République Populaire du Vietnam
Depuis le Ho-Chi-Minh, quinze Su-33 décollent à vitesse maximale, équipés de missiles air-sol dont des C-805. Ils rejoignent l’escadre Emiratis et filent droit vers les MLRS somalilandais, repérés grâce au RiSat2 Vietnamien. Ils se calent sur la vitesse d’attaque une fois dans l’air somalilandais et tirent sur toutes les positions détectées, avec les Emiratis.
Sur le pont du Ho Chi Minh se préparent des avions équipés de bombes à sous-munitions. Le gouvernement ne compte en aucun cas s’en servir, bien évidemment, mais faire pression sur les somalilandais en menaçant de s’en servir sur la capitale.
Après cet assaut, les troupes Vietnamiennes sont aux portes de Ceerigaabo. Une jeep transportant un médiateur Vietnamien entre. Il s’adresse aux soldats somalilandais:
« Soldats, il est normal de combattre pour sa patrie, et votre détermination nous impressionne; mais nous avons dehors suffisamment de matériel pour briser votre résistance à jamais. Je vous en prie, ne mourrez pas en vain, le manque d’unité de la Somalie est le fléau de votre état. La somalie doit être unie autour d’un système stable. Vous et les Somaliens vous battez pour une même cause, la grandeur de la Somalie, mais pas contre le bon ennemi. Vous devez abattre la barrière dressée par votre gouvernement, ou du moins, nous vous prions de vous constituer prisonnier. Nous vous traiterons bien, mais ne répugnons à l’idée de vous tuer. Vous êtes des braves, mais la bravoure du militaire est de se rendre, lorsque cela est nécessaire et que cela peut sauver des vies. »
République Démocratique de Somalie, République du Somaliland, Quelque part dans le Somaliland
Cela faisait deux heures déjà que Hashim et ses compagnons tiraient sans relâche sur les positions de l’ennemi, à l’aide de leur batterie de BM-21 « Grad ». Une fois les roquettes insérées dans les tubes lanceurs, l’ordre de mise à feu était donné et 40 engins de mort filaient à toute vitesse dans le ciel, dans un sifflement strident, sous les yeux ébahis des servants somalilandais. Puis, en un temps relativement court, les tubes étaient réarmés, et l’eternel manège recommençait. Soudain, Walid ouvrit la portière passager du camion lanceur, son casque radio toujours vissé sur les oreilles.
« - Sergent Hashim ! Nos radars d’alerte longue-portée détectent des signatures d’appareils hostiles en approche ! »
Hashim ordonna à son équipe de cesser le tir.
« - Ne réarmez pas ! Montez dans le camion ! On file ! »
En quelques instants, l’équipe des servants du lance-roquettes mobile s’installèrent dans la plate-forme du camion. Ils démarrèrent et filèrent le plus loin possible, le temps de se mettre à l’abri et de se camoufler.
En plusieurs endroits, d’autres lanceurs agirent de la sorte, tandis que les radars mobiles les imitaient.
République Démocratique de Somalie, République du Somaliland, Ceerigaabo
Lorsque le médiateur vietnamien eu terminé son discours, un grognement parcourut l’assemblée. Pour qui se prenait-il, ce maudit chinois avec ses yeux bridés ?! Des huées et sifflets montèrent de la foule. Un somalilandais s’approcha vers l’émissaire, se plante devant lui, puis fit face à ses camarades.
« - Mes frères ! De quoi parle cet homme ? Il pense nous effrayer avec sa machine de guerre, sa machine de guerre qui tente de détruire une nation, NOTRE nation ?! Oui, le Somaliland est notre nation ! Non, nous ne voulons pas de la Somalie ! Nous ne voulons pas d’instabilité, de communisme, de prolétariat ou de travail forcé ! Oui, nous voulons la liberté, l’indépendance et la prospérité. La Somalie ne nous a apporté que la guerre et des massacres ! Ecoutez-ça, mes frères : Siad Barre a été notre ennemi, à nous tous ! Et les somaliens le sont tout autant que lui ! Nous ne nous soumettrons pas à la tyrannie de Mogadiscio ! Nous résisterons ! Nous nous battrons ! »
Une clameur de joie accompagna sa dernière tirade. Puis, se tournant vers l’émissaire vietnamien, il lui tendit la main, amical.
