pour une fois je suis d´accord avec toi badgone enfin marseille restera tjr un club attractif pour un industriel de par les liens que l´on peut nouer avec la mairie ( n´est ce pas rld?? hein le cablage de marseille ca t´a rapporté pas mal) ca rld et tapie l´avait bien compris dc on peut espèrer avoir tjr kkun pour soutenir le club ou pkoi pas le remettre aux supporters pcq avec le nombre d´abonnés on pourrait devenir un petit barca... mais bien sur si on arrive a trouver un dirigeant compétent ( genre laporta... encore le barca mais c dingue ca!!! je deviens catalan moi)
appeler moi le russe de chelsea
On ne peut comparer aucun club français au Barça, ce club est ultra-endetté et c´est interdit en France sous peine de DNCG et de retrogradation.
c´est la France qui a la meilleure politique de gestion, mais ça ne nous aidera pas à gagner une LDC !
forza l om allez allez allez
j ai l impression q bouchet a tout fait pourque RLD se barre et recuperé à moindre frais les part de RLD.
Mais RLD pas con va lui faire une crasse en choissisant lui méme son sucesseur.
RLD si tu te tires merci qd méme pour tout. Tu etais bébétes certe à gober les conneries débiter par les président que tu avais choisis mais t etais sympa d effacer notre dette.
MERCI
Site Officiel :
Interview du manager général de l´OM en début d´après midi !
faut pas s´attendre à des questions dérangentes...
diouf a du faire les questions et les réponses
stoo mais ca doit etre surement le cas
c clair , mais bon j atten de voir ce qui va se dire et la 1er interview de troussier avc impatience
lol diouf au debut gt content qu´il vienne a l´om en fait c une quiche ce garenne de mort la putain
Accord de principe avec Troussier 25/11/2004
Un accord de principe a été trouvé avec Philippe Troussier, a indiqué jeudi Pape Diouf. Le Manager Général a bon espoir de boucler le dossier sous 48 heures. Il explique les raisons de son choix, et précise qu’Albert Emon conduira quoiqu’il arrive l’équipe samedi contre Nantes.
Philippe Troussier serait sur le point de signer…
Pape Diouf : «Je ne peux pas dire que l’affaire est faite. Mais il y a effectivement un accord de principe. Il reste des détails à régler mais je ne crois pas qu’ils soient susceptibles de faire avorter l’affaire. Je pense pouvoir y arriver d’ici 48 heures et à ce moment là je pourrais dire qu’il est officiellement le nouvel entraîneur de l’OM. Pour l’instant je dirais qu’il y a 90% de chances voire même un peu que cela se fasse».
Qu’est-ce qui vous séduit chez lui ?
Pape Diouf : «C’est quelqu’un de courageux. Il s’est bâti une expérience à l’étranger et il a obtenu des résultats sans toujours disposer de grands moyens. Il a des idées qui nous ont plu avec José ( Anigo), même si vous comprendrez que je ne les étalerai pas ici. Il connaît le football français, et, de fait, il parle la langue. Et bien-sûr il était libre de tout engagement, même si nous avions aussi pensé à un moment à des entraîneurs déjà en place».
Philippe Troussier vous a-t-il rapidement fait part de son intérêt ?
Pape Diouf : «Quand je l’ai contacté, il n’a évidemment pas cherché à cacher son intérêt car l’OM est de toute façon une caisse de résonance importante dans toute carrière. Il m’a demandé 24 heures de réflexion puis il est revenu vers moi pour me confirmer sa position. Il connaît la situation dans laquelle est l’équipe. Nous sommes naturellement passés depuis à des questions plus matérielles».
Certains déplorent son manque d’expérience sur la scène française…
Pape Diouf : «En France, on forme de très bons éducateurs, mais les entraîneurs se forment souvent hors de leurs bases. D’ailleurs la France n’est pas le centre du monde. Si le questionnement est logique, il n’est cependant jamais bon d’avoir un a priori. Il s’agira de juger sur pièce».
On le présente comme un «dur»…
Pape Diouf : «Je préfère le terme exigeant à dur. Je pense qu’il peut être l’homme de la situation. Il est compétent, et il est susceptible de tenir le discours qui convient dans le contexte actuel. Il peut avoir avec les joueurs cette distance que n’avait pas José ( Anigo)».
