Oui ils sont partout mais ce n'est pas la grande révélation de mon histoire.
Je suis magazinier dans une entreprise d'elec
Chapitre 35 :
Que peuvent-ils bien se dire ? Il me semble qu’ils ne se connaissent pas pourtant. A moins qu’elle fut une assassin aux ordres d’Ezio par le passé. Hmm.
Clac !
Kotka descend les marches. Seule. Le regard normal comme s’il ne s’était rien passer. Cela cache quelque chose. Moi qui pensais bien la connaître. Une énigme de plus.
Ezio sort à son tour du bureau.
« Taka, dit il. Viens. Il faut que je te parle. »
Il veut parler à tout le monde celui là c’est dingue. Je monte et je me dirige vers le bureau. Je regarde Kotka qui regarde Ezio. C’est une mise en garde. Il doit garder un secret. Mais lequel ?
« Je suppose que tu n’as pas encore eu le temps de faire le serment ? demande t-il.
-Le serment ? M’interroge. Des assassins ?
- Quel autre serment voudrais-tu passer mon cher ami ?
-Aucun autre Mons…
-TUUtutu. Coupe t-il. Pas de monsieur. Ezio. Ou mon maître. Mais toi ça sera Ezio.
-D’accords…Ezio.
- Voilà qui est mieux, dit-il en souriant. Je sais que tu n’as pas le temps alors, quand tout sera terminé. Reviens me voir et je te ferais Assassin.
-Oui. »
A vrai dire je ne sais pas quoi en penser. Les assassins se battent pour préserver le libre arbitre. Je suis pour mais … tant qu’il y aura un libre arbitre il y aura des guerres, des souffrances, de la tristesse. Comment peut-on instaurer la paix sans obliger le monde à s’agenouiller ? Je n’ose poser la question à Ezio. Il se mettra en colère parce que je dois sûrement penser comme un templier. Je ne suis pas comme eux… mais réaliste. Le prophète doit connaître la réponse. Celle de trouver la lumière dans les ténèbres. J’aimerai tant savoir qui c’est.
« Il est tant de nous mettre en route Kotka. Je dis. Nous retournons en Terre-Sainte.
-C’est partie. Dit-elle. Merci pour tout Claudia, Ezio. J’espère qu’on se reverra un jour.
-Je l’espère aussi, répond Ezio. Buona fortuna miei amici. »
Nous voilà partie. Nous allons enfin pouvoir mettre la main sur la clé du temple et ainsi surveiller la lame. Jusqu’au jour où le prophète s’en emparera et l’utilisera contre ses ennemis. Bien triste conclusion que d’annihiler des personnes sans qu’ils ne se doutent de rien.
France, Paris, 1509. Règne de Louis XII.
Je ne sais pas où je suis. On me trimballe depuis maintenant plusieurs semaines dans cette carriole moisi. Attaché, blessé et fatigué. Ce « Un ». Bastardo. Si je sors et que je l’attrape je m’en vais te le.. On s’arrête. J’entends des bruits de pas. Plusieurs hommes ouvrent la porte arrière de la charrette.
« On est arrivé mon bonhomme. Dit un garde. Tu vas avoir une nouvelle maison.
-HAHAHAHAHA. Plusieurs gardes s’esclaffent de rire.
-Voila donc où je suis. Je dis. En France. Vous n’aviez pas plus loin.
-On obéit aux ordres de sa majesté. Jetez le moi au fer camarade. Le roi le jugera plus tard avec son confrère.
-Mon confrè…BAM !!! »
Plusieurs heures après.
Ouuch ! Ma tête. Ils ont frappés fort ces brutes. Où suis-je ? Dans une cellule ? Je préférais la charrette après mûre réflexion. Je ne suis pas seul. Il y a une vingtaine de cellule. Toute occupé.
On y distingue des hommes au seuil de la mort. Mais… ces marques sur leur doigt. Ce sont tous des assassins. Le roi de France serait un templier ?
