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Sujet : Mes poésies et les vôtres...

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redsissi redsissi
MP
Niveau 10
05 novembre 2006 à 16:47:24

père à 15 ans? :ouch:
tu parles pas sérieusement là j´espère...

ta poésie est pas mal, les rimes ne sont pas toujours équilibrées ou bien alternées et certains mots reviennent, mais la suite d´idées est pas trop mal.

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
05 novembre 2006 à 17:18:26

Francine

T’as toujours eu cette joie de vivre
T’as aimé la vie à t’en rendre ivre
Ton sourire espiègle tu l’emportes avec toi
Sur tes lèvres une dernière fois, se dessinera

Tu savais prendre le temps d’écouter
Toujours disponible pour les confidences
Tu n’as jamais manqué de substance
Très précieuse et inconditionnelle fut ton amitié

Ta persévérance et ta constance
Dans n’importe quelles circonstances
Ta transparence et ta patience
En ont inspiré plus d’un, quand j’y pense

Francine petit bout de femme intrépide
Ta force de caractère nous inspire tous
Tu nous est ravie de façon stupide
Mais on se souviendra de toi ma douce

Touche-à-tout, femme aux multiples talents
Tu as su garder aussi ton âme d’enfant
T’émerveiller de tout ce qui t’entourait
Être fascinée de par tout ce que tu ne connais

Vive comme l’éclair
Pas difficile de te plaire
Tu as su profiter des simples plaisirs
Dommage que tu aies dû partir…

Tout là-haut on se retrouvera
Cette franche complicité, on retrouvera
Non tu ne pars pas, tu es encore là
Au fond de nos cœurs tu resteras

(Pour ma belle-sœur décédée ce matin)

L-orgue-e-yeux L-orgue-e-yeux
MP
Niveau 42
05 novembre 2006 à 17:37:49

"(Pour ma belle-sœur décédée ce matin) "
-> ouch... toutes nos amicales condoléances...

Bon ben cet un bel hommage... je ne suis pas très fort concernant les poésies, et donc je fais un pietre commentateur... mais, il y a un ver qui me semble bizarre :
"T’émerveiller de tout ce qui t’entourait
Être fascinée de par tout ce que tu ne connais "
-> le deuxième, la formulation "de par"... je sais pas, si c´était pour rajouter un syllabe, alors peut-être "Être fascinée par tout ce que tu ne connaissait" qui permet en plus une meilleure concordance des temps...

´fin bref... un très bel hommage...

Psyckooo Psyckooo
MP
Niveau 10
05 novembre 2006 à 18:13:12

"père à 15 ans? :ouch: "

:rire: Non non, t´inquiète pas ^^

Toutes mes condoléances red, c´est un bel hommage.

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
05 novembre 2006 à 18:37:36

t´as raison le "de" est de trop l´orgeuilleux!
:merci: pour tes yeux vifs! :-)))

je laisse "connais" par contre parce que je crois qu´elle sera toujours ouverte à la découverte... même là-haut! :-)

merci pour les condoléances, c´est gentil :-)

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
05 novembre 2006 à 18:44:35

comment j´écris encore!!! :honte: L´orgueilleux :desole:

greg101 greg101
MP
Niveau 5
06 novembre 2006 à 19:46:43

J´en ecris plusieurs dont ceux-ci:

Assis contre un arbre, je vois au loin une fleur, imagerie illuminée par un infime rayon de soleil traversant les nuages, où ni temps ni saison ne parvient à m´eblouir. Le flot de l´eau ne fait que rayonner les couleurs infini des pétales, le paradis m´est alors présenté de toute son immensité par cette silencieuse scène où vols musicalement les colombes.

Tu survoles ma vie et d´un battement d´aîle renait mon âme et demeure l´aurore de mes nuits. Un simple geste de ma part, je le sais, m´envolerait vers ce nuage, où l´olympe m´est présenté par cette jeune deesse et auquel paysage ne pourrait retiré sa grace car d´un simple élan j´accompagne l´éternel.

C´est ce jour là, où mon coeur s´est embrasé, lorque ton sourire accompagné d´une fleur sauvage à croisé l´azur de mes yeux, lorsque l´horizon a parcouru cette reverie musicalement. Harmonie spirirtuelle qui garde à jamais ton sourire,tes yeux, ton visage, gravé au fin pinceau qui d´un paysage silencieux me fait découvir l´infini de ta joie et l´unique,l´ultime, sens de ton immortelle beauté. Le coeur enchanteur je te dédie ce poeme.

