C frais Frèro.
Je sais pas trop,peut-être samedi prochain.
Désolé
Fréro: :gné:
jvbaIthier
quoi , tu veut me rendre malade
encore attendre une semaine pfiou
Désolé
Bon,bah j'attendrais
Quoi! Il va falloir que j'attende la semaine où j'ai le plus d'examens pour lire un nouveau chapitre! Tant pis. C'est aussi la semaine où il y a le moins de compliqués, alors tout va bien!
alors à quand la suite
je meurt d'attendre jvbaIthier
Bah,en principe demain
Voilà,new chap tout neuf avec quelques révélations,bon il est pas très long je sais,mais voilà,je vais pas tout révéler tout de suite...
Bonne lecture!
Suite du chapitre 14….
Homme : Bien le bonjour mademoiselle.
Sylkâ : Bonjour, que voulez-vous ?
Homme : Dans le genre direct, vous êtes la meilleur ! Je voudrais juste voir votre fils.
Sylkâ : Je n’ai pas d’enfant, au revoir monsieur.
Elle ferma la porte mais l’homme l’arrêta net, il entra….
Sylkâ : Que faites vous !
Homme : Il faut que je le voie de mes propres yeux !
Sylkâ : Je vous ai dit n’avoir pas d’enfant, sortez immédiatement de chez moi !!
Homme : Non, dit-il d’un ton froid.
Sylkâ prit une épée accrochée au mur et la pointa sur l’homme, celui-ci ne bougea point et ne fut nullement surprit. Elle trembla, puis l’averti une dernière fois de quitter les lieux. Il ne dit rien, elle attaqua et laissa échapper un cri, l’inconnu sourit, il prit l’épée et coupa les jambes de la pauvre Sylkâ. Dans les cris de souffrance de la jeune femme, l’inconnu inspecta la maison, il n’y avait personne. Il alla la voir, la souleva par le cou.
Homme : Ou est-il ?!
Sylkâ : Je vous l’ai dit, il n’y…..a…..perso….nne….Argh !
Homme : Tu souffre n’est-ce pas ? Cela me plaît, ça me donne des frissons. Haha voir…voir cette…douleur, la ressentir, arraché la vie d’une personne ou même d’un animal, c’est mon rêve, faire de ce monde, un monde de terreur ou tous survivrait, mais souffrirait à jamais. Alors, je te le répète une dernière fois, ou est ton fils ?
Sylkâ lui cracha à la figure, l’homme pris de rage, la jeta sur le sol et lui donna de multiples coup de pied, suivit des cris strident de la victime. Elle perdit connaissance…
Homme : Je te laisse en vie, je reviendrai te torturer dans quelques temps…….ah au fait, j’allais oublié, je me nomme Zardio, veuillez m’excuser de ne pas m’être présenté plus tôt, bonne journée.
Il sorti d’un air joyeux, quelques personnes se tenait là, devant la maison, effrayer, il n’hésita pas, il leur dit bonjour, sortit sa dague, et les écorcha. Il s’en alla pour de bon, le sang de plusieurs victimes sur son visage et ses vêtements…
Hulmötar travaillait dur à la forge, chaque coup de marteau devenait de plus en plus pesant, la sueur coulait abondamment, il ne prit jamais de pause, le travail avant tout. Ses collègues étaient admiratifs devant tant de hargne. Malheureusement, le salaire d’un forgeron est extrêmement faible, c’est pour cela qu’il se tuer à la tâche pour pouvoir nourrir sa famille. Son fils l’accompagnait chaque jour en son lieu de travail pour en apprendre plus, car lui aussi voulait devenir forgeron. Ce petit garçon était plein de vie, toujours souriant, serviable, il le tenait de son père. Après une dure journée de labeur, ils quittèrent le lieu de travail en route pour rentrer chez eux. A quelques mètres de leur domicile, ils virent un groupe de personnes. Ils se hâtèrent de voir ce qui se passe. Les personnes avaient une expression triste et désolé, Hulmötar rentra chez lui et vit avec effroi, sa femme, ses jambes coupé, ses côtes cassés à cause des violents coup de pied, et le sang qui coulait encore. Les personnes ne firent rien, ils n’avaient appelé aucun médecin…
Hulmötar cria en pleurant et empli de désespoir…..
Hulmötar : Non !!Sylkâ !!!!Et vous là, que faites vous, n’avez-vous pas pensé a chercher un médecin ! Vous êtes là, comme si elle était morte, elle respire, elle a encore une chance de survivre !!Vous me dégoûtez tous ! Je prierai tous les jours pour que vous rejoigniez l’enfer sous peu !!
Il porta sa femme, et courra, suivi de son fils qui ne su quoi dire et qui pleurait à chaude larme, au médecin le plus proche. Il arriva enfin devant un bâtiment en bois, il y entra et vit des dizaines et des dizaines de lits, des femmes parlaient entre elles et plaisantais. Hulmötar se hâta d’aller à leur rencontre, elles les vit et n’hésitèrent point à l’aider, ils l’allongèrent sur un lit, l’une des femmes pratiquer la magie blanche, elle la soigna facilement, mais ne pu lui rendre ses jambes.
Mage blanc : Maintenant elle est hors de danger, il lui faut du repos à présent.
Hulmötar fit un signe de la tête et se mit au chevet de sa chère et tendre. Son fils, toujours silencieux sortit pour s’isoler.
Hulmötar interpella la mage blanc….
Hulmötar : Euh……madame…. ?
Mage blanc : Rosa. Que se passe t-il ?
