Vulianos,je ne suis donc pas le seul à lire cette magnifique fiction en livre du soir ?!

Andjesslau moi aussi je le lis le soir . T'est pas le seul

Et moi je continue à dire que tu est nul Peil et que tu devrais arrêter d'écrire...........Bon posez tous vos armes svp, je dis juste ça pour que Peil ne prenne pas la grosse tête

Vivement la suite

+999999 Vulianos

Moi aussi je lisait la Flèche Blanche Blanche comme sa

Merci pour tous vos commentaires et vos encouragements

Chapitre 24 :

Le vieillard fit un pas en avant. Tous déglutirent. Même les sœurs Jadmär eurent un mouvement de recul. C’était incompréhensible. Pourquoi elles, des chasseuses de prime aussi craintes, reculaient-elles face à un simple vieillard ?
Si on leur avait posé la question, elles n’auraient pas su répondre. Peut-être l’incroyable assurance qu’il dégageait ? Ou le fait que chacun de ses gestes était une menace de mort impitoyable ?
Le vieil homme arriva au niveau de Sandre et Zimo.
Tous deux, bouche bée, étaient encore allongés au sol. Le vieux Bréton leur fit un clin d’œil et les enjamba.
Il passa à quelques centimètres d’Edwin. Le mage, effaré, se mit immédiatement en garde. C’était la première fois que Sandre le voyait impressionné. Presque… effrayé. Et lui-même, tout comme les sœurs Jadmär, n’aurait su dire précisément pourquoi.
Le vieillard le dépassa sans un mot.
Il était maintenant clair qu’il se dirigeait vers les deux Argoniennes.
La plus petite, obéissant à un instinct de survie des plus élémentaires, leva son arbalète et tira.
Le carreau fusa.
Le vieil homme, tenant toujours son arc, ne broncha pas. Il continua à avancer.

« Attention, voulut crier Sandre. Vous allez vous faire tuer ! »

Mais l’idée même que ce vieillard puisse être inquiété d’une quelconque manière par le carreau de l’Argonienne était ridicule. Un bambin aurait pu lui lancer son jouet que le résultat aurait été le même.
Le vieux Bréton, d’un geste parfaitement maîtrisé, se coula sur le côté, au moment où le carreau arriva à quelques centimètres de lui. La pointe du projectile l’effleura. Mais ne le toucha pas.
Sandre vit le carreau dépasser le vieillard et aller se perdre dans la forêt.
Tout en esquivant, ce dernier n’avait pas cessé d’avancer. Ni de sourire, d’ailleurs. Le combat était inévitable. Mais ce sourire… C’était celui d’un homme qui savait qu’il allait gagner. Aussi sûrement qu’en lançant une pomme en l’air, elle tomberait. Aussi sûrement que si l’on jetait une torche sur un tas de paille, il brûlerait. Aussi sûrement qu’au jour succèderait la nuit, et qu’à la nuit succèderait le jour.
Le fait qu’il allait gagner était élémentaire.
La plus grande Argonienne, comprenant le danger imminent et la menace, infiniment plus grande que n’importe quel autre participant, que représentait cet homme, dégaina sa hache de guerre et s’élança.
La plus petite voulut la retenir, mais trop tard.
L’Argonienne abattit sa lourde hache dans la direction du vieillard.
Celui-ci n’essaya pas de parer le coup. Avec quoi l’aurait-il pu ? Avec son arc ? Ridicule.
Il se décala, et la lame passa à quelques millimètres à peine de son épaule, avant d’aller s’enfoncer profondément dans le sol. L’Argonienne n’eut pas le temps de l’en ôter. Le vieil homme entra en action.
Si ses esquives étaient incroyablement rapides, ses attaques, elles, furent irréelles.
Sandre ne sut ni comment sa flèche quitta son carquois, ni comment la corde de son arc se tendit, mais en une fraction de seconde, l’Argonienne recula et tituba. Une flèche était plantée dans sa poitrine.
Sandre plissa les yeux.

