En même temps tu vas jamais te coucher après l'avoir dis donc bon...
sur se bonne nuit tous le monde. on c'est bien marrer.
Pain j'attend toujours qu'on me dise bonne nuit avant que j'y aille, par signe de respect.
Donc dis moi bonne nuit, déja que t'es pas sympa tu peux bien faire ça non ?
bonne nuit satsu, tu devrai changer d'air des fois, sa te ferrai du bien, achete toi un animal moi je sais pas
Non.
Yoda => Parions là dessus.
Bonne nuit cartman.
Bonne nui Satsu.
Merci de me dire bonne nuit karkao, je vais enfin pouvoir dormir.
Personne ne m'as dis bonne nuit depuis 1654.
Triste époque.
Tiens maintenant que j'y pense, je ne suis même pas ce que j'ai dis sur la tolérance...
C'est vrai que c'est compliqué.
Oh oui si tu est tolérant, tu irais imédiatement avouer avec ton pseudo evii_sephiroth que tu ma plagié et que tu demande ton propre ban.
pain regarde un truc sur la tolérance http://www.dailymotion.com/video/x2y318_le-camp-de-la-mort-de-la-tolerance_fun#.USbKGmcjovk
...finalement je suis tolérant, tu fait 66 faites "si/ré" par jour et c'est la première fois que je te le fait remarquer.
Bioups...
Alors j'ai vérifié rapidement, ya bien cette idée qui me gêne dans le mot pardon. Pardon sous entend "nullifier (ça existe pas oui --'), oublier une faute". Pas besoin d'oublier et de réduire à zero une erreur pour "ne pas en vouloir" ou "accepter". Le pardon dans l'idée est une notion assez religieuse, le pardon c'est surtout le pardon divin. A échelle humaine, le pardon j'en ai jamais vu du vrai.
Cette histoire de tolérance alors, bah c'est justement là que c'est intéressant, la tolérance c'est "accepter ce qu'on approuve pas", ce qui correspond mot pour mot à l'acceptation d'une "faute" de soit ou autrui, puisque la considération d'une faute comme une faut sous entend qu'on l'approuve pas.
Ca je pense que c'est une bonne chose, tenir rigueur de quelque chose à quelqu'un, la rancune, bon c'est quelque chose qu'on choisi pas nécéssairement de faire, mais dans les faits ça n'apporte pas grand chose (je vais pas rentrer dans le "la rancune c'est mal" hein, c'est plat et sans intérêt).
L'action de tolérer quelque chose n'empêche pas l'idée de tenir compte continuellement ce que l'on tolère, contrairement au pardon qui indique donc que l'on oublie la chose en question. En conséquence de l'utilité en terme d'expérience de la mémoire des erreurs, je ne vois pas le moindre intérêt au pardon, qui de toute façon n'a rien d'humain selon moi, on est incapables d'effacer une faute complètement, les liens de cause à effet multiples donnent techniquement un nombre de résultantes infini à chaque action.
A l'inverse, je ne vois pas d'exemple de chose intolérable, si on part du principe de conditionnement génétique et environnemental de chacun, on ne choisi pas qui on est et par conséquent on ne choisi que ce qu'on est conditionné à choisir. Selon moi ça enlève toute responsabilité d'un point de vue purement théorique, même si dans la pratique pour une vie en societé on est obligé de déterminer une part de responsabilité. Si personne n'est responsable, aucune raison de ne pas accepter les choix des gens peu importe ce qu'ils sont. Mais l'idée de tolérance n'interdisant pas de "tenir compte" de la faute, elle est parfaitement humaine, et être entièrement tolérant même envers l'intolérance ne devient que conséquence d'une vision très rationnelle de ce que sont les êtres humains, un tas de viande conditionné :3.
Bon c'est très très raccourci, mais c'est juste pour donner une vision localisée, on peut approfondir des points précis :3.
Avant de dormir je te pose une question philosophique déchu.
Je lirais la réponse demain, donc prend ton temps.
Qu'est ce qui peux changer la nature d'un homme ?
L'amour
La haine
Le pouvoir
La cupidité
La mort
Les regrets
La vieillesse
La souffrance
Le succès
Les plans
Rien ne peut changer la nature d'un homme.
Je ne peux pas répondre à la question.
Bonne nuit
J'ai rien à répondre de travaillé à ça, je l'ai écrit tout à l'heure je ne crois pas en le fait qu'on puisse changer notre "forme de départ" remodelée constamment par notre environnement. Ce qu'on est génétiquement est définitivement indélébile même si disposé à fluctuer. Evoluer oui, altérer oui, changer non, dans l'idée de "changer" ya une notion de passer de A à B sans qu'il y ait de lien entre A et B, et j'envisage pas ça pour un être humain. Dans alteration et évolution, ya clairement une idée de passer de A à B par le chemin qui mène de A à B. En plus clair, la même différence qu'entre deux points et une ligne.
C'est un sacré résumé...
Pour le premier paragraphe, je suis d'accord, en fait pour pouvoir pardonner à quelqu'un, il faudrait pouvoir juger sa vie pour voir ce qui l'a amené à faire ça, et comment il aurait pus éviter de commettre l'acte, mais également voir si des interactions avec d'autres personnes ne l'ont pas poussés à commettre cette faute.
