San Fierro était une ville charmante. C´etait le centre économique et culturel de San Andreas. Un lieu ou se melangeait diverses ethnies. Les Vietnamiens d´Easter Basin, les Chinois de Chinatown, les Mexicains de Garcia, les chauffeurs de taxi Haïtiens, les hyppies shootés de Hashburry, les hommes d´affaires de Calton Heights et de Downtown...
Cette ville, c´etait la Ville de l´Amour. Le Big Pointy Building, le Gant Bridge, le Garver Bridge, le Kincaïd Bridge, la Windy Windy Windy Windy Street...
Tout cela c´etait San Fierro.
Minh Ho Chi Lap rentra dans le hall de son motel miteux. A l´interieur, le propriétaire des lieux dormait sur un fauteuil crasseux. Ho Chi Minh Lap prit soin de ne pas le reveiller, et monta jusqu´a sa chambre. Devant la porte de sa piaule, un exemplaire du San Andreas Newspaper, était poser a meme le sol. Minh le prit, puis penetra dans sa chambre. Il posa sa veste sur une chaise en fer a demi-rouillé, puis, il s´assit sur son lit, et commenca a feuilleter la rubrique "Offre d´Emplois" du journal. Tout de suite, il dénicha la bonne affaire : un poste de livreur-coursier au Hippy Shopper. Une chaine de restauration a San Fierro. Minh s´y rendit aussitot. Au dehors, l´air était empli de fumée. Les gazs d´echapemment rejetés par les Camper hippyes flottaient dans l´air vicié de San Fierro. Minh n´y fit pas plus attention, et fila vers le Hippy Shopper.
" Ouais ?
- Lance, c´est Danny.
- Hey small t´es passé où ?
- Je suis à un hotel à Temple, je suis pas trop fan de Idlewood, et je voulais pas embeter tante wilson, bon allez je te file mon numéro.
- Okay merci je t´appelerais ptetre, ça te dit de sortir un peu.
- Bof je dois chercher du boulôt aujourd´hui je vais sans doute être un peu occupé.
- Bon tant pis, à plus cousin. "
Je me remets à feuilleter les petites annonces, pour l´instant rien de bien interessant. Puis je tombe sur une épicierie appelé 24/7 à Pershing square.
Je me prépare et sors, je vais devoir reprendre le bus.
Arrivé la-bas je rentre et demande à la caissière où se trouve le patron.
" c´est cette porte la monsieur.
- Merci... Au revoir"
Je frappe à la porte et entend une grosse voix qui me dit de rentrer, le patron était un grand gars baraqué, on aurait plutôt dit un type de la sécu.
" Heu.. bonjour, heu je cherche... vous êtes le patron ?
- Oui c´est moi, vous voulez un boulôt ?
- ( je reprend mon calme, et respire un bon coup ) Oui j´ai vu une annonce dans le journal, et j´aimerais savoir en quoi consiste le travail, quels sont les horaires et ... bah tout ce qu´il y a à savoir.
- ( le type s´assoies sur sa chaise ) le boulôt consiste à laver le magazin, à bien tout remettre en place dans les rayons et quand il n´y a personne à la caisse, de vous occuper de ça. Vous serez payer 500$ la semaine, vous travaillerez de 9h30 à 12h00 et de 13h30 à 16h30, ça vous va ?
- Et bien oui.
- Très bien je verrais de quoi vous êtes capable, donc rendez-vous demain à 9h30.
- Merci monsieur, au revoir.*
Au fait je sais toujours pas à quel époque se déroule RSA
Minh arriva devant le Hippy Shopper. Un bistrot chic et a la mode ces derniers temps. ils penetra dans l´etablissement, et se dirigea vers le receptioniste. Un homme fin et frele, avec une fine moustache et a la coiffure strict.
"- Bonjour monsieur! Que puis je faire pour vous?"
"- Bonjour. Je viens ici pour... Euh... pour l´offre d´emploi."
