On descendit de la maison pour nous retrouver dans une ruelle. En attente d’une opportunité pour nous mêlez à la foule, je demande :
« Tu l’a déjà fait ? Je veux dire.. te fondre dans la masse ?
-Oui, plusieurs fois, mais toujours toute seule. Fais ce que je te dis et tout se passera bien. Tien toi prêt, ça va être à nous. »
Un groupe de gens arrive par derrière nous, ce qui nous permets de rentrer dans la place, aussi invisible qu’une mouche à 300 mètres. Nous quittons le groupe pour en prendre un autre. Ainsi nous nous dirigeons dans la bonne direction. Zigzagant à travers les personnes émerveillées par les flammes d’un bouffon qu’il faisait tourner autour de lui. Le tout accompagné d’une mélodie joué au violon. Je ne dois pas me distraire de mon objectif. Je continue de suivre « l’araignée », quant tout à coup elle me fit un signe de la main pour qu’on s’arrête. Elle se retourne en direction de la scène de la musique et me murmura :
« Regarde la scène et applaudit ! »
Je m’exécute. Du coin de l’œil je peux approximativement en déduire « le pourquoi on s’est arrêté ? ». Deux troupes de gardes passent derrière nous. Une fois passé, je lui fais signe que c’est bon. Un grand groupe de personne va en direction de notre objectif. Et hop. Trop facile. Il ne suffit plus que de marcher et :
« Il ne faut pas s’arrêter, on ralentira un peu pour voir ce qu’il y a d’écrit et on continue de marcher, marmonna t’elle. »
On s’approche. Arriver à hauteur, on tourna légèrement la tête pour regarder l’inscription. Encore un message codé. 165913718 2->|<-2. Je mémorise le tout. Me le répétant sans cesse dans ma tête. Jusqu’à que mademoiselle me fasse tourner à un angle de mur.
« Alors ? J’ai rien compris.
-C’est un code chiffres/lettres, mais c’est bizarre… Le message forme le mot péimgr.
-C’est bon j’ai compris, lança t’elle. Il faut inverser les deux syllabes 2->|<-2 .Grimpé. Mais où ?
- Tout en haut du Panthéon, lui dis je.
-COMMENT ?!! Tu rêve mon canasson, il y a des gardes partout qui patrouillent … partout !!
-Canas… ?Justement, ils surveillent l’extérieur du périmètre. Une fois en haut, c’est comme si on était à l’intérieur.
-M’ouais. Et tu veux procéder comment ?
-Mademoiselle aurait elle peur de la grimpette ?
-De la grimpette ? T’entends quoi par là ?
-De grimper au mur. Pourquoi ? Tu as compris comme… aaaah ok, hahaha. Aurait-on l’esprit tordu ?
-Maimaimais pas du tout, balbutia t’elle.
-Bref. Allons-y, l’araignée tordue. »
Aujourd'hui, c'est cadeau, pour une suite mise à jour, la deuxième gratuite
Nous scrutons les alentours, à la recherche d’un endroit propice à l’escalade. Mais aussi non surveillé. Cela n’est pas chose aisée vu que les patrouilles passent partout. Il me fallu 15 minutes pour trouver une stratégie.
« Bon, écoute-moi…s’il te plaît.
-M’ouais, propose toujours.
-J’ai remarqué qu’il y a un intervalle de 30 sec où les gardes ne sont pas là.
-C’est court pour escalader, dit elle.
-Et encore là c’est facile. Le problème c’est que l’endroit que je dis est « ingrimpable ». Regarde. »
Je lui montre le coin. Un mur de 4 mètres de haut non éclairé, plusieurs patrouilles qui vadrouillent, et une fois au dessus du mur, encore un mur de 5 mètres.
« En effet. Mais avec mon grappin je pense pouvoir remédiez à ça.
-J’ai oubl… perdu le mien.
-C’est pas grave, tu te serviras du mien. Voilà le plan. Ceci est une bombe qui émet un gros bruit. Cela nous fera gagner 20 à 30 secondes de plus. Je vais la jeter à l’autre bout à gauche. On court, je lance le grappin, tu prends de l’élan et tu monte, je saute, tu m’attrape pour monter plus vite, et on enchaine avec le deuxième mur. Compris ?