Comment ont réagi vos collaborateurs quand vous leur avez annoncé que vous penchiez pour Philippe Troussier ?
Pape Diouf : «Ce choix relève de ma responsabilité. Ma décision a été largement partagée par José. Pour le reste, les réactions allaient dans le sens du positif».
Viendra-t-il seul à l’OM ?
Pape Diouf : «Cela fait partie des choses qui restent à régler, tout comme la durée de son contrat. Philippe Troussier a en tout cas convenu de la qualité du staff en place à Marseille. C’est une question à affiner car on peut imaginer un mixage. De notre côté, nous comptons le conserver le staff dans son intégralité».
Sera-t-il sur le banc samedi contre Nantes ?
Pape Diouf : «Non, certainement pas. Ce n’est pas souhaitable, ne serait-ce que pour ceux qui sont là. Albert Emon conduira l’OM contre Nantes. Il fera l’équipe et définira l’organisation de jeu. J’ai par contre bon espoir que Philippe Troussier prendra le relais pour le déplacement à Caen ( samedi 4 décembre, ndlr)».
1er sur l info
je vous le redis... y signera pas
PREUVE -> http://img120.exs.cx/my.php?loc=img120&image=lequipenews.gif
pas trop de marseillas cet aprem
je suis o taf je peux pas trop discuter il fo bien bosser et justifier le maigre salaire que je touche à la fin de chaque mois quoique moi étant fonctionnaire à la Ville de Paris je me plains pas trop j ai la sécurité de l emploi
Voilà l´édito de OM Planète sur Troussier.
A lire avant de porter un jugement sur le bonhomme.
" Nul n’est prophète en son pays… L’épisode Anigo aura confirmé le vieil adage, après avoir fait illusion lors d’une étonnante épopée en coupe d’Europe. Depuis, le minot a déchanté, et nous avec : l’équipe composée par ses soins ne joue pas mieux au football que sa devancière, sans pour autant posséder cette capacité à se transcender lors des grands rendez-vous. Les défaites face à Paris puis le non-match à Ajaccio ont accéléré un processus déjà enclenché et ont amené le bon José à présenter sa démission – et les dirigeants à l’accepter.
Sayonara José…
Une issue inexorable
Le message, de toute évidence, ne passait plus : comment expliquer autrement la léthargie dans laquelle étaient plongés des joueurs pourtant mis au pied du mur par leur entraîneur ? Celui-ci leur avait en effet signifié qu’en cas de mauvais résultat il partirait : le déplacement calamiteux à François-Coty ne pouvait laisser d’autre alternative à Anigo que de joindre le geste à la parole. Cet OM-là est malade, ça ne fait aucun doute, et en abandonnant ses prérogatives le Marseillais s’en est lui-même attribué la responsabilité.
José seul coupable ?
Est-ce à dire pour autant que José Anigo était le seul coupable ? Certes pas. Comme certains cadres l’ont eux-mêmes affirmé, le comportement de beaucoup de joueurs est indigne de l’OM. Mais comme il est plus facile de changer un entraîneur que onze joueurs, Anigo s’est fait hara-kiri, dévoué tel un samouraï à son seigneur OM…
Car s’il est une chose qu’on ne pourra pas enlever au bonhomme, c’est bien la sincérité de son amour pour le club. Alors, en refusant les positions extrêmes qui consistent à l’idolâtrer ou à l’honnir, sachons lui rendre un hommage mesuré : à l’heure où beaucoup instrumentalisent l’OM dans leur intérêt propre, saluons l’attitude d’un homme qui n’a pas tenté de se servir de l’OM, mais plutôt de le servir.
L’héritage Anigo
La même modération doit également nous guider en ce qui concerne l’évaluation du bilan d’Anigo. Notons tout d’abord que José, quelles que soient ses qualités d’entraîneur, aura eu un mérite, énorme, oublié à Marseille depuis 1999 : nous faire rêver. L’épopée européenne de l’an passé, même si elle n’a pas totalement éclipsé une saison mi-figue mi-raisin, aura au moins eu le mérite de rappeler l’Europe au bon souvenir de l’OM, et de redonner un peu de joie et d’enthousiasme à un public phocéen largement sevré en la matière.
