Je ferais remarquer les intervention de Alpha pour autre chose qu'un "lol"
Oui kiki, exact Même que je me suis fait un combat d'escrime avec des bouteilles vide face à un de leur gosse de 14 ans
Yolol
Omfg le mindfuck dans la tête de Jet.
Bon, frayres. Je suis rentré de mon week-end exténuant hier soir aux alentours de 23h, et aujourd'hui je n'ai pas pu écrire. Je m'arrangerai pour le faire et poster demain soir.
Sachez que je ne suis pas un adepte de la procrastination ; du moins pas sur ce coup là. En ce moment, et compte tenu de mes impératifs, écrire est une des choses qui me détend le plus.
Ah ben c'était ps un rêve Jet, tu te rappelle pas d'hier, notre combat à la bouteille ?
Crois pas, aujourd'hui j'en aurais été large capable (Sora pourra confirmer )
Vous êtes tous tarés
+ Merci Francis
Bon, eh bien voilà le Chapitre 14. Un gros chapitre, très important.
Désolé pour l'attente, mais bon ... Je vous ai expliqué, en partie.
Bonne lecture !
Alors que la tension était à son comble, et que le Savant comme l'Ivrogne avaient compris que leur collègue était peut-être allé trop loin aux yeux des adeptes du Credo, un raclement de gorge se fit entendre en provenance de l'entrée obscure de l'édifice millénaire, qui se situait dans le dos du maquereau. S'en suivirent des échos relatifs à la marche assurée d'un homme, qui posait fougueusement son pied sur chacune des marches de l'escalier d'entrée.
- Je commençais presque à m'endormir, dans la pénombre oppressante de cet endroit ... Mais c'était sans compter sur le QI de moule avariée de notre tireur fou, ironisa le nouveau venu.
( https://www.youtube.com/watch?v=4JgBx5qPmNc )
Le Hacker fit les yeux ronds en entendant ce timbre de voix qui lui était familier, et déglutit lentement. Son comparse, lui, plissa les yeux en reculant la tête, portant délicatement ses deux mains à ses armes à feu : ce type de sarcasme ne lui était malheureusement pas inconnu. Il fixa tour à tour les trois Templiers, et constata que seule la réaction de Doarry, qui retenait son souffle, était appropriée. Si ses craintes étaient fondées, alors Sun décroiserait rapidement les bras, et Daft quitterait sa risette caractéristique. Mais il espérait se tromper.
Très vite, le visage du mystérieux personnage fut éclairé par un soleil voilé dont la portée des rayons était atténuée. Il inspira profondément, et se gargarisa des visages décomposés de ceux qu'il pouvait qualifier, à juste titre, de ses sous-fifres. Alors personne ne l'attendait ?
Les deux exécutants ne furent pas aidés lorsqu'ils purent voir le visage de cet homme, mais sa seule voix, sa seule intonation, sa seule ironie étaient suffisantes. Maz sentit ses jambes se dérober sous lui lorsqu'il compris et manqua de tomber à genoux : le Troisième se tenait là, devant eux, à la lumière du jour et sans le moindre artifice. Il aurait pu bondir de joie, mais la simple entrée en matière du Mentor laissait sous-entendre qu'il n'était pas là pour aider les Assassins. Alors, Shark avait dit la vérité ? Mais pourquoi avoir parlé de Septimo, alors qu'il n'était question "que" de Tertio ? Ou bien était-ils plusieurs sur le territoire ? Dès lors, pourquoi affaiblir le Conseil sur Paris en envoyant plusieurs membres outre-Atlantique, alors même que deux Assassins sont déjà sur place ? Pourquoi ne pas les avoir prévenu au préalable ? Pourquoi se montrer de la sorte ? Pourquoi les regarder avec un tel dédain ... ?
- Car oui, quoi de plus malin que de faire feu au beau milieu de cette forêt, alors même que l'on touche le Graal du bout des doigts ? Dis-moi le blondinet, tu ne chercherais pas à rameuter un maximum de personnes ici par hasard ? ajouta Tertio en toisant l'intéressé de haut en bas.