Voici voilou les meilleurs de ma liste. Commentaires à me dire , je suis à l´ecoute !

redsissi redsissi
MP
Niveau 10
07 novembre 2006 à 00:04:33

de très jolies allégories en tout cas!
j´aime bien :coeur:

greg101 greg101
MP
Niveau 5
07 novembre 2006 à 19:15:00

Merci :)

Fantasy_dream Fantasy_dream
MP
Niveau 10
07 novembre 2006 à 19:27:57

Je trouve cela tres beau !

Nanaki7 Nanaki7
MP
Niveau 10
07 novembre 2006 à 19:30:37

Ayant posté mon texte dans un topic à part, je le reposte ici, car c´est en fait composé de vers et de rimes...
J´me dis pas poète, plutôt pwet, et j´vous laisse lire, si l´envie vous prend. =^-^=

Une pluie de cristal sur un monolithe.

Soirée grisâtre, crépuscule d’automne.
De lourds nuages recouvrent le ciel de leurs reflets, tristes et mornes.
Le tonnerre gronde et déchire le ciel.
Tandis que de la lune naissante ne s’échappent de sinistres teintes, blafardes et vermeilles.
Lui ne pleure plus, il l’a décidé.
Elle est bien trop cruelle pour que des larmes ne puissent couler…
La mer reflète son désespoir, pacifique gardienne des regrets.
Lui ne peut que s’asseoir, et le cœur lourd la contempler.
Elle a abrité des sirènes, des épaves, des pierres précieuses, des noyés.
Mais c’est sans la moindre peine qu’elle n’a de cesse de refluer.
L’écume se dessine au creux de ses vagues.
Le ciel se convulse et fond en cascade.
De fines gouttes cristallines, pleurent les cieux, caressent son échine.
Une pluie de cristal sur un monolithe.

Une ondine se dresse sur l’horizon, femme d’eau translucide et mystique.
Elle avance en sa direction, d’un pas voluptueux, fantomatique.
Ses cheveux reluisant virevoltent au gré de vent.
Il se rappelle que le temps passe, inexorablement.
Son âme est prise de douloureuses brûlures.
Il ne les supporte pas, elles perdurent.
Les souvenirs ressurgissent et le transpercent de toutes parts.
Il se retrouve perdu, dépossédé d’envie d’exister, hagard.
Son souffle le frôle, froide caresse spectrale, humide allégorie de son âme.
Il ouvre la bouche, prononçant d’inaudibles paroles, psalmodiant son nom comme une ode, métaphore de sa flamme.
Enfin elle se dissout et le libère de son emprise si douloureuse.
Les larmes perlent sur ses joues, lentes caresses doucereuses.
Une pluie de cristal sur un monolithe.

D’une vague naît léviathan.

Ô dieu des mers emporte-moi loin de mes tourments !

Son corps, parsemé d’écailles translucides, s’enroule.
La pluie ne cesse de tomber et chaque goutte, en s’écrasant contre son corps aquatique, crée une minuscule explosion. Une myriade de reflets bleutés m’illuminent, me percent les yeux.
Des gerbes d’eau se dressent peu à peu devant mon visage, un peu plus loin sur la plage.
Lentement, les gouttes se lient, et forment un mur liquide.
Ovale portail vers la maison de mes rêves.
Je tente de croiser le regard du serpent, mais il disparaît en une cascade reluisante.
Un lointain écho me parvient, commence à m’hanter.
Les jambes tremblantes, parcouru de frissons, j’avance. Mû par la curiosité et ce goût de vie terminée en bouche.
Et d’un seul coup me voilà passé. J’ai quitté ce monde et en aie rejoint un nouveau.

Ô dieu des mers je te remercie de ce présent.

Le souffle commence déjà à me manquer.
Mes doigts se crispent, ma vision s’obscurcit, je ne goûterai pas ce paysage parfait.
Les sirènes commencent à s’enfuir, les poissons à se faufiler.
Les coraux se ternissent, les épaves se mettent à refluer.
De leurs entrailles des noyés, des cadavres en décomposition, des lambeaux de chairs arrachées.
L’eau me brûle les iris, commence à s’infiltrer.
J’ouvre la bouche, je ne peux crier.
Et le liquide déferle dans ma gorge, se faufile dans ma trachée.
Alors, de mes mains décharnées, je tente de creuser.
De m’enterrer, de ta vue me cacher.
Pour que dans tes souvenirs je cesse d’exister.

Ôter à quelqu’un sa mémoire c’est lui ôter la vie, une partie de son âme, de ses rêves, ses folies.
Les fantômes sont des souvenirs, des âmes damnées.
Mais même les fantômes sont doués de cette faculté.
Inexistante, allégorie, folie ?
Le seul moyen de le savoir c’est d’y goûter.
De mordre dans cette pomme, et de la frôler.
La Mort est partout, elle est aussi la vie.
Et le pire tourment que tu puisses m’infliger, c’est l’oubli…

La marée a rejeté un homme pendant la nuit.
On raconte qu’une ondine l’a porté et l’a déposé près d’un rocher.
Un rocher que l’on dit hanté, car d’étranges évènements s’y sont produits.
Etranges car ils dépassent ce que la raison peut accepter.
Ce que les yeux peuvent discerner.
Et ce que la vie peut révéler.

