Je meurs, chaque jour je meurs.
Ce n´est pas le temps qui file, pas seulement.
Ni la froideur du matin qui jamais ne me ment,
Et me libère quelques heures des faciles nuits de peur.
Ce n´est pas le sourire de porcelaine,
Épuisant de bohème que je ne vivrais jamais,
D’une inconnu, belle, au coin d´une sale rue.
Ni la fleur du monde en un enfant qui, nulle haine,
Eclate d’amour et de rire, affamé de choses à aimer.
Le cœur désireux de se remplir de vie un peu plus.
L’existence c’est cette chute dans le cœur ;
d’un océan de couleurs, qui s’illuminant, chaque instant me brûlant,
À jamais se ternissent quand se consument les rêves de l’enfant.
Alors je pleure, chaque jour je pleure.
Bon je l´ai sorti comme ca, jai essayé de garder une vague symétrie mais jy connais pas grand chose.
elle m´a beaucoup touchée cette poésie Freeedom
encore un texte pour le plaisir (enfin le mien) :
Pale lueur luisant sur son visage.
Atrocité fondant en décalage.
Je l´aimais d´un amour sans faim, demandant juste un regard appaisant mes douleurs, déchirure abritant mes peurs, la peur de vivre dans un monde délavé, purifié, formaté.
Tu était ma couleur, mon orange d´aujourd´hui, je croquais chaques saveurs, odeurs, lueurs. Sans pour autant vivre en toi.
J´aurai voulu simplement te serrer, que tu t´approche de mon coeur, te sentir contre moi.
Et moi je lui là, contemplatif d´horreur, voulant juste ton bonheur, je me pleur en moi, je t´aime Pamela !
Merci d´avoir lu, désolé pour les fautes.
y a des moments où j´ai du mal à te suivre j´avoue, même sans parler des fautes, c´est difficile de s´y retrouver, les idées ne sont pas claires pour moi désolée
J´ai puisé dans ta peau
Comme une aventurière
Dee couleurs, des défauts
Des odeurs familières
J´ai emprunté ton corps
J´en ai fait du papier
Je le déplie encore
En venant m´y coucher
L´odeur de tes cheveux
J´en ai fait de l´argile
La matière de tes yeux
J´en ai fait une ville
Les pigments de ta voix
Ont coloré ma peau
Quand tes doigts maladroits
En déchiffraient les mots
La vie n´est pas l´auteur
Des lignes de ta main
Quand ta main serre mon coeur
Qui respire par le tien
Tes doigts sont des stylos
Traçant un labyrinthe
Quand tes doigts sur mon dos
Délaissent leurs empreintes
Quand ta bouche frissonne
Sur mon sein qui tressaille
Mes yeux soudain aphones
Te prennent par la taille
Encerclés par nos bras
Fortifiés par no peaux
Nos deux corps en combat
Luttent jusqu´au K-O
Nous sommes adversaires
Ma chère création
Je respire sous l´enfer
De nos interactions
Nos hanches se surprennent
Nos ventres se saluent
Nos souffles se reprennent
Et s´épuisent, vaincus
Etendu sur le drap
Comme un mort enterré
Tu enlève tes bras
De mon corps entamé
D´un regard entendu
Chacun reste muet
Ton grand corps dévêtu
Tu l´as démaquillé
Tes lèvres qui se brisent
Au centre de mon front
Une main sur ta valise
Tu pars de la maison
Je reste silencieuse
Sur le lit déserté
D´une jalousie joyeuse
Je me sens délaissée
Toujours parti trop tôt
Cet amant solitaire
J´en ai gardé la peau
Et l´odeur familière...
Petit texte sans prétentions aucunes...
Enjoy, oopa.
Dans un lieu inconnu, dans une terre perdue, gît un homme, les yeux clos…
Au fond d’un lac cristallin, gît une femme sous les nénuphars à peine éclos…
Entre deux nuages cotonneux, gît un rêve, sorte de cadeau…
Une silhouette se dresse au beau milieu de nulle part, celle d’une nymphe d’argent.
Son corps, aux reflets de lune, d’un bleu terne aux reflets ondoyants, aux reflets de nacre et de saphir, avance, d’un pas léger et souple, vers un homme.
