Permets-toi.
Ce chap' va être énormément long Oo j'en suis déjà à 7 pages Word, et c'est bientôt le quart du chapitre...
Ca y est je t'ai ajouté maintenant je te lis ce chapitre^^
Bon allez c'est parti^^
Ca y est je l'ai lu, que dire? Bon déja au niveau des fautes d'orthographe, inutile des les répertoriées puisque que je n'en ai pas vu^^ donc ce serait difficile à faire tu crois pas?
A part çà je dirais une chose qui m'a choquée à la fin. Tu te mets dans ta fiction, je n'avais vu cela qu'une seule fois et ça avais très mal tourné pour l'auteur^^ Cf : Une fiction de soul calibur 3^^
Ensuite, j'ai bien apprécié le scénario surtout lorsque l'on voit Yamcha Krilin et C-18 ensemble. Et on comprend rapidement pourquoi Krilin est contre l'idée de revenir dans le passé^^(il perdrait C-18 en même temps)
Par contre je trouve que le combat entre Piccolo et Végéta n'est pas assez décris, à croire qu'ils ne se battent pas^^
Pour les 4 Wenpai je suis etonné de les voir en vie. Je n'aurais jamais pensé que cela prendrait une tournure pareille mais j'aimes, hein^^Ne te méprends pas^^
Dsl pas le temps de lire là alors plz n,e mets pas le prochain chap trop rapidement
Lisez mon chap' svp.
Mike: Je me suis mis dans ma fiction pour déconner juste, et parce que je devais partir et que j'avais très envie de poster, donc, j'ai juste voulu finir le chapitre, et une petite touche d'humour nul^^
Pour ce qui est de Piccolo et Végéta, attend un peu. Le combat, c'est dans le prochain chapitre.
Les quatre Wenpaï sont important pour l'histoire, tu comprendras pourquoi.
pour malentendants
A quand la suite?
Quand majinvégéto aura lu et qu'il sera prêt pour la suite.
Moi aussi il doit lire ^^. Merci encore pour ton conseil maitre, tu m'as donné mille idées ^^. Là, je vais peut-être envoyer le chap' cet après-midi.
Bon, laissez-moi un quart d'heure pour lire jay dotre chose à faire
Pas mal pas mal mais c'est lourd la touche humour dans ce genre de fic "sérieuse"
jamais un pouet complet^^
Le prochain chapitre plu tard.
Tu peux lire mon chap' 9 s'il te plait
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Danélic peinait à resister à ces quatres créatures parfaitement bien organisées, à croire que quelqu'un les contrôlait à l'éxtérieur. Le serpent intercéptait ses coups bien plaçés, et l'archer le contraignait à esquiver plus qu'autre chose. L'homme araignée se tenait sur le plafond, prêt à bondir sur sa proie, tandis que le colosse attaquait de front, insensible aux dégats. Le chef d'orchestre se livrait à une symphonie remarquable.
-Et maintenant, place au crescendo ! Déclara-t-il.
Les quatres furent prit de spasmes, et attaquèrent à une vitesse folle. Danélic fut vite surpassé et emprisonné dans une toile d'araignée.
-Tu ne pouvais rien face à nous, pauvre Lérée. Tu vas maintenant être mon esclave.
Il brandit alors sa baguette et l'abattit vers l'enfant. Tout à coup de le sol trembla et le chef d'orchestre perdit l'equilibre. Toute la prison remua, mais les solides murs resistèrent au tremblement. L'arme de Rasélic fut propulsée à travers la pièce et manqua de décapiter Grey, si le frère de Danélic ne l'avait pas attrapé au vol. Il commença alors à frapper sans relàche les barreaux de sa cage, visant les parties sensibles de la porte. Le fer se tordit au fur à mesure. Un morceau de métal fut éjécté, tandis que la porte s'ouvrait, et vint frapper le chef d'orchestre à la main, ce qui eut pour effet de lui faire làcher sa baguette et lui arracher la moitié du bras.
