Libra / Lissa

Soutien C

Lissa : Hé, Libra ! Viens mettre ton courage à l'épreuve avec moi !
Libra : Faire la guerre n'est pas suffisant, comme épreuve, peut-être ?
Lissa : Il s'agit d'un exercice d'entraînement concocté par Daraen. C'est c(s)ensé « aiguiser notre aptitude à s'adapter à des conditions inattendues ». Tu parles d'un baratin, hein ?! Mais participons quand même !
Libra : Eh bien, à t'entendre, cela mérite que l'on s'y intéresse ! Je serais ravi de t'aider.
Lissa : Youpi ! Alors, nous devons former un duo et aller trouver Daraen.
Libra : Un duo... Juste nous deux ?
Lissa : Oui, ce sont les règles ! Tout le monde forme un duo et cherche Daraen.
Libra : Puis-je te demander pourquoi tu m'as choisi comme partenaire ?
Lissa : Parce que tu es un RELIGIEUX, pardi ! Si jamais on tombe sur des fantômes... … je compte sur toi pour zigouiller ces andouilles avec tes prières.
Libra : On ne « zigouille » rien avec des prières, Lissa. De plus, je doute fortement que les âmes des défunts se mêlent de cet exercice. Il est important que tu comprennes que...
Lissa : Bla bla bla, et bla, et bla ! Allez ! Viens, avant qu'on nous gronde.
Libra : Pas... pas besoin de me traîner, Lissa ! J'arrive !

Soutien B

Lissa : Hé, je n'avais pas remarqué avant l'exercice l'autre jour, mais tu es VRAIMENT beau ! Ta peau est parfaite ! Tes cheveux sont parfaits ! C'est vraiment pas juste !
Libra : Pas... juste ?
Lissa : Et tu es grand, et gentil, et tu sens même très bon ! Tu rassembles en une personne tout ce que j'aimerais avoir... mais que je n'ai pas.
Libra : Tu possèdes pour ta part une foule de traits qui sont absents en moi, Lissa.
Lissa : Nomme-m'en un ! Ou plusieurs, si tu veux...
Libra : Tu es incroyablement expressive. Tu traites tout un chacun avec justesse et équité. Ta joie de vivre se propage à tous ceux qui t'entourent. Tu es fidèle à toi-même. C'est avec joie que j'échangerais mon apparence contre une telle beauté du cœur.
Lissa : Grmpf...
Libra : Quel est le problème, Dame Lissa ?
Lissa : Je suis EMBARRASSÉE ! Je ne m'attendais pas à tant de louanges !
Libra : Je m'excuse. Il semble que ta présence me conduit à parler très franchement. Un autre de tes traits positifs, maintenant que j'y pense.
Lissa : Hé, tu as souri ! C'est une chose rare.
Libra : Vraiment ?
Lissa : Mais oui !
Libra : On dirait que tu m'observes de près.
Lissa : Euh, je suppose que oui, maintenant que tu le dis. Je me demande pourquoi...
Libra : Si tu trouves la réponse, je serais ravi de l'apprendre.
Lissa : On en reparlera !

Soutien A

Lissa : Libra ?! Libra !
Libra : Lissa ? Pourquoi es-tu si pressée ?
Lissa : J'ai compris ! Je sais pourquoi je t'observais si scrupuleusement !
Libra : Oh ?
Lissa : C'est parce que tu ressembles à un fantôme !
Libra : Euh... plaît-il ?
Lissa : C'est bizarre ? Je me disais bien que c'était bizarre. Mais je me dis ça de temps de choses...
Libra : Qu'est-ce qui t'as donné l'impression que j'étais... fantomatique ?
Lissa : Je l'ai remarqué pour la première fois lors de l'entraînement où nous étions en duo. Par moment, tu m'as paru presque... transparent. Je veux dire... quelqu'un d'aussi grand et beau devrait toujours être frappant, non ? Et pourtant, j'avais l'impression que tu disparaîtrais si je te quittais des yeux. Et donc, ça m'a paru assez fantomatique, donc, euh... voilà, c'est tout. Pardonne-moi... Je sais que tout ça est insensé.
Libra : Peut-être, mais c'est très gentil de ta part de te faire du souci quant à ma disparition. Je suis vraiment flatté.
Lissa : Et toi, comment me vois-tu ? Allez, chacun son tour !
Libra : Tu es absolument rayonnante de vie ! L'exact contraire de moi-même.
Lissa : Ce n'est pas vrai du tout ! Bien que tu sembles pouvoir disparaître... … tu es l'une des personnes les plus pleines d'entrain que je connaisse !
Libra : Je suis certain que c'est la première fois que l'on me fait ce compliment.

Soutien S

Lissa : Libra ! Libra, tu es là ?
Libra : Aucune raison de s'inquiéter, Lissa. Je n'ai pas disparu.
Lissa : Pardon ! J'ai vraiment l'impression que tu pourrais te volatiliser à chaque instant.
Libra : Je ne peux que te promettre que je ne bougerai pas d'ici.
Lissa : Je sais, mais cela ne suffit pas. Je me fais quand même du souci tout le temps. Hmm... Je suppose que la seule solution serait de toujours rester à tes côtés.
Libra : Lissa ?
Lissa : Hein ? Oh, OH ! Non... Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire ! Je voulais juste...
Libra : Ah bon ? Quel dommage.
Lissa : Hmm ?
Libra : Car cela me comblerait que tu sois à mes côtés pour toujours, à veiller sur moi. Pour t'assurer que je ne disparaisse pas...
Lissa : Mais... Tu veux dire...
Libra : Voudrais-tu accepter ceci, Lissa ?
Lissa : Un anneau...
Libra : Non, une promesse. Reste auprès de moi tant que je respire... Veille sur moi et aide-moi à rester attaché à cette terre... Attaché à toi.
Lissa : Oh, oui, oui, OUI ! Je resterai à tes côtés jusqu'à (ce) que le soleil cesse de se lever !
Libra : Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu'à ce moment précis...

Pour Priam j'ai vu que quelqu'un avait déjà fais le C B A (http://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-24-
0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_1481
61)
alors je post la S et Linfan x Priam. Je n'ai pas MU H et Priam désolé. Pas avant longtemps.
Autre chose?

MU F X Priam

Soutien S

Priam: Daraen, es-tu là?
MU: oh, bonjour, Priam. Allons-nous à nouveau nous entrainer à l'épée?
Priam: Non. Je souhaitais te réitérer toute ma gratitude pour l'autre fois. J'ai un présent pour toi. Je l'ai trouvé dans le dernier village que nous avons visité.
Mu: cet anneau est magnifique, Priam! Un instant... S'agit-il d'une demande en...
Priam: Cela n'a aucune signification particulière! C'est uniquement pour te remercier. Je ne m'y connaus guère en accessoires féminins. je l'ai pris au hasard.
MU: Eh bien, tu as fait un très bon choix! Je le trouve très joli. Il a dû te coûter une fortune! n'est-ce pas exagéré pour un cadeau de remerciement?
Priam: ...
MU: Priam?
Priam: Diable, tu n'abandonnes jamais avec t'es questions? Très bien... C'est un cadeau de remerciement, mais aussi une marque de... ma grande estime. je suis entièrement dévoué à l'art du combat et la voie de l'épée. Pourtant, ces derniers temps, tu occupes chacune de mes pensées. Je crois que je suis amoureux.
MU: Tu es sérieux?
Priam: Évidement! Comment pourrais-je plaisanter sur un tel sujet?
MU: Mais... comment est-ce possible?
Priam: J'ai trouvé une nouvelle voie. Celle qui me lie à toi. Tu as été pleine d'égards tout en affichant une technique digne d'une fine lame. J'ai consacré toute ma vie entre tes mains.
Mu: Je suis flattée que tu me valorise autant que ton épée. C'est un véritable honneur, Priam. Ensemble, nous suivrons une nouvelle voie qui nous mènera encore plus loin.
Priam: Dois-je prendre cette réponse pour un oui? Elle m'aime! Youpi-douuu!
MU: Youpi-dou?
Priam: Je n'ai pas pour habitude de manifester ainsi ma joie... Mais en amour, il convient d'exprimer ses émotions. Toute autre démarche ne peut que nuire à la personne que l'on chérit.
Mu: décidément, tu as un cœur d'or, Priam!
Priam: Je... je préférerais qu'on aborde un autre sujet!

Priam: Notre amour donne un sens et un nouveau but à ma force. Le monde sera détruit bien avant que je ne laisse quiconque nous l'enlever.

Linfan X Priam

Soutien C

Linfan: Je me demande pourquoi je n'ai aucun souvenir de mon père. Tous les souvenirs que j'ai de ma mère sont si clairs, si nets... C'est un stratège hors pair et j'ai passé de longues heures à étudier avec elle... Mais rien du tout à propos de mon père. Un trou de mémoire total.
Priam: Bonjour, Linfan. Tout va comme tu veux?
L: Père! C'est incroyable! J'étais justement en train de penser à vous! Est-ce le destin?! Mais oui, forcément...! C'est notre destin en tant que famille! Oh non, attendez... Que disait mère déjà? "il n'y a pas de destin mais un lien invisible qui nous unit." Euh, oui. Désolé, donc. C'est pas le destin. C'est le fil, le lien invisible, euh... Le truc!
P: Vraiment?
L: Malgré mon amnésie, je me rappelle que nous sommes liés par un fil invisible. D'ailleurs j'y pense... Je me demandais comment j'ai pu vous oublier, père! Pensez-vous m'aider à récupérer ces souvenirs?
P: J'en serais ravi! Après tout, je...
L: Hourra! Merci beaucoup! Nous nous y attellerons très bientôt!
P: Eh bien... Quelle énergie...

Soutien B

Linfan: Père? Vous avez une seconde?
Priam: Bien sûr. Dis-moi.
L: Parfait! Alors commençons le projet "A la recherche des souvenirs du père perdus"! Phase une: découvrir comment récupérer mes souvenirs. J'ai essayé de me frapper la tête contre un mur de pierre... Mais rien ne s'est passé... Enfin, si, j'avais la tête qui tournait, mais je n'ai pu retrouver aucun souvenir enfoui... Qu'en pensez-vous, père? Dois-je me frapper la tête contre autre chose...?
P: Tu n'arriveras à rien en te cognant la tête à part à te la fêler... Pourquoi n'ésserais-tu pas plutôt de me fixer longuement?
L: Mais... C'est brillant! Vous êtes un génie! J'ai sûrement vu votre visage des millions de fois dans le futur! Je vais forcément me rappeler quelque chose si je vous fixe assez longtemps. Bon désolé d'empiéter sur votre espace comme cela, mais... Gnnnnn... ... ... Rhooo ça ne marche pas. Je ne me souviens de rien. C'est... C'est comme... Avez-vous déjà répété un mot jusqu'à ce qu'il se désagrège presque? Jusqu'à ce que vous doutiez de son orthographe, voire de son... existence? Et bien là, c'est pareil, sauf que je me demande: "Mais qui êtes vous...?"
P: Bon... Il faut peut-être essayer une autre approche...
L: C'est vrai que ce plan n'était pas aussi brillant que je ne le croyais... Mais je n'abandonne pas! Je persévérerai jusqu'à ce que je me souvienne de vous!

