Kellam x Olivia
Soutien C
(Olivia est retournée)
Olivia : Hum, excuse-moi. Tu as un instant ? J'ai besoin d'une oreille attentive.
Kellam : Qui ça ? Moi ? Bien sûr, enfin... je suppose.
Olivia : En fait... je me sens totalement inutile ces derniers temps.
Kellam : Cela n'a pas de sens ! Nous sommes tous ébahis par tes talents de danseuse !
Olivia : Mais ce n'est rien d'autre que de la danse, je peux certainement en faire davantage.
Kellam : Hmm... Est-ce que tu sais cuisiner ?
Olivia : Ma grand-mère m'a enseigné à préparer des gâteaux et d'autres desserts. Est-ce que ça conviendrait ?
Kellam : Bien sûr ! Qui n'aime pas les desserts ? Tout le monde en serait ravi.
Olivia : Alors c'est décidé ! Voyons voir... il me faut du miel, des raisins. Oh ! Et une grosse motte de beurre !
Kellam : Mmmh... J'en salive d'avance !
Olivia : Hé hé ! Merci de ton conseil ! Tu es un arbre plein de sagesse.
Kellam : Elle parlait... aux arbres ?! Elle n'a pas dû remarquer que j'étais là. Ça ne fait rien. Si je peux te soutenir, je le ferai, Olivia !
Soutien B
(Olivia est retournée)
Olivia : Oh, mon cher arbre, c'était magnifique ! Tout le monde a aimé mes gâteaux !
Kellam : Hum... je ne suis pas un arbre... en vérité, je...
Olivia : Mais un événement des plus étranges s'est produit alors que je ne trouvais pas de miel. J'étais sur le point d'abandonner quand... une jarre est apparue dans mon sac ! Un galant inconnu m'a sans doute aidée en me voyant en détresse ! *soupir*
Kellam : Je suis heureux de t'avoir été utile, Olivia et je... je... ah... aaah... aaaaa...
Aaaatchoooum !
(Olivia se retourne)
Olivia : Kellam ?!
Kellam : Satané pollen... Oh. Olivia.
Olivia : Tu m'as surprise ! D'où sors-tu ? Oh, attends, tu as fait tomber quelque chose.
Kellam : Attends, tu n'as pas besoin de...
Olivia : Du miel ? Oh ! Kellam, c'était... toi ?
Kellam : Désolé, je dois partir.
Olivia : Attends ! S'il te plaît ! Hum, merci.
Kellam : Merci à toi ! Ce gâteau était délicieux.
Olivia : Alors, je vais en préparer d'autres. Puis-je t'emprunter ce miel ?
Kellam : Il est à toi.
Soutien A
Olivia : Kellam ? Kellam !
Kellam : Me voilà.
Olivia : Ah ! Enfin ! J'ai retourné la moindre feuille pour te trouver.
Kellam : Tu as besoin de miel ?
Olivia : Non, pas aujourd'hui... Je voulais t'offrir ceci.
Kellam : Oh, on dirait une étoile. Qu'est-ce que c'est ?
Olivia : C'est du sucre d'orge. Je pensais que tu aimerais en avoir lors de tes expéditions.
Kellam : C'est une bonne idée, je suis sûr que tout le monde appréciera.
Olivia : Non, je l'ai fait spécialement pour toi, afin de te remercier pour l'autre jour...
Kellam : Juste pour moi ?
Olivia : Juste pour toi...
Kellam : C'est très gentil, Olivia, merci. Je suis impatient d'y goûter.
Olivia : Très bien...
Kellam : Si je peux t'être utile en quoi que ce soit, dis-le-moi.
Olivia : Je te le dirai. Merci.
Soutien S
Olivia : ...
Kellam : Olivia.
Olivia : Aaah ! Tu m'as surprise la main dans le sac ! J'allais te glisser cette fleur dans ta sacoche...
Kellam : Hé hé, difficile d'être aussi invisible que moi.
Olivia : Tu déposes des ingrédients en douce dans mes affaires, Kellam... Il n'est pas juste que je ne puisse pas faire de même !
Kellam : En parlant de ça... Hum... As-tu délié ta bourse aujourd'hui ?
Olivia : Oh, il y a un petit sachet à l'intérieur ! Je me demande ce qu'il contient... Un anneau ?!
Kellam : Ma mère l'a fabriqué, il m'est très précieux. Elle m'a dit de donner ça à la femme dont je serais amoureux... Alors, hem... Olivia, veux-tu m'épouser ?
Olivia : ...
Kellam : Oh... je vois... désolé, je...
Olivia : Non ! Je veux dire, oui ! Oui, je suis... Je suis si heureuse, Kellam. Merci.
Kellam : Je t'aime, Olivia. Depuis que j'ai posé mon regard sur toi.
Olivia : Oh, je suis si émue. Ne me regarde pas !
Kellam : D'accord, je peux à nouveau disparaître entre les arbres, si tu veux. Comme ça tu ne seras plus embarrassée.
Olivia : Oh non, ne fais pas ça ! C'est à moi de surmonter ma gêne. Et j'ai besoin que tu dois là pour m'aider.
Kellam : Je veillerai sur toi éternellement, Olivia.
Olivia : Oh, merci, Kellam !
Kellam x Miriel
Soutien C
Miriel : Gnnnnn...
Kellam : Miriel ? Pourquoi est-ce que tu serres les dents et me fixes ainsi du regard ?
Miriel : Parce que dès que je détourne les yeux, je te perds de vue. Quand bien même tu n'essaies pas de te cacher, tu disparais comme par magie. C'est une énigme des plus déroutantes.
Kellam : C'est vrai que j'ai tendance à me fondre dans le paysage...
Miriel : Mais cela défie toute logique ! Cette armure complète que tu portes reflète la lumière du soleil comme un miroir. Sans parler de ses exotiques dimensions.
Kellam : Je crois que je manque de présence, c'est tout.
Miriel : Tu veux dire que tu es timide, laconique, peu loquace ? Cela ne peut pas être si simple que cela. La science exige une explication plus complète. Hmm... Hmmhmmm...
Kellam : Euh, peux-tu arrêter de me regarder comme ça ? Cela me rend mal à l'aise.
Miriel : Mais tu es un si fascinant sujet d'observation ! Pense à toutes les choses que nous pourrions apprendre grâce à toi ! Si seulement nous arrivions à te voir...
Kellam : Je crois que je vais y aller, maintenant.
Miriel : Fascinant...