-Oui. »
On attend. Encore un peu. Un petit peu. Maintenant. Elle lance sa bombe, et elle s’élance dans la ruelle, grappin à la main. Elle le jette et il s’agrippe en haut du mur. Je cours et je prends appuie sur le mur.10sec. Je me hisse en haut. A son tour de monter, je l’attrape. 20sec. Je sens les gardes approcher. Deuxième mur. Grappin, je monte. Elle commence à monter, quand soudain. Au moment où je l’attrape la corde lâche. Nom de dieu. Les femmes sont légères ? Mon œil oui !! 30sec. Je vois les gardes au bout des ruelles. Que faire ? Je ne peux pas la lâcher, mais je ne vais pas tenir longtemps. Réfléchi !! Réfléchi !! La main qui la tien glisse. Non seulement elle va tomber et surement nous faire repérer, mais elle va sans doute se tuer !! C’est quoi ça ? Le grappin ! Je l’accroche sur le muret et agrippe mes pieds dessus. Je peux enfin utiliser la deuxième main pour la tenir.45sec.
« Là, Taka, une poutre, me dit elle, balance moi.
-Bin voyons, lui dis je dans un effort. »
Sur la gauche, la droite, la gauche, la droite. Une fois bien balancé elle prit la poutre du bout des doigts et s’accrocha avec les pieds, fit une pirouette et se stabilisa sur la poutre.
« -Fais la maline, profite !!
-J’ai failli attendre !! rétorqua-t-elle. »
Les gardes passèrent à l’endroit où nous étions il y a une minutes. Nous continuons notre ascension jusqu’au sommet du Panthéon. Nous découvrons une trappe avec le sigle des assassins.
« Cela fait 10ans que je suis dans cette ville, dit elle, je n’ai jamais vu cette trappe. C’est dingue.
-Comme tu dis. Bien entrons. »
Toc toc toc. Nous attendons.
« Qui est là ?
-Taka et voici … l’Araignée. Avec un grand A, comme Agaçante.
-Aaah !! Enfin ! Entré. Numéro Un et Deux vous attendent.
J'ai lu et j'aime, je pense que je vais essayer de suivre la fic de prêt malgrès que je passe très peu de temps sur Jv.com
C'est genial! Je vais faire de la pub
JE vous met la suite en deux fois
On entre dans ce que j’appellerais un grenier. A première vu, c’est petit, sombre et d’une odeur nauséabonde. Mais en suivant le « majordome », il nous fit passer une deuxième porte secrète, qui laissa place à la lumière et l’espace, un grenier de luxe je dirais. La salle est ronde, sur environ 10 mètre par 10, des lanternes un peu partout et plusieurs lits de fortune sur un côté. Une espace de mur en bois séparait ces derniers de plusieurs bureaux où étaient entassés énormément de papiers et de livres.
« Assoyez-vous, dit le Majordome. Ils ne devraient plus tarder. Je vous sers quelque chose ?
« Un remontant, demande l’araignée.
-Pour moi aussi, ça n’a pas été facile d’arriver ici. »
Il s’exécuta. J’enlève enfin ma capuche et elle en fit de même. Je pus enfin la dévisager. Elle était vraiment mignonne. 1m70, Cheveux or qu’elle détacha, yeux bleu océan, le nez bien proportionné, ses lèvres pas trop pulpeuses. Petit visage agréable à regarder en somme. Elle me surprit à la regarder un peu trop longuement.
« Bon ça va, tu ne veux pas que je danse aussi ? me lança-t-elle.
-Et pourquoi pas !! Excuse moi, c’est juste que c’est la première fois que je vois des cheveux d’une telle couleur, d’une telle brillance.
Elle rougit.
-C’est vrai, gloussa t’elle. Tu les trouve beau ? Je n’ai de cesse de les nettoyer et brosser. Je viens d’un pays scandinave. D’où ma couleur de cheveux. Mon vrai prénom c’est Kotka Spiriva. Mais je préfère qu’on m’appelle l’araignée.
-Pourquoi ? Je trouve Kotka très jolie. Si j’en réfère à ma culture des langues, cela veux dire Aigle. Je préfère l’aigle à l’araignée. Taka aussi veut dire Aigle. Serais-ce un signe ?