« Par les Neuf. »

Pas une. Trois flèches étaient plantées dans sa poitrine. Non, une quatrième venait d’y apparaître. Que le vieillard venait de tirer. Son bras en était devenu presque invisible.
La monstrueuse chasseuse de prime, hébétée, contempla les quatre traits fichés sur son torse. Elle ouvrit la bouche. Mais le vieil homme était déjà sur elle.

-Attention ! hurla la petite Argonienne.

Sa sœur prit sa hache à deux mains et la balança en avant. Le vieillard roula souplement sous la lame, qui passa juste au-dessus de lui, et se redressa, dans le dos de son adversaire. Tout en esquivant, il avait tiré une flèche de son carquois et l’avait décoché, sans même regarder sa cible.
La flèche, tirée à bout portant, s’était enfoncée dans les côtes de l’Argonienne.
Celle-ci fit volte-face, ignorant la douleur. On pouvait au moins lui reconnaître ça. Elle était tenace.
Le vieux Bréton, d’ailleurs, haussa un sourcil.

-Toujours en vie ?

Il s’arc-bouta. La lame de la hache frôla son menton. D’un seul coup, sa jambe se détendit, et son pied percuta violemment le ventre de son adversaire.
L’Argonienne se plia en deux, sous la force du coup, et brisa par la même occasion la flèche qui était plantée à l’intérieure de son flanc. La pointe du lui déchirer plusieurs organes internes puisque du sang se mit couler à flot de ses narines et de sa bouche.
Elle cligna des yeux, incapable de comprendre.
Le vieillard se colla à elle.
Sa main libre traça un arc de cercle dans l’air, absolument parfait. Pas rapide, mais totalement inévitable, de par sa trajectoire. Le tranchant de sa main heurta la tempe de l’Argonienne et la fit vaciller.
Elle lâcha sa hache, privée de ses forces. Le vieil homme venait de la frapper à un point sensible qui annihilait toute résistance chez l’adversaire, et faisait se relâcher tous ses muscles. L’Argonienne toussa, et ce fut la dernière chose qu’elle fit.
A moins d’un mètre d’elle, le vieillard encocha une flèche, tendit la corde jusqu’à sa joue, et la lâcha.
Le trait perfora la gorge de la chasseuse de prime, et la pointe ressortit à moitié de l’autre côté, au milieu de sa nuque. Le vieil homme, d’un bond gracile, la contourna. Dans son dos, il saisit du bout des doigts la pointe en acier qui dépassait de la nuque de l’Argonienne.
Il tira d’un coup sec. La flèche traversa toute sa gorge avant de ressortir, dégoulinante de sang. Le vieillard la lâcha.
L’Argonienne, comme si elle avait attendu ce moment, se laissa tomber à genoux, et puis mourut dans cette position. Sa tête retomba lourdement sur sa poitrine alors qu’un flot de sang s’écoulait de sa gorge ouverte et de ses multiples blessures.
Sandre et Zimo étaient incapables de dire un mot. Tout comme Edwin, ou même la petite Argonienne.
Les actions s’étaient enchaînés, mais à une telle vitesse que la mise à mort –puisque ç’en était une- n’avait durée qu’un instant.
Le vieillard essuya sa main ensanglantée sur sa tunique.

-Elle était brave.

La petite Argonienne balbutia, avant de hurler :

-Non ! Noooon ! Qu’est-ce que… Non ! Pas ma sœur ! Pourquoi ?!

Elle se jeta sur le cadavre de sa sœur. Le vieil homme ne broncha pas et la laissa passer. Il regarda la scène d’un air distant.
La dernière des Jadmär avait enfoui sa tête dans le cou de sa sœur et pleurait. Pendant ce temps, Sandre et Zimo se relevèrent timidement. Edwin se plaça à leurs côtés.
Face à cet homme, ils étaient tous au même niveau.