Soutien B
Kellam : M... Miriel ? Pourquoi est-ce que tu t'agrippes à mon bras comme ça ?
Miriel : C'est afin que je puisse te suivre, sans avoir à rester là sans cligner pendant des heures. Il m'est ainsi plus facile d'effectuer mes observations.
Kellam : Oh, je vois. Mais, tu vois, cela me... Euh, c'est un peu gênant.
Miriel : Je t'écoute.
Kellam : Je... Je n'ai pas l'habitude de discuter avec les gens à si petite distance.
Miriel : Ce n'est pas grave. C'est pareil pour moi, tu sais.
Kellam : C'est une blague, toute cette histoire ?
Miriel : Mon cher Kellam, je ne tolère aucune farce quand il s'agit de mes recherches.
Kellam : Oh. Je vois.
Miriel : Très bien ! J'ai donc monté quelques appareils de mesure atmosphériques là-bas. Aurais-tu l'amabilité de passer par la droite lorsque tu te retireras ?
Kellam : Lorsque je me quoi ?
Miriel : Disparaîtras, t'évaporeras, te dissiperas... Bref, sauve-toi comme à ton habitude.
Kellam : D'accord. Eh bien, voilà...
Miriel : Et le voilà parti. C'est proprement fascinant...
Soutien A
Miriel : Je te remercie de m'avoir aidée l'autre jour, Kellam.
Kellam : Tu vas encore m'observer ?
Miriel : Tu trouves peut-être cela importun ?
Kellam : Je ne sais pas ce que cela veut dire. En tout cas, tes observations me rendent nerveux. Cependant, si c'est nécessaire, je veux bien t'aider comme je peux.
Miriel : Parfait. Continuons... Je te prie de disparaître... MAINTENANT !
Kellam : Euh...
Miriel : Qu'y a-t-il ? Un problème ? Vas-y, fais comme d'habitude ! Envole-toi !
Kellam : Cela ne marche pas.
Miriel : Voilà qui est terriblement fascinant !
Kellam : Comment ça ?
Miriel : Eh bien, ce n'est qu'une théorie, provisoire, mais peut-être que... ton talent prend racine dans ta réticence à imposer aux autres ta présence. Tu te retires de leur conscience. Ainsi, tu deviens indécelable pour leur sens.
Kellam : Euh, je ne comprends pas, une fois de plus. Pourquoi est-ce que tu peux me voir, là ?
Miriel : Un lien s'est formé entre nous, rendant ta présence plus notable pour mon conscient. En raison de cette familiarité, mes sens sont plus à même de détecter ta présence.
Kellam : Familiarité... Tu veux dire que nous sommes en train de devenir amis ?
Miriel : Eh bien, j'ai utilisé ce mot dans son sens le plus large. Plutôt des compagnons... Nous avons passé du temps ensemble, il est naturel que des liens se développent.
Kellam : Oh. C'est sympa, n'est-ce pas ?
Miriel : Nous devrions passer plus de temps ensemble.
Kellam : Vrai... Vraiment ?
Miriel : Tout à fait. J'aimerais tenir ton bras encore un peu.
Kellam : Euh, d'accord...
Soutien S
Miriel : Je dois te dire que tu es un jeune homme indulgent et très patient, Kellam. Peu de gens auraient la patience de jouer au rat de laboratoire aussi longtemps.
Kellam : Oh, ce n'est rien ! De cette manière, je peux écouter toutes tes drôles d'histoires ! Je suis tellement habitué à ce que tu me tiennes le bras que je me sens seul sans toi.
Miriel : Remarquable. J'ai moi aussi éprouvé ce sentiment de solitude. Manifestement, les liens d'amitié entre nous de renforcent toujours plus. Il serait fort intéressant d'observer jusqu'où nous mène cette relation.
Kellam : Eh bien, peut-être que cela est possible... J'ai un cadeau pour toi.
Miriel : Serait-ce un astrolabe ? Un microscope ? Un nouveau planétaire, peut-être ? Ah, je vois... C'est un anneau.
Kellam : Il est fait main, c'est une pièce unique. Si tu l'acceptes, nous pourrons nous marier.
Miriel : Voilà un nouveau domaine de recherche ! Cela prendrait des années... Et j'ai tant d'autres possibilités d'étude à prendre en compte ! Cependant, lorsque tu m'as offert l'anneau, j'ai ressenti une certaine... allégresse. M'aimes-tu donc au point de bien vouloir devenir mon objet d'études pour la vie ?
Kellam : Si c'est ce qu'il faut, oui !
Kellam x Maribelle
Soutien C
Maribelle : AÏE ! Oh, de grâce ! Qui est l'emplâtré qui a laissé cette énorme armure en plein milieu du passage ?!
Kellam : Euh, en fait...
Maribelle : Aaaaah ! Mon cher monsieur, voudriez-vous bien éviter de m'approcher si furtivement ?
Kellam : Hmm, en fait, je n'ai pas bougé. Et je n'ai pas laissé traîner mon armure. La preuve, je la porte encore, donc...
Maribelle : Certes. J'aurais dû me douter que vous vous trouviez quelque part là-dedans. À ce sujet, il est une question que je désirais vous poser. Comment se fait-il que vous portiez une armure si ridiculement colossale ? Appartenait-elle à votre frère aîné ? Votre mère espérait vous voir grandir à sa taille ?
Kellam : Elle est peut-être un poil plus grande qu'une armure ordinaire... Mais je ne vois aucune raison de la changer, à présent. Elle me protège suffisamment, et je reste assez agile pour le combat.
Maribelle : Mais il n'est toutefois point nécessaire de la porter en toute circonstance ! Je vous ai vu la porter à un mariage, l'autre jour !
Kellam : En fait elle me plaît bien. C'est ce que j'ai de plus douillet.
Maribelle : Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre ! L'apparence prime sur le confort, voyons ! Tâchez de vous séparez de cette armure de temps à autre. Je le dis dans votre intérêt.
Kellam : Je vais y penser...
Maribelle : Héé ! Revenez ici tout de suite, boîte de métal ! Je n'en ai pas fini avec vous !
Tss... Trop tard, il a disparu. Mais comment fait-il cela, d'ailleurs ?
Soutien B
Maribelle : Kellam ! Keeeeellaaaam ! Allons, montrez-vous, où que vous soyez...
Kellam : Vous m'avez appelé ?
Maribelle : Tenez, j'ai trouvé ceci pour vous.