Son corps gît, inerte, contre la pierre. Il semble minuscule.
Il n’est que le reflet de l’humanité dépourvue de possibilité d’aimer, ridicule.
Les cieux ne peuvent s’empêcher de pleurer.
De sublimes larmes célestes déferlent sur cette âme dépossédée.
Une pluie de cristal sur un monolithe…

Fantasy_dream Fantasy_dream
MP
Niveau 10
07 novembre 2006 à 19:32:17

J´adore. Surtout le titre. Sinon c´est magnifique.

Nanaki7 Nanaki7
MP
Niveau 10
07 novembre 2006 à 19:34:51

Greg :d) J´trouve que tes phrases sont trop longues... Epique, certes, mais trop d´épique ça pique ! :dehors:

Non, franch´ment, c´est zouli, mais y a des p´tites fautes toutes bêtes...
vols des colombes... c´est pas plutôt un verbe ici ? :fou:

Keep on !

Fantasy :d) Wah, deux minutes pour lire... Foufou toi ! xD

Merci du comm´ sinon... :-d

T´as pas une petite critique à faire ? Que j´améliore. :ange:

Yohan-Kiefa Yohan-Kiefa
MP
Niveau 10
08 novembre 2006 à 01:56:19

Un vieux truc retrouvé et peut-ête même déjà posté. Il me faudra faire un tri exhaustif de mes écrits. Bonne lecture. ^^

Premier Ministre

Un premier ministre perdu
Sur le bord de la grève
Il pleure ses chèvres
Un pauvre premier ministre
Un premier ministre déchu
Trop de coups de rames
Lui auront porté les blâmes
Jamais il n´aurait cru

Sur les fonds de la Ville
Certains le recherchent
Mais ils ne sont pas foutus
Dû moins de le chercher
Tant d´esquive dans un ciel d´ivoire
Plus personne ne peut le croire
Un pauvre premier ministre perdu

Une lente escalade sur les esplanades
Ils ont chanté il est fichu
Le pauvre premier ministre regardez-le
Ses rêves de grandeurs
Ont été grand, mais ils se sont effondrés
Sur les flancs des provinces, il a crié
Mesdames aimez-moi messieurs donnez-moi

Un court regard au Soleil
L´admirer maintenant ce n´est plus pareil
Il jette un bref coup d´oeil au loin
Il ne voit que les eaux
Demain, il partira et changera
Sur un beau bateau
Tout s´effacera et un nouvel homme il sera

Bien des années plus tard
sur les bancs d´un autocar
Un vieil homme sourit
Les journaux ont longtemps parlé
D´un autre qui lui ressemblait
Dans un petit village
Aux refrains nuageux
Un premier ministre est perdu

:)

Yohan-Kiefa Yohan-Kiefa
MP
Niveau 10
08 novembre 2006 à 02:05:01

Déjà posté ailleurs celui-là, mais il certainement sa place ici étant un poème.
Bonne lecture.

Les promesses du crépuscule

Une glace sous un chant révolu
La nuit attendait, seule et saugrenue
Encrée dans la solitude, enchantait et prenait
Le prisonnier de la vérité

Si près que les dieux l´observaient
Ancrée sur la grève
Près du cadavre qui marche
Cette fleur de macadam si lâche

Ce couple saugrenu sous une vérité révolue
Murmurant cet air hypocrite
Une glace sous un chant révolu
La nuit attendait, seule et saugrenue

Magnifiques tableaux, exposant le mensonge
Dirigeant l´intrigue menant aux songes
Il vint frapper le grand écueil, il vint chanter
Et au glas, les mots donner

Le fureur rêve maintenant à sa tombe
Sous l´air salé des cieux ennuagés
Il est mort et perdu sur la route
Un pardon, il cherchait sans raison

Les pensées d´une vie monotone
Cette lutte contre les comparses
Trahi par cet homme seul
Abandonné par un faux amour

Une glace sous un chant révolu
La nuit attendait, seule et saugrenue
Encrée dans la solitude, enchantait et prenait
Le prisonnier de la vérité

Et criait l´âme torturée sur la flamme endormie
Ramenant ces vieux souvenirs que la honte engloutit
Le coeur du fureur diffus entre ses mains
Cris et pleurs, mort aux petites heures

Le fureur rêve maintenant à sa tombe
Sous l´air salé des cieux ennuagés
Tourné sous la force du vent gris
Embrassez cette mélodie pour lui

Si près que les dieux l´observaient
Ancrée sur la grève
Près du cadavre qui marche
Cette fleur de macadam si lâche

Sombre
Douleur
Éparse
Solitude

:)

bolterlourd bolterlourd
MP
Niveau 6
09 novembre 2006 à 20:38:08

Journée de MERDE, crise existenciel, dépression , j´ai repris des vers d´un de mes anciens poèmes que je n´ai pas termine puisque trop ambitieux et je les ais intégrés à celui ci.

