----------------Coupet---------------

Reveillère-----Ismael------Boumsong---Jurietti

Giuly-----Vieira------Zidane------Rothen
(Malouda)
Cissé------Henry

Remplaçant: ?? ?? ?

me*** ils mettent a la ligne a chaque fois!!

Coupet
Reveillere
Ismael
Boumsong
Giuly
Vieira
Zidane
Rothen ou(Malouda)
Cissé
Henry

Je la trouve pas mal cette compo

Henry est bléssé

Je te parle pas d´hier mais pour les prochains matchs!!!

c´est un bonne compo le seul probleme la defense

«Pas d´idée collective»

Pour notre consultant Angel Marcos, l´équipe de France a été victime d´un déchet technique et d´un manque de cohésion étonnants contre une équipe de Suisse qui, elle, a simplement rempli son contrat.

« France -Suisse a été un match étonnant. Avec Malouda, Dhorasoo et Wiltord en pointe, la France avait une équipe pour posséder le ballon, placer des attaques et surprendre les Suisses. C´était l´idée. Elle ne pouvait réussir qu´à une condition : récupérer le ballon rapidement. Or l´équipe était trop étirée en longueur pour avoir cette possibilité. Et dans les rares moments où elle y parvenait, elle le perdait. C´est donc la Suisse qui a eu le ballon, au moins pendant les 45 premières minutes. Les Helvètes, pourtant plus limités techniquement, ont été beaucoup plus mobiles, par rapport à une équipe de France statique, qui offrait moins de solutions, qui n´avait aucune idée collective, pas de dynamisme, pas de mouvement, pas d´idée de construction. Les Suisses ont décidé du rythme, exactement ce qu´on craignait.

La question n´est pas de savoir si la France avait les moyens de ses ambitions à cause de la forme de Thuram, de Zidane, de ceci ou de cela. Si elle n´avait pas les moyens d´évoluer comme ça, il fallait jouer le contre et aligner une autre équipe. Malgré tout cela, l´équipe de France a mené 1-0, avec beaucoup de réussite. Ce faisant, elle s´est retrouvée dans la meilleure situation possible : avec un joueur rapide devant (Cissé), une équipe adverse obligée de se livrer, de laisser des espaces et qui perdait son assurance. Il est donc doublement étonnant que l´équipe de France n´ait pas mieux terminé le match. Là aussi, la faillite technique et collective a pesé lourd, avec beaucoup de déchet technique dans la conservation.

Zidane était à court de compétition, disons à 60% de ses moyens, mais il n´a perdu qu´un seul ballon. On ne peut pas se passer de lui. La rentrée de Cissé n´a pas changé grand chose. Il a marqué, est passé près du doublé, mais il a aussi gaspillé individuellement trois ou quatre ballons. Il a rempli son contrat. Il ne pouvait pas tout chambouler. C´était aux autres de donner le rythme. La performance défensive de l´équipe de France a obéi à une certaine logique. Les Suisses ont joué avec leurs moyens, ce qui veut dire que même en étant bons, leur manque de talent et de joueurs de très haut niveau s´est senti. Contre des joueurs aussi athlétiques, malins et expérimentés que Thuram ou Gallas, ça ne permet pas de se procurer des occasions à la pelle.

Au final, la performance des Bleus le mois dernier à Dublin avait semblé plus homogène. Ce n´était pas transcendant, mais il y avait une idée : tenir, garder le ballon, ce qui avait été réalisé. Contre la Suisse, l´équipe était très éparpillée contre un adversaire qui a simplement répondu aux attentes. La Suisse a été collective mais sans lumière, avec notamment une très faible qualité de coups francs. Il faut donc répéter que Suisse-France fut un match étonnant. Le nul est la moindre des choses pour la Suisse. Il aurait été très injuste pour elle de perdre ce match. Pour la France, c´est une prestation moyenne et un bon résultat. Franchement, quelle autre situation souhaiter que mener 1-0 avec un Cissé frais dans son équipe ? Rien. »

A RETENIR

LE JEU ET JOUEURS

COUPET : Encore très rassurant malgré des circonstances difficiles. C´est grâce à un de ses réflexes devant Frei que les Suisses ont vu leur "premier but" refusé pour hors jeu (6e), avant un duel gagné en un contre un devant Frei (30e). Impeccable dans les airs, il sauva encore deux ballons très chauds en toute fin de match (88e, 89e). Le but n´est pas pour lui.

