En tout cas, ca nous fait un jeu de plus et je trouve le concept ca permet de s entrainer a ecrire et a se confronterva d autres ecrivains
Je participe, ca va peut-etre me redonner envie de poster sur le JDR
Bonne idée de jeu j'écrierais peut être demain si j'ai le temps ^^ Bonne continuation amis assassins et bravo
Ah, moi qui adore écrire je participe !
Mais sinon il faut qu'il y ait un rapport avec Assassin's Creed ?
Je participe
Mais heu... Est-ce que ça peut toucher indirectement la révolution américaine. Je veux dire, est-ce que ça peut toucher les personnages de cette révolution, mais en dehors de la période de la guerre?
Coucou
Désolé des saut de ligne, jvc n'accepte pas les alinéas.
Tom regardait sa jument renâcler dans le froid de la soirée. Il l’avait eu pour ses vingt ans, en guise de dot. Son présent de mariage à lui était une ferme, celle même en face de lui. Il posa ses doigt sur une poutre, attendri. Il l’avait bâti de ses mains, cette ferme, il y a de cela bien 20 ans. Il se souvenait des arbres qu’il avait du couper. Il se souvenait du jour où il avait posé le toit, arraché par un orage la nuit même. Il l’avait reconstruit, malgré les intempéries et la solitude. Mais il avait réussi. Après de longs mois, il pouvait enfin demander la main de Jeanne et regarder son père en face, telle l’homme qu’il était devenu. Ils se marièrent un samedi, à coté d’un cerisier. Jeanne était une jeune femme, et Tom ne saurait aligné plus de mots avantageux derrière son nom. Jeanne, c’était Jeanne, et il était le mari de Jeanne. Il s’aimaient tout les deux, et ça suffisait. Jeanne s’était extasié devant la maisonnette de Tom, leurs maison. Mais ce que la femme avait préféré, c’était Carlie, la jument. Lorsque Tom ne l’utilisait pas pour des tâches, elle adorait chevaucher dans la plaine, cheveux au vent. Le fermiers alors s’asseyait sur un petit banc de bois, sortait une pipe en maïs, et regardait la femme et la bête en fumant. La vie était belle.
Mais Jeanne est tombée malade. Une maladie, qu’elle ne put battre… néanmoins, elle continuait à monter la jument, malgré que Tom la réprimandait, que sa santé était fragile, et que le vent lui fragilisait les poumons… Mais Jeanne disait « -J’aime ce cheval » et cela lui semblait suffisant. Elle repartait au galop, son corps se découpant dans l’herbe grasse…
Mais son amour du cheval ne suffit pas, la maladie était plus forte. Elle mourut un dimanche, et Tom l’enterra sous le cerisier de leurs mariage.
Il prit la tête de Carlie entre ses mains rugueuses, et la fit sortir de son enclos. Il lui enleva le licol, et le cheval et l’homme se regardèrent, comprenant chacun la situation. Ses yeux s’embuèrent lorsqu’il donna une claque sur la croupe de l’animal. Celui ci partit au galop, sans se retourner. Jeanne était la chose que Tom aimait le plus dans la vie. Et c’est avec une pointe de jalousie qu’il pensa que ce qu’avait aimé le plus Jeanne, c’était cette jument. Et si Jeanne aimait tant ce cheval, Tom ne pouvait que l’aimer.
Le fermier se retira à pas lent, et rentra dans sa demeure. En bois, elle était meublée assez sommairement, mais le couple de fermier n’as jamais était très demandeurs d’art et d’objets onéreux : un bouquet de fleurs frais fait de loin l’affaire. Une lampe à huile éclairait cela d’un lueur jaune et tremblotante. Il ranima le feu dans l’âtre et y suspendit une cafetière. Lorsque la boisson fut prête, il la versa dans une tasse de métal, et la but, les yeux rivés sur le bois brun de la table. Il nettoya ensuite son couvert dans le petit évier, et le rangea dans un petit placard. Il alla dans leurs chambre, fit le lit une énième fois, et tira les rideaux. Il prit une longue valise sous le lit, et sortit de la chambre. Il étouffa le feu, et plein de lancinement ,il éteint la lampe.