Le Proxénète haussa les sourcils et regarda lentement tout autour de lui, d'un air de dire "c'est à moi que tu parles ?", et il dissimula tant bien que mal son étonnement quant à l'évocation du sacro-saint artefact, là où les autres expéditionnaires n'y parvinrent pas. Le Troisième pencha alors la tête sur le côté en esquissant un sourire faussement compatissant face à la surprise de ceux qu'il considérait comme des cloportes, puis il alla chercher le manche de son arme dans son dos. Il en dégagea un fléau d'armes éclatant, composé d'une seule articulation et étant vraisemblablement constitué d'un alliage très léger facilitant sa manipulation. Il commença à le faire tourner de plus en plus vite à bout de bras, sous les regards médusés du Hacker et de l'Agent 42, qui semblaient craindre le duel à mort qui s'annonçait..
- Je sais pourquoi vous venez, tous les cinq, et je sais aussi que vous n'atteindrez pas votre objectif. Je n'ai que faire des Assassins, des Templiers et autres foutaises ... En ces lieux reculés, il n'y a que la mort, et les sbires de votre envergure ne font office que de chair à canon. Voilà ce qu'il se passe lorsque l'on est assigné à un contrat qui nous dépasse ...
- Je ne suis pas sûr de comprendre, grogna le Sicaire.
- Oh tu n'es pas sûr de comprendre ? Ramirez n'est pas sûr de comprendre ... s'esclaffa le Mentor. Tu vois, ce qu'il se passe, c'est qu'il y a dans ce monument des choses qui ne doivent pas être trouvées. Cependant, d'aucuns fourrent leur nez un peu partout, et commencent à se poser des questions. C'est là que vous intervenez : on vous envoie, vous ne trouvez supposément rien, et finissez enterrés avec les secrets millénaires d'Amazonie.
L'exécutant se mordit les joues et fut pris d'un léger spasme cervical. Alors cet enfoiré de Supalta avait dit la vérité ... ? Un complot du Conseil pour les faire tuer et faire on ne savait quoi avec le Graal ? Une putain de mission suicide ? Il serra les poings, contenant son courroux quelques instants de plus face à l'ordure qui se tenait debout à quelques mètres de lui.
Un rictus sardonique se dessina sur les lèvres du Troisième, dont le fléau était désormais lancé dans une rotation extrêmement rapide, et constante ; comme automatisée.
- C'est ici que s'achève la Quête, déclara-t-il.
Choix des Assassins :
1) Attaquer Tertio.
2) Trahir les Templiers.
3) Négocier avec le Mentor.
Choix du Proxénète :
1) Trahir les Assassins.
2) Négocier avec le Mentor.
Choix de l'Ivrogne :
1) Attaquer Tertio.
2) Trahir les Assassins.
Choix du Savant :
1) Tenter de désarmer Tertio en utilisant le téléporteur de proximité.
2) Se mettre à l'abri dans les fougères environnantes.
3) Courir en direction de l'intérieur du monument.
___________ L'Inspecteur (sora), le Clown (Loki) & le Vagabond (Wawa) ___________
( https://www.youtube.com/watch?v=9GLYF5O1gMY )
Une chose n'avait pas changé : l'atmosphère était lourde.
Si lourde, si pesante que Wawa ne ressentait même pas l'envie maladive de fumer un peu de cannabis, là où Loki, instigateur même de cette tension palpable, semblait plus à son aise que jamais. Le belge, trouvant désormais un intérêt certain à faire usage de sa vision si particulière, puisqu'il était entouré de dangereux psychopathes dont il était important de prévoir les actions et intentions, posa son regard observateur sur l'arlequin, qui marchait devant lui. Il remarqua que rien de notable ne semblait se passer en lui, ce qui contrastait étonnamment avec le cerveau de l'enquêteur qui était toujours en constante ébullition. Il baissa ensuite les yeux jusqu'au mystérieux sac que tenait le Clown, puis il haussa les sourcils lorsqu'il distingua une tâche rouge grossière au travers du conteneur. Le Vagabond, ne s'étant jamais penché sur cette vision dont il disposait, avait du mal à interpréter ce qu'il voyait, et donc à savoir s'il s'agissait d'hémoglobine, d'activité nerveuse, des deux ou d'autres choses. Mais une chose était sûre : cette tâche n'annonçait rien de bon, et ça n'allait pas en le rassurant.