Soutien A

Linfan: *soupir* Toujours pas... Je perds la tête à force d'essayer de me souvenir de vous . je me sens si nul! Je suis, si... Snif! Pourquoi ne puis-je... *sanglots*
Priam: Hé, là... Reprends-toi un peu, Linfan...
L: Mais je sais que je devais vous aimer autant que j'aimais mère! Nous partagions sûrement des souvenirs par milliers, et je souffre de les avoir perdus. J'ai l'impression de vous trahir. De... De... *sanglots*
P: ...
L: Snif! Dé... désolé. Je crois que je me suis un peu laissé emporter... Gnn! Ma... Ma tête! Que...?!
P: Qu'est-ce que tu as?!
L: Je... je me suis souvenu de vous! Un tout petit souvenir, mais... je me suis souvenu. Vous me souriiez en disant en mon nom. Hé hé. Vous aviez l'air un peu plus âgé, aussi, mais c'était bien vous. Merci, père. Je n'y serais jamais parvenu sans votre aide. Fantastique! Si j'ai pu retrouver un de mes souvenirs, je peux retrouver les autres! Cela prendra du temps... Mais j'essaierai jusqu'à retrouver tous mes souvenirs liés à vous.
P: Et je ferai tout pour t'aider!
L: Oh, merci, père!

Virion X Palne

Soutien C

Palne : Il pleut. Pourtant le soleil brille… Étrange…
Virion : Un renard se marie ! C’est du moins ce que veut la légende… Poétique, n’est-ce pas ?
Palne : Je ne t’ai rien demandé, humain ! Et ne m’adresse pas la parole sans raison.
Virion : Et dire que j’ai cru qu’il s’agissait là d’un prélude naturel à une conversation civilisée.
Vous n’êtes pas la première à construire un mur autour d’elle…Et j’ai toujours réussi à les surmonter…
Palne : Je devrais vous empailler et vous afficher tel un trophée dans ma garenne !
Si votre but est de me provoquer, soit. Battons-nous et qu’on en finisse. Choisissez votre arme !
Virion : Un duel ? Que c’est romantique ! Mon arme, ma douce, seront les mots.
Je suis bien meilleur poète que guerrier de tout façon.
Palne : A votre guise.
Virion : Votre grâce, ma chère, est sans égale. Je vous prie, à votre tour.
Palne : Vous n’êtes qu’un vermisseau lubrique, dont les transgressions sont légendaires.
eous avez fui abandonnant à leur mort vos vassaux, pour les femelles !
La bile me monte dans la gorge à votre simple vue. Soyez maudit !
Virion : Hmm… J’aurais peut-être dû choisir les poignards après tout…
Palne : J’ai parlé. A votre tour… poète.
Virion : Hélas, je ne connais aucun mot qui puisse blesser une dame.
J’admets donc ma défaite et vous dis adieu.
Palne : Hmpf ! Avorton…

Soutien B

Palne : Vous…
Virion : Eh bien, eh bien… VOUS Virion :entamez une discussion avec MOI ?
Peut-être aurons-nous droit aujourd’hui à une averse de grêle… ?
Palne : Vous m’aviez dit ne pas être un guerrier.
Mais dans la dernière bataille, vous avez combattu avec courage. Vous avez menti.
Virion : J’ai juste dit que les mots étaient mon fort, Madame, non que je ne savais me battre.
Bien que jamais je ne prétendais être un vrai guerrier. Pas après… avoir démontré mon incapacité à protéger ceux auxquels je tenais.
Palne : Pourquoi avez-vous fui, humain ? Pourquoi avez-vous laissé votre garenne ?
Vous aviez un devoir envers les vôtres.
Virion : J’avais décidé de me rendre en échange de la sécurité de mon peuple.
Mes hommes ont refusé, préférant se battre et mourir plutôt que de m'abandonner.
Pire que d’échouer à les protéger, je leur ai donné une raison de continuer à se battre.
Palne : Ainsi vous avez préféré fuir et supprimer la raison de leurs résistance ?
Virion : C’était mon idée, en effet. Je n’attends pas qu’on la comprenne.
Pour eux comme pour vous, je suis un lâche.
Et quoique j’en dise, je ne peux me défendre face à cette réalité.
Palne : Je retire ce que j’ai dit, humain. Vous n’êtes pas un lâche.
Vous savez ce que c’est de perdre les siens. A cet égards, nous sommes semblables.
Virion : Certainement pas !
Palne : Je… Je ne comprends pas.
Virion : Mon peuple vit toujours et m’attend. C’est mon devoir et mon rêve de les sauver.
Mais vous n’avez plus même cela. Je ne pourrais considérer nos pertes égales.
Palne : Hmm… Est-ce de la pitié, humain ?
Virion : La pitié serait une insulte à une blessure aussi profonde que la vôtre, Madame.
Je ne peux que prier pour qu votre cœur ne succombe à celle-ci.
Palne : Je ne que faire de vos prières ! Mais j’acceptes vos paroles.

Soutien A

Palne : …
Virion : Que voyez-vous en cette nuit dans le reflet de la lune, ma douce dame ?
Palne : Que me voulez-vous poète ?
Virion : On raconte que pour les Tagüels les âmes des défunts retournent vers la Lune.
Palne : Exact. C’est pourquoi nous ne regardons jamais directement sa sainte face.
Virion : Fascinant… Et pour votre question, j’aurais besoin de votre aide pour… ceci.
Palne : Cette odeur… Du vin de mûres ?!
Virion : Tout à fait ! Alors, que diriez-vos de trinquer avec moi… à la Lune ?
Palne : Je suis surprise qu’un humain puisse comprendre ces goûts.
Virion : Les humains sont pleins de surprises… Vous joindrez-vous donc à moi ?
Palne : Volontiers. Alors… que ferez-vous quand cette guerre sera finie ?
Virion : Retourner à la mienne, bien sûr. Mon peuple en souffre toujours.
Palne : Ah oui… Votre… rêve, c’est bien ça ? Peut-être vous aiderai-je à le réaliser.
Pour vous remercier du vin…
Virion : C’est très… Merci, Madame. Eh eh…
Palne : Quel est donc ce gloussement ?! C’est répugnant !
Virion : Répugnant ? On m’a accusé de beaucoup de choses, mais ça, c’est une première !
Je suis simplement heureux à l’idée de retourner sauver mon peuple.
Et aussi plaisamment surpris que vous m’offriez votre aide…
Nos liens sont peut-être plus forts qu’ils n’y paraissent… hmm ?
Palne : Ou bien le vin.
Virion : Ah ! Trinquons à nouveau, voulez-vous ? A la paix à venir !

Soutien S

Virion : Ah, ma douce Palne…
Palne : Oui… ?
Virion : Si vous voulez bien me faire l’honneur de l’accepter, j’ai quelque chose pour vous.
Palne : N’est-il pas un peu tôt pour trinquer ? Peut-être pourrions-nous…
Un anneau ? Expliquez-vous !
Virion : Par cet anneau, je vous fais le serment de vous aimer à jamais, ma douce !
Palne : Vous êtes ivre.
Virion : Oui je l’avoue ! Ivre de votre beauté…
Mais l’heure n’est pas aux flatteries.
Vous avez généreusement offert de m’aider à réaliser mon rêve.
Mais mon rêve n’est pas le vôtre.
Je souhaite que vous ne puissiez en avoir un. Comme une lueur d’espoir vous guidant…
Palne : Et vous pensez pouvoir m’offrir cela ?
Virion : Oui même si je dois y laisser ma vie.
Palne : Comment votre mort pourrait-elle m’aider… Hein ? Qu’est-ce que… ?
Il pleut à nouveau sous le soleil…
Virion : Incroyable ! C’est un signe ! Les cieux eux-mêmes nous encouragent !
Palne : Il n’y a que vous pour voir en la pluie un bon présage.
Virion : Et pourtant, ma douce, c’est cette même pluie qui nous a d’abord rapprochés.
Voyez comme notre amour ému les cieux. La lune elle-même en pleure de joie !
Palne : Vous êtes fou… mais amusant.
Très bien, poète, j’accepte votre anneau.
Virion : La Lune et la pluie m’en soient témoins, jamais je ne vous abandonnerai, mon amour.

Virion / Maribelle

Soutien C

Maribelle : Virion ?
Virion : Oh, très chère ! Quel plaisir de me trouver ainsi en votre compagnie. Vos yeux, tels...
Maribelle : Calmez-vous, Virion... Une flatterie faite à la hâte n'a que peu de valeur. Si vous êtes vraiment noble, comme vous le prétendez... … vous devriez prêter attention à vos paroles ainsi qu'à vos actes. Car ils affectent votre image, mais aussi celle de tous les membres de la noblesse.
Virion : En ce cas, vous pourriez m'apprendre à entretenir une noble réputation ? Que dites-vous d'une première leçon autour d'un bon dîner, rien que vous et moi ?
Maribelle : Non ! Hors de question de m'acoquiner avec un personnage superficiel tel que vous.
Virion : Vos mots me blessent, ma chère ! Mon amour est sans limites, et je...
Maribelle : Cessez vos mensonges ! Vous aimez sûrement votre arc plus que moi, c'est dire.
Virion : Argh, vous me blessez à nouveau. Comment donc vous prouver ma sincérité, ma douce ?
Maribelle : Sachez déjà ceci : vos belles paroles ne seront certainement pas suffisantes.
Virion : Alors, je vous prouverai mon amour par mes actes... et vous m'aimerez, enfin ! Les bardes chanteront longtemps le début de notre belle histoire...
Maribelle : Si j'entends UN seul barde chanter cela, je lui plante une épée dans le gosier !