Les quatre Wenpaï semblaient sortir d'un rêve. Ils s'observèrent les uns les autres, ne sachant où ils se trouvaient, et avec qui ils étaient. Seulement, tous affichèrent le même mépris dans leur regard quand ceux–ci tombèrent sur le chef d'orchestre qui hurlait de douleur. Danélic crut comprendre et tenta:
-Il vous a utilisé, vengez-vous !
Les quatre mercenaires s'élançèrent et se firent une joie de mettre en pièce le musicien. À peine eurent ils finis qu'un choc puissant ébranla la prison toute entière. Rasélic réfléchit vite et entraîna Grey, son frère et lui en dessous du mercenaire collosal, tandis que toute la pièce s'éffondrait dans un tonerre de fracas et d'hurlements.
Quand nos trois héros rouvrirent les yeux, le colosse était encore debout, se massant le dos après un coup qu'il avait ressentit pour une fois, tandis que l'archer était éclaté sous une pierre, l'homme en costume s'époussetait les manches, une coquille géante en toile sur sa droite, et le serpent tentait de se réparer à l'aide de son corps de réptile, mais rien n'était coupé. Danélic alla lui trancher la tête pour qu'il puisse revenir à la vie, et celui-ci ne le remerciât même pas. Le chef d'orchestre avait miraculeusement échappé à l'éboulement, mais avec les attaques de ses quatre Wenpaï juste avant, il était dur d'imaginer qu'il soit encore en vie. Dans tous les cas, il ne pourrait plus rien faire, sa baguette étant cassée.
L'homme à la cravate et aux pattes dans le dos utilisa une flèche pour réscussiter l'archer, et le petit groupe de sept survivants sortirent des ruines. C'était le chaos le plus total. Des flammes s'étaient allumées à cause des torches renversées, des mercenaires se traînaient par terre, la moitié du corps déchirée à cause des chutes de pierres, et d'autres courraient en tout sens en hurlant, les vêtements en feu. L'odeur était affreuse, et l'absence de vent la rendait constante. Danélic chercha alors son ami des yeux. Pas de Régo ni de Tessal en vue. Même Myby qui devait avoir chuté de quatre-vingt mètre de haut était introuvable. Le Lérée avait accomplit sa mission, mais n'avaient pas du tout les sentiments de bien-être qu'il imaginait. Il était toujours d'une humeur massacreuse.
**
Tessal et Régo étaient toujours accrochés quand l'éboulement fut terminé. Régo était térriblement faible, et le peu de souffle qu'il sentait sur sa nuque indiquait que son adversaire aussi. Le Lérée se dégagea tant bien que mal de l'emprise du meilleur sabreur de l'Ibis et tenta de retirer l'épée enfonçée dans son ventre. Tout était compliqué, c'aurait été si simple d'arrêter de bouger, de se coucher là. C'était un sentiment proche de la fatigue, lorsque le corps est prêt à abandonner sa conscience pour plonger dans un monde dont il n'est pas le maître, régit par le subconscient. Ici, Régo avait très envie de fermer les yeux et laisser faire les choses. Tous le monde mourrait un jour. Lui était jeune, mais les autres l'auraient surement compris. Pourquoi resister ? La mort avait toujours fait peur aux êtres vivants. N'était-ce pas une marque de courage que de l'accepter plutôt que de la fuir ?
Tessal, quand à lui, était trop bléssé pour bouger. D'ailleurs, la hallebarde dans son bassin le clouait au sol, et une blessure à la gorge répendait son sang. Sa tête lui tourbillonait. Ses rêves de sabreur, c'était ainsi que ça allait se terminer ? Tué après l'éboulement de la tour qu'il avait lui-même fait construire ? Il ne pouvait accepter ça. Dans un effort surhumain, il plaqua sa main contre sa gorge, empêchant le sang de couler en partie, et leva la tête. Tout était flou, mais il savait que la vue lui reviendrait avant de mourir. Il ne pouvait pas laisser tomber la vie en ne sachant pas ce qu'il se passait autour. Est-ce que le monde de l'Ibis allait sombrer dans le néant ? Lui, le meilleur soldat de la galaxie, allait-il, par sa mort, entraîner un retournement de situation à l'avantage du Daim ? Puis, ses pensées se tournèrent vers son frère. Myby, qu'il avait toujours épaulé pour son "anormalité". Qu'il aurait aimé voir son frère une dernière fois, avant de rejoindre les cieux.