Kellam : Eh ben, quels beaux vêtements ! Ils doivent être chers, non ?
Maribelle : Vous n'imaginiez pas que je viendrais avec des loques ?! En temps normal, ces effets seraient bien trop fins pour un paysan comme vous... Mais au vu des circonstances, je me suis dit que vous mériteriez quelque chose de bien.
Kellam : C'est très gentil de ta part, Maribelle. Mais tu sais, j'aime vraiment mon armure et...
Maribelle : Ne me dites pas que vous préférez votre armure à ces habits en soie !
Kellam : C'est juste que... je préfère rester moi-même, si ça ne te fait rien.
Maribelle : Oh, grands dieux ! Pourquoi êtes-vous si têtu ?
Kellam : Au début, quand j'ai rejoint les Veilleurs, j'avais peur de ne pas pouvoir me battre. Je pensais qu'on allait m'exclure et très vite m'oublier à cause de mon incompétence. J'étais sur le point de tout abandonner et de rentrer à la maison, à vrai dire. De toute façon, personne ne s'en serait rendu compte...
Maribelle : ...
Kellam : Mais alors que mon moral était au plus bas, j'ai reçu cette armure de chez moi. Le village entier a aidé à la forger, car ils étaient tous si fiers de moi ! Imagine ! J'étais le premier à sortir du village et pour servir le prince, rien que ça !
Maribelle : J'ignorais que votre histoire fût si... admirable.
Kellam : Cette armure me rappelle les espoirs et les rêves des gens de chez moi. Alors je vais continuer à la porter, même s'ils se sont trompés de taille !
Maribelle : Eh bien... Ahem ! J'ai peut-être eu tort de vous tancer ainsi, sans avoir connaissance des circonstances. J'espère que nous pourrons oublier ce petit malentendu ?
Kellam : Bien sûr, Maribelle. Je sais que tu n'avais pas de mauvaises intentions.
Soutien A
Kellam : Hé, Maribelle ? Je voulais te remercier pour ton aide, au combat. Si tu n'avais pas été là pour me couvrir, je n'aurais jamais pu protéger les autres.
Maribelle : Avec plaisir. En vérité, il est plutôt rassurant de vous avoir à mes côtés. Vous tombez du ciel lorsque je suis en difficulté, puis disparaissez dans l'ombre... Vous êtes comme le fidèle acolyte dans les histoires que mère me lisait.
Kellam : Euh, mais je n'ai jamais disparu dans l'ombre...
Maribelle : Peu importe. En tout cas, j'ai a présent une image bien plus favorable de vous. Observer un rustaud se battre pour les siens suscite en moi une vive émotion.
Kellam : Ah bon ? Oh tu sais, je ne suis qu'un simple paysan qui cherche à faire de son mieux.
Maribelle : Une fois cette effroyable guerre terminée, je souhaite devenir juge militaire. Cela ferait de moi la première femme à tenir cet office. La tâche n'est donc pas aisée. Je n'ai cependant pas l'intention de baisser les bras, même si c'est une dure bataille.
Kellam : Tu as bien du courage ! Je serais incapable d'être aussi persévérant que toi !
Maribelle : C'est faux. Vous l'avez suffisamment démontré au quotidien. Nul ne peut vous accuser d'avoir choisi une voie facile !
Kellam : Oh, je ne sais pas... J'aime bien protéger les gens, c'est tout.
Soutien S
Kellam : Maribelle ?
Maribelle : Oui ?
Kellam : C'est peut-être un peu soudain, mais j'ai repensé à ton idée pour après la guerre. Je me suis dit que je pourrais peut-être t'aider en me tenant toujours... à tes côtés.
Maribelle : C'est amusant que vous disiez cela ! J'y ai pensé, moi aussi. À vrai dire, je me suis plutôt habituée à votre compagnie.
Kellam : Oh, je suis ravi que tu voies les choses pareillement !
Maribelle : Vous feriez un splendide majordome, une fois formé ! Ou bien, au pire, un valet. Il nous en manque un depuis que ce pauvre monsieur Robert est parti en prison...
Kellam : Hmm... Non... Ce n'est pas du tout... Je ne veux pas venir travailler avec toi.
Maribelle : Travailler ? Mon cher, chez nous, les domestiques font partie de la famille ! Vous êtes libre les jours fériés, et on échange même les rôles pour le solstice !
Kellam : En fait, je veux t'épouser ! C'est pour ça que je t'ai apporté cet anneau !
Maribelle : Oh ! grands dieux...
Kellam : Je sais que je ne suis pas de ta condition, mais je m'en moque ! Si tu veux des richesses, des titres, ou quoi que ce soit, va trouver quelqu'un d'autre. Mais si tu veux un homme qui t'aimera jusqu'à la fin de tes jours, je suis là !
Maribelle : Eh bien... présenté ainsi... Cette absence de titres reste fâcheuse... Mais il est toujours possible d'y remédier en vous faisant baron de quelque fief reculé.
Kellam : C'est un oui ?
Maribelle : Oui, Kellam. Je veux bien vous prendre pour époux. Mais il est hors de question que vous portiez cette armure pour les noces !
Kellam x Daraen (homme)
Soutien C
Daraen : Qu'est-ce que ça peut être ? Un fantôme ? Non, impossible...
Kellam : Quelque chose ne va pas ?
Daraen : Aaaaaaah ! Oh, c'est toi, Kellam. Tu m'as surpris.
Kellam : Désolé, mais tu avais l'air inquiet, alors je voulais savoir si tout allait bien.
Daraen : Quelque chose me tracasse. Nos soldats on relaté une série d'incidents étranges. Des faits inexpliqués défiant l'imagination... q
Kellam : Vraiment ? De quel type ?
Daraen : Par exemple, quand nous nous rassemblons, des boissons se matérialisent sur la table. De plus, il y a toujours un verre de plus que le nombre de personnes présentes. Quand nous posons la question, tout le monde nie avoir apporté les verres. Ou même avoir servi les boissons. C'est vraiment étrange. Tellement étrange que j'étais en train de me demander si ce n'était pas un fantôme !
Kellam : Je crois que j'ai l'explication.
Daraen : Vraiment ?
Kellam : Hum, c'est moi qui sers les boissons.
Daraen : Mais pourquoi apportes-tu toujours un verre de trop ?
Kellam : C'est le mien. C'est juste que personne ne remarque ma présence.
Daraen : Je vois. Mais ton explication est à peine plus crédible qu'une histoire de fantômes !