Si l’on aurait était posté sur le versant d’en face, on aurait vu une chaumière calme, où de minces volutes de fumée sortaient de la cheminé. On aurait vu les rayon de lumière sourde perçant les fenêtres. Puis les volutes seraient devenues filet pour finalement être absorbé par la nuit. On aurait put voir l’ombre de la maison se dessiner lorsque la lumière se serait dissipée, puis la braise d’un pipe qui s’allume, les reflet de la barde de celui qui la portait à ses lèvres.
Mais ce que Tom voyait, lui, c’était les troupes anglaises se regrouper, à sa droite. Et ce qu’il distinguait, c’était les troupes américaines, à l’orée du bois. Et il savait que la colline serait un pont décisif de la bataille, que celui qui tiendrait position auront l’avantage. Mais c’était sa colline. Et si ils pensent qu’il se laisserait faire, qu’ils se mettent du foin dans les narines !
La bataille commença lorsque la nuit fut à son apogée. Les arbres furent soudain éclairés de centaines de petite flammes brèves. De la fumée blanche sortait des canons. L’herbe se teinta de rouges. L’herbe est faites pour rester vertes, pensa Tom. Les compagnies firent un premier corps à corps grâce à un escadron de cavalerie américain. Mais le commanditaire de cet attaque était soit stupide, soit présomptueux de ses forces. Cette manœuvre eu pour conséquence de diviser les troupes anglaises, mais aussi de les rapprocher de la colline…Les anglais acquirent donc une position dominante, et les américain se fatiguaient en voulant les atteindre. Mais les hommes rouges ne possédaient pas de cavalerie, ce qui les rendaient moins mobile, avec une force de frappe réellement diminuée. Les combattants avaient maintenant gravit la moitié de la colline, et Tom put en estimer le nombre. Il compta une trentaine d’anglais pour une quarantaine d’américains, dont sept cavaliers. Les troupes anglaises étaient apparemment dépassées, car , à dix mètres du fermiers, il ne restait plus que quinze soldats, dont trois traînant la patte. Le capitaine fut le premier à voir Tom. Lorsque celui-ci lui dit de reculer, l’anglais ne sut qu’avancer le sabre en l’air. Tom tira avec son fusil, qui se trouvait être dans la précédente malle. Tué sur le coup, le capitaine tomba avec un bruit mate. Les anglais, perdants leurs mentor, s’affolèrent. Profitant de cela, la cavalerie américaines décima les derniers anglais.
-Enchanté inconnus, s’avança ce qui semblais être le capitaine des troupes bleues. Je m’appelle Alexender Feverson, capitaine de la 52eme compagnies des États Unis d’Amérique. Je tiens à vous remercier pour l’aide, aussi minime fut-elle, dans ce combat. Ce n’est pas tout le monde qui s’improvise soldat ! Nous somme s désolé d’avoir pris d’assaut votre colline, mais nous l’avons gagné, et c’est un point vraiment stratégique… Oui, un bel endroit pour faire la guerre, dit-il pensif.
Il s’adressa alors à ses hommes
-Allez, on se reposera après avoir un peu sécurisé les lieux ! Johnson, Merry et Marchinal, allez voir si il a des survivants en bas ! Récupérez les munitions et les denrées. Les frères Anderson, occupez vous des chevaux. Brandins, fait nous un feu. Le reste, avec moi, on va faire des barricades avec la cabane à coté…
-Je vous interdit de vous approchez de cette maison, grogna Tom.
Surpris, le capitaine ne put que regarder froidement le fermier.
-Allons, camarades, nous savons tout deux que cet endroit n’est…
-J’ai dit, que cette maison…je ne veux voir personne ne s’en approcher, car j… Hé, ne met pas tes mains sanglante sur notre maison ! rugit-il en direction d’un soldat qui commençait à sortir la porte de ses gonds.
-Continuez Dringstan. dit froidement le capitaine. Monsieur, vous devrez comprendre que…
Une détonation coupa la phrase de Feverson, et le corps dudit Dringstan s’écroula, une balle entre les omoplates.