« - Monsieur. Force est de constater que personne ne se rendra aujourd’hui. Personne ne peut briser cette nation, pas même vos armes. Dans nos cœurs, dans nos pensées, nous voulons vivre libres. Ou mourir. Nous ne voulons plus retourner en arrière, comme durant le régime de Barre. Nous ne voulons plus de cela. Nous allons combattre. Je vous souhaite bonne chance dans la bataille à venir, monsieur. A vous, et à toute votre armée. »
Plus au Sud, l'Armée Nationale Somalienne approche de la frontière de la nation dissidente du Somaliland.
République Française, Paris, Aéroport Paris-Charles de Gaulle
Il était 8h00 du matin à Paris. A travers le hublot, Mwai Kokunte observait avec fascination le ciel de la banlieue parisienne éclairé par un demi-disque rosâtre. Le soleil. Il éclairait magnifiquement bien le tarmac de l’aéroport de son aura. L’aube. Le moment de la journée préféré de Kokunte. C’était à ce moment là que les premières prières débutaient, et c’était aussi à ce moment là que le ciel paraissait bien plus beau. Bien plus onirique. C’était exactement comme cela, comme dans un rêve. Dans une autre vie, Kokunte, de son vrai nom Ali al-Mahdi, avait été membre de la police religieuse de l’Union des tribunaux islamiques en Somalie. Il avait participé à la guerre contre Washington et ses corbeaux, ses alliés. Il avait bien combattu. Mais il avait été forcé de quitter son pays natal après la défaite des armées d’Allah face aux rapaces capitalistes. Ca n’était que partie remise. La guerre allait continuer. Sur leur propre sol. Avec leur propre peuple. Et leur propre sang.
Trente minutes plus tard, l’Airbus A320 d’Air France décollait en direction de Madrid. Les trois combattants restaient discrets, consultant des dossiers d’aspect officiel ou lisant des magazines distribués par les stewards et les hôtesses.
République Populaire du Vietnam
Le déplacement des BM-21 Grad somali landais n’a en fait aucun effet puisqu’ils sont toujours surveillés par le RiSat2 Vietnamien. Les coordonnées sont immédiatement transmises aux Emiratis et aux pilotes. Ainsi détectés, les véhicules n’échapperont pas à l’escadre. L’attaque est lancée.
La jeep du médiateur revient.
« Ils n’ont pas accepté, hein ? Demande le commandant.
-Non. En plus ils nous ont traité de chinois.
-Oh les salauds! Bref, ca me désole, mais nous sommes bien forcés… On est hors de portée de leur artillerie ?
-D’après les pièces que j’ai observé, oui.
-Parfait. Faites donner l’ordre à Yi ( oui, le colonel artilleur est de retour ) de lancer l’attaque. Ils n’arriveront jamais à rien contre nous en continuant à se cacher dans des villes. »
Deux minutes plus tard, Yi, avec les même jumelles que pendant le siège d’Ho Chi Minh Ville, observe la petite cité qui se tient devant lui. Il fait alors se déchainer les enfers:
Les 34 BM-21 Grad tirent ensemble 1360 roquettes en une salve, presque exactement en même temps. La formation Vietnamienne est très espacée.
Deux minutes après, c’est la deuxième salve. Yi observe le carnage derrière ses jumelles, et donne l’ordre de changer les munitions, afin de les charger de munitions pour 5 des 34 lance roquettes, qui se chargent alors d’ogives HEAT antitank, avant de relancer une dernière salve. En tout, ce seront 4 080 roquettes qui auront explosé.
Depuis le Ho Chi Minh, pendant ce temps, à décollé un Su-33 volant à haute altitude chargé de nombreux missiles à sous-munitions.
Je précise que l’avion n’est pas encore au dessus de la zone des combats.
peacemaker j'adore ta fick ^^
Hein ?
