Je n'ai pas lu les autres nouvelles... si ça ressemble...
Et je vais lire les autres maintenant
Bon, voila ma participation. Je suis pas super fière d'elle, je fais mieux d'habitude, mais il a fallu que je fasse assez court.
Elle est assez longue (4 pages sur OpenOffice en police 12) mais j'espère qu'elle vous plaira !
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Un champ de bataille n'est jamais un lieu sûr pour un être vivant, qu'il soit humain ou animal. Quand l'être vivant en question est un enfant, c'est évidemment pire. Pourtant, le garçon marchait d'un pas tranquille entre les soldats. Ceux-ci ne faisaient pas attention à lui, ou alors très fugitivement. Sa tenue noire cachait son visage et ses cheveux mais sa taille ne laissait pas de doute quand à son âge. Il s'agissait très vraisemblablement d'un adolescent, 19 ans au grand maximum. Certains combattants lui criaient de s'en aller mais renonçaient bien vite, soit parce-qu'ils n'en avait au final rien à faire, soit parce-qu'une balle de fusil les forçaient à le faire.
Élias continua son chemin d'un pas tranquille. Les balles fusaient autour de lui mais aucune ne le touchait. L'une d'entre-elle passa tout de même à quelques centimètres de son torse. Aussitôt, une voix féminin sortit de sous le manteau :
-Hey ! Je sais que t'es bien confiant au milieu de cette tuerie mais moi j'ai pas envie de me prendre une balle, fais attention !
Le garçon eu un sourire avant de répliquer :
-Ne t'inquiètes pas, Jeanne, je sais ce que je fais. Et puis si tu reçois une balle, tu n'en mourras pas.
-Oui mais c'est pas toi qui ressentira la douleur alors s'il-te-plaît, fais attention, reprit la petite voix féminine.
-Ne t'inquiètes pas, répéta le jeune homme. De toute façon, on y est presque.
Les deux voix se turent et il continua son chemin en direction d'une tente.
-Tss, il est mort, plus rien à en tirer !
Le général Arbat rangea sa lame dans son fourreau d'un geste rageur. Trois mois qu'il interrogeait un à un les différents prisonniers qu'on lui ramenait, trois mois que tous mourraient sous ses coups sans dévoiler ce qu'ils savaient. Et quand ils avouaient quelque chose, c'était pour donner des renseignements inutiles, comme les armes dont ils disposaient, la disposition des canons ou la stratégie du lendemain. Rien d'intéressant dans tout cela lorsqu'on cherchait plus important.
-Amenez-moi le prisonnier suivant, on verra s'il est plus bavard que ses collègues.
Deux gardes emportèrent le cadavre tandis que deux autres amenèrent un nouveau prisonnier. Le général stoppa son mouvement et se tourna vers lui. Ou plutôt vers elle.
-Une femme ? Qui est-ce ?
-Il s'agit de la fille du général Gareth, Anna Gareth. Une vraie furie, elle n'avouera pas facilement mais elle doit savoir beaucoup de choses.
Une vraie furie en effet. Le jeune femme se débattit avec plus de force. Malheureusement, les chaînes qui la maintenaient prisonnière l'empêchèrent de faire des mouvements suffisamment puissants.
-Eh bien, eh bien, se pourlécha Arbat. Les femmes, ce sont celles qui sont le plus intéressant à torturer.
Puis, criant aux gardes :
-Attachez-la ! Je vais m'occuper d'elle.
La jeune femme fut enchaînée et le général se tourna vers elle. Le jeune femme devait avoir une vingtaine d'années, ses cheveux étaient d'un châtain très clair et ses yeux bleus, très vifs, semblaient capable d'analyser une situation en un éclair. Elle lui lança un regard noir avant de déclarer d'une voix forte :
-Vous ne me ferait rien avouer. Je ne suis pas aussi faible que vous pouvez le penser.
-C'est ce que nous verrons, ma chère, lui susurra le général à l'oreille. Mais n'espérez pas que je vous traite avec égards, vous n'êtes pour moi qu'un nouveau jouet.
-Je serai sortie d'ici sous peu, croyez-moi.
-Je ne crois pas, non. Il vous est impossible de vous échapper, les chaînes qui vous retiennent sont bien trop fortes. Et inutile d'espérer que quelqu'un vienne à votre secours, il faudrait qu'il possède des pouvoirs magiques pour entrer !