Sora, de son côté, avançait à pas réguliers, mais c'était comme si son corps ne lui obéissait plus. Toute son activité corporelle était centralisée au niveau de sa boîte crânienne, et ses pieds se contentaient de se mettre machinalement l'un devant l'autre pendant qu'il ne cessait de réfléchir et de retourner la moindre hypothèse qui traversait son esprit dans tous les sens possibles et imaginables. Le retour de Loki l'avait troublé, à tel point qu'il devait s'efforcer de ne rien laisser transparaitre s'il ne voulait pas attirer l'attention de celui-ci. Cet individu, qui lui avait semblé si proche et peut-être familier - sans doute à tort et trop rapidement - qui était-il maintenant ? Avait-il véritablement changé, ou se faisait-il des idées ? Si ses craintes étaient fondées, à quoi devait-il s'attendre ? La dernière fois qu'il avait eu aussi peur et s'était senti autant en danger, c'était alors qu'il était entre les mains d'un psychopathe qui lui pointait un pistolet sur la tempe, mais ça, c'était une tout autre histoire qu'il n'avait pas le temps de ressasser présentement. Aujourd'hui, il était au beau milieu de cette sylve, accompagné d'un jeune hors-la-loi qu'il aurait amené au poste d'en d'autres circonstances, et à la merci d'un homme qui pouvait l'attaquer à tout moment, car totalement imprévisible.
L'Inspecteur s'étonnait lui-même en pensant de cette façon ; la faute à sa naïveté, il avait complètement cessé de considérer le danger que pouvait représenter le Clown, et ça n'était que maintenant que ça lui revenait. Il reprenait conscience du fait qu'il s'agissait, à la base, d'un dangereux désaxé qui avait massacré enfants et personnes âgées à coup de tronçonneuse, et surtout, qu'il n'était en rien son ami, si ce n'était lors de ses courts moments d'euphorie. Il avait amené ce fou à lier à l'étranger, au Brésil, c'est-à-dire loin du territoire français et donc de la peine capitale qui lui était normalement destinée. Peut-être ne réalisait-il cela que trop tard, maintenant qu'il était confronté à un danger direct et qu'il ne pouvait prévoir.
Et maintenant, il était piégé ; amené au point où il ne savait plus s'il devait accorder plus d'importance à son enquête initiale ou à l'encadrement de son ancien captif. Se concentrer sur les deux à la fois conduirait irrémédiablement à une dispersion de réflexion, ce qui le rendrait moins efficace ... Mais peut-être n'avait-il pas le choix ? S'il n'avait pas amené ce criminel ici, il n'en serait pas là, c'est sûr. Aussi bien pour les mauvaises choses, que pour les bonnes, cependant, car il fallait reconnaître que son aide avait été pour le moins précieuse.
Ainsi, il se conformait aux consignes du pitre et continuait d'avancer derrière lui, tout en regardant sa carrure élancée et quelque peu recroquevillée sans vraiment la regarder. Néanmoins, il savait pertinemment qu'il était inconcevable de demeurer plus longtemps dans un tel mutisme, et que Wawa n'agirait en rien. Il avait confiance en ce monstre ; oui il avait encore un tant soit peu confiance en lui, mais il avait aussi des questions qui devaient trouver leurs réponses. Soudain, la voix de Sora s'éleva donc, et ce presque inconsciemment.
