t'as oublié Igrim
c'est PICK
J'ai hâte à la sweet
j'en ai écris la moitié là
Résumons:
-Igrim est a moitié mort et il est de nouveau en prison, super
-Peil a mis sa main dans une prise electrique, super
-Erold a essayé de faire marcher un barbecue orc et ça lui est revenu sur la geule, super
-Mira s'est transformée en dominatrice qui chatie les héros, super
Sinon quoi de neuf
......
ça sert à rien de upper toute les deux secondes...
wai mé mwa jème sa upé mem qe na
non plus sérieusement, heu...
Suite mercredi aprem'
A pars Emmerald je me sens seul a lire ta fic
sinon mercredi c'est troooooop long
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Posez moi vos questions, j'y répondrai quand j'aurais testé le jeu à la PGW
trou96deretour "Posez moi vos questions, j'y répondrai quand j'aurais testé le jeu à la PGW"
tu pourra faire attention aux doublages, voir si ils sont de qualité,...?
Non non vous n'êtes pas les seuls ^^
Oh que non ! J'ai été le premier lecteur et je suis encore là
Mercredi aprèm
Vivement la suite l'histoire est vraiment géniale
ok je regarderais ça c'est faisable pas comme voir si la map a des murs invisibles (en 20min c'est pas possible)
Chapitre 21 :
Peil ouvrit lentement les yeux. Il se redressa sur un coude avec difficulté et grimaça de douleur. Le jeune Bréton regarda autours de lui.
Il se trouvait vraisemblablement dans une caverne. Le sol était recouvert de mousse et d’herbe. Un rai de lumière passait par des fissures dans le plafond. Il faisait frais. Peil frissonna et chercha son sceptre des yeux.
Il n’était pas là.
Soudain, le visage de Mira lui revint en tête.
Elle l’avait trahie. Il avait confiance en elle mais elle l’avait trahie.
-Réveillé ?
Peil tourna la tête. Un homme venait d’entrer dans la caverne. Il était vêtu d’un ample manteau beige très léger mais déchiré par endroits. Les yeux de l’homme étaient pâles et froids. Malgré son jeune âge, sûrement trente ans, ses cheveux avaient la couleur de la neige.
-Qui êtes-vous ?
Une autre image revint dans la tête de Peil, comme un flash. Celle de cet homme se battant contre un grand Orque chauve.
-Je m’appelle Erold.
Peil gémit en essayant de se relever mais Erold s’assit à côté de lui.
-Je te déconseille de faire ça. Tu es salement blessé.
Peil obéit et se rallongea.
-Qu’est-ce qui s’est passé ? demanda le Bréton.
-C’était surréaliste, répondit Erold. Des dragons… Partout… Ils semblaient obéir à la Bosmer avec le pendentif. Je l’ai vu t’attaquer avec ses éclairs puis… Un énorme dragon noir est descendu en piqué vers nous et à inondé la zone de flamme. Je ne sais par quel miracle j’ai survécu mais, quand je me suis relevé, après avoir été frappé par le feu, le grand mur avait disparu ainsi que les dragons et la Bosmer. Le sol était de nouveau couvert de neige et j’étais entouré d’arbre. Les cadavres calcinés, eux, n’ont pas disparus. Je n’ai pas aperçus Gregor parmi eux.
-Gregor ?
-L’Orque qui était à la tête des Chiens d’Argent. Visiblement, il voulait te tuer. Et il te connaissait bien.
Peil fronça les sourcils.
-Moi je ne l’avais jamais vu avant.
Erold haussa les épaules.
-Enfin… Après tout ça, j’ai parcouru le champ de bataille et je t’ai vu. Tu étais évanoui mais tu respirais encore. Je t’ai porté malgré mes blessures à moi et je me suis abrité dans cette caverne car une nouvelle tempête se levait. Tu es resté dans les vapes pendant quatre jours. Des fois tu parlais et tu faisais des gestes dans le vide, comme si tu te battais contre quelque chose.
Peil resta silencieux.
Erold le fixa.
-Qu’est-ce c’était que ce médaillon ? Et qu’est-ce qu’elle voulait cette Bosmer ?
-Le médaillon…
Peil soupira.
-C’est vrai que je te dois quelque explications…
Quelque part, en mer…
Igrim regarda un poisson filer dans l’eau et dépasser son embarcation. Deux gardes ramaient tandis qu’un troisième le surveillait, assis en face de lui, une expression de méfiance sur le visage et la main posée sur le manche de son épée.
Igrim baissa les yeux sur les lourdes chaînes qui lui entravaient les poings et les pieds.
Il était torse-nu. Les gardes lui avaient donnés un léger pantalon de toile brune, crasseux, pour se vêtir. Ses armes lui avaient été confisquées.
A à peine un kilomètre, dans la brume, on pouvait apercevoir l’île rocailleuse abritant le Fort Maudit.
C’était là qu’on emmenait Igrim.
Le Nordique frissonna. Non à cause du froid mais à cause de cette prison. Trop de souvenirs. Pourquoi l’y avait-t-on emmené déjà ? Il n’y avait pas repensé depuis longtemps.
C’était un matin d’hiver, froid et silencieux, dans la forêt enneigée entourant Wigaar, le petit village dans lequel était né et avait grandi Igrim. Peu de personne en Tamriel pouvait le situer. C’était un minuscule hameau de quelque maisons, perdu dans la région de Skyrim, à l’Ouest de Windhelm.