Ses cheveux, cascade de cristal, virevoltent, comme des chimères de lumière et de métal, au gré d’un léger vent murmurant.
Elle avance en silence, n’osant troubler son repos. Elle avance sans un bruit, il garde les yeux clos.
Une ombre se dresse dans les flots, celle d’une nymphe de rubis.
Ses yeux, irisés de vermeil, d’un rouge ocre aux reflets de rubis, aux reflets cramoisis, étincellent sous l’eau, scrutent une femme.
Une longue tresse, de flammes ardentes, d’un feu éblouissant, jusqu’au bas du dos lui descend.
Elle la fixe en silence, n’osant troubler son repos. Elle la fixe sans un bruit, sous les nénuphars à peine éclos…
Réveil des incarnations.
Naissance d’une lamentation…
Porté par les courants, un chant antique virevolte, caresse des yeux le monde où il vient de naître…
Mystique et puissant, reflet d’un sentiment, sans y paraître…
Une longue complainte sous un ciel turquoise, un triste murmure sous un ciel d’onyx.
Ô nymphes, ô déesses chimériques, réveillez de leur torpeur les enfants de Morphée…
Ô âmes en peine, revivez.
Résurrection.
Annihilation.
Allégresse.
Tristesse.
Tels à deux phénix, ouvrez les yeux, et voyez le monde.
Vivez-le.
Dans un flot de sensations, ouvrez les yeux, et sentez le monde.
Pleurez-le.
Laissez les larmes perler sur vos joues tremblotantes, et consolez-vous, vous serez deux.
Unis, déchirés, vous serez deux, quel que soit votre choix.
Votre destin est de vivre et de répandre derrière vous un sillon de sensations, un souffle de bonheur, un sillage d’effroi.
Ô nymphes, ô déesses chimériques, bénissez-le.
Et dans un dernier souffle il murmura, de sa voix claire, de sa voix angélique, deux mots, deux noms, inconnus de tous, et qui pourtant vibrent dans leurs cœurs, en une chaleur fantastique…
Dans un nuage de poussière de cristal, la nymphe d’argent disparaît.
Tandis que sous des flots bouillonnants et dorés, celle de rubis s’est évaporée.
Du temps a passé, de nombreuses Lunes se sont élancées, englobant les cieux de leurs rayons moroses, mais n’ont rien trouvé.
Les temps ont changé, d’innombrables Soleils se sont aventurés parmi les cieux, mais en vain ils ont cherché…
Inexorablement, les jours, heures, minutes et secondes ont défilés…
Impassiblement, le Temps a espéré, que ses enfants naissent, que ses enfants se soient levés…
En vain…
En vain…
Dans un happement d’air rauque, deux yeux s’ouvrent, brutalement.
Un cœur vient de battre, lentement, frénétiquement.
Un violent malaise l’étreint, il a envie d’hurler, de pleurer.
Il ne le peut, pas encore, c’est trop tôt…
Condamné à subir sa peine ? Forcé à souffrir ?
« Non ! »
Car face même face à l’impossible, il y a un espoir…
Déjà dans son cœur vibre une sensation nouvelle, une onde de chaleur, doucereuse.
Assis les jambes en tailleur, il se repose…
Et écoute.
Il cherche à l’entendre, son éveil…
Car en son âme il la sait présente, proche de lui tout en étant si distante.
Il la caresse dans ses rêves, et l’aperçoit, dans ses songes.
Mais elle dort encore, il est trop tôt…
L’aube étend son voile de paix sur la plaine, dont l’herbe ondule au gré de la fine bise matinale. Des rayons orangés, mêlés à d’autres teintés de rose ou d’un rouge très pâle, très doux, illuminent le ciel, illuminent le lac qui se repose, en plein milieu, touche de pureté parmi la sérénité.
Ces mêmes rayons qui se reflètent dans l’eau, dansent à sa surface, en de fines stries luminescentes, et les fines ondulations de l’eau se voient ornées de reflets multicolores.
Sous une myriade d’arcs-en-ciel, naissent de fines bulles, synonymes de vie…
Dans un torrent de bulles, accompagné d’un cri étouffé, deux yeux se plissent, sauvagement.