Le bilan en championnat est par contre beaucoup moins positif. L’an dernier, Anigo ne parvint pas à redresser la barre, et cette saison, malgré un groupe considérablement renforcé sur le papier, l’OM est assez loin de ses objectifs, et surtout pratique un jeu indigne des ambitions affichées. Mais la situation n’est pas pour autant catastrophique : l’OM ne se trouvant qu’à trois points du troisième, la crise n’est pas comptable. Elle est surtout dans les têtes, et sur le plan tactique : Anigo s’est avéré incapable de tirer le meilleur de ses joueurs. Remobiliser ces derniers, tout en mettant en place une tactique plus adaptée : telle sera la tâche de son successeur.
…Konnichiwa Philippe !
C’est cette double exigence qui a amené les dirigeants olympiens à faire appel à Philippe Troussier. Le « sorcier blanc » correspond parfaitement au profil décrit par Pape Diouf : « Il doit être en mesure de tenir un discours différent de celui de José Anigo. Un discours mobilisateur, d’abord, celui d’un homme ayant peut-être des relations plus distantes que celles que José a pu avoir avec ses joueurs […] Il faut simplement un meneur d’hommes ».
Autrement dit, il fallait un anti-Anigo pour réveiller l’OM. Et c’est justement ainsi qu’on peut définir le technicien français : tout chez lui est à l’opposé de José, qu’il s’agisse de son parcours, de sa réputation ou de son relationnel avec les joueurs.
Un entraîneur globe-trotter
Le parcours, tout d’abord. Alors que José Anigo est un pur produit de Marseille et de l’OM, totalement enraciné dans la cité phocéenne, Philippe Troussier est un globe-trotter spécialisé dans les destinations exotiques, après quelques expériences dans les divisions inférieures françaises ( Alençon, Red Star, et Créteil, entre 1984 et 1989).
Ses déambulations planétaires peuvent se décomposer en deux temps :
-tout d’abord, une période africaine : entre 1989 et 1997, il entraîne les meilleurs clubs africains ; l’ASEC Abidjan ( CIV), les Kaiser Chiefs ( AFS), puis les deux clubs de Rabat, le Ca et le FUS ( Maroc). Des expériences couronnées de succès ( avec notamment trois titres de champion de Côte-d’Ivoire et une coupe du Maroc), qui lui permettent d’accéder à la direction de nombreuses sélections nationales africaines : la Côte-d’Ivoire en 1993, puis le Nigeria, le Burkina Faso et l’Afrique du Sud entre mars 1997 et août 1998.
-après cette période africaine vint une période asiatique, qui lui vaudra une renommée certaine dans le monde entier : c’est en effet lui qui, dirigeant la sélection nippone de 1998 à 2002, a permis à cette équipe de s’imposer comme la meilleure nation asiatique ( Coupe d’Asie des Nations 2000), et surtout comme l’une des toutes meilleures équipes des jeunes nations du football ( c’est-à-dire hors de l’Europe de l’Amérique latine). Son succès a fait de lui une véritable idole au pays du Soleil Levant, où il rivalise avec Alain Delon pour le titre de Français le plus célèbre ( même des mangas lui sont consacrés…). Reste que cet épisode asiatique a été entaché d’un échec retentissant à la tête de la sélection qatari ; mais nous y reviendrons…
Des qualités reconnues
Bref, Troussier, anti-Anigo absolu en termes de parcours, l’est aussi en termes de reconnaissance. Tout d’abord, il est un entraîneur très expérimenté, ayant dirigé la bagatelle de treize équipes dans sa carrière ( clubs et sélections confondus). Et, en plus des titres déjà évoqués, il possède l’avantage d’avoir participé à plusieurs phases finales de Coupe du Monde, avec l’Afrique du Sud en 1998, et le Japon en 2002.
Partout où il est passé, ses qualités ont été louées : intelligence tactique, capacité à mener un groupe, grand sérieux dans la préparation. Des qualités qui lui ont valu une certaine reconnaissance dans le football international : Philippe Troussier est ainsi régulièrement contacté par des sélections à la recherche d’un technicien, comme par exemple l’Ecosse très récemment. Une légitimité et des qualités certaines, donc, qui contrastent avec le maigre pedigree de José Anigo.