Minh tendit a l´homme la coupure de presse qu´il avait déchirer et entourer au stylo-bille.
"- Ah! Bien sur. l´Offre d´emploi."
Le receptioniste decrocha un telephone posé sur la table, et il composa un numéro.
"- Jeannine? J´ai un monsieur qui est interessé par l´offre d´emploi. Tu peut l´accompagner dans le bureau du chef? Non moi je peut pas la, je suis débordé la, je dois m´occuper des clients? Tu t´en charge? Merci."
Il raccrocha, et adressa un sourire a Minh.
"- Veuillez patienter quelques instants je vous prie. Voulez vous un verre d´eau?"
Minh hocha la tete.
"- Bien. Je vous le ramene tout de suite."
Deux minutes plus tard, le receptioniste revint, un verre d´eau a la main qu´il tendit a Minh. A peine le Vietnamien eut-il porter le verre a sa bouche, qu´une femme blonde frisant la quarantaine arriva, et demanda a Minh de le suivre. Ho Chi Lap abandonna a regret son verre d´eau, et suivit la femme. Ils traverserent la salle du restaurant, puis la blonde ouvrit une porte a demi-caché par le comptoir , et ils suivirent un dédale de couloirs, jusqu´a arriver face a une luxueuse porte en bois vernis.
"- C´est ici que je te laisse jeune homme. c´est le bureau du patron. Je dois retourner en salle."
Et elle repartit laissant la, le jeune Vietnamien. Celui ci tappa trois coups a la porte. Une voix guttural lui répondit :
"- Entrez."
Minh ne se fit pas prier, et entra dans le bureau du "tout-puissant". La salle etait immense. Une table basse, ornée de bibelots en ivoire et en cristal faisait face a un superbe bureau en bois. Une large mappemonde datant du 19eme siècle tronait dans un coin de la pièce. Tout était silencieux. Seul le cliquetis d´une pendule se faisait entendre. Soudain, la porte que Minh avait laissé ouverte, se referma brusquemment. Minh se retourna, et decouvrit un homme en costume-cravate noire.
"- Vous etes l´employée que j´attendais. N´est ce pas?..."
"- Et vous... Vous etes l´employeur que j´attendais."
l´Homme sourit. Il s´avanca vers Minh. ses mouvements étaient amples et manièrés, lui conférant une admirable graçe.
"- Est ce que vous accepteriez de travaillez pour moi en etant payer une misère?"
"- Non."
"- Est ce que vous accepteriez de travailler pour moi sans possibilité d´etre libre de vos mouvements?"
"- Non."
"- Est ce que vous accepteriez de travailler pour moi en faisant une croix sur votre vie privée?"
"- Non."
"- Bien. Vous etes l´homme qu´il me faut. J´aime les gars comme vous qui prennent des décisions sur le tas. Les gars comme vous, je ne suis pas obliger de les guider et de les soutenir comme des assistés. Merde, c´est a peine si je leur torche pas le cul! Vous commencez dès aujourd´hui. Il y´a un Pony a l´exterieur devant le quai de déchargement. Il est plein a ras-bord de viande avariée. Je veut que tu refourgue cette viande aux gars du 24/7 de Pershing Square a LOs Santos. On a un contrat avec 24/7 sur la viande avariée. Quand tu aura fini de decharger la marchandise, tu reviens ici, et tu me fais le plaisir de nettoyer l´arriere du fourgon. C´est clair?"
"- Compris. Ce sera fait."
Quelques minutes plus tard, Minh sortait du Hippy Shopper, et faisait le tour du restaurant pour arriver a la baie de déchargement des aliments. Un Pony était garé devant celle ci. Minh monta a l´intérieur. A peine monter a l´interieur, une désagréable odeur vint l´assaillir. Minh ouvrit rapidemment la vitre conducteur. En laissant la vitre ouverte, le trajet San Fierro-Los Santos se ferait sans aucun doute dans de meilleures conditions. Les clefs étaient sur le contact. Minh demmara, puis il s´engagea sur la route. Le trajet allait etre long.