Un cœur s’est réveillé, doucement, fébrilement.
Le souffle le lui manque, l’eau l’envahit.
Telle une lente vipère, elle s’infiltre dans ses poumons…
Dans un dernier souffle rauque, des bulles s’envolent, des membres s’agitent…
Car même face à la Mort, il y a un espoir…
Et lorsque enfin elle inhale l’air pur, ses poumons la déchirent, mais elle n’hurle pas.
Elle crache de l’eau, tousse de l’eau, vomit de l’eau…
Mais elle est en vit, et repart aussitôt.
Mue par une force chaleureuse, elle avance vers le lointain.
Ses pas la guident vers l’horizon, vers le soleil, vers ses rayons…
Le Temps a passé, les jambes endolories, les pieds meurtris, elle n’eut de cesse que d’avancer, vers cet appel mystérieux, qui vibrait en elle comme un ostinato fiévreux.
Franchissant des monts, des plaines et des cours d’eau, bravant les nuits pluvieuses et les journées venteuses, avec une seule pèlerine sur le dos, qu’un vieil ermite lui avait offerte, elle continuait.
Muette ombre dans les ténèbres, pâle silhouette en plein jour…
Du Temps a passé, tant de temps, trop de temps…
Et c’est ainsi, par une bête soirée d’été, sous le regard bienveillant d’une multitude d’étoiles, gardiennes des rêves, qu’ils se rencontrèrent…
Au détour d’un rocher, derrière un brin d’herbe, face à une montagne, aux abords d’un ruisseau. Ils se sont croisés, sans s’arrêter…
Sans s’arrêter, deux regards furtifs, sans s’arrêter.
Puis, d’un seul coup, leurs jambes se sont raidies, leurs corps se sont figés.
Dans un même geste, ils se sont retournés, face à la lune, face à la montagne.
A l’unisson, ils se sont regardés, à côté du ruisseau, à côté d’un caillou…
Deux larmes, deux simples larmes ont coulées, puis ils sont restés tels, immobiles, inertes.
Le vent eut beau souffler, pour les pousser, le ruisseau eut beau quitter son lit, pour les rapprocher, rien n’y fit.
Dans leurs yeux était née une étoile, était née une sensation, unique, profonde, inouïe.
Leur dialogue muet dura une éternité, un don solitaire face à l’immensité du temps.
Ils restèrent sans bouger, le temps filant entre leurs doigts crispés, caressant le pourtour de leurs visages, avec cette aura de bonheur qu’ils émanaient.
Deux statues de chair, habitées d’un cœur ardent, et d’un désir les consumant…
La pluie tombe, les cieux pleurent.
La pluie, drue, sur leurs cœurs.
Le vent souffle, le temps est las.
Le vent, caressant, ainsi que leurs bras.
Le soleil se lève, sur leurs yeux.
Le soleil, rougeoyant, en un feu.
La lune le remplace, gardienne dilettante.
La lune, en argent, apaisante.
Alors, de leurs destinées communes, ils se révèlent.
Princesse de nacre, prince d’opale.
Et sous les cieux ils échangent un baiser, un seul, un unique.
Un fantôme évanescent se dresse entre eux deux, celui d’une nymphe d’émeraude…
Leurs yeux se sont croisés une dernière fois, sans jamais se quitter.
La nymphe, dans les abysses, est retournée, emmenant avec elle un rêve, un présent magnifique.
On raconte que ce soir là, le ruisseau est devenu étincelant, d’un feu translucide, d’une lumière azurée.
Il la regardait, elle le regardait.
Elle l’admirait, il la contemplait.
Enfin réunis…
Ils s’aimaient…
Leur rêve continue de voyager à travers le flot de temps, voguant entre ses vagues, s’échouant à chaque fois dans une petite crique, dans un cœur esseulé.
Puis repartant de plus belle, portés par le vent, et atterrissant à chaque fois sur une petite fenêtre, dans un cœur abandonné.
Car l’âme sœur existe, et qu’ils n’en sont qu’une chimère…
Que leur étoile brille, et qu’elle ne mourra jamais…
Pas tant qu’il y aura sur Terre, deux personnes pour s’aimer.