Hulmötar : Combien de temps restera t-elle endormi ?
Rosa : Je ne le sais, maintenant c’est à elle de combattre pour sa survie, c’est à elle de décidé…
Hulmötar : Je vois….
Des jours, des semaines passèrent sans changement….
Galion arrêta Sylkâ….
Galion : Comment ? Rosa vous a soigné ?
Sylkâ : Vous la connaissez ?
Galion : Bien sûr ! Donc, il y a deux ans elle était là-bas….et Zardio aussi !
Sylkâ : Vous connaissez aussi ce….. !
Galion : Oui, mais pour votre fils, une chose m’échappe. Comment cela se fait que son nom vous est inconnu ?
Sylkâ : En fait, la religion de mon mari stipule que nulle autre personne que le père et l’enfant doivent connaître son nom. Laissant la femme à se poser des questions et en sachant qu’elle ne devra jamais lui donner un nom, toujours devoir l’interpeller….par autre chose que son nom…..
Galion : Mais c’est horrible ! Quelle est cette religion ?
Sylkâ : La religion du Katarne….
Galion : Cela me dit quelque chose….mais bien sûr :
« La mémoire tu perdra, durant de longue années tu dormira, des questions tu te poseras, une meilleure vie tu auras »
Galion : C’est avec ces paroles stupides que nombres de familles ont était perdu !
Dans ses pensées :
« Mais alors, si Edward ne sait pas qui il est, qu’il se pose toutes ces questions pour tout savoir de sa vie, non c’est impossible, pourquoi y serait-il allé, pourquoi ? »
A suivre….
Voilà,j'attends vos coms!!!
Est-ce que ceci te suffit ?
Peut-être oui
C'est bon Frèro.
Salut JVB.
Comme tu me l'as demandé, je vais traiter de l'histoire, et pas des fautes.
Tout d'abord, le traitement hospitalier de Sylkâ a été beaucoup trop bref, étant donné les blessures que Zardio lui a infligé, surtout pour une jeune femme. Ensuite, le gamin qui voit sa mère dans un état tel ne peut que recevoir qu'un énorme choc, qui peut pourquoi pas le rendre carrément muet ou autre chose. Là on a pas l'impression qu'il est si choqué, parce que les mômes ça pleure toujours.
Ensuite, on a vraiment l'impression que Zardio a dit son nom à Sylkâ seulement pour que la conversation entre cette dernière et Galion ait correctement lieu.
Je me rapelle avoir dit que Zardio me plaisait par son côté mystérieux qui le rendait tout à fait original. Eh bien ça n'a pas été le cas dans ce chapitre, les mecs sanguinaires et cruels c'est très cliché ! Pas de panique, tu peux encore réparer ça, après tout tu as le total contrôle des actions des personnages de ton récit.
Pour l'histoire elle-même je n'ai pas changé d'avis, c'est bien ficelé, tu t'es ouvert de bonnes voies dès le début et tu nous forges quelque chose de correct, avec beaucoup de rebondissements & tout le tralala avec. Cette histoire à l'étoffe d'un grand d'heroic fantasy. Quelques années a passer dessus pour réécrire certains passages, relire, reconstruire certains morceaux, recevoir des conseils, et tu sors un livre qui fera un tabac direct (c'est mon avis, ta fic en a l'allure).
C'est une des rares histoire que je lis où je ne perçois pas comment pourrait être la fin, et c'est une bonne chose.
Vivement la suite ^^
jvbaIthier
magnifique , j'adore, j'aime , je suis sans voix
ta fan , te dis bravo, continue
mais je veux plus attendre si longtemps
je veux la suite mes nerfs ne tiendront pas
vite je veux tout savoir
Je suis à 100% d'accord avec Kay! Tu as l'étoffe d'un grand écrivain, et ton histoire pourrait te rapporter du pognon $£€, même si c'est pas le plus important pour un écrivain (selon moi)
Bon, toujours les mêmes fautes de temps, utilisation d'un infinitif au lieu d'un imparfait, etc... Tu connais la chanson (oui, je suis assez direct). Et, comme kay, je trouve que tu as trop fait passer Zardio de mystérieux à cruel. C'est un méchant, d'accord, mais un méchant n'est pas forcément démoniaque (dans mon histoire, il y aura un méchant non démoniaque, pas comme l'être, mais je ne vous dirais pas qui!)
Sinon, c'est vrai que le gosse (je crois deviner son identité, mais je suppose que je me trompe, sinon ce serait trop facile) n'est pas beaucoup bouleversé par l'état de sa mère, même si certaines personnes peuvent être soudain vidées de leurs sentiments face à un choc.
Et, JVB, va lire ma fic (kay, vas-y aussi). J'ai beaucoup changer dans ce chapitre (de la structure)
Bah vu que je suis dans ma folie pour écrire la suite sera poster soit ce soir,soit demain,au pire,la semaine prochaine
Kay:On s'est déjà tout dit sur m'nm's
Merci chat
POur Zardio je vais le dire:cela se passe deux année en arrière,Zardio est mystérieux au présent et bien intéressant,mais y'a deux ans c'était un fou furieux,ne vous en faites pas les gars,je travaillerai ce perso,je veux qu'il soit parfait
Et pour le gamin,si tu as une idée et que tu trouve ue ça ferait trop simple......ben tu verras bien....
Au fait, c'est vraiment horrible une mère qui ne peut connaître le nom de son enfant...
Oui très
C'est un point positif. Une religion malfaisante on voit pas ça souvent. A conserver !