REVEILLERE : Perdre un ballon par un dribble de trop devant Wicky n´a pas contribué à le mettre en confiance (13e). Il a parfois montré qu´il avait du métier, pas tout le temps. Une entente très moyenne avec Dhorasoo en première période.

BOUMSONG : Très solide alors que les Bleus n´étaient pas au mieux en première période, il confirme son envergure. Le ballon lui est allé sur la main à la 62e minute mais M. Hauge n´a pas bronché. Il n´aurait pas dû être si sollicité.

THURAM : Il avait visiblement du mal à tirer sur sa cuisse gauche pour des courses franches, mais il s´est quand même comporté en patron, et a progressivement étalé son métier sur un tacle glissé plein de sang froid devant Vonlanthen (47e), un autre sur une percée de Barnetta (65e) avant un ultime sauvetage de la tête (91e). Difficile mais utile.

GALLAS : Auteur d´un jaillissement précieux devant Frei (2e), il a fait ce qu´il a pu pour aider Malouda et Zidane côté gauche mais n´est toujours pas un spécialiste du débordement. Batailleur et à la hauteur de l´enjeu.

VIEIRA : Il n´est jamais rentré dans le match, sauf pour intimider ses adversaires avec ce qu´il fallait d´intox en tout début de partie. Lent dans ses prises de décision, imprécis, il a évolué très loin de son meilleur niveau.

MAKELELE : Averti pour un tacle par derrière sur Vonlanthen (12e), le joueur de Chelsea a mis un petit moment avant de retrouver son rayonnement habituel. Ce fut chose faite après le repos, malgré le marquage serré dont il a fait l´objet. Mais il ne pouvait pas tout faire.

DHORASOO : Actif sur le plan défensif, juste dans ses choix jusqu´à ce ballon intercepté par Vogel qui a placé Frei seul face à Coupet (30e), il aura fait une belle première période avant de céder sa place à Djibril CISSE (46e) pour nécessité tactique. Sur son deuxième ballon, l´ex-Auxerrois gagnait deux duels tout en puissance pour ouvrir le score (52e). Sa vitesse a changé le visage des Bleus, qui y ont beaucoup gagné en spontanéité. Même s´il a poussé Zuberbühler à son seul arrêt du match (72e), son manque de précision technique le gêne toujours à ce niveau.

MALOUDA : Il s´est montré en-deçà de son niveau habituel même s´il a provoqué le premier corner (3e) et livré deux centres vicieux. Son coup franc dans les nuages à la 70e minute a confirmé qu´il n´était vraiment pas dans son assiette. Remplacé par GOVOU (91e) qui eut juste le temps de provoquer un corner.

ZIDANE : Très en-dedans sur le plan athlétique, assez logiquement après sa préparation tronquée, il n´a pas reçu beaucoup de ballons négociables avant le repos et eut du mal à exercer l´influence souhaitée, malgré toujours quelques gestes de classe. A tenté sa chance du gauche, pas loin du cadre (85e), pour un but qui aurait assis sa légende. C´est finalement une grande déception.

WILTORD : Contré sur ses deux seules tentatives de frappe en première période, il fut très disponible, presque trop, oubliant parfois qu´il évoluait en pointe. Plus à son affaire après le repos. Côté droit, il a lancé Cissé vers l´ouverture du score et frôlé le but de la victoire (86e). Courageux.

LES BLEUS DOIVENT PATIENTER ou

L´équipe de France devra attendre mercredi pour savoir si elle disputera la Coupe du monde 2006 en Allemagne, contrainte au match nul par une équipe de Suisse de très bon niveau (1-1). Pendant 27 minutes, les Bleus ont mené grâce à un but de Cissé... C´est rageant, mais logique.