Soutien B

Virion : Et voilà où nous en sommes...
Maribelle : Quelque chose ne va pas, Virion ? On dirait que vous portez le poids du monde sur vos épaules...
Virion : Vous savez lire en moi, ma douce. Moi qui espérais tant vous cacher mes souffrances. Inutile de le nier davantage... Un poids terrible m'afflige à chacun de mes pas. Et vos yeux charmants ont eu tôt fait de le remarquer !
Maribelle : Hmm...
Virion : Cette guerre est prétexte à des complaintes excessives. N'êtes-vous pas d'accord ? « On ne peut pas porter autant d'arcs de rechange ! » « Je ne peux plus faire un pas de plus ! » « Avance, gros nigaud ! » J'ai dû opérer un repli individuel dans le seul but d'échapper à ces geignements...
Maribelle : C'est pour cette « raison » que vous n'avez pas été au front, lors du dernier combat ? Vous êtes fou, par tous les dieux ! Il faut vous soigner, Virion ! Et dire que je m'inquiétais de votre état... J'aurais mieux fait de m'abstenir.
Virion : Mais, mais ! Vous m'avez vu revenir sur le champ de bataille, à la toute fin ! C'était magnifique ! Tous les ennemis s'enfuyaient à la vue de ma personne !
Maribelle : Était-ce avant ou après que vous ayez été encerclé par un groupe d'ennemis ? Avant ou après que vous ayez paniqué et demandé à Chrom de vous sauver ?
Virion : Cela faisait partie de mon plan ! C'était un piège, et l'ennemi a mordu à l'hameçon ! On ne m'appelle pas « Virion le malin » par hasard, vous savez.
Maribelle : Vous êtes l'homme le plus bête et le plus malhonnête que j'aie jamais rencontré ! Et vous vous dites noble ? Peuh ! J'ai vu des femmes de chambre plus nobles que vous ! Monsieur, vous êtes une honte pour tous les aristocrates de ce monde.
Virion : Cela suffit ! Qu’on me dise superficiel, passe encore ! Mais bête ! Et malhonnête ! Je ne saurais tolérer un tel affront ! Votre beauté délicieuse cache une jolie langue de vipère... Las ! Ce n'est cependant pas la première fois que je suis ainsi blessé par les mots.
Maribelle : Je suis désolée, Virion... J'ai été un peu dure avec vous, je le concède.
Virion : Voulez-vous bien m'excuser ? Je dois m'isoler pour m'adonner à la réflexion.
Maribelle : Non, attendez ! Ne partez pas ! Je ne pensais pas ce que j'ai dit ! Du moins, pas TOUT ce que j'ai dit... !

Soutien A

Maribelle : Bonjour, Virion. Je ne vous ai pas beaucoup croisé, depuis notre dernière conversation. Comment vous portez-vous ?
Virion : Plutôt bien. Je suis assez occupé par des tâches on ne peut plus nobles. Vous savez, pour maintenir ma réputation, et celle de toute la noblesse...
Maribelle : Virion, je voulais vous dire, à propos de l'autre fois...
Virion : Je dois vous quitter, j'en ai peur. Mes excuses.
Maribelle : Oh, euh, bien sûr, je vous en prie. Mais... on dirait que vous n'êtes pas vous-même, ces temps-ci. Vous semblez fatigué.... Je préférais l'ancien Virion et son dynamisme sans pareil.
Virion : Mademoiselle... Quand vous m'avez qualifié de superficiel et de malhonnête... J'avoue que cela m'a fait réfléchir. Ne faisais-je pas honneur à la noblesse ? Que pouvais-je faire pour m'améliorer ? En tout cas, toutes ces réflexions sur mon comportement m'ont exténué. Je ne mange presque plus, je maigris à vue d’œil... Si je réfléchis un peu plus, j'ai bien peur de finir par m'évaporer, tout simplement.
Maribelle : Ha ha !
Virion : Le dédain ne vous sied guère, ma chère.
Maribelle : Mes excuses, Monsieur. Je vous le jure, je ne m'amuse pas de vos ennuis. Mais tout cela est bien drôle... Car vous m'avez déjà prouvé que j'avais tort, sans le savoir !
Virion : Je ne suis pas certain de comprendre, ma douce...
Maribelle : J'ai dit que vous étiez superficiel et malhonnête. Une honte pour la noblesse... Mais vous êtes ici, devant moi, à vous demander si vous êtes digne de votre titre ! Et cet acte d'introspection prouve que vous l'êtes, justement !
Virion : Vraiment ? Oh, quel soulagement ! À présent, je dois... aller... à l'auberge...
Maribelle : À l'aide ! Au secours ! Virion s'est évanoui !
Virion : Pardonnez-moi. Je n'ai rien mangé de la journée, et j'avais la tête qui tournait....
Maribelle : Vous vous êtes évanoui à cause de la FAIM ? Et moi qui m'imaginais une blessure mortelle récoltée au combat !
Virion : Il me faudrait un peu de jambon... Du pain... Et une pomme ou deux...
Maribelle : Vous êtes incroyable, Virion, et pas seulement dans le bon sens du terme. Dites-moi, au lieu d'aller à l'auberge, ne voudriez-vous pas déjeuner avec moi ? Un peu plus tôt, j'ai attrapé un sanglier qui devrait être excellent, cuit à la broche.
Virion : Ce serait un honneur de le partager avec vous, ma chère...

Soutien S

Virion : Ah, ma belle Maribelle...
Maribelle : Hmm ?
Virion : Je voulais vous remercier. Ce petit sanglier était à point. Que dis-je... ? Il était divin.
Maribelle : Mais je vous en prie, Virion. Après tout, nous sommes amis, n'est-ce-pas ? Et j'ai aimé écouter vos histoires. Surtout quand vous racontiez la fois où vous étiez... … perdu dans votre propre château ! Je sais exactement ce que ça fait, croyez-moi !
Virion : Il semble que nos titres de noblesse nous confèrent bien des points communs... Au prochain repas nous pourrions peut-être parler de choses... plus romantiques ?
Maribelle : Et voilà que vous recommencez avec vos histoires ! Alors même que je commençais à avoir une opinion positive de vous... J'espère bien que vous ne me décevrez pas à nouveau...
Virion : Je ne plaisante pas, je vous l'assure. Et ceci devrait prouver ma sincérité.
Maribelle : Un... anneau ? Mais, pourquoi ?
Virion : J'ai toujours été votre plus fervent admirateur, ma chère et tendre. Quand je vous ai dit que mon amour était sans limites, c'était vrai... Quand vous avez douté de moi, j'ai dû faire face à une crise d'introspection. Depuis, je lutte toujours plus pour vous prouver que je suis sincère.
Maribelle : Vous avez réfléchi au point de vous évanouir... par amour pour moi ? Oh, Virion, je ne puis imaginer plus belle preuve de galanterie !
Virion : En effet, c'était plutôt... galant. Maintenant que vous le dites. Et les dieux ont exaucé mes prières, car nous sommes désormais amis. Mais ce n'est pas assez ! Je ne peux être plus qu'un simple ami. Je veux être votre compagnon... Non, votre mari !
Maribelle : Eh bien... Vous ne me laisserez pas tranquille si je refuse... J'en suis sûre. Très bien, galant homme. J'accepte votre anneau.
Virion : V... Vous le pensez vraiment ?!
Maribelle : Depuis le temps, vous devriez savoir que je pense toujours ce que je dis. Mais si nous marions, mon bonheur devra passer avant tout. Entendu ?
Virion : Oui, j'accepte, de tout mon être, de tout mon cœur ! Et quand cette horrible guerre sera finie, vous viendrez vivre chez moi ! Et nous y ferons une fête qui rendra jaloux les aristocrates du monde entier !
Maribelle : Ah non, je ne crois pas ! Nous devrons nous marier chez moi... Ma famille n'a pas d'héritier mâle, et mon père insistera pour vous adopter.
Virion : Quoi ?! Vous voulez me faire jouer le rôle du beau-fils doux et obéissant ?! Euh, je veux dire... Bien sûr... Si c'est votre souhait, j'en serais honoré... Ha ha ha ! Ha ha. Haaa... Hmm.

Priam/MU (F)

Soutien C :

MU : Bonjour, Priam. Qu'est ce que tu fait ici ?
P : Recule si tu tiens à la vie. Je m’entraîne avec une vraie épée !
Un demi-pas en arrière, et... Je frappe! YAAAAAAAAAH!
MU : Impressionnant !
Tu t'es servi de toute ta force pour porter cette attaque. Ta posture était parfaite.
P : Tu avais quelque chose à me dire ?
MU : Nous pratiquons des exercices avec une formation inédite. Veux-tu nous rejoindre ?
P : Mon but est de parfaire ma technique tel un loup solitaire isolé de sa meute.
Aucun adversaire ne doit être en mesure de me battre sur le champs de bataille.
Tant qu'il est en ainsi, ces chorégraphies de groupes ne m'apportent rien !
MU : Le dépassement de soi est une qualité admirable chez un guerrier.
Il est toutefois de mon devoir de créer une armée unie et efficace.
P : Je ne cherche pas à te discréditer. Mais je souhaite qu'on me laisse choisir ma voie.
MU : La technique individuelle a son importance. Je devrait peut-être y travailler.
P : Nul ne peut prétendre s'aventurer au front sans la préparation physique adéquate.
MU : Dans ce cas, aurais-tu l'amabilité de m’entraîner au combat ?
P : tu souhaite être mon élève ?
MU : Pourquoi pas ? Nul ne remet en question ta supériorité sur le champ de bataille.
P : Soit. je te laisse suivre mon entrainement. Je tacherai de te guider au mieux.
MU : J'ai hâte de commencer notre première leçon, Maître Priam.

Soutien B

MU : Maître Priam, pourrait-on parfaire ma technique à l'épée, aujourd'hui ?
P : A condition que tu cesse de m'appeler "Maître" . Priam suffit amplement.
MU : C’était une belle trouvaille pourtant... Alors, par quoi allons-nous commencer ?
P : Par le maniement de l'épée. Dégaine ton arme. Admire son éclat.
Une épée n'est pas un outil grossier que l'on brandit à tort et à travers.
Il faut faire appel aux énergies qui nous entourent afin de guider notre lame.
MU : Les énergies qui nous entourent ? Vous parlez de magie ?
P : Non, il est question de tout autre chose.
Il n'est pas aisé de appréhender au début, mais on ressent cette énergie par la suite.
A condition d'abattre les barrières de l'esprit qui entravent la conscience de soi.
MU : Hmm, tout ce que tu viens de me dire frise l'ésotérisme... J'ai du mal a te suivre.
P : Nous sommes tous en mesure de canaliser cette force. Toi y compris.
Tu devras pour cela te laisser guider et te dévouer corps et âme a ton entrainement.
MU : Tu ne trouveras pas plus dévouée que moi !
P : Dans ce cas, nous pouvons commencer.