La maison fut alors illuminées, par tout les coups tirés en direction de Tom. Criblé de balles, il s’effondra dans l’herbe verte. Tout devint sombre autour de lui, ses oreilles se fermèrent aux bruits extérieurs. Avait-il mérité cela ? N’avait-il pas était un bon mari ? Un bon travailleur ? Et si il en avait eu la chance, il aurait été un bon père. Il ne buvait pas trop, une petite lampé le samedi, et si il n’allait pas à l’église, il priait tout les soirs. La plus grande punition de sa vie fut de perdre Jeanne, mais la vie est ainsi faite…
Il sentit sous son torse son médaillon se briser. Il contenait une mèche de cheveux de sa femme, et une fleur de cerisier. Son sang s’y mêla, souillant ce qu’il chérissait le plus. Il mourut en pensant à sa femme…
Au loin, un cheval se mourait sous un cerisier…
Ouaahh j'ai lu des FIC très bien racontées
A mon tour, je poste dans peu de temps
Bonne idée J'écrirais bientôt
Ambiance http://www.youtube.com/watch?v=lFH_sLohbRQ
"-Get Ready... FIRE !
-NON !!"
Les dizaines de coups de feu se furent entendre. Les mains sur la tête, celle-ci posée sur le mur, je venais de voir mon ami, Carl, mourir. Le sang avait giclé sur mon visage... J'étais le dernier de la ligne de survivants.
"-Get Ready..."
Je me retournais...j'observais les Anglais...en un instant je les voyais lever leurs armes vers moi...je me mis à courir... J'effectuai un passement sur une barrière, je ne me rendais pas compte de la chute qui m'attendait. J'entendis d'innombrables coups de feu... Une fois en bas, ma jambe me faisait souffrir. Était-ce la chute, ou était-ce une balle ? Je n'avais pas le temps de réfléchir. Je courrai au milieu de la rue, et voyait les soldats me regarder et crier.
"-Kill him !"
Je courrai...je courrai...je sentais que je ne m'en tirerai pas vivant...il me fallait essayer.
(ouvrez ce deux liens en même temps, et fermez le dernier)
http://www.youtube.com/watch?v=28eesbShgrw
http://www.youtube.com/watch?v=YX1umlKBmTg
Je courrai...je pris alors une balle en pleine cheville...j'étais à terre. Je vis des dizaines et des dizaines de soldats courir vers moi...L'un deux essaya de planter sa baïonnette dans ma tête, j'esquivai ce coup de justesse. Je fis une roulade vers ma gauche, pris son arme, lui tira dessus. Je voyais tous les soldats, prêts à ouvrir le feu. Leur général baissa la main "FIRE !".
Je fis un plongeon sur mon côté gauche pour me retrouver derrière des cabines de toilettes. Je ne sentais plus ma cheville...Je la regardais. Pleine de sang. C'est alors que la douleur revint... Je ne devais pas y penser... Auquel cas je serais incapable de me battre, ou de fuir.
Je me mis à courir, arme à la main, ils ne me voyaient plus. J'entendais au loin les cris du général Anglais. Il fallait que je m'échappe. Que...je fuie ce malheur. Je courrais ainsi au milieu d'une rue. Je me fis bien sûr repérer. 4 soldats se trouvaient face à moi. Plus ceux qui arrivaient de derrière. Les 4 soldats ouvrirent le feu. Je ne sais par quel miracle ils ratèrent leurs tirs. Je me mis à courir vers celui du milieu, je sautai et plantai la baïonnette dans sa tête. J'entendis le doux bruit de la boîte craniène se briser. J'enchainai les deux autres : je rentrai ma baïonnette dans l'un, pour qu'elle rentre dans l'autre. Je les lâchais...le dernier me suppliais de l'épargner.
(fermez tous les liens, de ne façon à n'entendre que le suivant)
http://www.youtube.com/watch?v=4H0JDomv8ac
Il prit un couteau de lancer dans la tête. Cet instant passa à une vitesse incroyable. Les soldats qui me tenaient en joue au bout de la rue furent tués par des flèches qui les faisaient tomber tous en même temps. Je ne voyais pas qui avait tiré. CEUX qui avaient tiré. C'est alors qu'une main se posa sur mon épaule. Je me retournai, prêt à tuer... Je vis un homme armé et habillé d'une étrange manière : il avait une tunique blanche et bleue et une capuche avec ce qui ressemblait à un aigle dessus. Je ne savais comment réagir. Jamais je n'avais vu, ni même entendu parler d'un homme comme cela. D'autres en arrivèrent et étaient habillés de la même façon.