Son souhait fut exaucé. Une créature mi-Lérée mi-animal entra alors dans la pièce en escaladant les murs effondrés et rennifla alentour. Il avisa alors son frère grièvement bléssé. Il s'approcha lentement, une lueur d'abord indiscernable dans les yeux.
-Mon frère, gromella Tessal dans son sang. Je suis heureux que tu sois venu. J'ai toujours voulu de voir grandir, te voir épater les autres, alors qu'avant, tu leur faisais peur. Meilleur soldat de l'Ibis, c'est déjà impréssionant. Tu es devenu le plus fort à présent. Il faut que tu mène les troupes de l'Ibis à la victoire. Notre peuple doit survivre, penses-y. Vis, mon frère. Va et vis la vie que je ne pourrais observer. Va et vis la vie dont tu as le droit. Montre leur. Montre leur que tu n'es pas celui qu'ils pensent.
-Ou pas celui que tu penses, déclara Myby, énigmatique.
-Je t'aime, moin frère.
Myby ricana alors. Tessal observa ses yeux avec plein de tendresse, mais y découvrit quelque chose d'anormal encore une fois. La lueur dans ses yeux était un mélange de malice et de folie.
-Depuis le temps que j'attendais ce moment, ricana le frère de Tessal.
Alors Tessal vit son frère s'approcher et sortir ses griffes. Myby mordit, déchira, griffa, tordit, brisa et mangea son frère ainé, la lueur de folie dans ses yeux prenant une ampleur anormale, sa pupille devenant entièrement blanche. Régo assistait au massacre en se retenant de hurler. C'était une mort atroce. Dévorer par son frère, dans lequel Tessal avait plaçé tout ses espoirs, et misé son dernier regard avant la mort.
Quand Myby eut finit de se chercher les derniers morceaux de viandes entre les os, puis brisés quelques côtes en plus pour le plaisir, il regarda autour de lui, prenant enfin conscience de la présence de quelqu'un d'autre dans la pièce. Régo, sa lance prête à servir se crispa, essayant de se faire le plus petit possible, mais trop tard, le monstre l'avait vu. Il s'approcha lentement, laissant couler le sang de son frère sur sa lèvre inférieure sans l'essuyer. Régo attendit le dernier moment, puis frappa. Le poison se répendit à toutes vitesse dans les veines et les artères du soldat de l'Ibis, la lance profondément enfonçée dans son cœur. La créature tituba et s'écroula, le corps raide. Dans ses yeux, la vie s'éstompa avant la folie.
Pas de question, seulement l'attente de la deuxième partie.
Première partie de ce chapitre :
Le combat entre chacunes des personnes présentes est parfaitement bien retranscrits^^
Surtout avec Gotrunks qui perd sa fusion lors du choc^^
Le combat entre Rego et Tessal connait quant à lui une triste fin ^^
Chapitre 12: Le retour du passé, partie 2.
Alors que Kervant hurlait de peur, Sangoku envoya sa vague déferlante.
-HA ! Hurla Sangoku en propulsant le rayon flamboyant vers la créature de peau.
Sangohan se téléporta pour être hors de portée, et Kervant n'eut pas le temps d'esquiver l'attaque. Le kaméhaméha gigantesque le frappa de plein fouet, et Sangoku maintein la charge. Le hurlement de Kervant était à affreux. Scyllax avait le visage contrarié, bien qu'il garde les yeux fermés, et continua de se défendre à l'aide de son aura face aux deux jeunes demi-sayans. L'être de peau absorba en partie l'attaque, mais elle était trop consistante. Ne voulant pas détruire la planète pour une raison inconnue, il essaya de renvoyer ce qu'il avait absorbé. Commença alors un bras de fer de kikohah, opposant la moitié du kaméhaméha de Sangoku à l'autre moitié, contrôlée par Kervant. Sangohan envoyait des boules de feu sur l'être de peau qui peinait à empêcher la vague déferlante de tout détruire.