« Volpe ? Dit un homme dans une cellule en face, la voix est faible. C’est toi ? »
Je me tourne dans sa direction. Je reconnais cette voix. Même affaibli je la reconnaitrai entre mille.
L’homme s’avance dans la lumière projeté par la petite lucarne de sa cellule.
Je lui dis :
« C’est toi ? Machiavelli ?
"Il est tant de nous mettre en route Kotka. Je dis"
Je trouve qu'il vaut mieux dire "dis-je", ça fait bizarre sinon
"Toute occupé"
Oublie de quelques "s" nan?
Sinon je le trouve vachement perspicace Taka, non?
Mais sinon c'est bien
Eh bien, deux chapitres en deux jours, on est gâté!
C'est toujours aussi bien et je pense que tu vas nous mettre une petite scène de bataille avec La Volpe et Machiavelli pour sortir de la prison?
Vous verrez j'espère que vous connaissez bien vos cours d'histoire. :D
Moi, avant 1900...
Chapitre 36 : Ce soir, c’est la bonne
Plusieurs mois passent. Mais pour ces prisonniers, ils semblent que cela fait des années.
Malgré cela La Volpe et Machiavelli guette le moment propice à l’évasion. Durant ces mois ils ont pu en savoir plus sur les autres détenus. Ce ne sont pas des assassins. On leurs a tendu un piège et marquer au fer sur la main le symbole des assassins. Une méthode de dissuasion lorsque ils seront exécutés devant le public. La Volpe avait réussi à obtenir la sympathie des autres pour ainsi pouvoir s’évader plus facilement.
Ce soir, c’est la bonne. Après de nombreuses vérifications, je connais maintenant les rondes des gardes, comment ouvrir la porte de la cellule et comment s’évader. Le problème, c’est que nous sommes une quinzaine. Trop nombreux pour une évasion furtive. Mais si on ne sort qu’a 3 ou 4 les autres seront punis. Pas le choix. Nous allons devoir faire avec.
Voilà maintenant 3 semaines que je taille dans un morceau de bois le motif de la clef. A nombreuse répétition j’ai échoué mais cette fois, c’est bon. Il ne reste plus qu’a l’essayer. Je vois Machiavelli croiser les doigts. CLIC ! La porte s’est ouverte. Super. Mais je ne dois pas sortir maintenant. Je dois attendre le gardien des clefs et ainsi pouvoir libérer tout le monde.
10 minutes plus tard.
Je l’entends arriver. Ils sont trois. Mince ! Ca se complique. Je ne peux plus attendre.
« Alors les larves !! On s’amuse bien ? Dit un des trois gardes.
-HAHAHAHA, rirent les deux autres.
-Le chef a décidé que demain, deux d’entre vous seront exécuté ! Reprend t-il.
-On ne sait pas qui alors, gardé espoir que ce n’est pas vous ! Dit le gardien des clefs. »
Ils me tournent le dos c’est le moment. J’ouvre la porte. Je m’approche discrètement du groupe.
Ils bavardent tranquillement sans qu’ils ne se doutent de quelque chose. Tant mieux. Je me saisi de la dague du gardien des clefs en même temps que je le saisi lui-même. Je lui tranche la gorge et lance la dague sur celui de gauche. Le troisième à peine alarmer tente de sortir sa lame mais je suis trop rapide et lui met deux coups de poings. Un dans la tête et l’autre dans les côtes. Il a du mal à respirer. Il s’écroule par terre. Je ramasse la dague et je me dirige vers lui. Il rampe. Il se retourne et me vois arriver. Dans ses yeux je vois qu’il sait que la mort vient le faucher.
« A L’A…ARGH !! »
Je lui plante la lame dans la gorge, étouffant son crie dans un flot de sang. Je prends les clefs et commence à ouvrir toutes les cages.
