C´est plus violent qu´à mon habitude
Je veux du sang dans les paroles
De la souffrance sous forme d´alcool
Je veux de l´orage dans le regard
De cris sortant des profonds soirs
Je veux l´angoisse et la peur
Je veux faire vibrer mon coeur
J´abomine l´injustice qu´on nous sert
J´exècre le chagrin et la misère
Sourire jovial et sympathies
Sont désormais bien finis
J´envie les hommes de supplices
Torturant d´un oeil complice
J´envie ces hypocrites associés
Tous leurs complots négociés
Leur amitié futile de tous les jours
Leur éternels mensonges chiés sans détour
J´idolâtre les méchants de tous bords
Ceux qui font chaque jour plus fort
Ces hommes qui n´ont aucun regret
Jouissant du moindre méfait
Ceux qui en veulent à tout le monde
Et sentent la haine de chaque seconde
Tous ces sales types fier de leur vie
Qui font du mal toutes leurs envies
Je veux bouffer de la rage
Je veus rire du carnage
Je veux pisser sur les clodos
Leur dire que c´est mon cadeau
Je veux cracher sur les flics
Pourrir leur orgueil maléfique
Je veux que cet homme en moi sorte
Je veux qu´il puisse trouver la porte
Tout ce mal qui me pourrit de l´intérieur
Qui voudrait vivre et que je meure
Ce mal que je vomi chaque matin
Pour échapper à son destin
Ces hurlements venant de nulle part
Que j´entends chez moi dans le noir
Marre de cette connerie de naïveté
De cet abruti beaucoup trop enteté
Je dois évacuer la colère de mon foie
Et pouvoir enfin redevenir le vrai moi
Diable-rouge --> J´espère que tu ne bois pas souvent
Redsissi --> Tu devrais écrire des dépliants touristiques Quand même, un tour de force toutes ces rimes!! Je suis de Montreal/Repentigny/L´Assomption.
en effet Diable c´est plus violent que ce à quoi tu nous as habitués mais je reconnais ton style
Toujours aussi fluide...
Selestrielle > j´ai bossé pendant un été dans le domaine du tourisme.
T´es du même coin que Seskoi et Seskoisa je crois... mais ils se font rarrissimes en ce moment ces loustics!!!
La plûme, qu´elle liberté, d´écrire et de voler.
La mélancolie m´empêche d´écrire ce que je vis, alors pour l´enthousiasme, il me faut les autres.
Voici donc, juste un essai de traduction d´un poème de william blake, tout ne voulant rester fidèle et proche de l´original, j´essaye de trouver une traduction assez poétique.
Voici donc où j´en arrive.
Au coeur d´une vallée sauvage, je fredonnais.
Une joyeuse et enivrante chanson, je fredonnais.
Quand j´aperçu, assis sur un nuage, un enfant.
Son regard amusé tourné vers moi, il me dit en riant:
"Fredonne une chanson, une chanson sur un agneau."
Alors j´ai fredonné, avec une grisante jubilation.
"Chanteur, fredonne cette chanson à nouveau."
Et je l´ai fredonnée, et son coeur s´unit à ma passion.
"Perpétue ce refrain, cet agréable et doux refrain.
Fredonne cette chanson, ces joyeuses célébrations."
Et je lui ai chanté ce même air, encore, avec entrain.
Pendant qu´il m´écoutait. Qu´il pleurait d´émotions.
"Chanteur, assis toi maintenant, il te faut écrire.
De ce refrain doit naître un livre, que chacun pourra lire.
Alors, dans une légère brise, il disparut de ma vue.
Je pris une tige de bambou, à mes cotés, comme prévue.
Et de ce bois, j´ai taillé une plume, celle de la vie,
Et je l´ai abreuvé de l´eau la plus pure des ruisseaux.
Et je l´ai écrite, cette joyeuse chanson, en cadeau.
Pour remplir les yeux des enfants de joie et d´envies.
Pour ceux qui voudrait voir l´original, d´une qualité supérieure:
INTRODUCTION
Piping down the valleys wild,
Piping songs of pleasant glee,
On a cloud I saw a child,
And he laughing said to me:
´Pipe a song about a Lamb!´
So I piped with merry cheer.
´Piper, pipe that song again.´
So I piped: he wept to hear.
´Drop thy pipe, thy happy pipe;
Sing thy songs of happy cheer!´
So I sung the same again,
While he wept with joy to hear.
´Piper, sit thee down and write
In a book, that all may read.´
So he vanished from my sight;
And I plucked a hollow reed,
And I made a rural pen,
And I stained the water clear,
And I wrote my happy songs
Every child may joy to hear.
quand on vois les deux textes, quelle surprise de voir que l´Anglais tienne si peu de place, la traduction est bien fluide, c´est agréable à lire pour un français, mais vois tu, je ne m´y connais pas trop en Anglais, mais j´aimerais bien te proposer une traduction autre, que je me ferais un plaisir de découvrir avec toi.
à bientot..
J´aurais pu mettre des participes présent, pour raccourcir unpeu, mais ca sonnait bien je trouvais sur le moment.