-Non, murmura l’Argonienne. Non… On devait gagner… On devait aller au bout, et gagner… Tous les écraser… Merde…

Le vieillard s’approcha.

-Si tu as renoncé au combat, emporte le corps de ta sœur, si tu le peux, et vas-t-en. Je ne te poursuivrais p…
-Enfoiré !

Elle se retourna, vive comme l’éclair, et saisit son arbalète. Plus rapide encore, la main du vieux Bréton se referma sur son poignet et le brisa instantanément, d’une clé articulaire douloureuse. Un craquement sonore retentit, et la petite Argonienne posa un genou à terre.

Son arbalète tomba au sol. Elle la contempla, ses écailles noires luisant de sueur.
Le vieillard encocha lentement une flèche à son arc et la pointa vers l’Argonienne.
La chasseuse de prime tourna la tête vers sa sœur, une seconde avant qu’une flèche ne lui transperce le crâne avec un bruit mât. Son corps, privé de vie, bascula sur le côté et s’effondra. Le vieil homme renifla sèchement et remit son arc en bandoulière.

-Voilà qui est fait, dit-il.

Il jeta un coup d’œil à Edwin, Sandre et Zimo.

-Eh bien, les jeunots, on peut dire que je vous ai sauvé la mise. Quoique… Notre cher Kingsming aurait pu s’en occuper à ma place, n’est-ce pas ?

Edwin ne répondit pas. Il était pâle. Sandre remarqua que Zimo aussi. Les genoux du Khajiit tremblaient.

-Par les Lunes, murmura-t-il. Cet homme, c’est…
-Oui, dit Edwin d’un ton sombre, sans quitter le vieillard des yeux. C’est bien lui.
-Qui ? fit Sandre. Qui est-ce ?

Zimo déglutit.

-Ce style de combat, Sandre. Tu ne l’as pas reconnu ? De l’archerie à distance rapprochée. On voit ça dans tous les manuels de combat, mais dans toute l’Histoire, un seul homme est parvenu à le maîtriser, et l’a rendu célèbre. Je ne peux pas y croire…

Sandre reporta son regard sur le vieux Bréton. Et soudain, il comprit. Oui, comment ne pas reconnaître ces mouvements, ces techniques ?
Cet homme était une légende vivante, au même titre que le Nerevarine, Pelinal Blancserpent, Anor Kingsming, Shuzug Gro-Yargol ou le Renard Gris. Déjà incroyablement connu dans sa jeunesse, son véritable mythe était né lorsqu’il avait disparu de Tamriel. Il avait fait couler de l’encre durant des décennies et des décennies, et des milliers d’histoires avaient courues sur son compte.
On disait ici qu’il avait disparu dans l’Oblivion, là qu’il était parti s’exiler dans un continent lointain… Mais la plupart s’accordaient à dire qu’il était aujourd’hui mort.
Cet homme ne pouvait pas être un autre que ce légendaire archer Bréton qui avait écumé les routes de Tamriel, soixante-dix ans auparavant, et dont on racontait qu’il avait été à l’origine de la débâcle des Altmers en Elsweyr, lors de la Réunion Sanglante, en l’an 405 de la quatrième ère, et indirectement de la défaite du Domaine Aldmeri lors de la Grande Guerre.
Celui qui avait, alors encore enfant, tué une trentaine de bandits en leur plantant à tous une flèche entre les deux yeux. Celui qui avait remporté le tournoi d’archerie de Solitude en fichant cinquante flèches dans une cible, et vaincu le grand archer Helleniste.
On contait ses aventures aux enfants avant d’aller les coucher, on chantait ses exploits dans les tavernes, le soir, et à la cour des rois…
Impossible de ne pas le reconnaître, maintenant qu’il y avait pensé. Malgré son âge, son physique correspondait à celui qu’il avait dans les récits.

-Vous… Vous êtes Roderick Lustwick ? balbutia Sandre. La Flèche Blanche ?

Le vieillard soupira et se gratta la tête d’un air ennuyé.