-Et tu comptes faire comment pour entrer, gros malin ? Tu vas utiliser tes pouvoirs magiques ?
Élias et Jeanne se trouvaient devant une grande pierre qui leur bouchait le passage. La traversée du champ de bataille s'était faite sans encombre et ils approchaient de leur objectif.
-Peu importe la façon dont j'entre, répliqua le garçon toujours caché sous sa capuche noire. Notre cible est là-dedans et c'est tout ce qui compte.
-Si tu nous avait fait atterrir directement là-dedans, on n'aurait pas eu à traverser un champ de mines et on aurait pas à passer une porte, reprocha la jeune fille.
Elle s'étira, heureuse de pouvoir se dégourdir les jambes. Elle mesurait 1m10 mais ses proportions étaient celles d'une jeune adulte. Elle secoua la tête, ses cheveux blonds lui fouettant le cou. S'arrêtant dans son mouvement, ses yeux bleus captèrent le regard qu'Élias lui lançait.
-Quoi ? Lança-t-elle sur la défensive
-Nan, rien, répondit le jeune homme en regardant de nouveau la porte.
La jeune fille soupira et détourna ses pensées du garçon. Cela faisait si longtemps qu'ils se connaissaient, et pourtant elle le connaissait si peu. Impossible de savoir ce qui lui passait par la tête. Elle secoua la tête de nouveau. Comme tout était plus facile dans son ancienne vie. Elle se rappelait les champs de batailles, bien différents de celui qu'ils avaient traversé, les villes, les personnes qu'elle avait rencontré... mais tous étaient morts, désormais.
Élias tira brusquement la jeune fille de ses pensées en lançant :
-Vient, on va tenter de trouver une autre entrée.
Jeanne acquiesça et suivit le garçon. Son devoir était désormais de le protéger, rien d'autre ne comptait.
-Je suis étonné, vous supportez bien la douleur, dit Arbat.
Anna Gareth ne put esquisser le moindre mouvement. Son corps entier lui faisait mal, son visage était couvert de sang et ses plais la brûlaient. Elle réussit tout de même à lever la tête pour toiser le général d'un air de défi.
-Inutile de me regarder comme cela, ma chère. Si vous avez mal, il vous suffit d'une simple réponse et vous serez libérée.
Le général s'approcha :
-Alors je vais vous reposer ma question.
Son visage fut tout près de celui de la jeune femme. Il détacha chaque mot de sa phrase :
-Où – sont – cachés – les – rebelles ?
Pour toute réponse, la jeune femme lui cracha à la figure un jet de salive et de sang. Arbath perdit son sang froid et gifla Anna si fort qu'une dent fut libérée de sa bouche.
-Très bien. Si vous ne voulez pas répondre, vous ne me servez plus à rien.
Le général s'essuya le visage avec rage et sortit son mousquet. Il le chargea et le pointa vers la jeune femme.
-Adieu.
Il y eu un instant de flottement. Puis la détonation retentit.
Arbath eut un mouvement de recul. Il n'avait pas tiré, pourquoi y avait-il eu une explosion ? Levant la tête, il aperçut un nuage de fumée. C'était de là que venait l'explosion. Tout à coup, un cri retentit et une silhouette noire tomba à terre :
-AAAAAAAAAAAAAAAH !
-Aïeuh...
Le général eut la stupéfaction de voir devant lui un jeune garçon, tout de noir vêtue, le visage caché par une capuche, accompagné d'une jeune fille, vêtue de blanc, aux cheveux blonds et mi-longs et aux yeux bleus ciel.
-Kof, kof... toussa Élias. Eh ben, c'était une belle chute !
-C'est la dernière fois que je te laisse utiliser des explosifs, Élias, lança Jeanne. La dernière fois, t'a fait sauter une porte en métal et t'as failli blesser les personnes à l'intérieur !
-Ah ouais, j'me souviens ! On devait s'occuper d'un tueur en série, c'est bien ça ?
Sans attendre de réponse, le jeune garçon se leva et regarda autour de lui. Il aperçut Anne en premier, qui le fixait d'un air interloqué. Puis, tournant la tête, il aperçut Arbath. Le visage du garçon s'illumina :
-Eh, Jeanne ! On a trouvé notre cible !
Arbath contempla la scène d'un air incrédule. Qui étaient ces gens ?
