Excellentissime !! Magnifique story, tout comme la story de Vincent Noors .
J'étais un de tes journalistes sur ta Story, et j'avais fait une Story en m'inspirant de toi, une Story intitulée : "Neymar, le destin parfait, ou pas".
Tu te rappelles de moi ?
Super !
Merci ! Vous avez remarqué ma petite tendance à faire du tease.
celestintheboss Cette story sera vraiment différente de celle de Noors
RMCastilla C'est toi Adil ?
Content que tu te rappelles de moi
Si tu as besoin de quoi que ce soit pour cette story, n'hésite pas, tu peux compter sur moi
Merci Adiloow, ça me fait encore plus plaisir de te voir !
Sweet ?
Sweet ?
Elle arrive !
Owi
Un petit tour au pays de l'Oncle Sam et puis s'en va. Ce séjour dans mon pays natal, passé chez un cousin qui habitait près de Chicago, m'avait fait beaucoup de bien. La tension accumulée à Plymouth s'était évanouie dans les bons moments partagés en famille de l'autre côté de l'Atlantique. Malheureusement, le temps filait trop vite. L'heure du départ avait sonné alors que je me sentais à peine installé.
Plusieurs fois durant ces vacances, j'avais pensé à m'établir aux USA pour parachever mon changement de vie mais le manque d'argent me privait de cette possibilité. Par fierté, je n'avais rien demandé à mon cousin qui vivait agréablement dans son pavillon de banlieue. Je l'enviais, lui et sa petite famille, son bonheur comme il l'appellait. Cependant, son quotidien manquait de piment à mon avis, d'une aventure comme je la vis en ce moment même si les choses ne tournaient pas en ma faveur.
On dit bien que la roue tourne un jour ou l'autre après tout.
Le retour en Angleterre se passa tranquillement. Dès mon arrivée à Plymouth, je me rendis au bureau de presse du quartier pour me payer le journal du jour. A vrai dire, cet achat était motivé par l'assurance de trouver un article, dans ce dernier, qui allait bouleverser ma vie. Mon bonheur apparut à la première page de la rubrique "Sport".
« Brad Penny licencié du P.A.F.C. ! »
Je me mis à la lecture de l’article avec un sourire radieux :
« Le nouvel entraîneur de Plymouth, Brad Penny, a été limogé pour faute grave ce matin. Il lui est reproché d’avoir toucher des commissions sur les transferts de 3 nouveaux joueurs recrutés lors des 15 derniers jours par les Pilgrims.
En effet, lors de sa prise de fonction, Brad Penny avait soumis une liste d'éléments prioritaires à recruter pour la saison prochaine. Le club a donc sollicité les équipes où évoluaient ces footballeurs qui n’étaient pas à vendre. Le Plymouth Argyle a dû proposer un montant parfois jusqu’à 50% supérieur au prix de vente réel des joueurs qui n’étaient pas affiliés à des agents mais à des entreprises, ce qui a mis la puce à l’oreille au conseil d’administration.
Il a fallu qu’un document confidentiel arrive sur la table de James Brent, le Président, pour qu’il découvre que ces entreprises étaient fictives et même pire, que le nouveau coach se trouvait être le bénéficiaire des sommes versées à ces structures fantômes au titre de commissions.
Après une plainte déposée à la police locale, Brad Peeny a été appréhendé ce matin à son domicile avant que la décision de son limogeage soit rendue public par les Pilgrims. Le désormais ex-entraîneur de Plymouth risque très gros, de plus que Scotland Yard s’est emparée de l’affaire, soupçonnant qu’un réseau se cache derrière l’activité de Penny.
A deux mois de la reprise du championnat, le club se retrouve délaissé par son manager voyou, sorti de nulle part qui plus est. Pour ne rien arranger, les finances du club se trouvent au plus mal suite à l’achat de ces trois joueurs dont les contrats ne peuvent être résiliés. Quelle solution pour le Plymouth Argyle ? Déjà que le budget transferts fleurte avec 0, le club doit trouver un nouvel entraîneur de qualité et peu coûteux, chose très rare sur le marché actuel. »
Eh bien voilà ! Dégager cette pourriture avait été plus facile que prévu. J’appelai Gronvalski pour le remercier d’avoir déposé le document confidentiel qu’il avait « trouvé » dans les affaires de Brad Penny pour ensuite le déposer sur le bureau de James Brent. La place de coach était de nouveau vacante, il était temps de me représenter. Cependant, je n’allais pas accepter n’importe quelles conditions.
Mes dernières économies passèrent dans la location d’une Ferrari F430 F1 destinée à appuyer un gros coup de bluff. Je me rendis au bureau du Président, cette fois-ci en passant par le porte principale du bâtiment où la secrétaire m'avait gratifié d'un clin d'oeil presque gênant, sûrement avait-elle remarqué ma nouvelle voiture. Après avoir toqué trois fois, j'entrai. Brent était seul, une expression mêlant tristesse et frustration s’empara de son visage : il savait pourquoi je venais !
Je lui posai mes conditions:
« - Entraîneur du club 24h/24h 7 jours sur 7 pendant 3 ans, un salaire fixe et augmenté chaque année, une indemnité de licenciement correspondant au triple de ma paye annuelle et un joueur. Voilà ma liste de courses Père Noel.
- Bien sûr ! Et pourquoi pas une Ferrari tant que vous y êtes ?! »
Je jetai les clés de la sportive italienne sur son bureau, les reprenant avant qu’il ne puisse les toucher. Je continuai:
« On m’a proposé un poste de manager aux Etats-Unis, le poste est bien payé, avec ce petit cadeau pour me convaincre. Mais il n’y a pas de challenge sportif et ça, c’est tout sauf enrichissant. Understand ? »
Il acquiesça avant de lâcher dans un grommellement :
« Ok »
Suite
Suiiiite !
Sweeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeettt!!!
Parfait
SWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEET
Sweet Please
Suiteuh
Suite
Demain
Hâte à demain
Sweet ?!