République Démocratique Somali, République du Somaliland, Ceeerigaabo
Les premiers obus tombent sur Ceerigaabo. A l’abri dans une cave, le soldat s’étant adressé à l’émissaire vietnamien poussa un long soupir. Le combat allait être rude. Les somalilandais s’étaient résignés à l’idée de se battre pour leur territoire. Les secousses des bombes faisaient tomber un peu de poussière du plafond. Les soldats partageaient leur abri avec quelques civils. Des civils apeurés aux yeux hagards. L’armée somalilandaise n’avait pas eu le temps d’évacuer les civils à vrai dire. Dans la confusion, ils étaient restés à Ceerigaabo, aux cotés des soldats. Quelques volontaires d’ONG internationales tentent de réconforter les habitants. Les caves sont surpeuplés. De nombreux somalilandais préfèrent se réfugier dans les égouts.
En surface, les bombardements d’artillerie réduisent la ville de Ceerigaabo en un véritable champ de ruines. Les deux hôpitaux de la commune, dont l’un était en construction, sont littéralement détruits par les bombes. Les malades et les blessés ont été rapidement mis en sécurité dans les sous-sols. Certain civils et de nombreux soldats n’ont pas eu le temps de trouver refuge. Les plus chanceux parviennent à survivre, mais la majorité d’entre eux périssent déchiquetés par les explosions ou enterrés vivants sous les décombres des bâtiments. L’aérodrome de la ville est également touché. La petite tour de contrôle a été miraculeusement épargnée, mais le terminal a été éventré par l’impact d’une roquette.
Le monument célébrant la résistance de Mohammed Abdullah Hassan face aux britanniques, a aussi été détruit.
C’est une hécatombe chez les somalilandais. Ils perdent la quasi-totalité de leurs blindés situés dans la ville, en prévision d’une attaque vietnamienne. En quatre minutes, la petite ville de Ceerigaabo a été rasée jusqu’aux sols. Il ne reste plus qu’un vaste champ de ruines.
Trois minutes plus tard, l’artillerie somalilandaise riposte, dispersée dans les montagnes bordant la ville, la chaine du Surad. Au total, 11 canons M198 ouvrent le feu sur les positions vietnamiennes.
20.000 soldats somalien arrivent à Ceerigaabo, aux cotés des troupes vietnamiennes. Mission : conquérir la ville.
Plus au Sud, Gal Shiikh, Ceel Afweyn, Garadag et Ceel Dhaab sont attaqués par l’Armée Nationale Somalienne. 20.000 hommes et des dizaines de techniques déferlent sur les villes tenues par les somalilandais.
United States of America
Aspen, Colorado
2 Avril 2010, en soirée
Nuageux, 12°C
« C’est juste hallucinant » marmonna pour la énième fois Marvin Russell en observant les dizaines d’ouvriers s’affairer sur le contenu du colis reçu il y a une dizaine de jours. Ce projet avait nécessité plusieurs milliards de devises, que seules quelques personnes au monde sont capables de fournir mais heureusement, la juste cause de l’Organisation avait permis d’obtenir les financements requis facilement. « Le plus dur est derrière nous » songea Russell, alors qu’il se préparait à rejoindre les ingénieurs dans leur salle d’observation spécialement dédiée. Beaucoup d’entre eux étaient d’anciens Allemands de l’Est, qui avaient travaillé sous l’administration Honecker dans l’un de ses nombreux projets secrets, soutenus par l’URSS. L’Organisation était partie très tôt à leur recherche, la valeur de ces cerveaux étant inestimables, pour les prendre sous son aile.
Marvin poussa la lourde porte, faite d’un alliage d’acier et de plomb, et se retrouva dans une vaste pièce, d’un blanc immaculé, remplie d’instruments de calculs, d’usinage et autres joyeusetés réservées aux ingénieurs, dont eux seuls ont le secret. L’un d’entre eux s’approcha de l’imposant amérindien, en tendant la main.