"
bonjour je voudrais m inscrire.
donc j ai rempli la fiche :
Nom : tuning66
Travail :AUCUN
Argent :$200
Paie : AUCUNE
Vehicule : AUCUN
Résidence Fiscale : motel mitheux
Résidence Secondaire : AUCUNE
Entreprises :AUCUNE
Capacités : AUCUNE
je me suis aussi inscrit que le forum mais faut que l admin m accepte.
Voila jespere que j ai tout bien fait
Un admin t´a validé et je viens de créer tes topics
Bon jeu !
merci beaucoup
Jamie "Mc See"
Après avoir passer ma nuit dans le motel miteux de Jefferson, à Los Santos, je sortit dehors afin de servir mon gang, les Ballas, l´une des principale organisation criminelle de tout l´état de San Andreas. J´avais donc enfiler l´uniforme des Ballas, mon bonnet pourpre ainsi qu´une chemise de la même couleur. L´on m´avais donc donner rendez vous à East Los Santos.
Je venais d´arriver dans une ruelle de East Los Santos, une ruelle garder par deux Ballas armés d´AK-47. Ceux-ci me barrèrent la route.
Moi : -"Laissez moi passer les gars, c´est quoi l´blème ?
Ballas : -"Je t´ai jamais vu dans l´coin..."
Moi : -"Tu dit que d´la merde, chuis un Ballas bordel, regarde mon uniforme...
Mais le Ballas semblait très douteux... Heureusement, mon pote, Gonzague, arriva.
Gonzague : -"Laisse le passer Steph, c´est un pote, un Ballas.
Ils me laissèrent donc passer.
Gonzague : -"Désolé vieux, mais il y a eu une infiltration des Varios Los Aztecas dans nos rangs alors...
Moi : -"Epargne les détails gars, et dit moi ce qu´on fou ici."
Les 6 autres Ballas présent me saluèrent d’un signe de main. Un des membres de notre gang approcha. Il était afro-américain, comme moi, et ses longues drèdes étaient caché par le bonnet de l’uniforme Ballas.
Lui : « -Mon nom est V-Hard. »
Moi : « -Ok. C’est quoi la mission ? »
V-Hard : « -Bon, il va y avoir un deal de drogue avec les Los Santos Vagos, à Idlewood. Mais d’après une de nos sources, les Rifa de San Fierro risque de faire une décente pour récupérer la cam. »
Moi : « -Merde, on perdrait donc plein de pognon si sa se produisait… »
V-Hard : « -T’as tout compris p’tit, et c’est pour sa que vous allez faire une décente, vous sept, à Garcia, dans San Fierro, afin de faire diversion pendant que le deal à lieu. »
Gonzague « -Sa va être chaud les gars, on va les niquer ses bâtards de Rifa ! »
V-Hard : « -Ta gueule Gonzague. Vous avez trois bagnoles et deux motos les gars. Faites en bon usage. Le deal débute à 18h00.
Julien Leone
Je me rends donc à l´adresse indiquée et on m´indique le bureau du responsable des embauches. *
" Lui : Alors comme ça tu veux devenir chauffeur. Bien, je vois que tu n´as pas de casier et que ton permis de conduire est en règles. Tu viens dans la cour avec moi et tu me montre comme ton conduit !
Moi : Bien monsieur. "
Je rentre chez moi à pied, mon patron ne voulant pas que j´emporte le scooter. *
Dans la rue, les passants allaient et venaient, sans même un regard, ni un quelconque signe de politesse ou d´intérêt.
´Je dois vraiment faire peur´ se dit-il. ´Allez, un petit tour chez le coiffeur s´impose. J´en profiterai pour m´acheter de nouvelles fringues. Je dois faire peur dans ce Jean troué !´
Pierrarno marcha donc lentement mais sûrement. Soudain, il s´arrêta. ´Mais qu´est-ce que je fais !? ´ se dit-il. ´Le coiffeur est à plus d´une heure d´ici. J´ai encore l´habitude de celui de de Los Santos à deux pas de Grove Street´
Le taxi ne se fit pas attendre. Il déboula précipitamment et s´arrêta tout en douceur devant les pieds de Pied Rô.