En fait il faudrait tout savoir sur cette personne, jusqu’à ses pensées les plus intimes pour savoir précisément si il pensait à mal, hors seul un être divin pourrait faire ça, donc c'est impossible.
Le quatrième paragraphe, c'est exactement ça en effet, oublier c'est facile, mais si c'est pour refaire les même erreurs, ce n'est pas très malin.
Le cinquième paragraphe, tu veux dire que certaines personnes seraient génétiquement ou environnementalement conditionnés à commettre des fautes ? encore une fois il faudrait TOUT savoir sur le fautif pour le juger, et donc même voir son ADN. un pardon est donc impossible vue comme ça. C'est un peu dommage pour ces personnes vus qu'elle devront vivre avec alors qu'elles étaient préprogrammés pour le faire par contre, ça attire ma sympathie encore une fois, outre le tas de viande moi je vois le pauvre type montré du doigt qui après coup ne s'en remettras lui même jamais...
Enfin bref, je suis assez d'accord avec toi en fait.
"J'ai rien à répondre de travaillé à ça, je l'ai écrit tout à l'heure je ne crois pas en le fait qu'on puisse changer notre "forme de départ" remodelée constamment par notre environnement. Ce qu'on est génétiquement est définitivement indélébile même si disposé à fluctuer. Evoluer oui, altérer oui, changer non, dans l'idée de "changer" ya une notion de passer de A à B sans qu'il y ait de lien entre A et B, et j'envisage pas ça pour un être humain. Dans alteration et évolution, ya clairement une idée de passer de A à B par le chemin qui mène de A à B. En plus clair, la même différence qu'entre deux points et une ligne. "
En effaçant la mémoire de la personne ça doit être possible, mais c'est une idée assez fantaisiste
Et encore si la génétique joue (ce qui semble être le cas) ça ne vas pas forcément arranger le problème.
Mmh... Je comprends ton point de vue, Dechu... La différence entre le pardon et la tolérance. Il ne faut pas oublier l'acte et les conséquences, faire comme s'il ne s'était rien passé, mais il faut toujours le garder dans un coin de sa tête et l'accepter, vivre avec.
Eh bien, si on ne s'était pas compris au début, c'est que je n'ai pas un usage des mots aussi formel que le tien. Il y a bien une différence entre les deux, mais quand je dis que je pardonne à quelqu'un, je n'oublie pas complètement ses fautes pour autant.
Mais en fonction de la faute et de sa gravité, le temps peut très bien la faire disparaître, nous la faire oublier, tu ne pense pas?
Si telle personne t'a fait quelque chose de gravité moyenne, du genre... j'ai un peu de mal à l'illustrer... disons qu'un ami te vole de l'argent (pas trop non plus, restons dans le moyen). De base, c'est un ami, il y avait donc une certaine confiance qui régnait. Cette confiance s'écroule, mais comme tu n'es pas rancunier, tu accepte la faute. De plus, il a des arguments, eh bien, acceptables? Style, il était vraiment dans le besoin, avait trop honte de te demander, je trouve rien d'autre sur le moment .
Comme tu es sympa, tu le garde pour ami, continue à lui parler, a traîner avec lui, etc...
Il se passe un certain temps, prenons dix ans. Durant ces 10 années, ton ami t'as tiré d'innombrables pétrins, t'a soutenu, tout ce qu'il pouvait faire pour toi, il l'a fait, en plus d'être agréable à vivre, sympathique, marrant, de bon conseil...
Tu ne pense pas que tu aurais oublié la faute commise dix ans auparavant?
Personnellement, je ne suis pas sur de m'en rappeler, ou alors vaguement.
Et quand bien même tu ais encore le net souvenir de ces évènements, pense-tu qu'ils modifieraient d'une quelconque façon ton comportement envers Jean ? (ton ami)
Je pense avoir bien résumé ma pensée...
Je vois les choses encore plus fixes que ça en fait. Je pars du principe que tout le monde est conditionné à être d'une certaine façon d'être. Et tout le monde cherche à faire le bien, tu ne peux pas faire le choix de quelque chose que tu penses mal. Attention je parle au premier degré, tu peux choisir de faire quelque chose de "mal", si tu penses que faire cette chose "mal" est bien. Si tu remontes sans arrêt comme ça, tu remarques qu'on ne sait faire que ce qui nous paraît bien, on a pas la capacité de faire un choix en contradiction avec notre pensée de "ce qu'il faut faire". Les gens qui pensent "à mal", pensent que ce "à mal" est un bien. Ce que je veux dire, c'est qu'on n'est est pas capable de vouloir faire le mauvais choix.
Si tu aimes A et pas B, dans une situation normale tu prendras A. Et si jamais tu prends B pour me donner tort, alors tu as fait le choix de prendre B parce que tu jugeais "bien" de le prendre pour me donner tort. Au final ton choix n'en est pas un, tu choisis ce que ce ton identité te fait choisir dans une situation donnée, sans avoir la possibilité fondamentale de faire un autre choix dans la situation en question. En ce sens, si personne ne fait de choix qui dépendent d'autre chose que de la génétique et de l'environnement, aucun acte ne mérite de responsabilité et donc de rancune. Alors tout est tolérable. Mais on tient irrémédiablement compte de ce qui se passe même en l'acceptant, donc rien n'est pardonnable.
Mon raisonnement donne ça dans l'idée.