Si loin, si proche

Mener au score pendant 27 minutes, être virtuellement qualifié pour la Coupe du monde et subir une égalisation sur un coup franc dévié n´est pas exactement une expérience agréable. C´est ce qu´ont vécu les joueurs de l´équipe de France samedi soir à Berne, contraints à un partage des points contre la Suisse (1-1). Ce résultat les oblige à battre Chypre pour gagner leur sésame, mercredi lors de la dernière journée, en suspendant leur réussite à un festival offensif ou à un nul entre l´Irlande et la Suisse à Lansdowne Road. Ce n´est pas une situation idéale, mais il ne fallait s´attendre à rien d´autre après trois nuls à domicile contre ses trois principaux rivaux. Le score de parité ramené du Stade de Suisse, le cinquième de cette campagne, n´est pourtant pas le plus honteux ni le moins équitable du lot. L´équipe de Köbi Kuhn n´avait jamais aussi bien joué contre les Bleus en vingt-six mois et quatre confrontations. Il a fallu une certaine réussite à l´équipe de France pour ne jamais être menée. L´arbitrage de M. Hauge n´a pas été du goût du camp suisse. La maîtrise collective tricolore ne fut qu´une idée mal appliquée, et c´est grâce à ses nerfs et à sa moëlle, celle qui avait permis la victoire à Dublin (1-0), que les Bleus ont conservé leurs chances jusqu´au bout. « On a enlevé deux points à l´adversaire et à dix minutes de la fin, je me disais qu´on était pas loin de l´élimination » a reconnu Raymond Domenech juste après le match.

Des débuts très difficiles

A la pause, les Tricolores avaient déjà compris qu´un nul n´était pas une mauvaise opération. Le comportement de l´équipe suisse les avait bluffés par son ambition et sa justesse. La France a connu un premier quart d´heure très pénible, et tout aurait pu basculer si Makelele avait reçu un carton rouge et non un jaune pour un tacle par derrière desespéré sur Volanthen filant au but (12e), ou si un réflexe miracle de Coupet n´avait obligé Barnetta à marquer en position de hors jeu (6e). Le quart d´heure suivant fut encore très délicat à encaisser. Impeccables sur leurs transmissions, avec jamais plus d´un contrôle et beaucoup de première intention, les Suisses étalaient leur confiance contre une équipe de France à la recherche d´espaces qu´elle ne se créaient pas. Une frappe tendue de l´excellent Barnetta (31e), juste à côté, scella la fin de cette demi-heure de souffrance pour les Bleus et d´espoir pour un public épaté par le spectacle. Les Bleus, alors, profitèrent de cet apparent surrégime helvète pour porter le ballon plus haut vers Zuberbühler, les gants toujours neufs. Les Suisses, alors, avaient moins d´énergie et les Français plus de clairvoyance pour occuper les derniers trente mètres, mais sans réussir le dernier geste ou la passe juste.

Cissé, quatrième but

C´est en changeant les hommes et en conservant son dispositif en 4-2-3-1 que Raymond Domenech a trouvé une partie de la solution. Avec Cissé à la place de Wiltord en pointe, celui-ci glissant sur le couloir droit à la place de Dhorasoo, les deux potes se comprenaient dès leur premier ballon. Wiltord envoyait Cissé faire le ménage dans la surface suisse et inscrire son quatrième but en éliminatoires (52e, 0-1). L´explosion de joie de l´attaquant de Liverpool, remplaçant contre toute attente, était à la hauteur des frissons ressentis quelques minutes auparavant, sur trois nouvelles occasions franches des hommes en maillot rouge, auquel il ne manqua que la précision. Si les Bleus étaient qualifiés grâce à ce réalisme, ce serait mentir de prétendre que l´équipe de France maîtrisait correctement son affaire.

La Suisse eut plusieurs ballons d´égalisation dans la foulée. Mais elle ne semblait plus avoir la fraîcheur suffisante pour pousser ses actions aussi loin qu´avant le repos. Elle a aussi buté sur la maladresse de Senderos, trop jeune et trop peu attaquant dans l´âme pour être le héros du jour dès sa sixième sélection (49e, 64e). C´est un coup de pied arrêté, et un coup de pouce du destin, pas radin sur le coup, qui permit à Magnin d´égaliser grâce à un coup franc largement dévié vers le bas du poteau gauche de Coupet (79e, 1-1), le premier but encaissé par les Bleus cette saison.

