C´est un poème dont je me suis fortement inspiré d´une song hip-hop que j´apprecie beaucoup.
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Ce matin je me suis reveillé très tôt,
Ca fait trois jours que je pleure sur vos photos
encore ses matinées seul sur mon balcon,
Grissaille, bitume, feu rouge et bourdonement
Isolé du haut de ma tour de diamants,
je regarde ces voitures, ces passants
Je pense à mon entourage, et je ne me sens pas satisfait,
je pense a mes amis et je pense être un perdant
Je pense à vous tous et pourtant
Je suis riche, mais je ne penses pas que vous m´ayez entendu,
Maman je suis millionaire, mais j´ai tout perdu
Maman, je pleure parce que je ne t´ai jamais vraiment connu
Papa, je suis millionaire mais tu n´a jamais été là,
Papa, je suis millionaire, mais je n´ai jamais été dans tes bras
Mon coeur est à vendre et je sais pourquoi vous etes si proches
Mon coeur est a vendre, mais vous préférez mes poches
Quoique l´on dise, quoique l´on fasse,
Je me sens seul comme un million de dollars
Tiens je trouve que ce poème correspond pas mal à ce topic :
I. Le pêcheur d´écriture
Dès l´aube, le pêcheur sillonnait la mer seul,
Car le reflet timide du soleil sur l´eau sale,
Lui donnait l´air de dompter les astres
Et Dieu sait qu´il adorait ça.
Mais à force d´épuiser le flot
Bleu; de toute sa faune,
Il devint fourbe et faux,
La pêche sportive le rendait fauve.
Il oublia donc son bateau,
Investit dans une batisse,
Qu´il transforma en église
Et bientôt
Sa parole vaudra en or
Ce que ses poissons n´ont jamais coutés.
Et mieux encore,
Les gens qui l´ignoraient se mettront à l´écouter.
Mais notre curé, parlant moins bien qu´il pêchait,
Avait du mal à justifier les pêchés.
Obligé de mentir à chaque messe et à chaque récit
Sa voix ne fut jamais celle d´un messie.
Alors l´odyssée s´arrêta là.
Elle fut brève,
Le temps de l´espoir devenu braise :
On ne ment à personne quand on est son propre appât
Hybride.
une folie parce que je devrais réviser mes compos :p
Tchac tchac
tic.....tac.....tic.....tac
Lentement les secondes s´égrénent
Questionnant les raison de tes peines
Et sur le lieu où tes pas te mènent
......tic.tac..tic.tac.....
Rapidement les secondes s´égrénent
Au ryhtme du sang battant dans tes veines
Alors que ton regard se brouille de haine
............................
L´irréel remplace le réel sur la scéne
L´imaginaire se joue de la conscience humaine
Au sein de cette pièce si proche et si lointaine
Où le temps n´a pas pu imposer son régne
Histoires de Fin (n° 11)
_Brume_
Brume noire, image adoucie
Fixée sur un corps embaumé
Un regard vide et une âme noircie
Seules attributs d´un désir avoué
Vision de pénombre dans un ciel en colère
Elle pose sur nos têtes l´épée du Destin
Puis frappe d´un rapide éclair
Voilà le miroir de tous nos chagrins
Brume noire, chapitre d´un récit
Une page ajoutée au crayon blanc
Un livre clair où s´imprime la vie
Qui foisonne dans les esprits savants
Acquis du patient et de l´observateur
Elle n´est que réponse aux nombreuses questions
Un schéma inné pour un beau parleur
Voilà le miroir de nos réflexions
Brume noire, vérité cachée
Emplie d´un hasard à jamais connu
Recherche intérieur d´un fait avéré
Impassible acteur d´une œuvre déjà vue
Brouillard intouchable, esprit inconnu
Elle n´est que mystère au gens endormis
Une fable de misère à peine entrevue
Voilà le miroir de toute notre vie.
Fait Divers
Me voilà ,moi, tout de noir vêtu
Allongé au fond d´une sinistre rue
Où mes aggresseurs m´ont abandonné
Alors que j´étais en train de rentré
Si je n´avais la bouche emplie de sang
Je crois que je me serais pris à rire
Moi qui rêvais de mourir heureux en riant
Me voilà en train de prier ma vie de revenir
Alors que mon coprs prend l´air
Par des trous qui n´étaient pas là hier
Les aggresseurs m´ont laissé sur le dos
Non pas qu´il ne l´ait pas fait exprés
C´était une sorte de derniére volonté
Je préférait avoir le regard tourné vers le haut
Non pas que ce fut plus confortable
Juste histoire de garder un oeil sur les cieux
D´où devrait venir une main secourable
Je crois que je commence à me faire vieux
N´est-ce pas une idée dépassée,
Que celle de vivre pour l´éternité
Certains s´étonneront de mon absence de haine
Mais après tout cette attitude serait vaine
A quoi servirait-t´il de pester contre le sort
Alors que je suis à l´article de la mort
D´ailleurs je sens que c´est bientôt fini
Courage, un dernier effort pour la photo ,souris
Récidive d´un gang malfaisant
Aux méthodes assez sanguinaires
La victime est un homme de 45 ans
Mort avec un étrange sourire aux lévres
Que penser?