P : Balsien.
MU : Bonjour, Priam.
P : Aurais-tu par hasard aperçu des affaires m'appartenant ?
MU : Je suis désolée. J'ai oublié de te le dire.
P : Quoi donc ?
MU : Tes affaires étaient dans un piteux état.
J'ai donc décidé de les brûler pour éviter une épidémie.
P : Tu as brûler mes affaires ?! Quelles... Quelles affaires?
MU : Uniquement tes sous-vêtements. Le mot "savon" ne t'est guère familier, on dirait.
Mais je t'ai acheté de jolis caleçons a carreaux ! J’espère qu'ils te conviendront...
P : Hmm, il... Il n'y (a?) pas de raison... Mais... Pourquoi avoir fait cela ?
MU : Eh bien, tu passe tellement de temps à m'enseigner des techniques à l'épée...
Il fallait bien trouver une façon de te remercier.
P : Je voit. Ce n’était pas nécessaire... Je suis capable de m'acheter un caleçon tout seul.
MU : Tu ne serait pas en train de rougir, Priam ?
P : Rougir ? Moi ? Quelle idée !
Je suis un épéiste d'exception. rien ne peut me perturber. Absolument rien !
MU : tu mens bien mal ! Tu es rouge comme une tomate ! Je ne m'attendais pas a voir ça !
P : Si... Silence ! Je ne rougis pas, d'accord ? Bien, je dois m'en aller...
Et... Merci pour les sous-vêtements. Tu... Tu as un goût exquis !
MU : Ça alors ! Je ne lui connaissais pas cette vulnérabilité !

Soutien S

Priam: Daraen, es-tu là?
MU: oh, bonjour, Priam. Allons-nous à nouveau nous entrainer à l'épée?
Priam: Non. Je souhaitais te réitérer toute ma gratitude pour l'autre fois. J'ai un présent pour toi. Je l'ai trouvé dans le dernier village que nous avons visité.
Mu: cet anneau est magnifique, Priam! Un instant... S'agit-il d'une demande en...
Priam: Cela n'a aucune signification particulière! C'est uniquement pour te remercier. Je ne m'y connaus guère en accessoires féminins. je l'ai pris au hasard.
MU: Eh bien, tu as fait un très bon choix! Je le trouve très joli. Il a dû te coûter une fortune! n'est-ce pas exagéré pour un cadeau de remerciement?
Priam: ...
MU: Priam?
Priam: Diable, tu n'abandonnes jamais avec t'es questions? Très bien... C'est un cadeau de remerciement, mais aussi une marque de... ma grande estime. je suis entièrement dévoué à l'art du combat et la voie de l'épée. Pourtant, ces derniers temps, tu occupes chacune de mes pensées. Je crois que je suis amoureux.
MU: Tu es sérieux?
Priam: Évidement! Comment pourrais-je plaisanter sur un tel sujet?
MU: Mais... comment est-ce possible?
Priam: J'ai trouvé une nouvelle voie. Celle qui me lie à toi. Tu as été pleine d'égards tout en affichant une technique digne d'une fine lame. J'ai consacré toute ma vie entre tes mains.
Mu: Je suis flattée que tu me valorise autant que ton épée. C'est un véritable honneur, Priam. Ensemble, nous suivrons une nouvelle voie qui nous mènera encore plus loin.
Priam: Dois-je prendre cette réponse pour un oui? Elle m'aime! Youpi-douuu!
MU: Youpi-dou?
Priam: Je n'ai pas pour habitude de manifester ainsi ma joie... Mais en amour, il convient d'exprimer ses émotions. Toute autre démarche ne peut que nuire à la personne que l'on chérit.
Mu: décidément, tu as un cœur d'or, Priam!
Priam: Je... je préférerais qu'on aborde un autre sujet!

Priam: Notre amour donne un sens et un nouveau but à ma force. Le monde sera détruit bien avant que je ne laisse quiconque nous l'enlever.

HS

Je le recopie uniquement pour ma MAJ afin de tout avoir dans un post, Sanina. Et je te dis ce qu'il reste à faire dans le prochain post. Je vais me focaliser sur les soutiens impliquant que la génération 1 car on approche vraiment du but.

Comme promis, je vous donne dès à présent les soutiens de la génération un qui manquent. On y est presque.

"OK" : tous les soutiens de la G1 sont faits

Soutiens manquants

Chrom : OK
Lissa : Daraen(femme), Maribelle, Henri
Frederick : OK
Sully : Daraen(homme)
Virion : Daraen(homme), Olivia, Zelcher
Stahl : Daraen(homme)
Miriel : Daraen(femme), Gaius, Gregor, Libra, Zelcher, Henri
Sumia : OK
Kellam : OK
Lon'zu : OK
Ricken : Daraen(homme), Palne, elcher, Henri
Maribelle : Daraen(femme), Lissa, Gregor, Olivia, Henri, Donnel
Palne : Daraen(femme), Ricken, Gregor, Libra, Olivia, Zelcher, Henri
Gaius : Daraen(homme), Miriel, Olivia
Cordelia : OK
Gregor : Daraen(homme), Miriel, Maribelle, Palne, Zelcher
Nowi : Zelcher, Henri
Libra : Daraen(homme), Miriel, Palne, Olivia, Zelcher
Tharja : OK
Olivia : Daraen(femme), Virion, Maribelle, Palne, Gaius, Libra
Zelcher : Daraen(homme), Daraen(femme), Virion, Miriel, Ricken, Gregor, Nowi, Libra.
Henri : Daraen(homme), Lissa, Miriel, Ricken, Maribelle, Palne, Nowi
Donnel : Daraen(homme), Miriel, Maribelle, Palne, Olivia, Henri
Anna : Daraen(femme)

Je vous remercie de faire, en priorité, ces soutiens pour ceux qui veulent en poster. La liste peut paraître longue, mais si on s'y met à plusieurs, on peut la terminer. Merci à tous de contribuer, il restera plus que les soutiens avec les enfants et entre enfants + Perso Spotpass + Flavia,Basilio et Sayri que j'ai pas mis là.

Ca m'intéresse pas .

Non, je déc', j'essaierais (J'ESSAIERAIS) de taper un soutien, mais ça va être très très dur, désolée.

Mais j'adhère à ta cause !

J'te fais Henry et Ricken ce mercredi.

Il manque Virion-Avatar M ?
Je m'en occuperai Peut-être .

J'ai Basilio X Flavia, Donnel X Miriel, Nowi X Zelcher, Henry X Maribelle, Gregor X Palne et Daraen (h) x Sthal aussi

J'ai Lissa : Avatar F
Sully : Avatar M
Virion : Avatar M
Stahl : Avatar M
Ricken : Avatar M
Maribelle : Gregor, Libra
Palne : Avatar F
Gaius : Avatar M
Gregor : Avatar M
Donnel : Avatar M

Faudrait que j'enregistre ça tout d'un coup pour toi ^^

Lissa & Henry

Soutien C

Lissa : *bâille* Oooaaaoooaooaah...
Henry : Euh... Tu dors bien, Lissa ? Tu as vraiment l'air épuisée...
Lissa : Oh je suis exténuée ! J'ai vraiment du mal à dormir, ces derniers temps...
Henry : Tu dois te reposer ou il finira par t'arriver des bricoles sur le champ de bataille !
Lissa : Je le sais bien... Mais quand je me couche, je pense à la prochaine bataille... Et puis je me met à penser à Emmeryn, et puis... Aaah ! J'en ai assez ! Assez du chagrin ! Assez du dueil ! Assez des gens qui meurent ! Même nos ENNEMIS, j'en ai assez qu'ils meurent. Henry... Je suis épuisée.
Henry : Pourtant, c'est dans l'ordre des choses. Il n'y a pas de guerre sans morts... Sauver la vie de ceux que tu aimes implique de prendre celle de ceux d'en face.
Lissa : Ma tête le sait, mais mon cœur, c'est une autre histoire... J'aimerais être aussi endurcie que toi, je n'en peux plus de ces nuits blanches !
Henry : Hi hi hi ! Je peux t'aider, si tu veux ! Attends un peu, et je te promets que tu dormiras comme un bébé !
Lissa : Eh bien... Je donnerai n'importe quoi pour une bonne nuit sans cauchemars...
Henry : Tu peux compter sur ce bon vieux Henry !

Soutien B

Henry : Alors, Lissa ? Ces insomnies ?
Lissa : FINIES ! Dès que je ferme les paupières, je dors comme une souche. Je ne sais pas ce que tu as fait, mais ça a complètement fonctionné !
Henry : Hi hi hi ! je n'ai fait qu'utiliser un peu de magie spéciale « bonne nuit » ! La version non mortelle, bien sûr...
Lissa : Vraiment ? Oh, merci, Henry.
Henry : C'est toujours un plaisir d'utiliser mes sorts pour le bien !
Lissa : Oh... C'était un sort ? J'espère que ce n'est pas dangereux à long terme... Et n'est-ce pas trop de travail pour toi de faire ces rituels toutes les nuits ?
Henry : Oh, le plus dur, c'est de trouver à chaque fois de nouvelles victimes à sacrifier...
Lissa : HEIN ?!
Henry : Oui ! Mais ne t'inquiètes pas, en général, ce ne sont que des oiseaux.
Lissa : Mais ARRÊTE ! Tu ne peux pas tuer de pauvres petits oiseaux pour moi ! Je préfère être insomniaque que de vivre avec cette culpabilité !
Henry : D'abord tu ne veux pas que les alliés ou les ennemis ne meurent. Maintenant les oiseaux... Tu es vraiment bizzare, Lissa.
Lissa : C'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité ! En tout cas, je trouverai une autre solution, alors plus de sorts ! Compris ?!
Henry : Oui, chef !

Soutien A

Henry : Oh... Tu as vraiment l'air dans le potage, Lissa. Tu as toujours du mal à t'endormir ?
Lissa : Oooaooaah... Oui... Et plus j'y pense, plus cela empire.
Henry : Tu es vraiment sûre de sûre que tu ne veux pas un petit sort pour régler ça ? À ce rythme, tu vas y laisser ta santé. Il faut que tu te reposes !
Lissa : Ça va aller, Henry... Mais c'est gentil de ta part de proposer.
Henry : Hi hi hi ! Moi ? Gentil ? On ne me l'avait jamais faite celle-là ! C'est toi qui souhaites tout le temps éviter la mort de tout le monde. Je ne sais vraiment pas comment tu fais. Moi, je ne tiendrais pas une semaine !
Lissa : Hé hé, merci. Tu me fais rougir... Ou bien c'est peut-être juste... ma tête qui tourne...
Henry : Oh ! Lissa !
Lissa : Dé... Désolée... J'ai perdu l'équilibre... Merci de m'avoir retenue, Henry.
Henry : Pas de souci, je suis là pour ça !
Lissa : Mmm... Tu es si chaud... et confortable... Je pourrais... facilement... Zzzzzzz...
Henry : Euh... Lissa ? Hi hi hi ! On dirait que je ne vais pas pouvoir bouger pendant un moment. Je crois que je... *bâille* Je crois que je vais aussi faire une sieste...