« Ecoutez moi bien tout le monde, Dis-je. On va s’évader. Mais pas par la grande porte. On va faire ça discrètement. Si vous m’obéissez il n’y aura pas de mort dans nos rangs. Tentez de n’en faire qu’a votre tête, et cette dernière tombera dans leurs mains. Compris ? »
Je n’eu pour réponse que des acquiescements.
« Bien, une fois sorti on se sépare tous et on se donne un rendez vous. Je ne connais pas la ville alors dites-moi.
-Il y a un repaire dans la forêt à 10 minutes de courses à l’est. Dit l’un d’eux.
-Quel genre de repère ?
-Ce n’est pas un repère mais plutôt un refuge pour les exilés. Dit un autre.
-C’est parfait. On se retrouvera là bas. »
Je prends quelques couteaux sur les gardes et en distribue un peu.
Nous montons les escaliers et nous arrivons sur une porte qui donne dans un couloir suffisamment sombre pour nous cacher. Je fais signe aux prisonniers de me suivre. Nous avançons dans l’ombre jusqu’à une salle. D’après ce que je vois, il y a deux gardes. Je fais signe de la main de s’arrêter, je ne tiens pas à être repéré. Je vais donc y allez seul. J’ouvre la porte délicatement et m’insère dans la salle éclairée que par des torches. Plusieurs zones d’ombres s’offrent à moi pour les assassiner. Le premier me tourne le dos et l’autre regardent à gauche. Une chance que j’ai pris deux couteaux. Je m’approche du premier. Une fois derrière lui je lance le couteau sur le deuxième qui fait mouche. En pleine tête. Je plante ensuite le premier dans la gorge et il s’effondre. Les pseudo-assassins arrivent et portent les cadavres à l’abri des regards.
Nous continuons et nous arrivons enfin à une fenêtre. On est au premier étage. Tant pis on avisera de ne pas nous faire mal. J’ouvre cette dernière et nous avons accès à un toit de maison à 5 mètres, plus basse que notre hauteur. Cela ne pouvait pas être plus parfait. Je fais signe des doigts aux prisonniers de regarder Machiavelli sauter. Il s’élance et saute dans l’ouverture pour atterrir avec une roulade sur le toit. Ainsi toutes les personnes sautent les unes après les autres pour ainsi ne laisser que moi.
« HALTE !! Dit un garde. On ne bouge plus !! »
Merda. Il me tien en joue. Machiavelli me regarde mais je lui fais signe de partir avec les autres.
« Qui êtes vous ? Reprend le garde. Que faites-vous ici ?
-Je prends l’air Monsieur le garde, dis-je. Et d’ailleurs… »
Je me dirige vers la fenêtre en marchant. Puis me hisse sur le bord.
« J’ai dit : ON NE BOUGE PAS !!
-Il est trop tard Monsieur !! J’ai dit que je voulais prendre l’air ! »
Je me jette dans le vide sans élan mais les prisonniers s’étaient mis en dessous et me réceptionnèrent tant bien que mal.
« SONNEZ L’ALARME !!! EVASION !!!EVASION !!! »
La cloche de la prison retentit dans toute la ville. Mais nous courrons à travers les ruelles en direction de l’est. Je dois faire quelque pour cette ville.
"gardé espoir"
Gardez
Etant sur tel, je peut pas tout relever, mais c'est que de l'étourderie
J'écris sous word. et quand j'ai écrit gardez ça m'a écrit gardER. Alors j'ai mis gardé dans le doute
Genre t'as fait un mix
J'suis un fou moi xD
Ouais, j'ai vue ça
Y a pas eu trop de bataille mais c'est cool, cette petite évasion même si Machiavelli a pas trop l'air d'aider La Volpe
T'inquiète pas j'ai prévu de l'action dans le prochain chapitre. Puis faut pas oublié qu'il a croupi plus longtemps dans les geôles et qu'il n'a pas toute ses forces
Chapitre 37 : Course poursuite !!