Soutien B
Daraen : Ta-di-da-da... hmm ? Tiens, d'où sort cette boisson ? Kellam, es-tu là ?
Kellam : Oui, en face de toi.
Daraen : Ah, oui. Pardon. Eh bien, merci pour le verre.
Kellam : Je ne voulais pas t'interrompre pendant que tu fredonnais...
Daraen : Ne t'en fais pas. J'ai simplement été surpris quand le verre est apparu devant moi !
Kellam : Hum... oui. Pardon.
Daraen : Pourquoi est-ce que tu t'excuses ? C'est très aimable de ta part de servir à boire. Et tu as le don de te fondre dans le décor. Si tu veux que les gens te remarquent, il faudrait parler plus souvent.
Kellam : Oh, ça va. Je ne cherche pas vraiment à me faire remarquer.
Daraen : Dans ce cas, tu réussis parfaitement.
Kellam : De plus, quand je commence à parler, les gens croient entendre des voix.
Daraen : Oh. C'était toi, au souper l'autre soir ? Les soldats refusaient de sortir de leur tente parce qu'ils avaient peur du fantôme.
Kellam : Hmm... Désolé.
Daraen : Non, c'est nous qui devrions nous excuser de ne pas t'avoir vu.
Kellam : Je comprends à présent pourquoi tout le monde réagit si étrangement. La prochaine fois que j'apporte du thé, annonce-moi. Et j'arrêterai de me tenir dans l'ombre...
Daraen : Bonne idée, Kellam. Bien parlé ! Je ferai en sorte que les gens te remarquent !
Soutien A
Kellam : Tiens ? Une part de tarte aux myrtilles ! Mais qu'est-ce qu'elle fait là ?
Daraen : C'est pour toi, Kellam.
Kellam : Daraen ! Comment as-tu fait pour me voir ?
Daraen : Je me suis entraîné dur. Il faut plisser les yeux et essayer de regarder sur les côtés. Quoi qu'il en soit, tu as été tellement serviable, je voulais te rendre la pareille.
Kellam : Merci.
Daraen : Mais de rien. C'est la moindre des choses.
Kellam : Tu es vraiment sympathique, Daraen... Bien, il faudrait peut-être que je m'en aille...
Daraen : Quoi ?! Mais comment fait-il ça ? Est-ce qu'il a changé de dimension ?!
Kellam : Quelle dimension ? Je suis là, je m'occupe de l'armurerie.
Daraen : Oh... Oui... Je le savais. C'est à cause de ce sourire énigmatique quand tu as tourné à gauche... et disparu ! Comme si tu étais passé dans une autre dimension !
Kellam : Tu as vraiment beaucoup d'imagination.
Daraen : Ha ha ha ! Oui, peut-être. J'ai du voir trop de pièces de théâtre. Mais ce n'est pas le moment de s'occuper de l'armurerie. Tout le monde t'attend.
Kellam : Moi ?
Daraen : Oui. Ils veulent s'excuser d'avoir fait courir des rumeurs de fantômes...
Kellam : Oh... Tu sais... Je n'aime pas être le centre d'attention.
Daraen : Peut-être. Mais parfois, il faut savoir se mettre en avant...
Kellam : Oui, tu as raison. J'espère qu'on ne m'en voudra pas si je change de dimension.
Daraen : Tu l'as vraiment fait ?!
Kellam : Je plaisantais...
Eh bien GG. Tu en as recopié trois fois plus que moi, aujourd'hui.
Merci, c'était pas grand-chose ^^
Que manque-t-il ?
Pas grand chose ? Mais combien de temps t'as mis à tout écrire ?
Attends, je check et je te dis.
Cordelia/Daraen(femme), Cordelia/Palne et Cordelia/Henry pour Cordelia.
Ben, tu peux le recopier si tu veux.
Merci pour votre travail
Le recopier. C'est bien Psycho, je suis fier de toi.
Défi accepté. Demain soir, le chapitre est fini. Bon, les screens, je sais pas en faire mais je me démerderais.
Bien que j'ai jamais fait de screen ?
Cordelia x Daraen (femme)
Soutien C
Daraen : Aïe, cette coupure me fait mal ! Et j'ai utilisé mon dernier pot d'onguent... Hmm... Que faire ?
Cordelia : Tout va bien, j'ai réapprovisionné ta réserve de médicaments ce matin.
Daraen : Vraiment ? Ah, c'est parfait, merci. Aucun détail ne t'échappe, on dirait.
Cordelia : J'aime être au courant de ce qui se passe. Je veille à approvisionner tout le monde, je sais donc qui a besoin de quoi.
Daraen : Tu gardes un œil sur le matériel de chacun de nous ? Tu calcules tout mentalement ?!
Cordelia : Bien sûr. Imagine le chaos si toutes nos réserves s'épuisaient en même temps.
Daraen : Il n'est guère surprenant que tout le monde te prenne pour un génie...
Cordelia : Ne dis pas ça !
Daraen : Je suis désolée. Je ne voulais pas te blesser.
Cordelia : Non, bien sûr que non... Excuse-moi. Mes supérieures m'appelaient comme ça quand j'ai rejoint les chevaliers pégases. Ce n'était pas toujours facile... On me surnommait « le petit génie »... Tout le monde se moquait de moi.
Daraen : Oh...
Cordelia : Elles se gaussaient de mon apparence comme de ma technique au javelot !
Daraen : J'étais loin de me douter qu'il existait des chevaliers pégases aussi cruels ! Mais je t'assure avoir employé « génie » comme un compliment.
Cordelia : Je le sais bien. Je suis trop susceptible, voilà tout.
Daraen : Tu sais, je suis là si tu as besoin d'en discuter...
Cordelia : Eh bien, puisque tu le proposes... Donne-moi ton avis sur ce javelot. Est-ce qu'il te semble équilibré ?
Daraen : Euh, je voulais dire... Bon, peu importe. Fais-moi voir ce javelot.
Soutien B
Cordelia : Daraen ! Regarde, j'ai fabriqué un nouveau javelot en tenant compte de tes conseils !
Daraen : Tu en as fabriqué un, toute seule ?
Cordelia : Eh bien... oui.
Daraen : Tu l'as forgé ?! Tu ne l'as pas assemblé à partir de pièces déjà construites... ?
Cordelia : Non, non, j'ai bien coupé un jeune arbre, travaillé le manche, forgé la pointe en acier. Évidemment, j'aurais pu attendre que deux javelots se marient et fassent un petit... Plus sérieusement, tu vois le motif sur le manche ? C'est moi qui l'ai crée ! Alors, qu'est-ce que tu en penses ?
