"Coco". Pourquoi j'ai pas dit Seth moi.

Salut je up.

Gregor/Zelcher

Soutien C :

Zelcher : Gregor, à ta place, je ne resterais pas planté là. Minerva va arriver.
Gregor : C'est sûr qu'y vaut mieux éviter d'me faire piétiner par une énorme wyverne ! Quitte à m'faire piétiner, j'préfère que ce soit par une charmante donzelle comme toi.
Zelcher : Attention, hardi camarade. Un coup bien placé et je te ferai voir des étoiles !
Gregor : Bah, en même temps, j'vois toujours des étoiles quand t'es dans le coin.
Zelcher : Si tu veux vraiment voir des étoiles, j'ai peut-être la solution pour toi.
Gregor : J'suis plutôt intrigué, là...
Zelcher : Rejoins-moi sur le dos de Minerva. Nous allons fendre le ciel !
Gregor : Tu veux qu'on aille voler... dans le ciel ? C'est un peu dingue ton truc, ma belle !
Zelcher : Prends vite une décision. À trois, on s'envole... Un... Deux...
Gregor : J'suis pas du genre à refuser quoi que ce soit à une belle femme, mais là...
Zelcher : Tu n'as quand même pas le vertige ?
Gregor : Euh, quand j'étais gamin, j'suis resté coincé dans un arbre pendant trois jours !
Zelcher : C'est une situation peu confortable, j'en conviens.
Gregor : C'était mon vieux. Il m'a dit : "Gregor, bouge pas de là." Il rigolait pas trop.
Zelcher : Mais c'est horrible, pauvre petit chou...
Gregor : Ah non, non ! J'veux pas d'la pitié d'une belle créature comme toi !
Zelcher : Comme tu veux...

Soutien B :

Zelcher : Eh bien... Bravo, Minerva.
Gregor : T'es une femme courageuse, toi. J'me trompe ?
Zelcher : Toi aussi, Gregor. C'était courageux de ta part de chevaucher une wyverne. Hmm ? Que se passe-t-il, Minerva ?
Gregor : ... Ha ha ha ! Mais toi aussi, Minerva ! Tu es une wyverne bien courageuse !
Zelcher : Quoi ? Tu arrives à comprendre les wyvernes ?
Gregor : Bah, j'les connais un peu. Un jour, je suis allé à la vallée wyverne. C'était pour un boulot. Mais c'était pas terrible. J'préfère pas en parler.
Zelcher : C'était un travail de mercenaire ?
Gregor : On m'a demandé de rassembler des griffes de wyvernes mortes. Mais l'employeur était un sale gars. Ça a dégénéré en chasse à la wyverne. On est tombés sur une mère qui protégeait son bébé. Bah, la mère, elle s'en est pas tirée...
Zelcher : Je vois.

• Minerva qui crie*

Zelcher : Minerva ! Qu'est-ce qui t'arrive ?!
Gregor : Y'a un souci ? Elle gigote dans tous les sens !
Zelcher : Je n'en sais rien ! Elle ne se comportait ainsi que lorsqu'elle était petite !
Gregor : Hé, mais j'ai d'jà entendu ce cri... On dirait celui du bébé wyverne que j'avais vu...
Zelcher : Oh... Je... Je vois... Gregor, ça te dérangerait de nous laisser seules un instant ?
Gregor : Entendu. J'm'éclipse, comme la lune.

• Gregor qui part*

Zelcher : Minerva... Qu'est-ce qui ne va pas ? ... Vraiment ? Tu en es sûre ?

Soutien A :