Pour tous ceux qui, perdus dans les tréfonds de l’oubli, aiment à espérer qu’un jour, il ou elle la trouveront…
Qu’elle que soit leur nymphe, elle existe. Peu importe le chemin, peu importe le temps qui passera…
Rêves incandescents, âmes éblouissantes…
J´aime bien !
Les images sont bonnes, on se représente bien le spectacle de cet amour. De plus, j´aime bien le mélange des formes.
Non non ! Il n´y a pas de mais !
Néanmoins, il y a de petites choses à corriger :
1)Des répétitions "clos ; éclos ; rubis ; fines" et d´autres que je n´ai peut-être pas vues...
2)Il y a des longueurs, peut-être ce poème mérite t-il d´être un peu "élagué".
3)Beaucoup de pierres et de cristaux ! On en perd la tête !
4)As tu lu le mythe de la nymphe Echo et de Narcisse ? Si ce n´est pas fait, prendre connaissance de celui-ci pourrait te permettre à mon sens d´améliorer le texte, car on s´y approche beaucoup je trouve.
5) Pourquoi pas un découpage du poème en plusieurs parties (I,II,III)?
Bon texte donc, mais perfectible à mon humble avis !
ah oui désolé et attention à la versification pour le passage :
"La pluie tombe, les cieux pleurent.
La pluie, drue, sur leurs cœurs.
Le vent souffle, le temps est las.
Le vent, caressant, ainsi que leurs bras.
Le soleil se lève, sur leurs yeux.
Le soleil, rougeoyant, en un feu.
La lune le remplace, gardienne dilettante.
La lune, en argent, apaisante."
et n´oublie pas que la qualité d´un vers est en grande partie l´importance accordée à la césure !
Alex Déjà, merci beaucoup d´tes commentaires...
Alors, déjà, les répétitions...
Bah c´est dû à mon manque de vicubulaire...
J´essaie d´l´enrichir, mais j´galère j´t´avouerai (étant donné les merdouilles de bouquins qu´on doit s´lire pour l´bahut ^^)
Sinon, niveau élagation, je sais très bien que ça peut être long parfois...
Mais j´ai essayé de m´attarder, comme tu me le dis ce doit être trop, pour qu´on arrive à mieux imaginer et ressentir les scènes...
Donc, c´est loupé, faudra que j´revoie ça ^^
Pour les pierres et tout... Nan, j´peux pas m´en empêcher, pasque j´trouve que ça fait partie d´une des plus belles choses qui soient en ce monde, et que c´est plus fort que moi...
Et encore, y´en a plein qu´j´ai pas mises, de peur d´en mettre trop
Pour le Mythe, non j´ai pas lu, et j´aim´rais pas, j´veux me calquer sur rien, chercher mon propre style, mes propres mots...
Je sais qu´on apprend beaucoup en lisant, mais je préfère apprendre en pratiquant, quitte à y passer plus de temps...
Et j´manque aussi de temps, pour lire, sacré temps qui passe tiens ! xD´
Tu parles de découpage pasque c´est trop long nan ?
J´veux pas couper, faut qu´ça s´enfile, comme une prophétie, y´a pas de cassure, comme une légende, elle est continue...
Une texte est toujours perfectible, mais là c´est surtout une version non modifiée, pour que je sache quoi changer...
Ah oui, j´ai pas compris ton second post´
C´est quoi la césure ?
Salut tout le monde!
Je viens te faire un petit coucou Red!
Comment vas-tu ?
Je laisse un petit poeme que j´ai composé y a pas mal de temps; et je crois d´ailleurs que je l´avais posté une fois sur ce topic...
Seul comme un " il" sans " elle" , comme un arbre sans feuilles,
Comme une mort sans deuil, seul, c´est comme une vue sans ciel, seul, c´est comme l´amour sans elle
Aimer et être aimé, c´est l’essentiel, c´est sans sel que la mer se sent seule,
Vivre s´est censé recenser la joie, sans " c" l´alphabet se sent seul, et sans elle je me sens, seul,
Essayer de trouver de « l´effectif » pour combler l´affectif, chercher de l´amour au pif pour prononcer le mot kiff ?