Daraen : Je ne m'attendais pas à ce que tu conçoives un javelot de bout en bout ! Tu es vraiment un génie !
Cordelia : Un... quoi, pardon ?
Daraen : Hem... Désolée, j'ai oublié à quel point ce mot t'irritait... Oublie ce que j'ai dit... Quoi qu'il en soit, je suis heureuse de m'être rendue utile. S'il y a autre chose que je puisse faire pour toi, dis-le-moi...
Cordelia : Tu es bien aimable, Daraen ! Que dirais-tu si... Enfin, non... Il vaut mieux éviter ça. On risque de mal interpréter la chose...
Daraen : Mal interpréter quoi ?
Cordelia : Si tu te montres attentionnée, on va finir par croire que nous sommes... amies.
Daraen : Amies ?! Je croyais que tu allais dire autre chose... Mais est-ce aussi grave que ça... ? Ne sommes-nous pas déjà amies ?
Cordelia : Vraiment ? Tu es sérieuse ?
Daraen : Je crois bien... Tu n'es pas d'accord ?
Cordelia : Désolée... J'ai tellement pris l'habitude de ne pas avoir d'amies... *soupir* J'étais la plus jeune recrue des chevaliers pégases. Toutes les autres étaient arrivées bien avant moi... Je n'ai jamais pu considérer l'une d'entre elles comme une amie...
Daraen : C'est bien triste...
Cordelia : Mais comme je te disais, je m'y suis habituée ! Et puis, j'avais mon pégase. Même si nos discussions ressemblaient à des monologues...
Daraen : J'imagine...
Soutien A
Cordelia : Daraen ! Tu sais quoi ? J'ai montré mon nouveau javelot à tout le monde dans le camp. Ils pensent tous qu'il est magnifique ! Merci encore pour ton aide.
Daraen : Je t'en prie ! C'est quand même toi qui es devenue forgeron du jour au lendemain ! Je suis malgré tout heureuse d'avoir pu me rendre un peu utile. Si ces chevaliers pégases voyaient ce que tu es devenue...
Cordelia : Peut-être me voient-elles, de tout là-haut dans le ciel...
Daraen : Euh, là-haut dans le ciel... ?
Cordelia : Oui, au paradis des chevaliers pégases, si tu préfères... Tu... Tu es au courant, n'est-ce pas ? Elles ont donné leur vie pour me permettre de fuir et de rejoindre Chrom.
Daraen : Chrom m'avait brièvement raconté cette histoire, mais... Tu en parlais de façon si détachée... J'ai cru que peut-être... Je regrette... Je viens seulement de comprendre...
Cordelia : Ne t'en fais pas. J'ai dû mal exprimer et tu as cru qu'elles étaient encore vivantes.
Daraen : Alors, en dépit de toutes leurs moqueries, elles se sont sacrifiées pour toi ?
Cordelia : J'étais aussi surprise que toi ! Elles étaient convaincues que je représentais l'avenir. Les insultes et les quolibets n'étaient qu'une forme de bizutage. Snif... Mon seul regret... est de ne pas avoir eu plus de temps pour les connaître. Ce n'est qu'au dernier moment que j'ai su qu'elles tenaient à moi ! *sanglots*
Daraen : Cordelia...
Cordelia : Snif... Mais assez de larmoiements. Je ne veux pas éprouver ta patience. Enfin, ça m'a fait du bien de te dire ce que j'avais sur le cœur !
Daraen : Je comprends maintenant pourquoi tu n'aimes pas qu'on t'appelle « génie ».
Cordelia : Vraiment ?
Daraen : Je me rappelle de ta colère lorsque j'avais prononcé ce mot. Je pensais que tu le prenais comme du sarcasme, mais c'était tout le contraire. Tu as compris que tes sœurs d'armes le pensaient vraiment.
Cordelia : Tu ne manques pas de perspicacité.
Daraen : Ce n'est pas de la perspicacité, juste la complicité qui s'établit entre deux amies. Et nous sommes des amies proches désormais ! Tu peux compter sur moi.
Cordelia : Snif... Oh, Daraen ! Merci !
Cordelia x Palne
Soutien C
Cordelia : Euh, Palne ?
Palne : ...
Cordelia : Qu'est-ce que tu fais avec mon pégase ?
Palne : Ainsi donc, ce destrier est le vôtre ?
Cordelia : Oui, c'est cela.
Palne : Vous avez beaucoup de chance. C'est un animal sage et loyal.
Cordelia : Merci. Mais comment sais-tu qu'il est sage ?
Palne : Nous avons parlé.
Cordelia : Ah oui, bien sûr. Vous avez parlé et... Hein ?! Tu peux PARLER avec mon pégase ? Tu veux dire... avec des mots ?
Palne : Cela vous paraît bizarre ?
Cordelia : Euh, non... Pas exactement. C'est un peu surprenant, c'est tout. Les chevaliers pégases communiquent avec leurs bêtes, mais pas aussi directement.
Palne : Je ne suis pas un chevalier pégase. Je suis une Tagüel. Mais assez de bavardages. Je vous laisse. Prenez bien soin de votre animal.
Cordelia : À plus tard ? Euh... peut-être ? Bons, revenons à nos moutons. On avait une petite plaie à bander, n'est-ce pas ? Oh... Mais qu'est ce que c'est que ce truc vert étalé sur la blessure... ? Un baume guérisseur... Voilà donc ce qu'elle fabriquait ! Eh bien, n'oublions pas de remercier Palne la prochaine fois !
Soutien B
Cordelia : Palne, je souhaitais te remercier pour l'autre jour.
Palne : Je n'ai rien fait.
Cordelia : Tu t'es occupée de mon pégase blessé, n'est-ce pas ? Avec un baume guérisseur ?
Palne : Non...
Cordelia : Oh, d'accord... Eh bien, peu importe qui l'a appliqué, le remède a été efficace.
Palne : C'est un onguent secret des Tagüels bien plus puissant que vos remèdes d'humains. Euh... Bien que je n'en sache rien.
Cordelia : AHA ! C'était bien toi, alors ! Tu t'es trahie.
Palne : ... J'avais espéré traiter la plaie en cachette.
Cordelia : Quoi qu'il en soit, nous te sommes tous les deux très reconnaissants. Merci, Palne.