Zelcher : Gregor ? Qu'est-ce que tu fabriques ?
Gregor : Zzz... Moi, rien... Qu'est-ce que je donneras pas pour une patte de loup rôtie. *renifle* Hein ? Oh, salut, Zelcher ! Salut, Minerva ! Vous venez m'rendre visite ?
Zelcher : Nous voulions te parler. Ce n'est pas un mauvais moment, j'espère...
Gregor : Quand c'est toi, c'est toujours un bon moment. Mais Minerva est sûre d'vouloir me parler ?
Zelcher : C'est gentil de tenir compte de ses sentiments. Tu avais raison à son sujet, Minerva. Il est exactement comme tu me l'as décrit.
Gregor : Bourru et sans cœur ?
Zelcher : Minerva m'a raconté ce qui est arrivé à la vallée wyverne. Tu t'en es pris aux autres mercenaires pour la protéger, n'est-ce pas ? Tu lui as sauvé la vie. C'est donc toi qui nous as permis de nous rencontrer, Minerva et moi... Sans toi... Nous te devons beaucoup.
Gregor : J'sais ce que ça fait d'voir ses parents tués devant ses propres yeux.
Zelcher : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Gregor : Mes parents étaient rudes. Mais c'était tout ce que j'avais. Et un jour... Bah, peu importe. Mais j'voulais pas que ça lui arrive à elle aussi.
Zelcher : C'est pour cette raison que tu as affronté tes camarades.
Gregor : J'honore toujours mon contrat. Mais là, ça allait trop loin. J'pouvais pas accepter ça.
Zelcher : *pleurs* Oh, Gregor. Comment te remercier pour ce que tu as fait ?
Gregor : Faut pas que tu pleures ! Les larmes des femmes, ça c'est mon point faible. J'mérite pas tes larmes. Pleure quand ça en vaudra vraiment la peine.
Zelcher : Mais tu les mérites ! Et bien plus encore...
Gregor : Bien plus encore... ?! Ho ho !

Soutien S :

Zelcher : Et voilà, tes habits sont comme neufs. Tu as un petit creux ? Je peux te préparer quelque chose.
Gregor : T'sais que t'es pas obligée de faire tout ça pour moi. J'suis pas un prince non plus. Tu m'as d'jà remercié de la part de Minerva... au moins cent fois ! Donc je te répète : de rien ! J'crois bien qu'on est quittes !
Zelcher : Mais je ne le fais pas pour Minerva. D'où sors-tu cette idée saugrenue ? Elle peut parfaitement te remercier elle-même.
Gregor : Mais alors du coup, pourquoi t'es aux petits soins avec moi ?
Zelcher : Gregor, tu vas me faire attendre encore longtemps ? C'est évident, non ?
Gregor : Ha ha ha ! J'sais reconnaître les signes que m'envoie une femme, faut pas croire ! J'essayais juste de retarder le moment du grand saut... Regarde l'anneau que je t'ai trouvé ! Tu veux bien être ma femme ?
Zelcher : Oui, Gregor. C'est mon souhaite le plus cher. Mais quand tu parlais de "grand saut", tu faisais référence à quoi ?
Gregor : Bah, j'veux dire, si t'es ma femme, faudra que j'vole avec toi, non ? Du coup, j'ai intérêt à ne plus avoir trop le vertige...
Zelcher : Ce n'est pas faux. Et si nous commencions tout de suite ? Une petite chevauchée céleste pour la route ?

• Minerva qui crie*

Zelcher : Minerva a l'air plutôt enthousiaste. Regarde-la !
Gregor : Si les dieux avaient voulu que je vole, j'ressemblerais à un pigeon ou à un aigle. P't'être que si je ferme les yeux et que je m'agrippe à toi, tout va bien se passer...

Puisque le sujet est uppé, je peux en profiter, j'ai débloqué le soutien S Libra/Olivia, je vais vous l'écrire dans la soirée, je pense.

Ouah, merci

Oh la la repasser sur ce topic me rappel des souvenirs x) Soren je peux te faire

Laurent/Severa
Gregor/Palne

Je pense que c'est mieux que tu fasses Grégor/Palne car ca complète la 1ère gen.

Laurent X Severa

Soutien C:

Severa : Mmm, ces pêches ont un parfum formidable ! Cela valait le coup !
Laurent : Severa, d’où nous parvient cette véritable montagne de fruits ?
Severa : Ben, du marché, que crois-tu ? Ils avaient l’air trop bon pour ne pas en acheter.
Laurent : Je t’ai déjà dit la dernière fois de ne rien acheter qui ne soit pas sur la liste. Si nous achetons de la nourriture dont nous n’avons pas besoin, il y aura du gâchis ! Nos finances ne nous permettent pas de faire des achats superflus.
Severa : Oh, la barbe ! J’ai juste acheté quelques fruits ! Et puis, quand les autres les goûteront, ils n’en feront qu’une bouchée !
Laurent : Là n’est pas la question.
Severa : Les hommes ont besoin d’un peu de luxe dans leur vie, Laurent. Enfin, peut-être pas TOI… Mais les gens normaux, oui. Et si on retire la joie à la vie, pour quoi nous battrons-nous ? Tu vois, en achetant de jolis fruits, j’aide à remonter le moral des troupes !
Laurent : La famine, en revanche, est très mauvaise pour le moral. Et c’est ce qui va arriver si tu continues à dilapider le budget ravitaillement. Et puis tu me donnes du travail en plus, je dois rééquilibrer les comptes.
Severa : Pff ! Cause toujours ! Avec ta grosse tête, ça ne doit pas te prendre bien longtemps ! Et d’abord, ce qui est fait est fait. Ça ne sert à rien de continuer à se plaindre. Alors ne fais pas cette tête et mange une pêche. Ne faudrait pas qu’elles pourrissent…
Laurent : Cela me dépasse que quelqu’un puisse être à ce point égoïste. Ça va me prendre des heures de réécrire le budget !
Severa : Arrête de te faire des cheveux blancs sur le moindre détail, ou tu ne feras pas long feu !
Laurent : S’il y a bien quelque chose qui me donne des cheveux blancs, c’est elle !

Soutien B:

Severa : Oh… C’est toi.
Laurent : Bonjour, Severa.
Severa : *soupir*
Laurent : Que se passe-t-il ?
Severa : Oh, rien qu’en repensant à la corvée de ravitaillement, je me sens fatiguée.
Laurent : J’y songeais aussi à l’instant même. C’est devenu presque impossible de traiter les dépenses avec toi aux commandes.
Severa : Qu’est-ce que tu veux dire par là, je te prie ?
Laurent : Je veux dire précisément ce que j’ai dit. A chaque fois que tu es revenue avec des desserts ou autres fruits de tes caprices j’ai dû faire des coupes de budget autre part.
Severa : Tu peux peut-être faire un effort pour être un peu moins condescendant ?! C’est déjà très barbant de devoir aller aux provisions avec toi, gugusse ! Tu n’ouvre la bouche que pour dire << trop cher >> par ici, << pas sur la liste >> par là ! Faire les courses devrait être une aventure ! Pas une liste barbante ! Tu dois t’ouvrir à peu de nouveauté. Jouir de l’instant présent, et tout ça !
Laurent : Nous nous occupons du ravitaillement d’une armée. Il ne s’agit pas de ton amusement !
Severa : JE SAIS ! Mais l’armée a des besoins, et l’un d’eux, c’est de s’amuser un peu ! Juste ciel, m'écouter ne serait-ce qu’une fois ne peux pas te tuer !
Laurent : Si tu t’attends à ce que j’encourage le gaspillage de nos ressources, tu rêves. Tu plaisantes sur ce qui me tuer ou pas, mais sache que je pense à cela chaque jour. C’est la guerre, Severa. Nous ne manquons pas de choses qui peuvent nous tuer. Mes calculs prudents et minutieux sont la chose qui nous garde en vie !
Severa : Et moi, je dis que c’est bien parce que c’est la guerre que nous avons besoin de joie ! Ce n’est pas bon pour le moral des troupes de toujours regarder à la dépense.
Laurent : Peut-être, mais tes dépenses frivoles ne faciliteront la vie de personne.
Severa : Bon, tout cela ne mène à rien… Je crois que quelqu’un se comporte comme un idiot ! Alors d’accord, achète des biscuits de terre et du pain sec à perpétuité ! J’en ai fini de faire les courses avec toi !
Laurent : Tu démissionnes donc de tes fonctions de ravitailleur ? J’accepte avec plaisir. S’il n’en avait tenu qu’à moi, je t’aurais écartée de ce projet depuis longtemps !
Severa : Ah oui ? Fais attention à ce que tu dis ! Je vais t’écarter… euh… moi aussi ! Na ! Bref, ne m’adresse plus la parole !