-Doucement Don juan. Tu ne me plais pas. Du tout.
-Au moins, ça a le mérite d’être clair !
-Oui. Ne pleure pas hein, dit elle en rigolant.
-Il m’en faut plus, petite.
- Petite ?répliqua-t-elle, vexée à mort. Je suis plus vieille que toi !!
-Ah bon, quel est ton âge ?
-Oui bon ok je suis plus jeune. Mais mentalement je le suis beaucoup plus !
-Hahaha, voyez vous ça, mais c’est que mademoiselle à la grosse tête.
- On n’est pas venu pour entendre vous disputez, lança un homme qui avait surgit de nulle part.
-Deux !! Ca fait longtemps !!
-En effet. Trop longtemps. Tu as beaucoup grandi. Te voilà un homme
-Pffeuuh, minauda Kotka.
Les deux hommes la regardèrent d’un air indifférent.
-Désolé de ne pas t’avoir attendu à Athènes, reprit Deux. On a du rentrer à Rome en vitesse. On a capturé un traître. Il échangeait nos informations contre de l’argent des templiers. Heureusement qu’on plusieurs assassins infiltrés parmi eux. On a pu le démasquer. Il s’appelle Avvoltoio Minenze Da Roma.
-Et qui sont ces personnes infiltrés ? Demande Kotka.
-Un va venir avec eux. Je suis venu avant pour vous accueillir mais vous êtes arrivé plus vite que je ne l’aurai cru.
-Oui oui ça été facile.
- Facile, répliqua-t-elle. On a failli mourir deux fois, mais bon, ça été facile, dit elle en m’imitant.
-Oui bon d’accords, j’ai foiré deux trois truc, des broutilles.
-Bref, on va attendre combien de temps ? Esla nous attend pour partir.
-Patience, jeune fille, chaque chose en son temps. Je dois parler à Taka.
-De quoi donc ? »
La porte s’ouvrit. Trois hommes rentrèrent dans la pièce. Numéro Un, puis une personne imposante, grande, vêtu de l’uniforme traditionnelle des gardes. Le visage ferme, comme s’il avait supporté toutes les misères du monde et avait survécu à tout ça. Il s’appelait Antonio Autidore. Le troisième rentra à son tour. Je ne m’y pas deux secondes à le reconnaitre. Vêtu d’une cape noire, le visage ridé, entaillé de plusieurs batailles, de taille moyenne. Ma colère resurgit. Cette haine disparue et cumulé depuis maintenant 1 mois, qui refait surface, au galop. Je m’élançai sur l’homme et le plaqua à terre, je sortie ma lame secrète et au moment où la pointe de cette dernière toucha son coup, plusieurs bras bloquèrent le mien. Et dans une colère monstre, je lui lança :
-Je vais te tuer la VOLPE !!!
Je m’efforce d’essayer de lui transpercer la gorge mais les autres me retiennent.
-Lâche le TAKA !! Cria Un.
-CET HOMME A TUE MON PERE !!
-Je ne l’ai pas tué, me dit il, enfin si mais, tout ce qui a été fait à été planifier par ton père.
-MENSONGE !! TU ES UN TRAITRE !!
Ma lame s’approche de plus en plus de sa gorge. La colère m’anime.
-Je ne mens pas !! Crois-moi. Si Esla et Ezio ne sont pas au courant, c’est qu’il fallait qu’ils croient en ma traitrise !! Pour Machiavelli aussi !!
-QU’EST-CE QUE TU RACONTE !!!
-Tu crois vraiment que Cesare aurait trouvé ton père par pur hasard ? Il se cachait de tout le monde, et c’est lui qui m’a appelé un jour pour me parler, planifier sa mort !
- Lâche-le !!! TAKA Lâche le !!
Après 5 secondes de silence à le regarder dans les yeux, je pu desceller une pointe de vérité dans ce qu’il affirme. Je retire ma lame et me relève.
- Dans ce cas, dis-moi tout, je veux tout les détails.
-C’est dans ce but que je suis venu Taka.
Il se leva, se dirigea vers la table et se posa sur une chaise.