-Il y avait bien longtemps qu’on ne m’avait pas appelé par ce nom, mais… Oui, il m’a appartenu, jadis.

Sandre le savait, pourtant la simple confirmation que c’était lui fit un choc au jeune homme.
A la surprise de tous, Edwin s’avança.
Il se mit en garde et des éclairs se mirent à danser autour de ses mains.

-Affrontez-moi, lança-t-il à Roderick Lustwick.
-Pardon ? répondit le vieillard, étonné.
-J’ai toujours rêvé de me mesurer à une légende. Si je me suis lancé dans cette stupide course, c’était uniquement dans le but de tester mes capacités et de me mettre à l’épreuve en situation réelle. C’est l’occasion rêvée. Je vous prie d’accepter mon défi.

Roderick Lustwick se frotta la barbe, perplexe.

-Tu vas mourir, dit-il simplement. Si tu n’es pas encore lucide sur ton propre niveau, c’est que tu as encore besoin d’entraînement.
-Que m’importe de mourir, si je peux me mesurer à quelqu’un comme vous. Affrontez-moi !
-Je refuse.

Edwin se tut. Il baissa les mains, résigné. Le ton qu’avait employé le Bréton était clair. Il était inutile d’insister.
Les éclairs, le long de ses doigts, s’éteignirent.

-Pourquoi ? s’enquit Edwin.
-J’ignore ce que tu… ou plutôt « vous » pensez de moi, dit Roderick en jetant un bref regard à Sandre et Zimo, mais je ne suis pas un tueur. Verser le sang plus que nécessaire me dérange profondément. Je ne suis pas de ceux qui raffolent du combat, pour le combat. Du moins, je ne le suis plus. Libre à toi de m’attaquer si tu le désires, Kingsming, et dans ce cas je me défendrais. Mais tu n’auras pas le duel loyal que tu désires.

Sandre vit Edwin serrer les dents, et ses mâchoires se contracter. Il n’avait visiblement pas l’habitude qu’on le traite ainsi.
Si un autre que la Flèche Blanche avait osé lui parler de cette manière, il aurait immédiatement été changé en tas de cendre fumant. Mais face à Roderick Lustwick, il valait mieux se taire.
Le jeune homme déglutit.
Un silence se fit dans la clairière. L’ambiance était particulièrement pesante. Sandre avait discrètement approché ses doigts de sa chaîne, et Zimo s’était doucement remis en garde, les genoux fléchis et les griffes prêtes à jaillir.
Qu’allait-il se passer, maintenant ?
Le cœur de Sandre battait à toute allure dans sa poitrine, alors que celui-ci attendait le moment fatidique.
Mais le vieillard frappa dans ses mains et sourit.

-Bon ! Il est tard, et j’ai faim. Il se trouve que je possède quelques provisions. Que diriez-vous de dîner avec moi, ce soir ? Les lieux ne sont pas sûrs, et je serais plus rassuré avec de solides et jeunes gaillards comme vous à mes côtés.

En prononçant ces derniers mots, il leur fit un clin d’œil. Il était évident que la présence d’Edwin, de Sandre et de Zimo à ses côtés ne faisait ni chaud ni froid au vieil homme. La Flèche Blanche n’était pas de ceux qui avaient besoin de protection.
Il fit alors volte-face et, sans même s’assurer que les autres le suivaient, il s’engagea dans les bois. Il passa à côté des cadavres des sœurs Jadmär sans leur jeter un regard.
Sandre essuya la goutte de sueur qui avait coulé le long de son nez. Se fier à l’air affable et chaleureux du vieillard aurait été une grossière erreur. Il venait d’éliminer deux des plus dangereuses participantes de la Grande Marche en un clignement d’œil, sans la moindre hésitation, et de manière plutôt… brutale.
« Massacrer », était un terme qui convenait mieux.
Pendant quelques instants, les trois hommes restèrent immobiles, au centre de la clairière, hésitant sur la marche à suivre. Zimo tourna la tête vers Edwin.