« Par là !! » Crie Machiavell, en me montrant une ruelle.
Nous accourons tous dans cette rue. Plusieurs dizaine de mètre après nous nous retrouvons confrontés à une bifurcation. Quatre ruelles s’offrent à nous. Cinq évadés partent à droite, cinq à gauche, et six dans la ruelle au milieu. Moi et Machiavelli emprunteront la ruelle à gauche de celle du milieu.
Machiavelli n’en peux plus de courir et je le comprends, enfermé depuis je ne sais combien de temps.
Mais il prend son courage à deux mains et nous continuons à courir. Nous entendons les gardes derrière nous à quelques minutes. Nous courons toujours en direction de l’est. Quand soudain, nous arrivons sur une grande place.
« Pose-moi, La Volpe. Dit Machiavelli. Notre bataille est imminente et inévitable. Il faut que je reprenne mon souffle. »
Je le fait asseoir sur un banc à côté d’une étale de pain. J’en prends deux. Etant donné que le marchand n’est pas là on ne peut pas dire que c’est du vole. J’en tends un à Machiavelli et je mange l’autre. Ils sont un peu durs mais ils vont nous requinquer un peu.
A mesure que nous dégustons notre pain, nous entendons de plus en plus les gardes se rapprocher. Et après quelques minutes, ils nous trouvent, assis, les regardant tous. Ils sont dix.
« Rendez vous !! Hurle un garde qui devait sans doute être le chef d’équipe. Ou vous trouverez la mort !!
-Il est temps Machiavelli….
-Hahaha vous vous rendez c’est bien..
-… de tuer les témoins ! »
Il y a un temps d’arrêt. Les gardes mettent un temps avant d’assimiler ce qu’ils viennent d’entendre.
« Baptiste. Dit le chef sans nous quitter des yeux.
-Oui chef ! Dit le Baptiste en question.
-Vas appeler du renfort…
-Mais… Ils ne sont que deux chef !
-C’est… UN ORDRDE !! Hurle-t-il.
-Pourquoi moi chef ? J’ai envie de me battre !!
-Tu es le plus rapide et nous allons avoir besoin rapidement de renfort. »
Le Baptiste ne comprend pas la réaction de son chef mais obéis. Il court en direction de la prison.
« La Volpe !! Dit Machiavelli. Rattrape-le !! Il ne doit pas ramener du renfort.
-Et toi ? Réponds-je.
-Vas ! »
Je respecte son choix. Je lui passe la dague que j’ai volé et je pars en courant en prenant la même ruelle que le coureur.
« Je vous ai sous-estimé Monsieur le chef d’équipe. Dit Machiavelli.
- Et en quoi ? Je vous prie, répond t-il
- Je pensais que vous étiez un de ceux qui se jettent aveuglement dans la bataille. Mais vous avez su évaluer notre force.
-Votre force c’est amoindri !! Coupe le chef. En faisant partir votre compagnon.
-Vous vous trompez Messere. Dit Machiavelli en souriant.
-Comment ça ?
-Je combats mieux seul et mon « compagnon » est parti tué votre demande de renfort. C’est Vos forces qui s’amoindrissent ! »
Il coure vite le pleutre. Je n’ai plus l’endurance de mes vingt ans. Et pourtant il n’est qu’a quelques mètres de moi. Que fait t’il ? Il tourne à droite ? Mais… la prison est à en face. C’est trop marrant. Il ne connaît pas sa ville. Une chance pour moi. Il regarde sans cesse derrière lui. Il doit être vraiment paniqué maintenant qu’il sait que je suis derrière lui. Il tourne à gauche.