Soutien A:

Severa : Je n’en reviens pas…
Laurent: Severa?
Severa : Oh. Salut…
Laurent : Tu as l’air stupéfaite. Ils t’ont tous remerciée, toi aussi ?
Severa : OUI ! Depuis notre dernière corvée, c’est un vrai concert de louanges. Chrom est même venu me chercher pour m’offrir ses compliments !
Laurent : C’est presque irréel… Il semble que nous ayons trouvé le parfait compromis. Ni pénurie, ni gâchis. Les gens semblent particulièrement conquis par les produits... subsidiaires…
Severa : Cela doit sans doute te faire plaisir, vu que c’est toi le responsable du budget ?
Laurent : Certes, mais seul je n’aurais jamais acheté la moitié des choses qui leur ont plu. La plupart d’entre elles me paraissaient inutiles, mais on dirait que tu avais raison. Je m’excuse d’avoir douté du bien-fondé de ta sélection.
Severa : Oh, ce n’est pas grave. Et puis, sans toi pour m’arrêter, j’aurais dépensé le double ! Tu as beau être têtu, tu es vraiment doué pour les chiffes, et toujours concentré !
Laurent : Merci. C’est rare de t’entendre faire des compliments. En unissant nos forces, nous avons réussi ce que nous étions incapable de faire seuls.
Severa : Oui ! Malgré nos disputes, nous formons une bonne équipe !
Laurent : Ce serait un plaisir de t’avoir comme partenaire pour la prochaine corvée. Si tu veux bien…
Severa : Du moment que tu me promets de me laisser acheter des fruits !

Soutien S

Severa : Notre dernière corvée d’approvisionnement semble à nouveau rencontrer le succès !
Laurent : Et ce fut presque supportable, maintenant que je me suis habitué à tes… caprices. Je commence même à mieux comprendre tes goûts.
Severa : Je sais, Laurent, je ne suis pas toujours facile à comprendre…
Laurent : C’est vrai, il y beaucoup d’aspects de ta personnalité qui sont de vrais mystères. Mais une chose est certaine : jamais plus je n’irai faire les courses tous seul. Ton aide m’est très précieuse, et j’espère que tu continueras à te joindre à moi.
Severa : Hmm…
Laurent : Un problème, Severa ?
Severa : Tu dis que tu commences à me comprendre, n’est-ce pas ? Mais saurais-tu deviner ce que je désire à l’instant présent ?
Laurent : Je ne comprends pas. C’est une devinette ? Vas-tu me demander de deviner ce que tu caches dans ta poche ensuite ?
Severa : Tu devrais quand même avoir une petite idée de mes pensées, non ? Devine donc ce qui occupe mon esprit.
Laurent : Scientifiquement parlant, la télépathie n’est que le fruit de…
Severa : Chut. Essaie.
Laurent : D’accord…
…
Je soupçonne que tu penses à la même chose que moi.
Severa : Et… de quoi s’agit-il… ?
Laurent : Que tu puisses être à mes côtés, pas juste pour faire les courses, mais toute ma vie. Si c’est là ce que tu pensais, je pourrais m’estimer très heureux.
Severa : …
Laurent : C’était peut-être plus rêver à haute voix que lire tes pensées…
Severa : Et pourtant… c’est la bonne réponse.
Laurent : Vraiment ?
Severa : Oui, c’est la vérité.
Laurent : Eh bien, quel soulagement ! Je me demandais ce qui se serait passé si après mes propos, tu m’avais repoussé.
Severa : Tu peux être bien timide parfois, pour quelqu’un d’ordinaire si barbant ! En tous cas, avec moi à t’es côtés, tu ne manqueras jamais d’impertinence !
Laurent : Je n’ai aucun doute à ce sujet.

Voilà gregor/Palne je le ferais plus tard

Gregor X Palne

Soutien C :

Palne :*halète* Qu…Que se passe-t-il ? Le soleil ! Je n’y vois plus rien ! Tout s’assombrit !
Gregor : Eh beh… ?
Palne : Ouaaaaah ! Au secouuuurs…
Gregor : Ben alors, petite ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu tremble comme une feuille !
Palne : L’obscurité… s’approche…
Gregor : Ah ! C’est juste une éclipse ! Le soleil qui se cache un peu derrière la lune… Mais il va revenir, promis. Y’a pas à s’inquiéter, ma petite.
Palne : V… Vraiment ?
Gregor : Tu ne sais pas ce que c’est qu’une éclipse ?
Palne : J’ai passé la majeure partie de ma vie à fuir les humains. J’ignore beaucoup de choses.
Gregor : Oooh ! Ma pauvre petite… T’as û être bien seule, je m’trompe ?
Palne : Gardez votre pitié ! Je n’en veux pas !
Gregor : Tu me fais rire… C’est quand même toi qui es blottie dans mes gros bras !
Palne : Comment ça, <<blottie>>… ? Dans vos bras… ?! AAAAAARGH ! Vous osez m’attraper ainsi ?! Je devrais vous arracher le cœur pour cet affront !
Gregor : Hé, là ! C’est que j’ai encore besoin de mon cœur, moi ! Et c’est toi qui t’es jetée dans mes bras en tremblant comme un p’tit lapin.
Palne : Oh… vraiment ? Ahem… Eh bien, c’est sûrement à cause de cette…<<éclipse>>.
Gregor : Pas de problème ! J’suis toujours d’humeur pour les câlins, moi !