-Euh… On fait quoi ?

Edwin, semblant perdu dans ses pensées, ne répondit pas. Il se mit simplement en marche, à la suite du vieillard. Sandre lâcha sa chaîne.
La Flèche Blanche venait de les inviter à dîner. Et s’il avait voulu leur faire du mal, ils seraient tous déjà morts. Alors selon lui, il n’y avait rien à craindre. Et puis, Sandre ne tenait pas particulièrement à désobéir à Roderick Lustwick et à le mettre de mauvaise humeur.

-On y va, dit-il à Zimo.

Roderick
Le combat
l'enculade qu'a subit Edwin
pas la peine de reprendre ce qu 'a dit Vulianosp, t'est un maître Peil

Comment Roderick a réussi à survivre pendant 70 ans?

Welcome home, Roderick.

Rod de retour

Fais revenir Fenrir et je monte te BIP

Superbe suite encore une fois, la suite demain max hein

Yeaah! Je le savais !
J'aimerais bien qu'Edwin et Roderick parle d'Anor

Qu'est-ce que je ne donnerais pas pour etre aussi vif que Roderick a 90 pige .

Splendide je trouve que Roderick est toujours aussi classe o/

+1 Istary la conversation serait marrante

Roderick donne l'air d'être encore plus puissant avec l'âge. Dans la flèche blanche il ratait sa cible a plusieurs reprise et n'était pas tellement capable de se battre au corps a corps avec son arc. Lors de son combat contre Helléniste il s'était d'ailleurs servi de ses poings.

La il shoot un serpent et se fait deux illustres adversaires au corps a corps et avec une grâce féline

Rod semble avoir évoluer énormément en shoot et surtout en rapidité et vivacité, et cela a près de 100 berges

Après un tel come-back je ne peux que dire dommage que Fenrir et Raizo ne soit plus, on aurait pus assister a un moine et un voleur de légende

J'ai hâte de voir ce que va donner Lynris, si bien sur tu l'intègre

Oui je veux ma petite Lynris^^

Vous me faites rire avec vos remarque sur l'age de Rod, on est dans les TES non? Y a plein de moyens de prolonger sa vie, moraux ou pas d'ailleurs. Allez savoir ce qu'il a foutu en Akavir^^

Sinon Peil que dire, tu viens de tuer mes deux méchantes favorites avec classe^^

Vivement la suite

"je ne peux que dire dommage que Fenrir et Raizo ne soit plus"

Raizo étant déjà vieux à l'époque de la Flèche Blanche (plus de la soixantaine), même s'il n'avait pas périt face au Scorpion, il serait mort de vieillesse depuis le temps. Et comme il est horrifié par tout ce qui touche de près ou de loin à la magie, exit la sorcellerie pour le maintenir en vie ou autre moyens surnaturels.

Merde, t'as tué les seuls persos attachants de la fic !

On se doutait tous que le vieux était Roderick, mais ça m'a quand même fait un choc quand tu as confirmé^^
Dans le chap on sent bien la puissance de Roderick a travers tes mots, les soeurs n'avaient aucune chance ! Sweet!

Mais non elles avaient une chance de vivre en fuyant^^

Ce cher Roderick, je m'en doutais. Excellent chapitre. Dommage pour les soeurs, c'étaient des personnages que j'aimais bien

"Cher journal, aujourd'hui j'ai mangé un kebab avec Roderick."

Sinon, ce combat
Mais qu'est-ce que Roderick peut bien foutre ici, au fait ? Et COMMENT, bordel de merde, a-t-il pu survivre aussi longtemps ? Il a rencontré une divinité mégalomaniaque en Akavir et l'a tuée pour acquérir son immortalité ou quoi ?

(je sais, je suis en retard, j'étais occupée à lire "La Flèche Blanche". Super fic d'ailleurs, son seul défaut est que je la trouve un peu trop courte )

il a fait du sayx avec le nérévarine, c'est ainsi qu'il est devenu
immortel