**
Au loin, l'Ancêtre s'était arrêté. La créature qui le poursuivait était bien trop rapide, et il devait s'en occuper pour éviter la destruction de la planète. En effet, toutes les machines en bas étaient très importantes pour son plan. Préparant son corps au combat qui allait suivre, il s'éleva quelque peu jusqu'à arriver au nuage de poussière. Tout prêt de ses oreilles, la tempête explosait, au-dessus du nuage, et risquait d'être dangereuse. Drek frappa alors. Ce fut un coup incomparable. Le vieux sayan fut propulsé en arrière, son corps se brisant. Le coup avait été envoyé après une longue course, ce qui signifiait un emmagasinement de puissance énorme. L'ancêtre se soigna avec une plume de Phénix du Soleil qu'il gardait làchement dans sa poche, et repartit à l'assaut, ses os reconstruits.
Le choc fit se briser le sol, qui laissa échapper des jets de laves et d'éléctricté. La lave bouillante déchirait le nuage de poussière qui par la suite créait une tornade monstrueuse. Trois ou quatre tornades apparuent ainsi, et le combat se déroula dans cet univers apocalyptique, la pluie fouettant leur corps, les éclairs aveuglant la scène, la lave explosant en dessous, et les tornades qui progréssait en ouvrant des brèches supplémentaire dans le nuage. Drek et l'Ancêtre esquivaient, frappaient, contraient, reprenaient leur force derrière une tornade. Tout semblait fait pour empêcher ce combat d'avoir lieu. L'Oozaru blanc libérait une puissance énorme, et l'Ancêtre peinait à lui résister.
**
Krillin, Yamcha et C-18 ecrasèrent le mercenaire, mais en abîmant la structure des machines. Une machine qui possédait deux énormes boutons clignota alors. Sur le premier bouton était inscrit: "Mise en marche phase 1". Sur le deuxième était écrit: "Mise en marche phase 2".
Alors, une caméra s'affola. Elle représentait le couloir qui donnait sur cette salle des machines. Les trois amis se préparèrent à affronter une bonne centaine de mercenaires, ainsi qu'une multitude de scientifique. C-18 déclara alors:
-Quel que soit l'utilité de ce bouton, il ne faut pas qu'ils y touchent. Tout ce qui est utile à l'ennemi est dangereux pour nous.
Une petite guerre allait éclater dans les sous-sol, et C-18 ne croyait pas si bien dire. Aurait-elle su que, en essayant de protéger ce bouton, elle ralentissait peu à peu un plan de déstruction de la galaxie ?
**
Scyllax prit les choses en main. La vague déferlante de Sangoku était bien trop puissante et pourrait empêcher les plans de l'Ancêtre. Il enroba le kaméhaméha de son aura noire, et le dissolva facilement. Sangoku n'en croyait pas ses yeux. Ces deux guerriers seraient-ils parfaits ? Il décida alors d'attendre en leur résistant que Végéta ait trouvé une solution pour Piccolo, puis de lancer la puissance du Daim. Pour gagner cette guerre, il fallait que tous le monde s'y mette. Pour gagner cette guerre, il fallait le Genkidama.
**
Régo se sentait trop faible. Il devait s'accrocher, malgré l'envie irrésistible de tout abandonner. Son corps était mort, mais son esprit resistait. S'il fermait les yeux, c'était fini. Il ne pouvait qu'attendre. Attendre que quelque chose le sauve. Rien ne viendrait, il en était certain, mais l'idée de mourir lui était inssuportable. Son cœur s'emballa alors, et une idée lui vint à l'esprit. La plume, dans sa poche. La plume du Phénix du Soleil. Peut-être arriverait-il à se soigner avec ça. Il rassembla ses forces et bougea un doigt. La douleur était affreuse. Il manqua de mourir, mais sa volonté était plus forte. Bougeant le bras vers sa poche, son sang se répendit, avant que tout ses sens s'éteignent.