-Bien. Dit-il. Pour commencer, ton père était mourant. Une maladie incurable. Qui le rongeait depuis plusieurs années. Il y a 3mois. Ton père m’a fait venir chez lui. Il m’a dit « Je n’en ai plus pour longtemps ». Il affirmait qu’il préférait mourir au combat que dans un lit mais il à trouver une façon d’aidé les assassins avec son décès. Il m’a donné l’adresse de son bureau, pour que j’y amène des gardes de Cesare pour lui soutirer des informations et … le tuer. Machiavelli et moi somme des infiltrés, avec Antonio aussi, sauf qu’ils ne savent pas qu’Antonio est un ancien assassin. Le fait de trouver ton père et de le tuer, nous gratifiais de la confiance de Cesare et des Templiers. C’est pour ça qu’aujourd’hui, je suis le bras droit de Cesare. Machiavelli à trouver ta mère et lui à dit de se cacher a Masyaf. Machiavelli y a été envoyé une fois l’information donné, et lui seul doit la retrouver. On ne pouvait espérer mieux. Ta sœur est à la Rose fleurie, diriger par la sœur d’Ezio qui, en ce moment, s’évade du château, après qu’Ezio lui aussi, s’est échappé.
Tu dois rejoindre ta mère à Masyaf et t’entrainer pour la phase finale. Une fois qu’Ezio en aura fini avec Cesare et les Borgia, je pense que personne d’autre ne se mettra sur notre chemin.
Retiens bien cette phrase Taka : Soit proche de tes amis, mais encore plus de tes ennemis. En prouvant ma loyauté, on a un avantage sur eux. »
Tout ça était trop pour moi. Mon père ? A planifier sa mort ? Je voudrais lui dire tant de chose. Il est trop tard maintenant. Sur l’honneur de mon père, je jure que j’annihilerais les templiers.
« Taka, dit UN, on va venir avec toi. A Masyaf. Pour l’entrainement et pour te protéger, le temps qu’Ezio reviennent. On partira demain à midi. J’ai déjà averti Esla, elle est partie amarrer le bateau.
-Bien. Parlez-moi de notre ordre. »
Ils me parlèrent tous de notre crédo, de notre confrérie, ce qui s’est réellement passé toute ces années. La nuit passe, et on fini par s’endormir un peu partout. Une nuit agité me dis-je. Plein de révélations, beaucoup trop pour moi.
Je confirme, destroyer a fait de la pub sur ma fic. Vraiment pas mal ta fic. Allez, je me permet de me faire de la pub.
Voilà ma fic
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-25970-308085-1-0-1-0-fic-assassin-s-creed-iii.htm
J'ai vue quelques confusions et fautes de temps, mais sinn sa va
Il y a de la recherche je trouve. Il y a une suite logique à l'histoire. Manquerai pu que les templiers meurt comme ils sont mort en vrai.
la pub est parvenue a mes oreilles je vais lire ta fic
merci destroyer
Ah bon destroyer? ou est ce que j'aurai gaffer?
La flemme de tout relire, mais en gros ta écrit "il m'y" au lieu de "il mit"
Ah ok^^
Demain je ne pourrais pas poster alors je vous mets ça maintenant.
Le jour se lève. J’espérais que tout ça ne soit qu’un rêve. Un mauvais cauchemar dû à mon incroyable imagination. Toujours allonger je regarde le plafond tout en ne le regardant pas. Si Ezio va tuer Cesare et les Borgia. Pourquoi mon père s’est il sacrifier ? Juste pour que la Volpe et Machiavelli ai la confiance des Templiers ? C’est trop gros pour être vrai. Il y a surement une raison autre que celle que l’on m’a donnée. Une raison qui expliquerait pourquoi je suis devenu un assassin après ça. Tout c’est enchainé trop vite. Père. Ma sœur. Esla. Athènes. Un et Deux. Kotka. La Volpe maintenant. Il y a quelque chose qui m’échappe. Je tourne ma tête et m’aperçois que Kotka est à quelque centimètre de moi. Elle est si belle quand elle dort, mais si elle s’aperçoit que je la …
« Arrête de me regarder, dit elle toujours les yeux fermé.
-Mais que vas-tu chercher là, je ne perds pas mon temps avec ça.
-Ca ? Je ne suis que « ça » ?
-Roooh ça va !