Une discipline de fer
L’asymétrie parfaite entre les deux hommes paraît encore plus claire quand on évoque la question des relations joueurs-entraîneur. José Anigo était apprécié par ses hommes, en raison de ses qualités morales et de la sympathie qu’il dégage. José Anigo est assurément quelqu’un de loyal, et il était très proche de ses joueurs. Cette proximité s’était révélée précieuse l’an passé pour redonner vie à un groupe laissé moribond par la gestion psycho-rigide de Perrin. Mais ce qui était une solution l’an dernier est devenu un problème : trop près de ses protégés, il s’est révélé incapable de leur inculquer les exigences de l’environnement marseillais. Bref, à trop protéger ses joueurs, il les a peut-être empêché de s’adapter et d’évoluer.
Ce type de problème ne risque pas d’arriver avec Troussier. L’homme est réputé dur, sévère, et parfois distant avec son groupe. C’est un entraîneur professionnel, certainement pas un confident ou un ami. Ce sont d’ailleurs ses grandes exigences disciplinaires qui ont provoqué son échec qatari, les joueurs locaux étant par exemple irrités par les régimes diététiques imposés par le Français… Mais il faut aussi rappeler le manque ( ou l’absence) de professionnalisme chez les joueurs de ce pays, ce qui nous incite à comprendre et à relativiser la portée de son échec au pays de l’or noir.
Un bon choix ?
En définitive, qu’il s’agisse de son parcours, de sa réputation ou de ses méthodes, Troussier est l’anti-Anigo absolu. Ce choix indique en tout cas que nos dirigeants ont pris conscience de la nécessité d’apporter un nouveau souffle à cette équipe, et ont évité l’erreur de refaire confiance à un « minot » du cru. Non pas que ceux-ci soient forcément inférieurs aux entraîneurs venant de l’extérieur… Mais il semble que si une bonne connaissance du milieu peut s’avérer être un avantage dans certains cas, elle se transforme en inconvénient dès lors qu’il s’agit d’amener des joueurs à prendre leurs responsabilités et à s’affirmer par eux-mêmes. Troussier, c’est sûr, ne prendra pas de gant avec eux, et refusera de se sacrifier pour sur-protéger ses hommes.
Marseille avait sans doute besoin de ce genre de changement, qui quoi qu’il arrive provoquera une rupture : soit les joueurs recrutés à l’intersaison ont la carrure du très haut niveau, et la réaction sera positive ; soit ceux-ci sont encore des grands garçons et il risque de se passer la même chose qu’avec Perrin, c’est-à-dire le blocage total… Il était de toutes façons impossible de continuer éternellement ainsi : plus les matches s’enchaînaient, et moins on voyait l’horizon s’éclaircir…
Certains objecteront bien sûr que ledit Troussier, s’il est idolâtré au Japon et considéré comme un « sorcier blanc » en Afrique, n’a jamais dirigé un grand club en Europe avec ses cohortes de stars capricieuses… Mais combien d’entraîneurs en France ont participé à deux phases finales de Coupe du Monde ? Et combien de joueurs en France sont aussi capricieux et médiatiques qu’un Nakata ?
D’autres remarqueront – à juste titre – qu’en-dehors de ses quatre années passées à la tête de la sélection japonaise, Troussier n’est jamais resté longtemps au même poste. En effet, avec treize équipes en vingt ans, Troussier a réussi l’exploit de changer presque aussi souvent de club que l’OM n’a changé d’entraîneur pendant la même période ! Mais là encore, ce qui peut être un inconvénient pour un club ayant l’habitude de travailler dans la sérénité devient un avantage pour un club aussi agité que l’OM : Troussier est en quelque sorte un spécialiste des missions d’urgence, où des résultats doivent être atteints dans l’immédiat… Soit exactement ce que l’on attend d’un entraîneur à l’OM. Ce qui ne l’empêche pas par ailleurs de construire dans la durée, comme il l’a prouvé lors de ses quatre ans au Japon.
Voilà donc des raisons d’espérer : un entraîneur expérimenté, internationalement reconnu, capable d’agir dans l’urgence et dont l’esprit et les méthodes tranchent avec celles de son prédécesseur. Rien ne permet d’affirmer que la mayonnaise prendra, mais, avec un Tigana handicapé et un Bianchi peu disposé à quitter sa pampa, il est raisonnable d’estimer ( à défaut d’assurer…) que le choix de Troussier était l’un des meilleurs. Réponse définitive en juin…"
moi pareil faut bien que je taf un peu
bon l´om champion d´europe la saison prochaine