Je rêvais,
De ça j´en avais clairement conscience
Vu que j´évoluais dans un monde sans sens
Je marchais,
Non pas le long d´une sombre et sinsitre rue
Mais le long d´un sentier s´étendant à perte de vue
Je tombais,
Brusquement s´ouvrit sous mes pieds un trou béant
Effrayante perspective que celle de tomber indéfiniment
J´atterissais,
Je me retrouvai dans une verte clairiére
Des kilométre de fil traînaient par terre
J´observais,
Trois femmes concentrées dur leur travail
Qui ne me disait rien qui vaille
Elles s´occupaient de fils blanc
Se disputant fréquemment
L´une tressant
L´autre nouant
La derniére coupant
Je me réveillais,
En sursaut avec des sueurs froides
Je passais ma main sur mon front moite
J´entendais,
Leurs voix résonneient encore à mon oreille
"Puisque je te dis qu´il doit mourir dans son sommeil"
Dîtes moi ce que vous pensez de ça
Voix
difficiles
A forme
cônique
Ô combien attristées
Soyez
Divines
Remplissez
L´office
De mon âme égarée
Sacrifice arrosé / Matinée d´artifice / Ils sont indifférents.
Odyssée
L´amour est une étoile
Filante, irridescente, libre d´entraves
Il l´aperçut, exhumant sa trainée suave
Levant alors voile
Vers les flots enneigés de l´azur étendu
Là où son coeur s´était désormais répandu
(c´est un poème écris cet été que j´ai voulu incarnation de l´époque romantique.)
EPHEMERE
Les feuilles des arbres dorés se balançaient,
Humides. Oubliée, une petite feuille glissait.
Tombe, petite feuille, sous la pluie incessante,
Dans une rue sombre tellement insignifiante!
Et je passais par là, dans cette rue obscure,
La lune n´était pas là, est-ce de mauvais augure?
Plus rien ne se distinguait, plus rien n´existait.
Coupée du monde, isolée, une petite fille passait.
Les cheveux s´envolant et les larmes ruisselantes,
Une petite fille courait, petite feuille tombante,
Echo de l´âme cachée dans un capuchon,
Le vent soufflait, un parapluie s´envolait vers de meilleurs horizons.
Petite fille courait, le visage sans couleur,
Sous l´averse, sur la route, on entendait un chauffeur,
Trop tard déjà, la fillette, le visage pâle, Ho !
Elle contemplait sa mort arriver, sous les nuages hivernaux.
Ploc ! Une goutte d´eau tombait pour sceller un malheur,
Un corps étendu, inerte, sous un manteau, un corps sans chaleur,
J´étais là, triste et seul dans la nuit,
Je me souviens encor de ce jour de pluie.
Léo
j´ia beaucoup aimé ton poème aurthoauron !
une des seules faiblesses que j´ai trouvé c´est cette rime :
Trop tard déjà, la fillette, le visage pâle, Ho!
Elle contemplait sa mort arriver, sous les nuages hivernaux.
enfin tsais c´ets juste qu´un avis qui regarde que moi ^^
Détresse
Au cours de mes nuits
J´ai tissé patiemment mes rêves
Mais le matin me les a ravi
Je me suis retrouvé nu comme Adam et Eve
Au cours de mes journées
J´ai bâti naîvement mes ambitions
Mais elles se sont effondrées
J´ai été victime de mon imagination
Je n´ai jamais pu sortir de ce cycle infernal
Où le bonheur n´est qu´un mirage dans le sable
Et la réussite une fantasque fable
Inévitablement devait apparaître le mot fin
Car aujourd´hui plus rien ne me retient
Si ce n´est cette corde qui me soutient
j´aimerais bien avoir votre avis j´ai tenté dla poésie en prose....j´ai dit bien tenté hein si ça veut tomber ça ressemble vraiment à rien ^^
Des fois je sens ma vie qui filent entre mes doigts engourdi par le froid.Mon cerveau tourne au ralenti comme si mon esprit s´était envolé. Il me semble que je plane, me laissant emporter par un vent calme. Sous moi, s´étend un champ recouvert par les neiges hivernales qui paraissent émettre de la lumiére sous la pâle clarté de l´astre lunaire. Je tourne toujours autour d´un immense arbre centenaire, majestueux, s´élevant jusqu´aux cieux, qui me laisse un sentiment angoissant.