« - Guten nacht, herr Russell - » lança l’ingénieur, la cinquantaine passée, avec un sourire sincère.
« - Bonsoir, Herr Fromm. Alors, comme avance le projet ? » répondit Russell, ignorant la main tendue de son interlocuteur, qui se sentit plus que ridicule.
« - Bewundernswert ! Nous sommes en avance sur nos objectifs, et malgré nos larges marges, nous pensons qu’il aura beaucoup plus que la puissance requise pour cette mission. Cependant, je dois dire que sans ces installations de dernier cri, nous ne serions jamais allés aussi vite », expliqua joyeusement Manfred Fromm. Cet ingénieur atomiste mais aussi activiste communiste désabusé par la chute de l’URSS était un atout indéniable pour l’Organisation. Grâce à lui, ce qui était un fantasme pour les autres groupuscules, devenait réalité.
« - Parfait. Quand sera-t-il opérationnel ? »
« - Vous pourrez l’utiliser à la fin de ce mois, herr Russell. Nous devons encore introduire le tritium dans le compartiment supérieur, afin d’enclencher le processus de fission lors de l’explosion, pour ensuite l’introduire avec l’étage de la fusion dans une mousse à base de polystyrène dans un corps réfléchissant, que vous pouvez voir sur votre droite. C’est assez simple comme opération, mais nous n’avons pas le droit à l’erreur. Ce serait dommage que cela arrive maintenant, si près du but. »
« Effectivement, ce serait con pour toi » s’abstint de dire Russell. Il remercia l’ingénieur et rejoignit le poste de communication. Qati devait sûrement attendre son rapport avec impatience.
Viet, j'avais précisé que j'm'étais mis hors de portée de tes canons, vu que les MLRS ont plus de portée^^
Je tiens à indiquer que je risque d'être absent pendant un petit moment dans les prochains jours, pour cause de démenagement. Cependant, si un joueur souhaite prendre temporairement le controle des forces somalilandaise, je le lui autorise. ^^
Mon absence ne doit pas signifier l'arrêt d'une campagne militaire aussi palpitante. :troll:
Tu va dans quel bled ?
Royan.
United States of America
- “The New York Times” of the 10th April 2010 – « Le Pacifique sous surveillance », par Peter Petrelli
PASECOR. Ces sept lettres vont revenir régulièrement, dans les mois et années à venir, sur la scène internationale, il faut commencer à apprendre ce que signifie cet acronyme. L’Organisation de Sécurité et de Coopération du Pacifique, ou Pacific Security and Coopération Organization, en version originale, est la dernière-née des alliances politico-militaires des États-Unis, et s’inscrit clairement dans la lignée des ANZUS, OTASE et autres OTAN. D’ailleurs, ce dernier a été la principale source d’inspiration de Robert Fowler, vice-président mais également personnalité à l’origine de ce projet, même s’il est évident que les services secrets ont contribué à de multiples points de ce traité, mais comme d’habitude, leur action n’est pas dévoilée aux yeux de tous.
Les Etats-Unis, la Corée du Sud et l’Australie sont les premiers signataires du PASECOR, mais il ne fait aucun doute que d’autres pays la rejoindront, comme notamment le Japon. Cependant, le vice-président a ajouté qu’il souhaitait également voir « les Philippines, la Nouvelle-Zélande, la France, le Royaume-Uni, le Mexique, les états d’Amérique Latine et du Sud […] ainsi que des micros-états de l’Océan » sous leurs couleurs de ce que certains abrègent désormais : l’Alliance Pacifique. Robert Fowler a également évoqué Taïwan, par contre, il a préféré ne pas s’étendre sur le sujet, ne voulant pas « froisser » les Chinois. Mais il l’a pensé tellement fort, que tous les journalistes présents dans la salle de conférence l’ont entendu. Cela permettrait à la République de Chine d’être assuré de sa sécurité.