« Laissez-moi !!! Hurle-t-il. »
Comme si j’allai dire « Mais bien sûr, on prend le thé ?!! ». Il grimpe à une échelle. Il décide donc de prendre les hauteurs. Je n’aurais pas pu espérer mieux. Je grimpe sur une étale. Saute d’appuie de fenêtre en poutre. J’arrive en haut un peu avant lui, mais la distance est encore trop grande et j’ai laissé ma dague à Machiavelli. J’espère qu’il est encore envie. Le temps presse. J’accélère le pas. Je saute sur un autre toit adjacent et je saute sur une poutre en contrebas de la ruelle. J’ai disparu à ces yeux. Je lui suis toujours mais lui ne le sait pas. Je refais surface de temps en temps quand j’en ai l’opportunité. Il s’arrête enfin et reprend son souffle. Je m’accroche au bord du toit et je m’approche de lui. Je suis suffisamment près maintenant. Je monte sur le toit mais il me voit. Je suis à deux doigts de l’attraper. Quand soudain, dans quelques secondes de course, se dresse une énorme ruelle bondée de monde, ce qui veut dire que les toits s’arrête net ! Cinq mètres de haut !
Il ne s’arrête pas ? Il est fou. J’accélère un peu et je le prends mais la vitesse nous entraine et nous tombons.
Il me frappe dans ma chute mais je le bloque. Je me mets sur son dos et au dernier moment je prends appuie sur lui. Ce qui, naturellement, a ralenti ma chute et qui, pas inversement proportionnel, a accélérer la sienne. J’atterris un peu brutalement. « Je suis trop vieux pour ces conneries » me dis-je.
Le bruit de l’impact et de ses os résonne dans toute la ruelle et il s’en suit de nombreux « AAAH ! » et des « AU SECOURS !! » ainsi que « A L’ASSASSIN !! ». Je ne me fais pas prier. Je m’échappe de cette rue et reprend la direction de Machiavelli. Mon dieu reste en vie mon ami.
Ouais, ça c'est cool
J'avais pas pigé que le recit avait changer
Pourtant c'étais assez explicite non?
Ouais, mais pas assez pour moi
Je pensai que Machiaveli se gourait en prenais Taka pour LaVople
Chapitre 38 : « Prudence est mère de sûreté »
Je cours aussi vite que je peux.
Les ruelles se ressemblent toutes !! J’ai l’impression de tourner en rond. Des gardes !! Vite je me cache. Ils ne me cherchent pas ? Ils ne sont que deux.
« Alors que se passe t’il ? Dit le premier garde.
-On est le 28 mars. Le commencement des hostilités est prévu pour le 1er avril. Nos troupes sont attendues non loin d’Agnadel en renfort. Il faut partir tout de suite et nous arriverons pour début mai.
-Alors comme ça les Vénitiens vont vraiment nous combattre !!
-Ils ne feront pas long feu, je te le dis !! La coalition est grande.
-La fameuse ligue de Cambrai ? Demande le premier. Cela fait un moment que j’en entends parler mais je ne suis dans les rangs que depuis peu.
-La ligue de Cambrai. Formé le 10 décembre 1508 par Jules II.
-Le pape qui a succédé à Rodrigo Borgia?
-Lui-même. »
-… »
Mince ! Je ne les entends plus !! Il faut que je les suive, c’est beaucoup trop important !!
« Et c’est pourquoi, Notre roi Louis XII, Jules II, Maximilen 1er l’empereur d’Allemagne, et le roi d’Aragon Ferdinand on décidé de monter une coalition pour étendre leurs terres. Mais les vénitiens ne l’entendent pas de cette oreille et veulent nous résister.
-Je comprends mieux maintenant !! J’ai entendu dire aussi, qu’ils font partie d’une organisation secrète, les templ…ARGH
-Ne prononce pas ce mot ici bon dieu !! Dit le deuxième garde en empoignant son second.
-Désolé, ça m’a échappé.
-Bref, moi ce que j’en pense, c’est que Jules II ne va pas rester longtemps avec nous. Je suis sûr qu’il se retournera contre nous, et… »
J’en ai assez entendu.