Taximan : ´Hé man, j´te conduis où ?´
Pierrarno : ´Hé mec j´suis pas ton pote. Tu me parles pas comme ton clepse sinon ni adieux au pourboire.´
Taximan : ´Relax ma couille. Primo, arrête avec tes arguments. Tu me fais direct pitié. Deuxio, sois tu te comportes en petit client modèle, sois tu sors de mon antre.´
Pierrarno : ´Eh bien je sors. On se reverra...´
Taximan : ´Hé man, t´es qui pour me donner des mena...´
-CLAC-
Pierrarno ferma brusquement la porte du taxi. Aussi miteux soit-il, la vitre arrière se brisa.
Taximan : ´Hé mon taxi ! Tu t´la joues gros bras. Je vais te faire ta fête ma poule...´
Le Taximan sortit de son taxi, une batte à la main.
Pierrarno : ´Oh du calme. C´est pas de ma fate si ton taxi n´est pas digne de ce nom. J´viens juste d´arriver mon gars, cherche pas les embrouilles.´
Taximan : ´Quoi !? J´suis une nouille ?! ´
Pierrarno se dit tout bas : ´Eh merde, je l´ai encore bien choisi celui-là..."
Puis il parla tout haut : ´Ecoute le triso, je veux bien être sympa, mais là, tu commences à me les casser. Tu retournes dans ton taxi, on en finit là et on reste bons amis. D´accord ?´
Taximan : ´Attends je réfléchis... Pas d´accord. Amène ton petit cul par ici. Tu pètes les vitres de mon taxi et tu veux que je sois ton ami !? T´as fumé quoi là !? ´
Le Taximan donna un premier coup à Pierrano.
Ce dernier rétorqua : ´Eh mais ça fait mal. J´vais te faire ta fête´.
Il pris son poing américain et l´assomma net.
´En voilà un de moins.´ se dit-il. Il ramassa la batte du taximan, sonné.
Il ouvrit le coffre, y déposa l´arme puis entra dans le taxi côté conducteur.
´Il ne veut pas me déposer, bah j´vais me débrouiller autrement.´ ricana t-il.
Pierrarno partit avec le semblant de Taxi en direction du coiffeur.
´Finalement, se dit-il, ma journée ne commence pas trop mal...´*
petit a petit on commence a appercevoire la ville de san andreas avec surtout beaucoup de civilisation, d´immeuvles gigantesque et tres peu de nature on aprecoit seulement une petite foret au pieds d´une montage.
Je m´appelle Rich Nesson j´ai 24 ans et je reviens de loins car a Vice City la police me charchait partout.
mon casier dit qua 7 ans j´essaye de refourger de l´herbe au gamin de ma classe.
A 12 ans j´avais deja poignardée un gamin dans une baston.et enfin a 19 ans j´avais presque reussi le casse du siècle mais malheuresement mon complice m avait roulé.
C´est bon les pneus de l´avion ont touchées la piste je vais enfin pouvoir recuperer ma valise et aller dans mon hotel ou je vais pouvoir dormir.
Le trajet jusqu´a Los Santos était long. Le Pony était un bon fourgon. Il y´avait meme une radio FM. Minh ecoutais donc K-DSD tout en roulant vers le sud. Le Vietnamien ne connaissait rien de Los Santos. A part ce qu´il avait appris dans des prospectus Américains des années 50 au Vietnam. San Fierro lui faisait penser a Saïgon. C´etait une ville en constante activité. Minh avait hate de connaitre Los Santos et ses plages ensoleillées. Il roulait a présent sur les autoroutes Américaines. Les Interstates comme on les appelait. Les forets de pins et de sequoias bordaient les autoroutes, et Minh ne pouvait compter le nombre de stations-service qu´il avait depasser. Sur l´autoroute, la vitesse de certains motards était effrayantes. Maintes fois, Minh faillit renverser des groupes de bikers qui depassaient son Pony a des vitesses vertigineuses. De lourds camions encombraient égalemment la route. Minh avait egalemment été très impressionné par le Mont Chilliad. Cette montagne de roches et de verdure était très abrupte. Un jour, Minh se dit qu´il y ferait un saut, le temps d´une ballade ou d´une randonnée en foret. Et c´est au détour de l´autoroute cotière qu´il l´apperçut : Los Santos. Le royaume du Soleil et de l´Océan. La bande de mer longeait la ville semblant etre sortis des flots. Les buildings s´etalaient sur toute la superficie de la ville. Un vrai royaume.