Plutôt aimer et être aimé sous peine de devenir seul ; tel un soleil sans été, telle une lame sans acier
Pour ainsi ne pas pleurer ; le combat entre le bonheur et le malheur est engagé, mais qui sortira vainqueur ?
Ouvre moi donc ton cœur
En prononçant un « oui » et ce que je croyais utopie deviendra réellement ma vie !
Bonne soirée à tous!
Ouais c´est sympathique
Des jeux de mots assez bien pensés, j´ai bien aimé
"Vivre s´est censé" ==> Vivre C´est censé, nan ?
"sans elle je me sens, seul" ===> la virgule est de trop j´trouve ^^
"mais qui sortira vainqueur" ===> mais qui EN sortira vainqueur, ça sonne mieux j´trouve
Sinon, apprécié.
nanaki de rien pour les coms !
Utilise un dictionnaire des synonymes ! tu peux remplacer "clos" par "fermés", ou par des figures de style... !
Pour les pierres tu t´es retenu d´en mettre plus ? hé bé... lol !
Sinon pour "l´élagation" je te conseille vivement de refaire une deuxième version (pour toi) de ton poème, en écrivant que des phrases dans le genre "tout condamné à mort aura la tête tranchée". C´est le conseil de Stendhal, n´écrire que comme cela... pour le roman ! Je te le donne pour ta poésie car elle est plus ou moins romancée, essaie de faire un plan et de voir ce que tu peux supprimer, ou alors comme je te l´ai suggéré, découpe la en I, II, III parties par exemple !
Et puis, pour la césure, euh...
Prenons par exemple cet Alexandrin de Guillaume Colletet (poème "la force du temps et de l´amour") :
"Il réduit une ville en un désert sauvage,"
Alexandrin = 12 syllabes, la césure est à la 6ème syllabe, et donc en l´occurence à "ville" ! Le vers est mieux réussi ainsi !
Si la césure tombe sur un mot comme "et", ou "ou", bah ça le fait moins, car dans la lecture du vers, la césure est l´impulsion du milieu ! Et un poème est très réussi quand la césure tout comme la rime porte son sens et que les mots ainsi soulignés ne le sont (certainement) pas au hasard !
Enfin bon tout ça ce sont des règles classiques^^
Game-breaker c´est marrant, tu as une tendance tout comme moi à aimer les jeux d´assonance ! Dommage simplement que tout cela soit trop explicite... c´est à mon sens sympatoche comme texte ! Oué sympatoche !
Bon allez, je vous file mon blog avec mes poèmes, c´est votre tour de me défoncer maintenant !!
http://alex.ublog.com
^^
RIRE
Mariage de l´eau et du feu,
Agonie de tous dieux.
Je t´ai tant et tant aimée,
Qu´à tout prendre j´ai donné.
A moi le soleil,
A toi les étoiles.
Sommes nous donc pareils
A courir presqu´à poil ?
Mais tu ris,
Comme tu ris !
Et dans ton rire radieux
Il n´y a qu´agonie de tous dieux ...
Entre l´art et la rhétorique
Jouer avec les mots est ma passion.
Enluminer une tirade est mon poison.
Mais rien de sorcier, juste une liaison,
Agencer un sens et des intonations.
Parfois ardu de conjuguer ses émotions.
Plus aisé de se cacher derrière la raison
Et j’en connais toutes les déclinaisons.
L’art de la lyre, je n’ai pas la prétention.
Louées néanmoins sont les déraisons,
Elles me cèdent l’opportun contrepoison,
Savoir goûter une bonne composition.
Combien est rageante la comparaison,
Habileté à ouvrir son cœur et ses saisons,
Une fois encore, je déclare une aberration !
Tenir pour habile, une naturelle disposition !
Alex Ouais faudra qu´j´y pense sérieuseument au dico des syno
Sinon, merci pour ton explication de Césure, j´comprends mieux, et j´vois c´que tu m´reproches, mais au contraire cet espèce de rythme cassé et freiné j´aime bien
Et puis, j´viendrai te descendre quand j´aurais un peu plus de temps (hésite pas à l´occasion de me le rappeler) mes vacances terminent bientôt et j´ai du taaaaaff !