Mais, ce serait sympa d´avoir une traduction autre comme tu dis ^^
Bin laisse-toi aller Caluc!
fais-nous donc profiter de ces trucs
qui fourmillent joliment dans ta tête
pose-les sur papier qu´on fasse la fête!!
D´ailleurs caluc, je sais pas si red t´en as parlé, mais pour un projet d´amusement d´écriture, on compte sur toi pour former un merveilleux couple avec red
Alors...Allons y !! !! yahooo !!
Zech d´être plus rapide que moi
j´ai à te parler entre deux claviers sur msn toi!!! (oui toi Zech!)
bon bien envoyer vos poeme a mon site si vous vouler
http://fictforce.roxorgamers.com
Ba_ak = Je crois ne pas me tromper quand je dis que tu t´es déjà fait menacer de te faire supprimer ton compte si tu pluggais encore ça dans un forum.
Sinon je poste en petit truc de moi. Un peu vulgaire, je sais. Con sur les bords, mais c´est à vous de juger.
-- HOPE --
Une poésie dégoutante brûle mes lèvres.
Mélange d´amour fou et d´envie.
J´ai envie de cracher sur le trottoir.
Sans laisser transparaitre ma douleur et ma fièvre,
En retenant mes pleurs et mes cris,
Je marche sous les spots chauds sans voir.
J´aurais tellement voulu que pour ce soir elle crève,
Cette lumière jaune qui luit.
Qu´enfin je puisse penser dans le noir.
Et puis who cares, dans cet univers dégénéré,
Que je l´ait étranglé puis tué?
Who cares ma chemise rouge tachée?
Allez tous vous faire foutre monstres désabusés!
Chacun paie pour ses propres péchés.
Un pas de plus sur le béton usé.
J´ai mal au doigts Seigneur, un corps c´est lourd à porter.
Pour une fois que je me rends tsé.
Mon paradis, je vais le regagner.
Il y a quelqu´un qui pousse la porte à l´entrée!
Qu´on entend dans le commissariat.
Je crois bien que c´est le gars recherché.
La tête baissée, les mains solidement liées,
La peine de mort n´existe pas ici.
Quelle chance! je souris les yeux fermés.
He´s crazy to surrender, I know people will say.
We are all to die mad, aren´t we?
But dead or not, hope I´ll get freed someday.
Court et pas génial, mais inspiration du moment, et puis voilà...
Cry, scream, d´you think I care about it?
You´re just a fool, I can´t believe it!
You thought I was smoothy, gonna solace you?
Just wanna laugh and hit, and yeah, that´s true
That I am a lier, that you can´t rely on me
But hey, who told you that I was a sweety?
No way of escaping, all the doors are locked
You can even smash, those ones can´t be down knocked
Just shut up your mouth, and close your eyes
´Cause if you don´t, I´ll have to put on them some knives
So this is the end of our quick little dance
I hope you enjoyed it, but now go back and work your defence.
Selestrielle > pas mal quand même!
Softy > fait plaisir de te lire à nouveau ici
La mort vient me chercher,
Pourquoi vient-elle pour moi,
Pourquoi m´as-tu abandonné ?
Je sais que tu ne m´aimais pas,
A quoi bon résister,
Un jout on s´en ira,
Et toute ma mort je t´aimerai,
Et tu s´ras dans mes bras...
Tu dis que jamais tu m´aim´ras,
Tu est amoureuse de lui,
Tu sortiras pas avec moi,
Même si il te fuit,
Tu dis que je fais que te coller,
Mais t´as qu´à le regarder,
Te suivre à longueur d´journée,
Il arrive pas à t´lâcher...
Pour me trouver des défauts,
T´es vach´ment douée,
Mais pour les qualités,
Tu sombres dans l´caniveau...
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Valà un poème-chant tout frais inspiré à 100% de ma vie...
Wow c´est du 100% pur!!! Tu en fais avec de la pulpe?? Non, je rigole, c´est pas mal joli, et bien exprimé.
Marrant la façon dont c´est exprimé... j´aime bien en tout cas!
Poème Quatre
Sur les plaines d´azur soleil
Le cri d´un pigeon a crié
Mon coeur jamais n´est plus pareil
La nature l´a dérouté
On peut sur bordure le voir
Je suis perdu et incongru
Sur les plaines d´azur savoir
Je fuis l´inclu et le reclus
J´ai souvent pris l´humanité
Elle a su bien me le rendre
Par des sourires éculés
Elle m´a poussé aux méandres
Aujourd´hui je me réménore
Sur les plaine d´azur oubli
Ceux qui ont évoqué ma mort
Et par plaisir l´ont pressenti
_
_
J´ai fuis la ville et mon corps
Tard la nuit, on m´a répugné
J´ai détonné par les remords
Veuillez savoir me pardonner
Mon présent n´est lune d´argent
S´assimilant dans l´impasse
Je croise tous les grands carcans
Embrume ceux qui enlassent
L´avenir se montre passé
Sur les plaines d´azur repus
Au coeur je les ai vus passé
Les anges de passé vêtu
Sur les plaines d´azur soleil
Au profond de mon sourire
Je peine mon féru éveil
D´élu couleur je vais mourir