Soutien B :

Gregor : Ohé, Palne.
Palne : …
Gregor : Bah… Palne ?! C’est moi ! Gregor !
Palne : Oui, et alors ? Qu’y a-t-il ? Dites ce que vous avez à dire et allez-vous en.
Gregor : Pourquoi t’es si froide avec moi ?
Palne : Cela ne vous regarde pas.
Gregor : Aaaah… Je sais pourquoi ! T’as honte, c’est ça ?
Palne : P… Pourquoi aurais-je honte ?! Je n’ai juste pas envie de vous voir.
Gregor : Ah… Alors maintenant tu m’détestes passionnément ? Bien, j’ai compris. Tu t’débarrasses de moi comme d’une vieille chaussette…
Palne : Non ! Hé… Ne partez pas.
Gregor : Oui ?
Palne : Je ne vous déteste pas. Et je voudrais… Vous remercier de m’avoir aidée.
Gregor : Ah, tu vois ! Maintenant on a une conversation adulte ! Tu me laisse te gratter derrière les oreilles ?
Palne : Vous vous moquez de moi ?!
Gregor : Hmm… Je crois que t’as peur de t’ouvrir aux autres. Et t’as de la chance , moi j’suis un expert là-dedans.
Palne : Je ne sais pas de quoi vous parlez.
Gregor : Je t’ai vue trembler comme un p’tit lapin apeuré pendant l’éclipse, pas vrai ? Je crois que ce p’tit lapin là a besoin qu’on s’occupe de lui et qu’on le protège ! Mais tu as passé trop de temps cachée des humains. Tu ne nous connais pas bien. Moi j’dis, ouvre-moi ton cœur ! Je te guiderai dans le monde des humains !
Palne : Ha. Je commence à penser que je ferais mieux de retourner me cacher…

Soutien A :

Palne : Gregor ! Mais que faisiez-vous au juste lors de la dernière bataille ?
Gregor : J’ai juré de te protéger ! Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre ? Toi, t’es l’élève dévouée, et moi, ton maître sage et magistral. J’peux pas rester les bras ballants quand mon élève va se faire embrocher.
Palne : Ainsi, vous avez plongé devant la charge de la cavalerie ? Tsss ! Vous devriez vous estimer heureux d’avoir survécu.
Gregor : Tu t’fais du souci pour ton maître, à cause de la plaie profonde qu’il a reçue ?
Palne : Maître Gregor pourrait fourrer sa tête dans la gueule d’un dragon, je m’en ficherais…
Gregor : RAAAAH ! Ma blessure ! Les fils se sont arrachés !
Palne : Quoi ?! Ou ?! Vous saignez ?! Vite, laissez-moi voir ça ! Hmm… ? Tout a l’air en ordre. Les pansements sont bien là et…
Gregor : Ho ho ho ho ! J’ai fait une blague !
Palne : Refaites-moi ça et vous hurlerez pour de VRAIES blessures !
Gregor : Oui, oui ! Parfait ! Laisse échapper ta colère !
Palne : Pardon ?
Gregor : Il faut que t’exprimes t’es sentiments… C’est le premier pas vers la confiance. Tu gardes toute la colère en toi et pardonnes jamais. Pas bien ! C’est pour ça que t’as pas trop d’amis.
Palne : Je ne sais pas de quoi tu parles…
Gregor : Tu dois apprendre p’tit à p’tit, d’accord ? Tu vas y arriver, p’tit lapin. D’ici là, je continuerai à te protéger.
Palne : …