En dix minutes, les dernières, les deux équipes prouvèrent à quel point le nul ne les intéressait pas. Elles cherchèrent l´une et l´autre le K.-O.. Wiltord (86e), Magnin puis Frei (88e), Zidane d´une belle frappe tendue (90e) eurent le temps de s´y voir. L´arbitre assistant annonça trois minutes de temps additionnel. Il s´en joua beaucoup moins, à la grande déception du public et des joueurs, qui eurent du mal à accepter si sèchement la fin du thriller. Mais la défaite, dans les deux camps, aurait été beaucoup plus dure à accepter. Insupportable. Surtout pour les Suisses.

Je ne comprends plus rien moi. J´ai entendu que le goal average particulier prédominait (et donc que le France se qualifie quelque soit le résultat de la Suisse puisqu´on a mis un but à l´extérieur). Et maintenant, on dit que c´est la goal average général qui est important (et donc qu´il faut en marquer 5 contre Chypre si la Suisse venait à gagner en Irlande avec un but d´écart).
Quelqu´un peut m´expliquer ?

Il n´a jamais été question de but à l´extérieur, là tu confond avec la ligue des champions goalaverage particulier c´est le GA avec entre deux équipe ( suisse/france = deux matchs nuls donc égalité) maintenant c´est le GA général qui compte ( Suisse +11/france +8 )

REACTIONS

Domenech : « On a souffert »

Raymond Domenech (sélectionneur de l´équipe de France) : «Ce point fait que tout va se jouer au dernier match, comme j´ai pu le dire au début de la compétition. On a rien hypothéqué, tout dépend toujours de nous (les Bleus sont sûrs d´être au moins barragistes en cas de victoire contre Chypre mercredi). On a tellement souffert toute la semaine avec tout ces pépins, tout ces soucis qu´il faut être content de ce qui s´est passé et de comment ça s´est passé. On a souffert mais on le savait. Il ne nous a pas manqué grand chose. Pour régler le problème, il faudra attendre mercredi (contre Chypre) et se battre. Ils nous ont posé des problèmes par leur volume de jeu, leur agressivité. Je crois que c´est bien vu ce qu´on a eu (à gérer) toute la semaine. Contre Chypre, la base est simple: il faudra marquer, je crois trois buts de plus que les Suisses si les Suisses gagnent en Irlande.»

Kobi Kühn (sélectionneur de la Suisse) : «Cette équipe suisse a été extraordinaire et si une équipe méritait la victoire, c´est bien la Suisse. La bataille va maintenant continuer mercredi (à Dublin contre l´Eire), l´Eire doit gagner pour se qualifier et sera sous pression. Déçu ? oui un peu mais on était quand même mené un à zéro. Avec ce point, on est quand même toujours là, c´est encore possible de sortir premier ou deuxième (du groupe) et de se qualifier.»

Djibril Cissé (attaquant de l´équipe de France) : «Je suis très mitigé, il y a un peu de déception mais on a aussi beaucoup d´espoir et la rage pour mercredi (contre Chypre). En marquant un but, on avait fait un grand pas. Mais un match c´est 90 minutes, on a craqué. On a encore une belle chance face à une équipe de Chypre qui, elle, est éliminée. (Sur son but) Je vois le ballon qui arrive, il y a un peu d´hésitation entre Müller et le gardien, qui se rentrent un peu dedans. Moi je continue mon chemin et je marque. Comme remplaçant en première période, j´avais observé que les défenseurs centraux montaient haut. J´ai quand même joué une mi-temps, c´est un bon temps de jeu.»

Anthony Réveillère (défenseur de l´équipe de France) : «On est un peu déçu. Ce soir on pensait surtout à la qualification. J´espère que ce n´est que partie remise. Pendant toute la deuxième mi-temps on était vraiment bien dans le jeu, on n´était pas vraiment inquiété, même si la Suisse essayait de passer par les côtés. On était vigilant, on avait à coeur de ne pas prendre ce but et de conserver ce score comme en Irlande mais sur ce coup de pied arrêté bien tiré par Magnin, fort devant le but, on a vu qu´il peut se passer beaucoup de choses. On s´attendait à un début de match difficile, par rapport à l´ambiance dans le stade, et aussi par rapport au fait que les Suisses jouaient leur qualification. Ils voulaient faire tomber la France. On était prévenu, on savait que ça allait être aussi difficile qu´en Irlande, ça l´était mais si on a souffert en première mi-temps on a su réagir en deuxième et c´est vrai qu´on aurait aimé être récompensé de nos efforts... C´est comme ça. En début de match j´étais un peu tendu mais ça a été de mieux en mieux au fil du match.»