l´Autoroute deboucha alors sur un large tunnel a deux voies. Puis, le paysage devint urbain. Des centaines de passants marchant en tout sens, faisant du shopping, et admirant les vitrines des grands magasins. Le Pony de Minh faisait pale figure face aux Blade et aux ZR-350 des locaux. Le feu passa au vert. Minh accelera tout en braquant le volant. Il se dirigea vers l´est. La aussi le paysage changeait. Fini les grandes étendues de buildings et de gratte-ciels. a présent apparaissaient un monde misère et de guerres de gang. La banlieue chaude de Los Santos. de petits pavillons des années 60´ en état de délabrement, des carcasses de voitures en train de rouiller dans les jardins et les arrières cours, les gangsters fumant et buvant toute la journée, les petits magasins protégés comme des bases militaires... Et tout cela sous un soleil de plomb. D´ailleurs il n´y avait pas que le soleil qui était de plomb...
Pershing Square. Sortie de banlieue. Une plazza qui rassemblait des scultupres neo-modernes sortis de l´imagination de quelques Polonais drogués, et ou les gangsters exprimaient leurs haines contre le systeme sous formes de tag et de garffitis. Juste devant le comissariat de Police. Puis place a Conference. Retour parmis les buildings. Des essaims d´hommes d´affaires et de prostitués de luxe. Les premiers se faisaient les deuxiemes, les deuxiemes prenaient l´argent des premiers. Tout est récyclé.
Minh stoppa près du 24/7 ou il était censée decharger la marchandise. Il sortit du fourgon, et rentra dans le 24/7. Au lieu de cela, un gang d´Afro-Américains tenaient en respect le commercant et ses clients a l´aide de leurs Colt. Quand Minh entra, ce fut d´abord la surprise. Puis les gangsters pointerent avec leurs armes le Vietnamien.
"- Putain, bouge pas! Allonge toi par terre ou j´te crève!"
Au lieu de cela, Minh ressortit en courant, et monta dans son fourgon. Il demmara et accelera au quart de tour. Deja, les gansters le poursuivaient. A pied, ils n´iraient pas bien loin. Minh fila jusqu´a El Corona. La, il descendit de son fourgon, et alla examiner les dégats. Les gangsters lui avaient tirés dessus pendant sa fuite. Un des feux arriere avait été brisée. Un impact de balle ornait la porte du fourgon. Rien de grave.
Au fait si vous creez une entreprise, envoyez moi un mp, histoire que je vous loupe pas
pierro Pas la peine d´ajouter le rpix des repas à l´hôtel, tout est comprit dans le prix.
Hey
Je précise que je serai pas là demain
Minh avait examiné la marchandise. La viande avariée n´avait pas subi de dégats. Au pire, un des consommateurs de viande de porc remarquerait qu´il y´a un fort gout de poudre et de plomb dans sa viande...
Minh revint donc au 24/7. A l´interieur du magasin, seul deux policiers écoutaient les temoignages des témoins du braquage. Scene presque habituel a Los Santos. Minh fit décharger la viande sur le quai de chargement avec l´aide de deux employés du 24/7, puis Minh remonta dans le Pony, et fila vers San Fierro. Los Santos? Très peu pour Minh...