Le garçon épousseta son manteau et enleva sa capuche. Le général eut un mouvement de recul. Le violet de ses yeux contrastait avec le blanc de ses cheveux, qui ressortait sur sa tenue noire. Le jeune homme se tourna vers Arbath et lança :
-Vous êtes bien le général Arbath ? Enchanté ! Mon nom est Élias et ça fait plusieurs jours que je vous cherche.
Arbath ne réagit pas mais vit du coin de l’œil que Jeanne était en train de défaire les chaînes de Anna Gareth. Il tendit son mousquet et se mit à hurler :
-STOP ! Éloignez-vous de cette femme !
La blondinette arrêta son mouvement et jeta un regard interrogateur au jeune homme. Celui-ci fit un signe de tête affirmatif et elle vint se placer à côté de lui. Le général eut un sourire : ils étaient certes bizarres mais ils restaient des gosses. Le garçon devait avoir quelque chose comme 16 ans et la fille... la fille était plus difficile à définir, elle semblait avoir 19 ans mais sa taille était celle d'une enfant de 10 ans...
-Écoutez, les deux anormaux : je sais pas ce que vous faite ici i comment vous avez fait pour rentrer mais vous allez tous les deux déposer vos armes, si vous en avez.
Jeanne sortit deux dagues de sa tunique et les posa terre. Elias, lui, ne bougea pas.
-T'as entendu ce que j'ai dit, cheveux blancs ? Éructa Arbath. Ouvre ton manteau !
Il regretta aussitôt sa phrase en voyant le sourire du garçon. Avant qu'il ait pu faire le moindre geste, celui-ci ouvrit large son manteau. De l'angle où ils se trouvaient, Arbath et Anna pouvaient voir tous deux ce qu'il y avait à l'intérieur : une collection de poupées. Toutes étaient très réalistes et semblaient presque vivantes... Tout à coup, l'une d'entre elle tourna la tête vers Arbath qui recula de quelques pas : les poupées étaient bel et bien vivantes !
Elias sourit et déclara :
-Je suis un Dollmaker. Mon travail est de traquer les grands criminels et de créer ds poupées à leur image afin d'enfermer leur âme à l'intérieur. Nous autres, Dollmakers, voyageons ainsi à travers le temps pour essayer de réguler l'histoire de l'humanité.
Il respira profondément avant de poursuivre :
-Aujourd'hui, ma cible, c'est vous Arbath. Vous avez tué de nombreuses personnes durant cette guerre, il est temps pour vous de payer.
Arbath perdit-il les pédales ? Se sentit-il coincé au point de faire des folies ? Toujours est-il qui tira à de nombreuses reprises vers les trois personnes. Anna cria de terreur, Élias n'émit aucun son. Seule la voix de Jeanne transperça les détonations :
-HOLY CROSS SHIELD !
Quand la jeune femme rouvrit les yeux, Jeanne flottait dans les airs, une grande croix dorée faite de lumière devant elle. Toutes les balles avaient été arrêtées par ce bouclier lumineux. Aussitôt que la blondinette dissipa son bouclier, Élias sortit un bâton caché derrière son dos et fonça sur Arbath qu'il mit à terre en un coup. Jeanne s'assit sur lui et l'immobilisa tandis que le jeune garçon entreprit de délivrer Anna.
-Je vais vous demander de rester ici quelques instants, le temps que je punisse cet homme.
La jeune femme hocha la tête.
Élias se mit alors au travail. Sortant fils, aiguilles, tissus et coton d’une petite sacoche, il commença à coudre sous les yeux de la femme et du général. Une petite heure lui suffit pour faire une poupée assez fine mais tout de même plus grossière que les autres, celles qu’il gardait sous son manteau..
-Voila, il ne manque plus que quelques de vos cheveux et ce sera parfais !
Avant qu’Arbath ne puisse réagir, Jeanne d’Arc lui coupa une mèche de cheveux et l’apporta au Dollmaker. Il posa les cheveux sur sa poupée. Aussitôt, ils l’entrelacèrent, formèrent comme un cocon autour d’elle. Quelques secondes plus tard, les cheveux se déplièrent. La poupée était maintenant une réplique quasi-exacte de l'homme. Élias récupéra alors son bâton et l'agita. Une lame en sortit et Anna put contempler une grande faux. Le simple fait de la regardr la mettait mal à l'aise, comme si elle était maléfique.
-Il est temps de quitter ce corps, Arbath.
Élias s'approcha de l'homme et eut un sourire :
-Sayonara !