C’est horrible. On va perdre c’est obligé. Il faut que je prévienne Machiavelli… MACHIAVELLI !! Je l’ai complètement oublié.
Je reprends ma course et au bout de quelques minutes je me retrouve sur les lieux où j’ai laissé Machiavelli mais je me cache aussitôt. Des gardes sont encore là. Ils ramassent les corps de leurs confrères. Je ne compte pas moins d’une vingtaine de mort. Pourtant, ils n’étaient plus que neuf quand je suis partit pourtant.
« Que fait-on chef ? Demande un des gardes à son chef qui était accroupi au dessus d’un de ses hommes mort.
-… Ils étaient au moins quatre. Dit-il en se frottant le menton.
- Comment le savez-vous ? Interroge un autre garde, trapu et barbu.
- J’ai examiné les corps. Répond-il. Il y à déjà 3 armes différentes. Et on peut penser que la personne qui à tué Baptiste en est une autre.
-Vous êtes fort chef.
-Avec le temps tu apprendras à réfléchir avant d’agir. Prudence est mère de sûreté, mais surtout l’information avant un combat est curcial. Plus on en sait et plus on a des chances de l’emporter. On est face à des adeptes de la lame. D’après ce qu’on ma rapporté sur Baptiste, on l’aurait tué avec une dague à bout portant mais en plein vole, tu vois le délire ?
-Le meurtrier s’en est sorti donc il est agile, et rapide. Dit le garde trapu.
-Oui, et en plus la dague est en plein cœur. Les entailles que je regarde sur Claude, qu’il repose en paix, sont nettes et précises. Je pense qu’on a à faire à des assassins confirmés. Les autres sont morts sauvagement assassiné, ce ne sont que des amateurs.
- Que fait-on alors ? Redemande le premier garde.
- Vous balisé la zone, et vous inspecter les lieux, le moindre détail suspect peut peut-être nous dire où ils sont. Moi je vais à la prison. Je pense que je pourrais en savoir plus. »
Cet homme est dangereux. Sa capacité d’analyse ne doit pas être son seul atout. Méfiance. Je bats en retraite furtivement et me met en direction de la forêt.
La ville est en alerte générale. Les gardes sont partout. Je décide de passer par les toits. Les gardes n’ont vraiment pas l’habitude de voir des gens sur les toits, ils n’inspectent même pas. Par la même occasion je peux admirer la grandeur de la ville. Je n’en peux plus. Je m’arrête un peu pour reprendre mon souffle. J’entends les gardes courir et demander de l’aide aux passants pour savoir s’ils auraient vu quelque chose se passé mais le peuple ne savait rien du tout, à part pour l’assassinat que j’ai perpétré, mais ma capuche m’a dissimulé.
Je reprends ma route jusqu’à la forêt. Je sors de la ville par la grande porte, caché dans l’immense population qui transite. Je peux enfin atteindre la forêt et me mettre à la recherche des évadés. Je n’eux pas à chercher longtemps. A vrai dire c’est eux qui me cherchent.
« Messire, dit un des évadés du nom de Frédéric. Seigneur Machiavelli vous attends.
-Il a donc survécu ! Je réponds, soulagé. Amène-moi à lui. J’ai à lui parlé.
-Bien Messire. »
S’en suit une longue marche dans la forêt.
« Nous avons changé d’endroit, dit il. Certains gardes nous ont suivis et connaissent la cachette. Notre planque est beaucoup plus loin.
-Grotte ? Montagne ? Je demande avec curiosité.
-Grotte. A vrai dire c’est un souterrain abandonné depuis des lustres. Personne ne s’y aventure Messire.
-Pourquoi donc ?
-On raconte qu’il y aurait eu des meurtres inexpliqués. »
On arrive enfin à la grotte. Machiavelli m’attend.
« Volpe !! Que je suis content que tu sois en vie. Entre donc mon ami, nous avons à parlé.
-Oui mon ami. Nous avons à parler. Beaucoup.