Il ne voyait plus, il ne sentait plus. Seul un bourdonnement dans sa tête tentait de lui dire quelque chose. Il n'avait pas envie de s'y intérésser. Le bourdonnement se faisait de plus en plus fort, mais il luttait pour ne pas l'entendre. Quitte à mourir, mieux valait mourir sans un bruit qui l'embêttait. Alors, le bourdonnement sembla hurler, et il conssentit à écouter de quoi il s'agissait. C'était des mots. Des mots dans une phrase. Tout cela lui semblait si inutile. Pourquoi s'embêtait à donner un sens à chaque mot qu'il entendait.
"Aider", il savait ce que cela voulait dire, mais il ne voyait pas le but. "Je" aussi était un mot, mais pourquoi "je" ? C'était lui qui était important, à ce moment-là. Comme il aurait voulu une fin digne, une mort en héros, où tous le monde l'aurait regardé, où tous le monde aurait hurler, comme pour empêcher l'inévitable. Comme il aurait voulu que cette voix s'arrête, qu'on le laisse mourir. Alors, il entendit distinctement:
-Ne t'en fais pas, je vais t'aider.
Alors, il perdit conscience, plongea dans un rêve, et sentit la vie le quitter. C'était comme si tout voulait partir de lui. Des choses qu'ils n'avaient jamais sentis dans son corps, mais qui lui paraissait étrange qu'elle le quitte. Tout s'en alla, jusqu'à ce qu'il ressente une dernière chose. Un frottement le long de ses blessures.
**
Danélic conduisait les quatre Wenpaï dans une direction inconnue. Seul lui semblait connaître la déstination, et Rasélic ne tarda pas à lui demander.
-Nous rejoignons les autres, pour tuer l'Ancêtre, déclara le petit frère.
-Ça me fait plaisir de te revoir. Tu es revenu pour moi, lâcha le colosse, ému des prouesses de son frère.
-J'ai fait ce que je devais faire, répondit séchement Danélic.
Son frère ne répondit pas. Il sentait en le jeune Lérée une colère innéxpliquable. D'où venait ce goût du massacre. Avait-il oublié tout les conseils ?
-Nous voilà aux portes, déclara Grey. Je vais les détruire.
En effet, les portes avaient resistées au séisme, et étaient encore solidement fermées. Grey n'eut aucun mal à les faire exploser avec une boule de feu. Les yeux du serpent brillèrent.
-Nous… nous devrions rebrousser chemin, lâcha-t-il.
Danélic ne lui répondit pas, continuant sa route.
-Pourquoi irions-nous combattre l'Ancêtre ? Il est plus fort que nous.
La tarentule-humaine lui dit alors:
-Qu'est-ce qu'il y a ? Vous avez peur ?
-Ce n'est pas ça…
Il semblait très tendu. Il avait l'air très mal à l'aise.
Arrivés en dehors du pays de Zeclo, il s'élança alors, ses griffes fendant l'air. Danélic esquiva de justesse et brandit une épée, l'autre abaissée.
-Qu'est-ce qui vous prend ? S'écria Rasélic.
Le serpent feinta de l'attaquer à coup de griffe, mais s'enroula autour de lui.
-Vous ne toucherez pas à mon maître !
-Il vient de l'Ibis, s'écria Grey.
Rasélic réfléchit alors un petit moment, puis décida de passer à l'action, le serpent essayait de l'étouffer. Alors, il l'attrapa à la tête et au bas du corps, puis le déchira en deux. Il envoya les deux parties du corps par terre. Comme il fallait s'y attendre, la tête repoussa, avec un sourire mauvais.
-On m'a déjà eut une fois, je ne me laisserai plus vaincre.
Il fondit alors sur Grey, les dents en avant. Il tenta de le mordre, le venin coulant déjà sur ses dents acérées, mais un coup de poinge n plein centre du visage le bloqua. S'écrasant au sol, il semblait mourir. En un coup, Grey l'avait mis hors d'état de nuire.
Tout à coup, l'archer tomba, une griffe dans le ventre. Le serpent envoyait ses dernières armes, et Grey frappa alors dans l'air. Le mouvement qu'il avait fait representait une rotation, et eut tellement d'impact sur l'air qu'il imprima ce tournant. Les griffes furent retournées sur leur propriétaire. Alors, le serpent hurla:
-Argh, sauvez moi, je serait avec le Daim, je vous aiderais dans votre quête, je serait utile pour vous.