Il donna un violent coup de faux. Elle traversa le corps de l'homme sans lui occasionner un seul dégât. La faux ressortit, une sorte d’ombre au bout de sa lame. L’ombre flotta un instant dans les airs. Élias brandit la poupée et l’âme de l'homme fut aspirée à l’intérieur. Son corps originel s’effondra, tel les corps de ceux qu’il avait tué. Les yeux de la marionnette se mirent à briller et elle s’anima. Élias sortit alors la petite cage qu’il portait à la ceinture. Il récita ensuite, comme une litanie :
-Pour les péchés que tu as commis, je te condamne, Arbath, à subir les mêmes tourments que tes victimes durant une année. Au terme de ces 365 jours, si je juge que ton âme a été suffisamment punie, tu recouvreras une certaine liberté. Sinon, je te punirai à nouveau, autant qu’il le faudra.
Anna vit le général hurler de terreur. Élias ouvrit la porte de la cage. Des mains démoniaques en sortirent, leurs griffes agrippèrent la Doll et l’entraînèrent là où elle subirait les pires tourments.
-Je ne saurai jamais comment vous remercier.
Élias, Jeanne et Anna se trouvaient dans une plaine, loin de la bataille.
-C'est inutile, dit le jeune Dollmaker en souriant. Contentez-vous de ne parler de tout ça à personne.
-On me prendrait pour une folle si ça arrivait.
Anna trépigna, visiblement mal à l'aise. Puis, elle posa la question qui lui brûlait les lèvres :
-Vous voyagez dans le temps, vous avez dit ? Alors répondez-moi, je vous en supplie ! Quand cette guerre finira-t-elle ? Mon père... survivra-t-il ?
Avant qu'Élias ne pu répondre, Jeanne le devança :
-On ne peut rien dire. Cela risquerait de changer le futur.
Élias acquiesça, visiblement désolé. Anna hocha la tête :
-Je comprend...
Le jeune garçon scruta l'horizon. Le soleil était en train de se coucher.
-Le crépuscule est là, c'est l'heure pour nous de partir.
Sortant sa faux, il donna un grand coup dans l'air. L'espace s’entrouvrit et une fissure se dessina. Devant l'air ébahi de la jeune femme, le Dollmaker s'expliqua :
-C'est par là que je traverse le temps...
Anna hocha la tête, puis reprenant se esprits :
-Est-ce qu'on se reverra ?
Élias posa un doigt sur son menton et déclara, pensif :
-Peut-être. La vie est, après tout, pleine de surprise.
Le Dollmaker et sa Doll pénétrèrent finalement dans la fissure. Anna regarda s'éloigner les deux jeune gens, vers une autre époque, vers un autre endroit et, qui sait, peut-être vers une autre personne à punir.
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Je tiens à préciser que le système des Dollmaker est une création qui m'appartient, merci de ne pas la récupérer dans une de vos fic ou pour un de vos projets sans m'en avertir.
Ah, et je précise que je n'ai pas lu les autres fics, désolé si il y a des ressemblances.
A bientôt !
Vraiment bien Hadriake, tu es dans mon top 3!
C'est quand qu'on vote?
Au fait, si besoin est, je peux reposter toutes les fics en un seul post pour éviter d'avoir à les chercher dans tout le topic.
J'ai déjà réunis les textes existants sur OpenOffice (21 pages, bardaf !), me restera plus qu'à Ctrl+C/Ctrl+V.
Z'inquiétez pas, j'suis fair-play et je modifierai pas les fics ;)
Hadriake tu as fait un sacré bon boulot putain
Hadriake Non, ça prendrait trop de place et ça ferait une page à rallonge. Je pense que faire ceci :
Hadriake https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-283200-6-0-1-0-jeu-le-meilleur-ecrivain.htm#message_287572
Sera plus simple et bien plus lisible.
Je post sans grande convictions.
Il y a des phrases reprises de mes RP sur l'ère, mais bon
Maintenant je vais lire les autres nouvelles, en espérant que celle-ci vous plaira un minimum
L’Ennemi
John embrassa son pendentif, avant de le ranger dans son manteau bleu. Il respirait fort. La peur montait. L’idée que la phase de ruée sur le champ de bataille arrivait l’angoissait. Il fixait un bâton qui dépassait dans la neige. Il leva la tête et ses frères d’arme étaient dans le même état que lui. Il n’écoutait que d’une oreille les instructions du général, mélangées à de la motivation. Ils en avaient grandement besoin. John remarqua les hommes se préparer. Il fit de même. Il observait l’horizon. Hormis le sang et les cadavres, cette prairie était charmante. Il l’imaginait en printemps, verte et fleurie. Il se surprit à sourire, lorsqu’on cria.