Loulou Johnson
Pendant le repas, je remarquais que le caissier du Burger Shot était légèrement... innattentif à ce qu´il faisait, il parlait beaucoup avec ses clients.
Tout en mangeant, j´épiais tous les mouvements du caissier, tout en tâtonnant mon 9mm dans la poche.
"Comment lui retirer la caisse sans un minimum de balles et de risques à prendre?"
Là était la question... En attendant le dernier client qui sortit du restaurant, je me retrouvais seul avec le caissier.
Il s´avança vers moi puis me demanda :
"Alors mon p´tit monsieur, qu´est-ce qu´on attends? Je vous vois bien depuis midi, vous êtes là à attendre que je veuille bien vous payer un coup à boire? Vous ne m´avaez pas l´air méchant, allez venez avec moi, c´est mon anniversaire aujourd´hui."
Sans dire un mot, je me dirigeais vers le comptoir et regardais le petit caissier me servir un verre.
"Au fait, moi c´est Andrew et vous?"
Je finis mon verre, puis je pointa mon 9mm vers son coeur :
"Moi, c´est la caisse que je veux"
Il continuait à me regarder d´un air étonné, comme s´il ne s´attendait pas à ça.
"Dépêche-toi, j´ai pas que ça à faire!"
Il ouvrit la caisse et remplit le petit sac que je lui avais posé sur le comptoir.
Je comptais en même temps, 100$, 200$, 300$...
Puis à la somme de 650$ posé dans le sac, il restait un billet de 20$ dans la caisse :
"Je te le laisse, joyeux anniversaire..."
Je sortis en bousculant une personne qui venait de rentrer. Content de mon coup, je courrais ensuite dans les petites ruelles jusqu´à Grove Street, où je serais en sécurité.
Reynaldo avait passer des heures à gratter, récurer, aspirer, asperger, lustrer et parfumer le grill mal odorant. Que ce soit les murs lambrissés, les rideaux rouge vif, les assiettes d´un blanc douteux, les couverts à manche à carreaux, le carrelage bleu ciel de la cuisine, le plancher en pin de la salle, les chaises recouvertes d´un coussin à carreaux bleus foncés ou le four argenté de la cuisine, le jeune mexicain avait nettoyer ce restaurat de fond en comble, tout en devant s´éfforcer d´écouter la musique country de K Rose.
"I love a rainy night" s´était t-il surpris à chantonner, tandis que, tablier rose attaché à la taille, il vider les crachoirs dans les poubelles en aluminium. La patronne, bien que rude en apparence, était une femme jovial et extravertie. Elle s´était mis à aider son employé plusieurs fois, au grand damn de son fils, le cuisinier, une sorte de décérébrés qui, clope au bec, écoutait à fond du hard-rock néo-nazi dans ses écouteurs.
-"Du bon boulot Tiago, vraiment bien. Tu f´sais quoi avant au Mexique?" lui demanda sa chef.
-"Rien, Betsy" répond-il non sans gêne.
Le fils de Betsy profiter d´une pause cigarette pour épier sa mère et le mexicain. Ah ça! Il les aimais pas ces étrangers. Il serait prêt à tout pour se débarrasser de celui-ci. C´était un clandestin, il en était sûr. Un sale parasite qui puait les tacos. C´était décidé, à la fermeture, il proposerait à Reynaldo d´aller manger un bout chez lui, et il appellerait X, son pote motard pseudo-flic, qui saurait le travailler bien à la "moyennâgeuse".
-"Bonsoir Reyni!"
-"Adios Betsy!"
Loulou
Nom : Loulou Jonhson
Travail : Aucun (pour l´instant ^^)
Argent : $213 + 650$ = 863$
Paie : Aucun
Vehicule : mes jambes
Résidence Fiscale : 4, grove street à Ganton
Résidence Secondaire : AUCUNE
Entreprises : AUCUNE
Capacités : Aucune
Arme : mitraillette, 9 mm et couteau
Relation : en train de rentrer dans le gang des familles de grove street
Pas mal Elie