- Loki, je suis prêt à te suivre, où que tu ailles. Après tout, je ne saurais pas nous diriger mieux que toi, et à mes yeux nous sommes comme perdus dans cette immense forêt. Mais nous devons parler. J'aimerais que tu nous dises où tu penses nous amener, histoire que l'on ait une idée de notre objectif, le petit et moi. J'aimerais aussi que tu nous dises où tu étais pendant tout ce temps, et ce que tu transportes dans ce sac de chantier.
L'intéressé s'arrêta brusquement de marcher, de telle sorte que Sora manqua de rencontrer son dos, et Wawa de heurter celui de ce dernier. Son arrêt ne se justifiait pas par l'apostrophe de l'Inspecteur, mais parce qu'il venait d'apercevoir une grenouille rouge vermeille, un amphibien merveilleux, rare, mais surtout très venimeux. Se contre-fichant de cette dernière caractéristique, l'arlequin bondit littéralement sur l'animal en hurlant comme un aliéné, mais la rata de peu, fort heureusement pour sa propre personne. Ses mains se mirent à trembler et il tomba à genoux en sanglotant peu à peu, se lamentant quant au fait qu'il n'en reverrait certainement pas d'autres, le tout sous le regard stupéfait de ses deux compagnons.
Les larmes s'arrêtèrent presque aussitôt de couler. Mais elles eurent le temps de ravager un peu plus son maquillage lugubre, déjà bien atteint par les journées et nuits passées à ressentir diverses émotions. Il toisa son ex-geôlier de ses pupilles verdâtres et félines, puis il marcha à quatre pattes jusqu'au conteneur qu'il avait délaissé quelques instants plus tôt.
- Où étais-je ? Quelque part. J'ai parlé avec des messieurs, car il n'y a pas de dames là où j'étais. Non. Trop d'échardes. Oui en fait, là-bas, on coupe des arbres. Avec des objets ... Coupants. Ou sciant. Ou tronçonnant. Mais toujours aussi délirants. Là-bas, on déforeste. J'ignore si c'est bien ou mal, je ne sais pas, mais j'en ai gardé un souvenir. Oh et Sora veut savoir ce qu'il y a dans le sac. Il veut savoir ce qu'il y a dans le sac, murmura-t-il frénétiquement. Qu'est-ce qu'il y a déjà dans le sac ? Je ne m'en souviens plus.
L'enquêteur déglutit lentement à mesure que la fermeture éclair était soigneusement ouverte par le pitre, qui se laissait parfois aller à quelques soubresauts. Le visage de celui-ci s'illumina progressivement lorsqu'il vit à nouveau le fantastique objet qu'il avait ramené de sa balade. "Ah mais oui c'est çaaa ..." s'exclama-t-il de sa voix torturée, avant de sortir une tête humaine qu'il tenait par les cheveux. Wawa écarquilla les yeux et détourna aussitôt le regard de cette horreur pour vomir le peu de chose qu'il avait mangé, et Sora blêmit encore plus qu'à l'accoutumée, n'arrivant tout d'abord pas à croire ce qu'il était en train de voir.
- Malheureusement je ne ferai rien avec ça ... ajouta le Clown.
Il jeta nonchalamment le crâne au sol, qui roula sur près d'un mètre, puis il sortit finalement une tronçonneuse maculée de sang, avant de la brandir en direction du ciel pluvieux comme s'il s'agissait d'une bénédiction. L'enquêteur était abasourdi, et il dévisagea son ex-captif alors qu'il était parcouru par un frisson intense et généralisé. Tout était désormais clair dans sa tête :
Il était officiellement en danger de mort.
L'arlequin rangea son outil, et se releva en souriant de toutes ses dents, avant d'entonner une comptine effrayante, comme à son habitude. Il ne répondit même pas à Sora pour lui dire où il comptait les amener, mais celui-ci n'osa pas broncher, et se contenta d'attraper fermement le bras du Vagabond pour lui intimer de maintenir la cadence, lorsque Loki reprit la marche.