-Si j’ai bien compris !! Je ne suis qu’un objet ?! C’est ça ?
-Sinon … Bonjour !
-Ouais ! Parle moi plus.
-Qu’est ce que ça doit être quand tu te réveille du pied gauche…
-C’est quoi que tu as là ? Lui dis-je en lui montrant sa jambe gauche.
-C’est une dague. On n’est jamais trop armé. Tu devrais en prendre une.
-Une lame … Mais bien sûr !!! T’es géniale !! »
Je me lève, et me dirige vers La Volpe. Je savais ce qui me chiffonnait. Ca m’est revenu d’un coup, grâce à la dague de Kotka.
« La Volpe. C’est quoi : La lame Bouddhiste ?
-Ah. Nous y voilà. La lame Bouddhiste est une légende. Il y a trois cents ans. Altaïr Ibn La-Ahad à vaincu son Maitre, Al Mualim et récupéra ce qu’on appelle maintenant la Pomme d’Eden. Ce qu’Ezio a aujourd’hui. Il à vécu longtemps et à émis une prophétie. La pomme lui a envoyé un message qu’il à écrit noir sur blanc dans un livre, et que nos ancêtres nous on fait partager.Cette écrit à été envoyer au mont Doi Inthanon en Thaïlande, en sûreté, protéger par des moins shaolin. Cette prophétie dit : « Celui qui aura connu toute les souffrances du monde, celui qui pardonnera à son prochain, à ses ennemis, celui qui, par promesse, aura juré fidélité à la paix et à l’amour, pourra un jour s’emparer de la lame et expier les démons qui veulent gouverner le monde par la colère, la tristesse, la peur, et le chaos. » Nul n’a jamais su, qui en aurait la capacité. Mais cet homme, ou femme, continua la Volpe en regardant Kotka, devra connaître toutes les souffrances du monde et cela inclut la perte d’un être cher. Cela inclut aussi, de côtoyer la mort et s’en être échapper.
Je n’aimerai pas être cette personne. J’ai déjà perdu énormément de personnes qui étaient tout pour moi. Les conséquences en sont dramatiques. Vengeance, colère, meurtre. Le vide ne se remplit pas.
-Et vous pensez que c’est moi ? Je répondis
-On ne sait pas. Je l’espère sincèrement, mais tout ce qui t’es arrivé, n’est pas dû au hasard. Il y a une raison. Ton père est mort. Cela en fait peut être parti.
-Mon père s’est suicidé. Je ne pense pas que cela soit pris en compte.
-Nul ne le sait. Mais il faut qu’on retrouve le sanctuaire. Et que le prophète prenne la lame.
-Il va falloir qu’on s’entraîne assidument alors, lança Kotka. Je suppose que le fait de grimper là haut ne sera pas le seul danger. Je suppose que les moines nous empêcheront de s’approcher.
-Oui. Mais j’y suis déjà allez. Je pense pouvoir éviter toute confrontation. Je l’espère.
- En route, dit Un. Il ne faut pas faire plus attendre Esla et son équipage.
Nous partons enfin de la cachette. La fête n’est pas terminée, elle dure trois jours et trois nuits. Une aubaine pour nous, puisque la pluparts des gardes sont là.