Le signal. Le soldat ne réagit de suite, puis courut, aussi vite qu’il put, tentant de rattraper ses collègues. Quels collègues ? Une poignée d’homme sur sa droite avait disparu sous l’explosion d’un boulet de canon. Il failli trébucher sur un cadavre. Sur sa gauche, Henry tomba, se tenant la jambe. Et, lorsqu’il regarda en face, il sursauta. Un autre homme fonçait sur lui. Lui aussi, ne regardait devant lui, guillotine baissée. Recouvert de terre, son manteau rouge était encore distinguable. Ils rentrèrent l’un contre l’autre. Les fusils s’étaient envolés. John se tenait la tête, à terre, mais son ennemi ne l’avait oublié. Il sortit de sa ceinture un poignard, roula vers l’Américain, plaqua son bras pour l’empêcher de bouger et… Il se tétanisa. Ils étaient à bout de souffle. John ne se souciait de l’arme de son ennemi. Ils s’observaient, jetant de rapides coups d’œil sur chaque détail du visage de l’autre. Pouvait-on parler d’ennemis ? Le cœur de John allait lui arracher son torse. Sans doute pour rejoindre celui d’en face. Leurs nez se rapprochaient. Puis, il sentit ses cheveux, retombés sur son front. Il ouvrit légèrement la bouche, attendant que des lèvres s’y déposent. Soudain, l’Anglais se figea. Son regard devint froid. Sans vie. Il sentit des goutes sur lui et, en baissant la tête, découvrit le bout d’une baïonnette, ensanglantée, ressortant de son ventre. En repoussant le corps, il vit un homme au manteau bleu, retirant son fusil du cadavre. « Allez, Black, lève-toi ! C’est pas terminé ! » beugla-t-il, avant de repartir vers le front anglais.
J'ai changé quelques règles et je vous fait une MAJ des nouvelles:
Les nouvelles sont celles de:
-Mattracer
-Chad_Szeliga
-le-re-retour
-Elyya
-Jet_lag
-Altaïr998
-Actinelzz
-Nikogam3
-blaksadd
-]Portal2[
-Homm
-kikikastor1
-MisterAlphaZulu
-donhoras
-[DarkApple]
-Hadriake
-CaptainBad
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Alors voilà,comme nous sommes nombreux,on poura choisir 5 nouvelles qu'on aime! Néanmoins-je me répètes- il est INTERDIT DE VOTER POUR SOIS-MÊME!
Les votes pourront débuter à 19:30 h!
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Pour voter,veuillez au moins lire toutes les nouvelles. Il serait injuste de voter pour des personnes sans avoir lu d'autres textes
Bon, bah si c'est à 19H30, je me dépêche de finir d'écrire.
J'ai déjà fais mes choix ^^ dur !
Portal Franchement, c'est pas mieux qu'il y ait un jury? Sinon, ce serait trop dur d'être totalement objectif, non?
Oui,mais de toute façon on ne peut pas voter pour soi-même. Et puis de toute façon,en général lorsque quelque chose est bien,presque tous sont d'accords
]Portal2[
Posté le 4 juillet 2012 à 17:58:07
Oui,mais de toute façon on ne peut pas voter pour soi-même. Et puis de toute façon,en général lorsque quelque chose est bien,presque tous sont d'accords
Je suis d'accord
Benji t'es de retour!!
J'ai pas arrêter de uper ta fic!
Mister Je viens de voir, merci ! ^^ J'étais en pleine session d'exam comme je l'avais dis. Là j'ai eu les résultats, je suis en vacances, donc je reprends l'écriture de la fic bientôt.
Portal Si tu le dis, mais je continue de penser qu'un jury serait mieux
Et sans vouloir faire de pub, passe sur ma fic!
Y a un le lien de chaque chapitre page 23 ou 24 pour pas te faire chier...
je sens que je vais bider avec lettre, j'aurais du faire un truc plus long ...
Je pense que voter pour 5 personnes, c'est excessif. Je pense que cela devrait se limiter à 3 pour ce tour.