Soutien S

Gregor : Palne ! Ohééé ! Ou se cache mon élève préférée ?
Palne :*halète*
Gregor : Ah ah ! J’t’ai trouvée !
Palne : Comment avez-vous…
Gregor : Pourquoi tu te caches de moi ? Tu me déteste tellement ?
Palne : Vous êtes bien trop imprudent près de moi. Je ne veux pas que vous vous blessiez.
Gregor : Mouah ha ha ! Tu t’fais trop de souci pour moi ! J’sais me protéger, tu sais…
Palne : Je n’ai pas besoin que vous soyez tout le temps près de moi pour me défendre !
Gregor : Ce que tu veux, c’est bien joli, mais ce que j’veux moi, ça compte aussi ! Si j’te donne une bonne raison, je pourrais continuer à te protéger ?
Palne : Il voudrait mieux qu’elle soit très bonne.
Gregor : Je veux t’épouser !
Palne : Quoi… ? C’est une autre de vos blagues ?
Gregor : Je ne blague jamais avec l’amour ! En tout cas, pas cette fois. Regarde…
Palne : Un anneau ?
Gregor : Tu sais ce que ça veut dire, chez les humains ? Comme ça tu sais que c’est pas une blague. C’est l’amour !
Palne : Aaaaaaaaaaaaaaargh !
Gregor : Oh petite ! Pourquoi tu hurles comme ça ?!
Palne : Je laisse ma colère et ma douleur s’échapper de mon cœur. Vous m’avez dit que je devais le faire si je voulais devenir intime avec quelqu’un.
Gregor : Ah oui. Je m’souviens maintenant. Et alors ? Comment tu te sens ?
Palne : Je ne suis pas sûre. Je ressens plusieurs choses… de la joie et de la satisfaction. De l’espoir, même. Je n’en avais pas ressenti depuis longtemps.
Gregor : Ça me fait vraiment plaisir de l’entendre ! Mon cœur se gonfle de joie !
Palne : Mais vous n’avez pas besoin de me protéger tout le temps. Compris ? A partir de maintenant, nous nous protégerons l’un l’autre.
Gregor : Très bien ! Alors viens, p’tit lapin ! Viens sauter dans mes gros bras !

Ouah, je mets à jour immédiatement ma liste

Soutiens manquants (MAJ)

Miriel/Gregor
Gregor/Maribelle
Libra/Olivia

Il ne reste plus que ça, je compte sur vous.

Avant toute chose je m'excuse Soren de ne pas pouvoir écrire de soutiens et j'espère que des personnes les posteront rapidement.
Maintenant, je vais me faire insulter de tous les noms.

...Je ne trouve plus mon jeu

En fait, il suffit qu'Ao fasse le soutien Libra/Olivia qu'il a dit qu'il ferait et on les aura tous parce qu'on s'occupe ailleurs des deux autres

Ao ?

Je peux faire Gregor/Miriel, si tu veux ;)

Miriel/Gregor

Rang C

Gregor : Miriel ! Tu viens t'asseoir avec moi ? C'est que j'ai d'la bonne tisane d'ortie !
Miriel : Je suis curieuse de savoir pourquoi tu invites toujours des femmes à boire le thé.
Gregor : Bah, j'suis un homme, non ? J'apprécie la compagnie de jolies demoiselles. C'est normal.
Miriel : Dirais-tu que les femmes ont une force d'attraction qui te pousse vers elles ?
Gregor : Rah, oui ! Tu m'attires, Miriel ! C'est ça que j'te propose de la tisane !
Miriel : Ce n'est pas le sujet... Mais je suppose que je ne peux pas exiger mieux d'un profane. Alors quels sont les traits qui rendent une femme attrayante ? Saurais-tu les définir ? Il me plairait de caractériser ce phénomène, pour autant que cela soit concevable.
Gregor : Tu parles avec beaucoup de grands mots... J'suis... un peu perdu.
Miriel : C'est pourtant simple : la force d'attraction doit obéir à un certain nombre de lois. Il suffit donc de les définir pour comprendre les mécanismes de cette attraction.
Gregor : Mais chaque homme a des goûts différents, non ? J'peux parler que pour moi.
Miriel : Ah. Tu prétends donc qu'il est impossible de définir universellement l'attraction ? Cela impliquerait qu'il existe des incohérences au sein de l'espèce humaine.
Gregor : J'prétends que c'est un miracle que ton cerveau te sorte pas par les oreilles.
Miriel : Serait-ce une facétie ? Ce que tu viens de décrire est hautement improbable. Ma vie est vouée à la recherche scientifique la plus rigoureuse, tu le sais bien...
Gregor : Nom d'un écureuil, ça a l'air... très amusant.
Miriel : Mais ne voulais-tu pas m'offrir une tisane ? D'ortie, n'est-ce pas ?
Gregor : En fait, je dois y aller ! J'dois aller, euh... faire une corvée qui ne peut pas attendre !
Miriel : Oh, je vois. La prochaine fois, peut-être ?