Soutien S

Lissa : Dis-moi Henry...
Henry : Tiens ! Bonjour, Lissa ! Tu as encore besoin de moi comme oreiller ?
Lissa : Ha ha ! Si ça ne te dérange pas...
Henry : Pas du tout !
Lissa : Tu es si chaud et confortable. Merci de me supporter à chaque fois.
Henry : Hé, J'y trouve aussi mon compte, tu sais ? Je pourrais être ton oreiller pour la vie ! Enfin, je veux dire... Si tu voulais... ?
Lissa : Attends, tu ne serais pas en train de...
Henry : Marions-nous ! Hi hi hi !
Lissa : C'est fou...
Henry : Quoi, tu ne veux pas ? Je croyais que ça t'intéresserait autant que moi...
Lissa : Non, non ! Ce n'est pas comme si je n'avais pas envie ! Je t'aime beaucoup, Henry. C'est juste que... Je ne sais pas, tu dis ça comme si tu achetais des légumes. Tu aurais pu créer ne petite ambiance romantique, d'abord...
Henry : Oh, je ne fais pas trop dans le romantique, tu sais. Le macabre, par contre... Enfin, j'ai quand même un anneau pour toi. Est-ce que ça te va ?
Lissa : Ça me va parfaitement.
Henry : Youpi ! Alors, tiens ! C'est pour toi !
Lissa : Merci, Henry. Avec toi, je sais que je ferai de beaux rêves toute ma vie.
Henry : J'ai déjà l'impression de rêver !

Si tu peux le faire, Soka, merci.

Daraen(homme) / Stahl

Soutien C

Daraen : Hmm, qu'est-ce qui lui ferait vraiment plaisir... Peut-être une épée ? Mais non, qu'est-ce que je dis... Il a déjà la meilleure épée du monde !
Stahl : Bonjour, Daraen ! Tu réfléchis à un cadeau d'anniversaire pour Chrom ?
Daraen : Oui, en effet. Tu es perspicace.
Stahl : Ha ! Ce n'était pas bien difficile à deviner !
Daraen : Acheter un cadeau à une tête couronnée est suffisamment compliqué en temps de paix... Mais là, il devrait être facile à transporter, pas trop coûteux, ni trop tape-à-l'œil...
Stahl : Oui, il vaudrait mieux que cela ne soit pas clinquant. Chrom n'a jamais été amateur. Moi, je pensais lui préparer une concoction spéciale.
Daraen : Tu veux dire, une potion ? Je ne savais pas que tu t'y connaissais.
Stahl : Mon père est apothicaire, il m'a beaucoup appris.
Daraen : Les cadeaux que l'ont fait soi-même sont les meilleurs. Si seulement j'avais ce talent.
Stahl : Tu sais... Mes ingrédients sont chers et difficiles à trouver dans la nature...
Daraen : Hmm... Et si je t'aidais à te les procurer ?
Stahl : Ce serait parfait ! Ainsi le cadeau pourrait être de notre part à tous les deux !
Daraen : Et ça réglerait nos deux problèmes d'un seul coup.
Stahl : Très bien ! Marché conclu !

Soutien B

Daraen : Chrom a beaucoup aimé le cadeau, Stahl ! Merci de m'y avoir fait participer.
Stahl : C'est plutôt moi qui devrais te remercier ! Sans toi et ton gros porte-monnaie, je n'y serais jamais arrivé.
Daraen : Ha ha ! Tu crois vraiment que je vais gober tes histoires ? Tu m'as sorti du pétrin, en prétendant que c'était moi qui te rendais un service. Je ne sais pas comment tu fais, mais je te suis tout de même reconnaissant !
Stahl : J'ai toujours été doué pour lire les intentions des gens. Quand j'étais petit, je savais ce que les gens pensaient avant même qu'ils le disent. C'est mon seul talent !
Daraen : C'est mieux que d'être totalement fermé vis-à-vis des gens autour de soi ! Avoir de l'empathie est une grande qualité.
Stahl : Je ne sais pas si c'est de l'empathie, j'ai juste des facilités à deviner les intentions. Si tu savais le nombre de pensées qui apparaissent clairement sur un visage...
Daraen : Et tu peux toujours lire ces pensées ?
Stahl : Absolument !
Daraen : Alors tu possèdes un talent remarquable !
Stahl : Ha ha ! Pas du tout, c'est juste l'instinct de survie d'un homme normal.
Daraen : Pouvoir lire les pensées en observant le visage et les gestes, c'est quasi magique. Sur le champ de bataille, tu dois toujours être en avance sur tes adversaires.
Stahl : Hmm... Je suppose que cela a dû me sauver la vie une ou deux fois, en effet.
Daraen : Exactement comme tu as lu mes pensées quand je cherchais un cadeau pour Chrom !
Stahl : Euh... En réalité, tu parlais tout seul... Très distinctement, même...
Daraen : Je faisais ça ?! Vraiment ? Oh là là...

Soutien A

Stahl : *soupir*
Daraen : Qu'est-ce qui ne va pas, Stahl ?
Stahl : C'était censé être un soupir de soulagement. Des amis se sont disputés, mais j'ai réussi à les apaiser.
Daraen : Tu fais toujours ce genre de choses, n'est-ce-pas ? Résoudre les problèmes. Nombreux sont ceux qui ne s'occupent que de leurs affaires, mais pas toi.
Stahl : Cela m'arrangerait aussi. Les gens contrariés me rendent mal à l'aise. Quand je vois des amis se disputer, mon premier réflexe est d'essayer de les calmer.
Daraen : Ha ! Et maintenant tu agis avec humilité et tu refuses les compliments...
Stahl : Désolé. Est-ce que ça t'embête ?
Daraen : Non, ça ne m'embête pas, mais tu devrais te mettre un peu plus souvent en avant. En me disant par exemple qu'aujourd'hui, c'est ton anniversaire.
Stahl : Oh ! Tu es au courant ?
Daraen : J'ai demandé autour de moi. Mais si nous étions amis, je n'aurais pas eu à le faire ! La guerre fait rage, mais ça ne veut pas dire qu'on ne doit pas s'amuser, parfois.
Stahl : Je suppose...
Daraen : Tu passes tant de temps à t'occuper des autres... Quelqu'un doit s'occuper de toi. Et j'ai décidé que ce quelqu'un, ce serait moi ! Alors, tiens... Je t'ai fait des gâteaux aux figues confites pour fêter ton anniversaire.
Stahl : Merci, Daraen ! Tu es un véritable ami !

Miriel & Libra

Soutien C

Vieil homme : Merci, Libra. Vos mots ont chassé les nuages de mon esprit embaumé.
Libra : C'est la plus belle que l'on puisse me dire, mon enfant.
Miriel : ...
Vieil homme : Les parabols que vous avez racontées m'ont donné une nouvelle perspective... Grâce à vous, j'ai retrouvé espoir... Je ne sais comment vous remercier.
Libra : Le chemin est semé d'embûches, mais l'espoir vous aidera à y faire face...
Miriel : ...
Libra : Tiens... Que fais-tu ici, Miriel ?
Miriel : Je t'observais.
Libra : Tu veux dire que tu écoutais ma conversation ? J'ai bien peur que cela ne constitue pas un sujet d'étude si intéressant que ça. Je ne fais que partager des histoires d'Ylisse avec les villageois qui le souhaitent
Miriel : Se sont-ils montrés réceptifs en écoutant ces récits ?
Libra : Oui, je pense que la foi trouvera son chemin dans leur cœur. Cet enseignement les aura guidés, comme une lueur d'espoir en ces temps obscurs. Puisse la foi également nourrir leur esprit, en ces temps de famine.
Miriel : Si ces enseignements sont positifs... Pourquoi ne pas les partager avec davantage de gens ?
Libra : Eh bien, si c'était possible, je les partagerais avec la terre entière ! Mais pourquoi cette question, Miriel ?
Miriel : Selon ce que j'observe, tes méthodes sont grandement inefficaces... C'est frustrant.
Libra : Inefficaces ?
Miriel : Oui. Tu dois réunir l'auditoire, choisir un lieu, propager le message... Bref... Une approche scientifique te permettrait d'obtenir de biens meilleurs résultats.
Libra : C'est possible, mais je n'ai pas...
Miriel : Je propose d'analyser la situation de façon plus poussée... afin d'élaborer à terme un schéma théorique approprié. Mais en l'absence de données empiriques, tu pourrais douter des résultats obtenus... C'est pourquoi j'implémenterai ensuite ces résultats de manière pratique.
Libra : Je n'ai pas tout compris...
Miriel : Je te prouverai que tes actions peuvent être plus efficaces. Cependant, je ne pense pas être apte à dispenser les enseignements ylissiens... Pour cette tâche, j'aurai besoin de ton aide. Mais c'est moi qui déciderai des méthodes. Et maintenant, si tu veux bien m'excuser, je vais de ce pas commencer mon étude.
Libra : Attends, Miriel, je... Hmm, cela n'augure rien de bon...

Soutien B

Miriel : Bonjour, Libra. Je peux désormais partager les résultats de mon analyse avec toi.
Libra : Ah oui, c'est vrai... Tu parles de ton étude pour élargir mon champ d'action, hein ?
Miriel : Précisément. J'ai pu isoler des aspects méthodologiques essentiels. D'abord, le lieu doit pouvoir accueillir assez de monde, et être aisément accessible. Il faudra communiquer à l'avance les détails de l'événement aux villages voisins. Et quand tu prendras la parole, ta voix sera amplifiée avec de la magie de vent. Donc pour le prochain...
Libra : Un instant, Miriel.
Miriel : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Libra : Tu veux rassembler une foule de gens pour que je leur parle à tous en même temps ?
Miriel : Tout à fait. Tu pourras ainise réduire tes efforts et le temps que tu y passeras.
Libra : Mais un tel système ne me permettra pas de m'adresser à chacun individuellement.
Miriel : Trop inefficace. Répéter le même discours à chacun équivaut à une perte de temps. Leur parler à tous en une seule fois, voilà une méthode bien efficace !
Libra : Certes, c'est plus efficace en terme de temps et d'efforts, mais pas si je...
Miriel : Ma méthode est infaillible. Nul besoin de faire évaluer cette étude par des pairs.
Libra : Très bien... Si tu es si sûre de toi, pourquoi ne pas essayer... ?
Miriel : Formidable. Je te prouverai ainsi la supériorité de me méthodologie.