Peu de temps après, pas vraiment par chance car guidés par des coups de feu et des cris, le trio arriva au niveau d'une clairière au milieu de laquelle se situait un monument partiellement enfoui. Tout en prenant le soin de faire silence, les trois hommes se cachèrent dans des fougères et décidèrent d'observer de loin de ce qu'il se passait. Le belge manqua de dégobiller à nouveau face au massacre qui avait eu lieu, là où l'enquêteur s'indigna, alors que le pitre se léchait les babines sans s'en cacher le moins du monde. Il s'agissait manifestement du groupe de touristes, sauf que presque tout le monde avait été sauvagement assassiné.
Apparemment, les cinq expéditionnaires restants souhaitaient pénétrer dans l'édifice, mais l'entrée leur était bloquée par un homme muni d'un fléau d'armes brillant de mille feux.
Sora regarda tour à tour ses deux "acolytes" : l'un n'était bon à rien à ses yeux, et l'autre était une bombe à retardement dont il était impossible de savoir où en était le compte à rebours. Il fallait agir vite et de manière adéquate, ou à l'inverse, ne rien faire du tout et contenir Wawa comme Loki, qui risquaient pour l'un de hurler, et pour l'autre de massacrer autrui.
ça ne lui plaisait pas le moins du monde, mais il devait coopérer avec deux criminels.
Choix de l'Inspecteur :
1) Intervenir en brandissant son arme de fonction.
2) Intervenir de manière diplomatique.
3) Tenter de contenir le belge et l'arlequin.
Choix du Vagabond :
1) Prendre ses jambes à son cou.
2) Pleurer toutes les larmes de son corps.
3) Rester calmement en place et observer.
Choix du Clown :
1) Attirer l'attention.
2) Se ruer sur les expéditionnaires, tronçonneuse en main.
3) Se contenir et ne rien faire pour l'instant.
Moooon Dieu !!
C'est génial, ce chapitre est génial ! Tant de révélations d'un coup, là, ça valait vraiment le coup d'attendre !
Et je suis content d'avoir déballé mon sac
Super chapitre mais je ne vais pas trop développer car je suis sur IPad et le clavier de mon pc a un problème ( et je prefere écrire avec l'Ipad que le clavier visuel )
On voit aussi plus clairement les conséquences de nos choix à long terme (cf. Le choix de Doarry ).
Rami, U mad de mon ancien siège au conseil?
J'en profite aussi pour te dire,Francis, que vu que j'écris pas dans de magnifiques conditions, ne t'attend pas à tro de rp de ma part pour mon choix malheureusement
Super chapitre !
Mais tu me laisse quand même perplexe quand au choix que je dois faire
Je vais avoir beaucoup de mal a reflechir avec tous ces rebondissements...
JE SAIS PAS QUOI FAIIIIIIREUH
Merci à vous trois !
D'ailleurs, je précise quelque chose qui a son importance :
Parmi les choix qui vous sont proposés, certains sont plus ou moins létaux.
Omg, je viens de me relire, j'ai fait de ces fautes d'inattention (surtout à la fin de la partie du Renégat). Désolé ! On mettra ça sur le dos de la fatigue et de la hâte hein, vraiment.
"....aurait pu effacer les différends, aussi conséquents soient-ils."
Alors moi pour tout te dire, je suis à Las Vegas pour le boulot et là je vais rouler vers Los Angeles, on a 9h de décalage. Je vais écrire ma critique mais là va falloir être patient
Ce n'est pas une erreur et le ton est sérieux mais je ne sais pas, j'ai ri aux brassards qui tombent "inexplicablement", abracadabra !
Mais bon chapitre. Plutôt dense en événements, c'est pas pour me déplaire.
J'ai adoré, je te donne mon choix rp comme dab francisounet
J'e suis venu, j'ai lu, j'ai adoré.
Merci à tous.
Daft I don't understand.
Eleph LV. J'y suis allé en Février 2012, c'était génial !
Sun On sent le côté magicien du mec.
+ Ce qui est bien dans ce Chap, c'est que chaque personnage est en danger.