-Ça ne marche plus, tu nous as déjà eu une fois.
-Je vous en prit ! Vous pourrez garder un œil sur moi.
Après quelques réfléxions, l'archer s'avança, plaçant son carquois à terre, il arracha une plume de Phénix du Soleil, et l'appliqua sur les plaies du serpent. Celui-ci donna alors un coup de poing sur les autres flèches en hurlant de joie. Les plumes furent déchiquetées par ses griffes, et sa langue fourchue attrapa la dernière plume de l'archer et l'envoya dans la bouche du réptile.
-Enfin, j'ai enfin réussit ! Hurla-t-il. Manger une plume du Phénix du Soleil rend immortel ! Je sens déjà son pouvoir couler dans mes veines. Je suis la créature parfaite à présent !
Danélic s'avança seulement et lui enfonça son épée dans les points vitaux. Le serpent hurla, mais tenta de garder le sourire.
-Mais, c'est inutile, tu n'as pas compris ?
-C'est toi qui n'as pas compris. Tu es immunisé au poison, car ton sang le gèle. C'est valable aussi pour le liquide des plumes.
Dans la tête du serpent, tout tourbillona. Sa vision s'embruma, et dans un râle, il laissa la vie quitter son corps. Il venait d'être tué par son propre sang.
**
Végéta créa alors une Big Bang Attack qu'il propulsa vers le Namek. Celui-ci dévia facilement et la boule de pouvoir se perdit au-dessus de leur tête. Le ciel se déchira, et un éclair chargé du pouvoir du prince des sayans s'abbatit alors. La planète en subit le courroux, tandis que les combattants étaient emportés dans une tornade immense. Continuant de se tapper, ils s'envolèrent vers le dessus du nuage, là où la tempête était à son comble. Alors, ils arrivèrent au sommet. Là, tout fut calme un moment. Un bruit de tonerre leur éclatait les tympans, mais rien ne bougeait. Ils avaient seulement l'air en dessous des nuages d'orage. Piccolo sembla analyser l'environnement autour de lui. Son regard se perdit vers un point lointain. Quand Végéta conssentit à regarder lui aussi, il vit alors le cyclone qui venait. C'était anormal, le cyclone était beaucoup trop rapide, et il était remplis à bloc d'électricté.
Piccolo profita du moment d'innatention du sayan pour l'attaquer. Tout deux se frappèrent en même temps, et furent propulsés chacun dans un sens. Végéta fut envoyé dans le cyclone. Alors, passant au travers, il se retrouva dans une salle volante ! Deux petits Lérées se chamaillaient à l'intérieur. Ils se disputaient un morceau de pizza, comme s'il s'agissait d'une amulette divine. Végéta remarqua alors qu'il était dans une salle longue, où un canon gigantesque était braqué vers une ouverture, au loin. Les deux petits scientifiques hurlèrent de peur et plongèrent dans des petits vaisseaux avant de quitter les lieux. Végéta attrapa la part de pizza et l'ingéra. Ça ne valait vraiment pas la pizzeria au coin de sa rue.
Sur un cadran était inscrit un message. Végéta y jeta un coup d'œil, et lut:
"Cible numéro 426, le dernier canaliseur d'énergie"
Le prince des sayans n'en tira pas grand chose, et attrapa un cahier du genre "mode d'emploi". Alors, il lut:
"Ouragan de charge. Tirer sur les canaliseur d'énergie pour mettre en marche le plan. Quand les 426 sont remplis, attendez la mise en marche souterraine, puis enclenchez le levier à droite du canon."