Soutien A

Miriel : La théorie est tout à fait correcte, et pourtant...
Libra : Quelque chose ne va pas, Miriel ?
Miriel : Le taux d'assistance à tes rassemblements religieux est en nette baisse. C'est ce que j'ai observé, et les registres le confirment également.
Libra : Oui, je l'avais remarqué.
Miriel : Pourtant, mon plan était théoriquement infaillible... J'ai réexaminé toutes mes hypothèses, et elles sont toutes sensées, en principe. Mais les registres ne mentent pas...
Libra : Eh bien, peut-être as-tu oublié de prendre en compte un facteur essentiel ?
Miriel : Quel facteur ?
Libra : Le cœur humain. Ne te méprends pas. Je na'ai jamais eu autant d'oreilles attentives... Et c'est grâce à ta méthode. Mais les mots s'arrêtent au niveau de l'oreille... Ils ne semblent pas atteindre le cœur.
Miriel : Serait-ce un problème d'amplification peut-être ?
Libra : Non, cela n'a rien à voir avec l'acoustique. Chaque inidividu a ses raisons de prêter attention aux enseignements ylissiens. Si je limite mes sermons à des vérités générales, leur portée sera limitée. Pour toucher un individu, il faut adapter le sermon à des éléments de sa propre vie.
Miriel : Un postulat très logique. Peut-être ai-je été un peu trop aveuglée par mes recherches... Mais... savais-tu dès le départ que ma méthode allait mener à un échec ?
Libra : Je me doutais du moins que cela allait s'avérer... très difficile, oui.
Miriel : Alors, pourquoi avoir accepté d'organiser ces grands rassemblements ? Ou peut-être as-tu refusé, mais j'étais trop têtue pour écouter tes objections ?
Libra : Il y a peut-être un peu de ça. Mais je me disais surtout que ton plan pourrait avoir d'autres effets positifs...
Miriel : Ah ? Et cela a fonctionné ?
Libra : Oui, bien sûr que oui ! Cela m'a permi de rencontrer bien plus de gens que si j'avais agi tout seul !
Miriel : Hmm, étrange.
Libra : Mes méthodes étaient devenues trop rigide... Tu m'as permis de voir cela. Et ton travail a été utile puisque j'ai rassemblé beaucoup plus de gens. Mais je dois continuer ces efforts à un niveau plus personnel, avec chacun.
Miriel : Cette assertion me semble tout à fait valable.
Libra : Ravi que tu sois de cet avis. Bien. Je te prie de m'excuser, je vais commencer à prêcher « individuellement ».
Miriel : Pas de problème. N'hésite pas à faire appel à moi si tu as besoin d'aide...

Soutien S

Miriel : Le rassemblement d'aujourd'hui a-t-il été un succès ?
Libra : Absolument. Je voudrais te remercier pour ton aide, Miriel.
Miriel : Je suis heureuse d'avoir pu rendre service. Et cette expérience a également porté ses fruits pour moi-même.
Libra : Vraiment ? Qu'as-tu appris ?
Miriel : Que l'efficacité d'une théorie systémique est directement proportionnelle... à la motivation de celui qui en fait usage. C'est un postulat scientifique bien connu, mais j'ai pu l'apprendre par l'expérience.
Libra : À la manière d'une parabole...
Miriel : Cette expérience a éveillé ma curiosité ; je voudrais mieux comprendre le cœur humain. Ainsi, je pourrai plus facilement mettre mes théories en pratique.
Libra : Dans ce cas, peut-être pourrais-tu sonder mon cœur, pour commencer ?
Miriel : Je n'avais pas prévu de le faire, à dire vrai.
Libra : Alors, ce cadeau te fera sûrement changer d'avis...
Miriel : Oh... Un anneau. S'agirait-il d'une demande en mariage ?
Libra : Sonde ton propre cœur, Miriel. Qu'y trouves-tu ?
Miriel : De l'étonnement et de la joie, à des niveaux parfaitement égaux.
Libra : Ces éléments te pousseraient-ils à accepter cet anneau ?
Miriel : La somme de tous ces éléments induit indubitablement à une réponse affirmative. Mais c'est fort curieux. Ces sensations bien réelles semblent difficilement explicables...
Libra : Je vois. Tu as tout intérêt à mener une étude bien plus approfondie... Pour ce qui est de l'amour, avec moi, tu ne manqueras jamais de données à analyser !

Toujours bon pour Flavia/Basilio ? Je le copie la ^^

Flavia et Basilio

Soutien C

Basilio : Tiens, tiens ! Mais qui est cette charmante jeune femme qui s’approche… ?
Ah, mes yeux m’ont fait défaut, ce n’est que Flavia ! Mouah ha ha !
Flavia : Tu n’es pas un peu vieux pour ce genre de plaisanteries stupides, khanaille ?!
Basilio : Des plaisanteries ?! Que nenni !
Je suis peut-êrte vieux et un peu dégarni, mais j’ai toujours la fougue amoureuse de mes vingt ans !
Flavia : Ah ! Pour moi, tu n’es qu’un vieux singe qui ne sait toujours pas faire la grimace !
Basilio : Hmpf. Tu as peut-être raison. Je suis jeune dans ma tête, mais je pourrais être le grand-père de la moitié de nos compagnons d’armes.
Flavia : Oui, d’ailleurs, tu sais que les petits jeunes commencent à t’appeler << Papy >> ?
Basilio : Quoi ?! Ces petits garnements sont si arrogants…
Ha ! De mon temps, on avait du respect pour ses aînés !
Pff ! En plus je parie que pas un seul d’entre eux ne me battrait dans l’arène !
Flavia : Encore faudrait-il que tu te rappelles où elle se trouve, cette arène…
Parce que bon, les pertes de mémoire, c’est fréquent avec l’âge, on le sait…
Basilio : Çà suffit ! Tu vas trop loin, femme ! Enfin… si tu es bien une femme…
Quelqu’un t’a-t’il seulement déjà vue hors de cette armure, pour s’en assurer ?
Flavia : Hmm. Très drôle. Tiens, au fait… Tu as vu ma nouvelle épée ?
Elle peut traverser une cotte de mailles, à ce qu’il paraît.
Il est peut-être temps que je l’essaie… sur TOI !
Basilio : Hé hooo ! Fais attention ! Tu pourrais blesser quelqu’un avec ça, voyons !
Je suis venu pour parler sérieusement, pas pour me faire trancher comme un rôti !
Flavia : Parler sérieusement ? Toi ? HA HA HA ! C’est meilleure du siècle !
Basilio : Par les dieux, je ne vois pas pourquoi je m’escrime… Je m’en vais ! ADIEU !!!
Flavia : Attends, Basilio… C’est bon, j’arrête… ! Basilio ?
C’est curieux… De quoi pouvait-il avoir envie de parler… sérieusement ?

Soutien B

Basilio : Aurais-tu un moment, Flavia ?
Flavia : Pour toi, khanaille… ? Evidemment… que non ! Ha ha ha !
Basilio : Pff ! Si tu as le temps de te moquer, alors tu as le temps de me parler !
Tiens, voilà qui attendrira ton cœur de pierre. De l’hydromel… et du bon !
Flavia : De l’hydromel… Oh, Basiolio, se peut-il que tu aies enfin fait quelque chose d’utile ?
Basilio : Bon, ça suffit, tu en veux ou tu n’en…
Flavia : Oui. Sers-moi donc une chope. Une grosse chope, j’entends. Et ensuite, on parlera.
Basilio : Attention à ne pas tout renverser ! Ce n’était pas donné, cette cochonnerie.
Bon, voilà, je voulais te demander…
Il y a de nombreux hommes charmants dans cette armée… Tu ne trouves pas ?
Alors, hmm, lequel serait… ton préféré ?
Flavia : Mais quel gros balourd ! Basilio, ça ne va pas de me demander une telle chose ?
Si tu crois que je vais te lister tous mes petits amoureux comme une écolière, tu…
Basilio : Ha ha, détends-toi ! Je fais juste la conversation pour passer le temps !
Tiens, prends donc encore un peu d’hydromel… Il est fort goûteu, non ?
Allez, parle donc au vieux Basilio. Je veux juste savoir ce qui se passe dans ta vie.
Flavia : Doucement avec cet hydromel… Tu rouleras sou la table bien avant moi.
Hmm… Laisse-moi réfléchir… J’imagine que Chrome n’est pas mal, dans son genre…
Basilio : Hmpf. Moui… Mais pas forcément un grand rigolo. Toujours à regarder des cartes…
Et sa coupe de cheveux… un peu trop apprêtée, si tu veux mon avis.
Flavia : Et toi, alors… Quelle femme te plaît ?
Basilio : Euh… J’imagine que Lucina n’est pas mal du tout…
Flavia : Mais elle est si jeune ! Pourquoi pas quelqu’un d’un peu plus… mature, disons ?
Basilio : Ha ! C’est toi qui dis ça ! Tu es assez vieille pour être la mère de Chrom !
Flavia : Hmm… J’ai comme une envie soudaine d’arracher la tête à quelqu’un…
Basilio : Gloups…
Flavia : Tu l’auras peut-être remarqué dans tes interactions avec le sexe opposé…
Mais les femmes n’aiment pas spécialement qu’on leur rappelle leur âge.
Basilio : Hé ho ! Calme-toi ! Pose donc ton épée, et on pourra discuter, en adultes respon…
Flavia : Poser mon épée ?! Mais je ne l’ai pas encore utilisée !
Basilio : Tu n’as pas BESOIN de l’utiliser !
Aaah… Ne t’approcher pas de moi ! Je te préviens, si tu fais un pas de plus, je…
Flavia : Mais tais-toi donc, gros nigaud ! Hors de ma vue ! Disparais…
Mais laisse donc l’hydromel.
Basilio : Mais, Flavia je ne vais pas te manquer ? Même un petit peu ?
Flavia : Pff ! Quelle idée ! Allez ! Déguerpis !
Basilio : Cette femme est complètement folle ! Et c’était ma dernière bouteille…
J’aurai ma vengeance… Justice sera faite ! Foi de Basilio !
Flavia : Pff, écoutez-le, avec ses grandes tirades digne d’un dramaturge de pacotille !
Et dire qu’il a été à la tête de notre grande nation, à une époque…