Palne : Je ne mérite pas ta gratitude. Après avoir pris soin de ton animal, je lui ai fait une... proposition.
Cordelia : Quelle sorte de proposition... ?
Palne : Je lui ai suggéré de le libérer afin qu'il ne soit pas exposé aux dangers de la guerre. Toute cette violence n'a aucun rapport avec lui ou son espèce. Cela me semblait cruel de le faire combattre à nos côtés. Mais il m'a répondu qu'il voulait t'aider, et que jamais il ne pourrait t'abandonner.
Cordelia : Mon pégase a dit ça ?!
Palne : Cet animal est très loyal. Aussi, vous devez en prendre grand soin.
Cordelia : Oui, bien sûr ! Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le garder sain et sauf.
Palne : Faites cela, et faites-en même plus. Cela m'affligerait qu'il arrive quelque chose à un si splendide animal.
Cordelia : Moi aussi, Palne...
Soutien A
Cordelia : Eh bien, que penses-tu de ta première chevauchée à dos de pégase ?
Palne : Intéressant. Et terrifiant. J'étais si éloignée du sol... Mais c'était également... grisant.
Cordelia : Je suis heureuse que ça t'ai plu ! Il fallait bien faire quelque chose pour te remercier.
Palne : Vous voulez encore parler de l'onguent ? Je vous ai dit que vous ne me devez rien.
Cordelia : D'accord. Mais si tu veux tenter une nouvelle escapade, viens nous voir ! Mon pégase s'est attaché à toi, et il adore folâtrer dans les airs !
Palne : Merci à vous deux.
Cordelia : Mais de rien !
Palne : Lorsque vous vous envolez, on dirait que vous ne formez qu'un. Comment pouvez-vous forger de tels liens tout en menant des guerres si terribles ?
Cordelia : C'est une bonne question, et je n'en ai hélas pas la réponse. Mais je sais que le but de cette guerre est de bâtir un futur plus paisible et meilleur... Si je n'avais pas cette foi, je lâcherais mes armes et partirais sur-le-champ.
Palne : Je veux bien vous croire. À dire vrai, c'est le même espoir qui m'anime. Je rêve qu'à l'avenir les Tagüels et les humains puissent vivre en harmonie.
Cordelia : Oh, Palne...
Palne : Ai-je dit quelque chose d'étrange ?
Cordelia : Non, bien sûr que non ! T'entendre dire cela me rend plus heureuse que tu ne pourrais le croire. Et n'as-tu pas remarqué ? Les humains et les Tagüels vivent déjà en paix ensemble ! Deux d'entre eux s'amusent comme des enfants, ici et maintenant, à dos de pégase.
Palne : ... Il semble que nous ayons forgé une amitié, tout comme vous et votre pégase. Peut-être suis-je prête à vous considérer comme une vraie amie.
Cordelia : Je n'aurais pu mieux dire ! Nous sommes de vraies amies ! Cela veut dire que je serai toujours là pour surveiller tes arrières !
Palne : Et moi donc !
Cordelia x Henry
Soutien C
Cordelia : Et voilà ! Ça aura pris du temps mais au moins, c'est fini !
Henry : Ah, Cordelia ! C'est quoi ça ? Une écharpe ?
Cordelia : Oui, on ne sait jamais. On pourrait être appelé à combattre dans le froid.
Henry : À Plegia, il fait toujours chaud, alors les écharpes, on ne connait pas trop. Mais sa couleur et sa taille me font plus penser à une écharpe d'homme.
Cordelia : Ce n'est pas pour moi. C'est un cadeau.
Henry : Oooh, il en a de la chance ! J'aimerais bien qu'on me tricote une belle écharpe !
Cordelia : Eh bien, tu peux avoir celle-ci si elle te plaît tant.
Henry : Ah bon ? Mais tu as dit que c'était un cadeau ! Je n'ai pas envie qu'un admirateur contrarié vienne frapper à ma porte en pleine nuit...
Cordelia : Maintenant que j'y réfléchis, ce cadeau n'est probablement pas une bonne idée.
Henry : Oh, mais elle est si belle ! Je suis sûr qu'il l'aimerait !
Cordelia : Oui, mais je ne suis pas sûre que sa femme apprécie autant que lui...
Henry : Oooh, je vois... Dis, et si sa femme mourrait ? Est-ce que tu pourrais la lui donner ?
Cordelia : Mais tu es horrible ! Il ne faut pas dire ce genre de choses !
...
Et de toute façon, peu importe, parce que c'est à toi que je l'offre. Merci, Henry.
Henry : Pourquoi est-ce qu'elle me remercie ? Je n'ai rien fait à part accepter son cadeau. Quelle fille bizarre...
Soutien B
Henry : Hé, Cordelia ! Merci encore pour l'écharpe !
Cordelia : Je t'en prie, je suis contente qu'elle te plaise. *soupir*
Henry : Oh oh ! Ça ne va pas fort, on dirait. Ce doit être le syndrome du lundi matin.
Cordelia : Non, ça va, je m'accordais juste quelques minutes pour m'apitoyer sur mon sort.
Henry : Ah, tu aimes t'apitoyer sur ton sort ? Parce que j'ai une malédiction qui te ferait vraiment te sentir misérable !
Cordelia : Non, merci ! Je pensais seulement à l'homme marié dont je suis amoureuse. Mais c'est entièrement de ma faute, alors je n'ai pas le droit de me plaindre.
Henry : Alors là, tu l'as dit, ma jolie !
Cordelia : Henry, tu es d'une franchise presque troublante. Ah, si seulement je pouvais décider d'arrêter d'aimer quelqu'un...
Henry : Oh, mais j'ai une malédiction pour ça !
Cordelia : Vraiment ?
Henry : Oui, dis-moi seulement à qui tu penses et je te ferai oublier tes sentiments pour lui ! Tu te sentiras mieux, c'est promis.
Cordelia : J'apprécie cette offre, mais je dois refuser.
Henry : Pourquoi ?
Cordelia : Peu importe la douleur, je ne veux pas laisser cet amour disparaître.
Henry : Hein ? Mais alors tu te rends triste délibérément ?!
Cordelia : Je sais, Henry. Je sais...
Soutien A
Henry : Pfiou, tu en as acheté des choses ! Les bras m'en font mal !
Cordelia : J'apprécie ton aide ! Je ne me suis pas rendue compte que j'en avais acheté autant. C'était gentil de venir et de m'accompagner jusqu'au marché.
Henry : Alors, après les courses, comment va le mal d'amour ? Mieux ?
