Mais ouin ! Vous cassez toutes la poésie du texte !
Tu verras quand ludo, flamme et lens seront sur lere et que tu post
si ils n'aiment pas, ils vont vite te le faire savoir. Mais devrait pas y avoir de problèmes avec toi, t'écris bien
Merci à toi !
D'ailleurs, j'ai de voir ta nouvelle sur le terrorisme Jet !
J'ai hâte*
Ah mais c'est déjà fait! Retourne une où deux page en arrière
celle de rises vaut aussi le coup
J'ADORE ! J'étais captivé pendant tout le texte !
Celui de Rises aussi était magnifique ! Mais la vengeance ne me plaît guère !
Je crois que je vote pour toi Jet_lag !
merci, ça fait super plaisir
j'esperes que ce jeu continueras, car ça nous permet d'aborder des thèmes auquels on n'aurer pas touché, et ça nous donne l'occasion de changer notre type d'écriture, de l'affiner etc...
Oui svp tous, postaient vos texte, pas la peine d'avoir peur ! Un peu de critique n'as jamais fait de mal ! ;)
Le meilleur écrivain
Thème 1 : Le terrorisme.
Jet_lag https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-283200-27-0-1-0-jeu-le-meilleur-ecrivain.htm
RisesRises https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-283200-27-0-1-0-jeu-le-meilleur-ecrivain.htm
SaphirDuSud https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-283200-28-0-1-0-jeu-le-meilleur-ecrivain.htm
Inscrivez-vous et postez vos nouvelles, n'ayez pas peur, personne ne sera la pour vous juger, juste pour émettre une petite critique qui ne peut être que profitable clôture du premier tour non fixé, on verra selon l'activité
Bah, la même que mes deux vdd
Bah Dark, participe, au moins on seras 4
Je pars dimanche, ça vaut pas la peine...
Oh aller les gens ! Pas besoins d'un texte de 3 kilomètres ! Vingt ligne écrit avec passion peuvent exprimer plus de sentiments que cinq paragraphes écrit sans conviction !
Peut-on toujours s'inscrire ?
Un nouveaux! On se calme et on sourit, faut pas l’effrayer
Mais biensur
Cool !
Dès que j'ai fini ma nouvelle, je la poste.
J’ai grandit dans ce monde. Gouverné par une bande de beaux parleurs. Egoïstes. Du blabla, toujours du blabla. Ils refusent de voir la réalité en face. Ils parlent pour ne rien dire, tournent en rond, depuis longtemps. Trop longtemps.
La divergence des systèmes politiques, ne résultant finalement qu’à un seul et même système. Différents en surface. Semblables à l’intérieur. Pourquoi donc ? Pour contourner la vérité, la refouler, l’ignorer. Que ce soit conscient ou inconscient, le résultat est le même. Elle est trop douloureuse, trop difficile à gérer. Pourtant, elle est bien là. Cette triste réalité générée par les conneries de l’espèce humaine. Enfouie sous un tas de mensonges.
Mais moi, j’ai grandit là-dedans. Je ne suis pas comme toute cette populace. Non, moi je vais agir. Pour de vrai. Il faut que ça change, il faut faire comprendre à tous ces gens qu’un changement brutal s’impose. Cesser de faire semblant.
Comment faire ? Par la force, la violence. Car il n’y a que comme ça qu’ils comprennent. Où ? Peut importe, tant que le message est transmis.
Je finissais de préparer les explosifs. Il était huit heures du matin. J’étais prêt. J’avais laissé un mot sur mon lit afin d’expliquer mon geste. Bien entendu qu’une fois mort, on ne tarderait pas à pénétrer chez moi et le découvrir. Les médias se chargeraient du reste. Mon objectif serait alors accompli.
J’attachai les explosifs sur moi et les cachai sous un lourd manteau. Cela fait, je sortis. Je m’efforçai de marcher lentement pour n’éveiller aucun soupçon. Soudain, je le vis. Grand, blanc. Il se distinguait clairement de toutes ces habitations.
A ce moment précis, j’eus un doute. J’y avais pourtant longuement réfléchis mais, au moment d’entrer, d’innombrables pensées négatives envahirent mon esprit. J’allais quand même causer la mort, la douleur et la peine chez un nombre incalculable d’innocents. Cela en valait-il vraiment la peine ? Oui, pensais-je. Cela avait été trop préparé, trop prémédité. Et pis, j’étais allé trop loin pour faire demi-tour. A long terme, cela sera bénéfique. C’est un service que je rendrai. Mieux, le sauvetage du monde. Après tout, je ferai publiquement ce qui est caché, écourté. Ce que tous ces gens hypocrites refusent de voir, se mentant à eux-mêmes. Tous ces pauvres individus qui meurent de fin. On le sait, mais pourtant, on ne fait pas grand-chose. On laisse couler. On essaye de ne pas trop y penser. Pourtant, cela est n’est pas dû au hasard. Mais quand des petits enfants meurent dans un accident de car, tout le monde fait une pensée d’une minute pour eux.
J’entrai dans l’hôpital. Un groupe de personnes âgées était installé sur des fauteuils, en forme de demi-lune. Le regard de l’une d’elle trahit une certaine tristesse. Peut-être venait-elle de perdre un proche ? Peut importe, il me fallait me préoccuper de mon objectif.
Je traversai un long couloir aux couleurs mornes, fades et ne pris que peu de temps avant d’arriver au centre. Le cœur, pensais-je. Je fermai les yeux et sans réfléchir plus longuement, ôtai mon manteau. Le détonateur en main, j’étais là, debout, droit. J’entendis des cris, des déplacements précipités, paniqués, et même des pleures. Enfin, j’allais accomplir mon destin. Ce pourquoi j’étais né.
J’actionnai le détonateur.
Rien.
Le mécanisme ne fonctionnait pas.