Le siège de la PASECOR sera situé dans la base aéronavale de Pearl Harbor, à Hawaï, qui jouit d’une position géographique très avantageuse d’un point de vue stratégique, se trouvant au milieu de l’Océan. Le but de l’Organisation est évidemment d’assurer la sécurité dans le Pacifique, comme l’OTAN dans l’Atlantique, mais fait aussi office de traité d’assistance mutuelle, qui doit renforcer les liens entre les pays membres, premier pas dans « un long processus qui doit mettre en place, à terme, une zone de libre-échange entre les pays membres, au même titre que l’ALENA ou MERCOSUR » conclua le vice-président.
Empire du Pharaon
Toutes les armes de toute les nations sont arrivé aujourd'hui en Egypte de longue nuit et acharné de travaille pour nos nouvelles recrue Rwandaise ainsi que nos armé égyptiennes .
Ainsi que l'apprentissage des russe au Égyptien sur nos Sukhoy
L'Egypte sera prêt pour la guerre d'ici 1anné
République Populaire du Vietnam
A Ho Chi Minh Ville, ou Nguyen avait installé son bureau, le président terminait d’écrire un énième dossier. Il se tuait au travail.
« Onche Onche, kom je sui fa ti guer » dit il, pour décompresser après 18 heures de travail. Il sortit un petit sachet de son tiroir central, étala la poudre blanche sur une feuille et sniffa la cocaïne.
« ONCHE JE SUI PL1 D NRJ » rugit Nguyen. Il met alors la musique à fond et chante avec le CD… Alors qu’un des membres de l’état major entre, il voit Nguyen en train de chanter « I’m so bored with the USA » des Clash, mais dans une version aux paroles quelque peu différentes qui rappellent la guerre du Vietnam. C’est tout un répertoire d’artistes divers majeurs du punk et du rock qui défilent, et il finit en air guitare sur Eruption de Van Halen. Pendant une heure et demi, il se sera amusé « KOM 1 PETI FOU »
Il appelle alors le colonel Yi.
« Vous avez fait du bon boulot, et une surprise vous attend à votre retour au Vietnam. Mais j’ai été très attristé de la mort de ces civils. Je n’ai pensé qu’à cela durant toute la dernière heure et demi ( onche onche non g chantait ). Mais bon boulot.
-Merci monsieur.
-Bonne nuit Yi
-Bonne nuit monsieur.
-Hey Yi ?
-Oui ?
-Pensez pas trop à ma femme, je le saurai »
Le téléphone coupa à cet instant.
Dernière chose avant d’aller dormir (décalage horaire oblige), Nguyen envoya un mail au chef de l’armée vietnamienne de somalie.
Ce dernier ouvrit les pièces jointes: un dossier militaire très sérieux et un autre, étrange… Soudain, une fenêtre qui bougeait partout sur l’écran, entonnant le célèbre refrain: « never gonna give you up ».
« Il faudra que je songe à en faire l’hymne national » songe Nguyen, trollant. Il rejoignit sa femme. Il s’approcha de l’oreille de la belle endormie, afin de… crier onche onche! Dernière tranche de rigolade avant le lendemain.
« Devons nous lancer l’attaque au sol général ? Demanda Yi.
-Non, ils ont bien dit qu’ils ne se rendraient pas. Attendons qu’ils sortent de leurs caves. »
A Viet
Bide
Bide. :troll:
--- République de Corée ---
La Corée du Sud rentre en 2018.
Alors que le ministre des affaires étrangères et le ministre de la défense nationale viennent de partir de Corée du Sud et est déjà au Etats-Unis, le ministre a rencontré le président Obama afin de parler de différents accords Economique mais aussi militaire avec les Etats-Unis.
D’abord le ministre de la défense accompagner le ministre des affaires étrangères afin de parler de l’achat de 120 appareils afin de remplacer les vieux F-4 Phantom. C’est un accord conclu, la Corée du Sud achète 120 F-35A qui seront payés en plusieurs années jusqu’à qu’ils soient livrés. C’est ainsi que quand les appareils seront reçu dans quelques années la Corée du Sud aura une armée de l’air totalement moderne avec les KFX, entre autres.