Cordelia : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Henry : J'ai demandé conseil à Lissa et elle m'a dit de t'emmener faire des emplettes. Et qu'essayer des robes et des armures te mettrait du baume à l'âme !
Cordelia : Alors le but de la manœuvre était que je me sente mieux ? Je ne l'aurais jamais cru, mais je me sens effectivement mieux ! Merci.
Henry : Fantastique ! Si faire des emplettes marche si bien, nous devrions y retourner !
Cordelia : Mais... mais nous venons à peine de rentrer.
Henry : Je peux faire plusieurs allers et venues ! Ça ne me dérange pas ! Et puis, j'ai vu un globe oculaire dans un bocal qui me faisait de l'œil...
Cordelia : Henry, tu es vraiment gentil, mais je pense que tu en as fait assez pour aujourd'hui.
Henry : Bien, alors un petit en-cas ? Une tarte aux fruits ? Des pommes caramélisées ? Un gratin de sanglier aux noix et au miel recouvert de framboise à la crème ?
Cordelia : Pas question. Il faut que je sois en mesure de me battre, tout de même... Et puis ce n'était pas faire des achats qui m'a fait du bien, c'était d'être avec toi.
Henry : Quoi, vraiment ?
Cordelia : Savoir que tu t'en fais pour moi est un réconfort en soi. Nous aurions pu faire n'importe quoi, tu l'aurais consolée de toute façon.
Henry : Je n'y comprends rien quand les gens sont sentimentaux, alors je veux bien te croire. Et si cela te fait sentir mieux, allons donc manger ensemble...
Cordelia : Bon d'accord... allons-y !
Soutien S
Henry : *halètements* Recule, vole créature ! Je vais faire une cravate avec tes boyaux ! Inutile... Je n'arrive même pas à soulever ce truc...
Cordelia : Henry, qu'est-ce que tu fais avec cette hache de guerre ?
Henry : Je m'entraîne pour avoir l'air plus viril ! Je me suis dit que tu m'aimerais plus si je ressemblais à un grand guerrier.
Cordelia : Est-ce que c'est encore un de tes plans pour me remonter le moral ?
Henry : Ha ha ! Non, c'est un plan pour te faire tomber amoureuse.
Cordelia : Pardon ?!
Henry : Je ne suis pas aussi brave ou beau garçon que Chrom, mais peut-être que...
Cordelia : Est-ce que tu as dit « Chrom » ?
Henry : Oui, c'est à lui à qui tu penses tout le temps, n'est-ce pas ? C'est ce que Lissa a dit. Est-ce qu'elle se trompe ?
Cordelia : *soupir* Non, elle a raison. Oh, c'est si embarrassant ! Je voulais que personne ne le sache.
Henry : Pas de problème ! Je vais faire tout mon possible pour que tu tombes amoureuse de moi à sa place !
Cordelia : Henry, tu n'as pas besoin de ressembler à Chrom pour me plaire. Il y a beaucoup de choses que j'aime déjà en toi. En vérité, je pense plus à toi qu'à Chrom, désormais.
Henry : Vraiment ?
Cordelia : Tu as été si gentil et attentionné avec moi. Je regrette de ne pas avoir compris plus tôt que tu tombais amoureux de moi !
Henry : Alors, tu accepterais que je t'offre cet anneau ?
Cordelia : Mais bien sûr, Henry ! J'accepte avec joie ! Personne ne sait mieux me rendre heureuse que toi !
Trop tard, déjà tout recopié
Bon, Psycho, on négocie un autre soutien alors ?
Okey.
Lucina/Gerome alors.
Et je suis en train de réussir
Soutiens à venir
Lissa/Lon'zu
Lissa/Gregor
Lissa/Ricken
Lissa/Donnel
...
Lissa/Lon'zu
Soutien C
Lissa : Ah, te voilà, Lon'zu ! J'imagine que mon frère t'a mis au parfum...
Lon'zu : …
Lissa : Ne commence pas ! Je suis peut-être une fille, mais tu as le devoir de veiller sur moi ! Alors, ne fais pas de trucs bizarres, comme prendre la fuite ou autre, d'accord ?
Lon'zu : Selon Chrom, on chercherait à te nuire. Est-ce correct ?
Lissa : Oui, on en veut à mon joli minois. Ne me demande pas pourquoi !
Lon'zu : Tu as du sang royal. Ceci explique cela. Quelconque peut se tapir dans l'ombre, prêt à frapper. On ne peut pas te laisser seule.
Lissa : Oh, mon héros ! Super ! Ça me fait un souci en moins quand tu es dans le coin ! La la la !
Lon'zu : Ne relâche pas ta vigilance ! La mort peut se trouver là où on ne l'attend pas, et... *soupir* Il y a certainement quelqu'un plus apte à assurer ta protection.
Lissa : Ouais, sûrement. Mais comme tu te tournais les pouces toute la journée, Chrom a dit...
Lon'zu : QUOI ?!
Lissa : Hé, c'était pour rire, Lon'zu ! Ne le prends pas mal ! Je suis sûre que Chrom t'a choisi pour ton talent, ton charisme et ta prestance ! Parmi tous les Veilleurs, c'est quand même toi qu'il a choisi pour me protéger ! C'est pas rien, pas vrai ? Hein ?
Lon'zu : Peut-être bien...
Lissa : C'est dit ! Alors, arrête de grimacer ! Allez, on fait ami-ami ! Serre-moi la pince !
Lon'zu : ...
Lissa : Bon, comme tu veux. On n'a qu'à se contenter d'un acquiescement... euh, viril. Oh là là ! Il est aussi grave que ça, ton problème avec les femmes ?
Lon'zu : Elles ont tendance à me perturber. Mais ça n'aura aucune incidence sur ma mission.
Lissa : Hmm... Pour te remercier, je pourrais peut-être t'aider à résoudre ce problème !
Lon'zu : Et si nous arrêtions cette discussion ?
Lissa : D'accooord ! Je vais m'entraîner. Tu n'as qu'à rester immobile avec ta mine sévère si tu veux.
Lon'zu : Ça me convient.
Soutien B
Lissa : Super ! L'orage a enfin cessé et... Oh, regarde, un arc-en-ciel ! Oooooh !
Lon'zu : Inutile de t'approcher. Je peux le voir depuis ici.
Lissa : Hé, dis donc, tu arriverais à me protéger malgré la distance qui nous sépare ?!