Le père de Trunk s'approcha. Il y avait une petite lunette de visée. Il approcha son œil, et eut une image d'horreur. Il avait un gros plan sur le nez de Piccolo. Essayant de se calmer, il jeta un œil en dehors du cadran et vis le Namek, au loin. Celui-ci tenait quelque chose à la main, comme une boule de feu. Végéta lui fonça alors dessus. Tout deux se frappèrent sans relàche, le Némek et le sayan n'étant pas affectés par l'éssouflement, puis ils se retrouvèrent devant le canon. Là, Végéta pensa à un coup un peu prévisible: tirer. Il voyait le bouton luire, au loin. Il frappa l'autre rival de Sangoku à la nuque et envoya une boule de feu. La boule vola longtemps avant de frapper le bouton correspondant. Alors, le canon s'enflamma, et puis tira.
La puissance étant fabriquée pour dissoudre dans sa traversée et ne pas être dangereuse à son arrivée s'échappa. Le choc monstrueux envoya Végéta sur les paroie de l'ouragan, mais Piccolo n'eut pas cette chance. Il se prit l'énergie de plein fouet, et fut enveloppé d'une force destructrice immense. Un long cri se fit entendre, puis plus rien. Végéta l'avait vaincu, il pouvait à présent retourner chez ses amis.
**
Loin au-dessous, à l'endroit exact où deux créatures de la même race se battaient, le feu du canon déscendit, cherchant une cible. Drek avisa le tir et tenta de l'esquiver. L'Ancêtre, quand à lui, le prit directement sur le sommet du crâne.
-Déjà ? S'inquièta-t-il. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils fassent si vite.
Le ciel avait était transpercé, décomposé, pulvérisé par le coup de feu. Et pourtant, le sayan semblait content du résultat. Il se mit alors à vieillir et rajeunir, les deux à la fois, et à une vitesse folle. Drek resta sur le côté, observant la scène impossible. Alors, du corps de l'Ancêtre sortit une ombre. Elle se matérialisa doucement, pour prendre la même forme que lui. Alors, un autre Ancêtre apparut, mais plus jeune. Il semblait être celui qui avait combattu Drek, il y a soixante ans.
L'Oozaru lâcha un grognement inttérogatif. Le plus vieux de ses ennemis se fit une joie de lui répondre.
-Le retour du passé, mon ami. J'ai trouvé le moyen de créer la machine à changer le temps. Ainsi, je peux me créer un clône ultime, mon passé, qui ne peut périr puisque moi je ne suis pas mort. Et je ne peux pas mourir, car lui n'est pas mort. Et rien ne sert de nous tuer en même temps, car nos corps sont liés, mais nos esprit différent. Ainsi, on ne peux mourir en même temps, ce serait désastreux pour l'Univers entier. Jouer avec le temps est une chose, mais le changer en est une autre. Je suis allé jusqu'au plus loin dans ce changement. Me tuer en même temps que moi serait le pas de trop dans l'impossible. JE SUIS PARFAIT.
-Je n'ai plus que quelques heures, si ce n'est quelques minutes à vivre, alors je ferai tout pour accomplir mon rêve. Mon rêve est de te tuer, et je n'aurais aucun scrupule à le faire, même si le monde doit disparaître pour ça, déclara Drek d'une voix rauque.
Il s'élança alors vers son ennemi, celui qui était devenu une obsession. Plaçant tous ses rêves dans la mort de son ennemi, il était prêt à sentir la monotonie de la vie, après avoir accomplit ce qu'il voulait, et ainsi, mourir avec le sentiment d'avoir fini. Plus rien au monde n'importait. Il lança des coups puissants, féroce et vengeur, vengeure du peuple sayan décimé par ce double être. Alors, l'Ancêtre vieux s'en alla, retournant parmis ses deux bras droits. L'Ancêtre plus jeune, le même que Drek avait combattu il y a si longtemps lui faisait face. Tout deux s'observèrent. L'heure de la revanche avait sonnée, il était temps d'en finir avec ce fou, quel qu'en soit le prix à payer.
Pas de question, attendons la prochaine partie.
Ololilol cke jay a lire
pas le temps là
J'ai lu la seconde partie de ce chapitre et je dois dire qu'elle est bien^^
Bon là j'ai plus trop le temps de faire un pavé
J'ai aimé le moment ou le chef d'orchestre se fait attaqué par les wenpai^^ c'était pas mal l'idée^^
Bon je me mets au 3ème mais j'aurais peut -être pas le temps de tout lire^^