Encore merci !
Je ne sais pas si on peut poster ici un poème en anglais. Si ce n´est pas le cas, milles excuses par avance...
BECAUSE
I was hurt, I felt lost inside
With the wandering shadow of my weakened mind
I was left out in the dark
Deep inside me laid my slain spark
I did wrap up my heart
To make sure no one could gain access
Far across the distance
And spaces between us
You have imperceptibly opened the door
You gave me what I’ve been looking for
This incredible feeling like no other
Whatever happens, my heart will endure
Because of you
I don’t know how you do
You arouse a second wind in my writing
You give me something
Like a magical feeling
Like the lively song of doves in a clear blue sky
No more sadness, I kiss it good-bye
The sun is bursting right out of the sky
I bloom again in a brighter world made just for me
Just like a muse to me, you are a mystery
As such a beautiful myth
Because of you
Without wavering, from my heart I called you
Yet, I’ll never learn anything about you
If you tell me nothing which brings you to light
Maybe you’re right
You play on the safe side
Maybe you’re misguided
As you need to truly live
To hide oneself is only to survive
Because of you
As you never talk about you
I know our story will never turn
Maybe you’re afraid to be hurt,
To have your wings burnt
I understand but I’m getting so blue
To think I’ll never really know you
Because of me
Please just trust me
And come closer to me
I haven’t the right to require
But I’ll ask you nothing other
Than to cease treading the water
Open your heart
It’s not that hard
You might know your heart someday
Might learn new words you would say
And be amazed to have brighter days
And love will be there to light the way
Because of me
Please forgive me
You’ll never dance with me
Cause you’re so far
And I can’t so far
Imagine you could be mine
Seeing you from time to time
Please believe me when I say
My heart is broken from thinking this way
Don’t want to hurt you, I’m just telling the truth
Even if I’d like to believe and keep the faith
Sure I can accept we´re going nowhere
But in my heart, your place is there
I keep you locked in my head
As if you were my fairytale
Because our souls met
Even if in real life, we’ll never meet
Because of me
I feel so sorry
I’ll never hold your hand
I’d better bring this to an end
But I can’t say goodbye
I really wonder why
Maybe this is a mistake I´m making
But what you’re giving, I’m happy to be taking
Because it’s you, me, us
I know this can´t go on forever
But you must remember
I will always be there
For you forever and ever
de rien mon petit nanaki !
chabadabada.... chabadabada....
Oula euh bon on va se calmer hein !
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Y´a t-il un traducteur dans l´assistance ?
Arf j´sais pas traduire l´anglais moi
Pourtant ça a l´air joli, pour c´que j´en comprends o_O (joli dans le sens bien fait ^^)
Donc euh, j´espère juste que des anglophones passeront ici
Chabadabadouuuuu !
^^
Bon, moi j´attend toujours des opinions, des avis, des commentaires sur les poèmes qu´il peut m´arriver d´écrire ! Tout est dispo sur mon blog
http://alex.ublog.com !
les ptites choses
La haut dans le ciel, on nous regarde
La haut où on peut se retrouver par mégarde
Cette mort qui nous scrute,
Et qui peut nous effacer grâce à une chute
Et la on s aperçoit :
Qu’a cause de petites choses futiles
Et c est pas les premières chose qu on voit
Que les amis sont utiles.
Et que ces petites choses nous les faits perdre
Un a un ils nous laissent comme une merde
Mais on l’a bien mérité
Car tout ce qu on a réussi a faire c est de se disputer
Pour ces petites choses futiles
Alors on essaie de se faire pardonner
Mais il est déjà trop tard
Ils t’on oublier
Et toi tu te retrouves seul comme un tocard
Alors si toi aussi t es en train de perdre un ami
A cause de cette saloperie qu on appelle l’amour
Laisse le aller faire son petit tour
Mais surtout ne le perd pas car c est ta demi
Le gars avec qui t’as tout partager
Tous ces moments que tu n’arriveras jamais a oublié
C’est a lui que tu les dois.