« Je dois rester à Rome, me dit La Volpe. Antonio aussi. Nous ne devons pas nous faire repérer avec vous. Cela compromettrai ce que pour quoi ton père est mort. Je vous souhaite bonne chance à tous et faites bonne… »
Une flèche me frôla la tête. La Volpe cria « COURREZ !! » Ce qu’on fit immédiatement. UN, DEUX, La Volpe et Antonio se ruèrent sur les archers. Je veux combattre, je fais demi-tour mais Kotka m’attrape et me dit : « Ils ont dit de courir, Tu es trop important pour être sacrifier au combat ». Elle a raison … sûrement. J’entendis encore de nombreuses flèches décochées de leur arbalète, et l’une d’elle me touche le lobe de l’oreille. Qu’est ce que ça fait mal. Je saigne trop, je me mis à couvert et pris un morceau de tissu que j’avais mis dans mes bagages et, tant bien que mal, je fais un pansement. Nous courrons à la recherche d’un endroit pour sauter et en regardant en bas je vis un enclos de type médiéval qui sert à faire des joutes. Et là plusieurs tas de foin. Je fis signe à Kotka de sauter, avec l’élan ça devrai le faire. On sauta tout les deux en même temps. Elle, les bras en saut de l’ange et moi les bas gigotant dans tout les sens. L’atterrissage n’est pas sans problèmes, bien que le foin fût dur quand même. Nous passons devant une troupe de gardes et nous prenons la ruelle sur la gauche. « ATTRAPPEZ LES !! » Mince, ils nous ont repérer !! Kotka se mit derrière moi, et lança une bombe fumigène dans l’allé. La ruelle est étroite, la fumée prend tout l’espace. En courant je décide de renverser des chaises, tonneaux un peu partout à mesure que la fumée approchait. De nombreux cris de douleur, d’injures sont émis juste après cette action. Je suis plutôt fière. Kotka me dit : « Là une échelle monte !! ». Une fois en haut, la vison de Rome et de notre orientation n’en fut que meilleur, on est dans la bonne direction. Mais les toits n’est pas l’endroit le mieux pour s’échapper, ce que je confirmai aussitôt que je vis des archers sortir un peu partout. On est à découvert. On court le plus vite possible. Ne réfléchissant plus je m’arrête pour prend un très long bout de bois, au moins 5 mètres, sûrement pour fabriquer une échelle, Bref. Il est lourd mais ça va. Kotka me regarde avec des yeux étonnés tout en continuant sa course et elle compris pourquoi. Le toit s’arrête nettement dans quelque mètre. Une ruelle d’environ cinq ou six mètre puis un nouveau un toit. « Accroche-toi à moi !! Lui dis-je. C’était trop fou. Je décide de lancer la perche dans la ruelle, je pris Kotka dans mes bras, style « on est marié» et je saute dans le vide. La perche heurte le bas et commence à se mettre droite comme un i. Mes deux pieds atterrissent sur le bout de la perche. La perche continue sa lancer, et une fois à hauteur, je resaute avec Kotka. Trop court. Je la jette. Elle s’accroche au toit. Je m’accroche à sa jambe. Je heurte de plein fouet le mur, je titube mais tien bon. On remonte tant bien que mal. Et on continue la course. Je dis : « Ne me demande pas de le refaire s’il te plaît !! » Elle rigole. Nous arrivons enfin à la fin de la ville, nous courrons encore et encore. Arrivé à la lisière de la forêt je m’arrête.
« Stop !! On se reprend !! Je n’en…peux Pluuuus !!
-Moi… aussi.. répondit elle, haletante.
- On attend les autres maintenant. »
Une heure plus tard.
« Je crois que quelqu’un arrive, dit Kotka. Cachons nous.
-C’est Deux.
- Vous êtes là… Je vous cherchais partout.
Il était épuisé, blessé au bras, au visage, ces vêtements déchirer par une épée.
-Ou est Un ?
-Mort.
-Coo..Comment ?
-On nous a tendu un piège. Dit il
"Toujours allonger"
allongé
"s’est il sacrifier"
sacrifié
Et yen a plein de celle là
Fait attention aux participes, et j'aime
Le pire dans tout ça c'est que j'utilise word, et que c'est lui qui me corrige automatiquement ça. Je le sais que c'est é mais ça me corrige er c'est chiant.
j'aime beaucoup serieux et je me permet de faire de la pub se serait bien que tu puisse venir commenter ^^
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-25970-315361-1-0-1-0-fic-l-envoler-d-un-aigle.htm
Pour les participe passé demande toi "s'est il sacrifié" tu remplace sacrifié par un verbe comme mordre, vendre, battre. Si c'est vendu alors "é" à la fin de ton verbe si vendre "er" oubli pas le féminin et pluriel avec "e" et "s" à la fin. Ta eu un cours de français gratuit ^^ Sinon Kokta et Taka finirons ensemble et la lame jpari est à masyaf dans la bibliothèque. Jen dirai pas plus pour cause de spoil sinon mais les gens ayant fini comprendrons où
T'inquiète mec, pour les participes passé je l'ai compris quand j'étais en primaire, j'utilise mordre, parce que j'adore mordre xDD.
