaine d'hommes au sud du Royaume pour le calmer. Hrabar prêcha chez les païens et fut acclamé par les chrétiens serbes pendant ces divers voyages. L'année 917 se termina par la migration de 7500 chrétiens vers le centre de la Serbie, car ils se sentaient peu en sécurité près des païens, qui pénétraient souvent chez eux pour piller et tuer. De 918 à 919 le roi fit quatre déplacements dans les zones païennes pour calmer les tensions, mais en même temps ordonna l’exécution de 120 païens qui avaient tués des chrétiens l'année dernière. Pendant que les infidèles comptaient leurs pertes Čubrilo entama son retour. Après quatre mois de marche, et approchant son objectif; il fut capturé par un groupe de bandits qui tuèrent la moitié de ses hommes. Lui et ses dix compagnons furent emmenés dans les forêts en attendant la rançon, qui tardait à arriver. Le roi, réticent à payer, ordonna aux brigands de le relâcher pour une sommes moindre. Ils refusèrent et il accepta de payer, Čubrilo fut libéré le 24 juin 920. Tandis que les tensions se calmèrent le roi de Serbie fut atteint du mal des ardents et mourut le 19 septembre 920. Son premier fils, aimé par le peuple chrétien, mais aussi païen par sa certaine forme de tolérance, lui succéda.

[1] :
[2] :
[3] :

Soldat du Corps Chrétien Serbe en difficulté face à un soldat païen bien équipé

Soldat de l'armée professionnelle - 918

GG les GM d'avoir délaissé la partie

Une petite prière pour ce csc mort né

Hum