Rang B

Gregor : Mmh... Intéressant... J'avais jamais pensé à ça !
Miriel : ...
Gregor : Ho ho ! Mais c'est pas bête, ça !
Miriel : Je ne t'intéresse plus ? Ma compagnie, en tant que femme, je veux dire.
Gregor : Par tous les pignons de ma pomme de pin ! T'approche pas comme un voleur !
Miriel : L'autre jour, tu m'as avoué qu'un homme comme toi était attiré par certaines femmes. Je conduis une étude afin d'établir l'existence de lois universelles. Mais je ne peux mener cette étude à bien si je possède pas les qualités requises !
Gregor : Pas de panique, j'te trouve toujours aussi attirante qu'un pot de miel ! Mais aujourd'hui, tu vois, je suis captivé par ce livre très fascinant. J'suis gêné. C'est pas glorieux d'ignorer la présence d'une jolie demoiselle.
Miriel : Et quel est donc cet écrit qui attire si vivement ton attention ?
Gregor : C'est que j'l'ai trouvé par terre près du camp. Il est très fascinant. J'savais pas que la nature était régie par des lois et des principes. Ce livre traite le sujet de manière passionnante ! J'vois plus le temps passer !
Miriel : Ah. En fait, je le cherchais, ce livre. Il m'appartient ; c'est feu ma mère qui l'a écrit.
Gregor : Rah ! Mille excuses, chère madame ! J'voulais pas t'voler ce précieux ouvrage écrit par ta défunte maman !
Miriel : Ce n'est rien. Tu ne pouvais pas le savoir.
Gregor : Euh, si, y a un gros problème ! Tu vois, j'ai gribouillé plein de choses dans les marges !
Miriel : Ma mère serait ravie de voir que tu trouves son travail si passionnant. Quant à moi, je te suis reconnaissante de l'avoir trouvé. Je le pensais perdu à jamais.

Rang A

Miriel : Ahem, Gregor ! Puis-je te parler un instant ? Tu te souviens des annotations que tu as apportés au manuscrit écrit par ma mère ?
Gregor : Tu es fâchée parce que j'ai écrit des âneries dans ton livre, c'est ça ?
Miriel : Non, pas du tout. Mais certains de tes commentaires sont des plus... curieux... J'espérais que tu puisses avoir le temps de m'édifier sur certains d'entre eux. Un simple échange scientifique entre collaborateurs, si je puis dire.
Gregor : Euh, comment ça ? Mes notes n'étaient pas claires ?
Miriel : Peut-être qu'un exemple concret ne serait pas de trop. Ici, tu as raturé le syntagme « agent concourant à l'édification de la théorie »... pour le remplacer par un seul mot : « expérience ».
Gregor : Ah oui ! J'm'en rappelle ! Euh, ce changement te plait pas ?
Miriel : Bien au contraire. J'ai souvent médité sur cette phrase dans l'espoir de réussir à l'amender. Mais tu as trouvé le maillon manquant et est parvenu à parfaire le passage tout entier. Je n'avais pas soupçonné que tu possédais un tel talent d'analyse.
Gregor : Hé hé ! Ouais, j'analyse tout le temps, moi ! J'ai appris ça à l'école buissonnière !
Miriel : Je ne connais pas cette institution. Est-elle agréée ?
Gregor : Tu veux savoir le secret de mon éducation ? Ne fais rien du tout. C'est c'que j'ai fait !
Miriel : J'ai bien peur de ne pas comprendre.
Gregor : Bah, j'ai rien fait de spécial ! J'ai appris en observant autour de moi. Le savoir, c'est un instinct naturel. L'oisillon sait comment prendre son premier envol.
Miriel : C'est absolument fascinant.
Gregor : La plupart des gens courent à travers la vie comme des poules sans tête. Toujours une tâche urgente à exécuter. Mais quand on prend son temps et qu'on observe tout, on devient malin comme moi !
Miriel : Eh bien, voilà matière à réflexion. Merci beaucoup, Gregor.
Gregor : Reviens quand tu veux ! J'suis toujours prêt pour un échange scientifique !