Lon'zu : Je suis capable de parcourir cette distance en un clin d’œil.
Lissa : Sérieux ? Je suis clairement pas aussi rapide que toi ! Voyons le temps qu'il me faut...
Lon'zu : Cesse d'invoquer n'importe quelle excuse pour t'approcher de moi !
Lissa : Hi hi ! Tu es vif d'esprit, toi ! J'essayais juste d'être amicale... Comment veux-tu qu'on renforce nos liens si tu te tiens si loin de moi...
Lon'zu : Je suis suffisamment proche de toi. Et nous n'avons pas besoin de renforcer nos liens...
Lissa : Oh là là, quel grincheux ! Pourquoi t'obstiner à veiller sur moi, dans ce cas-là ?
Lon'zu : Ce sont mes ordres. Et le moral des troupes s'effondrerait s'il t'arrivait malheur.
Lissa : Allons donc ! Personne ne se soucie de mon sort ! On se contenterait d'enjamber mon cadavre et le combat reprendrait son cours...
Lon'zu : Tu n'as donc pas remarqué à quel point ta présence enhardissait la troupe ? Ton sourire et ta bonne humeur sont un baume pour le cœur.
Lissa : Vrai... Vraiment ? Et pour toi, Lon'zu... Mon sourire est aussi un baume pour le cœur ?
Lon'zu : Peut-être... À une distance raisonnable.
Lissa : Je sais pas pourquoi je me donne tout ce mal... Bref, à plus, le grincheux !
Lon'zu : Attends. Je t'accompagne.
Lissa : Je ne crois pas, non ! Je vais prendre un bain !
Lon'zu : Mais j'ai des ordres à suivre... Je... Aaah... Hmm. C'est quand même curieux. Il n'y a eu aucune tentative d'assassinat contre Lissa. Ils sont peut-être d'une prudence extrême... Ou alors Chrom et Lissa me jouent un tour !
Soutien A
Lissa : Le chemin est plutôt accidenté par ici. Tu veux pas me prendre la main ?
Lon'zu : Non.
Lissa : Après tout ce temps, tu pourrais t'être habitué à ma présence. Franchement... Au lieu de ça, tu fais une tête pas possible. Fais au moins l'effort de sour...
Lon'zu : Silence !
Lissa : Hé, ne sois pas mal élevé ! J'essaie simplement de...
Lon'zu : Derrière moi ! Vite ! Il y a... Gnnh !
Lissa : N... Non, Lon'zu ! Ne meurs pas ! Tiens bon !
Lon'zu : Gnnh ! Ce n'est qu'une flèche. Je ne vais pas mourir.
Lissa : Oui, mais ça ne se passera pas aussi bien si tu en reçois une douzaine ! Nous... Nous sommes cernés !
Lon'zu : Nous sommes certainement en présence de tes assassins. Ne t'éloigne pas de moi !
Lissa : D'a... D'accord !
Lon'zu : C'était le dernier.
Lissa : Ne bouge pas. Je vais m'occuper de tes blessures.
Lon'zu : Je vais bien. Es-tu blessée ?
Lissa : Non. Tout va bien... Et c'est grâce à toi.
Lon'zu : Bien. Très bien...
Lissa : Lon'zu, tu m'as sauvé la vie...
Lon'zu : Je n'ai fait que suivre des ordres. Tu n'as plus rien à craindre. Mais je vais tout de même t'escorter jusqu'à ta tente.
Lissa : Hmm, Lon'zu ?
Lon'zu : Oui ?
Lissa : Puisque tu as accompli ta mission, est-ce que tu vas... Enfin, je veux dire, tu n'es plus obligé de m'accompagner, pas vrai ?
Lon'zu : Cette démarche n'est plus justifiée. En effet.
Lissa : Oui, mais... On s'était finalement un peu rapprochés. Je serais triste si je perdais ça.
Lon'zu : Ce n'est pas de ma faute. Je t'avais demandé de garder tes distances.
Lissa : Je sais, mais...
Lon'zu : *soupir* Nous pourrions peut-être discuter de temps à autre, si tu le souhaites...
Lissa : Vraiment ?! Génial ! C'est gentil, Lon'zu !
Lon'zu : Hmm...
Soutien S
Lissa : Coucou, Lon'zu ! Je suis à nouveau venue papoter !
Lon'zu : D'accord...
Lissa : Essaie de contenir ta joie... Et surtout ne souris pas, hein... Beaucoup de garçons seraient ravis d'avoir la visite d'une fille aussi mignonne que moi !
Lon'zu : Tu veux peut-être que je sourie bêtement comme le villageois de l'autre jour ?
Lissa : Non, pas vraiment... En fait, venant de toi, ça serait plutôt perturbant...
Lon'zu : Dans ce cas, de quoi te plains-tu ?
Lissa : Bon, bon, n'en parlons plus. Tu pourrais essayer d'être un peu moins froid avec moi. Tu me manques ! Auparavant, tu veillais sur moi 24 heures sur 24. Et là, je ne te vois quasiment plus. Mais j'imagine que ce genre de trucs te dépassent, je me trompe ? Je veux dire, puisque tu ne supportes pas les filles... Tu sais quoi ? Tu n'as qu'à me le dire et j'arrêterai de t'embêter.
Lon'zu : Je... J'apprécie ta compagnie.
Lissa : Mmh... Ça va, je sais où est la sortie. Je vais donc te laisser tranquille et... Attends... Qu'est-ce que tu viens de me dire ? J'ai dû mal comprendre... Ne me dis pas que la présence d'une fille comme moi ne t'agace pas...
Lon'zu : Tu m'as parfaitement entendu. Tu ne me déranges pas. Et... je regrette également le temps qu'on passait ensemble...
Lissa : Je n'en crois pas mes oreilles...
Lon'zu : Tu ne comprendras peut-être pas... Mais j'ai un présent à te remettre.
Lissa : Oh, c'est... c'est une alliance ! Mais tu détestes les filles ! Je comprends plus rien !
Lon'zu : Je ne hais personne.Et, en ce qui concerne les femmes, tu fais figure d'exception. Chacune de mes pensées se rapporte à toi. Tu m'accompagnes partout où je vais. Si tu le veux, je jure de te protéger pendant le restant de mes jours.
Lissa : Oh, Lon'zu... J'ACCEPTE ! Et moi aussi je veillerai sur toi ! Mais tu dois me promettre de ne plus te tenir à distance de moi !
Lon'zu : Je ne le ferais plus. C'est promis.