Ce jour-là, Igrim, alors âgé de treize ans, mais déjà très adroit au combat à la hache, accompagné d’Aeta, âgée de neuf ans, était allé cueillir des plantes à la demande de sa mère pour préparer de la soupe.
Le jeune Nordique avait insisté pour emmener sa sœur et l’initier aux plaisirs de la cueillette. Ce qu’il regretterait toute sa vie.
Mais la mère avait accepté et la petite fille était partie avec son frère.
Les deux enfants s’apprêtaient à rentrer au village après une dure journée quand ils avaient croisés le chemin du diable lui-même.
C’était un jeune noble aux longs cheveux blonds, vêtu d’un gilet de soie bleue et d’une longue cape écarlate, aux yeux verts et portant un bouc, sur son cheval.
Il avait un air hautain et un regard cruel. Igrim lui avait donné vingt ans. Il était accompagné d’une escorte de cinq gardes dont un seul sur un cheval. Les deux enfants s’étaient cachés derrière un arbre pour observer les étranges hommes.
-Je déteste cette région, avait fait le noble. Il fait froid, c’est moche et c’est peuplé par des sauvages barbus ! Vivement que nous ayons finit notre mission pour rentrer à la Cité Impériale.
-Vous avez bien raison maître, avait répondu le garde sur son cheval en baissant la tête.
Le regard du noble avait parcouru les arbres et la neige tout autour de lui. Il avait reniflé.
-Une région d’arriéré, avait-il dit au bout d’un moment.
Soudain, Aeta avait éternué. Igrim était resté figé. Tous les regards c’étaient tournés vers eux. Un sourire sadique s’était dessiné sur le visage du noble.
-Tiens tiens.
Le jeune Nordique, avec courage, s’était placé devant sa sœur.
-Oh, avait fait un garde en s’approchant. Courageux le gamin.
Le noble avait stoppé sa monture et en était descendu. Il avait fixé Aeta d’un regard lubrique.
-Je la veux, avait simplement-il dit.
La pratique était courante à cette époque. Même Igrim savait ce que faisaient couramment les nobles. Ils achetaient ou enlevaient des enfants dans la campagne sous prétexte de les avoir trouvés mort de faim et blessés. En réalité, ils tuaient souvent les parents.
Les enfants étaient alors conduits à la résidence des nobles comme servant. En réalité, il devenait un objet sexuel pour les nobles. Puis, quand ces derniers s’en lassaient, généralement au bout d’un mois à peine, ils les tuaient et jetaient leurs corps dans une rivière.
C’était un sujet tabou et peu de personnes osaient ne serait-ce qu’en parler avec ses voisins. La peur de voir ses propres enfants enlevés comme punition était trop terrifiants. Aussi, personne ne luttait contre cette pratique abominable.
Un des gardes s’était avancé. Il avait bousculé Igrim et avait saisit sa petite sœur par les épaules.
-Tuez le gosse, avait ordonné le noble.
Le sang d’Igrim n’avait fait qu’un tour. La peur l’avait boosté. Il avait dégainé le petit couteau qu’il gardait tout le temps et avait égorgé le garde qui tenait sa sœur d’un geste vif.
Les autres gardes s’étaient aussitôt élancés.
La scène n’avait pas durée longtemps.
Les hommes avaient facilement maîtrisés Igrim et l’avait plaqué à terre. Le noble s’était approché en se léchant les lèvres. Il avait attrapé Aeta par les cheveux. La fillette était en pleure.
-Dépêchez-vous de l’achever, avait fait le noble.
Le jeune Nordique s’était redressé. Il avait poussé les gardes et avait bondit sur le noble. Comme au ralenti.
Ses mains s’étaient refermés sur le coup du noble et avaient serrées. Il s’était entendu crier à sa sœur de s’enfuir. Aeta avait obéit.
Puis plus rien.
Un des gardes l’avait en fait assommé.
Le noble était mort. Il devait être très riche et influent car Igrim s’était réveillé en prison. D’après ce qu’il avait compris, les gardes l’avaient emmenés à la Cité Impériale immédiatement et l’avaient fait passer pour un bandit.
Mais Igrim ne regrettait rien. Sa sœur avait réussit à s’enfuir.
Son exécution allait bientôt avoir lieu.
Mais le jeune Nordique s’était échappé avant. Par la suite, il avait parcourut tout Cyrodil pendant plusieurs années, vivant de petit larcins, avant de rentrer à son village natal.
Ses parents étaient décédés depuis peu.
Il avait malgré tout été heureux de revoir sa sœur. Deux mois plus tard, les gardes l’avaient de nouveau arrêté. Et cette fois, plus question de l’exécuter. Ils lui réservaient un sort bien pire que la mort. Paal Do Lein.
Igrim ouvrit les yeux. La barque s’était arrêtée. Il était arrivé.
L'éclaircissement sur le passé d'Igrim est intéressant,seul point négatif:évites à l'avenir d'utiliser des termes comme "boosté".
Bonne suite tu t'es bien rattrapé (hé oui je t'en veux pour Erold )
Sinon il est vrai que "boosté" fait un peu tache
sinon continue comme ça