Mais la Corée du Sud a aussi acheté de nombreux autres choses pour armée son porte-avion, c’est ainsi que 33 F-35B, 4 EA-18, 1 E-2 Hawkeye et 10 hélicoptères SH-60 ont étaient commandé afin d’avoir un porte-avion armée avec différents avions modernes.
Parlons de ce porte-avion, le Porte-Avion de Class Séoul en Corée du Sud sera construit à 2 exemplaires, l’un sera donc destiné à rejoindre la Marine sud-coréenne dans les années 2025 tandis que l’autre sera destiné à l’armée Australienne, c’est donc un projet qui rejoins 2 pays : la Corée du Sud et les Etats-Unis qui enverrons des ingénieurs de Northrop Grumman pour aider à concevoir les porte-avions et qui vendra les armes et technologies qui équiperont le porte-avion coréen.
Passons à l’économie, la Corée du Sud et les Etats-Unis annoncent avoir ouvert leurs accord de libre-échange, pour cela plusieurs changement ont eu lieu comme la différence de prix du riz américain et sud-coréen ne devra pas excéder les 25%, ceci ravi les agriculteurs coréens même si certains ne sont pas content. Mais il y a aussi une série de mesure empêchant les produits nationaux d’être défavorisé par les produits venant de l’autre pays.
République populaire démocratique de Corée
La grand Kim Jong-il pour éviter toutes batailles politiques pour prendre le pouvoir en Corée du Nord décide de la création d’un Politburo. Cet organe sera une copie conforme au modèle soviétique sauf quelques exceptions pour éviter que les futures membres dirigent totalement le pays. Kim Jong-il sera donc de faite le seul homme qui aura le pouvoir de dissoudre le politburo si cela est nécessaire. Les dirigeants de ce bureau seront nommés lors du Comité central du Parti communiste, ils seront au nombre de 25 et définiront la ligne directrice de la politique économique du pays. Ce que souhaite le chef suprême de la Corée du Nord est que la création de cette institution lui donne l’opportunité de ce centré sur la gestion de l’armée car la menace de l’ombre existe toujours. Déjà certaines personnes du parti communiste nord coréen parlent d’un début de Perestroïka. Ils savent que toute contestation sera très durement punie et arrête de parler de ce point.
Kim Jong-il toujours aussi paranoïaque a peur d’une intervention militaire de ses sales traitres du sud. Sachant cela possible de la part des sud coréen le grand Président du Comité de défense Kim demande aux généraux de réquisitionner les soldats qui ne font rien de la journée afin de les rendre utiles. Il veut confier à ces quelques régiments la missions de construire un réseau routier de meilleur qualité afin de pouvoir mobiliser le plus de troupes et le plus vite possible sur la DMZ en cas d’action belliqueuse de la terrible Corée du Sud.
Une autre mesure du prodige Kim va être adopté afin d’éviter que certain traitre à la nation essaye d’immigrer en Corée du Sud. En créant une zone tampon interdisant tous villages à 10 Km de la frontière sud-coréenne. Tous passage de civiles dans cette zone doit être autorisé par un permit donné par le ministère de la défense car cette espace est maintenant considéré comme une base militaire.
Politique étrangère
Kim Jong-il trouve très bizarre cette passion soudaine des sud coréen pour l’armement et trouve sa bien regrettable car cela sera toute de suite suivi par une réaction du même type de la part de la république populaire démocratique de Corée.
--- République de Corée ---
Les nord-coréens n’ont rien à dire à propos de l’armement, elle-même a la population la plus militarisé au monde avec 1 million de soldat et 4 millions en réserves et a de nombreux équipements, vieux certes mais nombreux. Et surtout Pyongyang recherche l’arme nucléaire et l’aura dans les prochaines années ou l’a déjà. Séoul ne comprend donc pas la réaction de Pyongyang.
--- Top Secret ---
Suite à la réaction nord-coréenne Séoul appelle ses hommes à venir en renfort en cas d’attaque à la DMZ par les nord-coréens.
Ceux en Oman y resterons même en cas de guerre, il nous faut des soldats si la Corée du Sud est annexé.