Je reviens à moi dans un état béat avec ce rêve éveillé qui me colle encore à la peau.
Bonjour ! Vous pensez quoi de mes poemes ^^ ...
UN MONDE , DES LARMES , UNE FLEUR .
Celà fait 15 ans , que le monde m´a defié
Depuis ce jour , la haine m´a pénétrée
Les souffrances de la vie n´ont fait qu´empirer.
Une fleur dans mon coeur est restée.
Ce fut celle de ma destinée.
Des choses horribles ont lieues en ce monde.
Parfois je me dit , j´aimerais le quitter.
Mais cette fleur me retenait.
Mon coeur sans oxygene se remplissait.
Grace a l´amour que cette fille m´a donné.
Mes larmes on changées.
Ce fut du sang qui coulait.
Cette fleur m´avait donc piqué.
Pour me condamner a l´aimer , pour l´eternité.
Ensuite le 2 ieme
UN MONDE SANS ESPOIR ... OU SANS AMOUR
Moi je l´affirme , ce monde n´est pas saint.
Le sang coule et les coeurs ne ressentent plus rien.
Si je devrait designer mon arme preferée.
Ce serait l´amour qui l´emporterait.
A quoi cette arme servirait ?
A ne plus être desesperé
A pouvoir avoir envie de respirer
C´est comme ça , que je voit la realité
Quand je vois cette pauvre femme.
Qui me supplie de lui donner a manger.
Je me dit qu´au fond de son ame.
C´est l´amour qui doit lui manquer.
Toutes ces souffrances ne font qu´empirer.
Le coeur des hommes ne fait qu´etouffer.
Et ma conscience me dit d´aimer.
Si seulement on pourrait tous s´aimer
Si tout le monde connaitrait ton baiser
Ma dulcinée tu est faite pour la paix
Mais ta douceur n´appartient qu´a mon coeur attristé
Le toucher de tes levres rechauffe mon coeur.
C´est une arme qui repousse la haine.
Et qui fait de toi mon bonheur.
D´où viens-tu?
D´où viens-tu, o bel étranger
Si je puisse me permettre
Cette question quelque peu déplacée
Je te ressent à des trillards de mètres
Scillant le lion sous les écluses du soleil
Suis-je moi aussi, une petite merveille?
Tant de chose à se dire
Et je ne sais même pas si tu sais lire!
Ou même écrire, ce n´est pas insultant
Si j´échappe mes mots, tu existe bel et bien
Quelque part à travers l´espace et le temps
De là haut, tu diriges et gouvernes les miens!
Ils ont vécu dans l´espoir que tu leur as donner
Ils ont perleriné pour se faire pardonner
Ils se sont instruit de tes pensées
Ils ont construit pour te louanger
Ils ont versé du sang à ta santé
Ils sont mort pour ta divinité
Ils sont aveugles, bien évidement
Voilà, on y est, c´est insultant
Qui suis-je moi, pour parler de toi ainsi?
Tout ce qui m´atend c´est la mort
Lente et pénible qu´est la vie
Péssimiste mais je n´aie pas tord
D´où viens-tu, o toi, dieu!
Fort et tout puissant, étincelant
Fort à parier que tu n´es rien de mieu
Qu´un fauve et un lâche, charlatent
Pour laisser un monde si cruel
Naître le lendemain d´une lune de miel.
puisque voilà jpasse assez souvent jvais mpermettre de laisser quelques commentaires qui valent ce qu´ils valent hein
alors HellsinG3r je deirais euh aps grand chose les poèmes d´amour c´est pas ma tasse de thé :p na mais ina c´est pas mal mais voilà jreprends le reproche que redsissi m´avait adressé évite les rimes en "é" c´ets trop facile vois-tu ^^ je sais je sais quand les rimes te viennent à la tête en "é" ça peut te faire chier de changer toute ta phrase juste pour ça....mais assaye qua même ça vaudra surement le coup!
ensuite smoke27 outre le fait que tu blasphémes et donc que jte brûlerais bien sur un bûcher beh que dire j´ai du mal à m´adapter à tes fautes d´orthographe voulue ou pas ^^ bien sur c´ets personnel sinon quoi? bah personnelement j´ai bien aimé cqui se dégage de ton poème !