"-Ne t'inquiète pas, l'ami. Je suis un Assassin. Comme mes alliés que tu vois derrière moi. Nous sommes là pour protéger le peuple. Nous sommes sur Terre pour protéger le libre arbitre. Si aujourd'hui nous t'avons sauvé, c'est parce que nous sommes ennemis aux Anglais. Si tu l'acceptes, tu peux nous rejoindre.
-Oh my God.... Je...je... Écoutez, je ne sais pas...je... J'ai une famille ! Je ne puis la laisser...
-Tu pourras toujours la voir. Même s'il est certain que tu la mettras en danger.
-Le danger est déjà assez permanent avec cette Révolution ! Je refuse, sorry.
-Je comprends. Mais n'oublie pas, nous sommes là, nous combattons. Ne perds jamais espoir.
-C'est...compris."
L'homme inclina légèrement la tête et fit un signe à ses alliés. Ils partirent tous en courant. Certains escaladaient les bâtiments ou les arbres. D'autres se contentaient simplement de rester dans la rue. Quoi qu'il en soit, je trouvais ces hommes bien étranges, mais ils m'inspiraient confiance.
Tandis que je m'en allais, je voyais au loin le camp de détention où j'avais failli mourir rempli d'hommes rouges. Je continuais mon chemin et en arrivant sur le haut d'un plateau, je vis la Vallée. Mon nom est Pete Warner, et ceci est mon histoire.
Altair, les assassins n'ont pas de camps, ils combattent juste les templiers...
Ils tenaient leur fusil a la main, pointés vers le ciel, dans cette plaine recouverte de neige et de cadavres. Qui aurait pu croire que ça allait se terminer comme ça ? Le sang sur leurs corps fatigués, ils venaient peut-être de combattre pour la dernière fois de leur vie.
Ils avaient gagnés, ou plutôt, ils venaient de tuer leurs ennemis. Mais à quel prix ? Tout les soldats tremblaient, à cause du froid, mais surtout du frisson qu'inspirait cette masse de cadavres. Certes, les hauts placés seraient contents. Et tout le peuple retrouverait sa liberté, mais cela justifie t'il la mort de milliers d'hommes ?
La plupart des soldats étaient heureux, mais les plus jeunes,ceux qui avaient à peine 18 ans venaient d'être terrorisés par tout ce qu'ils avaient vu, fait ou entendu. Ils restaient là sans bouger, certains versaient des larmes, d'autres se renfermaient sur eux-même. Ils regrettaient d'en être venu jusque là, ils regrettaient d'avoir tué des enfants, des familles. De quel droit avaient-ils pour ôter la vie de personnes innocentes, qui n'avaient qu'obéi aux ordres ?
L'un des soldats, enfila l'uniforme le plus propre qu'il pouvait trouver sur un cadavre, il se retourna vers ses compatriotes, pointa son fusil sur sa propre tête, et dit quelques derniers mots:
"-Personne n'a le droit d'invoquer la mort pour des innocents. Personne."
Le bruit du coup de feu se fit entendre, et le corps du défunt tomba, et ressemblait comme deux gouttes d'eau aux autres corps inertes et sans vie.
Tous les soldats avaient un air de dépit, ce ne serait jamais plus comme avant.
Tres court, je sais
J' ai fais un peu court ,mais bon comme c'est sous la forme d'une lettre ..
Brooklyn, Mardi 30 août 1776
Hanna ,Ma chère Hanna,
J’espère que pour tout va pour le mieux pour toi et que les enfants vont bien. Ici c’est l’enfer. Les Anglais gagnent bataille sur bataille, j’ai perdu plusieurs de mes amis ces derniers jours. Moi je ne suis blessé qu’à la jambe mais ne t’inquiète pas ce n’est pas une blessure très grave. Je commence tout de même à désespéré et me pose de plus en plus de question sur le sens de notre combat.