Soutien A

Basilio : Tiens, tiens, toi ici ! Je savais que tu ne pouvais pas te passer de moi et de mon charme dévastateur !
Flavia : Hmpf. J’en ai déjà assez. Je m’en vais…
Basilio : Non, attends ! Reste un peu… S’il te plaît ! On peut discuter…
C’était amusant, la dernière fois non ? Enfin, jusqu’à que tu sortes ton épée.
Bref, j’espérais pouvoir parler avec toi de l’avenir de Regna Ferox.
Flavia : Khanaille… Tu n’es plus khan, je te rappelle. Tu as eu ton moment de gloire…
C’est moi qui décide, à présent. Moi, et moi seule !
Basilio : Certes, tu es le khan régnant, et je n’ai ni les droits ni les devoirs liés à ce titre.
Mais je suis ton prédécesseur, et je pensais de fait t’offrir mes conseils et mon soutien.
Flavia : Je ne vois vraiment pas ce que tu pourrais m’apporter… Mais soit…
Alors… Quel genre d’avis souhaitais-tu me communiquer ?
Basilio : Regna Ferox a un climat très rude, et le froid y est souvent mordant.
Je me disais donc qu’après la guerre, il pourrait être logique de déplacer une partie de la population vers les régions plus ensoleillées.
Flavia : Et les faire quitter le royaume ? Mais cela ne ferait que nous affaiblir !
Basilio : Certes, en ces temps de conflit, ce serait un acte irréfléchi… que dis-je, insensé.
Mais une fois que nous serons en paix, cela ne fera pas de grande différence…
Flavia : Hmm… C’est vrai que cela pourrait être bon pour les vieux et les infirmes…
Basilio : Tu vois ? Et j’ai plein d’autres bonnes idées comme celle-ci !
J’ai beaucoup voyagé, et cela m’a permis d’être beaucoup plus ouvert d’esprit !
L’étude des autres cultures et civilisations donne souvent des nouvelles idées…
Un dirigeant devrait toujours visiter d’autres pays avant d’entrer en fonction !
Enfin, ce n’est que le point de vue d’une humble khanaille.
Flavia : T’es mots sont d’une grande sagesse, Basilio. Ça change…
Basilio : Ha ! encore cette langue de vipère ! Mais je sais ce qu’il en est vraiment !
Qu’on parle romances, hydromel, ou politique, tu apprécies ma conversation…
et je dirais même plus… ma compagnie !
Flavia : Hmm, oui. J’avoue que le temps que je passe avec toi n’est pas inintéressant.
Cependant, ça ne change rien au fait que je suis actuellement sur le trône.
Et je suivrai tes conseils uniquement si cela me semble opportun.
Basilio : Et c’est tout à ton honneur, Khan Flavia !
Flavia : Fort bien. J’ai hâte d’entendre tes autres idées, le moment venu.
Basilio : Je serais là… Cela dit, si l’on veut parer au plus pressé, on a d’abord une guerre à finir.
Flavia : C’est vrai. Mais si nous restons solidaires, je suis sûre que nous vaincrons bientôt !

Daraen(homme) / Virion

Soutien C

Daraen : Donc, si les cavaliers se déploient en éventail... Tandis que les pégases surgissent par le flanc... 
Virion : Bigre, je vous promets que je peux presque voir la fumée vous sortir par les oreilles... Que manigancez-vous donc, à un ryth me aussi fébrile ? 
Daraen : J'envisage divers scénarios et stratégies à l'aide de ce tablier de jeu. Même après cent marches forcées, ces pièces obéissent encore ! Cela m'évite d'éreinter tout le monde avec des manœuvres à répétition... 
Virion : Quel génie... Vous leur avez même sculpté des ennemis en miniature. Vous m'épatez. Et je n'ai pour habitude que d'être épaté par moi-même.
Daraen : Mais comme je dirige les deux camps, le procédé n'a que peu d'utilité. Comment se préparer à l'inattendu lorsque l'on sait déjà ce que fera l'adversaire ? 
Virion : Alors, permettez-moi d'être votre adversaire ! Je frapperai avec la noblesse du lion, et défendrai avec la grâce du cygne ! 
Daraen : Les cygnes sont de bons... défenseurs... ? Euh, ce n'est pas grave. J'accepte ! Nous déplacerons nos unités tour à tour, jusqu'à la capture d'un des commandants. D'accord ? 
Virion : Oh oui, tout à fait d'accord ! Oh, comme c'est excitant ! Commencez, je vous prie. 
Daraen : Un instant ! J'aimerais annuler mon dernier coup. 
Virion : Ha ha ! Si seulement les généraux ennemis étaient si coulants. Hélas... C'est la guerre. Échec et mat, mon cher monsieur. . 
Daraen : Malédiction ! J'ai horreur de l'admettre, mais je suis bel et bien vaincu. 
Virion : Ho ho ! Ne vous ai-je pas prévenu que je serais lion et cygne à la fois ? 
Daraen : On aurait plutôt dit une poule mouillée et la partie arrière d'un cheval ! Peut-être suis-je mauvaise perdant, mais ta stratégie ne m'a pas semblé très honorable. 
Virion : Grand dieux ! Vous n'êtes pas du genre à mâcher vos mots... 
Daraen : Je te suis tout de même reconnaissant pour l'exercice. Merci, Virion.
Virion : Lorsque vous aurez à nouveau besoin d'un adversaire sans honneur, venez me trouver.

Soutien B

Daraen : Hé, Virion ! Une petite partie ? J'ai trouvé comment te battre à coup sûr ! 
Virion : Oh, c'est exaltant ! J'adore les défis. Mais ne m'avez-vous pas raconté la même chose lors des vingt parties précédentes ? Oh. Attendez... Ne me dites pas que vous faites EXPRÈS de perdre ?! Je vois ! Tout cela n'est qu'une ruse pour passer plus de temps avec ma noble personne ? C'est touchant, mais j'ai bien peur que mon cœur n'ait de place que pour le beau sexe.
Daraen : Quant à moi, je n'ai pas réservé de place à un adulte qui porte le bavoir.
Virion : Ba... Bavoir ?! Prenez garde, espèce de barbare mal léché ! Ceci est un FOULARD. C'est le nec plus ultra de la mode nobiliaire ! 
Daraen : Ça sonne adorablement chic. À vous de jouer.
Virion : Grr ! Je peux pardonner votre ignorance mais je ne souffrirai pas l'insolence ! Vous tournez en ridicule l'art délicat de la vaine flatterie ! J'exige réparation immédiate sur le champ de bataille, Monsieur ! En garde ! 
Daraen : Montre-moi ce que tu as dans le ventre !
Tonnerre et damnation ! Comment se fait-il que je n'arrive toujours pas à te battre ?! 
Virion : Il semble que mon foulard soit vengé... 
Daraen : Je ne réponds pas de ton style de toilette, mais tu t'y connais en stratégie, Virion... Peut-être devrais-tu mener nos troupes à ma place, après tout. 
Virion : Ce serait risqué, mon cher. J'ai peur que nous ne fassions pas long feu. Examinez donc le tablier de jeu en détail, et dites-moi : qui a le plus de troupes en vie ? 
Daraen : Ah... 
Virion : J'ai gagné, certes, mais à quel prix ? Sur un vrai champ de bataille, je ne pourrais même pas user de la moitié de ces coups. Mes propres hommes m'auraient empalé bien avant que l'ennemi ne m'atteigne. Non, notre armée a besoin d'un stratège qui répugne au moindre sacrifice. Nous avons besoin de vous, Daraen. 
Daraen : Eh bien... Voilà qui était presque... aimable. Presque sensible, même. Tu te sens bien ? Tu passerais presque pour une personne normale... 
Virion : J'ai toujours incarné à perfection la sensibilité... Et puis « normal », c'est juste un autre mot pour « ordinaire », alors non merci ! Toutefois, je suis persuadé que vous en viendrez à partager... … cette exceptionnelle délicatesse qui est mienne. On ne pourra plus nous distinguer !
Daraen : Je préférerais encore prendre une flèche en travers du crâne.

Soutien A : 

Daraen : *soupir* J'ai perdu... Une fois de plus. 
Virion : Votre gambit du chevalier wyverne, il y a sept tours de ça, vous a été fatal. 
Daraen : Ah, je vois... Cela a exposé le flanc de mes troupes... Tu es vraiment doué, Virion. Je ne fais décidément pas le poids. 
Virion : Sottises ! Vous gagnez presque une partie sur trois, à présent ! Votre rythme de progression est plutôt effarant. 
Daraen : Je ne dois mon progrès qu'à ta grande patience. Merci pour ces heures d'entraînement. Je les trouve très stimulantes. D'ailleurs, les jours où je n'arrive pas à te battre, j'en perds le sommeil ! 
Virion : Ne vous en faites pas. Vous n'êtes pas le premier que ma supériorité déconcerte. Je suis ravi de vous rendre service, même si c'est pour vous martyriser. Quoi qu'il en soit, je suis heureux de vous aider à porter votre lourd fardeau.
Daraen : Je suis exténué, en vérité. Parfois, il me semble que le sol va m'engloutir. Notre armée dépend de moi pour concevoir chaque mouvement et chaque tactique. Je manque d'expérience pour une telle tâche... C'est trop pour un seul homme. 
Virion : Et pourtant, vous persévérez, là où un homme de moindre valeur aurait décampé. Vous avez réussi à gagner le respect de tous, vous savez ? Et qu'importe ce jeu, votre adresse sur le champ de bataille relève du génie. Je place volontiers ma vie entre vos mains, et ce n'est pas un maigre compliment. 
Daraen : Je... Que dire ? Je te remercie, Virion. Je m'efforcerai de rester digne de ta confiance.
Virion : Et moi, je ferai tout mon possible pour vous aider en toute chose, mon ami.

Gregor/Daraen(homme) : 

Soutien C

Gregor: Tiens, Daraen. Bois donc ça. 
Daraen: Hum ? Qu'est-ce que c'est ? 
Gregor: Un médicament spécial. Il a pas très bon goût mais c'est bon pour ta santé.
Daraen: Un médicament ? Mais je me sens bien... 
Gregor: Vraiment ? T'es sûr ? Pas d'mal de gorge ? Pas de toux ? 
Daraen: Maintenant que tu en parles, ma gorge me fait un peu mal...
Gregor: Oui, pendant l'combat, t'avais le souffle un peu rauque. Comme un vieil âne... 
Daraen: Tu as entendu ça dans toute l'agitation du combat ? Ton ouïe doit être très fine. 
Gregor: Pour un mercenaire comme moi, la santé c'est capital. Un soldat doit rester fort. 
Daraen: Oui, tu as raison. Je ne fais pas assez attention à ma santé... Quelles précautions prends-tu pour ne pas tomber malade ? 
Gregor: J'ai trois règles ! Faut s'gargariser, s'laver les mains, et prendre sa température ! 
Daraen: Oh, d'accord. Cela a l'air si compliqué. D'autres secrets ou conseils ? 
Gregor: Y a bien quelque chose... Seuls les hommes peuvent le faire. Mais c'est un secret... J'devrais peut-être le partager avec toi...
Daraen: Hmm, pourquoi pas...  
Gregor: Il faut dormir ensemble dans la même couche pour partager la chaleur du corps !  
Daraen: Je te demande pardon ?! 
Gregor: Le corps refroidit vite la nuit. Avec le froid, les p'tits muscles sont tout endoloris ! 
Daraen: Euh, ça ira! Je préfère utiliser des couvertures supplémentaires! 