oui je sais ya beaucoup de faute dortographe...je suis désolé lol...merci pour ton commentaire
(je ne lai pas corrigé encore...ya tellement de faute que ej sais pas par ou commencé:P...je sais je suis paresseux lol)
tsssk fainéante la new generation....ceci dit moi aussi je hais me relire
voila le plus beau poeme que jai écrit...selon moi...encore désolé pour les fautes
Un éternel recommencement
Il y a bien longtemps avant les ogives
Elle naissa deux ans plus tard que lui
Ils étaient déjà lié par cette chose fictive
Qu´on apelle le destin, le futur de cette nuit
Cette histoire est peut-être une parmis d´autres
Qu´est-ce que quelques petites lignes
Peuvent contre la vie, celle qui est la nôtre
Absolument rien, rien qui en soit digne
Pouquoi pas débuter avec ce touché
Cette poignée de main non moins gênée
Qui marqua le commencement d´une relation
Ah!, et je vous pris dans cette élan de me faire salutation
Cette très jeune femme était étincellante
Elle sentait ce que sentent les rêves parfumés
Je déraille, les rêves n´ont pas d´odeur, je suis fatigué
Ayayeyaye, bon, une autre cigarette pointue, cette strophe devient épatante!
Elle était coquête, étrange pour une fille étrange
M´invitant un soir de pleine lune, je ne pus refusé un ange
J´aurais aimé goûter le bout de ses lèvres, il était trop tôt
Ou peut-être trop tard, je sais plus, je mélange mes mots
Une promesse d´amitié avant l´amour
Une déesse voudrait-elle que cela soit pour toujours?
Vous l´avez devinez, je pressai trop et voilà mon lot
Notre relation fut brisé en mille morceaux
Pas juste une fois, une dizaine si l´on arrondi
Un vieux couple en chicane, on aurait dit
On ne se parlait plus, on se regardait subtilement
Pour voir si l´autre fesait la même chose, étrangement
Comme vien la pluie après le beau temps
Vinrent les temps de réconciliation précédant
Suivant inévitablement notre prochaine dispute
Qui mena chaque fois notre amitié vers la chute
On ne pouvait plus changer, c´était rien ou l´amitié
Mais quelque chose resta, ce touché délicat
Ce regard perssant, l´impression de la connaître par coeur
De ressentir cette froideur comme une chaleur
Elle me dit un jour, que nous ferions jamais l´amour
Ces quelques paroles, donnèrent à mon coeur un bémol
J´était pourtant sûr, que j´avais en face de moi, la femme de ma vie
La terre arrêta de tourner, le bruit arrêta de bougé, je sombrai dans l´oublie
J´avais les larmes aux yeux, oui, un gars qui pleure mesdames!
Moi qui voulait, au début, prendre un racourcit
C´est bien, maintenant je dois atendre l´infinie
J´en rigole quasiement, cette situation a un certain charme
Viennent maintenant les questions existentielles
Qui sont somme toute, beaucoup plus personnelles
Je n´ose plus aller lui parler, sachant ce qui va arriver
Tout simplement car je vais savoir la vérité
Il y a bien longtemps avant les ogives
Ils étaient déjà lié par cette chose fictive
Qu´on apelle le destin, je n´y crois plus on dirait
Un éternel recommencement, attendre à tout jamais.
Le soleil repand une chaude lumiere
Sur une prairie envahie de hautes herbes
De loin, l´on dirait une vaste mer verte
Tachee, ici et la, de blanche pierre
Des oiseaux accompagnent de leur chant
La douce et lente melodie du vent
D´ordinaire s´elevent egalement
Une symphonie de cri d´enfants
De ceux qu´ils poussent en s´amusant
En riant d´un air insouciant
Mais maintenant le silence regne
Entrecoupe de longs sanglots
La nature se tait devant cette peine
Qu´exprime un de ces anciens marmots
Les genoux ramenes sous son menton
Ses cheveux noirs tombant sur son front
Un jeune garcon fait resonner ses pleurs
Et personne pour consoler ses peurs
Car desormais,il le sait, il sera seul
Un jour il s´engagera dans la foret
Abandonnant son passe et ses regrets
A moins qu´il ne fasse de cette plaine son linceul
Sous une intense couche de neige
Aujourd´hui dans un virevoltant manège
Invitant les amoureux à d´espiègles rondes
Nichés l´un contre l´autre dans une posture féconde
Totalement fusionnés, ils vibrent comme une onde
Vacillants sous les sentiments ressentis
Allumés par de fébriles flammes nourries
Lancinants de désirs et d´envie
Enlacés comme des amants pervertis
Nichés dans le creux de l´épaule amie
Troublés par les gémissements émis
Illicitement consentis
Nés d´une passion dévorante et mûrie
Bonne journée les amoureux