La guerre toujours la guerre, les hommes ne savent-ils ne faire que ça ? Même si cette cause en vaut la peine, sommes-nous prêt à sacrifier tous ce que nous avons bâtis jusqu’ à maintenant sur cette Nouvelle Terre ? Je me bats par devoir et sens de l’honneur tu le sais Hanna et également pour donner à nos enfants un monde meilleur que celui que nous avons connu. L’Amérique mérite d’être un pays libre et démocratique ou le libre arbitre prendra enfin tout son sens. Et j’espère réellement que si nous gagnons cette guerre contre les tuniques rouges, nous ferons bonne usage de notre liberté nouvelle. Sache également que notre Commandant Andrew Jackson compte une nouvelle fois attaquer les Anglais près de Brooklyn, je suis pas optimiste sur le résultat de ce combat. Les britanniques nous sont supérieurs en nombre et nos pertes sont de plus en plus importantes . Je ne sais comment nous allons pouvoir redresser notre situation.
En ce moment fatidique et triste pour notre cause ,je pense étrangement aux Indiens que nous avons chassés de leur Terre ,privés de leur liberté, persécutés et même obligés à épouser notre religion . Aujourd’hui c’est nous qui sommes prêt de l’anéantissement et c’est nous qui nous apprêtons à perdre notre liberté, quelle étrange histoire. Peut-être méritons-nous notre triste sort ? Je ne peux pas répondre à cette question, et si cette guerre se termine positivement nous nous devrons de répondre des injustices que nous commises. Réparer nos erreurs afin que notre Pays s’en sorte grandi et mérite sa place parmi les Nations du monde.
Hanna je ne peux que te dire d’espérer. L’espoir est ce qu’il y a de meilleur en nous c’est ce qui nous permet d’avancer et de penser à l’avenir. Je me rends compte seulement aujourd’hui les erreurs que j’ai pu faire tout au long de ma vie, je ne peux pas revenir en arrière mais regrette amèrement des décisions que j’ai pu prendre dans le passé et je m’en excuse.
Sache que je ferai tout pour revenir auprès de toi et des enfants et être un meilleur mari et père que je ne l’ai été jusqu’à présent. Ton mari qui t’aime.
Thomas Arnods .
Jet_lag Voir le profil de Jet_lag
Posté via mobile le 3 juillet 2012 à 11:19:53 Avertir un administrateur
Altair, les assassins n'ont pas de camps, ils combattent juste les templiers...
Heu...nan mais en fait dans mon histoire les Assassins viennent porter secours à mon héros qui est retenu prisonnier dans ce camp Au lieu de donner des réflexions qui n'ont pas lieu d'être, tu devrais plutôt commenter.
Oulah t'énerve pas pour si peu, je faisais juste remarquer qu'il ne fallait pas tomber dans la logique américain=gentils anglais=méchants.
Je remet en rien la qualité de ton texte, pour le moment c'est celui qui est dans mon top 3. Donc ne pense pas que je te fais des remarques négatives, et désolé si tu l'a pris dans ce sens
Et je pense qu'on fera les remarques constructive lorsque on votera pour un texte
Petite question, on est limité à un seul post pour la nouvelle ?
Je veux bien participer également si ce n'est pas trop tard.
Benji Oui,la nouvelle n'est qu'un seul post
Reptilis Il ne faut pas forcément que ça ait un rapport avec les Assassins,mais l'univers doit quand même rester proche à celui du jeu
CaptainBad Oui,peu importe qu'on en parle pas beaucoup,mais la Révolution Américaine doit être présente. C'est donc un thème assez ouvert et offre beaucoup de possibilités de scénario
Je d'écrire ma nouvelle et une fois celle-ci finie,je la posterai!