Soutien B

Daraen: Oh, Gregor...Je voulais te remercier pour ton remède, il m'a fait un bien fou. Par contre, il m'a fait faire des rêves bien étranges... 
Gregor: T'as pas rêvé d'moi, par hasard ? 
Daraen: Euh... 
Gregor: Ha ha ! J'le savais ! Tu rougis ! Ho ho ! T'as rêvé qu'on dormait ensemble, non ? 
Daraen: Mais non, on n'était pas dans un lit ! On volait dans les airs... Puis on s'est posé... sur le soleil, je crois. J'ai posé ma tête sur tes genoux... Bah, c'était un horrible cauchemar ! 
Gregor: Oui, j'fais cet effet à plein d'gens. Ils me voient, et après, ils rêvent de moi, quoi. 
Daraen: Je ne veux pas rêver de toi ! Du coup, je n'ai pas fermé l’œil depuis plusieurs jours ! Ce n'est pas matière à plaisanter. Regarde, mes yeux sont injectés de sang.
Gregor: C'est pas ma faute, ça arrive, parfois... D'habitude avec les femmes, tu m'diras...
Daraen: Ha ha. Très drôle. Ce n'est vraiment pas le moment de plaisanter ! Alors même que nous parlons, des frissons me parcourent le dos... 
Gregor: Hmm, Daraen. Laisse-moi un peu regarder tes yeux, pour voir.
Daraen: Euh, non ! Ne t'approche pas de moi ! 
Gregor: T'es étrange, toi, tu sais. Tu veux pas te calmer un peu? 
Daraen:... 
Gregor: Les yeux injectés de sang, les frissons, les rêves bizarres...Tu t'es pas fait piquer par un insecte, récemment ? 
Daraen: A vrai dire, oui. Un gros mille-pattes m'a piqué à la cheville l'autre jour... 
Gregor: J'le savais ! T'as dû être infecté. Il faut qu'tu t'fasses soigner! Ta vie est en grand danger, là ! 
Daraen: Vraiment ? C'est si dangereux que ça ?! 

Soutien A

Gregor: Ah, Daraen. Tu t'portes bien ? 
Daraen: Oui, et c'est grâce à toi. Je me sens déjà beaucoup mieux. Nos guérisseurs ont dit que si tu n'étais pas intervenu, je n'aurais pas survécu. Je te dois la vie, Gregor. 
Gregor: Ouais, parfois les vieux comme moi en savent un p'tit peu plus, tu vois. T'es habile, toi, mais un vétéran comme moi peut encore t'apprendre des choses. Écoute tes aînés et un jour, tu pourras être aussi rusé que moi. . 
Daraen: Je ferais attention à ce que tu dis, désormais. J'aurais dû le faire plus tôt !
Gregor: Bah, pas la peine de t'en faire ! L'eau a coulé sous l'pont, comme on dit ! Mais...
Daraen: Quoi ? Quelque chose te trouble encore ? 
Gregor: Tu fais toujours ces rêves ? Ceux où on vole et où tu poses ta tête sur mes genoux ? 
Daraen: Oh, non. Plus maintenant, heureusement ! 
Gregor: Ah, bien. J'aurais pas à t'faire payer pour ma présence.
Daraen: Me faire payer pour ton apparition dans mes rêves ?! En voilà une drôle d'idée ! 
Gregor: Bon, tu rêves plus d'moi, alors on va plus y penser. Pas d'maladie, pas d'cauchemar. Pas d'cauchemar, pas d'apparitions. Pas d'apparitions, pas d'paiement. Pas d'paiement... pas d'paiement. 
Daraen: Hmm... Oui. En tout cas, je vais veiller de près à ma santé dorénavant ! 
Gregor: Bien ! T'es très motivé, j'te fais confiance.

Sully/Daraen (homme) 

Soutien C

Sully : Oh là là... Bon, Sully, il faut arrêter de de laisser aller... 
Daraen : Sully ? Est-ce que ça va ? Pourquoi tu te tiens le ventre en marmonnant... ? 
Sully : Je vais bien ! Ce n'est rien ! Occupe-toi de tes oignons ! 
Daraen : Tu as vraiment l'air mal en point. Tu n'es pas blessée, au moins ? 
Sully : J'ai pris du poids et perdu de la masse musculaire. Tu le crois, ça ?! Nous sommes en guerre, et moi, je prends du bide. 
Daraen : Tu en es sûre ? Je ne vois pas une seule once de graisse sur toi, pourtant... 
Sully : C'est que tu ne regardes pas très bien ! 
Daraen : Eh bien... Je ne t'imaginais pas comme ça... 
Sully : De quoi est-ce que tu parles ?
Daraen : Oh, euh... Je ne pensais pas que tu étais du genre à te soucier de ton apparence. 
Sully : Mais t'as de l'eau dans le crâne ?! C'est pas possible ! Ce n'est PAS une question d'apparence ! J'ai perdu de la masse musculaire ! Ça va affecter mes compétences de combat et je vais me faire tuer ! 
Daraen : D'accord, d'accord ! Désolé ! Bien sûr, je comprends ! Ne me frappe pas ! 
Sully : Te frapper ?! Pourquoi je te frapperais ? 
Daraen : En tout cas, si tu tiens tellement à perdre du poids, tu pourrais essayer ça... 
Sully : Snif... Pouah ! Quelle pestilence ! C'est quoi ce truc verdâtre ?! 
Daraen : C'est une espèce d'algue séchée très rare. Je l'ai achetée en ville. Le marchand m'a dit qu'elle contenait « une quantité extrême de fibres ». Puis il a ricané tel un maniaque et répété « extrême » en faisant une petite danse. 
Sully : Hmm... On dirait que c'est risqué... 
Daraen : Mais tu aimes le risque... 
Sully : Oh ! Tu me mets au défi d'essayer ? Ha ha ! Soit ! Défi relevé ! 
Daraen : Parfait ! Moi aussi, dernièrement, j'ai pris du poids et j'espérais m'en servir... Je voulais essayer mais je n'avais pas le courag... euh, le temps ! Le temps... 
Sully : Hé hé ! Tu t'enfiles trop de pâtisseries ! C'est ça, ton problème ! Très bien, Daraen. Voyons qui de nous deux retrouvera la ligne en premier ! 

Soutien B

Sully : Gnnnh... Uuaaaargh... 
Daraen : S...Sully ? Oh, bon sang ! Sully, ça va ?! Tu ressembles à un cadavre ! Je n'ai jamais vu quelqu'un de si maigre ! Et ta peau a viré au VERT ! Ça m'a tout l'air d'un empoisonnement !Qu'est-ce que tu as mangé dernièrement ?! 
Sully : Juste... tes algues... séchées... J'ai avalé... tout le sac... hier soir... Ooorgh... Uuurgh... 
Daraen : Attends... TOUT le sac ?! 
Sully : C'est si... grave ? 
Daraen : Sully, tu es censée en déchirer un tout petit morceau et le réhydrater d'abord. La portion que je t'ai donné était pour un mois... eti tu as tout mangé. Oh, mon dieu !
Sully : Je te... tuerai... pour ça...
Daraen : Sully, je suis vraiment désolée. J'aurais dû être plus précis ! 
Sully : Uuurgh... C'est... de ma faute... Je n'aurais pas dû... céder à la facilité... Mais je ne referai pas... la même erreur... Je vais reprendre... l'entraînement et... regagner du muscle... dès que j'irai mieux. 
Daraen : Je ne sais pas comment, mais je trouverai un moyen de t'aider ! Je me sens si mal... 
Sully : Eh bien... Je ne sais pas, mais... Oh... Je... Je... Ça me... reprend... BEEUUUAAARG ! 
Daraen : Pfiou... Je n'aimerais pas être à sa place. 

 Soutien A

Sully : Hah ! Yaaah ! 
Daraen : Tu as l'air plus en forme que jamais, Sully ! Tu te sens mieux, je suppose ? Et regardez-moi un peu tous ces muscles ! Ton entraînement a payé. 
Sully : Je progresse. Mais j'ai toujours un peu de graisse, là. 
Daraen : Où ça, là ? 
Sully : Hé ! Bas les pattes ! 
Daraen : Euh... Sully ? Ce n'est pas de la graisse, c'est de la peau... 
Sully : Hein ? 
Daraen : Je savais bien que tu te trompais quand tu disais avoir de la graisse en trop. Tu t'entraînes plus que quiconque, c'était impossible... 
Sully : De la peau, hein ? 
Daraen : C'est probablement l'effet qu'a eu l'algue sur ton métabolisme... Tu as perdu beaucoup de poids la dernière fois, et la peau est encore détendue. Encore une semaine de combat et on n'y verra plus rien. 
Sully : Hmm... Tu as sûrement raison. 
Daraen : Crois-moi. Tu es dans une forme parfaite. Et je me suis entraîné avec toi toute la semaine, j'en sais quelque chose. 
Sully : Bon, si tu le dis... 
Daraen : Je crois bien que tu as gagné notre pari. Mon poids, lui, n'a pas bougé d'un iota. 
Sully : Eh bien, si je peux te donner un conseil, n'essaye pas ces fichues algues ! Ha ha ! 
Daraen : Euh... Ha ! Ha ha ha ! N... Non, c'est sûr. Ce serait vraiment stup... AÏE ! Houlà... ! Gnnn... 
Sully : Je n'arrive pas à y croire ! Ne me dis pas que tu en as mangé ! 
Daraen : Tu n'arrêtais pas... de mincir... Il fallait que... je te rattrape... 
Sully : Imbécile ! Tu as oublié ce qui m'est arrivé à cause de ce truc ?! 
Daraen : Non, tu... Aïe ! Tu avais raison... Je... je dois... BEEEUUUAAARG !
Sully : Eh bien... Je n'aimerais pas être à sa place.

Soutien S

Sully : Tu te sens mieux, Daraen ?
Daraen : Le plus dur est passé, merci. Et l'entraînement a fini par payer ! Je me sens plus robuste, regarde un peu ces muscles !
Sully : Fantastique ! Et ma peau a repris son aspect normal ! Tu vois ? Touche, tu comprendras !
Daraen : Euh...
Sully : Quoi ?
Daraen : La dernière fois que je t'ai touchée, tu m'as menacé de me couper les mains.
Sully : Oh, eh bien peut-être que ça a changé, maintenant.
Daraen : Alors, je peux peut-être te donner ça...
Sully : Un anneau ? Quoi ? C'est une demande en mariage ?
Daraen : Je t'aime, Sully ! Je ne pense à rien d'autre qu'à toi ! Quand je t'ai rencontrée, je t'ai trouvée dure et imposante. Mais plus on s'est entraîné, plus j'ai réalisé à quel point tu étais extraordinaire !
Sully : Je vois.
Daraen : Alors, qu'est-ce que tu en dis ?
Sully : J'ai beaucoup pensé à toi aussi, Daraen. Et je dois avouer que mes pensées n'étaient pas désagréables. Alors, oui, j'accepte.
Daraen : Excellent ! Je vais pouvoir me remettre à manger des tartes !
Sully : QU'EST-CE QUE TU AS DIT ?!

Scène étrange : Je suis amoureuse... fripouille... Voilà, je l'ai dit. Et je ne le redirai plus !