Rang S

Gregor : Ah, Miriel. Encore le nez fourré dans un livre !
Miriel : J'ai beaucoup réfléchi à notre discussion de l'autre fois. Il m'est difficile d'admettre l'idée que l'on puisse apprendre de façon passive. Émettre une hypothèse, mener une étude, démonter une théorie... C'est important !
Gregor : J'remets pas en question l'importance des livres et des machins scientifiques. J'voulais juste expliquer qu'il y a d'autres manières de s'instruire, tu comprends ?
Miriel : Non, je suis désolée. Cette notion m'échappe totalement.
Gregor : Hmm. Laisse-moi te donner un exemple, oui ? Comment la science définit l'amour ?
Miriel : L'amour ?
Gregor : Bah oui, tu sais, quand deux personnes s'aiment bien et veulent passer...
Miriel : Oui, oui, je connais le principe, Gregor. Et pour répondre à ta question... il faudrait faire en sorte d'isoler les comportements observables récurrents. Certains d'entre eux sont déterminés par des facteurs culturels.
Gregor : Comme se tenir la main, c'est ça ? Ou les petits bisous entre amoureux ? Ou encore... l'échange de cadeaux ? Comme ceci... ?
Miriel : Oh, un anneau ! Oui, c'est un bon exemple des comportements que je mentionnais. Le spécimen masculin fait ce présent pour indiquer sa volonté de convoler. Cela constitue, en effet, un indice de l'existence de l'amour.
Gregor : Miriel la scientifique peut-elle décrire ce qu'elle ressent à présent ?
Miriel : Eh bien, mon pouls est élevé, mes mains, moites, je me sens curieusement nerveuse... Je ne peux, en revanche, trouver une explication à ces troublantes... anomalies ! Tss ! Ce n'est pas raisonnable ! Je dois rester sereine et analyser les faits.
Gregor : Tu vois ? C'est exactement ce que j'voulais t'expliquer ! Tu refuses de t'instruire par l'expérience. Tu analyses tout comme si c'était abstrait. Et si tu muselais ta grande cervelle, et que t'écoutais un peu ton cœur, pour une fois ! On apprend plein de choses en écoutant son cœur !
Miriel : Je... Voilà qui est nouveau. Peut-être découvrirais-je un tout autre monde inexploré en suivant ton conseil.
Gregor : Écoute Gregor ! Tu comprendras jamais le cœur humain en utilisant la raison. Tu dois t'y glisser et t'y tapir tel un animal dans sa tanière... Donne-moi ta main, je vais te montrer ! Ensemble, nous ferons un voyage fabuleux !
Miriel : Serait-ce possible ? Oserais-je délaisser ce fidèle compagnon qu'est la raison... pour me livrer au rets de l'émotion ? Très bien, Gregor. Je t'accompagne dans ce voyage, cette exploration du cœur !
Gregor : J'demande rien de mieux. Quel bonheur !

Merci, donc comme dit, plus que les deux autres et la première génération est terminée.

Je me suis un peu emballé en fait, j'en ai oublié quelques-uns :

Soutiens manquants (MAJ)

Gregor/Maribelle
Libra/Olivia
Olivia/Donnel
Miriel/Donnel
Henri/Nowi
Maribelle/Donnel
Palne/Donnel

(Là, je pense que c'est bon maintenant)

Daraen Female/ Gerome ça a été fait? J'ai cherché sur pleins de pages j'ai rien vue

Ah mais le soutien que je te devais à déjà été fait Soren, zut alors…
Je pensais pas qu'en si peu de temps (genre un an et quelques mois) ça pourrai arriver.

Psycho, tu pourrais m'en faire un autre alors.
Et le soutien Daraen(Femme)/Gerome n'a pas été fait.

Je rappelle que vous pouvez consulter les soutiens déjà faits ici pour l'instant.

https://docs.google.com/document/d/1OqJxAMj32f0OFrkdGxWCsBmhpmv52-qw53YJZwsdc_Y/edit