Comme je vois qu'il y a beaucoup de gens,je rajoute une nouvelle règle: Lorsque l'on vote,on doit voter pour ses 2 nouvelles préférées
ps: N'oubliez pas que pour voter,il faut au moins avoir lu les autres nouvelles,car si on en lit que une et on vote que pour celle-là,c'est injuste... J'éspère que vous lisez les nouvelles )
dsl du double-post:
blaksadd Non,tu peux encore participer
Philadelphia, le 4 Juillet 1776
Jamais Martin ne vit autant de monde réunis en un seul lieu. Il y avait tout le monde, et des gens de toutes catégories. Là, se côtoyaient excaves, Dames, bourgeois et même certains aristocrates Américains, prostitués, mendiants, commerçant… tous réunis sur la place forte de la ville. Martin attendait maintenant ici depuis près de deux heures, lui et sa famille ainsi que ses amis qui bavardaient sur l’issu que le pays pouvait prendre en fonction de ce qui allait se décider, ici, a une centaine de mètre dans cette grand bâtisse qui se dressait devant ce peuple impatient, telle une montagne a gravir. Dans celle-ci figurait des représentants de chaque colonie. Ces notables et intellectuels et militaire s’étaient donné rendez-vous dans la ville de naissance de Martin : Philadelphia. Là s’allait jouer énormément gros, là allait se jouer le destin de Martin, de tous les gens avec lesquels il vivait depuis 16 ans, là allait se jouer l’avenir de leur pays.
Alors que Martin buvait tout son saoul de bière distribuée sur la place avec John, son meilleur amis, les portes de ce qui allait s’appeler « Independance Hall » s’ouvrirent à la volé. Un jeune homme coiffé d’un chapeau militaire et tenant un pistolet dans sa main droite tira en l’air et hurla : « L’INDEPEDANCE EST PROCLAME, C’EST LA GUERRE !! VIVE L’AMERIQUE !!!! VIVE LA LIBERTE» Martin ne crut pas possible qu’autant de bruit pouvait émaner de gorge d’homme, mais le tonnerre de Hourra et de crie de joie explosèrent les oreilles de l’adolescent, a cela s’ajoutait des coups de feu et des : « Fini les impôts ! Fini l’esclavagisme ! » Malgré tout ce bouquant, Martin ne s’empêcha pas de hurler à gorge déployée sa joie. Il sauta dans les bras de son ami, puis de ses deux frères, de trois ou quatre inconnus également. Il n’avait jamais connu un tel engouement, il se sentait capable de tout, de déplacer des montagnes et d’assécher les mers, alors tuer quelques tuniques rouges ! Facile, c’est pour mon pays, se disait-il. Je vais en tuer, de ces vermines qui veulent continuer à nous soumettre ! La ferveur ne cessait pas, on apporta des centaines de tonneau remplis de bière nouvelles, les putains présentes faisaient leur tournée, et ce gratuitement. Les épiciers, boulanger et bouchers sortirent de leurs étales des produits à faire partager à tout ce monde survolté.
Alors que Martin dansait avec deux jeunes filles émoustillées, John vint à lui :
« Mon ami, ramène toi ! Ils enrôlent pour l’armée Américaine ! Viens je te dis ! Portons les couleurs de notre futur pays, nous serons la jeunesse qui s’est battu pour la liberté !! »
Martin ne se fut pas prier par deux fois. Il accompagna John et fut surpris par les queues d’hommes qui voulaient tout comme lui, s’incrire pour l’armée. Il y avait des centaines de personnes, des jeunes, des enfants, des vieux, des noires et mêmes deux ou trois infirmes. Commet pourrions-nous perdre la guerre ? Nous allons les écraser !
Quand ce fut a son tour et celui de John de s’inscrire, un homme assis en face de lui et portant des lunettes lui demanda :
« Sais-tu écrire, p’tit gas ?
-Bien sur ! Mon père est avocat !
-Ca m’en fait une belle paire, tiens ! Quel âge as-tu ?
- 16 ans ! Crois moi je suis un homme.
- Hé ben tiens don’ ! Combien de femmes as-tu connus contre toi ?
- 6 !! mentit-il. L’homme rigola :
-Allez, si t’veux servir, fau qu’tu signes, ou t’fais une croix ! »
Martin signa, puis relevant un superbe sourire devant l’homme, celui-ci le regardait.
« T’mas l’air costau mon ptit gas, les colonies vont avoir bsoin de pti gas comme toi ! On t’appelera pour te donner un équip’ment, du large mon gas ! »
Martin exaltait. Je suis un soldat ! Je suis un soldat, un héros comme mes ancêtres ! Mais cette fois ce ne sera ni indiens ni français que je tuerais, mais des tuniques rouges ! Tout comme lui, ses deux frères s’étaient enrôlés dans l’armée.