Lilian Thuram (défenseur de la France) : «Sur l´ensemble du match on ne mérite pas mieux. A partir du moment où vous êtes venus pour gagner, vous êtes déçus, c´est normal, surtout qu´on a mené. En première période, Sylvain était esseulé devant. On n´arrivait pas à maîtriser le jeu et les Suisses repartaient très rapidement. Cela a été mieux en seconde période mais nous prenons un but malheureux. Physiquement, je n´ai pas eu de gros problèmes mais ce sont les déplacements qui sont plus difficiles. Contre Chypre, il va falloir gagner (avant de penser à marquer beaucoup de but). (Depuis son retour) J´ai le sentiment de pouvoir être plus performant en équipe de France, de pouvoir être mieux physiquement.»

Alexander Frei (attaquant de la Suisse) : «On a été meilleurs que les Français, on a pris un but un peu bête mais on a eu la force de caractère pour égaliser. C´est une des plus belles performances de l´équipe de Suisse depuis que j´y joue. La Suisse peut être fière car même si on est éliminés, on aura réussi une campagne de qualification fantastique. On ira en Irlande pour gagner.»

Zinédine Zidane (capitaine de l´équipe de France) : «On est déçu parce qu´on avait ouvert le score, mais on n´a pas réussi à conserver cet avantage. On n´a pas su se remobiliser. On a toujours notre avenir entre nos mains. Il faut gagner contre Chypre».

Grégory Coupet (gardien de la France) : «Ce soir, il n´y a pas de raison d´être heureux. On fait une mauvaise opération. On espérait faire plus de jeu, poser plus de ballon. Ce soir, on n´a pas été performant, on a été dominé. Après, on a été acculé sur notre but. Il va falloir faire un gros match contre Chypre. L´ambiance dans le vestiaire? C´était glauque».

Florent Malouda (milieu de terrain de la France) : «C´est dommage de s´être fait rejoindre au score. On prend un but sur un coup franc assez heureux. L´objectif, maintenant, c´est d´oublier ce match contre la Suisse, et penser au match qui arrive contre Chypre. Il est très important. Il faut le gagner, ne pas se poser de questions».

ok merci arkanteas
Ce sont seulement le goal average général qui compte alors va falloir en mettre 5 pour se qualifier, c´est probable mais ça va être difficile.

Non mais si on gagne et que la suisse ne gagne pas on est qualifié
Si on gagne et que la suisse gagne faut en mettre 5 pour faire les barrages
Si on fait match nul on fait les barrages
Si on perd on ess éliminé

On a 90% de chance de se qualifier

dhorasso boumsong

90% t´es trop optimiste

car en barrage il y aura les Tchèques, les Espagnols et d´autres équipes et en confrontations à éliminations directes ça va donner

Oui mais je pars du principe que la france va gagner contre chypre et que la suisse ne gagnera pas en eire je suis logique et non optimiste

Autant la première hypothèse me paraît plausible, la seconde en revanche...

j´espere de tout coeur que la suisse va battre l´eire (but de la main)!

car la france ne merite pas d´aller en allemagne ils ont eu trop de chance jusqu´a présent

contre l´eire il ne meritait pas de gagner
et contre la suisse il meritait la defaite surtout en premiere periode

mais bon continuer de suporter l´equipe du monde et non l´equipe de france

moi je m´en fou ma nation est qualifié

VIVA ITALIA & MILAN AC

la Suisse a fait un match excellent hier

deja beaucoup trop de monde sous estime cette équipe

l´Irlande qui a marqué rapidement contre Chypre a eu toute les peines du monde à conserver son avantage

Donc Irlande-Suisse sera prometteur mais les Suisses on besoin d´un nul pour etre barragistes donc la contre attaque pourra etre leur tactique sachant que l´Irlande doit s´imposer absolument ils vont sortir et laisser des espaces

Mon opinion sur nos deux derniers voyages, c´est qu´on a était mis plus en danger en Suisse qu´en Irlande et les Suisses nous ont fait galoper pour avoir le ballon