Le vent.

Contemples-les !
Au loin ils partiront,
Et jamais plus tu ne les apprécieras.
Plumages iridescents.
Jaunes et verts et rouges.
Petits colibris
Touts légers,
Dans le ciel orangé.

Les nuits chaudes, suantes, tonnantes dans ma tête,
Insolentes et éloquentes, lentes,
Les Cadillacs sombr’aux toiles sépulcrales.

Amertume brune dans un verre hideux.
Les Murs de chêne, étroits
Etroits,
Resserrés,
Imbibés des mégots,
Tabac froid.
Foyer chaud.
La cheminée.
Bouquins d’impressions digérées.
Couverture à l’émotion consumée,
Sale,
Embaumée de sueur,
D’opium.

Hasardeur dans le trou à rat,
Riffs ensevelis,
Musicien fou, crache sinistre,
Désaccordé, le violon crisse,
Le violon crisse,
Les psychés.

Oublié entre deux balais.
Petit, tout petit.
Pour tout jugement,
Des caveaux et des couvercles,
Chauves souris.

Une lune cloitrée,
Minuit d’espérance,
Ou zénith d’incompréhension.
Coincé
Dans des
Augustes de perditions.
Encore à pleurer,
Un automne dense,
Immense.
Vomir.
Poulpe huileux.
Pulpe Infecte.
La Tornade,
N’a laissé aucuns faux plis
Dans mes petites commodes.

Mes amis
Vous étiez si loin,
Si loin,
A Tellement des lieus,
D’appréhender le livre,
De cette rigole,
Un ami.
Haine,
Folie,
Non,
Pas de jalousie.
Non.
De la haine,
Pure,
Infaillible,
Immuable,
Téléphoné
A l’humanité.

Ils comprendront peut être.
ESCLAVES !

Tombeaux d’impressions,
Dans mon crane déglingué.
Lambeaux d’idéaux,
Digérés,
Annihilés.
Une tourmente,
Maelstrom d’excès
Et embrasement d’une âme
Condensé.
Je rejette,
L’emprise,
Ma condition,
Votre jugement,
Et
Surtout
D’entre tout,
L’amour.
Ma pauvre enfant,
Tout est fini,
Tout recommence.

Belle enfant.
Doux yeux.
Caresses suaves.
Je ne voulais pas te faire de mal,
Baisés ouatés.
Tu ne m’aurais pas suivi.
Seul dans la nuit,
La chandelle de ton amour,
Je l’occulte.
Un souffle
Sur ton visage,
Endormi
Belle enfant,
Au revoir.

Maintenant.

Exécrer la condition
Humaine,
Seul dans la haine,
Seul et seul.

Libre, Libre, libre,
Libre, Libre,
Seul,
Mais,
Libre.
Désert.

Amir_ Amir_
MP
Niveau 9
11 novembre 2006 à 21:14:31

"Attends l’idée géniale, ô poète invisible
L’est apportera l’ange et sa besace d’or
Pioches y sans crainte, n’y cherche aucune cible
Tu trouveras l’idée pour laquelle eux sont morts "

pleymobil84 pleymobil84
MP
Niveau 10
14 novembre 2006 à 20:58:15

Voila, nous sommes deux lycéens qui avons pris goût a la composition de poésies, et nous avons créé un blogafin de les publier. Nos poésies sont inspirées pas la poésie romantique, la ppoésie baudelairienne et quelques groupes musiquaux.

Voila l´adresse : http://lyrikteam.skyblog.com/

Bonne lecture
Et n´oubiez pas que les commentaires, c´est pas interdit ^^.

loki_bis loki_bis
MP
Niveau 10
14 novembre 2006 à 21:09:07

Quand Nanaki t´as dit de mettre sur ce topic, je pense(suis sûr de rien hein), qu´il ne voulait pas dire "met le lien sur le topic de poésies", mais mets tes poèmes, un simple copier/coller ne devrait pas être trop dur.

Nanaki7 Nanaki7
MP
Niveau 10
14 novembre 2006 à 21:10:49

Exatement loki.
:ok:

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