Et ne fait pas de conclusion trop facilement damien, parce que j'ai prévu plein d'imprévu XD. La lame ne se trouve pas à masyaf et Kotka et Taka je n'avais prévu de les mettre ensembles. J'ai une fin de la fic plutôt inattendu et j'éspère que ça va vous scotcher =D
La suite
« Comment ça un piège ? Je dis, étonné. C’est La Volpe c’est ça ?
-Je ne sais pas, mais toujours est-il que les archers qui nous tiraient dessus, n’étaient que des premières lignes à sacrifier. Nous avons combattu tous vaillamment, et La Volpe m’a sauvé une fois. Ensuite, d’autre archer sont sortis de partout.
-On les a vu ouais, répondit Kotka. Ils nous on tirés dessus.
-Des Brutes sont monté sur les toits et malgré tout nos effort nous avons du battre en retraite, et c’est là qu’un garde un peu spécial est sorti et à sauter dans le vide sur Un et la transpercer avec sa lance. Un garde avec un casque facial du genre, renégat ou mercenaire. Ses derniers mots on été pour moi. Je devais fuir.
-ME**** !! Je cris. Je veux trouver le gars qui nous a balancé !!
-Trop tard ! M’interromps Deux. Il faut partir ! Maintenant que je suis seul. Je ne m’appellerai plus deux. Sachez qu’a partir d’aujourd’hui mon nom est...
-Un ? Demanda Kotka.
-Non… soupira Deux, mon vrai prénom. Kyo. Ne m’appelez que par ce nom s’il vous plaît.
-Kyo ?!! Dis-je en chœur avec Kotka.
-Oui. N’attendons plus, allons jusqu’au bateau. Il faut partir pour Masyaf.
Nous reprenons la route. Triste et désemparé je ne pu me résoudre à ce que Un soit mort. Il était si fort. Comment cela a-t-il pu arriver. Nous traversons la forêt à grand pas, guettant moindre bruits et ombres suspectes. Les rayons du soleil nous tapaient dessus tel un marteau qu’on abattrait sur nous. Intenable, nous faisons une pause. Courte mais reposante.
1 heure plus tard.
Nous sortons enfin de la forêt. Le bateau n’est plus qu’a 30 minutes de marche rapide. Un décor majestueux nous attendait. Un bel étendu de verdure. Un vent frais venait essuyer nos sueurs. Nous n’avons pas échangé un mot depuis qu’on est parti dans la forêt. Le silence est pesant, et je ne pu le rompre. Je ne trouve pas les mots pour dire combien je suis triste qu’un compagnon d’arme, qu’un ami soit tombé, pour nous.
Nous arrivons enfin au bateau. Une bataille avait eu lieu, mais aucune perte à déclarer dans l’équipage. Esla nous raconta que plusieurs mercenaires étaient venus abuser de sa beauté et de son bateau. Les morts parlent d’eux-mêmes. Ils ont essuyé une cuisante défaites et seul un homme est repartie en vie.
« Que vous est il arrivé, dit elle. Ou sont les autres.
-La Volpe est resté. Répondit Kyo. Ce n’est pas un traitre. Je t’expliquerai tout les détails à l’intérieur.
-Bien. Montez à bords, nous allons partir. François !!
-Oui ?
-Demandez au capitaine de bien vouloir prendre la barre. Nous partons.
-Je lui transmets. »
Et c’est ainsi que nous entamons à nouveau la route vers Masyaf. J’espère que rien ne viendra à nouveau perturber notre périple. La nuit tombe et je ne tarde pas à me coucher. Kotka fit de même et me demanda si elle pouvait me parler.
-Je n’ai encore jamais pris de bateau. Dit-elle, angoissée. C’est fiable ?
-Tu me fais rire, je lui répondis. A moins qu’on nous attaque je ne vois pas pourquoi on sombrerait.
-Je ne suis pas rassuré.
-Ne t’inquiète pas. Au pire on nagera.
Elle fit une grimace.
-Je ne le crois pas !! Tu ne sais pas nager ?
- Vas-y moque toi !! Cria-t-elle. Je n’ai jamais eu le temps d’apprendre.
-Je serais là, si jamais un jour tu dois apprendre.
-Ouais. Rattrape-toi. Bon maintenant dors.